Pour
sauver son mari
Chapitre 1
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
-
"Que t'es -t-il
arrivé qu'est ce que ces marques sur ton visage ? ..." demanda-t-elle
affolée.
-
"Oui " répondis-je m'asseyant tout
penaud à ses cotés... J'en prends plein
la gueule... Les gardes les laissent
faire...... Il regardant, certains s'en vont lorsque ça démarre...... Encore 32
jours et je pourrai sortir....... Tu dois m'aider chérie......"
-
"Je ne crois pas pouvoir le
faire..." sanglota-t elle éperdue.
-
"Sanderson, de quoi parles-tu avec ta
petite chatte blonde ? ..." questionna le géant noir, qui s'assit de
l'autre coté de ma femme posant sa main sur son épaule.
-
"Nous as-tu ramené quelques photos ?
..." J'aime regarder tes gros
nibards et ta petite chatte duveteuse...
Ton mari brûlait de nous montrer comment t'es foutu..."
-
Gênée, Vicky tenta de l'ignorer, mais en
vain. Le bras posé sur son épaule, il lui empauma un nichon, le caressant
machinalement
Je purgeais une peine de 180 jours,
sanctionnant une conduite en état d'ivresse, c'est pourquoi je devais me
contenter de m'asseoir aux cotés de ma jolie petite femme.
Vicky est âgée de 23 ans, c'est une
vraie blonde, ses longs cheveux pendent jusqu'à sa taille, elle a une jolie
peau très lumineuse, et est dotée d'une
forte poitrine, presque trop grosse, mais si ferme.
Elle était vierge lorsque je l'ai
épousée, j'étais son premier amant.
Nous nous fréquentons depuis les
années collèges et sommes très amoureux l'un de l'autre.
C'était jour de visite à la prison de
comté, prisonniers et visiteurs étaient
assis dans la cafétéria, qui était aménagée pour cet emploi.
La salle contenait une centaine de
personnes mélangées, les enfants ne pouvaient venir que dans des occasions bien
spécifiques, il n'y en avait pas un ce jour là.
Les gardes se promenaient dans les
rangs, surveillant d'éventuels échanges. Parfois, les prisonniers pouvaient
s'isoler un petit moment dans une petite pièce contiguë pour jouir d'une certaine intimité.
Même si le règlement de la prison ne
prévoyait pas formellement les tête-à-tête conjugaux, les gardes toléraient ces
occasionnels isolements. Mais on ne pouvait jamais fermer entièrement la porte,
ce qui minorait d'autant l'intimité.
De temps à autre, une femme
s'allongeait sur la table pour baiser avec son homme, on essayait d'ignorer les
bruits d'accouplement, les gardes se rinçaient l'oeil et riaient de
l'humiliation des épouses de prisonniers.
On aurait tous aimé se tenir sous la
table pour profiter du spectacle.
Je me faisais battre depuis quelques
mois, depuis le début des visites de Vicky.
Elle avait posé pour des photos nues
et avait tenté de me les donner un jour de visite.
Sa soeur Valérie l'avait prise en
photos avec un polaroïd quelques jours plus tôt.
Lorsqu'elle s'était assise un grand sourire
aux lèvres, je compris qu'elle me préparait une surprise. Tout ce que je
savais, c'est que j'étais sévèrement frustré, je la désirais âprement.
J'avais posé ma main sur ses cuisses,
et je glissai mes doigts vers sa chatte lorsqu'elle me mit les clichés dans la
paume de la main.
Je tâtonnais et les rangeai
prestement, malheureusement, l'un des gardes m'avait vu faire
Il se dirigea vers moi me demandant de
lui remettre l'objet introduit en fraude, il pensait que ça pouvait être de la
drogue et fut heureusement surpris de découvrir des photos de ma ravissante
femme nue.
Les deux premières montraient ses gros
nibards, la suivante son cul ferme, mais
sur les deux dernières elle exhibait sa chatte, l'une d'entre elles cuisses
grandes écartées.
Sur toutes ces photos, elle souriait
vicieusement l'air d'inviter le client. Il rit et se les empocha, puis il fit
des copies et les distribua à ceux qui en voulaient.
Le salaud de nègre assis aux cotés de
Vicky lui pelotant un nichon s'était procuré les cinq photos, et il voulait
qu'elle en prenne d'autres d'elle nue pour les lui donner.
Il en voulait plusieurs avec sa petite
amie et d'autres encore avec son frère.
Mais elle se refusait à faire cela.
Depuis il me battait journellement
pour l'obliger à accepter. Il voulait aussi lui imposer certaines tenues pour
lui plaire lors des visites.
-
"Waou... Sanderson, ta femme à des
nichons de matrone. Ils sont vraiment très gros ...... C'est
pas facile de dégoter de tels nibards ...... " commenta-t-il goguenard.
-
"J'aimerai bien te fourrer ma bite dans
ta soyeuse petite chatte ma blonde chérie "lui dit-il à l'oreille alors
que sa main remontait sous sa jupe se dirigeant tout droit vers sa juteuse
petite foufoune.
Elle serra les cuisses pour tenter de
d'arrêter ces caresses obscènes, et s'écria :
-
"Ne me touchez pas ! ...."
Le géant noir se releva et me menaça :
-
"Cette nuit je viendrai t'enculer !
......"
-
"Attendez..." lui dit alors Vicky
l'invitant à se rasseoir.
-
"Je vous prie ne lui faite pas de mal !
.......Vous allez le tuer......"
Il reprit place à ses cotés et lui
remit une main sur l'épaule et l'autre sous la table, d'emblée il posa sa
grosse main sur ses cuisses tout près de sa chatte.
-
"J'espère que tu vas te tenir tranquille
et m'obéir dorénavant " l'avisa-t-il alors que sa main arrivait au contact
de la délicieuse petite cramouille de mon épouse éperdue.
-
"C'est bien chéri. Tu vas sentir les
doigts d'un vrai homme dans ta chatte ......Penche toi en arrière et écarte
plus les cuisses ......"
-
"Il y a trop de gens qui nous regardent
! ... Arrêtez... Je vous en prie....." s'insurgea-t-elle sourdement tout
en ouvrant lentement les cuisses.
Les prisonniers assis dans notre
voisinage, voyaient ses jambes grandes écartées, et la grosse main noire
insérée sous sa jupe, entre ses cuisses nacrées. Elle pleurnichait, ignorant
ses larmes, il lui fourra profondément les doigts dans la chatte.
-
"Aïe " se plaignit-elle enfonçant
ses ongles dan la paume de ma main.
-
"Espèce de salaud, enlève tes pattes de
là " me révoltai-je.
-
"Qu'est ce que tu veux mon poussin ?
..." m'interrompit-il enfouissant encore plus profondément ses doigts dans
la chatte de ma femme.
-
"Réponds moi chérie,
que préfères tu : que je m'amuse avec ta moule ou que je casse la gueule à
ton mari avant de lui casser le cul cette nuit ?" .....A toi de choisir...
-
"C'est d'accord... Continuez ce que vous
me faites... " sanglota-t-elle servilement.
-
"Mais foutez-lui la paix, je vous en
prie ! ......"
Boone fourra son doigt aussi loin
qu’il le put dans la cramouille de Vicky, il resserra son bras sur ses épaules,
il empauma à nouveau un de ses nichons et reprit son pelotage :
-
"Déboutonne ton corsage, que je vérifie
si tu m'as obéi,.......Je t'avais dit de ne pas mettre de soutien-gorge... " lui dit commençant le déboutonnage.
-
"C'est bien ma salope...... Tu as
obéi..... " Boone ne cherchait pas à se cacher, au contraire il haussait
le ton pour se faire remarquer, il se réjouissait que des gens puissent le voir
molester ma femme. Il dit à voix haute :
"Quels beaux
nichons... Mark... Mark viens ici une minute... Viens voir ses gros nichons ? »
?
Les femmes aux alentours nous
regardaient avec sympathie, mais il parlait à quelqu'un d'autre. Mark
s'approcha de notre table, me repoussa de la main et s'assit à ma place, sans
se cacher, il prit l'autre nibard en main et se mit à le peloter.
-
"Bordel quelle paire de loches, t'as
raison ! ..." commenta-t-il sa pine s'érigeant dans son pantalon.
-
"De toute façon, nous pouvons toujours
aller dans la petite pièce s'amuser avec toi..." dit-il hilare à mon
épouse affolée.
-
"Ne regarde pas ton pleutre de mari, il
ne peut rien pour toi ! ....."
-
"J'ai une bien meilleure idée chérie...
Passe sous la table et taille moi une pipe ! ......."
Vicky se figea, elle me regarda, je
lui fis non de la tête, elle se remit à pleurer.
Ces salauds de garde ne purent ignorer
plus longtemps ses cris, ils vinrent à
son aide ordonnant aux deux salopards de nègre de quitter les lieux.
En partant, ils se tournèrent tous
deux vers moi me souriant de façon menaçante.
-
"Vicky " lui dis-je "Je veux
que tu arrêtes tes visites. Il ne me reste que 32 jours à tirer ...... On peut
se téléphoner une fois par semaine ... Je ne veux plus te voir ici ...... Ne te
tracasse pas pour moi .......Je prendrai soin de moi ........ Promets le moi
... "
-
"Je dois te quitter......" me
dit-elle en m'embrassant.
-
"Je suis désolée de ne pas leur avoir
obéi. Pas devant tous ces gens .......Je te promets de revenir te voir ......Je
t'aime ..... " et elle quitta la pièce.
Elle dévalait le
vestibule lorsqu'un garde, un sergent l'interpella :
-
"Madame Sanderson, Je peux donner un
coup de main à votre mari pour le mettre à l'abri des autres détenus … Mais
…Pour ça il faudra payer ! ...."
Au travers de ses sanglots elle
demanda :
-
Que pouvez-vous faire pour l'aider ? .... Je
sais ce qu'ils veulent lui faire ce soir… Ils l'ont dit en partant...... Ne les
laissez pas faire je vous en prie...... Je ferai ce que vous voudrez."
-
"Madame Sanderson, je peux le faire
transférer dans un lieu sécurisé pour le reste de son séjour...... Il lui doit
lui rester un mois ou deux à tirer....."
Vicky approuva de la tête et il
continua :
-
"J'ai vu ce qu'ils vous faisaient au
parloir, ils vous pelotaient, sous la table il vous doigtait, n'est ce pas ?
.......
Vicky arrêta le sergent dans son élan
et elle railla :
-
"Ils me molestaient, et pas un d'entre
vous n'a bougé le moindre petit doigt ! ..... Vous étiez tous
spectateurs....."
-
"Attendez madame Sanderson, cela fait
assez longtemps que vous venez pour connaître les règles, on ne doit pas intervenir tant qu'il n'y a
pas de troubles graves, ces ordres viennent du directeur, nous ne pouvions pas
intervenir tant que ne criiez pas...... Ce n'est pas plus compliqué...... Mais
revenons à nos oignons....... Si on transfère ton mari dans une aire sécurisée,
il sera à l'abri... Bien sur il sera
seul... Mais personne ne pourra l'y blesser....." et baissant la voix il
ajouta :
-
"Tout ce que vous aurez à faire ce sera
de m'obéir quand je voudrai et là où je le voudrai ! ...."
-
"Nous n'avons pas d'argent ! .....Je
travaille au noir pour joindre les deux bouts....." répliqua Vicky
sombrement.
-
"Je ne veux pas de ton argent ! .... Et
tu le sais bien. Je veux disposer de ton corps une ou deux fois par semaine le
mois à venir ......C'est ça ou ton mari reste avec les autres détenus ! ......
A toi, de choisir ! ........"
