Alexia en mission
Chapitre 1 : recrutement
Bim Bang Bam Boum Bim Bang Bam Boum !
Une jolie petite main fine se tend vers le téléphone pour arrêter la sonnerie de cloche émanant du téléphone posé sur le chevet
d'une chambre de la résidence universitaire de l'université de lettre de M. .
- Ho la la ! Il est déjà l'heure de se lever ! Vivement les vacances !
Un second bras surgit de sous la couette pour procéder à un long étirement, précédent une la belle frimousse d'Alexia.
La petite brune, 1m57 pour 42 kg, majeure depuis peu, se force à sortir de son lit. Elle secoue un peu sa tete, faisant voleter
sa longue chevelure autour d'elle pour essayer de dissiper les dernières brumes du matin, en vain.
Elle finit donc par se lever, laissant tomber sa nuisette sur le sol tout en se dirigeant vers sa salle de bain.
Elle se glisse sous la douche et ouvre les robinets.
- Ouaah! C'est froid !
Elle tremble un peu sous le jet glacé, le temps que l'eau chaude parvienne enfin jusqu'au pommeau de sa douche.
- Ca réveille ! Il va quand même falloir que je trouve autre chose, c'est désagréable comme solution tous les matins !
La chair de poule quitte enfin sa peau alors que l'eau chaude glisse sur elle.
Le jet fait se tendre ses tétons, ses petits seins ronds, bien fermes réclamant son attention.
Elle les masse doucement, provoquant une onde de chaleur dans son bas-ventre.
Sa main gauche glisse sur son pubis lisse et ses levres, les ouvre délicatement à force de caresses.
Son index trouve son clitoris et le masse alors que de sa main droite elle pince doucement ses tétons.
L'eau chaude continue sa caresse sur tout son corps et elle s'égare dans ses pensées, imaginant une situation excitante afin de
pimenter l'instant, pour éprouver plus de plaisir.
Un homme grand et athlétique, tout de noir vêtu s'introduit chez elle par sa fenetre ouverte. Il fouille brievement sa chambre à
la recherche d'objets de valeur et entend le bruit de l'eau. Il entrouvre la porte de la salle de bain et voit la silhouette qui
se dessine derrière le rideau de douche. Très excité par la vue d'Alexia se caressant, il se met aussitôt à bander comme un fou.
La brunette se masse doucement le clitoris en gémissant et en ondulant des reins, excitée par la situation.
L'homme à l'étroit dans sa tenue noire moulante, s'en débarrasse rapidement et fonce sous la douche, arrachant le rideau.
L'eau coule à travers toute la pièce alors qu'il enroule Alexia dans le rideau pour étouffer ses cris et la traine dans sa chambre.
- Tais-toi salope où je te crève ! Et ne bouge pas !
Il saisit une petite culotte qui traine et la lui enfonce dans la bouche puis lui attache les mains dans le dos avec une paire
de collants. Elle est à plat-ventre sur son lit impuissante, incapable d'appeler aux secours. L'homme contemple ce joli petit cul
qui se tortille sous ses yeux, sa queue se tend encore plus et grandit démesurément lui faisant mal.
Le coeur d'Alexia augmente son rythme de pulsations, son souffle s'accélère. Elle sent son sexe devenir tres humide.
Il n'en peut plus et se rue sur sa victime, pénétrant d'un coup au plus profond d'elle, son gland cognant contre le col de son uterus.
Il entame alors des mouvements amples et rapides, la défonçant à grands coups de queue, cherchant à se soulager au plus vite.
Pas besoin de forcer pour entrer en elle, cela glisse tout seul, provoquant la honte d'Alexia. Elle mouille à la moindre
tentative de pénétration d'une queue inconnue.
Je suis très en manque se dit la petite brunette pour réagir à ce point...
Alexia gémit, respirant mal avec sa culotte emplissant sa bouche. Le plaisir augmente d'intensité en elle, son sexe coule de plus
en plus. L'homme lui claque les fesses sechement entre 2 coups de queue en elle.
- Tu n'es qu'une trainée ! Une petite allumeuse ! Une branleuse ! Une salope qui cherche du plaisir meme avec l'eau de sa douche !
