BDSM Library - Emma Stein

Emma Stein

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Synopsis: Emma is the sister of Juliette de Sade She live in the Stein Manor some where in alemania....

Chapitre II  Séverine et Marion 



Emma songeait à ses  12 ans. Elle était alors une curieuse petite beauté blonde au regard transperçant, mince comme un jeune chat, le vice la rendait affolante et tout ceux qui la rencontraient étaient fascinés quelque soit leur âge ou leur sexe. Emma avait très peu quitté le manoir familial.  Gouvernantes et préceptrices veillaient sur elle depuis sa naissance tandis que son père et sa mère,  loin delle, menaient une vie dont elle entrevoyait de temps à autre le mouvement et le luxe. Sétait une remarquable fillette tant par la grâce, la vivacité et lintelligence. Au cours de sa petite enfance elle se  construisit un monde intérieur sur mesure, fantasque,  baroque quelle projeta très jeune dans la réalité déroutant ses proches.  Son père disparut lorsqu elle avait huit ans. Sa mère séloigna encore plus delle. A la suite de cette perte Emma fut en proie à des cauchemars singuliers. Elle suppliait de passer la nuit dans les bras dune femme, substitut de sa mère si peu présente. On la confia à une jeune fille compagne plutôt que servante. Curieuse de tout cest ainsi quelle découvrit la vie à lâge de 9 ans  dans les bras de cette jeune bonne aussi jolie que vicieuse.


  Séverine avait  3  Ans de plus que sa  petite maitresse. Sétait une adorable petite vicieuse brune de douze ans aux seins déjà lourds, que toutes les choses du sexe faisaient mouiller dabondance. La chatte de sa petite maîtresse était lobjet de sa convoitise et le bain loccasion de fugaces attouchements. Elle nosait être trop explicite mais veillait à ce que sa main effleure très lentement lintimité de la petite fille qui ne semblait pas y prêter attention. Si un bobo à soigner (piqûre dinsecte ou éraflure de la peau provoquée par une course dans les buissons du parc)  se situait dans cette partie délectable située entre le nombril et les genoux elle déployait un zèle extrême à lentement dénuder toute la zone, écarter les maigres cuisses et dun doigt irritant à force dêtre doux provoquer chair de poule, frissons et soupirs chez la patiente ….


« Oh je vous fais mal Mlle Emma ? Oh excusez-moi. » Elle déposait un bisou dans le cou ou au coin des lèvres. Emma adorait ces instants. Mais cest la nuit que toutes ces sensations étaient amplifiées. Emma lovée contre Séverine tenait entre ses cuisses les genoux de la petite servante. Elle sendormait en se masturbant sans savoir que cette caresse semi consciente allait éveiller ses rêves semi cauchemardesques du cœur de la nuit.


Encerclée par des monstres dont elle ne voyait que les jambes de bouc,  tant ils étaient immense, elle se sentait hissée doucement comme si elle voyageait dans les nuages et soudain elle chutait et embrochait son petit fondement sur un pieu tandis que les cris des monstres disaient leur immense satisfaction. Encore, encore hurlaient-ils !...Emma était comblée, partagée entre la sensation de terreur, la douleur et la chaleur qui soudain envahissaient son ventre. Séverine accompagnait le petit corps qui sagitait sur ses genoux, insinuait sa cuisse plus loin et baisait les lèvres de la fillette. « Ce nest rien ma chérie dort il faut dormir. »


Apaisée Emma dormait jusquà 9 heures. Séverine se branlait à ses côtés. Tout le jour Emma conservait le souvenir délicieux de ces monstres cruels qui lempalaient nuit après nuit. Avec le temps elle poursuivait son rêve, éveillée, introduisant des détails plus nombreux. Presque à sa demande, les monstres lui infligeaient dautres supplices, la fouettaient, la giflaient, accrochaient des pinces  à sa petite chatte. Puis ce quelle faisait contre les genoux de Séverine elle le fit seule avec un ours en  peluche, puis avec ses doigts.


Cependant les obsessions dEmma évoluaient peu à peu de victime elle devenait chef de bande des démons. Elle imaginait quelle ordonnait à ces monstres de déchirer les chattes des jolies filles qui lentouraient, jeunes soubrettes, bonnes, gouvernantes, préceptrices et bien sûr Séverine. Elle se touchait les yeux clos, tandis que des pieux durs et luisants comme lacier perforaient les fentes des chattes soigneusement épilées dilatées les grandes et petites lèvres ouvertes sans pudeur, le clitoris turgescent gonflé comme une petite bite, le tout accompagné dun concert de pleurs de cris et de plaintes de supplications dune beauté inouïe. Les filles battaient des bras et des jambes, les hanches se contorsionnaient, les têtes et les chevelures déjetées naviguaient en tout sens dans lair au-dessus delle. La fillette lentement ordonnait la montée de lorgasme à la longue évocation des détails lubriques de cette bacchanale et ne jouissait que quand la putain perforée sévanouissait et quun flot de liquide foutral quelle imaginait épais comme la crème la plus épaisse puissamment refoulé par les matrices sécoulait le longs des cuisses grandes ouvertes et dégoutait sur le sol, teintées de sang et de mouille. Elle aimait faire cela dans les bras de Séverine à qui elle se gardait bien de confier ses fantasmes. Séverine quand à elle adorait assister à ces séances de branles enfantines si violentes déjà. Elle apportait son concours à sa petite maîtresse de mille adroites caresses ignorant quelle sort lui était réservé dans ces rêves ! Mais leu-t-elle su quelle en aurait sans doute beaucoup mouillé aussi, comme il savéra plus tard.


Cest à cette époque quelle fut témoin dune scène qui détermina tout à fait ses goûts. Séverine était voleuse et fainéante. Mais cest parce quelle fut surprise se masturbant dans un office, regardant des photos érotiques,  que Madame Stein résolu de la punir vite et bien. Elle eut une explication avec la servante.  « Je veux que vous assistiez à cela Emma. Que cela vous apprenne à ne jamais faire confiance au petit personnel de maison. Dire que je tai confié ma fille ! » Séverine à genoux devant sa maitresse implorait. Emma cru quelle allait se jeter entre sa mère qui brandissait une badine et sa chère complice de jeux si exquis ! Mais elle ne bougea pas ! À la vue des larmes de Séverine qui lançait vers elle un regard oblique désespéré, elle senti son ventre semplir de fourmillements dune indicible puissance. Bien plus puissants que ceux qui la réveillaient la nuit.


« Mettez vous nue, Séverine, toute nue ! » et comme elle nobéissait pas assez vite un coup de badine lui cingla les joues. Séverine se déshabilla précipitamment sous la menace. Placez vous grande ouverte allongée sur cette table, que je punisse ce nid de vice ! Approchez vous ma fille ! Est-ce que cette horrible fille na jamais tenté de vous embrasser, de toucher votre intimité ? Vous savez ce quil est interdit de faire avec ce dégouttant organe ! Oh oui mère !  Elle a essayé …Emma devenait rouge dexcitation. Son regard se perdait entre les jambes de Séverine dont le joli sexe minutieusement glabre reposait innocent. Oh mère chaque nuit elle voulait que je touche son, son… Séverine poussant un cri de désespoir et cria menteuse petite vipère menteuse ! Le premier coup de badine lui cingla si violemment la chatte que les grandes lèvres giflées ségayèrent comme les pétales dune fleur dans la tempête révélant une fente humide vieux rose. Madame Stein se déchaine de longues minutes sur cette chair sans défense qui pourtant ne cherche pas à se dérober à sa vindicte. Séverine qui nétait pas entravée faisait des bonds en tout sens. Les seins lourds aux bouts bruns le ventre les cuisses tout fut mis en sang. Mais cest la chatte qui tout les deux coups recevait à nouveau une gratification. Allons sur le ventre à présent. Madame Stein serra sa fille contre elle, lembrassa. Emma sentait un trop plein dexcitation la gagner les baisers de sa mère la rendirent folle. Leurs lèvres se rapprochèrent. Que cest bon de la punir comme çà maman nest ce pas. Oui mon amour cest bon très bon. Elles partirent dans un profond baisé comme jamais Emma nen avait partagé. Quant elles reprirent leur souffle Madame Stein murmura punis la toi aussi pour ce quelle ta fait. Emma prit la badine et ne fouetta que le sexe de sa complice. Sa main libre sétait portée sous sa petite robe. Elle ne voyait pas le temps passé, ne sentait pas la fatigue dans son petit bras. Elle ressentit la montée de lorgasme pour la première fois. Un orgasme denfant, sec mais énervant qui la fit tomber à genoux en balbutiant. Elle ne vit pas sa mère faire comme elle à ses côtés.


Maman Stein quitta de nouveau le manoir pour de longs mois. Lorsque Séverine fut rétablie Emma la réclama à tout prix. Elle reprit sa place dans le lit de la petite fille. Les deux perverses mouraient de désir lune pour lautre.



Après ce cruel épisode les deux anges se retrouvèrent liés par des liens  indicibles. La belle trahie ne songeait nullement à se venger bien au contraire. Comme de nombreuses victimes elle fit cause commune avec la petite traitresse et toutes deux sexcitant par les caresses et les mots employaient leur temps à inventer des jeux pour faire frémir leurs petites chattes.


De voluptueuses années sécoulèrent trop vite.


