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Chapitre II Séverine et Marion
Emma songeait à ses 12 ans. Elle était alors une curieuse petite beauté blonde au regard transperçant, mince comme un jeune chat, le vice la rendait affolante et tout ceux qui la rencontraient étaient fascinés quelque soit leur âge ou leur sexe. Emma avait très peu quitté le manoir familial. Gouvernantes et préceptrices veillaient sur elle depuis sa naissance tandis que son père et sa mère, loin d’elle, menaient une vie dont elle entrevoyait de temps à autre le mouvement et le luxe. S’était une remarquable fillette tant par la grâce, la vivacité et l’intelligence. Au cours de sa petite enfance elle se construisit un monde intérieur sur mesure, fantasque, baroque qu’elle projeta très jeune dans la réalité déroutant ses proches. Son père disparut lorsqu’ elle avait huit ans. Sa mère s’éloigna encore plus d’elle. A la suite de cette perte Emma fut en proie à des cauchemars singuliers. Elle suppliait de passer la nuit dans les bras d’une femme, substitut de sa mère si peu présente. On la confia à une jeune fille compagne plutôt que servante. Curieuse de tout c’est ainsi qu’elle découvrit la vie à l’âge de 9 ans dans les bras de cette jeune bonne aussi jolie que vicieuse.
Séverine avait 3 Ans de plus que sa petite maitresse. S’était une adorable petite vicieuse brune de douze ans aux seins déjà lourds, que toutes les choses du sexe faisaient mouiller d’abondance. La chatte de sa petite maîtresse était l’objet de sa convoitise et le bain l’occasion de fugaces attouchements. Elle n’osait être trop explicite mais veillait à ce que sa main effleure très lentement l’intimité de la petite fille qui ne semblait pas y prêter attention. Si un bobo à soigner (piqûre d’insecte ou éraflure de la peau provoquée par une course dans les buissons du parc) se situait dans cette partie délectable située entre le nombril et les genoux elle déployait un zèle extrême à lentement dénuder toute la zone, écarter les maigres cuisses et d’un doigt irritant à force d’être doux provoquer chair de poule, frissons et soupirs chez la patiente ….
« Oh je vous fais mal Mlle Emma ? Oh excusez-moi. » Elle déposait un bisou dans le cou ou au coin des lèvres. Emma adorait ces instants. Mais c’est la nuit que toutes ces sensations étaient amplifiées. Emma lovée contre Séverine tenait entre ses cuisses les genoux de la petite servante. Elle s’endormait en se masturbant sans savoir que cette caresse semi consciente allait éveiller ses rêves semi cauchemardesques du cœur de la nuit.
Encerclée par des monstres dont elle ne voyait que les jambes de bouc, tant ils étaient immense, elle se sentait hissée doucement comme si elle voyageait dans les nuages et soudain elle chutait et embrochait son petit fondement sur un pieu tandis que les cris des monstres disaient leur immense satisfaction. Encore, encore hurlaient-ils !...Emma était comblée, partagée entre la sensation de terreur, la douleur et la chaleur qui soudain envahissaient son ventre. Séverine accompagnait le petit corps qui s’agitait sur ses genoux, insinuait sa cuisse plus loin et baisait les lèvres de la fillette. « Ce n’est rien ma chérie dort il faut dormir. »
Apaisée Emma dormait jusqu’à 9 heures. Séverine se branlait à ses côtés. Tout le jour Emma conservait le souvenir délicieux de ces monstres cruels qui l’empalaient nuit après nuit. Avec le temps elle poursuivait son rêve, éveillée, introduisant des détails plus nombreux. Presque à sa demande, les monstres lui infligeaient d’autres supplices, la fouettaient, la giflaient, accrochaient des pinces à sa petite chatte. Puis ce qu’elle faisait contre les genoux de Séverine elle le fit seule avec un ours en peluche, puis avec ses doigts.
Cependant les obsessions d’Emma évoluaient peu à peu de victime elle devenait chef de bande des démons. Elle imaginait qu’elle ordonnait à ces monstres de déchirer les chattes des jolies filles qui l’entouraient, jeunes soubrettes, bonnes, gouvernantes, préceptrices et bien sûr Séverine. Elle se touchait les yeux clos, tandis que des pieux durs et luisants comme l’acier perforaient les fentes des chattes soigneusement épilées dilatées les grandes et petites lèvres ouvertes sans pudeur, le clitoris turgescent gonflé comme une petite bite, le tout accompagné d’un concert de pleurs de cris et de plaintes de supplications d’une beauté inouïe. Les filles battaient des bras et des jambes, les hanches se contorsionnaient, les têtes et les chevelures déjetées naviguaient en tout sens dans l’air au-dessus d’elle. La fillette lentement ordonnait la montée de l’orgasme à la longue évocation des détails lubriques de cette bacchanale et ne jouissait que quand la putain perforée s’évanouissait et qu’un flot de liquide foutral qu’elle imaginait épais comme la crème la plus épaisse puissamment refoulé par les matrices s’écoulait le longs des cuisses grandes ouvertes et dégoutait sur le sol, teintées de sang et de mouille. Elle aimait faire cela dans les bras de Séverine à qui elle se gardait bien de confier ses fantasmes. Séverine quand à elle adorait assister à ces séances de branles enfantines si violentes déjà. Elle apportait son concours à sa petite maîtresse de mille adroites caresses ignorant qu’elle sort lui était réservé dans ces rêves ! Mais l’eu-t-elle su qu’elle en aurait sans doute beaucoup mouillé aussi, comme il s’avéra plus tard.
C’est à cette époque qu’elle fut témoin d’une scène qui détermina tout à fait ses goûts. Séverine était voleuse et fainéante. Mais c’est parce qu’elle fut surprise se masturbant dans un office, regardant des photos érotiques, que Madame Stein résolu de la punir vite et bien. Elle eut une explication avec la servante. « Je veux que vous assistiez à cela Emma. Que cela vous apprenne à ne jamais faire confiance au petit personnel de maison. Dire que je t’ai confié ma fille ! » Séverine à genoux devant sa maitresse implorait. Emma cru qu’elle allait se jeter entre sa mère qui brandissait une badine et sa chère complice de jeux si exquis ! Mais elle ne bougea pas ! À la vue des larmes de Séverine qui lançait vers elle un regard oblique désespéré, elle senti son ventre s’emplir de fourmillements d’une indicible puissance. Bien plus puissants que ceux qui la réveillaient la nuit.
« Mettez vous nue, Séverine, toute nue ! » et comme elle n’obéissait pas assez vite un coup de badine lui cingla les joues. Séverine se déshabilla précipitamment sous la menace. Placez vous grande ouverte allongée sur cette table, que je punisse ce nid de vice ! Approchez vous ma fille ! Est-ce que cette horrible fille n’a jamais tenté de vous embrasser, de toucher votre intimité ? Vous savez ce qu’il est interdit de faire avec ce dégouttant organe ! Oh oui mère ! Elle a essayé …Emma devenait rouge d’excitation. Son regard se perdait entre les jambes de Séverine dont le joli sexe minutieusement glabre reposait innocent. Oh mère chaque nuit elle voulait que je touche son, son… Séverine poussant un cri de désespoir et cria menteuse petite vipère menteuse ! Le premier coup de badine lui cingla si violemment la chatte que les grandes lèvres giflées s’égayèrent comme les pétales d’une fleur dans la tempête révélant une fente humide vieux rose. Madame Stein se déchaine de longues minutes sur cette chair sans défense qui pourtant ne cherche pas à se dérober à sa vindicte. Séverine qui n’était pas entravée faisait des bonds en tout sens. Les seins lourds aux bouts bruns le ventre les cuisses tout fut mis en sang. Mais c’est la chatte qui tout les deux coups recevait à nouveau une gratification. Allons sur le ventre à présent. Madame Stein serra sa fille contre elle, l’embrassa. Emma sentait un trop plein d’excitation la gagner les baisers de sa mère la rendirent folle. Leurs lèvres se rapprochèrent. Que c’est bon de la punir comme çà maman n’est ce pas. Oui mon amour c’est bon très bon. Elles partirent dans un profond baisé comme jamais Emma n’en avait partagé. Quant elles reprirent leur souffle Madame Stein murmura punis la toi aussi pour ce qu’elle t’a fait. Emma prit la badine et ne fouetta que le sexe de sa complice. Sa main libre s’était portée sous sa petite robe. Elle ne voyait pas le temps passé, ne sentait pas la fatigue dans son petit bras. Elle ressentit la montée de l’orgasme pour la première fois. Un orgasme d’enfant, sec mais énervant qui la fit tomber à genoux en balbutiant. Elle ne vit pas sa mère faire comme elle à ses côtés.
Maman Stein quitta de nouveau le manoir pour de longs mois. Lorsque Séverine fut rétablie Emma la réclama à tout prix. Elle reprit sa place dans le lit de la petite fille. Les deux perverses mouraient de désir l’une pour l’autre.
Après ce cruel épisode les deux anges se retrouvèrent liés par des liens indicibles. La belle trahie ne songeait nullement à se venger bien au contraire. Comme de nombreuses victimes elle fit cause commune avec la petite traitresse et toutes deux s’excitant par les caresses et les mots employaient leur temps à inventer des jeux pour faire frémir leurs petites chattes.
De voluptueuses années s’écoulèrent trop vite.
