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Suite à quelques incompréhensions entre Tiger et moi, voici la version complète du chapitre 4 en deux parties :
Part 4a : Le salon de beauté
Le matin suivant, Allie se réveilla dans le lit de Nicole. Elle s’étira et s’assit.
Elle était nue.
Elle attrapa un drap et l’enroula autour d’elle en cherchant Nicole. Elle n’était pas dans la chambre. Elle se leva et se dirigea à pas feutrés vers le salon, toujours pas de Nicole.
— Nicole ? Appela-t-elle sans réponse.
Elle croisa son reflet dans un miroir et remarqua qu’elle portait un épais collier. Elle tenta de l’ôter et le drap tomba par terre. Bien, de toute façon, elle était seule dans la maison. Elle l’enleva et l’examina. C’était un collier de chien noir et moche. Elle commença à se remémorer les évènements de la dernière nuit et de la veille. "Oh non." Elle avait fait l’amour avec une autre femme. Pendant des heures, la nuit dernière, elle avait exécuté tous les ordres de Nicole. Elle avait sucé ses seins, son sexe et même "Oh mon dieu" son anus. Que lui arrivait-il. Elle s’assit sur le canapé, mais se redressa aussitôt comme si elle s’était brûlée, c’était là qu’elle avait sucé le sexe de sa Maîtresse pour la première fois.
Allie resta debout, elle avait, pour la première fois, employé dans sa tête, le mot "Maîtresse" en parlant de Nicole. Lentement elle se rassit sur le canapé et y resta quelques minutes en repensant aux dernières 24 heures. Elle avait changé, il n’y avait aucun doute là-dessus, mais restait convaincue qu’elle pouvait encore reprendre le contrôle des évènements. Elle n’aurait qu’à dire à Nicole qu’elles ne pouvaient plus avoir de rapports sexuels toutes les deux, et qu’elle aimait les garçons, pas les filles. De plus elle n’était absolument pas une salope et encore moins, de quelque façon que ce soit, la propriété de Nicole. Elle était indépendante et certainement pas une salope avec laquelle on pouvait s’amuser.
Allie venait juste de faire le point lorsque le téléphone sonna.
Elle décrocha le combiné. — Allo
— Bonjour petite chienne, as-tu passé une bonne nuit ? Demanda Nicole à l’autre bout de la ligne.
— Oui Maîtresse. Elle avait tenté de ne pas prononcer ce mot, mais il était sorti tout seul, si naturellement. À l’évidence, la conversation ne se déroulait pas comme elle aurait voulu.
— Bien. Tu semblais si paisible ce matin avec mon jus qui séchait sur ton visage que j’ai décidé de te laisser dormir pendant que j’allais travailler.
Allie ne répondit pas.
— Dis donc, petite salope, il va falloir que tu apprennes les bonnes manières. Tu pourrais me remercier. Dit Nicole d’une voix sévère.
— Merci Maîtresse. Zut, elle avait encore prononcé le mot.
Ok, c’est mieux. Je t’ai pris un rendez-vous chez l’esthéticienne à 12h30, sois ponctuelle s’il te plaît. La patronne est une de mes amies. Ne t’inquiète pas pour le règlement, c’est déjà payé.
Son salon est à deux pas, au coin de la rue.
— Merci Maîtresse. Elle n’attendit pas de se faire réprimander une deuxième fois.
— Pour changer de sujet : Je sais que tu n’es qu’une petite fille vicieuse, alors je vais t’autoriser à te masturber ce matin mais attention : UNE SEULE FOIS. J’ai laissé les magazines que tu as achetés hier sur mon bureau. Tu peux t’en servir pour te stimuler.
Allie aurait bien voulu lui dire qu’elle se trompait, qu’elle n’avait pas envie de se masturber mais Nicole continua à parler.
— En échange, comme je ne peux pas assister à la scène, je veux que, ce soir, tu me dises quelles sont les photos qui t’ont le plus plu et quelles sont les filles que tu trouves les plus excitantes.
L’adolescente voulait protester, dire qu’il n’était pas question qu’elle se masturbe et encore moins en regardant des photos de femmes nues, qu’elle n’était pas une lesbienne. Mais Nicole ne lui en laissa pas le temps.
— Je t’aime petite chienne, j’ai passé une nuit fantastique avec toi et je n’en peux plus d’attendre d’être de nouveau nue avec toi.
Allie fut touchée par les paroles de sa tutrice, peut-être que Nicole lui avait fait une farce hier au soir, peut-être que les choses rentreraient dans l’ordre à partir de maintenant.
— Moi aussi, Maîtresse.
— Une dernière chose : Je me suis débarrassée de tous tes vieux vêtements. Ils étaient complètement usés et miteux. Je ne veux pas que ma petite salope préférée porte ce genre d’habits.
Allie en fut toute déconfite, il allait falloir qu’elle porte l’une des robes provocantes pour aller à l’institut de beauté
— Merci Maîtresse. Le mot lui avait encore échappé, il allait falloir qu’elle se reprenne en main. Ok, ce soir, elle dirait à Nicole que tout cela avait suffisamment duré, qu’elle n’était pas une salope et encore moins une lesbienne.
— Nous parlerons de tout ça ce soir petite vicieuse. Et elle raccrocha.
Allie resta sans faire un geste, nue, dans la cuisine, avec le combiné à la main avant de raccrocher et retourner jusqu’à son lit. Elle s’y assit comme dans un rêve. Devant ses yeux, sur le bureau de Nicole, se trouvaient les quatre magazines porno. Elle saisit le Penthouse sans y penser et, presque sans s’en rendre compte, commença à le feuilleter. C’était tellement absurde de s’imaginer qu’elle allait se masturber devant un magazine porno. C’était la première fois qu’elle en ouvrait un et elle se demandait ce qu’il y avait à l’intérieur qui pouvait tant fasciner les garçons et les hommes. Évidemment, les filles comme elle ne pourraient jamais s’intéresser à de telles photos.