A 12 ans limagination dEmma servie par ses adorables petits doigts lavait  si bien pervertie quelle en aurait remontré à bien des putains. Pourtant ses deux orifices à plaisir demeuraient vierges et la tentation de chercher un mâle ou de se faire engoder par Séverine lavait parfois effleuré. Cependant en dominatrice elle jouissait assez bien en se branlant et se suffisait à elle-même. Séverine à 15 ans offrait beaucoup dattraits beaucoup de possibilités sexuelles. Emma la traitait comme un animal de compagnie avec lequel on peut tout se permettre et qui vous rend les horions et les injures en coups de langues humides et tendres. Emma abusait de plus en plus de cette volupté. Elle martyrisait de plus en plus sa Séverine repoussant sans cesse les limites de lacceptable et comme cette courge ne se plaignait jamais Emma se demandait jusquau il faudrait aller pour obtenir delle de touchantes poses implorantes, les supplications, des cris de reddition. Quand elle épilait sa chérie à la flamme dune bougie comme on grille la peau dun poulet ou quand elle pressait les seins entre les mâchoires dun étau elle mouillait elle regrettait toujours de ne pas lentendre gueuler assez pitié je vous en supplie…


Emma contemplait le corps de son amante souvent marqué des traces de ses excès. Elle se disait quà 15 ans une fille a presque atteint la perfection et comment la laisser devenir vieille après ? Les filles plus âgées sont excitantes et même les femmes mais il y a déjà quelque chose qui séchappe. Emma ne permettrait pas à Séverine de séchapper de lenfance, Séverine ne devait pas grandir au-delà de ses 15 ans, sétait bien assez quEmma soit contrainte de le faire !


La maison  Stein était assez vaste pour offrir des années  durant de multiples surprises aux petites curieuses. Bien des pièces nétaient jamais occupées, certaines navaient pas vu la lueur du jour depuis la guerre et dautres soigneusement closes intriguaient les deux filles .Emma navait jamais quitté les 5 pièces du rez-de-chaussée ou se déroulait sa vie de petite fille gâtée. Séverine quant à elle plus âgée plus hardie avait mené de nombreuses explorations souvent à la recherche dun abri ou assouvir dans le silence les tourments de sa petite chatte tyrannique. Elles exploraient aussi les communs, granges, sellerie écuries, pavillon de chasse et buissons du parc. La nature leur offrait de délicieuses leçons. Le vit des chevaux et des chiens les tentaient bien et des coïts bestiaux excitaient leur concupiscence. Regardez maîtresse cet âne qui se branle contre la barrière ! Allons lui exciter le gland avec un bouquet dortie vous voulez ?….Laisse moi opérer Séverine ajoute enthousiaste la jeune salope. Lâne docile vient aux filles au coin du champ le braquemart touchant presque le sol. Il faut redresser la situation commente Séverine. Fouettez un peu les gros œufs noirs  puis caressez la hampe vous martyriserez le gland en dernier. Suivant scrupuleusement les conseils de sa bonne, Emma obtient en un instant un résultat appétissant. Hum quil doit être bon de sucer ce gros gland luisant ! Séverine ne veux tu pas le faire pour moi ? Séverine que cette idée excite se trouve déjà sous lanimal mais la disproportion est telle quelle ne peut quengamer une partie à la fois. Cette caresse cependant lâne lapprécie et stimulé sur le reste de son membre par la main adroite dEmma il fini par injurier le visage de Séverine dun flot de foutre si épais si abondant que la pauvre fille manque de se noyer ! Tout en se branlant vigoureusement face à cet étonnant spectacle Emma rit bien fort. Beurk !!!! Cest vraiment délicieusement dégueulasse. La prochaine fois je te mettrai avec les chiens ….Séverine humiliée regarde sa jeune maîtresse de travers et soudain bondit sur elle la renverse dans lherbe et lui fourre du foutre plein la bouche. Les deux amies réconciliées vont se purifier nues à la rivière après quoi elles font un joli 69 dans les roseaux. Lidée de lâne avait durablement impressionné Emma qui refit la scène en songerie. La massue qui tenait de lieu de sexe à lanimal lenchantait, elle la dessinait rabougrie puis déroulant son tube comme une lance à incendie, terminant par  le méat par ou jaillissait la crème à fille. Elle ajoutait du foutre à foison. Douée pour le dessin elle parvenait à jouir de son œuvre et même Séverine se branlait à ses côtés tandis quelle léchait du bout du crayon le galbe dune couille.  Elle ajoutait des détails lubriques imaginaires. Lâne empalant une femme  intégralement. Sétant ainsi échauffé lesprit quelques jours, un après midi Emma proposa à Séverine de rendre visite à son amant à la grosse queue. Celle-ci accepta se doutant quelle allait être victime dun rude traitement. Emma très excitée avait tenu à la mettre en laisse dès quelles furent à lécart du parc. Dans le pré en bordure de rivière lâne semblait les attendre. Séverine mets toi à laise regarde ton amant te réclame. Un braiement déchirant vint confirmer ses dires. Emma prit par la main sa compagne et la plaça entre deux poteaux de clôture assez hauts. Grimpe sur le fil du bas mon amour. Emma avait en tête un plan précis elle fixa les chevilles et le poignet en X. les barbilles du fil de fer sincrustèrent dans le dos et sous la plante des pieds. Emma contempla son œuvre puis elle posa sa bouche sur la chatte adorée et très lentement très doucement entrepris démouvoir le con de son amante. Quand le jus fut là elle appela doucement lâne qui naturellement prit la place quelle occupait  et lécha le con de la belle. Séverine se place sous lui et le soudoie à deux mains pour quil ne quitte pas la place. Alors se produit ce que la jeune maitresse avait escompté .lâne se cabre pose ses pattes avant sur le fil du haut et son vit érigé se trouve en contact exactement  avec la moule toute baveuse de la chérie. Emma énergique écarquille elle même le con de la belle qui hurle en découvrant le sort quon lui réserve. Le gland pommelé noir et gris  force un peu mais fini par trouver un accueil chaleureux lénorme dilatation grotesque pour un corps aussi gracile que celui de Séverine fait pousser des humm de délice au dompteur. Forçant  encore un peu tout le gland est avalé par  la gaine comme un œuf par un reptile .la douleur est à son comble. Los iliaque sollicité le bassin de ladolescente distendu accepte cette incroyable dévoration. Lâne dont les sensations sont vives braie et donne du cul. Emma voyant les choses en train se relève pour contempler la scène en se touchant très lentement savourant sa victoire. Puis secourable elle se met à genoux sous le couple  et frotte le clitoris de Séverine. Oh ma chérie je suis jalouse de toi gourmande, comme tu es bien remplie ma putain, que ta chatte est belle toute distendue .elle se lève et cette fois embrasse sa chérie à lui déchirer la langue. Mais lâne est encore jeune il éjacule précocement un flot de jus de couille tombe dans lherbe qui se couche sous cette pluie abondante.

On va encore à la rivière finir laprès midi à se caresser et se branler en pensant a cet incroyable délire. Tu ne le diras à personne murmure Séverine ? Oh non mais attend toi à ce que jinvente dautres choses pour toi tu es belle si docile comme une petite ânesse. Elle caresse le cul adorable de Séverine. Oh pour vous je mouille tellement de faire des cochonneries pour vous je crois que je ferai nimporte quelle folie que vous me demanderiez. Je te crois mon cœur mais je préfère que tu conclues un contrat écrit avec moi. Jai découvert des contrats dans les archives anciennes. Souvent une servante passait de tels contrats avec sa maitresse. Elle faisait don de son corps de son âme en échange du gite et du couvert quen penses tu ….oh oui regardez mon abricot dans quel état vos chères paroles le mette. Les jours suivant elles rédigèrent plusieurs contrats et finalement Séverine signa avec son sang une horreur de contrat quon scella avec une mèche de cheveux. Elle faisait abandon delle-même à sa chère Emma maîtresse de 12 ans.


Le contrat était un modèle dignominie
qui donnait tout les droits sur la servante la maîtresse et tout les devoirs à la fille.



Souvent leurs expéditions avaient pour but de tester les lits  des 69 chambres du manoir. Cest ainsi  que les belles se touchèrent sur de grands lits à baldaquins, dans de petits lits dalcôve, sur des matelas de bonnes tâchés damour, sur des paillasses rugueuses qui étrillant les bêtes à deux dos les stimulaient à faire des excès de leur cons.