Vicky se tenait immobile, se retenant
de pleurer, elle tenait fermé son corsage de la main, les deux hommes avaient
arraché les boutons dans leur hâte de l'ouvrir, son corsage était déchiré, et
elle se sentait violentée.
-
"C'est d'accord " répliqua-t-elle
faiblement
-
"Mais vous le transférez
aujourd’hui...... Maintenant..... Pas plus tard qu'en ce moment......"
-
"D'accord madame Sanderson "
répondit-il en souriant
-
"On va le transférer maintenant...... Tu
m'attendras au parloir. Et je te promets qu'il sera en sûreté avant que tu ne
partes ......."
-
"Pas au parloir... Je vous en
prie... N'importe ou,
mais pas là... "
-
"Je veux que les gardes aient un oeil
sur toi ! ......" répliqua-t-il la quittant.
Vicky retourna sombrement dans la
salle des visites, et l'attendit debout contre un mur. La salle était
maintenant à moitié vide, Les deux noirs qui l'avaient molesté n'étaient plus
dans la pièce, plusieurs prisonniers cherchèrent à l'aborder, mais les gardes
les en empêchèrent, et leur ordonnèrent de regagner leurs cellules.
Le gros sergent tenait parole, elle
avait vu un garde emmener son mari vers les cellules d'isolement.
Elle regardait un groupe de gardes
entrer dans la salle, un des geôliers discutait avec le gros sergent, il dit à Vicky :
-
"Madame Sanderson, votre mari est en
sécurité ! ....Parlez-lui dans ce combiné, il va vous répondre... Il est au
bout de la ligne."
-
"Chéri c'est bien toi ? " dit-elle
craintivement.-
-
"Oui, C'est moi. Ils m'ont mis en
cellule d'isolement .....Je crois bien que je suis à l'abri .....Je devrai
rester ici les 32 derniers jours ... mais je préfère cela ...... Et toi ça va
chérie ? ......"
-
"Bien mieux maintenant que je sais que
tu es à l'abri chéri......" répliqua-t-elle soulagée.
-
"Je dois te quitter chéri, le travail ne
m'attendra pas. Je t'aime mon chéri ..... Je reviendrai te voir jeudi prochain
......"
Le gros sergent lui reprit le combiné
des mains, et dit aux gardes de faire leur ronde et de revenir. Ils disposèrent
alors que le sergent s'adressait à Vicky :
-
"Allez à poil ma chérie... Il est temps
de régler la note de ton mari ! ......Rappelle-toi si tu dis quoi que ce soit à
qui que ce soit, je le renvoie avec les autres détenus ! ...... Et il se fera
enculer par la plupart des détenus. Et maintenant cesse de pleurnicher et désape
toi ......"
Vicky enleva son corsage exposant son
opulente poitrine à cet étranger, noir de surcroît, elle avait la peau très
claire, ses aréoles étaient un peu plus foncées, ses tétons se redressèrent
tandis qu'elle baissait la fermeture éclair de sa jupe.
Elle laissa choir sa jupe, s'exposant
entièrement nue. Le gros sergent contemplait le corps de cette somptueuse
femelle fasciné par sa toison blonde et le galbe de son corps bien
proportionné.
-
"Te rases-tu la chatte ? ......
Bordel....... Mais non t'es pas rasée ! ........Tes poils sont si blonds qu'on
les voit à peine…... Approche que je touche......." dit-il l'attirant à
lui.
Vicky fit un bond en arrière cherchant
à dissimuler son intimité de ses mains. Il saisit son combiné téléphonique et commença :
-
"Jimmy, c'est Tom, ramène Sanderson avec
les autres détenus ! ..."
-
"Non... Non... Attendez. Je vais obéir
....." balbutia-t-elle effondrée, s'approchant de lui bras pendant le long
du corps.
-
"Faite de moi ce que vous voulez.......
Mais protégez mon mari... "
-
"Laisse tomber Jimmy, laisse le dans sa
cellule et rapplique au parloir ! ....."
-
"D'accord " mugit Jimmy à l'autre
bout du fil.
Le gros sergent reposa son téléphone.
-
"Dorénavant, madame Sanderson nous
allons nous amuser... T'es d'accord ? ...... Tu peux participer ou non, et
avoir du plaisir ou non… Je m'en fous ! .... Tu dois juste faire ce que je veux
quand je veux. Et maintenant à genoux et taille moi une pipe ! ...."
Choquée, la jeune femme se laissa
tomber à ses genoux, il lui dit de sortir sa bite et la regarda opérer. Ouvrant
son caleçon, elle tendit la main et tenta de sortir la bite du salaud de son
caleçon, mais elle n'y parvint pas, frustré le gros sergent déboucla sa ceinture,
dégrafa son pantalon et le laissa tomber au sol.
L'odeur était terrible, son caleçon
était souillé de larges marques d'urine, son ventre pendait au-dessus de sa
bite engorgée, sa queue était courte et très large; il attrapa rudement Vicky
par la chevelure et pressa son visage contre sa bite puante.
-
"Suce salope ! ..." dit-il avec un
mauvais sourire.
-
"Prends la bien en bouche et suce là...
"
Vicky recula la tête et emboucha la
bite du gros porc, la bouche distendu aux limites du supportable, elle paniqua
cherchant à se relever.
Le gros sergent la maintint au sol lui
forçant les lèvres. A ce moment quatre gardes pénétrèrent dans la salle.
-
"Qu'attends-tu ? Suce-moi la bite
putain....." dit-il à voix haute.
Les gardes éclatèrent de rire et s'assirent
attendant leur tour de posséder cette somptueuse femelle.
Elle hésitait encore, la saisissant par les oreilles, il enfourna sa queue entière
dans sa bouche, et il commença de lentes et savoureuses allées et venues.
Elle se dit qu'il ne devait pas se
faire sucer bien souvent, peut-être bien qu'il allait éjaculer rapidement !
.....
Mais à sa grande surprise, il dura
bien plus longtemps qu'elle l'escomptait, elle essaya toutes les ruses pour le
faire gicler, et en finir, mais rien n'y fit.
Elle décida de lui faire ce qui
marchait toujours avec son mari, ça marchait à chaque coup.
Elle tendit la main au-delà de ses
couilles, et lui fourra un doigt dans le trou du cul, ça marcha, le gros porc
se mit à trembler de tous ses membres et jaillit dans sa bouche, il lui tenait
bien la tête la forçant à avaler jet après jet, se vidant totalement dans sa bouche
asservie.
Elle déglutit en absorbant une
certaine partie, mais il en déborda le long de ses joues, tenant sa bite en
main, il gicla une dernière fois sur sa langue.
Les gardes discutaient tranquillement,
l'un d'entre eux dit a
Vicky de se relever.
Elle obtempéra laissa cette bande de
pervers admirer ses charmes.
-
"Des gros nichons qui sortent du commun,
" ils s'étonnèrent aussi de la finesse de ses poils pubiens.
-
"Viens ici salope que je vois ça de plus
près ! ..." l'interpella le garde nommé Jimmy, docilement, Kelly
s'approcha de lui.
Il prit un de ses nibards en main et
se mit à le peloter vigoureusement sa pine durcit instantanément.
-
"Bordel ils sont bien fermes tes gros
nibards... Ceux de ma femme, après cinq
grossesses sont tout mous et pendent comme des oreilles de teckel. Ceux ci sont
magnifiques ...." se réjouit Jimmy.
-
"Est-ce que ton pleutre de mari te baise
correctement ? ....."
-
"Bien sur, quand il est à la maison !
..."
-
"Tu vas me faire une cravate de notaire
et je te giclerai sur la figure... allonge-toi chienne. Ce sera plus
confortable ........"
Comme elle hésitait, il la repoussa
sur le sol froid. Il baissa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles, les
ôta prestement, et s'assit sur l'abdomen de Kelly.
Il plaça son épaisse queue raidie
entre ses seins et commença à aller et venir entre ses loches, ses nibards
étaient secs ce qui entravait le coulissement, aussi tendit-ils les doigts en
arrière, et les plonge-t-il profondément dans son connil détrempé.
Il enroba alors sa hampe de la
substance gluante récoltée dans son vagin.
Il recommença trois fois, jusqu'au
moment où il glissa avec assez d'aisance pour lui baiser la poitrine.
Vicky était étendue sur le plancher
froid, yeux fermés, alors que cet homme se servait de sa poitrine comme écrin à
sa bite, chose qu'elle n'aurait jamais imaginé. C'était sa première cravate de
notaire, elle prenait le chemin de la Dégradation, on se servait d'elle comme
d'une belle pièce de viande, son mari ne l'aurait jamais possédé ainsi, pas de
cette manière vicieuse.
Elle ouvrit les yeux assez longtemps
pour le voir presser ses globes mammaires sur sa bite qui coulissait aisément
entre eux, lui touchant parfois le menton, elle sentit l'excitation monter dans
ses reins.
Elle sentit qu'il s'activait de plus
en plus rapidement entre ses gros nibards, il se mit à trembler convulsivement,
elle comprit soudain qu'il allait jouir sur son visage.
Elle referma étroitement les yeux,
alors qu'il se mettait à gémir sourdement, elle sentit le foutre chaud lui
poisser le menton, les lèvres, le nez, lui piquer les yeux quelques jets
avaient même atteints son front et ses cheveux blonds.
Il éclata de rire étalant son foutre
sur son visage, elle se sentait profondément humiliée. Il aimait
particulièrement l'épandre autour de sa bouche
-
"Ouvre le bec salope ! .... Il est temps
de goûter à ton dessert......" l'avisa-t-il rigolard.
-
Vicky resta bouche fermée, mas il était bien résolu
à lui faire goûter son sperme. Se plaçant au-dessus de son visage, il prit sa
bite quasi molle et la pressa contre ses lèvres.
-
"Ouvre ta bouche salope..... Je veux
décharger dedans ! ......."
Elle ouvrit la bouche, mais resta yeux
fermés, après quelques secondes elle les ouvrit aussi. Elle le vit se préparant
à se glisser entre ses lèvres disjointes, elle vit du foutre perler à son méat,
il projeta un jet de foutre épais droit dans sa gorge sous les hourras des
spectateurs.
Refermant la bouche elle se mit à
tousser, à crachoter.
-
" Avale son foutre salope... Je ne veux
pas te voir le recracher..... N'en perd pas une goutte....." lui ordonna
le gras sergent, et elle absorba l'épaisse substance qui la dégoûtait.
Le suivant lui écarta les cuisses et
s'installa entre elles, il la doigta le temps d'obtenir une moiteur suffisante
pour faciliter les opérations.
-
"Bordel les gars, je vais la baiser
comme jamais on l'a baisée ! ..." et il se débarrassa de son pantalon,
s'étendit sur elle et enfourna sa bite dans sa foufoune désolée sans coup
férir, s'enfouissant jusqu'aux couilles.
Les autres regardaient fascinés sa
large queue aller et venir entre ses babines distendues, ils étaient épatés de
voir ses grandes lèvres gainer sa hampe turgescente, alors que son épais
gourdin disparaissait dans sa caverne asservie.
A chaque poussée, elle râlait, écrasée
par le poids de son suborneur, ce qui excitait l'assistance. Ils étaient tous
impatients de voir leur tour arriver ! ...
Le gros sergent dit alors :
-
"Jimmy va chercher Sanderson, il aimera
peut-être assister au spectacle. Qu'en penses-tu ? ......."
Jimmy sourit de toutes ses dents et
quitta la pièce.
Son fouteur était prêt à jouir, il se
mit à la chevaucher frénétiquement et explosa dans son ventre fertile, ses dernières
poussées furent aussi rudes qu'obscènes, il s'efforçait de la bourrer jusqu'à
la garde.
