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Part 5a : Le cours d’aérobic
Allie se réveilla en sursautant. Nicole lui donnait de petits coups de pieds.
— Réveille-toi petite chienne, tu as du travail qui t’attend.
La brune se pencha en avant et tira la fine couverture qui recouvrait la jeune fille étendue sur le sol. Allie émit une petite plainte et se redressa. Tout son corps était endolori. Elle se remémora avec effroi les événements de la soirée. La punition qu’elle avait reçue pour avoir désobéi à une femme supérieure, avoir perdu sa culotte et son soutien-gorge et avoir quitté le phallus en plastique sans autorisation avait duré des plusieurs heures. La leçon avait été magistrale et elle n’était pas près de l’oublier.
Déjà, Nicole se dirigeait vers la salle de bain, vêtue de son élégant peignoir. L’adolescente la suivit d’un pas hésitant, nue. Nicole se plaça au centre de la pièce et leva les bras. Allie savait ce qu’on attendait d’elle. Elle tendit ses bras douloureux d’avoir étés attachés pendant des heures la nuit dernière et débarrassa sa Maîtresse de son peignoir. Telle une statue, Nicole garda la pose, irradiant de sa féminité irréprochable. Puis elle enlaça l’adolescente posant ses lèvres sur celles de la jeune fille, l’entraînant dans un baiser langoureux et délicat, faisant tourner sa langue dans sa bouche. Allie hésita un court instant avant de s’abandonner dans les bras de sa Maîtresse. Ce témoignage d’amour était ce qu’elle souhaitait le plus pour l’instant. La nuit avait été si douloureuse et elle avait eu si froid en dormant par terre.
Nicole rompit le baiser et s’écarta un peu, tenant toujours l’adolescente nue dans ses bras, pressant ses seins amples et parfaitement développés contre ceux à peine formés mais admirablement proportionnés d’Allie, leurs tétons appuyés les uns sur les autres. Elle baissa les yeux sur la jeune fille.
— Je t’aime Allie, ce qui s’est passé la nuit dernière était pour ton bien. Tu as besoin d’être prise en main.
Nicole fit descendre sa main sur les fesses de l’adolescente et trouva aussitôt le sillon duquel dépassait le gadget qui se trouvait toujours en place dans son anus.
— Pour t’en souvenir, tu vas le garder jusqu’à ce que je t’autorise à l’enlever. Mêmes règles que celles qu’on t’a édictées hier au salon de beauté… Et que tu n’as pas su respecter.
Allie se tortilla légèrement lorsque Nicole joua distraitement avec l’objet qui avait pris possession de son rectum.
— Es-tu amoureuse de moi Allie ?
— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille en prononçant respectueusement le mot qui commençait à devenir partie intégrante de son vocabulaire.
— Est-ce que tu as confiance en moi ? Demanda Nicole en tirant légèrement sur le gadget, le faisant sortir de quelques centimètres avant de le remettre en place.
Oui Maîtresse, mmmhhh. L’adolescente se mit à haleter au rythme de la sollicitation anale qu’elle recevait.
— Bien.
Elle se pencha à nouveau et embrassa une nouvelle fois Allie en continuant à imprimer des allers-retours au godemiché. Elle attira fermement la jeune fille contre elle en lui renfonçant entièrement l’objet en plastique dans le fondement.
— Maintenant, dit Nicole en s’écartant de l’adolescente pantelante. — Prépare ma douche.
Elle libéra Allie de son étreinte, la fit pivoter de dos et claqua son fessier déjà fortement rougi par les tourments endurés la nuit précédente.
Pendant qu’elle préparait le bain de sa Maîtresse, Allie se remémora son retour en larmes la veille. Elle avait refait le trajet en sanglotant. La première chose qu’elle fit en arrivant fut d’ôter l’odieux gadget qu’elle détestait… Elle aurait mieux fait de respecter les consignes de l’esthéticienne, il aurait cent fois mieux valu qu’elle s’abstienne, au moins elle n’aurait pas été fouettée si cruellement par Nicole. Heu… Peut-être…
Elle entendit Nicole uriner sur les toilettes derrière elle. Ce qui lui fit réaliser sa propre envie.
— C’est prêt Maîtresse. L’eau du bain était à la bonne température. Elle se retourna vers Nicole. Celle-ci écarta les jambes et désigna son entrecuisse du doigt.
— Viens ici, petite chienne, viens me faire un petit nettoyage.
Allie avança vers sa Maîtresse dont la miction venait de s’interrompre.
— Agenouille-toi, esclave, et nettoie-moi la chatte.