Dans une chambre décorée de sombres tapisseries un rayon de soleil fripon glissant à travers les volets mal joints venait danser sur la peau diaphane dEmma et Séverine le poursuivait en le couvrant de bisous. Séverine tendait son entrejambe au soleil qui sembla sinsinuer dans la fissure adorable de sa moule. Les lèvres dEmma tentèrent de le piéger il s échappa        mais la langue coquine fut  prise au piège. Le lieu sévère rappelait aux jeunes filles les rudes macérations, le cilice ou le fouet quévoquait quelque sinistre toile dinspiration janséniste. On cherchait à imiter les saints mais le con mouillé. Maintenant quelles se connaissaient en détail les deux amoureuses se mettaient très vite à disposition lune de lautre. Viens mon amour ton con ma tant manqué tout ce matin !.... . Ou encore pourquoi les règles durent elles si longtemps ? Emma troussait sa bonne lentement pour découvrir le spectacle sans cesse excitant de longues jambes un peu maigres. Séverine ne portait jamais de culotte par peur sans doute de loublier derrière elle après lamour. Elle tenait toujours les cuisses bien serrées en signe de défi envers sa maitresse. Sa jolie moule comprimée bondée comme une joue de petite paysanne faisait une moue adorable. La première gratification pour cette bonne mine était invariablement un coup de quenotte de la part de la petite tigresse Emma. Elle aimait provoquer quelques jolis bonds quelques mouvements de hanche ou de ventre. Elle plantait ses ongles dans les fesses et poursuivait sa dévorante quête. Lorsque Séverine vaincue mouillait sans toutefois ouvrir le délicieux V renversé de ses très longues cuisses Emma enfilait une phalange dans lanus légèrement en sueur. Séverine tombait à genoux contre la bouche de sa compagne. On se débarrassait de tout vêtement en se touchant en même temps puis venait le temps de souffrir .Debout devant son bourreau  Séverine offrait ses beaux seins au bout caramel à la vindicte dEmma. Ouvre les cuisses rentre les épaules foutue salope sifflait la petite la main menaçante. Il fallait que la pause soit parfaite. Souvent on allumait une ou deux bougies pour lambiance. Les pièces étaient souvent peu meublées  et le fouet résonnait  très fort .oh ce splash éblouissant vibrant dans le silence tandis que la peau se teinte, que le visage trahi la souffrance, que les jambes fustigées ne peuvent rester en place malgré la consigne. Quant les lanières atteignent le triangle lubrique et que tressautent lorgane si convoité la fille lève contre toute convenance la cuisse dans un instinctif mouvement de défense. Je vous ai dit de garder les pieds au sol sale chienne. Les invectives sont encore modérées plus tard mais assez vite en fait Séverine sera traitée de truie, de petite merde de foutue connasse. Voulez vous que je vous attache salope ? Oh oui maitresse je suis si nulle je ne peux pas mempêcher de lever la cuisse. On chercha  du fil de fer pour lier Séverine grande ouverte dans un fauteuil louis XV.


Le supplice repris Emma ce jour là réveilla le bouton encapuchonné jusquà ce quil pointe et fit couler de la cire chaude sur le petit excité. Elle en emplit la fente et cacheta le con comme on fait des bons vins. Les cuisses reçurent le fouet puis avisant sur une commode une brosse à tapis elle entrepris de labourer lentement lintérieur des cuisses longilignes des genoux au con et retour. Séverine prise de vertige devant lintensification des tourments mouillait de plus en plus. Sa chatte souvrait sur les abîmes de sa chair intime rouge comme des ouïes de carpe saturés doxygène. Bien quelle mordit ses lèvres sensuelles jusquau sang, elle ne pouvait réprimer des hauts le cœur. Pour la contraindre à plus de retenue Emma lui fourra dans la bouche sa propre petite culotte.


Chaque nuit Emma imaginait de nouvelles cruautés quelle expérimentait le jour.


Emma fouettait encore quand la porte souvrit lentement dans son dos. Une jeune femme blonde se tenait debout  dans lencadrement.  La préceptrice dont on oubliait la plupart du temps jusquau  prénom tant elle faisait partie des ombres  poussa un hurlement en découvrant lindicible ! Emma dérangée dans son plaisir fit face, animale, la haine au creux de lestomac. Le fouet à la main elle bondit  et en clin dœil se trouva entre la porte et la jeune femme. Elle ferma dun tour de clef derrière elle. Emma, Emma mon dieu non. Marion fixait son élève dans les yeux comme pour saccrocher à une planche de salut  alors que tout semblait sombrer autour delle dans la lumière inquiétante des bougies fuligineuses  ses jambes se dérobaient sous elle et une sueur froide coulait le long de ses vertèbres.


Marion était vêtue comme une image dEpinal dun corsage à brandebourg dune robe à fleur la chevelure strictement tirée en arrière. Que venez vous faire ici Marion ? demande insolente la petite Emma. Qui vous autorise à venir dans cette partie du château lança péremptoire la petite fille. La jeune préceptrice tenta de répondre mais ne parvint quà bredouiller comme une idiote. Emma mon dieu mon ange  vous êtes perdue votre âme est perdue. En un vain  geste dexorcisme,  elle sortit la croix quelle avait placée dans son corsage entre ses beaux seins comme pour leur enjoindre de ne jamais bander pour qui que ce soit ! Marion venait davoir 19 ans sétait une jeune universitaire ennuyeuse et dévote mais fort jolie.  Emma  pourtant avide de connaissances la trouvait terriblement ennuyeuse. Emma frémissait parfois en imaginant la ravissante niaise se branlant davoir vu à la messe quelque beau garçon.  Elle imaginait la gorge rebondie  et le ventre plat sollicités par ses longs doigts  de pianiste. Elle avait tenté maint stratagème pour la voir nue. La rigide petite personne demeurait inaccessible. Même les enfantines agaceries de son élève la laissaient de marbre et Séverine se moquait delle …Emma aurait aimé parler de ces désirs étranges qui la rendait curieuse danatomie mais la ravissante fuyait ces conversations comme la peste. La très sensuelle Séverine était en somme un pis aller Emma en avait conscience.  Certes la jeune servante aimait le cul sans limite mais sa conversation était assez simple, non quelle fût sotte mais elle était peu instruite. Emma adorait parler de sa passion pour  le cul, en parler avec de jolis mots mêlés de putasseries, de jolis mots traînés dans la mouille.


Mais à présent pleine de terreur, lair égaré, Marion devenait très intéressante. Ah ! Fouetter les filles, les terroriser, les rend si désirables.


Emma frappa en travers du visage la jeune fille qui ne su parer les coups et se mit à pleurer comme une madeleine. Séverine delle-même se détacha et splendide putain échevelée ceintura lintruse. Lui fourrant ses genoux dans le creux des reins en susurrant « ferme-la » si tu ne veux pas crever sur place et le fil de fer qui enserrait cruellement   ses chevilles naguère servit aussitôt  de collet. Voilà un bien jolie biche maitresse. Troussez un peu que lon voit le con de cet animal là. Je doute toujours quelle en a un cette petite nonne.


La mouille venait au con dEmma tandis que lentement remontait la robe à fleur. Les jambes sans fin de la demoiselle légèrement tremblantes inspiraient des désirs de ballets cruels. Faire danser cette fille, hummm, à coup de badine ! La culotte aurait pu être grotesque or il nen était rien ! La gueuse portait une petite culotte blanche de fine dentelle qui sans être impudique nen était pas moins très adaptée  pour mettre en valeur un ventre et un cul admirable. Emma défit les boutons de côté et la robe tomba au pied de la demoiselle Emma fit glisser le slip. Un mince duvet ornait un mont de venus en rond de bosse une invitation pour les lèvres. Dessous le con déniché comme un petit animal prit au nid  présentait sa tendre chair à lourlet délicat. La crête émouvante des petites lèvres pointait par en dessous.


Oh Marion cachotière voici un si joli coquillage qui donne envie daller à la pêche aux moules. Emma reçu une larme sur la joue la pauvre fille morte de honte sentait pour la première fois de son existence un doigt impudique et rude trifouiller cette fente quelle même ne sollicitait jamais. Divresse Emma porta sa langue dans le con  et se délecta de ce parfum entêtant si proche de larome des platanes en fleur.


Elle mordilla et mâchouilla les grandes lèvres, darda sa langue dans la fente comme une gamine lèche le fond dun cornet à glace puis se relevant le souffle court elle ouvrit le fruit vers le haut et dégagea la graine aux reflets rosés. Séverine avec constance serrait le cou de la préceptrice tout en soupesant ses beaux seins fermes. Hum la chienne à des arguments pour se faire mettre en cul en bouche en con dit elle en frottant langoureusement son pubis nu contre les fesses toutes chaudes.


Emma prit entre ces incisives lorgane endormi et entre langue et quenottes obtint très vite un résultat inespéré. Tout en titillant lentrée for resserré du con elle faisait rouler le clito obtenant des gémissements ambigus de la jeune femme. Humm cette conne est active commenta Séverine ….


Séverine jalousait la jeune fille. La jolie  préceptrice était admise au salon, logée comme une petite duchesse en villégiature, assez bien rémunérée et vêtue avec goût. Ses airs doctes et de sainte nitouche exaspéraient Séverine qui aurait bien baisé cette belle fille.


Aussi lorsquelle comprit quon allait faire regretter à Marion sa curiosité et que petite maitresse la chatte surement fortement irritée échafaudait des plans pour cette jolie connasse elle se surprit à serrer la gorge tendre de plus en plus fort. Une toux caverneuse et une suffocation avertirent Emma que sa chambrière se surpassait en zèle. Un peu de pipi trissa sur son visage collé à la courte toison de la fille. Séverine quest ce que tu fais ? La victime agitée de spasme était si lubrique à voir en contre plongée. Séverine avait libéré deux seins au galbe parfait lourds assez pour faire pointer les tétons au ciel. Hum les bouts un peu forts ornés dune large corolle fripée par la douleur bandaient toutefois. Séverine relâcha son étreinte pour jouer avec les seins. Tandis que la fille la cervelle pleine détoile menaçait de seffondrer sur Emma.



Sans se consulter les deux amantes poussèrent le corps sous une applique en laiton. Elles lièrent les poignets très serrés et hissèrent le corps lourd dabandon. Elles prirent soin décarter les cuisses le plus possible. Debout sur les orteils Marion offrait toutes les commodités pour être travaillée sans gêne.

Emma plus encore que son âme damnée frémissait de faire souffrir. Déchirant les vêtements on acheva la mise à nue. Le corps plein de grâce de la donzelle tendu comme lui brule les poils du con puis on lui prend les seins s au garrot avec deux collets de fil de fer enfin Emma grimpe sur une haute console  et offre sa moule à la jeune fille. Tandis que Séverine fouette la chatte. Hum cette idiote ne sait se servir de sa bouche que pour des leçons de morale tiens ma belle rend toi utile.