FIN DU PRMIER EPISODE
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
Pour
sauver son mari
Chapitre 2
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
En entrant dans la salle des visites, je vis plusieurs
gardes assis aux tables, regardant une
personne étendue sur le plancher.
En m'approchant, je vis que c'était Vicky, elle était nue
et avait les yeux fermés, ses jambes étaient largement écartées, son visage
était gluant de sperme, il en débordait aussi de son chaton.
Je m'approchais me tenant tranquille.
"A qui le tour ? ...." demanda le gros sergent,
un vieillard fit un pas en avant.
"Moi" Ils se mirent tous à psalmodier :
"Gramps..... Gramps. Gramps ..."
Gramps la releva et la disposa à quatre pattes.
"Je n'ai pas vu un si beau cul depuis la mort de ma
femme ! ....Anderson tu apprécies le beau cul de ta femme ? ......."
A ces mots, Vicky ouvrit les yeux et à quatre pattes
comme une chienne elle jeta un coup d'oeil circulaire et rencontra mon regard
éperdu.
Elle me regardait fixement sans dire un mot, quand elle vit que je ne pouvais lui être
d'aucun secours, elle baissa tomber la tête et écarta les jambes plus largement
pour que Gramps puisse plus facilement s'imposer entre ses fesses.
Il lui fouilla la chatte du doigt en extirpant quelques
gouttes de foutre déposées par son prédécesseur, il en enduisit son trou du
cul, puis il planta son doigt profondément dans son oeillet anal net le fit des
petits cercles jusqu'au moment où Vicky d décrispa ses sphincters.
Lorsqu'elle fut bien relaxée, il
enleva son doigt et remit plusieurs couches de foutre, puis il plongea deux
doigts dans son trou du cul.
Vicky cria de douleur, cherchant à échapper à cette
intrusion infâme dans ses reins.
D'autres hommes s'approchèrent et la tinrent tandis que
le vieillard enfonçait ses deux doigts joints dans son fondement, un spectateur
la gifla pour la faire tenir tranquille et lui colla dans la bouche un chiffon
salle abandonné sur une table.
- "Eh bien mon jeune ami, regarde bien comment on
prépare le cul d'une meuf ? ......Tout d'abord on lui met un doigt, qu'on agite
lentement le temps qu'elle se calme. Puis deux, et on la laisse se calmer à
nouveau ....... Tu peux ensuite planter ta bite dans son petit trou ......
Suivant les hommes, deux ou trois doigts ont à peu près la même taille qu'un
gland .......
Si tu peux lui mettre deux doigts, alors tu peux lui
mettre la bite, il rit alors heureux de sa plaisanterie. Le vieillard
continuait à amadouer sa pastille commentant :
- "Il faut alors assurer qu-elle ne peut plus
bouger, j'avais l'habitude de coucher ma femme le ventre sur un oreiller avant
de l'enculer, elle n'aimait pas ça, mais elle savait qui était le maître de
maison ! ......Si tu veux être le maître chez toi il faut enculer ta femme au
moins une fois par mois ! .....Quand l'as tu enculée pour la dernière fois ?
....."
Je secouais la tête en haussant les épaules.
"Jamais... Je ne l'ai jamais sodomisée......."
Le visage fendu par un large sourire, le vieillard
répliqua alors :
"Met toi derrière elle et encule la maintenant. Tu
dois prendre charge de ta maison ......Viens, agenouille toi dans son dos et
fais ce que je te dis ...... C'est ta femme ..... C'est à toi de lui casser le
cul ! ........"
Comme j'hésitais, le gros sergent intervint :
"Ou tu encules ta femme, mon garçon, ou bien c'est
Boone qui t'encule, à toi de choisir ! ...."
Vicky me regarda longuement et dit d'une voix sourde :
"Vas-y mon chéri..... Je t'aime....."
Je m'agenouillais derrière ma ravissante femme et posais
mon gland à l'orée de son anus, j'hésitais à nouveau, le vieillard m'encouragea
alors :
"Vas-y mon gars, fore ton chemin dans son intestin !
...."
Je pressais alors lentement mon brugnon contre son
oeillet, elle pleurnichait à gros sanglots.
Mon gland franchit son sphincter, je m'enfouissais
lentement dans ses reins.
Une main posée sur mon épaule le vieillard me poussait
dans le dos me forçant à empaler ma femme. Il me poussa jusqu'au moment où mes
couilles frappèrent son anus distendu.
Elle crispait ses sphincters m'étranglant littéralement
la hampe.
"Calme-toi..." lui conseilla le vieillard la dévisageant
de près.
"Plus tu te raidis, plus tu auras mal "
Je la sentis se décontracter et j'entamais d'amples vas
et viens dans son étroit petit anneau dompté.
Elle acceptait son enculade s'efforçant de se
décontracter aussi continuai-je à l'enculer langoureusement.
Le vieillard me conseilla alors :
"Tu dois lui faire comprendre qui commande ! .... Tu
dois la baiser rudement qu'elle sache que tu feras ce que tu veux d'elle et de
son corps. Elle t'appartient .... Si tu lui fais mal, ne t'inquiète pas, elle
en guérira ..... Et maintenant casse lui le cul bordel de merde ! .....
Sentant ses sphincters anaux s'assouplir, j'accélérais
mon allure. Ses nichons se balançaient au rythme de mes coups de boutoir, ils
frappaient son torse puis repartaient dans la direction opposée lui fouettant
les épaules.
J'avais bien souvent assisté à ce spectacle dans le
miroir en pied en face de notre lit lorsque je lui faisais l'amour.
Cela m'avait toujours prodigieusement excité le vieillard
avait du voir des scènes du même ordre dans le passé, ça excitait tous les
spectateurs.
Je la chevauchais rudement quelques minutes, après quoi,
je fusais dans son intestin palpitant alors que le vieillard me félicitait.
"Bon boulot mon gars ! ....Continue..... N'arrête
pas tout de suite....."
Je m'efforçais de m'enfouir totalement dans son anneau
distendu.
"Arrête.. Je t'en prie. Tu
me fais mal " pleurnicha-t-elle sourdement.
Le vieillard me conseilla rapidement :
"Continue à la bourrer... C'est le meilleur moyen de la mater..... Dorénavant
tu te serviras de son trou du cul selon tes désirs......"
Je continuais à, la molester en dépit de ses
protestations, je finissais de me vider dans ses entrailles, puis-je
m'extirpais de ses flancs pantelants.
Le vieillard prit ma place et d'un seul élan enfourna sa
bite dans son trou du cul palpitant, il ne tarda pas à la chevaucher
sauvagement, tout le mode fut surpris de le voir éjaculer cinq minutes plus
tard, tout le temps de son enculade, Vicky pleura doucement.
Finalement, il jaillit à son tour dans ses profondeurs,
son foutre se mélangeant au mien.
L'assistance regardait silencieusement Vicky bouger ses
jambes ankylosées.
Avant qu'elle en termine le dernier garde se s'agenouilla
dans son dos, il descendit son pantalon et son caleçon sur ses genoux et
pénétra vivement sa foufoune
Fascinés, ils regardaient tous la
jute s'écouler de son trou du cul lui engluant la hampe.
Alors qu'il la pénétrait, il introduisait du foutre
provenant de son cul dans sa chatte déjà engorgée. Ses nibards dansaient
épousant le rythme de ses coups de boutoir, il avait vu la ravissante jeune
femme faire des pipes, se faire encorner et enculer, cela l'avait tant excité
qu'il jaillit immédiatement.
"Eh bien Sanderson que penses-tu de tout ça ? ......
Aimes-tu voir d'autres hommes sauter ta femme ? .... Je suppose que non !
...... De toute manière on s'en fout...... Elle viendra nous satisfaire chaque
semaine jusqu'à ta libération...... Si l'on est pas
satisfait de ses services, Boone aura une nouvelle fiotte à enculer. Toi bien
sur ....."
Le gros sergent ordonna aux gardes de reprendre le
travail et s'assit alors que j'aidais ma
femme à se relever. Elle fondit en larmes dans mes bras.
"J'ai mal... Si mal..." pleurnichait-elle à mon
oreille.
"Je t'aime ma chérie.."
Elle commença à se rhabiller lorsque le gros sergent
l'arrêta.
"Jimmy, où es-tu ? ...." demanda-t-il dans le
combiné téléphonique.
"J'arrive" répondit Jimmy.
"Sanderson je vais te demander une faveur... Depuis
des années on se partage les faveurs des épouses de prisonniers. Il s'est
toujours fait les meufs que je venais de baiser ... Et réciproquement ....Il
sera bientôt là .....Maintenant qu'on est d'accord, il te protégera
......"
Je vis alors entrer Jimmy et Boone, je regardais le gros
sergent et dit :
"Pas lui. C'est lui qui en a après moi ....."
"Ca t'étonne n'est ce pas ? .....Eh bien maintenant
il va te protéger..... Aussi longtemps que ta femme nous obéira sagement......
Que veux-tu Boone ? ......" l'interrogea le gros sergent, souriant à
pleines dents.
"Que veux-tu lui faire ? ....."
Le colosse noir s'approcha de la femelle blonde et
s'assit à mes cotés. Se tournant vers moi il m'avisa :
"Je veux baiser ta femme ! ..... Jimmy m'a dit qu'il
t'avait cassé le cul ...... T'as aimé ça Sanderson ? ...... Je parie qu’oui !
......" dit-il n'escomptant pas de réponse.
"Eh bien c'est mon tour maintenant ! ..... je vais la baiser avec la plus grosse queue qu'elle ne verra
jamais...... Elle ne pourra plus jamais se satisfaire de ta chétive petite
saucisse ! ......."
Se relevant, il se débarrassa de son pantalon.
"Viens ici salope ! ..." dit-il lui attrapant
les tétons "Bordel ta poitrine est magnifique, n'est ce pas
Sanderson... Houai tu sais bien comment
sont ses nibards ! ..... Ses tétons sont érigés... " dit
les pinçant durement. Elle se recula cherchant à échapper à son emprise.
Le colosse attira Vicky à lui, la traînant par les
cheveux.
"Ne fais plus jamais ça salope....." la
menaça-t-il rageusement, elle se mit à trembler.
Il saisit ses deux
mamelons entre ses doigts et les pinça vicieusement, cette fois Vicky
ferma les yeux, elle accusait la douleur, il la pinça jusqu'à ce qu'elle se
mette à hurler et le supplie de cesser, il lâcha ses mamelons et pelota
avidement ses seins.
"Ils sont vraiment magnifiques, je pourrai jouer
avec pendant des heures... " s'esclaffa Boone.
"Tu n'as qu'un quart d'heure avant qu'elle ne nous
quitte, elle revient la semaine prochaine.." le prévint alors le gros
sergent.
Boone cessa son pelotage et la saisit par ses mèches
blondes. Il s'étendit sur le sol et l'attira sur son lui. La tenant toujours
par ses cheveux, il la força à s'accroupir sur lui intimant de se positionner
au-dessus de sa bite.
Elle tâtonna à la recherche de la monstruosité de Boone,
il la maintenait contre lui tirant douloureusement les cheveux.
Finalement, ayant trouvé son monstrueux gland, elle
chercha à l'insérer dans son vagin, tenant l'énorme bite à la racine elle
essayait de l'enfouir dans sa chatte, encore et encore, mais n'y parvenait pas,
la différence de taille était trop grande.
"Je n'y arrive pas " dit-elle sourdement
cessant toute tentative.
Boone lâcha sa chevelure et elle s'assit sur lui. Elle
releva ses fesses et se positionna l'énorme gland pressant le centre de sa
féminité, il était très long et très épais, jamais elle n'avait vu une bite de
cette taille hors norme.