L’adolescente s’agenouilla devant la brune, le visage à hauteur de la cuvette. Une légère odeur d’urine pénétra son nez. Elle tendit la main vers le rouleau de papier toilette et en déchira quelques morceaux qu’elle mit rapidement en contact avec les lèvres ruisselantes de la jeune femme. Avec douceur, elle essuya délicatement le sexe de sa Maîtresse pendant que celle-ci la regardait faire.
Comment était-ce possible ? Elle était en train d’essuyer le sexe d’une femme qui venait d’uriner. Allie était trop fatiguée et abasourdie pour répondre correctement à cette question, mais elle savait que ça n’était pas quelque chose de convenable. Les filles bien ne nettoyaient pas le sexe des autres femmes, et elle était une fille bien. Elle pressa le papier toilette doucement entre les lèvres du sexe de Nicole et s’assura qu’il était sec. Je suis une fille bien, se dit-elle une nouvelle fois.
Nicole n’en revenait pas. Qu’il était facile de manipuler cette fille. Elle n’avait pris l’ascendant sur elle que depuis trois jours et déjà, elle essuyait son sexe après qu’elle ait pissé. Elle eut presque un orgasme en se demandant à quoi elle allait encore pouvoir la contraindre. Allie était vraiment parfaite.
Lorsque l’adolescente eut terminé, elle lui demanda de l’embrasser ; pour lui souhaiter bonjour. Elle écarta un peu plus les jambes et Allie se pencha lentement en avant pour déposer un baiser amoureux sur son sexe. Nicole pencha sa tête en arrière et eut un orgasme foudroyant au simple contact délicat des lèvres tendres de l’adolescente. Elle allait devoir se retenir mieux que ça si elle voulait faire durer le plaisir, se dit-elle.
Lorsqu’elle fut remise de son mini-orgasme, elle se redressa devant la jeune fille.
— Tu peux tirer la chasse et venir dans le bain avec moi.
Elle enjamba avec désinvolture la jeune fille agenouillée, se dirigea vers la douche et s’immergea sous la cascade d’eau tiède.
Allie tira la chasse, humiliée d’avoir dû essuyer le sexe de sa Maîtresse. Elle se remit debout et rejoignit Nicole dans la baignoire. Elle resta un instant debout, impressionnée par la perfection du corps de son aînée sur lequel l’eau cascadait. Elle frissonna légèrement, Nicole semblait baignée de lumière. Que lui arrivait-il ? Elle ne voulait pas être attirée par les filles, elle voulait être une adolescente normale et aimer les garçons. Elle aimait les garçons, pas les filles ! Non ? Elle était troublée, peut-être que Nicole avait raison, peut-être qu’elle était une lesbienne. Elle avait besoin de temps pour y réfléchir, d’être seule au calme pendant quelque temps. Lorsque Nicole serait partie travailler, elle pourrait sans doute se poser et étudier la question.
— Viens ici, petite chienne et lave-moi. Nicole lui tendit le savon, l’empêchant de mettre de l’ordre dans son esprit. L’adolescente préoccupée prit le savon et commença à en frotter ses mains. Nicole présenta son dos à la jeune fille et tira sur ses cheveux pour le dégager.
— Commence par là.
Allie obéit, étalant le savon entre les omoplates finement ciselées descendant jusqu’au creux du dos, au dessus des fesses.
— Allez, ma fille, n’oublie pas mes fesses, tu es responsable de ma propreté. Tu devrais être fière de cet honneur.
Allie nettoya délicatement les fesses parfaitement proportionnées de la jeune femme, l’une après l’autre.
— N’oublie pas l’entrejambe !Ajouta Nicole en écartant un peu ses cuisses.
Allie savonna l’entre fesse et, bien entendu, l’anus.
— Hmmm, c’est bon ma fille, tu devras bien de me sucer à cet endroit, il faudra que l’on s’occupe de ça dès que possible.
Allie repensa aux moments qu’elle avait passé à enfoncer profondément sa petite langue entre les fesses de sa tutrice. Etait-ce vraiment il y a deux jours ? Elle avait l’impression que ça faisait plus longtemps. Elle était perdue dans ses pensées lorsqu’elle sentit Nicole se coller contre elle.
— Oui, petite chienne, joue avec mon corps, nettoie ma chatte maintenant, occupe toi bien de cet endroit.
Nicole tendit le bras en arrière et attrapa une des mains de l’adolescente pour la tirer fermement et la pousser entre ses cuisses. Allie se mit à savonner le sexe de sa Maîtresse, l’enduisant de mousse alors que la jeune femme commençait à se tortiller contre elle. Elle étendit son autre main et se mit à laver les seins de Nicole.
La jeune femme se retourna.