Marion cesse un instant de résister. Elle ne pense plus elle lèche maladroitement le clitoris quEmma vient de mettre au jour. Lensorcelante beauté de cette chatte le parfum de jeune fille achevèrent de  perdre la cervelle fragile de la petite enseignante qui tirée rudement par les cheveux donnait de la langue des lèvres sur la chair douce mais ferme pleine de mouille qui lui coulait sous le menton. Elle hochait la tête lentement pour accompagner sa lèche. Emma vicieuse scrutait, les prunelles allumées du feu de la putinerie. Le moindre détail compte dans cet instant. Un battement de cil, le souffle court et chaud sur le mont de venus, la caresse dune mèche de cheveux, une larme au coin des paupières. Sécartant de quelques centimètres elle écarquille minutieusement lentrée de son petit con encore vierge. Elle en excite le muscle resserré et creusant les reins loffre au bout du nez de la fille. Emma prend le visage de Marion entre ses mains, enfonçant ses petits doigts aux ongles perfides dans les joues de la jeune latiniste. Elle oriente la belle machine à plaisir selon langle propice à déguster le con et la pauvrette na pas dautre choix que de darder sa langue dans lorifice. Cependant Séverine au pied de la scène occupe ses loisirs à pincer cruellement  le con quelle convoite.


Mais aussi excitante soit la pose elle nest pas confortable. On dépend donc la chienne qui mise à quatre pattes se tient silencieuse reniflant tête basse. Regarde moi salope murmure Séverine dune voix sourde. Nous navons pas été présentées  toi et moi. Pour moi tu es la chienne de mademoiselle Emma Stein et je suis chargé de te dresser ….elle prit une des bougies et considérant le cul de la jeune fille elle applique la flamme dans le con quelle force dun coup comme on poignarde, avec une violence horrible, provocant  le hurlement de la putain qui part à quatre pattes droit devant elle. La bougie fichée dans le con semblait prête de refluer sous la contraction des muscles du con  mais un coup de pieds bien senti enfonça la cire de 15 cm et le sang vint de suite dégoutant sur les cuisses. La fille sétala de tout son long tandis quEmma passant derrière Séverine déposa un ardent baiser dans la nuque, glissa une main par devant pressant le mont de venus et fait coulisser son index dans la petite fente mouillée. Humm tu mouilles comme une putain salope elle te fait mouiller cette foutue conne. Oh oui petite maitresse jai envie quelle souffre pour vous pour voiture con. Humm plus fort mon cœur mais pas ici. Elles  prirent le risque de sortir la putain nue et de gagner furtivement un escalier de service descendant aux caves. La pauvre fille une bougie dans le ventre les seins gonflés dêtre compressés par le fil de fer fut poussée sans ménagement dans lescalier. Les filles avaient colonisé une crypte autrefois cachot. Peu à peu elles avaient aménagé ce local et capitonné la lourde porte afin que ni la lumière ni le son ne parvienne à sen échapper .lendroit les avait fait mouiller dès quelles eurent enfin la clef découverte dans un tiroir dun des nombreux vestibules du manoir. Les fers aux murs les anneaux rouillés les chaines pendant de la voûte évoquaient les bienheureuses images de linquisition quEmma recherchait dans les antiphonaires. Rares témoignages de pratiques succulentes quelle découvrait sa petite main contre sa chatte tourmentée, jamais rassasiée. Emma passait des heures à dessiner des filles percées entravées clouées brûlées. Ce don pour le dessin faisant merveille Séverine se branlait ardemment en découvrant les rêves de sa jolie maîtresse. Elles décidèrent de sisoler dans la crypte rebaptisée salle de mouille par Séverine. SDM fut leur code secret leur chiffre elle ne vivait que pour se retirer là en bas. Elles y dormaient parfois. À part le jeune garçon si mignon, nulle créature, navait séjourné ici depuis quelles avaient pris possession des lieux. Stefan  était trop peureux pour révéler quoique ce soit. Marion sétait autre chose. Elles la firent entrer à coup de trique la précipitant cruellement contre la paroi voutée .Emma eu la fugace pensée  que lirréparable était en train de se produire quun crime effroyable allait se commettre et cela la fit mouiller. Elle découvrait à la lueur des 6 candélabres la beauté de sa petite préceptrice. Marion debout ! Tu as lair débile avec ta bougie dans le con. La fille cambrée tenait inutilement  ses mains devant ses seins. Marion nous allons nous amuser de toi tu veux bien ? Tu es payée pour toccuper de moi et bien tu vas faire encore mieux que dhabitude en te laissant faire selon mes fantaisies. Quen penses-tu mon amour ? Je ferai ce que vous voulez ….Nous allons  jouer à un jeu amusant. Séverine ouvrit une armoire dans laquelle les deux perverses avaient accumulé au fil des jours tout ce qui pouvait un jour service à faire souffrir une victime, ce qui pique, coupe, cautérise, lie perce, brûle, casse, fouette. La maison Stein avait été dévalisée des pinces pincettes fouets à chien cravaches badines aiguilles épingles fil barbelé cordelette marteaux sécateur. Les filles avaient souvent fantasmé se menaçant lune lautre de se tailler le clito ou de souvrir les seins. Elles se fouettaient,  sattachaient de toutes les manières possibles. Le fil de pêche était fort apprécier pour lier tétons et clitoris. Des heures à se branler. Lorsquelles eurent fait  le tour de ses plaisirs elles comprirent quelles devaient trouver dautres choses pour jouir.  Cette sotte de Marion était tombée à point nommé comme une bécasse en plein vol entre les pattes de deux renardes en chaleur.


Séverine libéra la chevelure ramenée en chignon. Un flot mordoré coula jusquau milieu du dos. Emma avait pris les deux seins et les pressaient sporadiquement rapprochant les bouts assez forts essayant de les frictionner lun contre lautre. Ces privautés quelle même navait jamais eues envers sa propre chair Marion les enduraient de sa jeune élève. Elle en tirait une singulière impression de bien être, soulagée que sa personne ne soit plus à sa charge, quelle nait plus à prendre linitiative de pécher, prête inconsciemment à payer le prix de son renoncement. Ses distrayantes mamelles excitaient des pensées cruelles. Séverine banda les yeux de la patiente et serra bien fort. Et bien jouons maintenant. Tu peux courir si tu veux ma chérie. Tu dois essayer de nous attraper. Et disant cela elle planta une épingle dans lépaule de la fille. Un petit cri de protestation déclencha un rire étouffé et vicelard dEmma. Alors connasse dis voir qui ta fait cela, dis le vite sinon çà va recommencer. Cest vous Emma jen suis sûre. Perdu mon amour cest Séverine ! Une seconde épingle vint se ficher dans le plein du sein droit. La douleur plus vive la fit reculer elle se heurta à Emma qui la retient un instant dans ses bras et lui baise les lèvres tout en lui donnant un coup de genoux dans la chatte. Tu vas encore dire que cest moi ? Et pendant quelle contient la pauvrette Séverine en profite pour enfiler plus de 10 épingles dans les fesses et par-dessous dans lanus. Emma jouit des soubresauts de la victime.


Marion relâchée savance au jugé, mais un pied judicieusement placé sur sa trajectoire  lenvoie à terre ou elle reste à sangloter. Assez de faire belle figure les nerfs lâchent pour la plus grande joie des deux tortionnaires. Fainéante, debout, hurle Séverine que les parois capitonnées encouragent à des excès de violence verbale. Debout salope. Lorsquelle est debout on ôte le bandeau : elle se trouve face à un miroir en pied ou elle découvre les dizaines dépingles qui ornent sa peau. Elle étouffe un cri de détresse. Marion je suis sur que vous êtes une hypocrite on ma dit beaucoup de choses sur vous, sur les bites que vous trayez le soir dans létable ou les gars du village se font sucer, avouez ma chérie que je dis vrai. Secouée de sanglot la fille se contente de remuer la tête sans répondre. Vous voyez je dis vrai. Montrez nous comment vous vous masturbez. Cest le mot que vous employez nest ce pas ? Ne nous faites pas attendre masturbez vous donc face à ce miroir ma belle. On sinstalle sur un tapis douillet cuisses ouverte de chaque côté de manière à ce que chacune est en vue la chatte des deux autres. Le rouge aux joues la jeune puritaine ne sait comment débuter. Ferme les yeux çà ira bien conseille Séverine la plus experte des deux branleuses. Marion ferme les yeux incline un peu la tête, lèvres entrouverte. Une de ses mains coule doucement bien à plat sur son ventre et vient lentement à la rencontre du con. Entre le pouce et lindexe de sa main libre elle pince un téton quelle malaxe doucement.


Sa main fait merveille dans la fente ses doigts gracieux remuent la chair intime, de petits mouvement réguliers. Glissant à lentrée du con, chercher la mouille qui point pour en enduire le clitoris encore caché.  Fouettons-la, murmure Séverine que la belle irrite fort. Oui je suis sur quelle aime souffrir la chienne, murmure Emma. On va te battre Marion, très, très fort mon amour... Tu promets de ne pas arrêter de te branler hein ? Oh je promets. Pinces toi bien les seins. Fais-toi mal. Le mélange de douleur et de plaisir met notre salope dans un état tel que les deux complices ont du mal à reconnaître la ravissante idiote. Son visage soudain épanoui exprime la plus pure volupté, les narines dilatées, le souffle court, elle se branle avec ardeur battant lentement des cuisses. Séverine martiale, le fouet à la main, observe sa cible et porte un coup sec sur les fesses. Le bond de Marion est exquis. Emma sent la mouille abonder à son con. Elle adore les contorsions des suppliciées. Hum que les bourreaux ont de la chance pensa t elle,  aucune victime ne danse pareillement, quel régal de voir chaque jour de nouvelles filles se déhancher au rythme des coups!....