Il se répand en elle provoquant un orgasme qui la secoue des pieds à la tête. Les sensations sont si fortes.
Alexia halète heureuse de ce plaisir si intense. Elle se détend mais son corps réclame de nouveau du plaisir. Ses sens sont
en folie et son cerveau continue d'alimenter sa libido.
L'homme la regarde toujours attachée sur son lit à plat-ventre.
- Maintenant tu vas t'en prendre plein le cul petite chienne en chaleur !
Il ouvre la porte de sa chambre et siffle 3 coups brefs et revient vers elle.
Il agrippe d'une main ferme la tignasse d'Alexia et la traine sur le lit pour l'agenouiller sur le coté puis lui cingle les fesses
avec une ceinture pour la contraindre à se pencher sur le lit, cul bien offert.
Elle se sent humiliée ainsi completement ouverte à la vue de son violeur et son sexe coule encore plus.
Un beauceron lui grimpe alors dessus et la pénètre, la saillissant à coups de reins rapides et profonds. Alexia étire son clitoris
des doigts et gemit tres fort. Elle n'en peut plus et se pénètre de ses doigts, les ouvre en elle, les vrille.
Le beauceron continue de la saillir et lors d'un grand mouvement sort de son vagin pour s'enfoncer d'un coup dans son anus, le
perforant sans ménagement. Alexia enfonce 3 doigts bien à fond dans son petit cul en se forçant et jouit à nouveau.
L'eau continue de ruisseler sur elle alors qu'elle se laisse glisser à genoux puis s'assoit dans le bac de sa douche, heureuse
de son plaisir solitaire. Elle efface l'homme et son beauceron de son esprit, reprenant pied doucement dans la réalité.
Elle se masse doucement avec du gel douche et se rince avant de s'enrouler dans une serviette de bain.
C'est une bonne journée qui commence se dit Alexia tout en regardant dans sa penderie ce qu'elle va mettre pour aller en cours.
Cela fait longtemps que je n'ai pas joui aussi fort ! Mais bon ! Je suis grave ! M'imaginer violée par un chien et enculée par ce même chien
pour me faire jouir, je ne sais pas ce qu'il va me falloir d'ici quelques années ! Le faire vraiment ?
Elle secoue la tête pour essayer de revenir dans le réel, choisir sa tenue et ne plus laisser dériver ses pensées, son sexe redevenant
déjà humide à l'idée de le faire réellement.
Elle opte finalement pour une petite robe rouge avec une petite culotte en dentelle noire, sans soutien-gorge.
Elle s'habille prestement et rassemble ses affaires avant de filer jusque la fac.
- Hello Alex ! Attends moi !
La petite brune se retourne et sourit, voyant sa meilleure amie Pauline approcher d'elle à grands pas. Les deux amies s'embrassent,
toujours heureuses de pouvoir faire le trajet à deux en échangeant les derniers potins.
- Hé mais tu n'as pas mis de soutif aujourd'hui !
Pauline rit et lui pince les deux tetons à travers sa robe.
- En plus tu es toute excitée ! Raconte !
Alexia rougit génée alors que ses tétons pointent encore plus fortement.
- Je ne peux pas te raconter cela !
- Ha oui ? Et pourquoi ça ?
- C'est trop personnel !
- Tu as des secrets pour moi maintenant ?
- Non mais ce n'est pas à cause d'un mec !
- Une meuf ?
- Mais non ! Non plus ! Juste des pensées !
- Wooo ! Tu t'es fait un fantasme ?
- Oui sous ma douche et ultra chaud !
- Cochonne ! Raconte quand même !
- J'ose pas ! Tu vas trouver que je suis trop perverse !
- Pourquoi ? tu as rêvé d'un ane ?
- Un ane ? C'est ton fantasme ?
- Oui depuis que l'on a parlé de l'époque romaine, avec les femmes infidèles qui etaient punie publiquement en étant prise
par un ane sur le forum de la ville, je n'arrête pas de fantasmer là-dessus !
- Salope !
- Toi-même ! Allez raconte !
- Non je n'ai pas ta perversité moi !
- Pas à moi ! C'est pas toi qui a essayé un seche-linge pour voir si c'est vrai le fait que ca vibre et que c'est mieux pour baiser?