La première photo, en noir et blanc, montrait une jeune fille qui ôtait ses vêtements et exhibait son sexe écartelé entre ses doigts. Elle l’ouvrait tant qu’Allie pouvait voir l’entrée de son vagin. Ce fut une surprise, elle ne s’était jamais imaginé que les poses puissent être aussi osées. Quelques pages plus loin, la page centrale présentait une femme splendide, initialement habillée d’une chemise de nuit. Fascinée par sa beauté, Allie eut l’impression que son regard la fixait droit dans les yeux. Elle feuilleta encore. Au fur et à mesure des poses, la femme effectuait un strip-tease qui se termina lorsqu’elle ne portait plus que sa paire de grosses bottes. Elle exhibait fièrement son sexe face à l’objectif, ce qui fit saliver l’adolescente.
Sans avoir vraiment conscience de son excitation, elle laissa sa main se faufiler insidieusement entre ses cuisses, faisant coulisser son majeur entre ses lèvres. L’exhibition s’achevait sur une double page au centre de laquelle la femme s’offrait intégralement à ses admirateurs dans une magnifique pose, étendue sur le côté, offrant son sexe à deux mains, exhibant son intimité rose et humide.
Venait ensuite un couple de lesbiennes. La jeune fille prit une inspiration profonde, ces deux femmes faisaient l’amour. Hypnotisée, elle étudia attentivement chaque photo : Quand elles se déshabillaient mutuellement, quand elles s’embrassaient, comment elles se servaient de leurs bouches pour se donner mutuellement du plaisir.
Son Majeur se posta à l’entrée de son vagin, lui faisant émettre un petit halètement. Elle feuilleta la revue lentement, jusqu’à arriver à la dernière photo montrant les deux femmes en position tête-bêche, se léchant mutuellement le sexe. L’index de l’adolescente pénétra profondément sa vulve, lui procurant un orgasme, tandis que ses yeux n’arrivaient pas à se détacher du tableau obscène que formaient les deux femmes.
Après s’être calmée, l’adolescente rejeta brusquement le magazine, comme si il lui brûlait les doigts. Était-elle homosexuelle ? Elle venait de se masturber en lisant un Penthouse. Finalement, peut-être que Nicole avait raison et qu’elle n’était qu’une petite lesbienne salope en chaleur.
L’adolescente remua la tête de gauche à droite, à la fois pour recouvrer quelque peu ses esprits après l’orgasme et par refus de ce qui lui arrivait.
Elle prit une douche et alla s’habiller. Peu importe la robe qu’elle mettrait, elles étaient toutes aussi provocantes les unes que les autres. Elle choisit celle des motifs en formes de fleurs, au moins elle n’était pas rouge criard. Elle enfila d’abord la lingerie assortie, le string qui lui comprimait la fente si impudiquement, puis le soutien-gorge en dentelles qui recouvrait à peine ses tétons. Elle fit glisser la robe sur ses formes, avec le sentiment qu’elle ne cachait pas grand chose de ses charmes.
Elle se mit en route pour le salon.
En entrant dans l’institut de beauté, elle s’immobilisa devant l’accueil. La vendeuse était une jeune femme impeccablement vêtue d’un tailleur noir. Elle ne portait pas de blouse et lisait un Penthouse. Elle la regarda entrer à travers une paire de lunettes élégantes. Allie se surprit à regarder le décolleté de la jeune femme.
J’ai un rendez-vous au nom de Allie Smith.
La jeune femme se pencha pour consulter son registre, offrant à la jeune fille un aperçu de la courbe agréable de ses seins. Elle releva la tête en niant :
— Non non, je n’ai rien à ce nom-là. Peut-être sous un autre nom ?
Son regard exprimait la désapprobation.
— Bien, alors j’imagine que ça doit être au nom de Nicole Johnson.
La vendeuse baissa à nouveau les yeux sur son registre, son geste fit s’écarter les pans de sa veste, ce qui permit à l’adolescente de voir un peu mieux ses seins, comme si elle faisait exprès de la taquiner.
— Êtes-vous la petite chienne de Maîtresse Nicole ?
— Oui ! Répondit Allie avant de se mordre les lèvres.
— Hmmm, je vois. Derrière un sourire moqueur, les yeux de la jeune femme étincelaient d’un air différent. Elle fixa l’adolescente avec un regard presque coléreux, la dévisageant de la tête aux pieds.
— Non ! Attendez ! J… Je v… Je veux dire que… Bégaya Allie.
Mais la jeune femme l’interrompit en agitant sa main dédaigneusement.
— Pas besoin de te justifier, nous avons l’habitude de nous occuper des filles dans ton genre. En fait, c’est même notre spécialité.
Elle la fixa et eut un sourire arrogant.
— Assied-toi là, salope.
Elle tendit le doigt vers une rangée de chaises alignées contre le mur.
— Jackie ne va s’occuper de toi.
Se désintéressant de l’adolescente déconfite, elle se replongea dans la lecture de son magazine.
— Je ne suis pas une salope. Répondit Allie en restant plantée devant la jeune femme.
— Pas une salope ? Ricana la jeune femme. — En tout cas, tu t’habilles comme une salope. Tous les hommes que tu as croisé en venant devaient avoir envie de se jeter sur toi et t’arracher tes vêtements pour te baiser comme une chienne. En tout cas, moi, c’est l’envie que tu me donnes. Maintenant va t’asseoir si tu ne veux pas que j’appelle quelqu’un pour t’y aider.
Résignée, Allie s’assit sur la chaise. Le contact du plastique froid contre ses fesses nues la fit frissonner. La jupe ne couvrait pas grand-chose.