Séverine distribue lentement cinq coups de fouets séparés par  de longues pauses masturbatoires. À quelques mouvements de bassin, quelques soupirs, Emma sent venir lorgasme de la préceptrice. Trop tôt pense t elle. Arrête à présent mets les mains dans le dos. La fille reste debout haletante. Emma se met debout et enlace la fille plus grande quelle. Elle dévore sa bouche. Brûlez-lui la chatte Séverine. Posant un doigt sur les lèvres de lange elle menace : on ne bouge pas daccord …oh maitresse. Cependant Séverine accroupie entre les longues jambes promène la bougie dont la flamme jette dadorables reflets sur la peau veloutée. Arrivé  en haut de la cheminée la dansante petite lueur se couche dans les plis du con qui grésillent. La douleur doit être fort vive mais Marion sabandonne toujours au baiser sans fin de sa petite maitresse debout sur la pointe des pieds. Séverine jalouse sans doute sécarte du but et va rôtir lanus la peau des fesses au galbe adorable faisant venir des larmes en abondance sur les joues de la belle. La putain embrasse divinement. Sa langue fait des merveilles. Emma en nage tente dattirer lattention de la cruelle esclave à la bougie. Elle doit lui donner un coup de genoux dans le menton pour obtenir du secours pour sa chatte en feu. Séverine reprend ses esprit et se met tout de suite à travailler le joli con glabre de sa maitresse. Cependant le cul torturé de Marion soffre à elle aussi et elle en profite pour le doigter légèrement. Séverine aime jouer des deux mains et sen tire toujours à merveille. Le couple de plus en plus soudé a oublié la branleuse à genoux. Emma laisse pendre une main et empoignant sa compagne par la chevelure la tiraille en tout sens. Emma sent le corps de Marion sabandonner, elle ressent la douceur de cette peau au grain si doux si différent de celui de Séverine. Le baiser soudain devient passionné et les deux filles sont en phase. Emma fouille la chatte de Marion et timidement celle-ci lui rend ses bienfaits.


Séverine soudain se sent de trop et sécarte amusée tout dabord mais vite dépitée de voir la mouille abondée aux deux chattes. Quittant un instant la bouche de sa compagne Emma sécrie : « Séverine couche toi sur le dos à mes pieds, couchée salope, vite. » Séverine sait quelle doit toujours offrir son corps à la seconde-même ou la demande impérieuse est formulée. La voici au pied du couple le cœur gros. A peine est elle là, grande ouverte,  quelle sent Emma monter sur ses seins entraînant Marion qui sinstalle sur son ventre. Les deux amantes en équilibre instable reprennent leur enlacement se dévorant et piétinant la belle salope brune. Marion ne sait plus ce quelle fait. Elle piétine ce doux tapis de plus en plus violemment. Les hurlements de Séverine accélèrent lorgasme dEmma qui entraine dans sa chute sa belle préceptrice roulant sur le corps tout chaud de Séverine. A foutue salope tu nous as fait tomber se relevant toutes deux elles donnent de violent coups de pieds dans la pauvre Séverine visant seins et chatte de préférence. Hum Marion quelle folie tu vois comme cest bon mon ange de maltraiter une esclave comme Séverine, je deviens folle….Oui folle de désir de rendre à cette chienne ce quelle mérite.


Séverine jappe comme il faut les yeux levés vers le couple attendant la prochaine foucade dEmma. Tu sens comme cest bon de faire souffrir une vulgaire servante ? Tu nas pas joui mon cœur mais je vais te faire mourir de plaisir. Tout en parlant elle avait tendu un cordage dacier torsadé dun mur à lautre.  Le filin pendait en son centre et devait se tendre progressivement au moyen dune manivelle jusquà atteindre 1, 20 de haut. Cest là quelles conduisirent Séverine jambe écartées au dessus du câble posé sur le sol. Mains jointes dans le dos reposant sur les fesses Séverine avait naturellement prit la pose soumise quelle adoptait dordinaire lors de ce genre de séances. Elle sétait toujours réjouie de combler sa maîtresse par cette attitude gracieuse pleine dabandon consenti. Mais cette fois cela allait trop loin elle se sentait humiliée, supplantée par une jolie petite conne quà peine deux heures au par avant elles méprisaient toutes deux.


Emma sentait sa petite chatte palpiter. Quelque chose de nouveau survenait,  une complice pour laider à torturer Séverine. En caressant la préceptrice elle avait ressenti toute le putinerie la plus prometteuse,  bien plus putain et bien plus imaginative que cette pauvre Séverine qui  allait tomber en disgrâce et cela faisait mouiller Emma. Le con ruisselant, elle devint comme ivre. Prenant par la taille celle quelle allait torturer elle lui dévora la bouche la mordant cruellement jusquau sang.  Puis attirant Marion elle lui céda sa place et Marion dévora à son tour la bouche de la victime se laissant aller à jouer avec les seins rebondis et les fesses, incrustant ses ongles dans la chatte.


Séverine sentit la peur lenvahir. Au même instant elle entendit le bruit du treuil et le câble se mit à grincer entre ses cuisses. Le filin monta très doucement tandis que Marion continuait de la caresser. Lorsque le câble effleura sa cuisse un peu au dessus du genou elle eu geste instinctif de défense et ses mains quittèrent leur position dans un geste de protection. Un coup de badine claqua et vint barrer le joli cul dune marque incarnate. Elle reprit sagement la pose.  Emma se branlait tout en caressant du bout de la trique de bambou la croupe gracile de la jeune victime.


Le filin atteint enfin sa cible et tendu il contraint la gueuse à ce mettre sur la pointe des pieds pour ménager sa petite chatte. La vue du gros câble torsadé écrasant les délicates babines de la jeune fille accélérait la masturbation dEmma. « Laisse là Marion tu ne vas pas la supporter toute la nuit il faut quelle se démène toute seule vient plutôt dans mes bras.  Hum tu aimes la voir souffrir ? » « Oui maitresse elle le mérite elle est si jolie et jen suis si jalouse. » « Tu nas plus à être jalouse regarde comme elle est punie la salope. » Enlacées elles se dévorèrent longuement la bouche tout en échangeant leurs mains et leurs cons.


Elles ne sinterrompaient que pour se moquer de la belle dont les jambes tendues sur la pointe des pieds sétaient mises à trembler de plus en plus fort. « Tu vas voir quelle va pisser il faudra la punir dès que çà va arriver » Elles guettaient le moment ou elle allait lâcher. Emma donna un brusque mouvement à la corde dacier qui ondula  et souleva le cul de la belle funambule.


Séverine poussa un hurlement elle était à présent  en équilibre instable à califourchon, le câble enfoncé profondément dans la fente de la chatte, le bout des orteils aux ongles faits en mauve effleurant à peine le pavé gluant. Les traits révulsés ladorable visage de Séverine  aurait dû inspirer de la pitié aux deux branleuses qui ne cessaient de se toucher pendant ce temps. Mais au contraire sétait la montée du désir de voir souffrir qui leur venait au creux du ventre tandis quelles poussaient des gémissements de délices. Marion les yeux agrandis poussait « un OOOOOh non !!!! Mon dieu que cest bon !! Que cest bon !! »  Elle voulu à son tour  faire vibrer la corde et fit si bien quelle désarçonna la jolie putain après lavoir soulevée de plus en plus haut incrustant le câble dans le con, meurtrissant les grandes lèvres si férocement que le sang commença de goutter le long du fil dacier puis au sol. « Elle pisse !!! Punit cette chienne ! » Alors une dernière traction plus forte encore envoya la belle funambule voler en lair.  Elle tomba à plat ventre avec un bruit mat et commença de hurler très, très fort.


Les deux complices se précipitèrent pour la remettre en selle tout en linjuriant et lui tirant les cheveux, lui frappant les seins. Mais cette fois ou lui lia les chevilles avec de la corde à piano et lon tendit ces liens dans des anneaux fixés au sol. Emma lui menotta les poignets dans le dos avec du fil de fer quelle serra avec une pince trouvée dans la vaste armoire aux accessoires. Puis elle passa autour du cou un collier en cuir frangé de grands clous auquel pendait une lourde chaîne. Marion grimpée sur une chaise passa lanneau terminal à un ancien crochet déquarrissage. La belle pouvait sendormir elle serait réveillée dans sa chute et reprendrait la pause sans que personne ne veille.


Emma approcha une lampe à pétrole du câble, tout prêt des fesses de sa servante et, relevant le verre, mit la flamme nue en contact avec le métal. Il ne fallut pas longtemps pour que le câble soit chauffé à blanc et que la chaleur gagne le cul écrasé : la fille se mit à se tordre en hurlant.


« Marion bâillonne là jen ai assez des jérémiades de cette idiote qui aime se faire remarquer ! Je déteste çà ! Çà me gâte mon plaisir». Marion lui emplit la bouche avec sa petite culotte avec interdiction de recracher.