- Je n'aurai jamais du te raconter ça !
- Alors tu es perverse !
- Non moi je ne pense pas aux anes comme toi!
- Je préfère fantasmer sur un ane qu'un seche-linge !
- Ha oui ? Tu trouves que c'est mieux ?
- Ben oui ! Quand je vais au rayon electro-ménager d'un magasin, je n'ai pas à rougir !
- Quelle salope tu es !
- Tu l'as mérité !
- Je ne te raconterai plus rien !
- Tu en es incapable ! C'est quand même moi ta meilleure amie ! A qui le raconterais tu sinon ?
Alexia se tait un peu boudeuse et les deux amies continuent leur chemin en silence.
- Moi c'est avec un chien ! dit Alexia dans un soupir, désireuse de rompre ce silence pesant.
- Qu'est ce que tu dis ?
- Toi tu penses aux anes, moi aux chiens !
- Ho cool ! Je n'aurai jamais cru cela de toi ! Et il te fait quoi ?
- Son maitre me force à me laisser prendre par lui, même à etre enculée!
- T'es aussi salope que moi tu vois !
- Oui c'est pour ça que l'on est copines !
- Je crois bien ! Tu vois que tu pouvais me raconter sans souci !
- Oui mais j'ai quand même honte !
- C'est meilleur quand on a honte ! Mais j'avoue que si je suis seule avec un ane un jour, je ne suis pas sure de resister !
- Quand même ! Le faire en vrai avec une bete...je ne sais pas si je pourrais...
- Bah ! Avec un chien si tu veux, c'est facile ! Il y en a quand même plus que des anes !
- Oui mais ça me dégoutte quand j'y pense en réel !
- De quoi te faire encore plus jouir ! Si tu décides de le faire, tu m'inviteras pour regarder ?
- Seulement si je peux te voir avec l'ane !
- Tu es invitée alors !
- Alors toi aussi !
- T'es vraiment une trainée !
- Et toi une pute !
- Oui surtout que j'aimerais bien prendre l'ane aussi par derrière !
- Arrête ! Je suis en train de mouiller ma culotte !
Les deux amies rient et s'en vont bras-dessus bras-dessous jusque la fac.
- Tiens à propos d'ane, en voilà un soufle Alexia à l'oreille de Pauline.
Elles pouffent de rire alors qu'un etudiant de leur promotion essaie de s'incruster avec elles, essayant de les séduire.
Elles s'appliquent à le semer et s'installent dans l'amphi avec d'autres amies.
La matinée se passe ainsi tranquillement, rythmée par les cours et les changements d'amphis.
La pause du midi arrive enfin, bien méritée.
- Je ne mange pas ce midi, je suis en retard pour mes T.D. (travaux dirrigés), faut que j'aille à la B.U. (Bibliothèque Universitaire) !
- Lacheuse !
- Désolée ! C'est toi qui m'a troublée ce matin avec tes tétons pointés et ton histoire de chien ! J'ai oublié de t'en parler !
- Lol ! Avec ton ane tu n'es pas mieux !
- Tes tétons sont en train de repointer !
Alexia baisse la tête pour se rendre compte que c'est vrai et Pauline les lui repince avant de filer à la B.U. la laissant le sexe
de nouveau humide. Elle réfléchit, se demandant si elle va en profiter pour rentrer chez elle, n'aimant pas trop déjeuner avec d'autres
personnes sans Pauline. Elle chemine dans les allées extérieures du parc universitaire en attendant de prendre une décision.
- Melle !
Alexia arrête sa marche et se retourne, se demandant si c'est bien elle que l'on appelle.
- Melle !
Un homme approche à grands pas d'elle, beau brun, cheveux courts, sportif, la quarantaine.
- Oui ?
- Vous etes bien Alexia K. ?
- Oui ! Pourquoi ? Comment connaissez-vous mon nom ? Qui etes vous ?
- Venez avec moi ! Je vais répondre à toutes ces questions !
Avant qu'elle ne puisse articuler sa réponse, l'homme l'empoigne par le bras et l'emmène vers un petit restaurant voisin et la guide à une
table dans un coin au fond de la salle. Tous les deux discutent alors pendant le repas.