— Agenouille toi et suce-moi, petite salope.
Elle mit ses mains sur les épaules de l’adolescente et la força à s’agenouiller dans la baignoire. L’eau cascadait partout sur Allie. Elle eut du mal à respirer, désorientée par les évènements, elle ne résista pas lorsque Nicole écarta ses jambes, l’attrapa par la nuque et força sa bouche à entrer en contact avec son sexe savonneux. L’adolescente n’eut d’autre choix que se mettre à lécher et sucer le sexe offert. La jeune femme attrapa une poignée des cheveux mouillés d’Allie dans une main, maintenant le visage d’Allie fermement contre son entrecuisse, et appuya l’autre contre le mur pour garder son équilibre.
Nicole était au paradis, elle allait aimer ses matinées. Se réveiller et se faire lécher le sexe sous la douche par sa propre petite salope personnelle était un régal. Elle lança la tête en arrière d’extase au rythme de l’orgasme qui grandissait. La douche éclaboussait son corps et noyait l’adolescente agenouillée entre ses jambes. La stimulation extraordinaire que lui procurait la jeune fille la poussa vers l’orgasme et la fit jouir.
— Oui, oui ma fille. Cria-t-elle. — Ooohh, hmmm, je suis entrain de jouir. Enfonce ta langue à l’intérieur, petite pute. Baise-moi avec ta langue, petite pute, baise-moi.
Allie raidit sa langue et l’enfonça dans le sexe de Nicole. Elle était trop courte pour pénétrer suffisamment loin, mais elle fit son possible.
Nicole se laissa emporter par son orgasme en pressant le visage de l’adolescente contre son entrecuisse.
Allie ne pouvait plus respirer, sa bouche était envahie par le sexe de sa Maîtresse et son nez était enfoui dans son pubis. L’eau de la douche coulait sur ses yeux et elle commença à voir des points noirs pendant que Nicole jouissait sur son visage.
Finalement, alors qu’Allie avait l’impression qu’elle était sur le point de perdre connaissance, Nicole gémit une dernière fois et relâcha la pression, repoussant l’adolescente en arrière, lui permettant enfin de reprendre une grande goulée d’air frais. Elle n’avait pas relâché la mèche de cheveux et, en reprenant ses esprits, remit l’adolescente sur pied et l’embrassa violemment, mordant ses lèvres en même temps. Puis elle empoigna fermement ses deux fesses et fit glisser ses doigts entre ses fesses s’amusant avec le gadget qui était toujours fermement inséré dans le rectum de l’adolescente.
— Je t’aime Allie, tu es ma petite esclave, n’est-ce pas ? Demanda finalement Nicole en relâchant complètement la jeune fille, frottant doucement sa cuisse contre le petit sexe de l’adolescente. Elle retira sa main des fesses sans défense et la glissa contre le sexe d’Allie, y fit pénétrer un doigt, l’enfonça avec délices avant de l’immobiliser au cœur de l’intimité de l’adolescente pantelante.
— Oui Maîtresse, oh oui. Répondit Allie en appuyant sa tête contre l’épaule de la jeune femme. L’orgasme qui grandissait en elle la faisait trembler. Satisfaite, Nicole agita rapidement son doigt d’avant en arrière, la faisant jouir aussitôt.
— Tu es ma petite esclave sexuelle. N’est-ce pas ?
— Oui, je suis votre esclave sexuelle. Répéta la jeune fille, comme dans un nuage.
— Tu es ma petite esclave sexuelle détraquée ? Demanda Nicole en se penchant pour embrasser l’adolescente une nouvelle fois. Enfonçant entièrement son doigt dans la vulve qu’elle considérait comme sa propriété.
— Oui Maîtresse, je suis votre petite esclave sexuelle détra… hmmm. Allie entoura le cou de la jeune femme de ses bras en serrant très fort pendant qu’elle lui rendait son baiser.
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Elles sortirent de la douche et Allie essuya le corps de sa Maîtresse, consacrant une attention particulière à son sexe et à ses fesses, séchant ses cheveux avec amour. Puis elle la coiffa et l’aida à se maquiller, s’appliquant à la satisfaire du mieux qu’elle pouvait.
Nicole était très impressionnée par la volonté de la jeune fille, visiblement, elle accordait beaucoup d’importance à son apparence.
Lorsque ce fut terminé, Nicole retourna dans sa chambre pour se faire vêtir.
C’est elle qui choisit les dessous ; une culotte noire échancrée et un soutien gorge assorti ; sans omettre d’exiger qu’elle embrasse chaque parcelle de son corps avant de la recouvrir avec les vêtements.