Au même moment, une jolie femme, vêtue d’une robe superbe, entra. C’était une grande brune très élégante, suivie par une jeune fille blonde, vêtue d’un short en jean découpé très court et d’un haut de bikini qui recouvrait à peine ses seins minuscules.
— Petite Gouine ! Assieds-toi à côté de la pute.
La jeune fille s’empressa de s’asseoir à côté d’Allie.
— Je ne suis pas une pute. Plaida Allie
La femme s’immobilisa. La petite blonde regarda Allie avec effarement.
— Oh oh ! La vendeuse s’empara du combiné téléphonique et déclara en ricanant :
— Les filles ! ça vous dit un petit spectacle ? Maîtresse Jyte est sur le point de donner une leçon à une petite salope arrogante.
Maîtresse Jytte se retourna lentement et fixa la Allie.
— Tu as dit quelque chose petite pute ?
Allie regarda autour d’elle nerveusement, plusieurs femmes venant du fond du salon étaient entrées dans la pièce. Il y avait maintenant 5 jolies coiffeuses, quelques superbes clientes, plus la jeune fille à côté d’elle, la vendeuse et Maîtresse Jytte réunies dans la petite entrée. Allie n’en revenait pas.
— Je t’ai posé une question, petite pute. Dit la femme en insistant lourdement sur l’insulte. — Tu m’as dit quelque chose, espèce de petite traînée ?
Maîtresse Jytte s’approcha jusqu’à être contre l’adolescente, la dominant de sa hauteur. Les yeux d’Allie n’arrivaient pas à la hauteur de l’arrogante poitrine qui touchait presque son front en gonflant fièrement la robe.
— J’ai dit que je n’étais pas une pute. Répondit la jeune fille d’une toute petite voix. Elle avait baissé les yeux et, inconsciemment, son regard s’était posé sur ses jambes dont les pieds étaient chaussés d’une superbe paire de chaussure qui devait coûter, au bas mot, plus de 300 €.
— C’est bien ce que j’avais compris. Et qui t’a autorisée à m’adresser la parole ?
Elle tendit le bras et attrapa une pleine poignée des cheveux d’Allie, la forçant à lever la tête. Allie grimaça de douleur.
— Alors je t’écoute !
— Aaiiie, non Maîtresse.
La femme s’assit à côté de l’adolescente sans lâcher ses cheveux. D’un geste ferme, elle tira sans ménagement sur la tête de la jeune fille la forçant à se coucher en travers de ses genoux. Avant qu’Allie ait pu réagir, sa robe fut rabattue sur son dos, révélant ses fesses presque nues à la petite assemblée. Maîtresse Jytte lâcha la mèche de cheveux et attrapa les poignets de la jeune fille. Elle était beaucoup plus forte que l’adolescente et n’eut pas besoin de forcer beaucoup pour les tenir étroitement dans son dos à l’aide d’une seule main.
— Petite gouine, baisse la culotte de la pute, elle a besoin d’une bonne leçon pour apprendre à bien se tenir. La petite blonde court-vêtue se pencha, tira le string jusqu’aux chevilles de l’adolescente, qu’elle enserra nerveusement dans ses bras. Allie était maintenant "cul-nu" devant toutes ses femmes exposant sa petite chatte qui pointait entre ses jambes.
— Lâchez-moi s’il vous plaît. Je ne le ferai plus. Pleurnicha Allie avec une voix de toute petite fille.
— Je suis désolée ma fille, mais tu as parlé sans y être autorisée, ça mérite une fessée. Je pense que 15 claques devraient être suffisantes pour apprendre à une petite salope comme toi le respect de ses supérieures.
Et, elle claqua une première fois les fesses nues. Allie laissa échapper un cri.
— Silence, petite pute. Je ne veux pas que tu déranges les autres clientes. Ça serait impoli. Si tu cries encore une fois, je recommence à zéro.
Et elle claqua une nouvelle fois les fesses de la pauvre fille en disant calmement :
CLAC — Un…
Allie mordit ses lèvres pour bloquer les cris dans sa gorge. Elle sentit sa robe légère remonter sur son dos jusqu’à ce qu’elle soit coincée par ses poignets que Maîtresse Jytte maintenait dans son dos. La fessée se poursuivit.
CLAC — Deux… trois… quatre…
À Chaque claque que lui assenait Maîtresse Jytte, une empreinte rouge s’imprimait sur ses fesses.
Le petit groupe de femmes commença à compter à voix haute :
CLAC — Cinq… CLAC — Six…
Leur chœur augmentait à chaque coup, visiblement réjoui par la punition.
A sept, Maîtresse Jytte s’interrompit.
— Alors petite pute ! Comment t’appelles-tu ?
— Je suis une pute Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix en sanglotant d’humiliation.
— C’est exact, et les putes n’ont pas besoin de vêtements. N’est-ce pas petite pute ?
— Non Maîtresse.
— Ne bouge pas, petite pute.
Jytte relâcha les bras d’Allie qui resta sans bouger et lui ôta sa robe, défit son soutien-gorge et jeta le tout au sol. L’adolescente était étendue, nue, sur les genoux de la jeune femme. Elle pleurait, autant à cause de l’humiliation que de la douleur qu’elle éprouvait.
— Maintenant, je veux que ce soit toi qui compte jusqu’à la fin pour moi, petite pute.
CLAC — Huit ! Compta Allie en serrant les dents.
Les spectatrices scandèrent le décompte avec elle.
CLAC — Neuf !
— Bien petite pute, maintenant compte plus fort, comme ça ma petite gouine pourra t’entendre.
CLAC — Dix ! Allie comptait plus fort, maintenant.
— C’est mieux. Maintenant, petite pute, je veux que tu dises "Merci Maîtresse" après chaque claque.
— Oui Maîtresse.
Malgré sa position, Allie pouvait sentir son sexe devenir humide. Pourquoi mouillait-elle ? Etait-elle une salope de lesbienne en chaleur, comme disait Maîtresse Nicole ? Non, certainement pas.