- Je vous connais parce qu'étudiant votre dossier depuis 2 mois Melle.
- Mon dossier ? J'ai fait quelque chose de mal ? Mes résultats ne sont pas à la hauteur ?
- Ho non non ! Tout semble bien d'après vos professeurs ! Il ne s'agit pas que de votre dossier universitaire.
- Ha bon ?
- Je fais partie d'Interpol et je souhaite vous recruter pour une mission d'infiltration.
- Espionne alors ? Comme dans les films ?
- Pas vraiment mais cela y ressemble un peu dit l'homme en souriant. J'ai donc épluché votre dossier complètement.
- Je n'ai pas vraiment de secrets.
- Cela je ne peux le deviner en regardant votre joli minois ! Mais vous etes clean d'où ma proposition.
- Et c'est bien payé ? demande Alexia, pensant aussitôt à de jolies robes et bijoux rejoignant ses armoires.
- Mieux qu'étudiante forcément mais bien moins que ce que l'on raconte dans les films !
- Et ça consiste en quoi votre mission ?
- La première, mais elle risque de durer plusieurs mois, consiste à infiltrer un réseau de prostitution, jeux et drogues.
- Rien que ça !
- Ne vous inquietez pas, vous serez sous surveillance, avec votre protection assurée au moindre appel !
- Peut-être ! Mais je n'ai pas envie de devenir une prostituée !
- Pas question de vous contraindre à cela non plus Melle ! Tout ce que vous aurez à faire, c'est faire le trottoir dans certains
endroits que je vous indiquerai. Chaque fois qu'il y aura un risque qu'un client potentiel soit interessé par vous, il sera doublé
par l'un de mes hommes qui vous emmenera dans une voiture pour faire semblant de faire une passe. Cela garantira votre couverture
et vous n'aurez jamais de vrai client !
- Ca semble tenir la route ! Et mon but ?
L'homme lève la main.
- Et alors tes études ma chérie cela se passe bien ?
- Oui papa, je suis prete pour les partiels !
Le serveur dessert leur table en écoutant distraitement la conversation.
- Deux cafés et l'addition !
- Bien monsieur !
- Et tu penses pouvoir obtenir ta première année facilement ?
- Je fais de mon mieux mais d'après mes profs oui papa !
Le serveur s'éloigne sans plus d'attention pour eux.
- Vous voyez, vous etes parfaite, vous vous adaptez facilement à tout ! Cela conforte mon choix, le garçon ne s'est douté de rien !
Bien que j'aurai préféré un autre rôle que celui de votre papa !
- Justement, pas question que vous soyez autre chose !
- Vous etes dure avec moi Melle K. !
- Il y a des filles incestueuses vous savez !
- Ha oui ?!
Alexia rougit et préfère changer de sujet.
- Et mon but ?
- Votre but, ce sera de faire connaissance avec les autres filles et de les amener à se confier au fil du temps.
- Mais je n'y connais rien moi ! Je ne sais pas faire cela !
- Justement ! Il n'y a pas de technique, il s'agit juste de devenir copine avec les autres et de les laisser parler. Même si cela prend
un an, il y en aura toujours bien une qui donnera une information intéressante !
- Et ma couverture c'est quoi ? Je suis une SDF qui cherche à se faire de l'argent ?
- Non non ! Surtout pas ! Vous etes vous-même ! Alexia K. ! Une jeune étudiante qui a besoin d'argent et qui trouve ce moyen là pratique !
Si quelqu'un fait une enquete sur vous, tout sera vrai de A à Z ainsi !
- Ca me parait un peu dangereux tout de même !
- C'est l'une des joies de l'espionnage Melle ! Cela pimentera votre vie !
- Et pourquoi moi ? pourquoi pas une de vos agents ?
