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Pour
sauver son mari
Chapitre 1
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com
-
"Que t'es -t-il
arrivé qu'est ce que ces marques sur ton visage ? ..." demanda-t-elle
affolée.
-
"Oui " répondis-je m'asseyant tout
penaud à ses cotés... J'en prends plein
la gueule... Les gardes les laissent
faire...... Il regardant, certains s'en vont lorsque ça démarre...... Encore 32
jours et je pourrai sortir....... Tu dois m'aider chérie......"
-
"Je ne crois pas pouvoir le
faire..." sanglota-t elle éperdue.
-
"Sanderson, de quoi parles-tu avec ta
petite chatte blonde ? ..." questionna le géant noir, qui s'assit de
l'autre coté de ma femme posant sa main sur son épaule.
-
"Nous as-tu ramené quelques photos ?
..." J'aime regarder tes gros
nibards et ta petite chatte duveteuse...
Ton mari brûlait de nous montrer comment t'es foutu..."
-
Gênée, Vicky tenta de l'ignorer, mais en
vain. Le bras posé sur son épaule, il lui empauma un nichon, le caressant
machinalement
Je purgeais une peine de 180 jours,
sanctionnant une conduite en état d'ivresse, c'est pourquoi je devais me
contenter de m'asseoir aux cotés de ma jolie petite femme.
Vicky est âgée de 23 ans, c'est une
vraie blonde, ses longs cheveux pendent jusqu'à sa taille, elle a une jolie
peau très lumineuse, et est dotée d'une
forte poitrine, presque trop grosse, mais si ferme.
Elle était vierge lorsque je l'ai
épousée, j'étais son premier amant.
Nous nous fréquentons depuis les
années collèges et sommes très amoureux l'un de l'autre.
C'était jour de visite à la prison de
comté, prisonniers et visiteurs étaient
assis dans la cafétéria, qui était aménagée pour cet emploi.
La salle contenait une centaine de
personnes mélangées, les enfants ne pouvaient venir que dans des occasions bien
spécifiques, il n'y en avait pas un ce jour là.
Les gardes se promenaient dans les
rangs, surveillant d'éventuels échanges. Parfois, les prisonniers pouvaient
s'isoler un petit moment dans une petite pièce contiguë pour jouir d'une certaine intimité.
Même si le règlement de la prison ne
prévoyait pas formellement les tête-à-tête conjugaux, les gardes toléraient ces
occasionnels isolements. Mais on ne pouvait jamais fermer entièrement la porte,
ce qui minorait d'autant l'intimité.
De temps à autre, une femme
s'allongeait sur la table pour baiser avec son homme, on essayait d'ignorer les
bruits d'accouplement, les gardes se rinçaient l'oeil et riaient de
l'humiliation des épouses de prisonniers.
On aurait tous aimé se tenir sous la
table pour profiter du spectacle.
Je me faisais battre depuis quelques
mois, depuis le début des visites de Vicky.
Elle avait posé pour des photos nues
et avait tenté de me les donner un jour de visite.
Sa soeur Valérie l'avait prise en
photos avec un polaroïd quelques jours plus tôt.
Lorsqu'elle s'était assise un grand sourire
aux lèvres, je compris qu'elle me préparait une surprise. Tout ce que je
savais, c'est que j'étais sévèrement frustré, je la désirais âprement.
J'avais posé ma main sur ses cuisses,
et je glissai mes doigts vers sa chatte lorsqu'elle me mit les clichés dans la
paume de la main.
Je tâtonnais et les rangeai
prestement, malheureusement, l'un des gardes m'avait vu faire
Il se dirigea vers moi me demandant de
lui remettre l'objet introduit en fraude, il pensait que ça pouvait être de la
drogue et fut heureusement surpris de découvrir des photos de ma ravissante
femme nue.
Les deux premières montraient ses gros
nibards, la suivante son cul ferme, mais
sur les deux dernières elle exhibait sa chatte, l'une d'entre elles cuisses
grandes écartées.