Il se plaqua contre son dos et la regarda tenter de
lubrifier son gland en le frottant entre ses babines poisseuses.
Elle y parvint en promenant son gland, puis sa hampe dans
ses replis marécageux, elle se frottait de bas en haut sur toute la longueur de
son gourdin, sans se faire pénétrer.
Sa bite ne faisait qu'effleurer l'ouverture de sa
caverne.
Elle poursuivit ce petit jeu pendant plusieurs minutes.
Je circulais autour d'eux et je voyais sa moule secréter des flots de cyprine,
fasciné je regardais le spectacle de son petit cul nacré orné d'une blonde
toison, se lever et s'abaisser le sur la
grosse hampe noire je m'excitais à la vue de ce spectacle obscène.
Vicky prit alors sa bite en main et la plaça à l'entrée
de sa grotte inondée, elle n'avait pas encore sa bite en elle, elle l'excitait
sous nos yeux ébahis, elle l'excita au point de le faire gicler.
Cela faisait des années qu'elle se livrait à ce petit jeu
avec moi, et j'adorais ça.
Elle commença alors à pousser vers le bas, l'énorme
bourgeon s'inséra lentement entre ses babines alors qu'elle gémissait
sourdement, elle s'abaissa encore sur sa bite, lui souriant de toutes ses
dents, elle l'excitait cet homme qui me battait si cruellement depuis deux
mois.
Je me penchais pour mieux voir et vit la monstruosité
noire disparaître peu à peu dans le vagin distendu de ma femme.
Elle arrêta lorsqu'elle pensa qu'elle ne pourrait pas
aller plus loin et elle commença à le chevaucher comme elle l'aurait fait d'un
étalon. Elle se défonçait sur sa queue,
j'adorai quand elle me faisait cela, toutefois, elle ne pourrait pas s'empaler
totalement sur cet énorme pieu noir.
Il la pelotait pendant qu'elle le chevauchait, lui
massant ses gros nichons lui pinçant
tendrement les mamelons à chaque frôlement de sa poitrine.
Elle s'arqua sur les talons et grommela :
"Ooooohhhhhh !....."
Cet étranger la faisait jouir ! ....... Elle se faisait
baiser par l'homme qui me frappait depuis des mois ! ......
L'entendant jouir, Boone jouit à son tour. Il projeta jet
après jet son immonde jus au fin fond de son utérus, s'enfonçant jusqu'à
heurter le col de son utérus. Il extirpa sa bite de sa chatte pantelante et lui
interdit de bouger.
"Sanderson, viens ici et fais toi sucer par ta femme
qui vient de se faire prendre par un vrai mâle! ......"
Je me levais et m'approchais d'eux, elle m'emboucha, elle
venait de se faire baiser par mon tourmenteur, ils avaient tous deux joui sous
mes yeux.
Et voila qu'il voulait me voir gicler dans la bouche de
ma femme alors qu'il se pressait encore tout contre sa chatte blonde.
Le gros sergent intervint alors :
"Allez les gars, le spectacle est terminé, vous
devez regagner vos cellules..."
Boone lui jeta un regard menaçant et dit:
"Mon nouvel ami doit d'abord jouir dans le bec de sa
femme ! ....."
Il se sentait proche de moi, je le savais.
La bite de Boone était à nouveau érigée, Vicky s'assit
dessus, je pensais que cet homme venait d'utiliser mon innocente femme et d'en abuser en face de
moi, et j'avais du assister impuissant à son viol ! .....
Alors que cette réalité s'imposait à moi, je vomis des
torrents de foutre dans sa gorge accueillante, comme d'habitude elle avala
tout, je me vidais les couilles dans sa bouche, puis je me retirais.
Debout auprès d'elle, j'aidais Vicky à se démancher de la
grosse bite noire, je dus tirer fort car elle était véritablement empalée sur
lui, un plop sonore et elle fut libérée.
Alors qu'elle se tenait à ses cotés, chancelante, du
foutre s'écoulait lentement de sa poitrine vers sa chatte luisante. Je l'aidais
à se tenir droite, du foutre s'égouttait sur le sol. Il lui ordonna de lécher
le foutre s'étalant sur sa poitrine.
Elle s'abaissa et obéit léchant la flaque de foutre qui
engluait son torse.
Le gros sergent laissa retomber son pantalon sur ses
chevilles et clopina vers elle haletant comme un chien, elle ne l'avait pas vu
arriver dans son dos alors qu'elle s'apprêtait à lécher la flaque de foutre
souillant le plancher.
Léchant le foutre au sol, elle le sentit ; lui saisir les
hanches la pénétrant à nouveau. Après avoir enduré un sexe monstrueux, la bite
de ce dernier ne lui faisait ni froid ni chaud.
Elle ignora cette intrusion dans son ventre se bornant à
terminer le nettoyage du sol.
Le gros porc se mit à trembler convulsivement et injecta
une nouvelle dose de foutre dans l'utérus de ma femme asservie.
Il ne resta que quelques secondes en elle, puis il se retira, se redressa et dit à Jimmy de nous
ramener dans nos cellules respectives.
Vicky me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement me
disant qu'elle m'aimait, puis elle se retourna et commença à se rhabiller.
"Et moi ! ..." Boone réclama
"N'aurai-je pas droit au baiser d'adieu ?
....."
A moitié vêtue, Vicky s'approcha de lui, elle voulait lui donner un bisou sur la joue, mais
elle se retourna vers elle et l'enlaça étroitement, puis il enfonça
profondément sa langue dans sa bouche l'explorant jusqu'aux amygdales, elle se
tenait main le long du corps et se laissa faire.
"On se reverra bientôt chérie " lui dit-il
alors que Jimmy nous emmenait.
Boone me dit que désormais il serait mon protecteur,, mais qu'il voulait baiser ma femme chaque semaine en
guise de remerciement.
"Ce sera toi ou ta femme..... Je baiserai l'un de
vous deux... " me prévint-il regagnant sa cellule.
Jimmy me ramenant en cellule me confia à quel point il
était heureux de s'être fait faire une cravate de notaire par ma femme, il
ajouta que de toutes les femmes de détenus qu'il avait baisées, c'était la
mienne qui avait la plus belle poitrine, et comme je rentrai dans ma cellule,
il poursuivit :
"La semaine prochaine je l'enculerai moi aussi !
.....T'es d'accord Sanderson... "
******************************
Le lendemain je
discutais avec quelques amis du viol de ma femme. Je fus surpris d'apprendre
qu'ils s'en étaient pris à la plupart des femmes de détenus toujours de la même
façon.
Ils employaient toujours les mêmes procédés, ils créaient
de toutes pièces un problème fictif et ils faisaient chanter les femmes en
mettant en balance la sécurité de leurs maris.
"Et personne n'a cherché à faire cesser ce manège ?
... Quelqu'un veut-il vraiment faire cesser ces chantages ? ....."
questionnais-je aigrement.
"Et que pourrions nous faire ? " demanda l'un
d'eux.
"Nous y avons bien pensé, nous avons cherché des
solutions, se plaindre..... Mais la vie de la prison repose sur eux, aussi que penseraient les autorités de nos
plaintes ? .....Qui croiraient-ils ? .... Et s'ils allaient violer nos femmes
dans nos maisons en représailles..... Ils intimident tout le monde et savent
comment s'y prendre pour nous éliminer......
"Ils sont déjà allés chez vous ? …. " demandai-je troublé.
"Je ne le savais pas. Iront-ils chez moi
?....."
"Tu peux le craindre ! .......J'ai vu ta femme. Ils
iront chez toi s'occuper d'elle ...." répliqua-t-il sombrement.
Bordel" m'écriai-je
"Il faut que je prévienne Vicky ! ....... Elle ne
s'y attend pas..... Je leur casserai la gueule... Je le jure....."
"Tu n'as aucun moyen de la contacter avant demain.
Et encore faudra-t-il qu'e tu obtiennes l'autorisation de téléphoner ! .....
" répondit mon ami rageusement et il ajouta
"Et on ne t'a pas encore tout dit ! ... Ils
filmeront ta femme pendant qu'ils s'amuseront avec elle. Puis ils montreront le
film aux amateurs de films pornos de la prison …... Tout le monde pourra voir
ta petite femme se faire baiser .... Ils se branleront en regardant la cassette
..... Ta femme se fera violer et ces hommes se branleront à ce spectacle .....
Tout le monde est impatient de voir ta femme nue se faire violer ...."
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
Pour sauver son mari
Chapitre 3
Time served Part (1)
Sa douche prise, Vicky entreprit de se
sécher, quelques jours s'étaient écoulés depuis son viol et elle commençait
seulement à reprendre une vie normale.
Elle enveloppa une serviette en turban
autour de sa tête pour cacher sa longue chevelure blonde et enfila un string,
puis elle enfila son soutien-gorge, puis elle mit son jean, enfin elle endossa
un vaste chemisier et le boutonna puis elle se dirigea vers son salon.
Depuis que son mari était en détention
elle se sentait paresseuse, peut-être
bien dépressive, elle hurla de peur en pénétrant dans le salon, le gros sergent
lui souriait, Jimmy assis à son coté.
-
"Bonjour madame Sanderson, ravi de te
revoir, nous n'avons pas pu attendre samedi, aussi sommes nous venus te faire
une petite visite aujourd'hui, c'est bien ça Jimmy ? ..."
-
"C'est ça chef. Visez moi ces beaux
tétons ....... Je sens que je vais me faire faire une nouvelle cravate de
notaire ..... Ou bien je vais la baiser dans son petit cul si étroit ... Que
préfères-tu madame Sanderson ? " lui dit-il railleur.
Elle voulut s'enfuir, mais le gros homme lui agrippa le bras et la retint de force.
-
"Ne tente rien de stupide salope !
..."
-
"Que faites-vous chez moi ? ... Que
voulez-vous encore ? ....Comment êtes vous entrés ? .... Partez ou j'appelle la
police ! ....."
-
"T'as eu tort de mentionner la police
chérie, si tu les appelles ton homme sera mort ce soir ! ..... Pour l'instant,
ils veulent juste l'enculer, mais ils le tueront sûrement si tu refuses de leur
donner du plaisir.. Ils l'enculeront puis lui couperont la bite et les couilles
et enfin ils l'égorgeront ! ....... Le son est bon Jimmy ? .....
-
"Impeccable chef....."
-
"J'ai entendu dire que parfois ils font
bouffer sa bite et ses couilles à leur victime avant de l'occire... De toute façon se faire enculer est le
moindre mal qui puisse lui arriver à ce foutu bâtard ! ..." ricana Jimmy
cherchant à l'effrayer.
Vicky tenta à nouveau de s'enfuir,
mais le gros homme l'arrêta une fois de plus, il la traîna par ses longs
cheveux blonds dans sa chambre et la projeta sur le lit.
-
"Sors les caméras Jimmy, on doit faire
un film et prendre des photos de cette voluptueuse salope."
Jimmy sortit les caméras et commença à
filmer.
Le gros homme commença par interviewer
Vicky, un moment plus tard elle dut faire un
strip-tease face à l'objectif.
Jimmy prenait aussi des photos avec
son appareil numérique.
Le gros homme l'avertit à nouveau des
conséquences qu'entraînerait tout refus de participer.
Elle opina à contrecoeur et prit des
poses obscènes à la demande des deux pervers.
Le gros homme prit la caméra des mains
de Jimmy et prit quelques rushs.
-
"C'est bien vrai, madame Sanderson, vous
participez à ce film selon votre volonté, n'est ce pas ?