A 12 ans l’imagination d’Emma servie par ses adorables petits doigts l’avait si bien pervertie qu’elle en aurait remontré à bien des putains. Pourtant ses deux orifices à plaisir demeuraient vierges et la tentation de chercher un mâle ou de se faire engoder par Séverine l’avait parfois effleuré. Cependant en dominatrice elle jouissait assez bien en se branlant et se suffisait à elle-même. Séverine à 15 ans offrait beaucoup d’attraits beaucoup de possibilités sexuelles. Emma la traitait comme un animal de compagnie avec lequel on peut tout se permettre et qui vous rend les horions et les injures en coups de langues humides et tendres. Emma abusait de plus en plus de cette volupté. Elle martyrisait de plus en plus sa Séverine repoussant sans cesse les limites de l’acceptable et comme cette courge ne se plaignait jamais Emma se demandait jusqu’au il faudrait aller pour obtenir d’elle de touchantes poses implorantes, les supplications, des cris de reddition. Quand elle épilait sa chérie à la flamme d’une bougie comme on grille la peau d’un poulet ou quand elle pressait les seins entre les mâchoires d’un étau elle mouillait elle regrettait toujours de ne pas l’entendre gueuler assez pitié je vous en supplie…
Emma contemplait le corps de son amante souvent marqué des traces de ses excès. Elle se disait qu’à 15 ans une fille a presque atteint la perfection et comment la laisser devenir vieille après ? Les filles plus âgées sont excitantes et même les femmes mais il y a déjà quelque chose qui s’échappe. Emma ne permettrait pas à Séverine de s’échapper de l’enfance, Séverine ne devait pas grandir au-delà de ses 15 ans, s’était bien assez qu’Emma soit contrainte de le faire !
La maison Stein était assez vaste pour offrir des années durant de multiples surprises aux petites curieuses. Bien des pièces n’étaient jamais occupées, certaines n’avaient pas vu la lueur du jour depuis la guerre et d’autres soigneusement closes intriguaient les deux filles .Emma n’avait jamais quitté les 5 pièces du rez-de-chaussée ou se déroulait sa vie de petite fille gâtée. Séverine quant à elle plus âgée plus hardie avait mené de nombreuses explorations souvent à la recherche d’un abri ou assouvir dans le silence les tourments de sa petite chatte tyrannique. Elles exploraient aussi les communs, granges, sellerie écuries, pavillon de chasse et buissons du parc. La nature leur offrait de délicieuses leçons. Le vit des chevaux et des chiens les tentaient bien et des coïts bestiaux excitaient leur concupiscence. Regardez maîtresse cet âne qui se branle contre la barrière ! Allons lui exciter le gland avec un bouquet d’ortie vous voulez ?….Laisse moi opérer Séverine ajoute enthousiaste la jeune salope. L’âne docile vient aux filles au coin du champ le braquemart touchant presque le sol. Il faut redresser la situation commente Séverine. Fouettez un peu les gros œufs noirs puis caressez la hampe vous martyriserez le gland en dernier. Suivant scrupuleusement les conseils de sa bonne, Emma obtient en un instant un résultat appétissant. Hum qu’il doit être bon de sucer ce gros gland luisant ! Séverine ne veux tu pas le faire pour moi ? Séverine que cette idée excite se trouve déjà sous l’animal mais la disproportion est telle qu’elle ne peut qu’engamer une partie à la fois. Cette caresse cependant l’âne l’apprécie et stimulé sur le reste de son membre par la main adroite d’Emma il fini par injurier le visage de Séverine d’un flot de foutre si épais si abondant que la pauvre fille manque de se noyer ! Tout en se branlant vigoureusement face à cet étonnant spectacle Emma rit bien fort. Beurk !!!! C’est vraiment délicieusement dégueulasse. La prochaine fois je te mettrai avec les chiens ….Séverine humiliée regarde sa jeune maîtresse de travers et soudain bondit sur elle la renverse dans l’herbe et lui fourre du foutre plein la bouche. Les deux amies réconciliées vont se purifier nues à la rivière après quoi elles font un joli 69 dans les roseaux. L’idée de l’âne avait durablement impressionné Emma qui refit la scène en songerie. La massue qui tenait de lieu de sexe à l’animal l’enchantait, elle la dessinait rabougrie puis déroulant son tube comme une lance à incendie, terminant par le méat par ou jaillissait la crème à fille. Elle ajoutait du foutre à foison. Douée pour le dessin elle parvenait à jouir de son œuvre et même Séverine se branlait à ses côtés tandis qu’elle léchait du bout du crayon le galbe d’une couille. Elle ajoutait des détails lubriques imaginaires. L’âne empalant une femme intégralement. S’étant ainsi échauffé l’esprit quelques jours, un après midi Emma proposa à Séverine de rendre visite à son amant à la grosse queue. Celle-ci accepta se doutant qu’elle allait être victime d’un rude traitement. Emma très excitée avait tenu à la mettre en laisse dès qu’elles furent à l’écart du parc. Dans le pré en bordure de rivière l’âne semblait les attendre. Séverine mets toi à l’aise regarde ton amant te réclame. Un braiement déchirant vint confirmer ses dires. Emma prit par la main sa compagne et la plaça entre deux poteaux de clôture assez hauts. Grimpe sur le fil du bas mon amour. Emma avait en tête un plan précis elle fixa les chevilles et le poignet en X. les barbilles du fil de fer s’incrustèrent dans le dos et sous la plante des pieds. Emma contempla son œuvre puis elle posa sa bouche sur la chatte adorée et très lentement très doucement entrepris d’émouvoir le con de son amante. Quand le jus fut là elle appela doucement l’âne qui naturellement prit la place qu’elle occupait et lécha le con de la belle. Séverine se place sous lui et le soudoie à deux mains pour qu’il ne quitte pas la place. Alors se produit ce que la jeune maitresse avait escompté .l’âne se cabre pose ses pattes avant sur le fil du haut et son vit érigé se trouve en contact exactement avec la moule toute baveuse de la chérie. Emma énergique écarquille elle même le con de la belle qui hurle en découvrant le sort qu’on lui réserve. Le gland pommelé noir et gris force un peu mais fini par trouver un accueil chaleureux l’énorme dilatation grotesque pour un corps aussi gracile que celui de Séverine fait pousser des humm de délice au dompteur. Forçant encore un peu tout le gland est avalé par la gaine comme un œuf par un reptile .la douleur est à son comble. L’os iliaque sollicité le bassin de l’adolescente distendu accepte cette incroyable dévoration. L’âne dont les sensations sont vives braie et donne du cul. Emma voyant les choses en train se relève pour contempler la scène en se touchant très lentement savourant sa victoire. Puis secourable elle se met à genoux sous le couple et frotte le clitoris de Séverine. Oh ma chérie je suis jalouse de toi gourmande, comme tu es bien remplie ma putain, que ta chatte est belle toute distendue .elle se lève et cette fois embrasse sa chérie à lui déchirer la langue. Mais l’âne est encore jeune il éjacule précocement un flot de jus de couille tombe dans l’herbe qui se couche sous cette pluie abondante.
On va encore à la rivière finir l’après midi à se caresser et se branler en pensant a cet incroyable délire. Tu ne le diras à personne murmure Séverine ? Oh non mais attend toi à ce que j’invente d’autres choses pour toi tu es belle si docile comme une petite ânesse. Elle caresse le cul adorable de Séverine. Oh pour vous je mouille tellement de faire des cochonneries pour vous je crois que je ferai n’importe quelle folie que vous me demanderiez. Je te crois mon cœur mais je préfère que tu conclues un contrat écrit avec moi. J’ai découvert des contrats dans les archives anciennes. Souvent une servante passait de tels contrats avec sa maitresse. Elle faisait don de son corps de son âme en échange du gite et du couvert qu’en penses tu ….oh oui regardez mon abricot dans quel état vos chères paroles le mette. Les jours suivant elles rédigèrent plusieurs contrats et finalement Séverine signa avec son sang une horreur de contrat qu’on scella avec une mèche de cheveux. Elle faisait abandon d’elle-même à sa chère Emma maîtresse de 12 ans.
Le contrat était un modèle d’ignominie
qui donnait tout les droits sur la servante la maîtresse et tout les devoirs à la fille.
Souvent leurs expéditions avaient pour but de tester les lits des 69 chambres du manoir. C’est ainsi que les belles se touchèrent sur de grands lits à baldaquins, dans de petits lits d’alcôve, sur des matelas de bonnes tâchés d’amour, sur des paillasses rugueuses qui étrillant les bêtes à deux dos les stimulaient à faire des excès de leur cons.
Dans une chambre décorée de sombres tapisseries un rayon de soleil fripon glissant à travers les volets mal joints venait danser sur la peau diaphane d’Emma et Séverine le poursuivait en le couvrant de bisous. Séverine tendait son entrejambe au soleil qui sembla s’insinuer dans la fissure adorable de sa moule. Les lèvres d’Emma tentèrent de le piéger il s ‘échappa mais la langue coquine fut prise au piège. Le lieu sévère rappelait aux jeunes filles les rudes macérations, le cilice ou le fouet qu’évoquait quelque sinistre toile d’inspiration janséniste. On cherchait à imiter les saints mais le con mouillé. Maintenant qu’elles se connaissaient en détail les deux amoureuses se mettaient très vite à disposition l’une de l’autre. Viens mon amour ton con ma tant manqué tout ce matin !.... . Ou encore pourquoi les règles durent elles si longtemps ? Emma troussait sa bonne lentement pour découvrir le spectacle sans cesse excitant de longues jambes un peu maigres. Séverine ne portait jamais de culotte par peur sans doute de l’oublier derrière elle après l’amour. Elle tenait toujours les cuisses bien serrées en signe de défi envers sa maitresse. Sa jolie moule comprimée bondée comme une joue de petite paysanne faisait une moue adorable. La première gratification pour cette bonne mine était invariablement un coup de quenotte de la part de la petite tigresse Emma. Elle aimait provoquer quelques jolis bonds quelques mouvements de hanche ou de ventre. Elle plantait ses ongles dans les fesses et poursuivait sa dévorante quête. Lorsque Séverine vaincue mouillait sans toutefois ouvrir le délicieux V renversé de ses très longues cuisses Emma enfilait une phalange dans l’anus légèrement en sueur. Séverine tombait à genoux contre la bouche de sa compagne. On se débarrassait de tout vêtement en se touchant en même temps puis venait le temps de souffrir .Debout devant son bourreau Séverine offrait ses beaux seins au bout caramel à la vindicte d’Emma. Ouvre les cuisses rentre les épaules foutue salope sifflait la petite la main menaçante. Il fallait que la pause soit parfaite. Souvent on allumait une ou deux bougies pour l’ambiance. Les pièces étaient souvent peu meublées et le fouet résonnait très fort .oh ce splash éblouissant vibrant dans le silence tandis que la peau se teinte, que le visage trahi la souffrance, que les jambes fustigées ne peuvent rester en place malgré la consigne. Quant les lanières atteignent le triangle lubrique et que tressautent l’organe si convoité la fille lève contre toute convenance la cuisse dans un instinctif mouvement de défense. Je vous ai dit de garder les pieds au sol sale chienne. Les invectives sont encore modérées plus tard mais assez vite en fait Séverine sera traitée de truie, de petite merde de foutue connasse. Voulez vous que je vous attache salope ? Oh oui maitresse je suis si nulle je ne peux pas m’empêcher de lever la cuisse. On chercha du fil de fer pour lier Séverine grande ouverte dans un fauteuil louis XV.