Sur toutes ces photos, elle souriait
vicieusement l'air d'inviter le client. Il rit et se les empocha, puis il fit
des copies et les distribua à ceux qui en voulaient.
Le salaud de nègre assis aux cotés de
Vicky lui pelotant un nichon s'était procuré les cinq photos, et il voulait
qu'elle en prenne d'autres d'elle nue pour les lui donner.
Il en voulait plusieurs avec sa petite
amie et d'autres encore avec son frère.
Mais elle se refusait à faire cela.
Depuis il me battait journellement
pour l'obliger à accepter. Il voulait aussi lui imposer certaines tenues pour
lui plaire lors des visites.
-
"Waou... Sanderson, ta femme à des
nichons de matrone. Ils sont vraiment très gros ...... C'est
pas facile de dégoter de tels nibards ...... " commenta-t-il goguenard.
-
"J'aimerai bien te fourrer ma bite dans
ta soyeuse petite chatte ma blonde chérie "lui dit-il à l'oreille alors
que sa main remontait sous sa jupe se dirigeant tout droit vers sa juteuse
petite foufoune.
Elle serra les cuisses pour tenter de
d'arrêter ces caresses obscènes, et s'écria :
-
"Ne me touchez pas ! ...."
Le géant noir se releva et me menaça :
-
"Cette nuit je viendrai t'enculer !
......"
-
"Attendez..." lui dit alors Vicky
l'invitant à se rasseoir.
-
"Je vous prie ne lui faite pas de mal !
.......Vous allez le tuer......"
Il reprit place à ses cotés et lui
remit une main sur l'épaule et l'autre sous la table, d'emblée il posa sa
grosse main sur ses cuisses tout près de sa chatte.
-
"J'espère que tu vas te tenir tranquille
et m'obéir dorénavant " l'avisa-t-il alors que sa main arrivait au contact
de la délicieuse petite cramouille de mon épouse éperdue.
-
"C'est bien chéri. Tu vas sentir les
doigts d'un vrai homme dans ta chatte ......Penche toi en arrière et écarte
plus les cuisses ......"
-
"Il y a trop de gens qui nous regardent
! ... Arrêtez... Je vous en prie....." s'insurgea-t-elle sourdement tout
en ouvrant lentement les cuisses.
Les prisonniers assis dans notre
voisinage, voyaient ses jambes grandes écartées, et la grosse main noire
insérée sous sa jupe, entre ses cuisses nacrées. Elle pleurnichait, ignorant
ses larmes, il lui fourra profondément les doigts dans la chatte.
-
"Aïe " se plaignit-elle enfonçant
ses ongles dan la paume de ma main.
-
"Espèce de salaud, enlève tes pattes de
là " me révoltai-je.
-
"Qu'est ce que tu veux mon poussin ?
..." m'interrompit-il enfouissant encore plus profondément ses doigts dans
la chatte de ma femme.
-
"Réponds moi chérie,
que préfères tu : que je m'amuse avec ta moule ou que je casse la gueule à
ton mari avant de lui casser le cul cette nuit ?" .....A toi de choisir...
-
"C'est d'accord... Continuez ce que vous
me faites... " sanglota-t-elle servilement.
-
"Mais foutez-lui la paix, je vous en
prie ! ......"
Boone fourra son doigt aussi loin
qu’il le put dans la cramouille de Vicky, il resserra son bras sur ses épaules,
il empauma à nouveau un de ses nichons et reprit son pelotage :
-
"Déboutonne ton corsage, que je vérifie
si tu m'as obéi,.......Je t'avais dit de ne pas mettre de soutien-gorge... " lui dit commençant le déboutonnage.
-
"C'est bien ma salope...... Tu as
obéi..... " Boone ne cherchait pas à se cacher, au contraire il haussait
le ton pour se faire remarquer, il se réjouissait que des gens puissent le voir
molester ma femme. Il dit à voix haute :
"Quels beaux
nichons... Mark... Mark viens ici une minute... Viens voir ses gros nichons ? »
?