-
"Bien sur..." répondit-elle
doucement.
-
"Plus forte madame Sanderson !
"...lui ordonna le gros noir.
-
"Oui..." reprit-elle haussant le
ton.
-
"C'est bien maintenant allonge-toi sur
le dos et écarte tes cuisses en grand.. C'est très bien. Ecarte les lèvres de
ta chatte ...... Plus que ça …… Encore plus ..... Et maintenant doigte toi ....
Bien .... Et maintenant manipule ton clito et fais semblant de jouir ...... Allez ... Tu peux
faire mieux que ça ... Tu dois te montrer plus convaincante ..... T'es une
bonne actrice ..... Cambre toi ....... Ouvre la bouche et gémit sourdement
...... Fais comme si Boone te baisait la chatte .... C'est ce qu'il va te faire
dans 4 jours tu sais ..... Il aura vu ces images .....Les autres gardes aussi
d'ailleurs ...... C'est bon ... Maintenant mets toi à quatre pattes face à la
caméra ......"
La caméra enregistrait les scènes avec
un cliquetis sourd.
-
"Souris-moi sensuellement...... C'est
bon... cambre-toi..... tends-nous ta
chatte..... Mieux que ça..... Bien... C'est bon..... Maintenant dis-toi que Boone
t'encule avec sa grosse bite..... Tu sais qu'il encule toutes les femmes de
détenus....... Je suis sure qu'il aimera se farcir ton étroit petit
oeillet....... Te tracasse pas madame Sanderson, il utilisera de la vaseline...
Et maintenant on va faire quelques plans vraiment pornos..." l'avisa-t-il.
Il lui dit de demeurer tranquille et
de tendre ses nichons à Jimmy le temps qu'il déplace les caméras.
-
"Tu aimes ça Jimmy ? ...Tu aimes les
cravates de notaire ? .... C'est l'acte sexuel que tu préfères... Presse les l'un contre l'autre... C'est
bien..... Lâche les et laisse les tomber. Balance ton torse .... Secoue les
.... Recommence ..... De bas en haut ..... Bordel ça a du chien ..... Tu vas
gicler dans ton pantalon Jimmy si elle ne te soulage pas .... Tu ferais mieux
de te contrôler ..... Allez maintenant passons aux scènes pornos ..... Passe
moi un gode Jimmy ! ....."
Il prit un vibromasseur et lui tendit.
-
"Merci,
rallonge-toi sur le dos et écarte les cuisses... C'est bien... Ecarte plus... Oui, comme ça...... C'est du bon boulot.....
Maintenant fourre-le-toi dans la chatte et gamahuche toi avec........ dis-toi
que c'est encore Boone qui te reprend... C'est bon Jimmy ? ..... Allez
maintenant à quatre pattes et ne perd pas le gode en te positionnant........
C'est bien... Tes muscles vaginaux sont puissants..... Tu serres tellement les
fesses qu'on pourrait croire que tu te prépares à te faire baiser par un
chien....... On aurait du amener Mac Jimmy..... Ton danois..... Peut-être la prochaine
fois hein Jimmy ? ..... T'es-tu déjà fait baiser par un chien chérie ? ...Non ?
…. Ca te fera une nouvelle expérience......"
-
Vicky frissonnait de peur, que voulaient-ils
lui faire faire la prochaine fois ? ... La faire baiser par un chien !.....
Personne ne pourra m'obliger à un acte aussi dégradant pensa-t-elle
fugitivement.
-
"Chérie tu ne m'écoutes pas.....
cambre-toi mieux... Continue avec le gode..... Plus vite... Tu prends bien tout Jimmy ? .....Les copains
verront ce film ce soir !...." dit-il lui extirpant le gode de sa moule
pour le positionner sur son oeillet anal palpitant.
-
"C'est bon.. On continue..... rentre-le.
Plus fort ......Prends le bien dans ton étroit petit cul ......Bien ... C'est
parfait .......Fais le aller ... Dedans, dehors dedans, dehors .... Plus
profond ....... C'est d'enfer ...." commenta-t-il en posant la caméra.
Le gros homme s'approcha d'elle tandis
que Jimmy adoptait une position plus
confortable pour filmer. Il sortit un godemiché à deux têtes qu'il mit en
place, et les enfonça dans leurs trous respectifs.
Elle allait se gamahucher les deux
trous à la fois ! ......
-
"C'est parfait ! ..... Les plans sont
bon Jimmy ? .... Bien..... Et maintenant
elle va te faire ta cravate de notaire Jimmy......" intervint-il arrachant
brutalement le double gode de ses orifices et la repoussant sur le dos.
Jimmy se mit à poil et enfourcha son
buste positionnant sa grosse bite entre ses globes mammaires, il lubrifia ses
nibards avec un peu de vaseline et commença ses vas et viens tandis que le gros
homme immortalisait la scène.
Jimmy pressait ses gros nichons sur sa
bite et se démenait d'avant en arrière entre eux.
Il lui faisait mal, mais elle se
forçait au silence.
Le gros homme lui intima l'ordre de
feindre la jouissance, elle se mit alors à gémir et à grogner exactement comme
si elle se faisait baiser âprement, Jimmy commença à jouir.
Il gicla sur son menton, ses lèvres,
ses joues et ses yeux en hurlant :
-
OHHHHHHH !...."
Il s'assit ensuite sur son buste et se
servit de sa queue pour étaler le foutre sur son visage, le gros homme prenait
des plans serrés de cet épisode, spécialement lorsqu'il essaya de lui repousser
du foutre entre les lèvres.
-
"Ouvre ta bouche pute,"
ordonna-t-il lui forçant les lèvres.
-
"Suce moi salope....."
Vicky obtempéra veulement. Jimmy
ajouta :
-
"Hummm. Toi au moins t'es une vraie
salope..... Fait moi vibrer....."
Puis il extirpa à nouveau sa bite de
sa bouche et s'en servit pour la gifler à plusieurs reprises, à chaque claque
un maigre jet de foutre giclait sur son visage, les coups étaient très sonores
et le gros homme prit en détail et sons et images de toute la scène.
Il n'avait pas d'autre but que
l'humilier. Jimmy reprit la caméra alors que le gros noir ouvrait à nouveau les
cuisses de Vicky.
Puis il enduisit ses doigts de vaseline
et s'assit au coté de Vicky, il enfouit deux doigts joints dans sa moule,
quelques instants plus tard un troisième doigt rejoignait les premiers, c'était
approximativement la taille de la bite de Boone, elle accepta l'intromission
sans rouspéter, feignant l'orgasme pour la vidéo.
Déjà il extirpait ses trois doigts en
graissant un quatrième adressant un sourire railleur Vicky. Il la força de ses quatre doigts
joints tandis que Jimmy se remettait à filmer. C'en était trop pur Vicky qui se
mit à geindre et à couiner, son persécuteur ignora ses plaintes, ressortit ses
doigts et se graissa la main entière, il voulait lui fourrer son poing dans la
chatte.
Vicky ne pensait même pas qu'on puisse
faire cela, son mari ne lui avait jamais rien fait de ce genre, il la
manipulait toujours avec amour et mesure.
Elle était paniquée, comprenant
qu'elle allait endurer une nouvelle expérience, un nouveau type de souffrance.
Il posa son poing graissé sur son
ouverture vaginale et il commença à
vriller sa main dans sa cramouille affolée.
Jimmy s'approcha, prenant des plans
resserrés du pénible empalement. Plus le gros porc vrillait son poing dans sa
foufoune, plus la douleur devenait insoutenable. Il poussa de toutes ses
forces, amplifiant les mouvements de rotation de son poing, Vicky hurlait sa douleur,
soudain les cris cessèrent, elle s'était évanouie, le poing était entièrement
enfoui dans sa cramouille.
Le gros porc fit une pause le temps
que Vicky revienne à elle, puis il tenta d'ouvrir sa main, il pouvait à peine
remuer les doigts tant la pression du vagin était intense, Vicky pleurait à
chaudes larmes le suppliant d'ôter sa main de son sexe.
-
"Ta gueule salope... t'aimes pas avoir
un poing enfoui dans la chatte ? .... C'est pas plus terrible qu'un
accouchement chéri....... Sauf que là il
s'agit de mon poing...... T'a tout pris Jimmy ? .... Bien... Et maintenant tu vas le sentir
passer....." annonça-t-il s'installant plus confortablement.
Il voulait voir jusqu'où il pouvait
enfouir sa main dans sa cramouille, Vicky sanglotait lourdement le suppliant
toujours d'ôter sa main de son ventre. Il poussa impitoyablement commentant à
l'adresse de Jimmy :
-
"Hey Jimmy, je prends un sacré pied, et
toi ? ......"
-
"Moi aussi..."
-
"Maintenant chérie tu pourras dire que
t'as expérimenté le fist-fucking comme disent les américains ! ......
Puis il la gamahucha de son poing
serré, opérant impitoyablement de sauvages
allées venues de sa main fermée dans son boyau meurtri.
Il ne manifestait pas plus de
compassion que de tendresse, mais juste du vice de la férocité, la faisant
hurler de douleur.
Alors qu'il enfouissait et retirait
alternativement son poing de son vagin douloureux as, Jimmy et son tourmenteur
regardaient fascinés les lèvres de sa chatte s'évaser sur le bras du gros porc,
épousant étroitement le diamètre de son bras, accompagnant chacun de ses
mouvements.
Extirpant son poing, il commenta
lourdement :
-
"Jimmy, penses-tu que son mari va
apprécier ces images ? .....J'ai une nouvelle idée..... Donne lui la camera,
c'est elle qui va filmer la prochaine épreuve..... Graisse ta bite et enfonce
la aussi profondément que tu le peux dans son trou du cul ! ....."
Paniquée Vicky hurlait sa terreur,
Jimmy lui enfourna un chiffon dans le bec. Le gros porc insista :
-
"Allez Jimmy vient derrière elle...
Graisse ton outil et fourre lui dans le cul...
-
Bien que le chiffon étouffa ses cris, Vicky
poussait des hurlements aigus, Jimmy enduisit son gland et sa hampe de
vaseline et prit position dans son dos.
-
"Courbez la en avant chef...." le
gros porc utilisa sa main libre pour lui faire cambrer le cul.
Vicky était folle de panique, elle
attendait avec terreur l'instant ou son épais gland presserait son oeillet.
Jimmy lui saisit les hanches et présenta
son bourgeon, d'une voix voilée elle le supplia de cesser ses manoeuvres.
Elle cherchait à les apitoyer mais ils
ne prêtaient aucune attention à ses plaintes et ses supplications.
Jimmy inséra son gland dans l'oeillet
récalcitrant, il sentait la main de son chef au travers du périnée. Il poussa
plus fort, la main du chef saisit sa bite au travers de la fine membrane.
S'enfonçant de plus en plus dans ses
reins il sentait s'accroître la résistance à son intrusion.
Les plaintes étranglées que poussait
Vicky excitait encore plus les ses deux tourmenteurs, il réussit finalement à
se loger entièrement dans ses entrailles, la main de son chef le branlait au
travers du périnée.
Le gros homme intervint alors :
-
"Bougeons ensemble, toi ta bite et moi
ma main... ramonons la en choeur....."
Ils la défonçaient sans pitié, elle
n'était plus qu'un morceau de viande qu'ils dégustaient à leur convenance afin
d'assouvir leurs appétits sexuels les plus pervers.
Les pénétrations et les retraits
étaient difficiles les entrailles de Vicky enserraient la bite de Jimmy comme
une main de fer, il ne put supporter longtemps ce régime et explosa au fin fond
de ses intestins.
La main du gros homme continuait à
aller et venir su sa hampe, Jimmy se retira et reprit la caméra en main.