Marion était hors delle, échevelée les yeux agrandis par la passion, la chatte ouverte dune chienne en chaleur. Emma ne cessait de mouiller elle se demandait quand allait sarrêter cette scène. Pour la première fois elle sentit monter un désir impérieux de saccager la chair dune fille. Elle avait imaginé bien dés scénarios barbares pour se branler mais elle navait jamais imaginé passer à lacte. Elle cessa de faire chauffer le cul adoré et reposant la lampe elle entraina Marion sur un divan. Après sen être fait doigté et léché elle murmura exaltée à son oreille tout en lui enfilant son index dans lanus :


« Ecoute mon amour si tu veux tu prendras la place de cette putain dans mon cœur, dans mon con !!!! Prouve moi que tu es plus pute quelle plus cruelle plus vicieuse, aide moi à la faire disparaître à jamais !... »



Emma sexprimait avec lautorité naturelle dune jeune aristocrate et Marion malgré son âge  se trouvait subjuguée. Un frisson la parcouru, elle mouilla.


« Détachons cette salope pour quelle ne se sabîme pas plus pour le moment jai envie delle encore et son con est déjà dans un triste état !...  laissons la méditer sur son sort nous reviendrons la voir quand nous aurons bien réfléchi à ce que nous ferons de son cul. »

Mais elles ne se résolvaient pas à partir. Elles tourmentèrent encore leur victime puis la détachèrent au bout de deux heures au cours desquelles elles se donnèrent encore beaucoup  de plaisir, variant les tourments, les invectives, les cruautés, savourant létat de détresse et les cris de leur amie.


Séverine en chaîne, un énorme collier à clous inversé autour du cou  fut abandonnée sur le pavé. Au moment de la séparation elle saccrochait aux chevilles dEmma mouillant les jambes de ses larmes ; Oh maîtresse tuez moi toute de suite mais ne mabandonnez pas, tapez moi encore, enfilez moi un pieu dans le con, je veux bien essayer les chevaux pour vous oh coupez mes seins comme vous le vouliez une fois vous vous souvenez je vous ai dit oh oui ils sont à vous. Emma était au comble de lexcitation le souffle court elle se mordait les lèvres jamais elle navait espéré un tel spectacle un tel abandon avec quel plaisir elle caressait la chatte de Marion toutes deux serrées blotties délictueusement lune contre lautre et cette jolie chienne à leurs pieds. De solides coups de trique furent nécessaires pour quelle renonce. Un dernier coup de pied nu dans  la chatte toute meurtrie et les deux âmes damnées firent lobscurité complète dans  la salle de torture  après avoir souhaité que de nombreux rats et souris viennent se délecter de leur proie.  Elles refermèrent la porte en lourd métal à double tour et montèrent dans la chambre dEmma ou après sêtre baignées elles se mirent au lit et se branlèrent en pensant à ce quelles venaient de faire avec Séverine. La remembrance détermine souvent des flots de mouille. Puis Emma se leva pour lire le contrat dasservissement de son esclave. Quen penses-tu mon amour ? Tu veux signer le même avec moi ? Marion se jeta à genoux entre les cuisses de sa maitresse en sécriant oh oui jen meurs denvie ! Emma la laissa lécher sa mouille quelques instants puis elle se frotta vigoureusement  sur le joli visage de Marion et jouit en murmurant des atrocités à propos de Séverine. Si tu veux signer le contrat il faut que tu inventes un supplice extraordinaire pour cette vilaine petite conne !


Marion le visage luisant de mouille promis quelle serait exemplaire ! Elle avait envie de redescendre tout de suite à la cave. Emma du la calmer avec sa langue et ses doigts délicieux et elles sendormirent dans les bras lune de lautre se promettant des délices infinies.


Au réveil Marion pelotonnée contre sa maitresse la caressait très doucement. « Humm ma chérie déjà prête ! Quelle impatiente tu sais jaimerais bien jouer un peu avant de redescendre, faire un peu de vélo ou encore plonger dans la piscine et se faire un peu bronzer » Après le déjeuner les deux filles samusèrent comme dinnocentes gamines en maillot de bain dans le soleil de lété. Derrière une haie un jeune homme les regardait avidement car elles étaient succulentes ! « Oh maîtresse on nous espionne…Oui je sais je crois que ce corniaud est le jeune lad récemment engagé il est assez mignon et je le pense vicieux mettons nous toutes nues ma chérie, il va sortir son oiseau dans la haie et je ne serai pas étonnée quil pleuve du jus de couillon. » « Les garçons sont rares par ici celui-ci percher dans son arbre est venu à point : jai envie de voir un dépucelage je nen ai jamais vu de ma vie quen penses tu ? » « Voir … que voulez vous dire ? » « Je veux dire que je tu vas offrir ton cul à ce rustre pour me faire plaisir… » « Oh je sais que tu es un femelle très romantique mais cest lui que je veux pour toi et puis je nai pas envie dattendre dailleurs cest cela ou lâne comme Séverine… » « Oh Maîtresse pas lâne je préfère une verge de garçon... » « Petite connasse hum tu mérites que je te morde les seins dêtre aussi gourde ! » Et ce disant elle mordit si fort lauréole du téton gauche que sa bouche semplit de sang. Les filles dès que débarrassées de leurs maillots plongèrent dans la piscine pour en ressortir très vite ruisselantes et très excitées.


Elles se laissèrent tomber sur les serviettes et senlacèrent pour lutter tendrement  noubliant pas doffrir des échappées lubriques aux regards du jeune voyeur qui bien sur sastiquait.


Elles roulaient sur elles-mêmes et à dessein se rapprochaient de la haie. Ce fut Emma qui reçu les première gouttes dun sperme chaud et lourd. Elles lui vinrent dans le creux de reins tandis que Marion sondait à deux doigts son jeune con. Elle poussa un léger cri et ajouta « oh oui Marion branle moi fort, fort… » Et un second trait de foutre vint joliment lui orner les épaules tandis que dégageant son visage Marion située sous sa petite maitresse guettait un peu de crème.


Elle ne fut pas déçue, le jeune homme sans retenue vidait des couilles sans doute trop pleines et son bouquet final atteint la fille, la balafrant de la joue au front, maculant  un œil aux longs cils qui se ferma aussitôt. « Allons, descend jeune salaud,  vite vient pendant que ta queue est encore raide lui commanda Emma qui bien que pucelle elle-même adorait faire mettre ses compagnes ». Le garçon en débardeur et jeans, débraguetté, le vit encore roide tomba sur ses deux proies et tout de suite fut pris en bouche par Emma qui le suça, et, tout en exprimant le reste de jus, lui redonna de la vigueur. Tandis quil quittait son débardeur, Marion le débarrassait fébrilement de son jeans et de son slip pour le laisser nu comme un ver.  Sétait un grand adolescent musclé au visage dangelot auréolé de boucles brunes. Sa main longue et assez fine tenait bien fermement un tuyau à foutre dun beau diamètre terminé par un très beau gland joli comme une friandise. Le contact des épidermes si doux et si parfumés suffit  à  faire rebander le lad aussi fort que les étalons dont il avait la charge. Emma le branla aussi à la main sur ses seins tout en le dévisageant. Limbécile était mignon mais niais et malgré tout semblait gêné de ce quon faisait à son chibre. Habitué à la branlette il avait des réticences à ce laissé traire. Dès quil fut prêt la vive petite fille labandonne loutil tressautant dans le vide et fourbis la chatte de la vierge Marion. Celle-ci les yeux grands ouverts gémissait en attendant lexécution de la sentence. Les doigts dEmma jouaient un menuet assez rapide et le clitoris turgescent pincé gentiment conduisait la fille au bord de la crise de nerf. Dun geste gracieux Emma amenait déjà la queue suivie de son propriétaire dépossédé et le gland fut bientôt contre la fente. « Maladroit tu ne trouve pas le chemin tout seul ? » Elle du faire la mise en place et une claque dEmma sur le cul du fouteur détermina un solide coup de rein et le gueux, plus vigoureux que malin, fini au fond de la chaude putain.


Dès lors linstinct pris le dessus et assez bien il lima la jolie Marion  sous les quolibets dEmma qui le traitait de verrat. Cependant Marion ne faisait pas la fine bouche et dévorait le garçon à pleines lèvres les seins raides le cul agité de mouvements amples et souples. Le limage dura longtemps mais la perverse Emma se doigtant légèrement restait attentive. Dès quelle su que le foutre allait  combler la matrice de son amie elle tira vigoureusement le garçon en arrière et se coucha sur lui pour lui pomper la bite à lodeur de mouille et de foutre. « Oh non !! Voleuse !!! » Ne pu sempêcher de gémir Marion qui sanglota dune telle injustice. Emma lui décrocha un coup de talon entre les cuisses tout en pressant les couilles lourdes et bien fermes dans ses mains nerveuses à les écraser enfilant toute le tube dans son gosier jusquaux amygdales à en vomir. Le jet de foutre la combla envahissant toute sa bouche et refluant entre ses lèvres et la bite et sécoula doucement sur son menton. Emma voulait pour elle le fruit du dépucelage comme un droit de cuissage. Elle déglutit longuement le foutre frais en se touchant doucement.


Le garçon hurla, mais curieusement se laissa martyriser. Quand le calme revint le garçon reposait dans lherbe sur le dos immobile vide. Emma demanda à loreille de Marion comment sappelle ce porc ? Joris mademoiselle ; lidiot restait muet encore stupéfait par ce quil venait de vivre.  Quel prénom stupide mais quelle belle bite, humm cest une bite comme celle-là qui me dépucellera et aucune autre mais rien ne presse ma chérie ! Regardes Marion le salaud bande encore ? Oh mademoiselle et si on lemmenait avec nous dans les caves suggéra la belle en essayant une larme, oubliant déjà linjustice dont elle venait dêtre victime ? Hummm tu as sans doute une belle mise en scène à me proposer ? Tu sais le risque que nous courrons si jamais il parle …Oh il ne parlera pas croyez moi je ferai ce quil faut. Emma frémit doucement.


