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Review This Story || Author: Coulybaca

Pour sauver son mari (Time served Part 1)(French)

Chapter 2

Pour sauver son mari

Pour sauver son mari

 

Chapitre 2

Coulybaca

Auteur : Bedo

Email : be_do_li_do@excite.com

 

 

En entrant dans la salle des visites, je vis plusieurs gardes assis aux  tables, regardant une personne étendue sur le plancher.

En m'approchant, je vis que c'était Vicky, elle était nue et avait les yeux fermés, ses jambes étaient largement écartées, son visage était gluant de sperme, il en débordait aussi de son chaton.

Je m'approchais me tenant tranquille.

"A qui le tour ? ...." demanda le gros sergent, un vieillard fit un pas en avant.

"Moi" Ils se mirent tous à psalmodier :

"Gramps..... Gramps. Gramps ..."

 

Gramps la releva et la disposa à quatre pattes.

"Je n'ai pas vu un si beau cul depuis la mort de ma femme ! ....Anderson tu apprécies le beau cul de ta femme ? ......."

 

A ces mots, Vicky ouvrit les yeux et à quatre pattes comme une chienne elle jeta un coup d'oeil circulaire et rencontra mon regard éperdu.

Elle me regardait fixement sans dire un mot,  quand elle vit que je ne pouvais lui être d'aucun secours, elle baissa tomber la tête et écarta les jambes plus largement pour que Gramps puisse plus facilement s'imposer entre ses fesses.

 

Il lui fouilla la chatte du doigt en extirpant quelques gouttes de foutre déposées par son prédécesseur, il en enduisit son trou du cul, puis il planta son doigt profondément dans son oeillet anal net le fit des petits cercles jusqu'au moment où Vicky d décrispa ses sphincters.

Lorsqu'elle fut bien relaxée, il enleva son doigt et remit plusieurs couches de foutre, puis il plongea deux doigts dans son trou du cul.

 

Vicky cria de douleur, cherchant à échapper à cette intrusion infâme dans ses reins.

D'autres hommes s'approchèrent et la tinrent tandis que le vieillard enfonçait ses deux doigts joints dans son fondement, un spectateur la gifla pour la faire tenir tranquille et lui colla dans la bouche un chiffon salle abandonné sur une table.

- "Eh bien mon jeune ami, regarde bien comment on prépare le cul d'une meuf ? ......Tout d'abord on lui met un doigt, qu'on agite lentement le temps qu'elle se calme. Puis deux, et on la laisse se calmer à nouveau ....... Tu peux ensuite planter ta bite dans son petit trou ...... Suivant les hommes, deux ou trois doigts ont à peu près la même taille qu'un gland .......

Si tu peux lui mettre deux doigts, alors tu peux lui mettre la bite, il rit alors heureux de sa plaisanterie. Le vieillard continuait à amadouer sa pastille commentant :

- "Il faut alors assurer qu-elle ne peut plus bouger, j'avais l'habitude de coucher ma femme le ventre sur un oreiller avant de l'enculer, elle n'aimait pas ça, mais elle savait qui était le maître de maison ! ......Si tu veux être le maître chez toi il faut enculer ta femme au moins une fois par mois ! .....Quand l'as tu enculée pour la dernière fois ? ....."

 

Je secouais la tête en haussant les épaules.

"Jamais... Je ne l'ai jamais sodomisée......."

Le visage fendu par un large sourire, le vieillard répliqua alors :

"Met toi derrière elle et encule la maintenant. Tu dois prendre charge de ta maison ......Viens, agenouille toi dans son dos et fais ce que je te dis ...... C'est ta femme ..... C'est à toi de lui casser le cul ! ........"

Comme j'hésitais, le gros sergent intervint :

"Ou tu encules ta femme, mon garçon, ou bien c'est Boone qui t'encule, à toi de choisir ! ...."

 

Vicky me regarda longuement et dit d'une voix sourde :

"Vas-y mon chéri..... Je t'aime....."

 

Je m'agenouillais derrière ma ravissante femme et posais mon gland à l'orée de son anus, j'hésitais à nouveau, le vieillard m'encouragea alors :

"Vas-y mon gars, fore ton chemin dans son intestin ! ...."