Ensuite, il fallut se décider parmi les multiples tenues qu’elle mettait pour aller travailler. Elles en choisirent une qui lui donnait une allure de femme d’affaires. Allie embrassait systématiquement le corps de sa Maîtresse avec dévotion.
— C’est parfait, petite salope.
Lorsqu’elle fut prête, elles allèrent dans la cuisine. Allie, toujours nue, suivait sa Maîtresse à pas feutrés. Elle leur prépara à toutes deux un pamplemousse, pendant que Nicole patientait tranquillement, assise à table, resplendissante dans son ensemble qui lui donnait beaucoup d’allure.
Lorsque ce fut prêt, Allie allait s’asseoir en face de sa Maîtresse lorsque celle-ci lui fit signe de s’agenouiller par terre, au pied de sa chaise. "À sa place". L’adolescente obéit et mangea en silence, à quatre pattes sur le carrelage froid de la cuisine.
Lorsqu’elles eurent terminé, Nicole déclara :
— Je t’ai inscrite à un cours d’aérobic ce matin, petite chienne. Je veux que tu prennes soin de ta ligne. Va dans ta chambre et regarde dans l’armoire, je t’ai acheté une tenue adaptée. Habille-toi rapidement, je te déposerai au passage, c’est sur mon chemin. Ne tarde pas, il est hors de question que je sois en retard.
Interloquée, Allie se demanda ce qui l’attendait.
Elle se releva et regagna sa chambre. La première chose qu’elle remarqua en entrant fut la disparition de son lit. Où allait-elle dormir ? Son estomac se contracta. Nicole n’allait quand même pas la faire dormir par terre tout le temps ? Non, quand même pas. Allie aurait voulu lui dire que ça n’était pas possible, pas ça, qu’elle avait besoin d’un lit pour dormir.
Elle aperçut quelques habits en haut de son armoire et s’avança. Ses idées tournaient dans sa tête à une vitesse folle. Il y avait un short en coton gris, un sweat-shirt de la même couleur, un tee-shirt découpé qui paraissait ridiculement court, et un petit maillot une pièce que certaines femmes portaient par-dessus leur collants en lycra pour accentuer la finesse de leur formes. Sauf qu’il n’y avait pas de collants.
Allie hésita. Elle était sur le point d’aller dire à Nicole qu’elle ne pouvait pas s’habiller comme ça, mais elle réfléchit et se dit que Nicole saurait forcément la convaincre. Quoi qu’il en soit, elle ne porterait que le short et le sweat-shirt, comme ça, personne ne pourrait la voir dans ces vêtements si indécents. Ils ressemblaient plus à des sous-vêtements qu’à autre chose.
Elle enfila d’abord le tee-shirt, puis le maillot une pièce. Le tee-shirt s’arrêtait juste en dessous de ses seins, dévoilant le bas de son petit soutien-gorge, si elle levait les bras, tout le monde le verrait.
Le maillot était encore pire, Il était si étroit qu’on pouvait facilement se rendre compte qu’elle était épilée. Le bas de la partie échancrée formait un "V" qui descendait presque jusqu’au bas de son pubis, si bien que si elle n’avait pas été épilée, TOUS ses poils auraient été exposés. Le morceau de tissu qui recouvrait son sexe ne voilait qu’à peine son intimité, il en épousait si étroitement la forme qu’il soulignait indécemment la forme de ses lèvres sexuelles. Les bretelles du maillot une pièce qui couraient sur ses épaules étaient tellement fines qu’elles exposaient encore plus ses petits seins. Elles étaient tellement tendues qu’elles plaquaient étroitement l’empiècement du tissu contre les replis de son sexe. Allie avoir besoin de temps pour se sentir à l’aise. Dans son dos, les bretelles se réunissaient en une fine lanière de tissu qui descendait verticalement jusqu’à ses fesses entre lesquelles elle cheminait en appuyant fermement sur sa raie.
Heureusement qu’il y avait les autres vêtements, ainsi personne ne pourrait la voir dans cette tenue indécente au possible. Ça aurait été pire que d’être nue, elle aurait ressemblé à une star du porno…
Elle enfila rapidement le short et le sweat-shirt.
Allie sursauta : Nicole se tenait dans l’ouverture de la porte.
— Désolée, je me demande si je n’ai pas oublié ma tenue de sport ici. Ah ! La voici. Mais tu t’es trompée, petite chienne, ces vêtements sont les miens. Donne ! Je les mettrai plus tard.