CLAC Sa rêverie fut interrompue. — Onze ! Merci Maîtresse.
CLAC — Douze ! Merci Maîtresse
La fille appelée "Petite gouine" avait une vue imprenable sur la petite minette d’Allie : Ses lèvres humides étaient légèrement entrouvertes par l’émotion et tremblaient convulsivement à chaque claque. Elle passa sa langue sur ses lèvres et se pencha lentement sur l’entrecuisse de l’adolescente, comme si elle était incapable de résister à un sexe de femme. Maîtresse Jytte l’avait entraînée à sucer des chattes depuis sa plus tendre adolescence. Elle en adorait le goût, la sensation poisseuse qu’elle ressentait sur sa langue. Tout ce qui touchait aux vulves lui plaisait infiniment. Elle interrogea sa Maîtresse du regard :
— Maîtresse. Est-ce que Petite Gouine peut lécher la chatte de Petite Pute s’il vous plaît ?
— Hmmm… Petite Gouine, c’est demandé si gentiment… C’est d’accord. Petite Pute, écarte tes jambes, que Petite Gouine ait accès à ton sexe. Tu sais bien que tu en as envie, je peux sentir l’odeur de ton excitation d’ici.
Allie exécuta l’ordre de la Maîtresse, et écarta les jambes.
— Bien Petite Pute, allez vas-y Petite Gouine.
La petite blonde se pencha et plaça sa langue contre le sexe d’Allie. Celle-ci eut immédiatement un orgasme.
CLAC. Toute à son orgasme, Allie eut du mal à articuler.
— Trrrrreeeeiiizzze ! Merci Maîtresse.
Les femmes se déplacèrent derrière Allie, pour avoir une meilleure vue de la scène. Elles se mirent à encourager la petite blonde :
— Suce-la !
— Enfonce ta langue…
— Baise-la avec ta langue !
Petite Gouine commença à lécher le sexe d’Allie avec entrain. L’adolescente continua à jouir pendant que la langue de la fille entrait en elle comme une petite bite, s’enfonçant dans sa chatte.
CLAC
— Aiieee ! Quatorze ! Merci Maîtresse
Après un long et dur apprentissage, la jeune fille était devenue une experte des rapports lesbiens. Elle s’appliquait à maintenir l’adolescente au sommet de son plaisir. Allie était proche des convulsions lorsque le dernier coup tomba.
CLAC
— Quinze ! Merci Maîtresse.
Jytte poussa Allie sur le sol sans ménagements. Petite Gouine se retira à temps pour ne pas être entraînée dans sa chute. Jytte s’empara des vêtements d’Allie et les tendit à la vendeuse.
— Tu les-lui rendras lorsqu’elle s’en ira, je ne vois pas pour quelle raison elle en aurait besoin tant qu’elle est ici, tu ne crois pas ?
— Si M’dame. Répondit la jeune femme en souriant.
Allie resta étendue par terre, aux pieds des femmes qui s’affairaient en l’ignorant. Elles retournèrent toutes vers l’arrière du salon en riant et en parlant de la façon dont "cette salope avait eu ce qu’elle méritait". Deux femmes enjambèrent même l’adolescente prostrée par terre en s’en allant.
— J’ai pris un rendez-vous pour Petite Gouine. Elle doit recevoir le traitement "A+". N’hésitez pas à me signaler si elle est rétive. Il y a un bon moment qu’elle n’a pas été fouettée et j’ai l’impression qu’elle en profite pour prendre ses aises.
— Oui M’dame. Répondit la vendeuse, sachant que la petite blonde était piégée.
Il y aurait sûrement quelque chose à lui reprocher. Petite Gouine le savait aussi, bien entendu. Mais elle aimait être punie et ferait tout son possible pour recevoir une punition de sa Maîtresse. La simple idée d’une séance de fouet la faisait mouiller.
Maîtresse Jytte se retourna et regarda Allie qui était en train de ramper vers sa chaise pour s’asseoir, pressée de masquer autant que possible sa nudité aux autres femmes présentes dans la pièce.
— Qui est ta Maîtresse Petite Pute ? Il va falloir que je l’informe te l’impardonnable manque de respect dont tu as fait preuve aujourd’hui.
— Nicole Johnson Maîtresse.
Elle s’assit en couvrant ses seins d’une main et en tentant de masquer son entrejambes de l’autre.
Maîtresse Jytte se tourna vers la vendeuse:
— Peux tu appeler la Maîtresse de cette petite pute pour moi s’il te plaît.
— Tout de suite M’dame.
— Merci.
— Petite Gouine !
— Oui Maîtresse.
— Tu peux jouer avec Petite pute pendant que je discute avec sa Maîtresse.
La jeune femme se détourna d’elles et se mit à discuter avec la vendeuse, ignorant les deux jeunes filles assises dans l’entrée.
Petite Gouine enjamba immédiatement les cuisses nues d’Allie pour s’asseoir à califourchon face à elle. Elle se pencha en avant pour l’embrasser. Surprise, Allie ouvrit de grands yeux. La petite blonde se livrait à elle sans aucune pudeur à l’entrée du salon. Elle forçait ses lèvres à l’aide de sa langue inquisitrice, enroulant ses bras derrière le cou d’Allie.
— Mmmfff…
L’adolescente tenta d’émettre un refus, mais ses lèvres étaient déjà vaincues et la langue pénétrait triomphalement dans sa bouche. Elle ressentit le mouvement de balancier que la petite blonde effectuait d’avant en arrière sur ses cuisses, frottant sa petite chatte sur elle. D’une main, Petite Gouine entreprit de déboutonner son short. Puis elle se recula de quelques centimètres.
— S’il te plaît, Petite Pute, joue avec moi…
P.S. Un grand merci à JJ qui m’a réconforté dans mes errances de traducteur improvisé.