Il s'aperçut alors que la cassette
vidéo se terminait, il la remplaça par une autre, rangeant la première dans son
attaché-case.
Vicky était sur le point de s'évanouir
lorsqu'elle sentit le gros porc chercher à extraire sa main de son vagin.
N'y parvenant pas il demanda à Jimmy
de lui donner le tube de vaseline. Jimmy lui enduisit le bras du mieux qu'il
put, et le salaud essaya à nouveau d'arracher sa main de son cloaque.
Il y parvint brusquement, un plop
sonore résonna dans la pièce saluant sa victoire, Vicky ôta la serviette de sa
bouche et chercha à récupérer, elle se sentait déchirée, elle pleurait
sourdement..
Sa fente était si distendue que cela
prendrait des jours et des jours pour qu'elle retrouve sa taille initiale. Le
gros homme réclama une pipe et lui intima l'ordre de s'agenouiller.
-
Elle défaillait sous la douleur cependant
elle se débrouilla pour se mettre à genoux entre ses cuisses, il laissa tomber
son pantalon sur ses genoux et la gifla de sa bite semi-érigée.
-
"Allez chérie, mets-y tout ton
coeur..."
Vicky emboucha la bite ramollie et fit
aller ses lèvres de bas en haut sur son mat de cocagne.
A peine sa bite était-elle raide
qu'elle sentit son éjaculation proche, elle l'enroba de sa longue tout en
accélérant ses succions.
Il jaillit dans sa bouche, elle
avalait au fur et à mesure des émissions sirupeuses, elle ne se révoltait pas,
elle avalait servilement.
Elle était brisée et se satisfaisait
d'assouvir les fantaisies sexuelles de ces deux pervers.
Il termina la cassette en prenant
quelques plans de Vicky nue, puis se rhabillant. Elle obéissait passivement à
tous leurs ordres.
Ils la quittèrent vers 11 heures du
soir, le gros sergent déposa Jimmy chez lui et regagna son domicile où il passa
plusieurs heures à développer les photos puis à monter la bande vidéo, puis il
se coucha vers trois heures.
Vicky passa plusieurs heures aux
urgences, le temps de réparer les dégâts, ils voulaient la garder pour la nuit,
mais elle refusa de peur d'envenimer les choses.
Ils appelèrent la police qui
l'interrogea, elle fit une déclaration mensongère, ne déposa pas de plainte et
ne cita aucun nom.
Vicky reprit sa voiture et partit
passer la nuit chez sa soeur, ou elle pensait être en sécurité.
Pour
sauver son mari Ch 4
Chapitre
4
Le lendemain matin, Vicky et sa soeur
se rendirent à chez elle pour y prendre quelques vêtements et des affaires
personnelles. Valérie et son mari
l'accompagnaient.
Une fois ce dont elle avait besoin
empaquetait, elle ferma fenêtres et portes à double tour et jeta un dernier
coup d'oeil dans le salon. Quelques heures plus tôt elle se faisait sauvagement
agresser dans cette pièce.
Elle se dirigeait vers la porte
lorsque quelque chose attira son regard : un cassette
vidéo, par erreur ils avaient oublié une cassette vidéo, elle s'en empara
prestement et la fourra dans son sac à main.
Ce même jour, le gros sergent était
assis à son bureau, il préparait une soirée vidéo pour les détenus, il invita
les gardes et les habitués
Lorsqu'ils violaient et filmaient une
femme de détenu, celui ci pouvait voir le film dès le lendemain c'était simple
comme bonjour.
Ils étaient 19 spectateurs, 18
habitués et un nouveau : Sanderson. Sa femme était la
vedette de la vidéo, c'était assurément la plus jolie femme qu'ils aient filmée
jusqu'ici. Tous les hommes qui avaient vu des photos d'elle nue avaient payé
leur place pour regarder la cassette.
Bien qu'il ait violé la plupart des
femmes des spectateurs présents, c'était la première soirée vidéo à laquelle
assistait Boone. Il avait payé une grosse somme pour sauter cette gonzesse et il voulait voir le
film qu'ils avaient concocté. Il voulait revoir Vicky nue.
Après tout c'était la femme la plus
belle et la plus sexy que ces hommes aient depuis longtemps.
C'est assez surpris que j'avais gagné
la salle de vidéo, je n'avais aucune idée des raisons de cette invitation. la pièce contenait,
quelques gardes et beaucoup de détenus.
Tous les regards était
braqués sur moi, ils chuchotaient et riaient, se moquant visiblement de
moi.
Boone m'appela, je m'assis à coté de
lui. Quelques spectateurs se masturbaient ostensiblement, ce qui accrut encore
ma nervosité, et j'étais prêt à me sauver, dans la crainte de me faire
partouzer.
Le gros homme arriva, il prit la
parole :
-
"Salut les gars, cette soirée est
spéciale, vous allez vous régaler ..... Je suis certain que vous avez tous vus
des photos de Vicky, la ravissante femme de Sanderson
…..Très bien .... Nous lui avons fait une petite visite hier soir, on s'est bien
amusé ..... On a filmé cette bonne séance de baise et c'est ce que nous allons
regarder ce soir."
Mon coeur s'emballa à ces mots, ils
avaient violenté ma femme dans notre maison, et ils se préparaient à projeter
la vidéo qu'ils en avaient tiré, je n'avais aucune idée de son contenu, ce que
je vis me choqua, me rendit furieux et m'excita tout à la fois.
Le gros porc lança la vidéo sur la
télé grand écran.
Ma ravissante jeune femme normalement
vêtue apparut, elle répondait à un questionnaire, en introduction.
-
"5
C, 75, 95 ..."
-
"Quelles sont tes mensurations ? "
-
"Beaux
nichons ma fois, à quel âge t'es-tu fais dépuceler ?"
-
"15 ans ….."
-
"Qui t'as dépucelé ? ...
-
"Je t'ai
demandé qui t'as dépucelé ..."
-
"Mon
mari ….."
-
"As-tu
déjà baisé avec deux hommes en même temps ?"
-
"Pas
avant cette semaine ..."
La salle éclata de rire à ces mots.
-
"T'es-tu déjà fait baiser par un animal
? ..."
-
"Non ...
-
"Le ferais-tu si on te l'ordonnait ?
..."
-
"Non …."
-
- "Nous verrons bien chérie ..."
commenta l'homme avec un sourire démoniaque.
-
"Aimes tu te
faire baiser ?"
-
"Oui ....Par mon mari ... Pas par vous
salauds !...."
De nouveau la salle résonna de rires
bruyants.
-
"Avales-tu le sperme ? .."
-
"Normalement oui ..."
-
"Aimes-tu te faire enculer ? .."
-
"C'est pas ce que je préfère ..."
Encore une fois les spectateurs
hennirent leur joie.
-
"C'est ton époux qui t'a dépucelé,
est-ce aussi lui le premier à t'avoir enculée ?"
-
"Oui c'était lui ..." L'interview,
de plus en plus intime, dura quelques minutes.
Vicky, expliquait sereinement qu'elle
aimerait se faire prendre en sandwich
tandis qu'elle sucerait un troisième homme.
J'étais à la fois surpris et excité.
Malgré nos années de mariage, Vicky
était bien trop timide pour discuter de sexe de façon si détaillée avec moi et
voilà qu'elle s'étalait avec complaisance tandis qu'on la filmait.
Elle semblait si différente de la
Vicky que e connaissais, une lueur égrillarde dans son oeil renforçait cette
impression de complaisance.
Le gros porc lui demanda alors de se
déshabiller. Elle voulut savoir si elle devait juste se déshabiller ou faire un
strip-tease. Il répliqua que c'était à elle de choisir. Elle me surprit en
déclarant
-
"Je ferai ce que vous voudrez ! ....
Demandez et je m'exécute ! ...."
Elle commença alors à danser sur une musique
qu'elle seule entendait, puis elle enleva son corsage, s'exhibant en
soutien-gorge, les spectateurs se livrèrent à quelques commentaires salaces.
Lorsqu'elle dégrafa son soutien-gorge
pour le laisser choir au sol, ils avalèrent tous leur salive.
Lorsqu'elle se dépouilla de son jean
dansant juste vêtue de son string, les spectateurs pétèrent les plombs.
Mais les cris redoublèrent lorsqu'elle
retira son cache sexe, penchée en avant, jambes largement écartées, elle coinça
la bite de son partenaire entre ses pieds.
Elle le branla des deux pieds, tout en
se cambrant pour mettre en évidence sa chatoune.
L'homme qu'elle masturbait de ses
pieds juta sur ses mains, elle continua imperturbablement à le branler, alors
qu'il continuait à gicler.
Vicky affrontait sereinement la
caméra. Les spectateurs grommelèrent sourdement à la vue des sa paire de
nibards et de son pubis d'or.
La caméra détaillait ses courbes
voluptueuses.
Puis, à la demande de Jimmy et du gros
porc elle prit des poses excitantes.
Jambes grandes écartées, le gros porc
lui demandait d'ouvrir sa foufoune de ses doigts, de tendre ses nichons, de les
laisser tomber, à cette vue l'assistance péta à nouveau les plombs.
Ils étaient si gros si fermes, tous
les spectateurs en frémissaient d'envie, exactement comme moi lorsque nous
faisions l'amour.
Puis quelques plans d'elle utilisant
des godes et des plugs défilèrent, je ne l'avais jamais vue utiliser ces
jouets, cependant elle semblait apprécier qu'on lui insère des godes ou des
plugs dans le cul.
Puis vint la scène de la cravate de
notaire, ils applaudirent tous cette scène des plus grivoises, il faut dire que
la vue de la pine de Jimmy coulissant entre ses globes mammaires était des plus
excitantes.
Lorsqu'il éjacula sur son visage puis
étala le sperme sur ses joues, son menton, ses lèvres, ils rirent souhaitant faire de même.
Lorsqu'ils lui firent lécher les
filets de sperme marbrant ses seins, je désirais follement la posséder à cet
instant, elle suça longuement ses nichons avant qu'on ne lui dise de cesser.
Puis elle fit une pipe au gros
porc, tout le monde riait et applaudissait.
Lorsqu'il jouit et qu'elle avala sa
semence si obligeamment, la salle sombra dans le délire. Je ne l'avais jamais
vue aussi excitante, aussi sexy.
Au spectacle de cette pipe menée de
main de maître bien des spectateurs jouirent dans leurs pantalons ou bien par
terre.
La salle avait retrouvé un certain
calme lorsqu'ils commencèrent la scène de fist-fucking.
Voir ce gros porc lui fourrer sa
grosse main dans le vagin me choqua profondément, les hommes giclèrent à
nouveau lorsqu'ils le virent vriller sa main dans la chatte de Vicky, je me
désolais en voyant la souffrance s'afficher sur son visage, j'aura
voulu pouvoir occire ces bâtards, je me jurais de les tuer dans d'horribles souffrances.
Puis Jimmy l'encula alors que le gros
homme avait toujours sa main fourrée dans son vagin, on n'entendait plus un
bruit dans la salle, ils cessèrent même de se masturber fascinés par la scène
qui se déroulait sur l'écran.
Ma haine grandissait à chaque coup de
boutoir dans le ventre de ma femme, j'aurai voulu les tuer à l'instant, sur
leurs sièges.
C'est alors que Boone se pencha vers
moi et me dit :
-
"Ne fais pas ça l'ami, t'es encore en
vie et ils la baiseront quoi que tu fasses …. Que tu veuilles bien ou que tu ne
le veuilles pas ...... En dehors de cela, j'aimerai bien m'la faire à nouveau moi
aussi !...."