Les femmes aux alentours nous
regardaient avec sympathie, mais il parlait à quelqu'un d'autre. Mark
s'approcha de notre table, me repoussa de la main et s'assit à ma place, sans
se cacher, il prit l'autre nibard en main et se mit à le peloter.
-
"Bordel quelle paire de loches, t'as
raison ! ..." commenta-t-il sa pine s'érigeant dans son pantalon.
-
"De toute façon, nous pouvons toujours
aller dans la petite pièce s'amuser avec toi..." dit-il hilare à mon
épouse affolée.
-
"Ne regarde pas ton pleutre de mari, il
ne peut rien pour toi ! ....."
-
"J'ai une bien meilleure idée chérie...
Passe sous la table et taille moi une pipe ! ......."
Vicky se figea, elle me regarda, je
lui fis non de la tête, elle se remit à pleurer.
Ces salauds de garde ne purent ignorer
plus longtemps ses cris, ils vinrent à
son aide ordonnant aux deux salopards de nègre de quitter les lieux.
En partant, ils se tournèrent tous
deux vers moi me souriant de façon menaçante.
-
"Vicky " lui dis-je "Je veux
que tu arrêtes tes visites. Il ne me reste que 32 jours à tirer ...... On peut
se téléphoner une fois par semaine ... Je ne veux plus te voir ici ...... Ne te
tracasse pas pour moi .......Je prendrai soin de moi ........ Promets le moi
... "
-
"Je dois te quitter......" me
dit-elle en m'embrassant.
-
"Je suis désolée de ne pas leur avoir
obéi. Pas devant tous ces gens .......Je te promets de revenir te voir ......Je
t'aime ..... " et elle quitta la pièce.
Elle dévalait le
vestibule lorsqu'un garde, un sergent l'interpella :
-
"Madame Sanderson, Je peux donner un
coup de main à votre mari pour le mettre à l'abri des autres détenus … Mais
…Pour ça il faudra payer ! ...."
Au travers de ses sanglots elle
demanda :
-
Que pouvez-vous faire pour l'aider ? .... Je
sais ce qu'ils veulent lui faire ce soir… Ils l'ont dit en partant...... Ne les
laissez pas faire je vous en prie...... Je ferai ce que vous voudrez."
-
"Madame Sanderson, je peux le faire
transférer dans un lieu sécurisé pour le reste de son séjour...... Il lui doit
lui rester un mois ou deux à tirer....."
Vicky approuva de la tête et il
continua :
-
"J'ai vu ce qu'ils vous faisaient au
parloir, ils vous pelotaient, sous la table il vous doigtait, n'est ce pas ?
.......
Vicky arrêta le sergent dans son élan
et elle railla :
-
"Ils me molestaient, et pas un d'entre
vous n'a bougé le moindre petit doigt ! ..... Vous étiez tous
spectateurs....."
-
"Attendez madame Sanderson, cela fait
assez longtemps que vous venez pour connaître les règles, on ne doit pas intervenir tant qu'il n'y a
pas de troubles graves, ces ordres viennent du directeur, nous ne pouvions pas
intervenir tant que ne criiez pas...... Ce n'est pas plus compliqué...... Mais
revenons à nos oignons....... Si on transfère ton mari dans une aire sécurisée,
il sera à l'abri... Bien sur il sera
seul... Mais personne ne pourra l'y blesser....." et baissant la voix il
ajouta :
-
"Tout ce que vous aurez à faire ce sera
de m'obéir quand je voudrai et là où je le voudrai ! ...."
-
"Nous n'avons pas d'argent ! .....Je
travaille au noir pour joindre les deux bouts....." répliqua Vicky
sombrement.
-
"Je ne veux pas de ton argent ! .... Et
tu le sais bien. Je veux disposer de ton corps une ou deux fois par semaine le
mois à venir ......C'est ça ou ton mari reste avec les autres détenus ! ......
A toi, de choisir ! ........"