- Nous préfèrerions vous savez ! Le problème, c'est que dans la rue les filles des réseaux qui nous intéressent, à 20 ans, elles sont
à l'age de la retraite ! Et des agents de moins de 20 ans, cela n'existe pas ! D'où votre recrutement ! Vous etes jeune, pas du tout formée,
ignorante des techniques et du langage de notre corporation, donc non repérable, et d'une grande beautée, ce qui devrait vous assurer une
rapide promotion au sein de ce genre de réseau. Comme vous avez l'air très jeune physiquement, ils vous vendront comme plus jeune que
votre age réel, c'est un atout de plus pour eux ! Evidemment, nous vous suivrons et tous vos clients seront fictifs et généreux, ce
qui fera de vous une pièce maitresse de leur réseau et nous donnera accès à plus d'informations.
- Vous avez l'air d'avoir tout prévu ! J'ai le droit de réfléchir avant de vous donner ma réponse ?
- oui vous avez 2 minutes !
L'homme relève la main
- Je suis très fier de toi ma chérie !
- Merci papa ! Je fais de mon mieux pour toi !
Le serveur dépose les tasses de café sur la table ainsi que l'addition.
- Et tu aimes toujours ton papa ?
Alexia recrache le café qu'elle vient de prendre en bouche, manquant de peu de s'étrangler avec la boisson.
- oui bien sur papa!
L'homme se penche au dessus de la table et pose ses lèvres sur les siennes. Elle lui rend un baiser furtif et rapide, furieuse intérieurement.
Le serveur s'éloigne une fois le paiement fait.
- Vous etes un enfoiré ! J'ai du me retenir pour ne pas vous gifler !
- C'est pour ça que j'en ai profité !
- Ne refaites jamais ça, la prochaine fois, je vous gifle !
- Hummm ne me tentez pas comme ça! Vous m'excitez !
- Quoi ?
- C'est une plaisanterie et c'etait un test pour mesurer votre sang-froid ! Bon, je vous rappelle la semaine prochaine pour
avoir votre réponse. Je ne vous laisse pas mon numéro pour ne pas avoir de trace compromettante chez vous.
- D'accord ! Cela me convient ! Je vais y réfléchir sérieusement !
- Merci Melle K.
L'homme se lève et l'aide en reculant sa chaise puis la précède jusque la sortie du restaurant pour l'accompagner sur le chemin de
l'université.
- Donc maintenant, pour tous, je suis votre père !
- Bien mais il va falloir que l'on se tuttoie alors !
- Oui ma petite chérie !
- Je deteste que vous m'appeliez ainsi !
- Tu !
- Quoi ?
- Que tu m'appelles ainsi ! On se tutoie maintenant ma fille !
- Je hais votre humour aussi !
- Ton !
- Tu m'énerves !
- Voilà tu vois ! Tu y arrives ! Et puis tu es en fin d'adolescence ! Normale que tu sois rebelle avec ton père !
- Continuez et vous avez tout de suite ma réponse et ce sera non !
- Allons allons ! On se calme ! Allez va en cours ma petite !
Et l'homme envoie une petite tape de sa main sur les fesses d'Alexia.
Elle s'éloigne vite de lui pour rejoindre sa fac tout en passant sa main droite dans son dos pour pointer son majeur en l'air d'un signe
sans ambiguité pour bien signaler son humeur.
Elle l'entend rire et se force à ne pas se retourner et file rejoindre Pauline en cours.
A suivre
Si vous aimez mes histoires, n'hesitez pas, écrivez-moi : goodtimefr@live.fr
Alexia en mission
Chapitre 2 : Reflexion
Alexia avait du mal à se concentrer. Assise sur son siège au milieu de l'amphi, suite à son retard en cours, elle essayait de
se concentrer un peu sur ce que disait le professeur. Elle détestait ce genre de place. Soit on fayotte et on se met devant,
soit on se la coule douce et on se met dans le fond. Résultat, elle etait au milieu. Pauline avait essayé de lui garder une place
à coté d'elle mais avait du se résoudre finalement à la laisser libre, Alexia n'arrivant pas.
Seule au milieu de l'arène étudiante, rien de mieux pour gacher une après-midi...
En plus, la conversation et la proposition du midi lui revenaient sans cesse à l'esprit, la sortant du contexte du cours.
Impossible d'en parler à Pauline ou à qui que ce soit en plus ! Il lui fallait prendre la décision seule.
Cela semblait excitant, plein de mystère, romantique comme travail, etre une sorte de Mata-Hari...