 

Je pressais alors lentement mon brugnon contre son oeillet, elle pleurnichait à gros sanglots.

Mon gland franchit son sphincter, je m'enfouissais lentement dans ses reins.

Une main posée sur mon épaule le vieillard me poussait dans le dos me forçant à empaler ma femme. Il me poussa jusqu'au moment où mes couilles frappèrent son anus distendu.

Elle crispait ses sphincters m'étranglant littéralement la hampe.

 

"Calme-toi..." lui conseilla le vieillard la dévisageant de près.

"Plus tu te raidis, plus tu auras mal "

 

Je la sentis se décontracter et j'entamais d'amples vas et viens dans son étroit petit anneau dompté.

Elle acceptait son enculade s'efforçant de se décontracter aussi continuai-je à l'enculer langoureusement.

 

Le vieillard me conseilla alors :

"Tu dois lui faire comprendre qui commande ! .... Tu dois la baiser rudement qu'elle sache que tu feras ce que tu veux d'elle et de son corps. Elle t'appartient .... Si tu lui fais mal, ne t'inquiète pas, elle en guérira ..... Et maintenant casse lui le cul bordel de merde ! .....

 

Sentant ses sphincters anaux s'assouplir, j'accélérais mon allure. Ses nichons se balançaient au rythme de mes coups de boutoir, ils frappaient son torse puis repartaient dans la direction opposée lui fouettant les épaules.

J'avais bien souvent assisté à ce spectacle dans le miroir en pied en  face de notre  lit lorsque je lui faisais l'amour.

Cela m'avait toujours prodigieusement excité le vieillard avait du voir des scènes du même ordre dans le passé, ça excitait tous les spectateurs.

Je la chevauchais rudement quelques minutes, après quoi, je fusais dans son intestin palpitant alors que le vieillard me félicitait.

 

"Bon boulot mon gars ! ....Continue..... N'arrête pas tout de suite....."

Je m'efforçais de m'enfouir totalement dans son anneau distendu.

"Arrête.. Je t'en prie. Tu me fais mal " pleurnicha-t-elle sourdement.

 

Le vieillard me conseilla rapidement :

"Continue à la bourrer...  C'est le meilleur moyen de la mater..... Dorénavant tu te serviras de son trou du cul selon tes désirs......"

 

Je continuais à, la molester en dépit de ses protestations, je finissais de me vider dans ses entrailles, puis-je m'extirpais de ses flancs pantelants.

Le vieillard prit ma place et d'un seul élan enfourna sa bite dans son trou du cul palpitant, il ne tarda pas à la chevaucher sauvagement, tout le mode fut surpris de le voir éjaculer cinq minutes plus tard, tout le temps de son enculade, Vicky pleura doucement.

Finalement, il jaillit à son tour dans ses profondeurs, son foutre se mélangeant au mien.

 

L'assistance regardait silencieusement Vicky bouger ses jambes ankylosées.

Avant qu'elle en termine le dernier garde se s'agenouilla dans son dos, il descendit son pantalon et son caleçon sur ses genoux et pénétra vivement sa foufoune

Fascinés, ils regardaient tous la jute s'écouler de son trou du cul lui engluant la hampe.

Alors qu'il la pénétrait, il introduisait du foutre provenant de son cul dans sa chatte déjà engorgée. Ses nibards dansaient épousant le rythme de ses coups de boutoir, il avait vu la ravissante jeune femme faire des pipes, se faire encorner et enculer, cela l'avait tant excité qu'il jaillit immédiatement.

 

"Eh bien Sanderson que penses-tu de tout ça ? ...... Aimes-tu voir d'autres hommes sauter ta femme ? .... Je suppose que non ! ...... De toute manière on s'en fout...... Elle viendra nous satisfaire chaque semaine jusqu'à ta libération...... Si l'on est pas satisfait de ses services, Boone aura une nouvelle fiotte à enculer. Toi bien sur ....."

 

Le gros sergent ordonna aux gardes de reprendre le travail  et s'assit alors que j'aidais ma femme à se relever. Elle fondit en larmes dans mes bras.