Le garçon ne fit pas de manière pour suivre les deux filles. Jamais il navait profité dune aussi riche aubaine et il était parti pour bander des jours durant si rien ne venait larrêter. Il accepta un bandeau très serré sur les yeux et se laissa guider tout nu tenu par la bite par Marion qui riait beaucoup de cet attelage tandis quEmma fermant la marche lui distribuait des claques sur les fesses. « Hum cest bon de serrer cette chose chaude dure et à la peau si douce jai bien peur dêtre un peu infidèle aux chattes si jamais je me mets à jouer de cette flute ! Quel âge as-tu Joris ? » « 16 ans mademoiselle … »  « Tu nencules jamais les juments ajouta telle en serrant cruellement le gland du garçon entre pousse et index ? »  « Haïe mademoiselle ; »  « hum jaimerais te la cueillir, ta bite, » et disant cela elle se cambra vers larrière et frotta le gland martyrisé dans sa raie culière .Elle  éclata dun  rire cristallin amplifié par les voussures des souterrains et qui dût parcourir des kilomètres dans lobscurité et lui  sottement cru devoir ricaner. Il bredouilla « je préfère me branler en vous regardant mamzelle». « Quel compliment ! Lâne de Séverine nen naurait pas fait de meilleur. »



Le trio  avait atteint la galerie la plus profonde du château, le lieu ou aux siècles anciens les brutaux Margraves Von Stein resserraient les provisions en jeunes filles nécessaires aux distractions des longues journées dhiver. Les cellules pouvaient accueillir jusquà cent jeunes filles de 7 à 15 ans environ. Le goût de lépoque allait vers les vierges dont on disposait sans restriction. Lennui et le désœuvrement aiguisaient limagination sadique des maîtres et des atrocités inouïes furent commises, soigneusement consignées par des clercs pervers et illustrées de fort belles enluminures. Selon les époques  les adorables truies étaient plus ou moins biens traitées avant usage.  Il fallait toute fois quil ny ait pas trop de perte et que les demoiselles  ne soient pas trop amaigries car on en consommait parfois toutes vives à peine dépecées et passées au gril. Emma était enchantée de trouver dans le passé sulfureux de ces ancêtres les origines de ses passions. Elle passait des heures  dans les vastes archives ou elle senfermait avec Séverine à qui elle lisait les étonnantes descriptions  de supplices. Elle reprochait souvent la rustrerie et le manque de raffinement de certains supplices et se jurait de surpasser ses ancêtres.

Ces recherches toujours entrecoupées de caresses sexuelles alimentaient son imagination débridée. Séverine à ses côtés ne se doutait pas quelle était lobjet de ses fantasmes les plus extrêmes. Emma jouissait en serrant dans ces bras celle a qui elle réservait les pires horreurs.


Cependant Marion et sa petite Maîtresse étaient parvenues  à la lourde porte si bien insonorisée. Nul bruit nétait audible. Emma pétrit instinctivement la bite de Joris tandis que Marion levant la lampe tempête cherchait Séverine dans toute la pièce ….Maîtresse ou dirait quelle a disparu en effet la prisonnière était introuvable. Sur le paillasson au pied de lanneau qui lenchainait les filles découvrirent la laisse et le collier scié ; la chienne sest enfuit mais comment cela est ce possible ? Elles inspectèrent la pièce en détail et découvrirent une lame de scie à métaux ensanglantée au pied dune des armoires de torture. Oh maitresse larmoire a été bougée et derrière il y a le départ dun  égout assez large pour sy faufiler. La salope va se faire bouffer par les rats allons Joris prend la lampe et poursuit cette pute elle est blessée elle doit sans doute se trainer et peut être est elle tombée dans un cul de basse fosse ; tu pourras faire ce que tu veux delle aussitôt attrapée je te le promets mais je la veux vivante … Cependant que le garçon obéissant partait en chasse comme un furet la bite raide les deux amantes discutaient des supplices à infliger à la belle tombée en disgrâce. Elles furent vite convaincues que Séverine ne pourrait tout supporter cependant elles ne pouvaient renoncer à aucun traitement. Marion savérait beaucoup plus cruelle que Séverine et surprenait Emma. Humm divine complice foutue petite putain dissimilée sous les traits dun ange.  Des hurlements vinrent rapidement les avertir que Joris avait rempli sa mission et recevait un acompte sur sa paie. Et dix minutes plus tard le garçon apparut tirant par les cheveux la fille toute maculée de boue et de foutre, écorchée et tremblante de froid. Elle était tombée dans un piège et a faillit sempaler sur un gros pieu heureusement elle est restée coincée entre deux rochers. Les deux amantes sétaient mutuellement  dévêtues tout se caressant elles étaient déjà fort excitées.

Un lavoir dans un angle permis à Joris de la récurer à leau glacée de la frotter à la brosse et de la bouchonner jusquau sang comme une jument. Elle sortit rose et fraîche prête à servir. Elle tomba à genoux tremblante et muette les joues toutes conchiées de larmes et de foutre et  devant ses deux tortionnaires ces grands yeux levés vers sa maîtresse imploraient la compassion. Chienne fuyarde voilà comment tu me sers voilà comment tu mobéis conasse jai toujours su que tu nétais quune petite branleuse incapable ! Oh oui  maîtresse…. ! Fermes là saloperie ne me fais pas entendre ton stupide commentaire, tu nas droit que de gueuler quand on samuse de ton cul et encore si cela nous plaît… Hum Marion elle méchauffe cette garce ! Joris debout derrière la fille lui tenait la tête à deux mains ; regarde ma chatte regarde vilaine oie comme tu me fais du mal comme jai le clito gonflé à cause de ta gueule de pute allons tire la langue et lèche moi. Marion écarta ses longues cuisses offrant à voir le con le plus délicieux du monde et Séverine oubliant son malheur se précipita sur cette aubaine toute emplie de mouille. Retiens là Joris allons tire la langue plus longue connasse et la pauvre gosse dardait sa petite langue mais ne parvenait pas à la chatte ; Joris samusait à la tenir en respect à quelques millimètres de la fente dégorgeant de mouille de Marion. Emma profita de ces tentatives pour saisir la langue de la pute à laide dune pince aux mâchoires garnies de dents et elle tira comme on extrait un escargot de sa coquille puis de lautre main elle la transperça plusieurs fois avec une longue aiguille. Marion cria « Ouah oui  mon dieu !! » Joris qui frottait son long chibre dans le cou de la belle se remit à bander ; « Tu nas jamais vu quelque chose daussi beau  jeune jean-foutre ! Cest bon hein ? », Lança Emma de sa voix harmonieuse et pleine dautorité. Le sang de la fille gouttait sur ses seins et Marion colla sa moule sur la langue suppliciée qui malgré la douleur se mit à la servir assez bien. « Tiens, jeune chien, pique lui le cul au lieu de te branloter contre sa tête au risque de lui faire un champoing au foutre. Au fait tu ne dois plus rien avoir dans tes petites couilles mon salop. » Elle tendit lépingle en acier de 15 cm de long et lui montra comment larder les fesses, la fente et lanus et par-dessous la chatte. Il sy mit aussitôt avec une ardeur insoupçonnée, Séverine donnait du cul en tout sens pour éviter les coups portés à laveugle « à présent amuse-toi avec ses seins ». Il saisit un sein à pleine main, le malaxe faisant saillir le téton quil transperce 5 ou 6 dois, pressant bien fort pour faire trisser le sang à défaut de lait. Séverine ne peut retenir de nouvelles larmes et malgré tout quelle ardeur sur la chatte de Marion qui sent monter la volupté. Emma sent elle aussi quelle a besoin dêtre secourue. Elle repousse doucement Marion pour prendre sa place. Ma chérie serre lui le cou pendant quelle me lèche et toi encule Marion.


Marion se penche et offre sa croupe, sa fente en désordre au jeune fouteur qui à demi bandant se fourre dans le con tout chaud. Ce contact ajoute à la crise Marion sent venir un orgasme et involontairement serre très fort à deux mains le cou gracile auquel elle sagrippe pour ne pas tomber sous les coups de reins du jeune lad.


Cependant Séverine est vite asphyxiée. Elle pousse des cris gutturaux et bave les yeux révulsés, toute pâle, prête à sévanouir. La langue raide comble Emma. « Hum foutue carne, dire quil ma fallut tout ce temps pour trouver comment jouir de ta foutue bouche. Attend Marion pas tout de suite hurle t elle essoufflée attend mon ange …  attend elle doit en subir encore avant de nous combler. Oh Marion vient dans mes bras jai des choses à te dire ma chérie ».


Joris reste la bite en lair … »Et toi ne tavises pas de te branler ». Séverine est tombée accroupie la tête en avant sur les genoux. Elle râle. Les deux filles senlacent debout dans lombre et murmurent un long quart dheure et quand elles se relèvent Emma baise longuement la chatte de Marion « fais le Marion, fais le pour ta maîtresse, fais le pour nous mon  cœur… » Marion fait signe à Joris de laider.


Elle prend deux crocs de boucherie, en donne un à Joris et relève Séverine en la tirant par les cheveux. Quand la fille aperçoit les crocs dans la main des deux jeunes gens elle tente de se jeter en arrière mais Joris dun geste précis perfore un téton dans une gerbe de sang et la retient ainsi tandis que plus méthodique Marion enfonce ces ongles dans le sein qui lui est dévolu tout en baisant les lèvres de la petite pute affolée par la tournure que prennent les choses.