Vicky se tenait immobile, se retenant
de pleurer, elle tenait fermé son corsage de la main, les deux hommes avaient
arraché les boutons dans leur hâte de l'ouvrir, son corsage était déchiré, et
elle se sentait violentée.
-
"C'est d'accord " répliqua-t-elle
faiblement
-
"Mais vous le transférez
aujourd’hui...... Maintenant..... Pas plus tard qu'en ce moment......"
-
"D'accord madame Sanderson "
répondit-il en souriant
-
"On va le transférer maintenant...... Tu
m'attendras au parloir. Et je te promets qu'il sera en sûreté avant que tu ne
partes ......."
-
"Pas au parloir... Je vous en
prie... N'importe ou,
mais pas là... "
-
"Je veux que les gardes aient un oeil
sur toi ! ......" répliqua-t-il la quittant.
Vicky retourna sombrement dans la
salle des visites, et l'attendit debout contre un mur. La salle était
maintenant à moitié vide, Les deux noirs qui l'avaient molesté n'étaient plus
dans la pièce, plusieurs prisonniers cherchèrent à l'aborder, mais les gardes
les en empêchèrent, et leur ordonnèrent de regagner leurs cellules.
Le gros sergent tenait parole, elle
avait vu un garde emmener son mari vers les cellules d'isolement.
Elle regardait un groupe de gardes
entrer dans la salle, un des geôliers discutait avec le gros sergent, il dit à Vicky :
-
"Madame Sanderson, votre mari est en
sécurité ! ....Parlez-lui dans ce combiné, il va vous répondre... Il est au
bout de la ligne."
-
"Chéri c'est bien toi ? " dit-elle
craintivement.-
-
"Oui, C'est moi. Ils m'ont mis en
cellule d'isolement .....Je crois bien que je suis à l'abri .....Je devrai
rester ici les 32 derniers jours ... mais je préfère cela ...... Et toi ça va
chérie ? ......"
-
"Bien mieux maintenant que je sais que
tu es à l'abri chéri......" répliqua-t-elle soulagée.
-
"Je dois te quitter chéri, le travail ne
m'attendra pas. Je t'aime mon chéri ..... Je reviendrai te voir jeudi prochain
......"
Le gros sergent lui reprit le combiné
des mains, et dit aux gardes de faire leur ronde et de revenir. Ils disposèrent
alors que le sergent s'adressait à Vicky :
-
"Allez à poil ma chérie... Il est temps
de régler la note de ton mari ! ......Rappelle-toi si tu dis quoi que ce soit à
qui que ce soit, je le renvoie avec les autres détenus ! ...... Et il se fera
enculer par la plupart des détenus. Et maintenant cesse de pleurnicher et désape
toi ......"
Vicky enleva son corsage exposant son
opulente poitrine à cet étranger, noir de surcroît, elle avait la peau très
claire, ses aréoles étaient un peu plus foncées, ses tétons se redressèrent
tandis qu'elle baissait la fermeture éclair de sa jupe.
Elle laissa choir sa jupe, s'exposant
entièrement nue. Le gros sergent contemplait le corps de cette somptueuse
femelle fasciné par sa toison blonde et le galbe de son corps bien
proportionné.
-
"Te rases-tu la chatte ? ......
Bordel....... Mais non t'es pas rasée ! ........Tes poils sont si blonds qu'on
les voit à peine…... Approche que je touche......." dit-il l'attirant à
lui.
Vicky fit un bond en arrière cherchant
à dissimuler son intimité de ses mains. Il saisit son combiné téléphonique et commença :
-
"Jimmy, c'est Tom, ramène Sanderson avec
les autres détenus ! ..."
-
"Non... Non... Attendez. Je vais obéir
....." balbutia-t-elle effondrée, s'approchant de lui bras pendant le long
du corps.
-
"Faite de moi ce que vous voulez.......
Mais protégez mon mari... "
-
"Laisse tomber Jimmy, laisse le dans sa
cellule et rapplique au parloir ! ....."
-
"D'accord " mugit Jimmy à l'autre
bout du fil.
Le gros sergent reposa son téléphone.