Elle tendit la main avec un petit geste d’impatience. Allie était abasourdie. Elle ne pouvait pas sortir dans cette tenue. Elle s’apprêtait à protester lorsque Nicole agita légèrement sa main, lui faisant comprendre que ça n’était pas le moment de réclamer. Toutes ses velléités de protestation s’envolèrent. Elle quitta le sweat-shirt et le tendit à sa Maîtresse, avant de s’enhardir et demander :
— S’il vous plaît Maîtresse, est-ce que je peux garder le short ?
Nicole regarda sa petite soumise avec consternation.
— Ma pauvre fille, j’ai bien peur que non. Ça serait inapproprié de t’autoriser à le porter. Elle tendit à nouveau la main. — Le short, tout de suite !
Allie quitta le vêtement protecteur, révélant son corps plus que nu à sa Maîtresse.
Nicole jubilait. Son plan se déroulait à la perfection, elle savait qu’Allie n’aurait jamais accepté de s’habiller ainsi, mais maintenant, elle était parfaitement préparée pour une nouvelle journée de sévices. Elle en avait fait son jouet, sa poupée docile, habillée comme une vulgaire prostituée et elle aurait bien aimé la violer sur le champ.
— Ok, en route. Dit la jeune femme en posant le short et le sweat-shirt sur le bar de la cuisine.
— Maîtresse ? Demanda Allie d’une toute petite voix.
— Oui petite chienne ? Répondit Nicole avec ennui.
— Est-ce que je dois vraiment y aller dans cette tenue ?
— Allons, petite chienne, ne sois pas idiote, c’est le top de la mode "aérobic". Vêtue comme ça, tu ne dépareilleras pas avec les autres filles du club.
Nicole savait pourtant bien qu’elle allait pourtant "faire tache" au milieu des autres filles.
— Maîtresse ? Demanda Allie d’une voix encore plus inaudible.
— Oui ! Quoi encore ? Répondit la brune d’un ton exaspéré.
— Il faut que j’aille aux toilettes.
— Il fallait y penser plus tôt. Nous devons partir immédiatement. Tu ne voudrais pas me faire arriver en retard au travail ? si ?
Et Nicole attrapa la main d’Allie et emmena sa petite salope lesbienne vers le garage.
Elles montèrent dans la BMW et se mirent en route pour le club de gymnastique.
— Tu es si sexy, tu me donnes envie de jouir rien qu’en te regardant, je parie que même les femmes hétéros du club vont fantasmer sur toi.
Allie se fit toute petite dans son siège, elle souhaitait de tout son cœur trouver un endroit dans le club où elle pourrait se cacher et attendre. Elle se sentait complètement nue et le cuir du fauteuil était froid sous ses cuisses nues.
Rapidement, avant même qu’Allie le réalise, elles arrivèrent. Nicole se gara, et fit le tour de la voiture pour ouvrir la porte à L’adolescente. Celle ci était au bord des larmes, ses petits seins étaient à moitié dénudés et son sexe et ses fesses nues à peine voilés par le maillot étroit. Nicole claqua les fesses d’Allie et referma la porte.
Elles traversèrent le parking et se dirigèrent vers l’entrée du club, Nicole, très élégante dan son tailleur et Allie à moitié nue. Elles croisèrent, un groupe de trois femmes qui dévisagèrent l’adolescente et la montrèrent du doigt. En passant, elle entendit leurs paroles :
— … À moitié nue… Quelle salope… Je parie que c’est une putain…
Puis elles furent hors de portée et Allie fit son possible pour ignorer tous les regards dédaigneux qui s’attardaient sur elle en essayant de se concentrer sur le dos de Nicole. À son grand désarroi, elles passèrent à côté d’une autre fille, qui tourna la tête pour observer le derrière indécent de l’adolescente avec un regard effaré. Allie sentit son regard comme s’il la brûlait.
Enfin, elles arrivèrent à la porte principale, Nicole l’y précéda. Il y avait plusieurs femmes dans l’entrée et un comptoir d’accueil derrière lequel une jolie blonde officiait. Elles s’approchèrent de la réceptionniste, les femmes dans l’entrée eurent un regard méprisant en découvrant l’adolescente outrageusement vêtue. Allie tenta de se placer à la droite de Nicole, tout près d’elle, de sorte à ce que la brune soit devant elle et que ses fesses soient contre le comptoir pour préserver autant que possible sa pudeur. Nicole passa son bras autour de la taille de l’adolescente.
Le comportement de la jeune fille donnait l’impression de vouloir rester contre son amie, comme une petite fille ou sa petite copine. Nicole laissa discrètement sa main s’égarer sur ses fesses. Cependant, le mouvement n’échappa pas à la réceptionniste.
— Bonjour, Josie.
— Bonjour Nicole.