Part 4b : Le salon de beauté
Elle suréleva légèrement son bassin, attrapa la main de l’adolescente, et la guida à l’intérieur de son short. Allie était trop choquée pour l’en empêcher. Quand tout cela allait-il se terminer ? Jusqu’à présent, elle s’était toujours considérée comme une fille sage, mais maintenant… elle était nue… dans un salon de beauté… la main dans la culotte d’une autre fille, en train de toucher son sexe… qui était trempé.
Petite Gouine se mit à agiter la main d’Allie d’avant en arrière contre son intimité.
— S’il te plaît…
La plupart des femmes étaient reparties travailler. Seules restaient deux esthéticiennes, la vendeuse et Maîtresse Jytte. Toutes quatre regardaient les deux adolescentes se donner du plaisir.
— Regardez-moi ces deux petites cochonnes, ça les excite de s’exhiber comme ça devant tout le monde. Dit Jytte.
Allie l’entendit malgré son orgasme. Elle aurait été choquée si, au même moment, elle n’avait pas été submergée par la force du plaisir provoqué par les mouvements des hanches de sa partenaire contre son sexe.
Soudain, l’une des esthéticiennes s’approcha d’elles et attrapa la petite blonde par le bras pour l’écarter d’Allie.
— C’est l’heure de ta toilette, Petite Gouine.
Toute luisante des sécrétions de la jeune fille, la main d’Allie était ressortie du short. Sa compagne fut emmenée sans ménagement, gémissante de frustration. L’autre employée s’empara du bras d’Allie et la guida fermement à la suite de sa collègue. Et toi, Petite Pute, toi aussi c’est l’heure de ta toilette.
Les deux adolescentes furent entraînées à travers le salon. Elles franchirent la pièce principale dans laquelle plusieurs femmes se faisaient manucurer ou coiffer et se dirigèrent vers le fond de la boutique fermé par un rideau. Toutes les clientes regardèrent les deux jeunes filles, emmenées avec rudesse, les examinant comme si elles étaient des morceaux de viande. Allie rougit et baissa les yeux, tentant désespérément de masquer ses petits seins et son sexe à la vue de toutes ces femmes indiscrètes. Elle sentit leur regard sur ses fesses jusqu’à ce qu’elle soit dissimulée par le rideau.
Il y avait trois fauteuils dans la pièce. Mais ce n’étaient pas les mêmes que celles de la pièce qu’elles venaient de traverser. Il s’agissait de chaises gynécologiques avec des étriers et équipées de courroies fixées au-dessus de la tête. L’esthéticienne poussa sèchement Allie sur l’une d’entre elles, et avant qu’elle ait pu réagir, encore étourdie par son orgasme récent, Allie se retrouva arrimée aux étriers, les bras attachés par les courroies de cuir derrière sa tête. Elle se mit à se débattre.
— Arrête de bouger, Petite Pute, comment veux-tu que je puisse te raser si tu remues comme ça.
La femme lui sourit.
— Je m’appelle Jackie. C’est moi qui vais m’occuper de toi aujourd’hui. Tu devras venir me voir régulièrement tous les jours pour que je puisse maintenir ton sexe parfaitement rasé et tes trous suffisamment propres pour ta Maîtresse. Tu ne peux quand même pas lui offrir tes orifices sales… elle risquerait de se salir n’est-ce pas ?
Morte de trouille, Allie essaya de protester :
— Laissez-moi partir, s’il vous plaît, je veux m’en aller !
Rapidement, Jackie attrapa quelque chose derrière la chaise et le poussa dans la bouche de l’adolescente. C’était un bâillon constitué d’une balle en caoutchouc. Elle la lui enfonça dans la bouche avant de l’attacher derrière sa tête, lui emplissant entièrement la bouche et lui écartant les mâchoires douloureusement.
— Tu n’es pas autorisée à déranger les clientes, Petite Pute. Elle s’assura que le bâillon était bien attaché et alla se placer derrière l’adolescente.
Allie ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait. La jeune femme revint devant elle et plaça un grand seau sous la chaise avant de faire rouler à côté d’elle un long support en métal au bout duquel était suspendu un sac à lavement. Les yeux de l’adolescente s’agrandirent de terreur et elle se mit à remuer la tête de droite à gauche désespérément. Jackie l’ignora superbement et enfila une paire de gants en caoutchouc. Elle appuya sur un bouton et un moteur électrique contraint les jambes d’Allie à s’écarter. L’esthéticienne ne relâcha la pression que lorsque ses jambes furent presque en position de grand écart, étirant douloureusement les articulations de la jeune fille. Satisfaite, elle saisit un bocal de Vaseline et lubrifia consciencieusement ses doigts. Puis elle s’accroupit entre les jambes de sa victime et, sans avertissement, viola son anus de son majeur, le fit tourner sur lui-même quelques instants dans le rectum distendu de l’adolescente. Horrifiée, Allie gémit comme un animal pris au piège à la fois de surprise et d’humiliation mais aussi sous le plaisir de la pénétration.
Lorque jackie estima que l’adolescente était suffisamment lubrifiée, elle attrapa l’embout du tuyau. Allie l’entraperçut alors qu’il passait brièvement dans son champ de vision, mais avant qu’elle ait pu s’y préparer, l’extrémité s’appuya contre son sphincter, suivie d’une poussée ferme qui fit pénétrer l’embout dans son rectum. Jackie l’ajusta brièvement et ouvrit le robinet. Un liquide chaud gicla dans les entrailles d’Allie, remplissant ses intestins.
L’esthéticienne se redressa et contourna l’adolescente assise, exposée, jambes écartelées, poignets emprisonnés derrière sa tête, et l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre les fesses. Le liquide savonneux chaud coulait doucement dans son ventre. Ses yeux fermés etaient baignés de larmes.