"J'ai mal... Si mal..." pleurnichait-elle à mon oreille.

"Je t'aime ma chérie.."

Elle commença à se rhabiller lorsque le gros sergent l'arrêta.

"Jimmy, où es-tu ? ...." demanda-t-il dans le combiné téléphonique.

"J'arrive" répondit Jimmy.

 

"Sanderson je vais te demander une faveur... Depuis des années on se partage les faveurs des épouses de prisonniers. Il s'est toujours fait les meufs que je venais de baiser ... Et réciproquement ....Il sera bientôt là .....Maintenant qu'on est d'accord, il te protégera ......"

 

Je vis alors entrer Jimmy et Boone, je regardais le gros sergent et dit :

"Pas lui. C'est lui qui en a après moi ....."

"Ca t'étonne n'est ce pas ? .....Eh bien maintenant il va te protéger..... Aussi longtemps que ta femme nous obéira sagement...... Que veux-tu Boone ? ......" l'interrogea le gros sergent, souriant à pleines dents.

"Que veux-tu lui faire ? ....."

Le colosse noir s'approcha de la femelle blonde et s'assit à mes cotés. Se tournant vers moi il m'avisa :

"Je veux baiser ta femme ! ..... Jimmy m'a dit qu'il t'avait cassé le cul ...... T'as aimé ça Sanderson ? ...... Je parie qu’oui ! ......" dit-il n'escomptant pas de réponse.

"Eh bien c'est mon tour maintenant ! ..... je vais la baiser avec la plus grosse queue qu'elle ne verra jamais...... Elle ne pourra plus jamais se satisfaire de ta chétive petite saucisse ! ......."

 

Se relevant, il se débarrassa de son pantalon.

"Viens ici salope ! ..." dit-il lui attrapant les tétons "Bordel ta poitrine est magnifique, n'est ce pas Sanderson...  Houai tu sais bien comment sont ses nibards ! ..... Ses tétons sont érigés... " dit les pinçant durement. Elle se recula cherchant à échapper à son emprise.

 

Le colosse attira Vicky à lui, la traînant par les cheveux.

"Ne fais plus jamais ça salope....." la menaça-t-il rageusement, elle se mit à trembler.

Il saisit ses deux  mamelons entre ses doigts et les pinça vicieusement, cette fois Vicky ferma les yeux, elle accusait la douleur, il la pinça jusqu'à ce qu'elle se mette à hurler et le supplie de cesser, il lâcha ses mamelons et pelota avidement ses seins.

 

"Ils sont vraiment magnifiques, je pourrai jouer avec pendant des heures... " s'esclaffa Boone.

 

"Tu n'as qu'un quart d'heure avant qu'elle ne nous quitte, elle revient la semaine prochaine.." le prévint alors le gros sergent.

Boone cessa son pelotage et la saisit par ses mèches blondes. Il s'étendit sur le sol et l'attira sur son lui. La tenant toujours par ses cheveux, il la força à s'accroupir sur lui intimant de se positionner au-dessus de sa bite.

Elle tâtonna à la recherche de la monstruosité de Boone, il la maintenait contre lui tirant douloureusement les cheveux.

Finalement, ayant trouvé son monstrueux gland, elle chercha à l'insérer dans son vagin, tenant l'énorme bite à la racine elle essayait de l'enfouir dans sa chatte, encore et encore, mais n'y parvenait pas, la différence de taille était trop grande.

 

"Je n'y arrive pas " dit-elle sourdement cessant toute tentative.

 

Boone lâcha sa chevelure et elle s'assit sur lui. Elle releva ses fesses et se positionna l'énorme gland pressant le centre de sa féminité, il était très long et très épais, jamais elle n'avait vu une bite de cette taille hors norme.

Il se plaqua contre son dos et la regarda tenter de lubrifier son gland en le frottant entre ses babines poisseuses.

Elle y parvint en promenant son gland, puis sa hampe dans ses replis marécageux, elle se frottait de bas en haut sur toute la longueur de son gourdin, sans se faire pénétrer.

Sa bite ne faisait qu'effleurer l'ouverture de sa caverne.