Nicole connaissait bien Josie et surtout ses penchants lesbiens incorrigibles. Elle savait qu’elle adorerait voir une paire de fesses aussi bien faites que celles d’Allie. Aussi, pendant que l’adolescente faisait son possible pour masquer sa nudité à la vue des autres femmes, Nicole glissa sa main à l’intérieur du maillot et le tira sur le côté.
L’adolescente poussa un gémissement lorsqu’elle sentit sa Maîtresse jouer avec son minuscule maillot.
Josie se pencha sur son comptoir et passa sa langue sur ses lèvres.
— Belle journée, en effet.
Allie n’osait pas se dégager, elle ne voulait pas montrer à l’assemblée entière à quel point sa tenue était scandaleuse. Nicole en profita pour faire glisser complètement le maigre rempart du maillot sur le côté afin que Josie ait une vue imprenable sur les fesses de l’adolescente.
— Maîtresse, s’il vous plaît. Murmura Allie dans un souffle.
— Silence ! petite chienne, ce n’est qu’un jeu.
Et elle relâcha le tissu, le faisant claquer sur les fesses de l’adolescente. Allie le remit en place sur ses fesses, essayant de recouvrer un minimum de décence.
— J’ai inscrit cette jeune fille au cours d’aérobic de ce matin à 9h00. Dit Nicole en guise d’explication à la jolie réceptionniste.
— Il vient juste de commencer, il va falloir qu’elle se dépêche de le rejoindre. Répondit Josie, un peu déçue que le petit jeu de Nicole soit terminé.
— Peux-tu te charger d’elle ? Je suis pressée.
— Bien sûr Nicole. La jeune fille se leva de derrière son bureau et en fit le tour. Elle portait un pantalon élastique bleu marine et un petit débardeur blanc.
— Profite bien de ta séance, petite chienne. Dit Nicole.
Elle se pencha sur l’adolescente et lui planta un baiser passionné sur les lèvres.
— On se retrouve à la maison ce soir.
Et elle s’extirpa des bras de l’adolescente hébétée, lui planta une grande claque sonore sur les fesses et s’en alla.
En la regardant partir, Allie pensa qu’elle n’avait plus de moyen de locomotion. Comment allait-elle pouvoir rentrer à la maison ?
— Amène-toi pétasse. Dit Josie à la jeune fille qui regardait l’entrée, la bouche ouverte.
Elle se retrouvait seule, habillée comme une putain, dans un club de remise en forme, sans aucun moyen pour rentrer chez elle.
Josie posa sa main sur les fesses de l’adolescente et la poussa vers le couloir qui se trouvait sur la gauche de son bureau.
— Allez p’tite pouffe, le cours à déjà débuté.
Allie était abasourdie par les libertés que s’autorisait la jeune femme. Elle commença à s’avancer dans le couloir, la main de la réceptionniste appuyant toujours sur ses fesses.
Elles approchaient de la salle de cours lorsqu’elle réalisa que son envie d’uriner était plus intenable que jamais.
— Maîtresse, où se trouvent les toilettes ?
Au même instant, elle réalisa qu’elle avait employé le mot "Maîtresse". Une chape de honte s’abattit sur ses épaules, la jeune femme n’avait que quelques années de plus qu’elle.
— Comment m’as-tu appelée ? Demanda Josie.
Allie ignora la question, espérant qu’elle allait oublier l’incident, mais Josie l’attrapa par la lanière dorsale de son maillot et la stoppa en tirant si fort sur le tissu qu’il se détendit sur près de trente centimètres.
Un torrent de désir enfla dans les veines de Josie. Cette adolescente venait de l’appeler "Maîtresse". Pourquoi donc ? Est-ce que c’était ainsi qu’elle s’adressait à Nicole ? Si c’était une soumise, elle devait en savoir plus.
— Je t’ai posé une question. Comment m’as-tu appelée ? Demanda-t-elle en attirant l’adolescente plus près d’elle.
— Rien ! Répondit Allie d’une petite voix.
Josie s’approcha un peu plus près de la jeune fille.
— Je pense que si. Elle chuchota dans l’oreille de l’adolescente. — Je pense que je t’ai entendue m’appeler "Maîtresse", n’est-ce pas ?
Josie jeta un coup d’œil autour d’elle et vers l’entrée. Elles étaient seules. Elle glissa une main sous le petit tee-shirt et attrapa un des petit seins d’Allie.
— N’est-ce pas ?
Allie ne savait que faire, elle essaya d’échapper à l’emprise de la jeune femme, mais elle manquait de force et l’autre la retenait fermement par la taille et le sein.
— Tu m’as bien appelée "Maîtresse". Josie tordit le téton de l’adolescente. — N’est-ce pas ?