Le supplice repris Emma ce jour là réveilla le bouton encapuchonné jusqu’à ce qu’il pointe et fit couler de la cire chaude sur le petit excité. Elle en emplit la fente et cacheta le con comme on fait des bons vins. Les cuisses reçurent le fouet puis avisant sur une commode une brosse à tapis elle entrepris de labourer lentement l’intérieur des cuisses longilignes des genoux au con et retour. Séverine prise de vertige devant l’intensification des tourments mouillait de plus en plus. Sa chatte s’ouvrait sur les abîmes de sa chair intime rouge comme des ouïes de carpe saturés d’oxygène. Bien quelle mordit ses lèvres sensuelles jusqu’au sang, elle ne pouvait réprimer des hauts le cœur. Pour la contraindre à plus de retenue Emma lui fourra dans la bouche sa propre petite culotte.
Chaque nuit Emma imaginait de nouvelles cruautés qu’elle expérimentait le jour.
Emma fouettait encore quand la porte s’ouvrit lentement dans son dos. Une jeune femme blonde se tenait debout dans l’encadrement. La préceptrice dont on oubliait la plupart du temps jusqu’au prénom tant elle faisait partie des ombres poussa un hurlement en découvrant l’indicible ! Emma dérangée dans son plaisir fit face, animale, la haine au creux de l’estomac. Le fouet à la main elle bondit et en clin d’œil se trouva entre la porte et la jeune femme. Elle ferma d’un tour de clef derrière elle. Emma, Emma mon dieu non. Marion fixait son élève dans les yeux comme pour s’accrocher à une planche de salut alors que tout semblait sombrer autour d’elle dans la lumière inquiétante des bougies fuligineuses ses jambes se dérobaient sous elle et une sueur froide coulait le long de ses vertèbres.
Marion était vêtue comme une image d’Epinal d’un corsage à brandebourg d’une robe à fleur la chevelure strictement tirée en arrière. Que venez vous faire ici Marion ? demande insolente la petite Emma. Qui vous autorise à venir dans cette partie du château lança péremptoire la petite fille. La jeune préceptrice tenta de répondre mais ne parvint qu’à bredouiller comme une idiote. Emma mon dieu mon ange vous êtes perdue votre âme est perdue. En un vain geste d’exorcisme, elle sortit la croix qu’elle avait placée dans son corsage entre ses beaux seins comme pour leur enjoindre de ne jamais bander pour qui que ce soit ! Marion venait d’avoir 19 ans s’était une jeune universitaire ennuyeuse et dévote mais fort jolie. Emma pourtant avide de connaissances la trouvait terriblement ennuyeuse. Emma frémissait parfois en imaginant la ravissante niaise se branlant d’avoir vu à la messe quelque beau garçon. Elle imaginait la gorge rebondie et le ventre plat sollicités par ses longs doigts de pianiste. Elle avait tenté maint stratagème pour la voir nue. La rigide petite personne demeurait inaccessible. Même les enfantines agaceries de son élève la laissaient de marbre et Séverine se moquait d’elle …Emma aurait aimé parler de ces désirs étranges qui la rendait curieuse d’anatomie mais la ravissante fuyait ces conversations comme la peste. La très sensuelle Séverine était en somme un pis aller Emma en avait conscience. Certes la jeune servante aimait le cul sans limite mais sa conversation était assez simple, non qu’elle fût sotte mais elle était peu instruite. Emma adorait parler de sa passion pour le cul, en parler avec de jolis mots mêlés de putasseries, de jolis mots traînés dans la mouille.
Mais à présent pleine de terreur, l’air égaré, Marion devenait très intéressante. Ah ! Fouetter les filles, les terroriser, les rend si désirables.
Emma frappa en travers du visage la jeune fille qui ne su parer les coups et se mit à pleurer comme une madeleine. Séverine d’elle-même se détacha et splendide putain échevelée ceintura l’intruse. Lui fourrant ses genoux dans le creux des reins en susurrant « ferme-la » si tu ne veux pas crever sur place et le fil de fer qui enserrait cruellement ses chevilles naguère servit aussitôt de collet. Voilà un bien jolie biche maitresse. Troussez un peu que l’on voit le con de cet animal là. Je doute toujours qu’elle en a un cette petite nonne.
La mouille venait au con d’Emma tandis que lentement remontait la robe à fleur. Les jambes sans fin de la demoiselle légèrement tremblantes inspiraient des désirs de ballets cruels. Faire danser cette fille, hummm, à coup de badine ! La culotte aurait pu être grotesque or il n’en était rien ! La gueuse portait une petite culotte blanche de fine dentelle qui sans être impudique n’en était pas moins très adaptée pour mettre en valeur un ventre et un cul admirable. Emma défit les boutons de côté et la robe tomba au pied de la demoiselle Emma fit glisser le slip. Un mince duvet ornait un mont de venus en rond de bosse une invitation pour les lèvres. Dessous le con déniché comme un petit animal prit au nid présentait sa tendre chair à l’ourlet délicat. La crête émouvante des petites lèvres pointait par en dessous.
Oh Marion cachotière voici un si joli coquillage qui donne envie d’aller à la pêche aux moules. Emma reçu une larme sur la joue la pauvre fille morte de honte sentait pour la première fois de son existence un doigt impudique et rude trifouiller cette fente qu’elle même ne sollicitait jamais. D’ivresse Emma porta sa langue dans le con et se délecta de ce parfum entêtant si proche de l’arome des platanes en fleur.
Elle mordilla et mâchouilla les grandes lèvres, darda sa langue dans la fente comme une gamine lèche le fond d’un cornet à glace puis se relevant le souffle court elle ouvrit le fruit vers le haut et dégagea la graine aux reflets rosés. Séverine avec constance serrait le cou de la préceptrice tout en soupesant ses beaux seins fermes. Hum la chienne à des arguments pour se faire mettre en cul en bouche en con dit elle en frottant langoureusement son pubis nu contre les fesses toutes chaudes.
Emma prit entre ces incisives l’organe endormi et entre langue et quenottes obtint très vite un résultat inespéré. Tout en titillant l’entrée for resserré du con elle faisait rouler le clito obtenant des gémissements ambigus de la jeune femme. Humm cette conne est active commenta Séverine ….
Séverine jalousait la jeune fille. La jolie préceptrice était admise au salon, logée comme une petite duchesse en villégiature, assez bien rémunérée et vêtue avec goût. Ses airs doctes et de sainte nitouche exaspéraient Séverine qui aurait bien baisé cette belle fille.
Aussi lorsqu’elle comprit qu’on allait faire regretter à Marion sa curiosité et que petite maitresse la chatte surement fortement irritée échafaudait des plans pour cette jolie connasse elle se surprit à serrer la gorge tendre de plus en plus fort. Une toux caverneuse et une suffocation avertirent Emma que sa chambrière se surpassait en zèle. Un peu de pipi trissa sur son visage collé à la courte toison de la fille. Séverine qu’est ce que tu fais ? La victime agitée de spasme était si lubrique à voir en contre plongée. Séverine avait libéré deux seins au galbe parfait lourds assez pour faire pointer les tétons au ciel. Hum les bouts un peu forts ornés d’une large corolle fripée par la douleur bandaient toutefois. Séverine relâcha son étreinte pour jouer avec les seins. Tandis que la fille la cervelle pleine d’étoile menaçait de s’effondrer sur Emma.
Sans se consulter les deux amantes poussèrent le corps sous une applique en laiton. Elles lièrent les poignets très serrés et hissèrent le corps lourd d’abandon. Elles prirent soin d’écarter les cuisses le plus possible. Debout sur les orteils Marion offrait toutes les commodités pour être travaillée sans gêne.
Emma plus encore que son âme damnée frémissait de faire souffrir. Déchirant les vêtements on acheva la mise à nue. Le corps plein de grâce de la donzelle tendu comme lui brule les poils du con puis on lui prend les seins s au garrot avec deux collets de fil de fer enfin Emma grimpe sur une haute console et offre sa moule à la jeune fille. Tandis que Séverine fouette la chatte. Hum cette idiote ne sait se servir de sa bouche que pour des leçons de morale tiens ma belle rend toi utile.