-
"Dorénavant, madame Sanderson nous
allons nous amuser... T'es d'accord ? ...... Tu peux participer ou non, et
avoir du plaisir ou non… Je m'en fous ! .... Tu dois juste faire ce que je veux
quand je veux. Et maintenant à genoux et taille moi une pipe ! ...."
Choquée, la jeune femme se laissa
tomber à ses genoux, il lui dit de sortir sa bite et la regarda opérer. Ouvrant
son caleçon, elle tendit la main et tenta de sortir la bite du salaud de son
caleçon, mais elle n'y parvint pas, frustré le gros sergent déboucla sa ceinture,
dégrafa son pantalon et le laissa tomber au sol.
L'odeur était terrible, son caleçon
était souillé de larges marques d'urine, son ventre pendait au-dessus de sa
bite engorgée, sa queue était courte et très large; il attrapa rudement Vicky
par la chevelure et pressa son visage contre sa bite puante.
-
"Suce salope ! ..." dit-il avec un
mauvais sourire.
-
"Prends la bien en bouche et suce là...
"
Vicky recula la tête et emboucha la
bite du gros porc, la bouche distendu aux limites du supportable, elle paniqua
cherchant à se relever.
Le gros sergent la maintint au sol lui
forçant les lèvres. A ce moment quatre gardes pénétrèrent dans la salle.
-
"Qu'attends-tu ? Suce-moi la bite
putain....." dit-il à voix haute.
Les gardes éclatèrent de rire et s'assirent
attendant leur tour de posséder cette somptueuse femelle.
Elle hésitait encore, la saisissant par les oreilles, il enfourna sa queue entière
dans sa bouche, et il commença de lentes et savoureuses allées et venues.
Elle se dit qu'il ne devait pas se
faire sucer bien souvent, peut-être bien qu'il allait éjaculer rapidement !
.....
Mais à sa grande surprise, il dura
bien plus longtemps qu'elle l'escomptait, elle essaya toutes les ruses pour le
faire gicler, et en finir, mais rien n'y fit.
Elle décida de lui faire ce qui
marchait toujours avec son mari, ça marchait à chaque coup.
Elle tendit la main au-delà de ses
couilles, et lui fourra un doigt dans le trou du cul, ça marcha, le gros porc
se mit à trembler de tous ses membres et jaillit dans sa bouche, il lui tenait
bien la tête la forçant à avaler jet après jet, se vidant totalement dans sa bouche
asservie.
Elle déglutit en absorbant une
certaine partie, mais il en déborda le long de ses joues, tenant sa bite en
main, il gicla une dernière fois sur sa langue.
Les gardes discutaient tranquillement,
l'un d'entre eux dit a
Vicky de se relever.
Elle obtempéra laissa cette bande de
pervers admirer ses charmes.
-
"Des gros nichons qui sortent du commun,
" ils s'étonnèrent aussi de la finesse de ses poils pubiens.
-
"Viens ici salope que je vois ça de plus
près ! ..." l'interpella le garde nommé Jimmy, docilement, Kelly
s'approcha de lui.
Il prit un de ses nibards en main et
se mit à le peloter vigoureusement sa pine durcit instantanément.
-
"Bordel ils sont bien fermes tes gros
nibards... Ceux de ma femme, après cinq
grossesses sont tout mous et pendent comme des oreilles de teckel. Ceux ci sont
magnifiques ...." se réjouit Jimmy.
-
"Est-ce que ton pleutre de mari te baise
correctement ? ....."
-
"Bien sur, quand il est à la maison !
..."
-
"Tu vas me faire une cravate de notaire
et je te giclerai sur la figure... allonge-toi chienne. Ce sera plus
confortable ........"
Comme elle hésitait, il la repoussa
sur le sol froid. Il baissa son pantalon et son caleçon sur ses chevilles, les
ôta prestement, et s'assit sur l'abdomen de Kelly.