Doucement Marion passe la pointe du croc sous le sein rebondi et soudain pousse et sent la pénétration du métal. La putain se met à pisser contre la chatte de Marion. Le doux jet tout chaud glisse dans sa fente. Joris sest relevé et donne des coups de bite en travers du  visage décomposé par la terreur puis il fixe des chaines dans les œillets des crocs. Les deux sont arrimées à un anneau qui pend de la voûte. Marion actionne un interrupteur et un treuil se met lentement à tourner hissant la pute centimètre par centimètre. Les seins se déforment peu à peu se distendent saignent en abondance ce déchirent tandis que la belle poursuit son ascension. La pointe des pieds quitte enfin le sol trépignant de détresse dans le vide. Empoignant les chevilles les deux complices écartent grands les jambes entre lesquelles ils enfilent une tige de fer aux extrémités terminées par des aiguilles quils piquent dans le plat des cuisses au dessus des genoux. Une fois le joli triangle formé Marion prend une lame de rasoir et saisissant le capuchon du clito entre deux ongles extrait le petit bout quelle fend dun geste précis. Séverine fait un bond terrible qui déchire un peu plus ses beaux seins. Joris qui se branle dune main reçoit un jet de sang. « OH Joris fourre lui ton poing dans le cul, jai envie de çà depuis si longtemps» lui demande câline Marion que la queue de son complice excite tout autant que le sacrifice quelle opère pour sa petite maîtresse. Joris écarte les fesses et longotte le trou du cul un long moment crache et pousse sa salive dans les boyaux de la salope qui tressaille daise. « Hum la chienne est en chaleur malgré les supplices ! » sextasie Emma vautrée sur le lit une main entre les jambes.



Le lad écarte le trou du cul à deux mains et, en force, entre dans le trou à merde poussant comme un damné comme pour inséminer une vache. « Marion enfonce lui la main dans le con en même temps ! » Marion jette un regard extasié vers sa maîtresse dont les idées décidément sont succulentes. Aussitôt Marion soccupe du con de la chérie quelle excite griffe fait frétiller sa langue dans le trou, tète, aspire et réussit à prendre position avec toutes ses phalanges en bouquet. Parvenue au milieu de la gaine distendue elle sent le poignet de Joris qui gêne un peu sa progression. Celui ci ramone et pistonne et Marion en phase avec lui monte dans le con. Ses bracelets tintent, les deux poignets se frottent à travers les parois internes dans une amoureuse caresse. Les doigts se sentent, fouillent pour se rejoindre, lacèrent, déchirent. Marion mouille comme une damnée. Séverine se cambre et saute en tout sens. Joris dont la queue sorne dun peu de foutre mord le beau cul de la fistée Marion qui lobserve, limite et mord la chatte ensanglantée puis les deux amants se prennent la bouche et tandis quils échangent un baiser de damnés, leurs ongles rompent les chairs entre les deux canaux à baiser et les doigts se joignent, triturent la chair interne, le sang gicle sur le sol. Joris qui connait lanatomie des juments cherche les ovaires quil arrache à la main et retirant la main les jette au milieu de la salle.


  Marion tend le con vers le garçon qui frotte son gland sur le pubis ruisselant de sueur et de sang. « Attend, attend un peu murmure la jeune femme à son dépuceleur attend faisons la taire ». « Il faut lui coudre les lèvres mes chéris » suggère Emma qui affalée sur le lit grande ouverte inonde les draps de mouille. « A toi Joris…… » Murmure Marion. Monté sur un escabeau muni dune grande aiguille et dun fil à suture le garçon à toute les peines du monde à contenir sa victime. Marion le branle sur ses seins puis le prend dans sa bouche. Elle goute le prêt jus avec ravissement tandis que le chéri fini de clore pour toujours la bouche de cette charmante putain. Descend vite Joris elle meurt de se faire prendre ta suceuse. Au pied de la victime secouée de spasme faisant entendre un drôle de râle en sourdine Marion à quatre pattes offres ses trous. Le con dégouline de mouille mais le jeune homme sans hésiter veut entreprendre lanus et commence à défoncer sa complice dont les beaux seins ballotent sous elle comme des pis. Marion les observe  en agaçant distraitement son bouton tout dur. « Oh mes chéris arrêtez, moi aussi je veux jouer » Elle se lève vivement court à larmoire et revêt une ceinture munie dun chibre en cuir au profil de massue quelle soupèse et ajuste bien. Lentre cuisse bien harnaché repose sur un coussinet garni dune douce brosse destinée à branler son clito. Relève toi salope Joris soulève là que je lui embroche son joli con. Et la mince Marion se retrouve prise entre deux ramoneurs vigoureux et rapides.


Joris collé à son cul lui mord la nuque, Emma lui arrache la langue. Elle ne tarde pas à hurler de plaisir. Emma déconne et laisse Joris, qui a déjà beaucoup perdu de crème,  tenter un nouvel orgasme. Emma sest relevée les joues en feu belle à damner si jeune et si impressionnante de putinerie elle enlace Séverine tire sur le corps déchirant à demi les mamelles quelle a tant adoré puis enfile son bras jusquau coude entre chatte et cul et sagrippant à tout ce quelle trouve elle vide la petite servante de ses boyaux qui sécoulent avec un doux bruit sur le couple qui baise à ses pieds. La petite accrochée se tord en lair en tout sens comme un poisson hors de leau et la main dEmma aux ongles peints en rouge retourne à larrachage. Lautre main accompagne ces monstrueuses explorations ne se retirant que pour frotter contre sa chatte quelque viscère chaud et doux. Bientôt Séverine cesse de remuer. Emma prend un couteau et tranche le sein droit qui reste ainsi en lair au bout du crochet, extrêmement lubrique. La fille emportée par son poids déchire lautre sein et tombe à terre. Emma se place à cheval sur le visage de celle qui fut son amante et se frotte longuement, lentement sur la bouche aux lèvres cousues en une moue de salope, accompagnant le  balancement de son joli cul dun jeu de poignet souple entre ses cuisses, jouant du clitoris comme on joue de la harpe. Joris qui contemple la scène pousse des « plus fort, plus fort !!! » Marion échappe à la bite du garçon et se penche sur le visage de lagonisante qui repose la tête dans ses viscères.  « Tranche-lui le cou Marion… !!! Comme tu me las promis !!! Mais très doucement mon cœur sil te plaît je ne suis pas encore prête à jouir, lentement oui ... » Emma se recule et tout en se branlant encourage la jeune préceptrice qui commet son premier crime la main un peu tremblante le corps parcouru de frissons. Alors que la lame touche la peau mate et douce elle sent sa chatte sentrouvrir, son clito de nouveau pousse comme un petit champignon après la pluie  et la mouille lui vient. Elle à envie dembrasser celle quelle va égorger elle a envie de lui dire hum merci vilaine petite pute pour le plaisir que tu vas me donner.  Le couteau fend la peau sous le menton Joris flatte le trou du cul dEmma le couteau fait dabord un mince filet vermeil mais lincise se précise et la lame bien aiguisée entre plus vite dans le cou et bientôt le sang gicle par la gorge à demi sectionnée le garçon enfile un doigts dans lanus soudain détendu de sa belle maîtresse qui se cambre pour jouir alors que les yeux implorants de Séverine ne quittent pas ceux dEmma et semblent hurler « Oh mon amour je savais quun jour tu me voudrais toute ». Tandis quEmma        sécrie de sa voix de gamine  « Foutue putain çà te plais de crever pour moi hein petite ordure ? » tout en senfilant trois doigts dans le con et se pistonnant nerveusement.  Marion accroupie et penchée en avant tranche à présent la jugulaire et le geyser de sang attendu gicle fort et haut comme une jutée de taureau Emma qui nen peut plus pousse un cri sauvage et prenant la tête détachée la porte à sa chatte pour la frotter de longs instants pour jouir…

Emma tremble soudain très fort se relève et grande ouverte se branle en pissant sur le buste déchiré de la beauté massacrée. Joris bande à nouveau la bite douloureuse mais fou de cette bestialité il se colle au cul dEmma lui retourne la tête et lui dévore la bouche.

Séverine présente un spectacle fascinant pour les trois bourreaux.


« Humm Joris à toi, arraches lui le cœur et fourre le dans le con de Marion ». Le jeune lad furieux la bite raide sous son ventre musclé taille à la recherche du petit cœur quil extirpe prestement et sapprochant de Marion grande ouverte lui barbouille la chatte avec la pointe du muscle rose puis poussant fort au prix de quelques souffrances le fait disparaitre dans la chatte distendue de la jeune femme. Un ultime coup de bite du garçon lenfonce jusquaux ovaires.


Ce dernier épisode affole Emma. Reprise par une réplique dorgasme, elle remue la tête, révulsée, en hurlant « oh mon dieu Oh oui !....ah la putain !!! Comme elle ma fait jouir … »


Puis elle saisit Joris par la queue et lattire à elle couchée sur le dos. Elle sait que malgré ses multiples orgasmes le garçon ne la décevra pas. En effet fou de la plus belle petite fille quil ait jamais vue de sa vie le jeune homme la couvre se laissant guider par les petits doigts délicieux et se retrouve à lentrée du con de la vierge qui dun coup de rein vient à lui.  Il entre après une fugitive brûlure, dans la soie la plus fine, le con le plus souple et le plus lisse du monde. Sa trique va rester dure une demi heure au cours de laquelle ils saimeront jusquà lévanouissement,  tandis que le cœur dans le con, Marion ressenti le plus vif orgasme de sa jeune existence.


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