Marion cesse un instant de résister. Elle ne pense plus elle lèche maladroitement le clitoris qu’Emma vient de mettre au jour. L’ensorcelante beauté de cette chatte le parfum de jeune fille achevèrent de perdre la cervelle fragile de la petite enseignante qui tirée rudement par les cheveux donnait de la langue des lèvres sur la chair douce mais ferme pleine de mouille qui lui coulait sous le menton. Elle hochait la tête lentement pour accompagner sa lèche. Emma vicieuse scrutait, les prunelles allumées du feu de la putinerie. Le moindre détail compte dans cet instant. Un battement de cil, le souffle court et chaud sur le mont de venus, la caresse d’une mèche de cheveux, une larme au coin des paupières. S’écartant de quelques centimètres elle écarquille minutieusement l’entrée de son petit con encore vierge. Elle en excite le muscle resserré et creusant les reins l’offre au bout du nez de la fille. Emma prend le visage de Marion entre ses mains, enfonçant ses petits doigts aux ongles perfides dans les joues de la jeune latiniste. Elle oriente la belle machine à plaisir selon l’angle propice à déguster le con et la pauvrette n’a pas d’autre choix que de darder sa langue dans l’orifice. Cependant Séverine au pied de la scène occupe ses loisirs à pincer cruellement le con qu’elle convoite.
Mais aussi excitante soit la pose elle n’est pas confortable. On dépend donc la chienne qui mise à quatre pattes se tient silencieuse reniflant tête basse. Regarde moi salope murmure Séverine d’une voix sourde. Nous n’avons pas été présentées toi et moi. Pour moi tu es la chienne de mademoiselle Emma Stein et je suis chargé de te dresser ….elle prit une des bougies et considérant le cul de la jeune fille elle applique la flamme dans le con qu’elle force d’un coup comme on poignarde, avec une violence horrible, provocant le hurlement de la putain qui part à quatre pattes droit devant elle. La bougie fichée dans le con semblait prête de refluer sous la contraction des muscles du con mais un coup de pieds bien senti enfonça la cire de 15 cm et le sang vint de suite dégoutant sur les cuisses. La fille s’étala de tout son long tandis qu’Emma passant derrière Séverine déposa un ardent baiser dans la nuque, glissa une main par devant pressant le mont de venus et fait coulisser son index dans la petite fente mouillée. Humm tu mouilles comme une putain salope elle te fait mouiller cette foutue conne. Oh oui petite maitresse j’ai envie qu’elle souffre pour vous pour voiture con. Humm plus fort mon cœur mais pas ici. Elles prirent le risque de sortir la putain nue et de gagner furtivement un escalier de service descendant aux caves. La pauvre fille une bougie dans le ventre les seins gonflés d’être compressés par le fil de fer fut poussée sans ménagement dans l’escalier. Les filles avaient colonisé une crypte autrefois cachot. Peu à peu elles avaient aménagé ce local et capitonné la lourde porte afin que ni la lumière ni le son ne parvienne à s’en échapper .l’endroit les avait fait mouiller dès qu’elles eurent enfin la clef découverte dans un tiroir d’un des nombreux vestibules du manoir. Les fers aux murs les anneaux rouillés les chaines pendant de la voûte évoquaient les bienheureuses images de l’inquisition qu’Emma recherchait dans les antiphonaires. Rares témoignages de pratiques succulentes qu’elle découvrait sa petite main contre sa chatte tourmentée, jamais rassasiée. Emma passait des heures à dessiner des filles percées entravées clouées brûlées. Ce don pour le dessin faisant merveille Séverine se branlait ardemment en découvrant les rêves de sa jolie maîtresse. Elles décidèrent de s’isoler dans la crypte rebaptisée salle de mouille par Séverine. SDM fut leur code secret leur chiffre elle ne vivait que pour se retirer là en bas. Elles y dormaient parfois. À part le jeune garçon si mignon, nulle créature, n’avait séjourné ici depuis qu’elles avaient pris possession des lieux. Stefan était trop peureux pour révéler quoique ce soit. Marion s’était autre chose. Elles la firent entrer à coup de trique la précipitant cruellement contre la paroi voutée .Emma eu la fugace pensée que l’irréparable était en train de se produire qu’un crime effroyable allait se commettre et cela la fit mouiller. Elle découvrait à la lueur des 6 candélabres la beauté de sa petite préceptrice. Marion debout ! Tu as l’air débile avec ta bougie dans le con. La fille cambrée tenait inutilement ses mains devant ses seins. Marion nous allons nous amuser de toi tu veux bien ? Tu es payée pour t’occuper de moi et bien tu vas faire encore mieux que d’habitude en te laissant faire selon mes fantaisies. Qu’en penses-tu mon amour ? Je ferai ce que vous voulez ….Nous allons jouer à un jeu amusant. Séverine ouvrit une armoire dans laquelle les deux perverses avaient accumulé au fil des jours tout ce qui pouvait un jour service à faire souffrir une victime, ce qui pique, coupe, cautérise, lie perce, brûle, casse, fouette. La maison Stein avait été dévalisée des pinces pincettes fouets à chien cravaches badines aiguilles épingles fil barbelé cordelette marteaux sécateur. Les filles avaient souvent fantasmé se menaçant l’une l’autre de se tailler le clito ou de s’ouvrir les seins. Elles se fouettaient, s’attachaient de toutes les manières possibles. Le fil de pêche était fort apprécier pour lier tétons et clitoris. Des heures à se branler. Lorsqu’elles eurent fait le tour de ses plaisirs elles comprirent qu’elles devaient trouver d’autres choses pour jouir. Cette sotte de Marion était tombée à point nommé comme une bécasse en plein vol entre les pattes de deux renardes en chaleur.
Séverine libéra la chevelure ramenée en chignon. Un flot mordoré coula jusqu’au milieu du dos. Emma avait pris les deux seins et les pressaient sporadiquement rapprochant les bouts assez forts essayant de les frictionner l’un contre l’autre. Ces privautés qu’elle même n’avait jamais eues envers sa propre chair Marion les enduraient de sa jeune élève. Elle en tirait une singulière impression de bien être, soulagée que sa personne ne soit plus à sa charge, qu’elle n’ait plus à prendre l’initiative de pécher, prête inconsciemment à payer le prix de son renoncement. Ses distrayantes mamelles excitaient des pensées cruelles. Séverine banda les yeux de la patiente et serra bien fort. Et bien jouons maintenant. Tu peux courir si tu veux ma chérie. Tu dois essayer de nous attraper. Et disant cela elle planta une épingle dans l’épaule de la fille. Un petit cri de protestation déclencha un rire étouffé et vicelard d’Emma. Alors connasse dis voir qui t’a fait cela, dis le vite sinon çà va recommencer. C’est vous Emma j’en suis sûre. Perdu mon amour c’est Séverine ! Une seconde épingle vint se ficher dans le plein du sein droit. La douleur plus vive la fit reculer elle se heurta à Emma qui la retient un instant dans ses bras et lui baise les lèvres tout en lui donnant un coup de genoux dans la chatte. Tu vas encore dire que c’est moi ? Et pendant qu’elle contient la pauvrette Séverine en profite pour enfiler plus de 10 épingles dans les fesses et par-dessous dans l’anus. Emma jouit des soubresauts de la victime.
Marion relâchée s’avance au jugé, mais un pied judicieusement placé sur sa trajectoire l’envoie à terre ou elle reste à sangloter. Assez de faire belle figure les nerfs lâchent pour la plus grande joie des deux tortionnaires. Fainéante, debout, hurle Séverine que les parois capitonnées encouragent à des excès de violence verbale. Debout salope. Lorsqu’elle est debout on ôte le bandeau : elle se trouve face à un miroir en pied ou elle découvre les dizaines d’épingles qui ornent sa peau. Elle étouffe un cri de détresse. Marion je suis sur que vous êtes une hypocrite on m’a dit beaucoup de choses sur vous, sur les bites que vous trayez le soir dans l’étable ou les gars du village se font sucer, avouez ma chérie que je dis vrai. Secouée de sanglot la fille se contente de remuer la tête sans répondre. Vous voyez je dis vrai. Montrez nous comment vous vous masturbez. C’est le mot que vous employez n’est ce pas ? Ne nous faites pas attendre masturbez vous donc face à ce miroir ma belle. On s’installe sur un tapis douillet cuisses ouverte de chaque côté de manière à ce que chacune est en vue la chatte des deux autres. Le rouge aux joues la jeune puritaine ne sait comment débuter. Ferme les yeux çà ira bien conseille Séverine la plus experte des deux branleuses. Marion ferme les yeux incline un peu la tête, lèvres entrouverte. Une de ses mains coule doucement bien à plat sur son ventre et vient lentement à la rencontre du con. Entre le pouce et l’indexe de sa main libre elle pince un téton qu’elle malaxe doucement.
Sa main fait merveille dans la fente ses doigts gracieux remuent la chair intime, de petits mouvement réguliers. Glissant à l’entrée du con, chercher la mouille qui point pour en enduire le clitoris encore caché. Fouettons-la, murmure Séverine que la belle irrite fort. Oui je suis sur qu’elle aime souffrir la chienne, murmure Emma. On va te battre Marion, très, très fort mon amour... Tu promets de ne pas arrêter de te branler hein ? Oh je promets. Pinces toi bien les seins. Fais-toi mal. Le mélange de douleur et de plaisir met notre salope dans un état tel que les deux complices ont du mal à reconnaître la ravissante idiote. Son visage soudain épanoui exprime la plus pure volupté, les narines dilatées, le souffle court, elle se branle avec ardeur battant lentement des cuisses. Séverine martiale, le fouet à la main, observe sa cible et porte un coup sec sur les fesses. Le bond de Marion est exquis. Emma sent la mouille abonder à son con. Elle adore les contorsions des suppliciées. Hum que les bourreaux ont de la chance pensa t elle, aucune victime ne danse pareillement, quel régal de voir chaque jour de nouvelles filles se déhancher au rythme des coups!....