— Pas besoin de pleurer, Petite Pute, tu vas recevoir ce traitement plusieurs fois par semaines à partir de maintenant.
Maîtresse Jytte entra dans la pièce et vint se pencher sur Allie. Elle posa sa main superbement manucurée sur sa joue.
Allie cligna des yeux avant de les ouvrir.
— J’ai parlé à ta Maîtresse, elle me semble être une femme tout à fait compétente. Nous allons déjeuner ensemble un peu plus tard dans la semaine.
Jytte fit cheminer sa main le long du corps de l’adolescente en s’attardant sur les mamelons, s’amusant distraitement avec eux.
— Elle approuve sans aucune réserve la punition que je t’ai donnée.
Elle fit descendre sa main plus bas.
— En ce qui te concerne…
Elle inséra un doigt dans le sexe d’Allie, pénétrant entièrement la jeune fille immobilisée dans ses liens. L’adolescente se cambra sous l’effet de la surprise et du plaisir alors qu’un orgasme explosait en elle.
— Petite Pute est un nom qui te va aussi bien qu’un autre.
Elle fit aller et venir son doigt plusieurs fois, avant de le retirer avec un sourire qui fit à nouveau sangloter la jeune fille d’humiliation. Elle ferma les yeux en signe de capitulation. Pourquoi Nicole lui faisait-elle subir ça ? Elle ne voulait pas être une salope. Elle voulait être une adolescente normale, simplement, comme les autres filles de son âge.
Maîtresse Jytte s’approcha de sa petite soumise qui était assise à côté d’Allie et recevait le même traitement.
— Brave fille
Dit-elle et elle tapota le sexe de la jeune fille.
— Si tu es sage, je te baiserai dans le cul cette nuit. Et puis, de toute façon, je te baiserai dans le cul même si tu n’es pas sage, sauf qu’auparavant, je te fouetterai.
Et elle quitta la pièce.
Allie dû garder la position pendant près de 5 minutes, Jackie s’affairait derrière elle et elle ne pouvait pas entendre ce qu’elle faisait. Finalement, l’esthéticienne revint et pressa un autre bouton sur la chaise, lui faisant reprendre une position plus proche de la verticale, ce qui éjecta l’embout du tuyau. L’adolescente grogna en relâchant ses intestins et expulsa l’odieux liquide savonneux mêlé à ses déjections nauséabondes. La jeune femme entreprit de laver l’entrecuisse souillé à l’aide d’une éponge. Puis elle empoigna l’anse du seau et s’éloigna. Allie l’entendit vider la mixture odoriférante et tirer la chasse.
Elle revint et replaça le seau au même endroit qu’auparavant.
— Encore deux lavements et nous pourrons nous occuper de ta petite chatte.
Elle accrocha un nouveau sac transparent sur le support et, souriant à l’adolescente, fit pénétrer un nouvel embout dans son anus. Elle ouvrit le robinet et Allie sentit une nouvelle fois le liquide se ruer dans son ventre. Elle gémit encore en entendant Petite Gouine expulser bruyamment son propre lavement dans son seau.
Jackie l’abandonna un moment. L’autre esthéticienne parlait à Petite Gouine :
— C’est bien ma fille, regarde comme ton anus se crispe, est-ce que tu aimes les lavements ?
— Oui M’dame. Répondit Petite Gouine.
L’esthéticienne vida le seau. La jeune fille était attachée de la même façon qu’elle. Elle observa attentivement l’introduction d’un autre tuyau entre les fesses de la petite blonde et la grimace qu’elle fit lorsqu’on ouvrit le robinet.
Allie sentait le liquide chaud ballotter dans ses intestins. Existait-il quelque chose de plus humiliant que ça ? Avoir son intimité nettoyée comme un animal. Elle referma les yeux, tentant d’oublier son infortune. Mais elle n’y arrivait pas. Ses bras commençaient à la faire souffrir, elle avait froid et elle se sentait exposée avec ses jambes écartelées comme elles l’étaient. L’embout du tuyau enfoncé dans son fondement, l’empêchait d’oublier son avilissement. Elle se sentait à peine plus qu’un morceau de viande, une salope préparée pour sa Maîtresse. Comment tout cela avait-il pu s’enchaîner si rapidement. Il y a seulement deux jours, elle était une fille normale et maintenant elle était attachée et n’importe qui pouvait abuser de son corps.
Sans avertissement, Jackie retira l’embout, l’adolescente gémit lorsque ses intestins relâchèrent le liquide savonneux. La sensation la soulagea, lui procurant un plaisir incomparable. Elle en eut presque un orgasme. Cette fois, le liquide était moins souillé et sentait moins mauvais.
— Plus qu’un ! Annonça Jackie en nettoyant l’anus de l’adolescente et en s’emparant une nouvelle fois du seau.
Elle alla jusqu’aux toilettes et le vida. Allie entendait Petite Gouine haleter et gémir pendant que son esthéticienne libérait le lavement dans ses entrailles.
Jackie revint et poussa le troisième embout dans son rectum.
— A la demande de ta Maîtresse, celui-ci est rempli d’eau de roses, infusée au lys, Petite Pute. Elle souhaite que ton anus sente aussi bon que possible.
Elle ouvrit le robinet, lui remplissant le ventre une dernière fois.
— Jane, il faut que je m’absente pour aller téléphoner, est-ce que tu as besoin de quelque chose ?
— Non merci, Jackie. Est-ce qu’il y a quelque chose à faire à Petite Pute ?
— Non, pour l’instant elle n’a besoin de rien.
Jackie sortit de la pièce, abandonnant Allie avec l’embout enfoncé dans l’anus, les intestins remplis et les yeux fermés.
Une minute plus tard, la réceptionniste entra dans la pièce, accompagnée par trois jolies femmes. Elle faisait visiter les lieux.
— Et c’est ici que nous occupons de nos esclaves. Nous proposons un service complet, quels que soient vos désirs.