Elle poursuivit ce petit jeu pendant plusieurs minutes. Je circulais autour d'eux et je voyais sa moule secréter des flots de cyprine, fasciné je regardais le spectacle de son petit cul nacré orné d'une blonde toison,  se lever et s'abaisser le sur la grosse hampe noire je m'excitais à la vue de ce spectacle obscène.

 

Vicky prit alors sa bite en main et la plaça à l'entrée de sa grotte inondée, elle n'avait pas encore sa bite en elle, elle l'excitait sous nos yeux ébahis, elle l'excita au point de le faire gicler.

 

Cela faisait des années qu'elle se livrait à ce petit jeu avec moi, et j'adorais ça.

Elle commença alors à pousser vers le bas, l'énorme bourgeon s'inséra lentement entre ses babines alors qu'elle gémissait sourdement, elle s'abaissa encore sur sa bite, lui souriant de toutes ses dents, elle l'excitait cet homme qui me battait si cruellement depuis deux mois.

Je me penchais pour mieux voir et vit la monstruosité noire disparaître peu à peu dans le vagin distendu de ma femme.

 

Elle arrêta lorsqu'elle pensa qu'elle ne pourrait pas aller plus loin et elle commença à le chevaucher comme elle l'aurait fait d'un étalon. Elle  se défonçait sur sa queue, j'adorai quand elle me faisait cela, toutefois, elle ne pourrait pas s'empaler totalement sur cet énorme pieu noir.

Il la pelotait pendant qu'elle le chevauchait, lui massant ses gros nichons lui  pinçant tendrement les mamelons à chaque frôlement de sa poitrine.

Elle s'arqua sur les talons et grommela :

"Ooooohhhhhh !....."

Cet étranger la faisait jouir ! ....... Elle se faisait baiser par l'homme qui me frappait depuis des mois ! ......

  

L'entendant jouir, Boone jouit à son tour. Il projeta jet après jet son immonde jus au fin fond de son utérus, s'enfonçant jusqu'à heurter le col de son utérus. Il extirpa sa bite de sa chatte pantelante et lui interdit de bouger. 

 

"Sanderson, viens ici et fais toi sucer par ta femme qui vient de se faire prendre par un vrai mâle! ......"

Je me levais et m'approchais d'eux, elle m'emboucha, elle venait de se faire baiser par mon tourmenteur, ils avaient tous deux joui sous mes yeux.

Et voila qu'il voulait me voir gicler dans la bouche de ma femme alors qu'il se pressait encore tout contre sa chatte blonde.

Le gros sergent intervint alors :

"Allez les gars, le spectacle est terminé, vous devez regagner vos cellules..."

Boone lui jeta un regard menaçant et dit:

"Mon nouvel ami doit d'abord jouir dans le bec de sa femme ! ....."

Il se sentait proche de moi, je le savais.

La bite de Boone était à nouveau érigée, Vicky s'assit dessus, je pensais que cet homme venait d'utiliser  mon innocente femme et d'en abuser en face de moi, et j'avais du assister impuissant à son viol ! .....

Alors que cette réalité s'imposait à moi, je vomis des torrents de foutre dans sa gorge accueillante, comme d'habitude elle avala tout, je me vidais les couilles dans sa bouche, puis je me retirais.

 

Debout auprès d'elle, j'aidais Vicky à se démancher de la grosse bite noire, je dus tirer fort car elle était véritablement empalée sur lui, un plop sonore et elle fut libérée.

Alors qu'elle se tenait à ses cotés, chancelante, du foutre s'écoulait lentement de sa poitrine vers sa chatte luisante. Je l'aidais à se tenir droite, du foutre s'égouttait sur le sol. Il lui ordonna de lécher le foutre s'étalant sur sa poitrine.

 

Elle s'abaissa et obéit léchant la flaque de foutre qui engluait son torse.

Le gros sergent laissa retomber son pantalon sur ses chevilles et clopina vers elle haletant comme un chien, elle ne l'avait pas vu arriver dans son dos alors qu'elle s'apprêtait à lécher la flaque de foutre souillant le plancher.