Séverine distribue lentement cinq coups de fouets séparés par de longues pauses masturbatoires. À quelques mouvements de bassin, quelques soupirs, Emma sent venir l’orgasme de la préceptrice. Trop tôt pense t elle. Arrête à présent mets les mains dans le dos. La fille reste debout haletante. Emma se met debout et enlace la fille plus grande qu’elle. Elle dévore sa bouche. Brûlez-lui la chatte Séverine. Posant un doigt sur les lèvres de l’ange elle menace : on ne bouge pas d’accord …oh maitresse. Cependant Séverine accroupie entre les longues jambes promène la bougie dont la flamme jette d’adorables reflets sur la peau veloutée. Arrivé en haut de la cheminée la dansante petite lueur se couche dans les plis du con qui grésillent. La douleur doit être fort vive mais Marion s’abandonne toujours au baiser sans fin de sa petite maitresse debout sur la pointe des pieds. Séverine jalouse sans doute s’écarte du but et va rôtir l’anus la peau des fesses au galbe adorable faisant venir des larmes en abondance sur les joues de la belle. La putain embrasse divinement. Sa langue fait des merveilles. Emma en nage tente d’attirer l’attention de la cruelle esclave à la bougie. Elle doit lui donner un coup de genoux dans le menton pour obtenir du secours pour sa chatte en feu. Séverine reprend ses esprit et se met tout de suite à travailler le joli con glabre de sa maitresse. Cependant le cul torturé de Marion s’offre à elle aussi et elle en profite pour le doigter légèrement. Séverine aime jouer des deux mains et s’en tire toujours à merveille. Le couple de plus en plus soudé a oublié la branleuse à genoux. Emma laisse pendre une main et empoignant sa compagne par la chevelure la tiraille en tout sens. Emma sent le corps de Marion s’abandonner, elle ressent la douceur de cette peau au grain si doux si différent de celui de Séverine. Le baiser soudain devient passionné et les deux filles sont en phase. Emma fouille la chatte de Marion et timidement celle-ci lui rend ses bienfaits.
Séverine soudain se sent de trop et s’écarte amusée tout d’abord mais vite dépitée de voir la mouille abondée aux deux chattes. Quittant un instant la bouche de sa compagne Emma s’écrie : « Séverine couche toi sur le dos à mes pieds, couchée salope, vite. » Séverine sait qu’elle doit toujours offrir son corps à la seconde-même ou la demande impérieuse est formulée. La voici au pied du couple le cœur gros. A peine est elle là, grande ouverte, qu’elle sent Emma monter sur ses seins entraînant Marion qui s’installe sur son ventre. Les deux amantes en équilibre instable reprennent leur enlacement se dévorant et piétinant la belle salope brune. Marion ne sait plus ce qu’elle fait. Elle piétine ce doux tapis de plus en plus violemment. Les hurlements de Séverine accélèrent l’orgasme d’Emma qui entraine dans sa chute sa belle préceptrice roulant sur le corps tout chaud de Séverine. A foutue salope tu nous as fait tomber se relevant toutes deux elles donnent de violent coups de pieds dans la pauvre Séverine visant seins et chatte de préférence. Hum Marion qu’elle folie tu vois comme c’est bon mon ange de maltraiter une esclave comme Séverine, je deviens folle….Oui folle de désir de rendre à cette chienne ce qu’elle mérite.
Séverine jappe comme il faut les yeux levés vers le couple attendant la prochaine foucade d’Emma. Tu sens comme c’est bon de faire souffrir une vulgaire servante ? Tu n’as pas joui mon cœur mais je vais te faire mourir de plaisir. Tout en parlant elle avait tendu un cordage d’acier torsadé d’un mur à l’autre. Le filin pendait en son centre et devait se tendre progressivement au moyen d’une manivelle jusqu’à atteindre 1, 20 de haut. C’est là qu’elles conduisirent Séverine jambe écartées au dessus du câble posé sur le sol. Mains jointes dans le dos reposant sur les fesses Séverine avait naturellement prit la pose soumise quelle adoptait d’ordinaire lors de ce genre de séances. Elle s’était toujours réjouie de combler sa maîtresse par cette attitude gracieuse pleine d’abandon consenti. Mais cette fois cela allait trop loin elle se sentait humiliée, supplantée par une jolie petite conne qu’à peine deux heures au par avant elles méprisaient toutes deux.
Emma sentait sa petite chatte palpiter. Quelque chose de nouveau survenait, une complice pour l’aider à torturer Séverine. En caressant la préceptrice elle avait ressenti toute le putinerie la plus prometteuse, bien plus putain et bien plus imaginative que cette pauvre Séverine qui allait tomber en disgrâce et cela faisait mouiller Emma. Le con ruisselant, elle devint comme ivre. Prenant par la taille celle qu’elle allait torturer elle lui dévora la bouche la mordant cruellement jusqu’au sang. Puis attirant Marion elle lui céda sa place et Marion dévora à son tour la bouche de la victime se laissant aller à jouer avec les seins rebondis et les fesses, incrustant ses ongles dans la chatte.
Séverine sentit la peur l’envahir. Au même instant elle entendit le bruit du treuil et le câble se mit à grincer entre ses cuisses. Le filin monta très doucement tandis que Marion continuait de la caresser. Lorsque le câble effleura sa cuisse un peu au dessus du genou elle eu geste instinctif de défense et ses mains quittèrent leur position dans un geste de protection. Un coup de badine claqua et vint barrer le joli cul d’une marque incarnate. Elle reprit sagement la pose. Emma se branlait tout en caressant du bout de la trique de bambou la croupe gracile de la jeune victime.
Le filin atteint enfin sa cible et tendu il contraint la gueuse à ce mettre sur la pointe des pieds pour ménager sa petite chatte. La vue du gros câble torsadé écrasant les délicates babines de la jeune fille accélérait la masturbation d’Emma. « Laisse là Marion tu ne vas pas la supporter toute la nuit il faut qu’elle se démène toute seule vient plutôt dans mes bras. Hum tu aimes la voir souffrir ? » « Oui maitresse elle le mérite elle est si jolie et j’en suis si jalouse. » « Tu n’as plus à être jalouse regarde comme elle est punie la salope. » Enlacées elles se dévorèrent longuement la bouche tout en échangeant leurs mains et leurs cons.
Elles ne s’interrompaient que pour se moquer de la belle dont les jambes tendues sur la pointe des pieds s’étaient mises à trembler de plus en plus fort. « Tu vas voir qu’elle va pisser il faudra la punir dès que çà va arriver » Elles guettaient le moment ou elle allait lâcher. Emma donna un brusque mouvement à la corde d’acier qui ondula et souleva le cul de la belle funambule.
Séverine poussa un hurlement elle était à présent en équilibre instable à califourchon, le câble enfoncé profondément dans la fente de la chatte, le bout des orteils aux ongles faits en mauve effleurant à peine le pavé gluant. Les traits révulsés l’adorable visage de Séverine aurait dû inspirer de la pitié aux deux branleuses qui ne cessaient de se toucher pendant ce temps. Mais au contraire s’était la montée du désir de voir souffrir qui leur venait au creux du ventre tandis qu’elles poussaient des gémissements de délices. Marion les yeux agrandis poussait « un OOOOOh non !!!! Mon dieu que c’est bon !! Que c’est bon !! » Elle voulu à son tour faire vibrer la corde et fit si bien qu’elle désarçonna la jolie putain après l’avoir soulevée de plus en plus haut incrustant le câble dans le con, meurtrissant les grandes lèvres si férocement que le sang commença de goutter le long du fil d’acier puis au sol. « Elle pisse !!! Punit cette chienne ! » Alors une dernière traction plus forte encore envoya la belle funambule voler en l’air. Elle tomba à plat ventre avec un bruit mat et commença de hurler très, très fort.
Les deux complices se précipitèrent pour la remettre en selle tout en l’injuriant et lui tirant les cheveux, lui frappant les seins. Mais cette fois ou lui lia les chevilles avec de la corde à piano et l’on tendit ces liens dans des anneaux fixés au sol. Emma lui menotta les poignets dans le dos avec du fil de fer qu’elle serra avec une pince trouvée dans la vaste armoire aux accessoires. Puis elle passa autour du cou un collier en cuir frangé de grands clous auquel pendait une lourde chaîne. Marion grimpée sur une chaise passa l’anneau terminal à un ancien crochet d’équarrissage. La belle pouvait s’endormir elle serait réveillée dans sa chute et reprendrait la pause sans que personne ne veille.
Emma approcha une lampe à pétrole du câble, tout prêt des fesses de sa servante et, relevant le verre, mit la flamme nue en contact avec le métal. Il ne fallut pas longtemps pour que le câble soit chauffé à blanc et que la chaleur gagne le cul écrasé : la fille se mit à se tordre en hurlant.
« Marion bâillonne là j’en ai assez des jérémiades de cette idiote qui aime se faire remarquer ! Je déteste çà ! Çà me gâte mon plaisir». Marion lui emplit la bouche avec sa petite culotte avec interdiction de recracher.