Les yeux de l’adolescente se remplirent de larmes. Comment en était-elle arrivé là ? Honteusement, elle baissa la tête.
— Oui Maîtresse…
— Je préfère ça. J’aime bien, tu peux continuer à m’appeler comme ça.
Elle fit glisser sa main le long du ventre d’Allie, jusqu’à la limite de son pubis.
— J’adore les petites chattes toutes lisses.
Elle imprima un mouvement de bas en haut à sa main à l’endroit où auraient dû se trouver les poils.
— Quelle salope tu fais à t’exhiber en publique dans cette tenue. Tout le monde va se rendre compte que tu es épilée.
Allie eut envie de se glisser sous terre tant elle avait honte d’avoir été découverte avec autant de facilité par la jolie réceptionniste. Elle voulait rentrer à la maison et il FALLAIT qu’elle aille aux toilettes, elle ne voulait pas être une salope, et encore moins une lesbienne salope.
Josie fit passer deux doigts entre le maillot et la peau veloutée de l’adolescente et les fit glisser sur le sexe à peine voilé par le tissu échancré.
— J’ai envie de te faire l’amour ici, tout de suite. Chuchota-t-elle dans l’oreille de l’adolescente humiliée. — J’ai envie de ta langue dans mon sexe.
Allie se mit à haleter lorsque les doigts commencèrent à jouer avec son clitoris. Sans ôter les doigts de son sexe, Josie poussa l’adolescente contre la porte d’une réserve. Elle ouvrit la porte et la poussa sans ménagement dans le petit local, la faisant tomber par terre. Puis elle pénétra dans la petite pièce sombre à son tour, et ferma la porte derrière elle.
La chute sur le sol dur de la petite réserve, envoya une décharge électrique dans le godemiché que l’adolescente portait dans son anus. Avant même qu’elle s’en rende compte, sa vessie se relâcha.
— Non, s’il vous plaît, non. Plaida-t-elle en sanglotant presque tout en urinant à travers le maillot d’aérobic. Elle avait une envie si pressante que, finalement, son abandon lui procura un soulagement intense, à tel point qu’elle ne chercha plus à se retenir. Au moins il faisait suffisamment sombre pour masquer un peu sa honte. C’était tellement agréable de ne plus lutter.
L’urine s’écoulait si fort qu’elle passait à travers son maillot comme s’il avait été troué, formant une petite fontaine avant de s’accumuler dans une petite flaque autour de ses fesses. Au moins elle trouvait un avantage à ce vêtement qui était si léger qu’il y avait peu de tissu pour absorber son urine.
C’est à ce moment que la lumière s’alluma.
— J’ai envie de voir cette jolie petite lesbienne salope pendant qu’elle va me manger la chatte. Dit Josie
Elle se retourna et s’aperçut qu’Allie était entrain d’uriner. La miction traversait sa tenue d’aérobic pour former une flaque odorante sous ses fesses.
— Oh mon dieu, c’est pas vrai ! Mais tu es une vraie salope. Tu te pisses dessus !
Au comble de l’humiliation, Allie ferma les yeux, elle entendit quelques froissements de vêtements frénétiques et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les mains de Josie attrapèrent fermement sa nuque et sa bouche fut une nouvelle fois en contact avec un sexe de femme. Elle se mit à lécher et à sucer la vulve de la jolie blonde, remarquant qu’elle aussi était épilée. Elle aima la sensation douce des lèvres sexuelles lorsqu’elle commença à sucer, essayant d’oublier sa situation scandaleuse. Sa vessie continuait à se vider au fur et à mesure qu’elle procurait du plaisir à la jeune femme.
— Bon dieu, quelle espèce de salope tu fais, sucer une chatte en pissant dans ta culotte. Putain, j’en jouis déjà !
Josie criait presque lorsqu’elle se mit à jouir sur le visage de l’adolescente.
— Hmmm, quelle pute ! Elle écrasa le visage de la jeune fille. — Quelle salope… Hmmm…
Elle attrapa à pleines mains des mèches des cheveux d’Allie. Celle-ci continuait à uriner, le liquide chaud et jaune s’amassait entre ses jambes et autour de ses fesses. Elle baignait dans une petite marre de pisse qui s’agrandissait au fur et à mesure. Josie se mit à trembler et resserra fortement ses cuisses autour de la tête de l’adolescente. Elle s’agrippa à une étagère afin de se maintenir en équilibre tandis qu’elle laissait sa jouissance la submerger.