Les trois femmes visitèrent la pièce, étudiant attentivement Allie et Petite Gouine. Allie ferma les yeux et pria pour que les femmes s’en aillent. Elle ne voulait pas être vue dans une position aussi humiliante, attachée, exhibée, avec l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre ses fesses.
Une grande blonde vêtue d’un tailleur bleu marine se pencha vers l’entrejambe de l’adolescente et se tourna vers la réceptionniste :
— Puis-je ?
— Mais je vous en prie. Répondit celle-ci.
La blonde inséra son doigt entre les cuisses d’Allie qui ne put se retenir, elle avait été soumise à tant de stimulation aujourd’hui qu’elle était au bord de l’orgasme en permanence. Elle tenta de pousser sur le doigt de la femme.
— Celle là est une vraie salope. Je parie qu’elle suce les chattes comme une clocharde.
Elle continua à faire remuer son doigt entre les cuisses d’Allie.
— Comme vous pouvez le voir. Continua la réceptionniste, ignorant le comportement de la blonde. — Nous avons l’équipement pour : nettoyer, raser, tatouer, percer, épiler définitivement et, avec autorisation et dispense de responsabilité en bonne et due forme, nous pouvons même marquer votre esclave. Nous faisons notre possible pour être le lieu incontournable pour vos exigences les plus insolites. Pour des transformations plus exotiques, nous pouvons vous recommander les meilleurs spécialistes de la région, y compris les chirurgiens.
— Par ici Mesdames, je dois vous montrer notre service de remise en forme complète. C’est étudié pour satisfaire vos désirs les plus inavouables.
La blonde retira son doigt du sexe d’Allie, et les quatre femmes sortirent de la pièce. Les sanglots d’Allie étaient étouffés par son bâillon. Comment la réceptionniste l’avait-elle appelée ? Esclave ? Elle n’était pas une esclave, ni une lesbienne. Tout ce qu’elle désirait, c’était d’être une adolescente comme les autres.
Jackie revint, s’avança jusqu’à l’adolescente et ôta l’embout. Allie vida ses intestins une dernière fois.
— C’est bon pour le côté pile, maintenant, occupons nous du côté face.
Elle ne vida pas le seau tout de suite. Elle attrapa une poire à lavements, ôta le capuchon et l’introduisit rapidement dans le vagin d’Allie. La jeune fille poussa un cri aigu à travers son bâillon.
— Nous ne pouvons plus lambiner, il ne me reste qu’une demi-heure pour te raser avant que ma prochaine petite salope arrive.
Jackie pressa la poire dans le vagin offert. Le liquide purifiant fouetta les chairs intimes de l’adolescente, la menant une nouvelle fois au bord de l’orgasme. L’esthéticienne laissa le premier jet s’écouler dans le seau et fit gicler le reste dans le bas-ventre de l’adolescente.
— Voilà, maintenant nous sommes prêtes pour nous occuper de tout ce duvet disgracieux, j’adore les minettes toutes lisses. C’est ça le meilleur moment.
Elle se redressa, lança la poire dans l’évier et alla une dernière fois vider le seau dans les toilettes.
Elle plaça un tabouret entre les jambes écartelées de l’adolescente, et s’assit.
Le sexe d’Allie était à une hauteur parfaite pour le travail qu’elle s’apprêtait à exécuter, juste à hauteur d’œil. Jackie n’aurait eu qu’à se pencher un peu pour déguster la vulve offerte. Elle s’empara d’un rasoir électrique et le mit en marche avec un déclic métallique. Elle sourit à l’adolescente en commençant à éliminer le fin duvet. Il ne lui fallut que quelques minutes pour que le pubis de l’adolescente n’ait plus qu’une toute petite épaisseur de poils. Un dernier déclic et le rasoir s’éteignit.
Elle pressa un tube dans le creux de sa main, y versant un peu de gel de rasage, puis frotta ses mains l’une contre l’autre jusqu’à obtenir une mousse qu’elle étala sur le pubis de l’adolescente, l’enduisant entièrement. Allie se sentait frustrée. La jeune femme évitait les lèvres de son sexe et son clitoris. Elle badigeonna la petite portion de peau située entre l’anus et l’entrée du vagin, passant même sur le fin duvet qui pointait autour de la petite rosette fripée. L’adolescente serait complètement imberbe lorsqu’elle en aurait terminé.
Jackie leva les yeux sur le visage d’Allie et y détecta la frayeur qui l’habitait. L’adolescente ne pouvait pas croire ce qui lui arrivait. Elle était attachée étroitement sur une chaise gynécologique, les jambes forcées en position écartée. Elle avait été odieusement violée à l’endroit le plus secret de son intimité, et maintenant on était entrain de raser entièrement son entrecuisse. Comment tout cela avait-il pu se produire ?
— Ne t’inquiète pas. Dit Jackie. — Je rase des dizaines de sexes par mois, le tien est très mignon, mais comme ça, il paraîtra plus mouillé.
Elle ouvrit un petit sachet en plastique contenant un rasoir jetable tout neuf et commença à enlever le fin duvet persistant sur le mont de vénus de l’adolescente avec de petits mouvements rapides. Précautionneusement, elle progressa sur le pubis de l’adolescente, écartant les lèvres sexuelles au passage, les positionnant de façon à être sûre de ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Chaque mouvement qu’elle lui imposait envoyait l’adolescente sur les pentes de l’extase, au bord de la jouissance, la maintenant dans un état d’excitation maximum. De temps en temps, Jackie plongeait le rasoir dans le petit bol d’eau chaude pour rincer la mousse avant de reprendre son travail. Au grand désespoir de l’adolescente, elle annonça que son travail était arrivé à son terme.