Il plaça son épaisse queue raidie
entre ses seins et commença à aller et venir entre ses loches, ses nibards
étaient secs ce qui entravait le coulissement, aussi tendit-ils les doigts en
arrière, et les plonge-t-il profondément dans son connil détrempé.
Il enroba alors sa hampe de la
substance gluante récoltée dans son vagin.
Il recommença trois fois, jusqu'au
moment où il glissa avec assez d'aisance pour lui baiser la poitrine.
Vicky était étendue sur le plancher
froid, yeux fermés, alors que cet homme se servait de sa poitrine comme écrin à
sa bite, chose qu'elle n'aurait jamais imaginé. C'était sa première cravate de
notaire, elle prenait le chemin de la Dégradation, on se servait d'elle comme
d'une belle pièce de viande, son mari ne l'aurait jamais possédé ainsi, pas de
cette manière vicieuse.
Elle ouvrit les yeux assez longtemps
pour le voir presser ses globes mammaires sur sa bite qui coulissait aisément
entre eux, lui touchant parfois le menton, elle sentit l'excitation monter dans
ses reins.
Elle sentit qu'il s'activait de plus
en plus rapidement entre ses gros nibards, il se mit à trembler convulsivement,
elle comprit soudain qu'il allait jouir sur son visage.
Elle referma étroitement les yeux,
alors qu'il se mettait à gémir sourdement, elle sentit le foutre chaud lui
poisser le menton, les lèvres, le nez, lui piquer les yeux quelques jets
avaient même atteints son front et ses cheveux blonds.
Il éclata de rire étalant son foutre
sur son visage, elle se sentait profondément humiliée. Il aimait
particulièrement l'épandre autour de sa bouche
-
"Ouvre le bec salope ! .... Il est temps
de goûter à ton dessert......" l'avisa-t-il rigolard.
-
Vicky resta bouche fermée, mas il était bien résolu
à lui faire goûter son sperme. Se plaçant au-dessus de son visage, il prit sa
bite quasi molle et la pressa contre ses lèvres.
-
"Ouvre ta bouche salope..... Je veux
décharger dedans ! ......."
Elle ouvrit la bouche, mais resta yeux
fermés, après quelques secondes elle les ouvrit aussi. Elle le vit se préparant
à se glisser entre ses lèvres disjointes, elle vit du foutre perler à son méat,
il projeta un jet de foutre épais droit dans sa gorge sous les hourras des
spectateurs.
Refermant la bouche elle se mit à
tousser, à crachoter.
-
" Avale son foutre salope... Je ne veux
pas te voir le recracher..... N'en perd pas une goutte....." lui ordonna
le gras sergent, et elle absorba l'épaisse substance qui la dégoûtait.
Le suivant lui écarta les cuisses et
s'installa entre elles, il la doigta le temps d'obtenir une moiteur suffisante
pour faciliter les opérations.
-
"Bordel les gars, je vais la baiser
comme jamais on l'a baisée ! ..." et il se débarrassa de son pantalon,
s'étendit sur elle et enfourna sa bite dans sa foufoune désolée sans coup
férir, s'enfouissant jusqu'aux couilles.
Les autres regardaient fascinés sa
large queue aller et venir entre ses babines distendues, ils étaient épatés de
voir ses grandes lèvres gainer sa hampe turgescente, alors que son épais
gourdin disparaissait dans sa caverne asservie.
A chaque poussée, elle râlait, écrasée
par le poids de son suborneur, ce qui excitait l'assistance. Ils étaient tous
impatients de voir leur tour arriver ! ...
Le gros sergent dit alors :
-
"Jimmy va chercher Sanderson, il aimera
peut-être assister au spectacle. Qu'en penses-tu ? ......."
Jimmy sourit de toutes ses dents et
quitta la pièce.
Son fouteur était prêt à jouir, il se
mit à la chevaucher frénétiquement et explosa dans son ventre fertile, ses dernières
poussées furent aussi rudes qu'obscènes, il s'efforçait de la bourrer jusqu'à
la garde.
FIN DU PRMIER EPISODE
Coulybaca
Auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite.com