Léchant le foutre au sol, elle le sentit ; lui saisir les hanches la pénétrant à nouveau. Après avoir enduré un sexe monstrueux, la bite de ce dernier ne lui faisait ni froid ni chaud.

Elle ignora cette intrusion dans son ventre se bornant à terminer le nettoyage du sol.

Le gros porc se mit à trembler convulsivement et injecta une nouvelle dose de foutre dans l'utérus de ma femme asservie.

Il ne resta que quelques secondes en elle, puis il se retira, se redressa et dit à Jimmy de nous ramener dans nos cellules respectives.

Vicky me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement me disant qu'elle m'aimait, puis elle se retourna et commença à se rhabiller.

 

"Et moi ! ..." Boone réclama

"N'aurai-je pas droit au baiser d'adieu ? ....."

 

A moitié vêtue, Vicky s'approcha de lui, elle  voulait lui donner un bisou sur la joue, mais elle se retourna vers elle et l'enlaça étroitement, puis il enfonça profondément sa langue dans sa bouche l'explorant jusqu'aux amygdales, elle se tenait main le long du corps et se laissa faire.

 

"On se reverra bientôt chérie " lui dit-il alors que Jimmy nous emmenait.

 

Boone me dit que désormais il serait mon protecteur,, mais qu'il voulait baiser ma femme chaque semaine en guise de remerciement.

"Ce sera toi ou ta femme..... Je baiserai l'un de vous deux... " me prévint-il regagnant sa cellule.

 

Jimmy me ramenant en cellule me confia à quel point il était heureux de s'être fait faire une cravate de notaire par ma femme, il ajouta que de toutes les femmes de détenus qu'il avait baisées, c'était la mienne qui avait la plus belle poitrine, et comme je rentrai dans ma cellule, il poursuivit :

"La semaine prochaine je l'enculerai moi aussi ! .....T'es d'accord Sanderson... "

 

******************************

 

 Le lendemain je discutais avec quelques amis du viol de ma femme. Je fus surpris d'apprendre qu'ils s'en étaient pris à la plupart des femmes de détenus toujours de la même façon.

Ils employaient toujours les mêmes procédés, ils créaient de toutes pièces un problème fictif et ils faisaient chanter les femmes en mettant en balance la sécurité de leurs maris.

 

"Et personne n'a cherché à faire cesser ce manège ? ... Quelqu'un veut-il vraiment faire cesser ces chantages ? ....." questionnais-je aigrement.

 

"Et que pourrions nous faire ? " demanda l'un d'eux.

"Nous y avons bien pensé, nous avons cherché des solutions, se plaindre..... Mais la vie de la prison repose sur eux,  aussi que penseraient les autorités de nos plaintes ? .....Qui croiraient-ils ? .... Et s'ils allaient violer nos femmes dans nos maisons en représailles..... Ils intimident tout le monde et savent comment s'y prendre pour nous éliminer......

"Ils sont déjà allés chez vous ? …. " demandai-je troublé.

"Je ne le savais pas. Iront-ils chez moi ?....."

"Tu peux le craindre ! .......J'ai vu ta femme. Ils iront chez toi s'occuper d'elle ...." répliqua-t-il sombrement.

Bordel" m'écriai-je

"Il faut que je prévienne Vicky ! ....... Elle ne s'y attend pas..... Je leur casserai la gueule... Je le jure....."

"Tu n'as aucun moyen de la contacter avant demain. Et encore faudra-t-il qu'e tu obtiennes l'autorisation de téléphoner ! ..... " répondit mon ami rageusement et il ajouta

"Et on ne t'a pas encore tout dit ! ... Ils filmeront ta femme pendant qu'ils s'amuseront avec elle. Puis ils montreront le film aux amateurs de films pornos de la prison …... Tout le monde pourra voir ta petite femme se faire baiser .... Ils se branleront en regardant la cassette ..... Ta femme se fera violer et ces hommes se branleront à ce spectacle ..... Tout le monde est impatient de voir ta femme nue se faire violer ...."

 

 

Coulybaca

Auteur : Bedo

Email : be_do_li_do@excite.com

 


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