Marion était hors d’elle, échevelée les yeux agrandis par la passion, la chatte ouverte d’une chienne en chaleur. Emma ne cessait de mouiller elle se demandait quand allait s’arrêter cette scène. Pour la première fois elle sentit monter un désir impérieux de saccager la chair d’une fille. Elle avait imaginé bien dés scénarios barbares pour se branler mais elle n’avait jamais imaginé passer à l’acte. Elle cessa de faire chauffer le cul adoré et reposant la lampe elle entraina Marion sur un divan. Après s’en être fait doigté et léché elle murmura exaltée à son oreille tout en lui enfilant son index dans l’anus :
« Ecoute mon amour si tu veux tu prendras la place de cette putain dans mon cœur, dans mon con !!!! Prouve moi que tu es plus pute qu’elle plus cruelle plus vicieuse, aide moi à la faire disparaître à jamais !... »
Emma s’exprimait avec l’autorité naturelle d’une jeune aristocrate et Marion malgré son âge se trouvait subjuguée. Un frisson la parcouru, elle mouilla.
« Détachons cette salope pour qu’elle ne se s’abîme pas plus pour le moment j’ai envie d’elle encore et son con est déjà dans un triste état !... laissons la méditer sur son sort nous reviendrons la voir quand nous aurons bien réfléchi à ce que nous ferons de son cul. »
Mais elles ne se résolvaient pas à partir. Elles tourmentèrent encore leur victime puis la détachèrent au bout de deux heures au cours desquelles elles se donnèrent encore beaucoup de plaisir, variant les tourments, les invectives, les cruautés, savourant l’état de détresse et les cris de leur amie.
Séverine en chaîne, un énorme collier à clous inversé autour du cou fut abandonnée sur le pavé. Au moment de la séparation elle s’accrochait aux chevilles d’Emma mouillant les jambes de ses larmes ; Oh maîtresse tuez moi toute de suite mais ne m’abandonnez pas, tapez moi encore, enfilez moi un pieu dans le con, je veux bien essayer les chevaux pour vous oh coupez mes seins comme vous le vouliez une fois vous vous souvenez je vous ai dit oh oui ils sont à vous. Emma était au comble de l’excitation le souffle court elle se mordait les lèvres jamais elle n’avait espéré un tel spectacle un tel abandon avec quel plaisir elle caressait la chatte de Marion toutes deux serrées blotties délictueusement l’une contre l’autre et cette jolie chienne à leurs pieds. De solides coups de trique furent nécessaires pour qu’elle renonce. Un dernier coup de pied nu dans la chatte toute meurtrie et les deux âmes damnées firent l’obscurité complète dans la salle de torture après avoir souhaité que de nombreux rats et souris viennent se délecter de leur proie. Elles refermèrent la porte en lourd métal à double tour et montèrent dans la chambre d’Emma ou après s’être baignées elles se mirent au lit et se branlèrent en pensant à ce qu’elles venaient de faire avec Séverine. La remembrance détermine souvent des flots de mouille. Puis Emma se leva pour lire le contrat d’asservissement de son esclave. Qu’en penses-tu mon amour ? Tu veux signer le même avec moi ? Marion se jeta à genoux entre les cuisses de sa maitresse en s’écriant oh oui j’en meurs d’envie ! Emma la laissa lécher sa mouille quelques instants puis elle se frotta vigoureusement sur le joli visage de Marion et jouit en murmurant des atrocités à propos de Séverine. Si tu veux signer le contrat il faut que tu inventes un supplice extraordinaire pour cette vilaine petite conne !
Marion le visage luisant de mouille promis qu’elle serait exemplaire ! Elle avait envie de redescendre tout de suite à la cave. Emma du la calmer avec sa langue et ses doigts délicieux et elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre se promettant des délices infinies.
Au réveil Marion pelotonnée contre sa maitresse la caressait très doucement. « Humm ma chérie déjà prête ! Quelle impatiente tu sais j’aimerais bien jouer un peu avant de redescendre, faire un peu de vélo ou encore plonger dans la piscine et se faire un peu bronzer » Après le déjeuner les deux filles s’amusèrent comme d’innocentes gamines en maillot de bain dans le soleil de l’été. Derrière une haie un jeune homme les regardait avidement car elles étaient succulentes ! « Oh maîtresse on nous espionne…Oui je sais je crois que ce corniaud est le jeune lad récemment engagé il est assez mignon et je le pense vicieux mettons nous toutes nues ma chérie, il va sortir son oiseau dans la haie et je ne serai pas étonnée qu’il pleuve du jus de couillon. » « Les garçons sont rares par ici celui-ci percher dans son arbre est venu à point : j’ai envie de voir un dépucelage je n’en ai jamais vu de ma vie qu’en penses tu ? » « Voir … que voulez vous dire ? » « Je veux dire que je tu vas offrir ton cul à ce rustre pour me faire plaisir… » « Oh je sais que tu es un femelle très romantique mais c’est lui que je veux pour toi et puis je n’ai pas envie d’attendre d’ailleurs c’est cela ou l’âne comme Séverine… » « Oh Maîtresse pas l’âne je préfère une verge de garçon... » « Petite connasse hum tu mérites que je te morde les seins d’être aussi gourde ! » Et ce disant elle mordit si fort l’auréole du téton gauche que sa bouche s’emplit de sang. Les filles dès que débarrassées de leurs maillots plongèrent dans la piscine pour en ressortir très vite ruisselantes et très excitées.
Elles se laissèrent tomber sur les serviettes et s’enlacèrent pour lutter tendrement n’oubliant pas d’offrir des échappées lubriques aux regards du jeune voyeur qui bien sur s’astiquait.
Elles roulaient sur elles-mêmes et à dessein se rapprochaient de la haie. Ce fut Emma qui reçu les première gouttes d’un sperme chaud et lourd. Elles lui vinrent dans le creux de reins tandis que Marion sondait à deux doigts son jeune con. Elle poussa un léger cri et ajouta « oh oui Marion branle moi fort, fort… » Et un second trait de foutre vint joliment lui orner les épaules tandis que dégageant son visage Marion située sous sa petite maitresse guettait un peu de crème.
Elle ne fut pas déçue, le jeune homme sans retenue vidait des couilles sans doute trop pleines et son bouquet final atteint la fille, la balafrant de la joue au front, maculant un œil aux longs cils qui se ferma aussitôt. « Allons, descend jeune salaud, vite vient pendant que ta queue est encore raide lui commanda Emma qui bien que pucelle elle-même adorait faire mettre ses compagnes ». Le garçon en débardeur et jeans, débraguetté, le vit encore roide tomba sur ses deux proies et tout de suite fut pris en bouche par Emma qui le suça, et, tout en exprimant le reste de jus, lui redonna de la vigueur. Tandis qu’il quittait son débardeur, Marion le débarrassait fébrilement de son jeans et de son slip pour le laisser nu comme un ver. S’était un grand adolescent musclé au visage d’angelot auréolé de boucles brunes. Sa main longue et assez fine tenait bien fermement un tuyau à foutre d’un beau diamètre terminé par un très beau gland joli comme une friandise. Le contact des épidermes si doux et si parfumés suffit à faire rebander le lad aussi fort que les étalons dont il avait la charge. Emma le branla aussi à la main sur ses seins tout en le dévisageant. L’imbécile était mignon mais niais et malgré tout semblait gêné de ce qu’on faisait à son chibre. Habitué à la branlette il avait des réticences à ce laissé traire. Dès qu’il fut prêt la vive petite fille l’abandonne l’outil tressautant dans le vide et fourbis la chatte de la vierge Marion. Celle-ci les yeux grands ouverts gémissait en attendant l’exécution de la sentence. Les doigts d’Emma jouaient un menuet assez rapide et le clitoris turgescent pincé gentiment conduisait la fille au bord de la crise de nerf. D’un geste gracieux Emma amenait déjà la queue suivie de son propriétaire dépossédé et le gland fut bientôt contre la fente. « Maladroit tu ne trouve pas le chemin tout seul ? » Elle du faire la mise en place et une claque d’Emma sur le cul du fouteur détermina un solide coup de rein et le gueux, plus vigoureux que malin, fini au fond de la chaude putain.
Dès lors l’instinct pris le dessus et assez bien il lima la jolie Marion sous les quolibets d’Emma qui le traitait de verrat. Cependant Marion ne faisait pas la fine bouche et dévorait le garçon à pleines lèvres les seins raides le cul agité de mouvements amples et souples. Le limage dura longtemps mais la perverse Emma se doigtant légèrement restait attentive. Dès qu’elle su que le foutre allait combler la matrice de son amie elle tira vigoureusement le garçon en arrière et se coucha sur lui pour lui pomper la bite à l’odeur de mouille et de foutre. « Oh non !! Voleuse !!! » Ne pu s’empêcher de gémir Marion qui sanglota d’une telle injustice. Emma lui décrocha un coup de talon entre les cuisses tout en pressant les couilles lourdes et bien fermes dans ses mains nerveuses à les écraser enfilant toute le tube dans son gosier jusqu’aux amygdales à en vomir. Le jet de foutre la combla envahissant toute sa bouche et refluant entre ses lèvres et la bite et s’écoula doucement sur son menton. Emma voulait pour elle le fruit du dépucelage comme un droit de cuissage. Elle déglutit longuement le foutre frais en se touchant doucement.
Le garçon hurla, mais curieusement se laissa martyriser. Quand le calme revint le garçon reposait dans l’herbe sur le dos immobile vide. Emma demanda à l’oreille de Marion comment s’appelle ce porc ? Joris mademoiselle ; l’idiot restait muet encore stupéfait par ce qu’il venait de vivre. Quel prénom stupide mais quelle belle bite, humm c’est une bite comme celle-là qui me dépucellera et aucune autre mais rien ne presse ma chérie ! Regardes Marion le salaud bande encore ? Oh mademoiselle et si on l’emmenait avec nous dans les caves suggéra la belle en essayant une larme, oubliant déjà l’injustice dont elle venait d’être victime ? Hummm tu as sans doute une belle mise en scène à me proposer ? Tu sais le risque que nous courrons si jamais il parle …Oh il ne parlera pas croyez moi je ferai ce qu’il faut. Emma frémit doucement.