La cassette se termina enfin, tout le
monde resta assis, le gros sergent donna l'ordre aux gardes de raccompagner les
détenus dans leurs cellules.
Je passais la nuit yeux grands
ouverts, allongé sur mon lit, révolté par ce que j'avais vu, et les souffrances
que visiblement ma gentille petite femme avait enduré.
-
*****************************
Vicky ne me visita ce week-end, ils
furent tous désappointés.
Elle ne revint que deux semaines plus
tard. Elle portait une robe d'été, elle était ravissante. Elle était allée chez
le coiffeur et semblait reposée.
Elle s'assit seule dans la salle des
visites aux cotés de détenus discutant avec leurs femmes.
Ils vinrent me chercher, je me rendais
au parloir et m'assit à ses cotés.
-
"Bonjour chéri t'ai-je manqué ? .....
" me demanda-t-elle m'embrassant tendrement à pleine bouche.
Elle se redressa, déboutonna mon
pantalon, sortit ma bite et entama une branlette à deux mains.
La salle était pleine, mais cela ne
l'arrêta pas, elle remonta sa jupe, les hommes assis à proximité virent tous
qu'elle ne portait pas de culotte.
J'étais curieux de savoir jusqu'où
elle irait dans sa volonté de me donner du plaisir, aussi je pensais que je
devrai la tester.
Alors que je me demandais quoi faire,
Boone accompagné par quelques copains
entra et s'assit de l'autre de la pièce.
Je dis à Vicky de se mettre à genoux
pour me faire sa pipe.
Je pensais qu'elle se glisserait sous
la table, comme les autres épouses de détenues, je fus fort surpris de la voir
s'agenouiller à coté de la table, à découvert pour calmement se remettre à me sucer.
Nos voisins nous regardaient ébahis.
Quelques femmes étaient en colère de la voir agir aussi ouvertement, d'autres
se montraient curieuses et s'excitaient à la vue de cette jolie blonde faisant
une pipe à son mari au su et au vu de tous.
J'aimais ça ! .......J'aimais la voir
aussi belle et sensuelle !..... Je l'aimais de me sucer à la vue de tous
......J'étais très heureux de la voir faire ce que je voulais ! .....
J'ai essayé de me retenir, mais je n'y
suis pas arrivé, je giclais presque immédiatement dans sa bouche.
Elle savoura toutes mes giclées, puis,
se relevant elle me murmura à l'oreille :
-
"On les tient par les couilles ! .....
Ils ont laissé traîner une vidéo à la maison, je l'ai amenée à un
avocat..."
-
"Qu'entends tu par ils ont oublié une
vidéo à la maison ? .... Quelle vidéo ? ...... J'ai vu celle qu'ils t'ont fait
faire ! ....." lui dis-je toujours raide, récupérant lentement de la pipe
qu'elle venait de me faire.
-
"Une ancienne vidéo ... tu vois cette
fille avec le mexicain ....Ils ont filmé son viol ....." dit-elle
désignant une femme de l'autre coté de la pièce.
Je jetais un oeil curieux et vis une
mignonne petite mexicaine me souriant en me faisant un signe de la main.
Elle poursuivit :
-
"L'avocat a rapidement identifié cette
jeune femme et pas plus tard que ce matin, nous nous sommes rendus chez le
procureur, il identifia quatre autres femmes sur la bande stéréo, ce ne fut pas
très difficile.
Ebahi, je lui dis :
-
"Mais c'est fou ! ..... Sois sur dès que
je sortirai d'ici .....Ils tenteront de
me tuer ... En tout cas ce sera fini ...Si tout est décidé, pourquoi me demandes-tu
mon avis ? .." poursuivis-je avec une certaine impatience.
-
"Parce que je t'appartiens entièrement
désormais, je ferai ce que tu voudras, quand tu voudras ..."
-
"Tu penses vraiment ce que tu dis ?
..." m'esclaffais je incrédule, et j'ajoutai :
-
"Boone me tuera si le procureur s'en
mêle ! ..."
-
"Ne te tracasse pas pour Boone, ... On va lui proposer un bon marché s'il
témoigne contre les gardes ... De toute façon il m'aime et il fera ce que je
lui demanderai ! ....." me dit-elle confidentiellement, et elle poursuivit
:
-
"Appelle le
"
-
" Boone " l'appelai je lui faisant
signe de la main.
-
"Vicky voudrait te parler ! ..."
Le colosse s'assit près de Vicky, et lui
posa le bras sur l'épaule, empaumant de la main un de ses seins.
-
"Arrête .."
dit -elle éclatant de rire, en enlevant sa main de sa poitrine.
-
"Sois gentil ... .. Il est arrivé un
paquet de choses aujourd'hui .... Cela te concerne ... Et le temps qu'il te
reste à tirer ... Mon avocat m'a dit qu'il pouvait obtenir une forte réduction
de peine si tu nous aidais .....Cela t'intéresse-t-il ? ....."
-
Le colosse sourit et répondit :
-
"Tout ce qui me fera sortir d'ici plus
rapidement m'intéresse forcément ...." dit-il badinant
-
"Sérieusement il s'agit de quoi ?
....."
-
"A 14 heures, Je dois rencontrer le
Procureur pour lui parler du viol que j'ai subi.... Nous disposons d'assez de
preuves pour mettre ces gardes à l'ombre
pour longtemps, mais on a besoin de ton aide ....... la vidéo concerne
plusieurs femme de détenus que les gardes font chanter mais on un aurait besoin
d'un témoin emprisonné qui corroborerait nos dires...... Mon avocat prétend
qu'il peut obtenir ta libération anticipée en échange de ton témoignage ...
Cela ne dépend donc que de toi ...... Il m'a dit qu'il te restait 18 mois à
tirer ......"
Boone soupira lourdement :
-
"Hmmmmmm
....Témoignez et vous serez libéré ! ...... Je n'ai encore jamais balancé
personne ..... Mais passer encore 18 mois dans ce trou à rats ....." et se
tournant vers Vicky, il convint :
-
"C'est d'accord .... Mais je suis aussi
impliqué dans ces viols ...... J'ai payé pour ce gros porc pour baiser avec ces
femmes ...... Que me feront-ils pour ces viols ! .... "
-
"C'est prévu au marché qu'on te propose.
... Si tu témoignes toutes les charges contre toi seront abandonnées,.... Alors
qu'en dis tu ? ......."
Boone se leva et se dirigea vers la
fontaine, il se servit un verre d'eau et revint s'asseoir au coté de Vicky, il
posa à nouveau son bras sur son épaule et empauma un de ses seins.
-
"C'est d'accord ….. Je marche avec vous
..... mais je vais te demander quelque chose ..... J'ai vu ce que tu as fait à
ton mari il y a à peine 10 minutes
....... Fais moi aussi une pipe pour me remercier ...!"
Vicky sourit, me regarda et lui dit :
-
"T'es bien sur que tu veux que je te
suce maintenant ? .... Tu vas sortir dans quelques semaines, on pourra alors
prendre tout notre temps ..... Alors que fait-on ? ....." - "Pourquoi
joues de cette façon avec mes nerfs chérie ?..." dit il
souriant à pleine dents.
-
"Fais moi un pipe tout de suite, de
toute manière tu pourras m'en faire une autre plus tard ! ....." et me
jetant un oeil il ajouta :
-
"Allez mon pote, aide moi sur ce coup là
...".
Je regardais Vicky et opinais de la
tête.
Immédiatement elle descendit de son
siège et s'installa entre les cuisses du colosse noir, dégrafant sa braguette,
elle sortit la monstruosité à demi érigée et l'emboucha séance tenante.
Sa bouche était distendue aux limites
de la dislocation, mais elle parvenait à l'enserrer de ses lèvres actives,
relevant la tête elle regarda Bonne dans les yeux et dit :
-
"Tu me jures de protéger mon mari ? ....
" Boone hocha la tête en signe d'acquiescement et elle replongea sur sa
bite.
Après quelques difficultés, elle ne
tarda pas à prendre son rythme de croisière, nos voisins regardaient incrédule
cette jeune femme blanche sucer un noir sans se soucier de l'assistance.
Cela ne prit pas très longtemps, et le
colosse noir lui balança gerbe après gerbe sa semence au fin fond de la gorge.
Elle avala les gerbes chaudes avec un plaisir évident, puis elle lui, toiletta
sa bite avant de l'embrasser une dernière fois sur le méat et de la ranger dans
son pantalon.
-
"Merci chérie, c'était très bon ..... Et
maintenant ? ..."
-
"Quoi maintenant ….. Que veux-tu de plus
? ...." demanda-t-elle confuse.
-
"Bien sur que je veux plus ! .... Mais
pas maintenant ! ..... Je voulais dire que se passe-t-il maintenant ?
....."
-
"J'en saurai plus vers 15 heures, je
vous ferai alors savoir ... l'un d'entre vous peut-il m'appeler vers 17 heures
? ......
Boone opina et elle continua :
-
"J'y vais maintenant, on est bien
d'accord mes chéris ? ..... " finit-elle me souriant tendrement.
-
"On est d'accord ma chérie ...... Prends
garde à toi ......" répondis je, puis je quittais
la salle accompagné de Boone.
Le gros sergent l'accosta dans le hall
de sortie, il lui sourit, elle voulut se libérer, mais il la tenait fermement.
-
"Je dois y aller " parvint-elle à
balbutier
-
"Je n'ai pas le temps de faire quoi que
ce soit en ce moment, venez avec vos amis ce soir, je ferai tout ce que vous
voudrez ..."
A contrecoeur, il la laissa partir. Il
savait que de toute façon ce serait bien mieux ce soir, ils pourraient prendre
leur temps. Il regardait rouler son petit cul ferme tandis qu'elle descendait
le vestibule, il bandait déjà en évoquant l'image de son sphincter anal enserrant
d'une main de fer sa grosse bite noire.
Il pensa vicieusement :
-
"Ce soir, après m'être servi de sa
chatte, je lui péterai la rondelle !
....
Vicky rejoignit le parking où sa soeur
l'attendait, ils allèrent se restaurer dans un bar, ils discutaient des
événements à venir et de la revanche que ces femmes violées tireraient de leurs
violeurs.
*****************************************
A exactement 14 heures moins quart,
Vicky se trouvait avec son avocat dans salle d'attente du bureau du procureur.
A 14 heures juste on les introduisait
dans le bureau où ils attendirent quelques minutes le procureur. La porte du
fond s'ouvrit bientôt et Elisabeth Durand, le procureur et son assistant
entrèrent dans la pièce.
Souriante, elle posa son attaché case
sur le bureau précisant :
-
"On dispose de 30 minutes, Qu'est ce que
cette histoire de gardes contraignant des femmes de détenues à avoir des
rapports sexuels avec eux et à se prostituer avec d'autres détenus ?
....."
30 minutes plus tard, ils avaient tout
raconté à un procureur horrifié, lors du visionnage de la bande vidéo, elle
ordonna à son assistant de démarrer une procédure, elle regarda la cassette du début à la fin.
Elle y vit 6 femmes de différentes
ethnies et de différents âges obligeaient de se livrer à des rapports sexuels
sous la contrainte, elle vit ces femmes se faire humilier et violer par les
deux mêmes hommes.
-
"On va coincer ces salauds ! ...... Qui
sont ces femmes ? ..."
-
"Ce ne sera pas aussi simple que cela
" intervint Vicky qui poursuivit :
-
"Il y a 3 ou 4 autres gardes et
peut-être même plus impliqués dans ces viols ! .....On ne les connaît pas
tous ... Ils seront tous chez moi ce
soir ! ......Pour ...... Collecter le prix de leur bonne volonté ....... C'est
du moins ce qu'ils m'ont dit ! .... Et si l'on refuse, ils battent nos maris
......."