Oui mais est ce que ce n'etait pas trop dangereux pour elle aussi ! Elle avait tout de même mal fini la Mata !
Et puis je ne suis pas une salope comme elle ! Même en l'étant, elle n'avait pas pu sauver sa peau !
Il faut que je dise non même si j'ai envie de dire oui !
D'un autre coté, c'est ennuyeux ma vie jusqu'ici ! Et puis il a promis de me protéger...
Alexia passa son après-midi ainsi dans ses pensées, alternant entre un refus catégorique et une acceptation enthousiaste de
ce qui lui était proposé.
Quand même, jouer le rôle d'une putain, ce n'est quand même pas terrible ! Si encore c'était call-girl de luxe !
Là c'était le plus bas niveau pratiquement ! Je mérite quand même mieux ! Je suis plutôt canon !
Et si j'ai un vrai client ! Qu'est ce que je fais ? Il a beau dire que je n'aurai que des faux clients, ce n'est pas garanti !
- Hé ! Tu viens ?
Alexia secoue la tête pour regarder qui lui parle.
- Tu t'es endormie ou quoi? C'est fini ! On rentre à sa maison !
Pauline se moquait d'elle depuis l'entrée de sa rangée. L'étudiante rangea rapidement ses affaires dans son petit sac Longchamps
tout en remarquant que l'amphi était aux 3/4 vide déjà. Elle s'empressa de rejoindre son amie.
- Qu'est ce que tu faisais ? Tu étais en train de rêver encore ?
- Oui et non !
- C'est soit oui soit non !
- Je ne peux pas t'en parler...
- Ben voyons ! Tu recommences ?
- Non non! C'est sérieux, ce n'est pas un rêve, je dois prendre une décision concernant ma vie mais je ne sais pas encore quoi faire...
- Et tu ne peux pas m'en parler ?
- Non ! je te jure que je ne peux pas !
- T'es pas marrante Alex !
- C'est pour devenir une espionne !
- Tu fais chier Alex ! Allez dit moi ce que c'est !
- C'est pour devenir une vraie espionne !
- T'es pas sympa ! Mais bon tant pis, je ne te dirai plus tout non plus !
Les deux jeunes filles prirent la route du retour en papotant de tout et de rien, Alexia soulagée d'avoir dit la vérité à son amie,
sachant qu'elle ne pourrait pas la croire. Cela n'existe que dans les films !
Une fois chez elle, Alexia commença à réflechir aux cotés pratiques de tout cela. Comment savoir si ce que cet homme lui avait dit
etait vrai ! Que tout cela était sérieux !
Elle n'avait que ses paroles, comment les vérifier ! Je suis peut etre tombée sur un mythomane et je me suis faite avoir !
Je ne peux pas me pointer dans le premier commissariat venu pour me renseigner, on va me prendre pour une folle !
Elle s'allonge sur son lit pour travailler un peu ses courts mais rapidement elle s'égare dans ses pensées, trop perturbée par ce
qui lui arrive.
- TOC TOC TOC !
Elle est ramenée à la réalité par les coups sur sa porte.
- Oui oui ! J'arrive ! Tu es en avance Pauline !
Elle se leve et ouvre sa porte sans meme regarder dans le couloir.
- Entre, je ne suis pas encore prête !
- Excusez-moi Miss ! Y'a erreur sur la personne !
La voix grave la surprend et elle se retourne, découvrant un livreur de société à sa porter avec un grand carton.
- C'est pour une livraison Miss !
- Vous etes un livreur non ?
- Oui Miss
- Donc vous livrez ! Qu'est ce que cela a d'extraordinaire ? Allez ! Donnez-moi ça !
Elle prend d'autorité le carton des mains du livreur pour le jeter sur son lit.
- Mais il faut que vous signiez le reçu Miss dit l'homme embarrassé et surpris par la tournure des évènements.
- Je sais ! Vous me prenez pour une cruche en plus ?
- Non non ! Je ne me permettrais pas !
- Il ne manquerait plus que cela ! Stylo !
- Pardon ?
- Stylo ! Je ne vais pas signer avec mes pieds !
- Oui voici !
Elle se saisit du stylo et signe rapidement le papier puis claque la porte au nez du livreur.