Le garçon ne fit pas de manière pour suivre les deux filles. Jamais il n’avait profité d’une aussi riche aubaine et il était parti pour bander des jours durant si rien ne venait l’arrêter. Il accepta un bandeau très serré sur les yeux et se laissa guider tout nu tenu par la bite par Marion qui riait beaucoup de cet attelage tandis qu’Emma fermant la marche lui distribuait des claques sur les fesses. « Hum c’est bon de serrer cette chose chaude dure et à la peau si douce j’ai bien peur d’être un peu infidèle aux chattes si jamais je me mets à jouer de cette flute ! Quel âge as-tu Joris ? » « 16 ans mademoiselle … » « Tu n’encules jamais les juments ajouta telle en serrant cruellement le gland du garçon entre pousse et index ? » « Haïe mademoiselle ; » « hum j’aimerais te la cueillir, ta bite, » et disant cela elle se cambra vers l’arrière et frotta le gland martyrisé dans sa raie culière .Elle éclata d’un rire cristallin amplifié par les voussures des souterrains et qui dût parcourir des kilomètres dans l’obscurité et lui sottement cru devoir ricaner. Il bredouilla « je préfère me branler en vous regardant mamzelle». « Quel compliment ! L’âne de Séverine n’en n’aurait pas fait de meilleur. »
Le trio avait atteint la galerie la plus profonde du château, le lieu ou aux siècles anciens les brutaux Margraves Von Stein resserraient les provisions en jeunes filles nécessaires aux distractions des longues journées d’hiver. Les cellules pouvaient accueillir jusqu’à cent jeunes filles de 7 à 15 ans environ. Le goût de l’époque allait vers les vierges dont on disposait sans restriction. L’ennui et le désœuvrement aiguisaient l’imagination sadique des maîtres et des atrocités inouïes furent commises, soigneusement consignées par des clercs pervers et illustrées de fort belles enluminures. Selon les époques les adorables truies étaient plus ou moins biens traitées avant usage. Il fallait toute fois qu’il n’y ait pas trop de perte et que les demoiselles ne soient pas trop amaigries car on en consommait parfois toutes vives à peine dépecées et passées au gril. Emma était enchantée de trouver dans le passé sulfureux de ces ancêtres les origines de ses passions. Elle passait des heures dans les vastes archives ou elle s’enfermait avec Séverine à qui elle lisait les étonnantes descriptions de supplices. Elle reprochait souvent la rustrerie et le manque de raffinement de certains supplices et se jurait de surpasser ses ancêtres.
Ces recherches toujours entrecoupées de caresses sexuelles alimentaient son imagination débridée. Séverine à ses côtés ne se doutait pas qu’elle était l’objet de ses fantasmes les plus extrêmes. Emma jouissait en serrant dans ces bras celle a qui elle réservait les pires horreurs.
Cependant Marion et sa petite Maîtresse étaient parvenues à la lourde porte si bien insonorisée. Nul bruit n’était audible. Emma pétrit instinctivement la bite de Joris tandis que Marion levant la lampe tempête cherchait Séverine dans toute la pièce ….Maîtresse ou dirait qu’elle a disparu en effet la prisonnière était introuvable. Sur le paillasson au pied de l’anneau qui l’enchainait les filles découvrirent la laisse et le collier scié ; la chienne s’est enfuit mais comment cela est ce possible ? Elles inspectèrent la pièce en détail et découvrirent une lame de scie à métaux ensanglantée au pied d’une des armoires de torture. Oh maitresse l’armoire a été bougée et derrière il y a le départ d’un égout assez large pour s’y faufiler. La salope va se faire bouffer par les rats allons Joris prend la lampe et poursuit cette pute elle est blessée elle doit sans doute se trainer et peut être est elle tombée dans un cul de basse fosse ; tu pourras faire ce que tu veux d’elle aussitôt attrapée je te le promets mais je la veux vivante … Cependant que le garçon obéissant partait en chasse comme un furet la bite raide les deux amantes discutaient des supplices à infliger à la belle tombée en disgrâce. Elles furent vite convaincues que Séverine ne pourrait tout supporter cependant elles ne pouvaient renoncer à aucun traitement. Marion s’avérait beaucoup plus cruelle que Séverine et surprenait Emma. Humm divine complice foutue petite putain dissimilée sous les traits d’un ange. Des hurlements vinrent rapidement les avertir que Joris avait rempli sa mission et recevait un acompte sur sa paie. Et dix minutes plus tard le garçon apparut tirant par les cheveux la fille toute maculée de boue et de foutre, écorchée et tremblante de froid. Elle était tombée dans un piège et a faillit s’empaler sur un gros pieu heureusement elle est restée coincée entre deux rochers. Les deux amantes s’étaient mutuellement dévêtues tout se caressant elles étaient déjà fort excitées.
Un lavoir dans un angle permis à Joris de la récurer à l’eau glacée de la frotter à la brosse et de la bouchonner jusqu’au sang comme une jument. Elle sortit rose et fraîche prête à servir. Elle tomba à genoux tremblante et muette les joues toutes conchiées de larmes et de foutre et devant ses deux tortionnaires ces grands yeux levés vers sa maîtresse imploraient la compassion. Chienne fuyarde voilà comment tu me sers voilà comment tu m’obéis conasse j’ai toujours su que tu n’étais qu’une petite branleuse incapable ! Oh oui maîtresse…. ! Fermes là saloperie ne me fais pas entendre ton stupide commentaire, tu n’as droit que de gueuler quand on s’amuse de ton cul et encore si cela nous plaît… Hum Marion elle m’échauffe cette garce ! Joris debout derrière la fille lui tenait la tête à deux mains ; regarde ma chatte regarde vilaine oie comme tu me fais du mal comme j’ai le clito gonflé à cause de ta gueule de pute allons tire la langue et lèche moi. Marion écarta ses longues cuisses offrant à voir le con le plus délicieux du monde et Séverine oubliant son malheur se précipita sur cette aubaine toute emplie de mouille. Retiens là Joris allons tire la langue plus longue connasse et la pauvre gosse dardait sa petite langue mais ne parvenait pas à la chatte ; Joris s’amusait à la tenir en respect à quelques millimètres de la fente dégorgeant de mouille de Marion. Emma profita de ces tentatives pour saisir la langue de la pute à l’aide d’une pince aux mâchoires garnies de dents et elle tira comme on extrait un escargot de sa coquille puis de l’autre main elle la transperça plusieurs fois avec une longue aiguille. Marion cria « Ouah oui mon dieu !! » Joris qui frottait son long chibre dans le cou de la belle se remit à bander ; « Tu n’as jamais vu quelque chose d’aussi beau jeune jean-foutre ! C’est bon hein ? », Lança Emma de sa voix harmonieuse et pleine d’autorité. Le sang de la fille gouttait sur ses seins et Marion colla sa moule sur la langue suppliciée qui malgré la douleur se mit à la servir assez bien. « Tiens, jeune chien, pique lui le cul au lieu de te branloter contre sa tête au risque de lui faire un champoing au foutre. Au fait tu ne dois plus rien avoir dans tes petites couilles mon salop. » Elle tendit l’épingle en acier de 15 cm de long et lui montra comment larder les fesses, la fente et l’anus et par-dessous la chatte. Il s’y mit aussitôt avec une ardeur insoupçonnée, Séverine donnait du cul en tout sens pour éviter les coups portés à l’aveugle « à présent amuse-toi avec ses seins ». Il saisit un sein à pleine main, le malaxe faisant saillir le téton qu’il transperce 5 ou 6 dois, pressant bien fort pour faire trisser le sang à défaut de lait. Séverine ne peut retenir de nouvelles larmes et malgré tout quelle ardeur sur la chatte de Marion qui sent monter la volupté. Emma sent elle aussi qu’elle a besoin d’être secourue. Elle repousse doucement Marion pour prendre sa place. Ma chérie serre lui le cou pendant qu’elle me lèche et toi encule Marion.
Marion se penche et offre sa croupe, sa fente en désordre au jeune fouteur qui à demi bandant se fourre dans le con tout chaud. Ce contact ajoute à la crise Marion sent venir un orgasme et involontairement serre très fort à deux mains le cou gracile auquel elle s’agrippe pour ne pas tomber sous les coups de reins du jeune lad.
Cependant Séverine est vite asphyxiée. Elle pousse des cris gutturaux et bave les yeux révulsés, toute pâle, prête à s’évanouir. La langue raide comble Emma. « Hum foutue carne, dire qu’il m’a fallut tout ce temps pour trouver comment jouir de ta foutue bouche. Attend Marion pas tout de suite hurle t elle essoufflée attend mon ange … attend elle doit en subir encore avant de nous combler. Oh Marion vient dans mes bras j’ai des choses à te dire ma chérie ».
Joris reste la bite en l’air … »Et toi ne t’avises pas de te branler ». Séverine est tombée accroupie la tête en avant sur les genoux. Elle râle. Les deux filles s’enlacent debout dans l’ombre et murmurent un long quart d’heure et quand elles se relèvent Emma baise longuement la chatte de Marion « fais le Marion, fais le pour ta maîtresse, fais le pour nous mon cœur… » Marion fait signe à Joris de l’aider.
Elle prend deux crocs de boucherie, en donne un à Joris et relève Séverine en la tirant par les cheveux. Quand la fille aperçoit les crocs dans la main des deux jeunes gens elle tente de se jeter en arrière mais Joris d’un geste précis perfore un téton dans une gerbe de sang et la retient ainsi tandis que plus méthodique Marion enfonce ces ongles dans le sein qui lui est dévolu tout en baisant les lèvres de la petite pute affolée par la tournure que prennent les choses.