La jeune femme s’empara d’un serviette chaude et humide et s’en servit pour essuyer l’entre jambe de l’adolescente. Les yeux d’Allie roulaient dans leurs orbites, elle était sur le point d’éprouver un orgasme dévastateur. Jackie se retira à temps pour l’empêcher de jouir. Elle se redressa et rangea son matériel, laissant l’adolescente frustrée gémir dans ses liens.
— Un moment Petite Pute, il faut que je mette le reçu en place.
Allie ne comprit pas ce qu’elle voulait dire mais lorsque la jeune femme réapparut dans son champ de vision, elle tenait à la main un godemiché anal d’une douzaine de centimètres sur la base duquel pendait une petite étiquette. Jackie consacra quelques instants à y écrire quelques mots.
— Voilà. Signée, scellée et livrée.
Elle plongea le bout du gadget dans une matière visqueuse et se pencha sur l’entrecuisse de l’adolescente. Elle ajusta l’embout contre l’anus, poussant doucement la tête de l’objet en plastique contre le rectum plissé de l’adolescente. Allie secoua la tête négativement tandis que l’esthéticienne approcha sa bouche de l’oreille de la jeune fille, tout en maintenant l’extrémité du godemiché à l’entrée du sphincter de l’adolescente.
— Maintenant, tu vas garder ça entre tes fesses jusqu’à ce que ta Maîtresse te l’enlève ce soir. Si jamais tu as une envie pressante…
Elle fit une pause et sourit cruellement de son commentaire
— Tu pourras l’ôter, mais après il faudra le remettre immédiatement en place entre tes fesses. Comprends-tu ?
Allie acquiesça de la tête en signe de défaite. Elle était si près de l’orgasme, maintenue dans un état d’excitation totale depuis ce qui lui semblait avoir duré toute une journée, qu’elle était prête à accepter tout ce qui pourrait lui permettre de jouir.
— Bien. Dit Jackie.
Et elle commença à enfoncer le godemiché dans les intestins de l’adolescente. Allie arqua son dos, submergée par l’extase que lui procura le viol de son anus. Les vagues d’un orgasme commencèrent à la parcourir. Jackie ne se contenta pas de la poussée qu’elle venait d’exercer sur le gadget. Elle se mit à faire aller et venir l’objet entre les fesses de l’adolescente, prenant plaisir à la violer analement. Enfin, elle l’enfonça entièrement dans les entrailles de la jeune fille. Elle serra les dents et immobilisa la paume de sa main contre la base du godemiché
— Ok, salope, tu es prête.
Elle libéra les chevilles de l’adolescente, ses poignets sans forces et la fit mettre debout. Allie s’effondra dans les bras de l’esthéticienne, incapable de tenir debout tant elle était épuisée. Jackie l’aida à se redresser.
— Allons allons, petite chienne, debout.
Elle défit le bâillon et l’ôta de la bouche de l’adolescente. Allie n’arrivait pas à refermer complètement sa bouche.
— Allez, en route. On se reverra la prochaine fois.
Elle claqua les fesses de l’adolescente et la poussa à travers le rideau vers l’entrée du salon.
Allie traversa devant les femmes qui se faisaient coiffer. Elle avait pleinement conscience de sa nudité, son sexe épilé, et le godemiché qui était enfoncé entre ses fesses. Elles la dévisagèrent avec dans les yeux une expression qui signifiait qu’elle n’était qu’une salope soumise qui méritait à peine qu’on lui permette de lécher leurs chaussures. La regardant avec dédain comme on regarde avec lequel on s’amuse. Allie était anéantie. Elle essaya de cacher ses petits seins fermes d’une main et son sexe fraîchement rasé de l’autre tandis qu’elle se pressait de traverser le salon pour revenir devant la réceptionniste.
Lorsqu’elle arriva dans l’entrée, celle-ci déclara :
— Ca y est ? Ok, ton prochain rendez-vous est pris pour vendredi prochain à 14 heures.
Elle tendit à l’adolescente un carton sur lequel la date était notée. Allie resta debout devant le bureau, abasourdie, nue, tandis que la réceptionniste se désintéressait d’elle et se replongeait dans la lecture de son magazine pornographique.
— Heuu… M’dame… Dit Allie d’une petite voix.
Elle était complètement soumise maintenant, après avoir été humiliée et dominée toute la journée.
La réceptionniste leva les yeux, contrariée.
— Qu’y a-t-il Petite Pute ?
— Heu… Maîtresse Jytte vous a donné mes vêtements. Je devais les récupérer à la fin de mon traitement non ?
Allie pouvait sentir l’air frais entrer en contact avec son sexe fraîchement épilé et la sensation que lui causait le gadget enfoncé profondément entre ses fesses avait quelque chose d’obsessionnel.
— Ah oui ! Tu les as perdus tout à l’heure, quand tu as été punie. Je n’avais pas remarqué. Tu es tellement salope que la nudité te va très bien.
Elle se pencha derrière son bureau et en sortit la robe et les chaussures mais pas de trace des sous-vêtements. Elle les tendit à l’adolescente et se désintéressa d’elle à nouveau.
— Heuu… Excusez-moi… il me manque ma petite culotte et mon soutien-gorge.
La réceptionniste vérifia derrière son bureau.
— Eh bien ils n’y sont pas. Ça n’est pas de ma faute si tu n’es pas capable de te souvenir de ce que tu fais de tes habits. Probablement parce que tu penses sans arrêt à sucer des chattes. Dit-elle avec un rire moqueur.
— J’aime bien que tu sois imberbe, ça va bien à une salope telle que toi.
Allie en pleura presque, mais comparé à ce qu’elle venait d’endurer, les propos humiliants de la jolie réceptionniste étaient presque insignifiants.
Elle enfila rapidement la robe légère, mit ses chaussures de pute et trotta vers l’extérieur du salon, essayant de ne pas exhiber ses fesses nues et son sexe à tout le monde. Elle se hâta de rentrer à la maison en pleurant. Comment en était-elle arrivé là ?