-
"Ce soir ? .." demanda le
procureur.
-
"Pourquoi n'établisserions-nous
pas une souricière pour les prendre en flagrant délit ?..."
-
"C'est d'accord, mais rappelez vous vous
nous avez promis d'aider Boone ! ..... Il a protégé mon mari..... " intervint
à nouveau Vicky qui poursuivit :
-
"Je ne sais pas à quelle heure ils vont
se pointer chez moi ce soir, mais j'ai demandé au sergent d'amener tous ses
amis ! .... Est ce bien encore un viol puisque c'est moi qui leur ai dit de
venir ! ......"
-
"Ne vous inquiétez pas, nous ferons
comme si ..... " et se tournant vers son assistant elle ajouta :
-
"Je veux un secret total sur tout ceci
... pas de presse .... Appelez le capitaine Glendenning
et mettez le dans la confidence ! .........
******************************************
Assise dans son salon, Vicky pliait
nerveusement des vêtements, elle savait que beaucoup de choses reposaient sur
elle et de sa façon d'agir cette nuit.
Il leur fallait la preuve qu'il
s'agissait bien de viols sous la contrainte, elle devait les amener à se
dévoiler ce soir, il fallait qu'on la voie se faire violenter, il n'était que
20 heures et personne n'était encore là.
Les caméras étaient prêtes, les micros
ouverts, la maison en était largement équipée, la police était prête pour les
arrestations.
Elle savait que ces hommes la
verraient sur leurs écrans de contrôle et cela l'excitait.
On frappa à la porte Vicky se leva et
ouvrit. Ils étaient sept, d'âges, de races, et de statures différentes.
Ils entrèrent amenant leurs canettes
de bières et des pizzas. Il s'étaient préparés pour
une partouze dont Vicky serait l'objet principal.
Le gros sergent commenta :
-
"C'est bon les gars ... On est arrivé
.... Fous toi a poil et écarte les cuisses salope ! ....."
-
"Attendez " les interrompit Vicky
-
"Vais je devoir
me faire baiser par tous ces hommes ? .....Je vous en prie Non .... Vous ne
pouvez pas m'obliger à faire ça ! ......... Je vous en prie ...Nonnnn ... Vous allez encore me déchirer ...... J'ai du me
faire recoudre aux urgences la dernière fois ! ....."
-
"Ta gueule morue, et fous toi à poil
rapidement ou je leur dit à tous de t'enculer ..." lui intima le gros
sergent en décapsulant une bière.
Il s'assit attendant qu'elle
s'exécute.
-
"Qu'est ce que tu nous fais salope ?
....."
A contrecoeur Vicky entama son
strip-tease, elle se demandait pourquoi la police n'intervenait pas.
Ils l'avaient entendu dire qu'elle
refusait de se plier à leur volonté, qu'avaient-ils besoin de plus ? .....
Une fois son chandail enlevé, elle
dégrafa son soutien-gorge et le laissa tomber au sol.
Les agents dans la voiture garée à
l'extérieur sentaient leurs bites se tendre à la vue cette magnifique poitrine.
Ils n'en croyaient pas leurs yeux, comment une poitrine si grosse pouvait-elle
paraître si ferme ? ...
Ils se regardaient les uns les autres
ébahis l'un d'eux intervint :
-
"Woua ce
qu'elle est bandante ..... J'aimerai bien me la faire moi aussi ......"
Elle baissa la fermeture éclair de sa
jupe et la laissa choir à son tour,elle ne se trouvait
plus maintenant vêtue que de sa petite culotte de dentelle blanche, ils
grognèrent lorsqu'ils virent que cette mignonne jeune femme portait une culotte
de grand-mère.
-
"Qu'est ce que c'est que ça ?
....." demanda le gros porc.
-
"Ce sont des culottes de douairière !
..... Vire moi ces loques et montre nous ton somptueux corps de putain !
....."
Vicky se dépouilla de ses culottes à
l'ancienne et les jeta au visage d'un des gardes en badinant, il la saisit et
prit le fond en bouche déclenchant les rires et les plaisanteries de ses
partenaires.
Puis elle surprit tout le monde en
annonçant :
-
"Puisque vous m'obligez à me faire
baiser par chacun d'entre vous, qui passe en premier ? .... Je veux juste que
vous sachiez tous vous pouvez partir et me laisser tranquille ... Ne vous
sentez pas obligés de le violer !...."
Ils rirent et le gros dit à Jimmy de
démarrer la vidéo. Puis il dit à tous les hommes de se foutre à poil, puis il
dit au plus jeune de s'étendre sur le sol.
Une fois le jeune homme allongé, il
ordonna à Vicky de le chevaucher.
Elle hésita s'attendant à tout instant
à ce que les flics envahissent la maison, mais, lorsqu'il lui hurla dessus,
elle s'accroupit d'elle même sur la juvénile bite dressée droite.
-
"Ca commence pas trop mal" pensa-t-elle, puis elle perdit tout contrôle
lorsqu'on la poussa sur le torse de son jeune agresseur, paniquée elle sentit
qu'un des gardes lui graissait le trou du cul, elle s'affola :
-
"Mais où sont-ils ? ... Que leur faut-il
de plus ? ......
Empalée sur le jeune homme, sa
poitrine frottant contre son buste, le trou du cul bien lubrifié, elle se
sentit agrippée par les hanches tandis qu'une épaisse queue se présentait à
l'entrée de son cul.
Il la pénétrait lentement, elle se mit
à hurler appelant à l'aide tout en pleurnichant :
-
"Nonnnn ....
Je vous en prie ... Pas ça ......"
C'est alors qu'un troisième lui fourra
un chiffon dans la bouche, étouffant ses cris, c'était l'immonde slip du gros
porc.
Cherchant à ne pas étouffer, elle
tenta de se contrôler, il l'enculait lentement, il ne l'avait pas encore
pénétrée de toute sa longueur.
-
"Il doit être monstrueux"
craignit-elle fugitivement.
-
"Quand m'aura-t-il tout mis ? ...."
L'un d'eux lui enleva son bâillon et
enfourna sa bite dans sa bouche rétive, elle se faisait violer et personne ne
venait à son secours ! ...
Ils devaient pourtant avoir assez de
preuves maintenant ! .....
Qu'est-ce qui leur prenait ? .....
Elle sentait la queue dans on cul arriver
au fond de ses entrailles, et oeuvrer de concert avec la bite dans sa chatte,
allant et venant alternativement dans ses deux trous embrasés, elle était sans
défense totalement à leur merci.
L'homme dans son cul lui asséna de
terribles coups de boutoirs, alors que l'homme sur lequel elle était empalée
s'arquait sur les talons accentuant encore l'empalement.
Lentement ils adoptèrent un rythme
particulier, la pénétrant de concert et se retirant de concert, à chaque poussée , son bassin bougeait violemment sous le terrible
impact si douloureux, puis ils reprirent un schème plus classique s'enfonçant
alternativement dans ses intimités plus du tout secrètes.
Le frottement de son clito contre un
des pénis l'échauffait inéluctablement lui procurant un plaisir qui
l'envahissait petit à petit, elle commença à jouir sauvagement poussant de
longues plaintes provoquant l'éjaculation de son baiseur de bouche.
Elle déglutit et avala sa liqueur
alors que déjà un autre homme prenait place face à sa bouche, elle l'emboucha
et se mit à le sucer servilement.
Un des gardes saisit sa main gauche,un autre sa main droite ce qui la força à s'empaler
totalement sur le jeune homme allongé sous elle, puis elle sentit qu'on posait
ses mains sur des hampes vigoureuses, on
la força alors à refermer ses doigts sur ces bites frémissantes.
Elle avait une vite dans la chatte,
une dans le cul, une en bouche et en branlait deux dernières et personne
n'intervenait pour venir à son secours ! .....
La bite dans ses entrailles explosa,
elle sentit une chaude coulée envahir son boyau assoupli. Il projetait ses
salves au tréfonds de ses entrailles, puis il se relava et un nouveau candidat
à l'enculage e remplaça immédiatement. Il lui fallut un petit moment pour
s'adapter au rythme de la bite dans sa chatte, mais il y parvint et elle fut à
nouveau baisée par deux bites qui la labouraient de concert.
Un à un ils l'enfilèrent tous par ses
trois trous, chatte, bouche, trou du cul. Entre chaque coup ils s'asseyaient et
mangeaient des pizzas en buvant de la bière, il était maintenant 23 heures.
Le gros porc dit à Vicky de se
relever, lentement elle obéit, du foutre gouttait de ses cuisses, provenant de
sa chatte et de son cul.
Sa bouche était empâtée, empesée de
foutre gluant qui s'accrochait à sa luette, ses amygdales et sa langue. Le gros
porc lui dit alors :
-
"Sourit ma petite chérie, tu es filmée
...Tu sais salope, je vais montrer cette vidéo dans toutes les cellules ...
peut-être bien qu'on la mettra sur internet ... je dois avouer qu'entre toutes
les femmes qu'on a violées, t'es la plus bandante et la plus baisable ..... Et
laisse moi te remercier pour ça, on aime te baiser jusqu'à l'os ! ......."
L'agent dans la camionnette a parla
dans son casque et dit :
-
"Nous en avons assez .... Allez y ! ..... "
Tous les hommes assis bandaient dur,
le plus vieux dit à un des plus jeunes :
-
"En rentrant ce soir j'espère bien que
tu vas sauter te femme ... Oui, eh bien moi aussi ! .... Ma vieille femme va
avoir une sacrée de surprise cette nuit
! ......"
Ils ouvrirent brusquement les portes
et entrèrent.
Commotionnée, Vicky chercha ses
vêtements et les enfila prestement. Ses tourmenteurs étaient menottés, on leur
lisait leurs droits. Elle regarda tous les hommes présents et poussa un long
cri, puis elle retourna se faire soigner à nouveau aux urgences.
Trois semaines plus tard, on me
libérait, Vicky m'attendait sur le parking de la prison. Je vis son visage
souriant lorsque j'approchais de la voiture.
-
"Tu conduis ? ..." me demanda-t-elle.
-
"J'en ai marre d'être un numéro ......Je
ne veux plus qu'être ton amant et ton ami ! ... " lui répondis-je à coté
de la plaque.
Je notais alors qu'elle s'était
préparée pour moi, elle était nue, complètement nue, elle avait les nichons
bombés et les tétons dardés, la chatte rasée et nette.
Elle affichait un sourire démoniaque
comme pour dire :
-
"Je ferai tout ce que tu me demanderas,
tu n'as qu'à demander.
-
"Je conduis " me décidai-je alors.
-
"Boone sort dans deux semaines, il se
rappelle à ton bon souvenir, il m'a dit de te dire qu'il passerait prendre ce
que tu lui as promis ! ....."
-
"D'accord," dit Vicky,
-
"Cette fois encore, mais juste cette
fois ....Je veux t'appartenir le reste de ma vie !......"
-
"Juste à moi ? ..... J'aime ta façon de
te vêtir ..... Je veux qu'il en soit toujours ainsi à l'avenir .... J'ai faim
... Arrêtons quelque part pour manger .....Je veux que tu gardes l'habitude de
te promener nue, et de baiser avec d'autres hommes …... Mais pas trop souvent
!......"
Vicky sourit et dégrafa ma braguette,
sortit ma queue et embrassa le gland, elle faisait tout pour plaire à son mari,
parce qu'elle le voulait
Je démarrais la voiture et prit le
chemin de la maison. Penchée sur moi Vicky me faisait une pipe, j'étais soudain
pressé de rentrer à la maison.
FIN
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