Doucement Marion passe la pointe du croc sous le sein rebondi et soudain pousse et sent la pénétration du métal. La putain se met à pisser contre la chatte de Marion. Le doux jet tout chaud glisse dans sa fente. Joris s’est relevé et donne des coups de bite en travers du visage décomposé par la terreur puis il fixe des chaines dans les œillets des crocs. Les deux sont arrimées à un anneau qui pend de la voûte. Marion actionne un interrupteur et un treuil se met lentement à tourner hissant la pute centimètre par centimètre. Les seins se déforment peu à peu se distendent saignent en abondance ce déchirent tandis que la belle poursuit son ascension. La pointe des pieds quitte enfin le sol trépignant de détresse dans le vide. Empoignant les chevilles les deux complices écartent grands les jambes entre lesquelles ils enfilent une tige de fer aux extrémités terminées par des aiguilles qu’ils piquent dans le plat des cuisses au dessus des genoux. Une fois le joli triangle formé Marion prend une lame de rasoir et saisissant le capuchon du clito entre deux ongles extrait le petit bout qu’elle fend d’un geste précis. Séverine fait un bond terrible qui déchire un peu plus ses beaux seins. Joris qui se branle d’une main reçoit un jet de sang. « OH Joris fourre lui ton poing dans le cul, j’ai envie de çà depuis si longtemps» lui demande câline Marion que la queue de son complice excite tout autant que le sacrifice qu’elle opère pour sa petite maîtresse. Joris écarte les fesses et longotte le trou du cul un long moment crache et pousse sa salive dans les boyaux de la salope qui tressaille d’aise. « Hum la chienne est en chaleur malgré les supplices ! » s’extasie Emma vautrée sur le lit une main entre les jambes.
Le lad écarte le trou du cul à deux mains et, en force, entre dans le trou à merde poussant comme un damné comme pour inséminer une vache. « Marion enfonce lui la main dans le con en même temps ! » Marion jette un regard extasié vers sa maîtresse dont les idées décidément sont succulentes. Aussitôt Marion s’occupe du con de la chérie qu’elle excite griffe fait frétiller sa langue dans le trou, tète, aspire et réussit à prendre position avec toutes ses phalanges en bouquet. Parvenue au milieu de la gaine distendue elle sent le poignet de Joris qui gêne un peu sa progression. Celui ci ramone et pistonne et Marion en phase avec lui monte dans le con. Ses bracelets tintent, les deux poignets se frottent à travers les parois internes dans une amoureuse caresse. Les doigts se sentent, fouillent pour se rejoindre, lacèrent, déchirent. Marion mouille comme une damnée. Séverine se cambre et saute en tout sens. Joris dont la queue s’orne d’un peu de foutre mord le beau cul de la fistée Marion qui l’observe, l’imite et mord la chatte ensanglantée puis les deux amants se prennent la bouche et tandis qu’ils échangent un baiser de damnés, leurs ongles rompent les chairs entre les deux canaux à baiser et les doigts se joignent, triturent la chair interne, le sang gicle sur le sol. Joris qui connait l’anatomie des juments cherche les ovaires qu’il arrache à la main et retirant la main les jette au milieu de la salle.
Marion tend le con vers le garçon qui frotte son gland sur le pubis ruisselant de sueur et de sang. « Attend, attend un peu murmure la jeune femme à son dépuceleur attend faisons la taire ». « Il faut lui coudre les lèvres mes chéris » suggère Emma qui affalée sur le lit grande ouverte inonde les draps de mouille. « A toi Joris…… » Murmure Marion. Monté sur un escabeau muni d’une grande aiguille et d’un fil à suture le garçon à toute les peines du monde à contenir sa victime. Marion le branle sur ses seins puis le prend dans sa bouche. Elle goute le prêt jus avec ravissement tandis que le chéri fini de clore pour toujours la bouche de cette charmante putain. Descend vite Joris elle meurt de se faire prendre ta suceuse. Au pied de la victime secouée de spasme faisant entendre un drôle de râle en sourdine Marion à quatre pattes offres ses trous. Le con dégouline de mouille mais le jeune homme sans hésiter veut entreprendre l’anus et commence à défoncer sa complice dont les beaux seins ballotent sous elle comme des pis. Marion les observe en agaçant distraitement son bouton tout dur. « Oh mes chéris arrêtez, moi aussi je veux jouer » Elle se lève vivement court à l’armoire et revêt une ceinture munie d’un chibre en cuir au profil de massue qu’elle soupèse et ajuste bien. L’entre cuisse bien harnaché repose sur un coussinet garni d’une douce brosse destinée à branler son clito. Relève toi salope Joris soulève là que je lui embroche son joli con. Et la mince Marion se retrouve prise entre deux ramoneurs vigoureux et rapides.
Joris collé à son cul lui mord la nuque, Emma lui arrache la langue. Elle ne tarde pas à hurler de plaisir. Emma déconne et laisse Joris, qui a déjà beaucoup perdu de crème, tenter un nouvel orgasme. Emma s’est relevée les joues en feu belle à damner si jeune et si impressionnante de putinerie elle enlace Séverine tire sur le corps déchirant à demi les mamelles qu’elle a tant adoré puis enfile son bras jusqu’au coude entre chatte et cul et s’agrippant à tout ce qu’elle trouve elle vide la petite servante de ses boyaux qui s’écoulent avec un doux bruit sur le couple qui baise à ses pieds. La petite accrochée se tord en l’air en tout sens comme un poisson hors de l’eau et la main d’Emma aux ongles peints en rouge retourne à l’arrachage. L’autre main accompagne ces monstrueuses explorations ne se retirant que pour frotter contre sa chatte quelque viscère chaud et doux. Bientôt Séverine cesse de remuer. Emma prend un couteau et tranche le sein droit qui reste ainsi en l’air au bout du crochet, extrêmement lubrique. La fille emportée par son poids déchire l’autre sein et tombe à terre. Emma se place à cheval sur le visage de celle qui fut son amante et se frotte longuement, lentement sur la bouche aux lèvres cousues en une moue de salope, accompagnant le balancement de son joli cul d’un jeu de poignet souple entre ses cuisses, jouant du clitoris comme on joue de la harpe. Joris qui contemple la scène pousse des « plus fort, plus fort !!! » Marion échappe à la bite du garçon et se penche sur le visage de l’agonisante qui repose la tête dans ses viscères. « Tranche-lui le cou Marion… !!! Comme tu me l’as promis !!! Mais très doucement mon cœur s’il te plaît je ne suis pas encore prête à jouir, lentement oui ... » Emma se recule et tout en se branlant encourage la jeune préceptrice qui commet son premier crime la main un peu tremblante le corps parcouru de frissons. Alors que la lame touche la peau mate et douce elle sent sa chatte s’entrouvrir, son clito de nouveau pousse comme un petit champignon après la pluie et la mouille lui vient. Elle à envie d’embrasser celle qu’elle va égorger elle a envie de lui dire hum merci vilaine petite pute pour le plaisir que tu vas me donner. Le couteau fend la peau sous le menton Joris flatte le trou du cul d’Emma le couteau fait d’abord un mince filet vermeil mais l’incise se précise et la lame bien aiguisée entre plus vite dans le cou et bientôt le sang gicle par la gorge à demi sectionnée le garçon enfile un doigts dans l’anus soudain détendu de sa belle maîtresse qui se cambre pour jouir alors que les yeux implorants de Séverine ne quittent pas ceux d’Emma et semblent hurler « Oh mon amour je savais qu’un jour tu me voudrais toute ». Tandis qu’Emma s’écrie de sa voix de gamine « Foutue putain çà te plais de crever pour moi hein petite ordure ? » tout en s’enfilant trois doigts dans le con et se pistonnant nerveusement. Marion accroupie et penchée en avant tranche à présent la jugulaire et le geyser de sang attendu gicle fort et haut comme une jutée de taureau Emma qui n’en peut plus pousse un cri sauvage et prenant la tête détachée la porte à sa chatte pour la frotter de longs instants pour jouir…
Emma tremble soudain très fort se relève et grande ouverte se branle en pissant sur le buste déchiré de la beauté massacrée. Joris bande à nouveau la bite douloureuse mais fou de cette bestialité il se colle au cul d’Emma lui retourne la tête et lui dévore la bouche.
Séverine présente un spectacle fascinant pour les trois bourreaux.
« Humm Joris à toi, arraches lui le cœur et fourre le dans le con de Marion ». Le jeune lad furieux la bite raide sous son ventre musclé taille à la recherche du petit cœur qu’il extirpe prestement et s’approchant de Marion grande ouverte lui barbouille la chatte avec la pointe du muscle rose puis poussant fort au prix de quelques souffrances le fait disparaitre dans la chatte distendue de la jeune femme. Un ultime coup de bite du garçon l’enfonce jusqu’aux ovaires.
Ce dernier épisode affole Emma. Reprise par une réplique d’orgasme, elle remue la tête, révulsée, en hurlant « oh mon dieu Oh oui !....ah la putain !!! Comme elle m’a fait jouir … »
Puis elle saisit Joris par la queue et l’attire à elle couchée sur le dos. Elle sait que malgré ses multiples orgasmes le garçon ne la décevra pas. En effet fou de la plus belle petite fille qu’il ait jamais vue de sa vie le jeune homme la couvre se laissant guider par les petits doigts délicieux et se retrouve à l’entrée du con de la vierge qui d’un coup de rein vient à lui. Il entre après une fugitive brûlure, dans la soie la plus fine, le con le plus souple et le plus lisse du monde. Sa trique va rester dure une demi heure au cours de laquelle ils s’aimeront jusqu’à l’évanouissement, tandis que le cœur dans le con, Marion ressenti le plus vif orgasme de sa jeune existence.
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