— Waow, je n’ai jamais joui si rapidement. Elle frotta son sexe contre le visage de l’adolescente, le corps parcouru de spasmes. Allie était contente d’avoir le visage masqué par l’entrecuisse de la réceptionniste, elle n’aurait voulu pour rien au monde qu’on la voie dans cette position humiliante. Son jet d’urine commença à se tarir. La fontaine jaillissant de sa culotte diminua jusqu’à devenir une petite gerbe ralentie par le tissu et finit par devenir si faible qu’elle n’arrivait plus à traverser La miction trouva un nouveau chemin et dégoulina entre ses fesses à l’intérieur de sa tenue, rejoignant la flaque sous elle. Enfin, Josie se calma et relâcha la tête de l’adolescente.
Elle fit un pas en arrière et dévisagea la jeune fille. Rouge de honte, Allie avait baissé la tête, échevelée, ses cheveux étaient éparpillés autour de son visage. Le petit tee-shirt ne couvrait presque plus ses seins et le maillot ne couvrait plus rien du tout. Elle baignait dans son urine.
— Quelle putain ! regarde-toi petite salope ! Regarde ! Elle tendit la main et lui releva le menton. — Tu nages dans ta propre pisse !
Allie baissa les yeux entre ses cuisses, son maillot était trempé, le liquide avait imbibé le tissu en progressant vers les bretelles sur dix ou quinze centimètres et certainement plus dans son dos, vu la position qu’elle occupait. La marre d’urine s’était étendue autour d’elle, mais elle se sentait si bien d’avoir soulagé sa vessie qu’elle n’y faisait presque plus attention.
Josie enchaîna : — Tu ferais mieux de nettoyer ça, je ne voudrais pas avoir besoin de te dénoncer.
Elle se rhabilla prestement et se tint debout dominant l’adolescente anéantie de toute sa hauteur.
— Allez, salope, il y a une serpillière et un seau derrière toi, dépêche-toi, il faut encore que je t’accompagne à ton cours.
Allie était complètement effondrée, elle ne pouvait plus aller à son cours maintenant, pas après avoir uriné dans sa tenue, ça n’était pas possible.
Elle se redressa lentement, la miction trempait ses fesses et sa position la faisait goutter le long de ses jambes en petits filets qui coulaient à l’intérieur de ses cuisses, le long de ses mollets, jusqu’à imprégner et souiller ses chaussettes en coton blanc de traces jaunes. Elle regarda autour d’elle à la recherche d’une serviette ou quelque chose d’équivalent, mais le local ne contenait qu’un balai avec une serpillière et un seau. Josie se tenait devant elle, entièrement rhabillée, les mains sur les hanches :
— Magne-toi un peu, salope, sinon tu vas être encore plus en retard !
Allie se saisit du balai, l’entoura avec la serpillière et frotta rapidement la flaque dans laquelle elle se tenait quelques instants auparavant. Elle essora la serpillière dans le seau et renouvela l’opération plusieurs fois.
Lorsque les deux jeunes filles quittèrent la protection de la petite réserve et se retrouvèrent dans le couloir, Josie dut pousser l’adolescente pour la faire avancer.
— Ton cul est plein de pisse, quelle salope dégueulasse tu fais.
À cet instant, deux jeunes femmes athlétiques les croisèrent. Elles ricanèrent en les voyant sortir du petit réduit.
— Je l’ai trouvée là-dedans… Vous ne devinerez jamais ce qu’elle y faisait. Déclara Josie avec un petit sourire sadique.
Allie n’en revenait pas, mais que racontait-elle ? La réceptionniste était au moins autant responsable qu’elle de ce qui venait de se passer.
— Cette petite vicieuse était entrain de se masturber. Regardez donc sa tenue, elle est si humide qu’on dirait qu’elle s’est pissé dessus.
Elle eut un petit rire. — Quelle salope !
Les deux femmes musclées grimacèrent et dévisagèrent Allie avec dégoût, elles continuèrent leur chemin en la traitant de "salope" et de "putain" Allie en fut encore plus humiliée.
— Allez, viens vite, salope, il je te rappelle que ton cours est commencé.
Que racontait-elle, pensa Allie, il était impossible qu’elle se rende au cours d’aérobic dans cet état, les vêtements trempés par l’urine et avec toutes ces sécrétions que le sexe de la jolie réceptionniste lui avait répandu sur le visage.
Mais, Josie ne la laissa pas y penser d’avantage, elle attrapa l’adolescente échevelée par la main et la traîna derrière elle durant quasiment tout le couloir. Rapidement, elles arrivèrent à l’entrée de la salle dans laquelle se tenait le cours. Josie ne ralenti même pas et la fit pénétrer dans la salle avant qu’Allie ait pu se rebeller.