- Je n'attends rien alors n'attendez rien non plus, surtout pour un carton si léger !
Alexia s'assit sur son lit et se met à rire en songeant à ce qu'elle vient de faire et à la tête du livreur.
Elle se sent mieux après cette petite blague.
- N'empeche c'est vrai ! Je n'attends rien du tout moi !
Elle ouvre le colis rapidement, déchirant le carton, poussée par sa curiosité à vite en découvrir le contenu.
Elle tombe sur une enveloppe qu'elle jete sur le lit puis écarte des grandes feuilles de papier protecteur pour découvrir un
habit de policier. Elle sort le pantalon et la tunique puis une ceinture avec une matraque et enfin des chaussures à sa pointure.
- Qu'est ce que c'est que tout cela !
Le déballage continue et elle découvre un petit étui avec un insigne et un porte-carte avec une carte officielle portant sa photo,
son état-civil et le titre d'agent d'Interpol.
Si c'est du faux, c'est drôlement bien fait s'extasie la jolie brune ! Ils connaissent meme ma pointure de chaussure !
Elle ouvre l'enveloppe qui accompagne tout cela et en commence la lecture.
Melle K., vous trouverez dans ce colis, une tenue officielle de nos services de police, ainsi qu'une carte officielle qui établit
votre identité et votre fonction. Ceci vous permettra de venir me retrouver officiellement demain en nos locaux situés à l'adresse
indiquée dans votre contrat d'embauche si joint. Cela vous permettra de lever vos doutes concernant le sérieux de notre conversation
de ce midi, tres plaisante au demeurant me concernant.
- Tu m'étonnes ! Tu en as profité pour m'embrasser et me tripoter espece de cochon! marmonne Alexia en lisant cela.
Il vous suffira donc demain de venir après vos cours vétue de cette tenue et de présenter votre carte en demandant le commandant G.
Ceux-ci étant situé dans les locaux de la police, la tenue banalisera votre entrée en ces lieux et empechera toute personne de preter
ainsi une attention particulière à ce fait. Quoi de plus banal qu'un agent de police entrant dans des locaux policiers. Tout lien avec
Interpol sera ainsi évité et votre couverture protégée.
J'espère que les termes de votre contrat vous conviendront.
Puis un tas de blabla et de formules officielles.
- Cool ! J'adore déjà ce nouveau job !
De nouveaux coups à sa porte la font sursauter.
Alexia s'empresse de tout remettre dans le carton et de le jeter dans le bas de son armoire pour éviter qu'on ne voit tout cela.
- J'arrive ! J'arrive !
- Qu'est ce que tu caches ? Un mec dans ton armoire dit Pauline en riant !
- Oui je ne voulais pas qu'il te voit et me quitte parce que tu as des seins bien plus gros que les miens !
- T'aimerais bien en avoir des comme ça ! dit Pauline toujours aussi rieuse, secouant ses gros globes, un bon 90C qui éborde, très fière d'elle.
- On dirait une pute qui vend sa marchandise quand tu fais ça !
- Tu es jalouse surtout !
- Non mon cul est bien plus beau que le tien !
- Pas vrai !
- Tu vois ! Tu es jalouse ! Tu préfères nier l'évidence !
- Pas du tout ! Si tu veux on compare devant ta glace !
- Chiche !
- Tu vas pleurer en voyant que ton cul en plus de tes seins est moins beau que le mien !
- Dans tes rêves !
Pauline empoigne Alexia par le bras pour l'amener devant la glace de son armoire.
- On va bien voir ! Enfin si tu oses ! Parce que tu es forte en paroles mais cela s'arrête là !
- Ben tiens ! Regarde !
Alexia se tourne pour montrer son joli petit cul moulé par son pantalon dans la glace.
Pauline se place à coté d'elle provocatrice.
- Facile avec un vetement ! On ne compare pas habillées !
- Quoi ?
- On compare culs nus !
- T'es dingue ?
- T'es si pudique ?
- Quand même ! Je n'ai pas l'habitude de montrer mon cul comme ça !
- C'est qu'une paire de fesses moins belles que les miennes !
- Tu dis ça exprès pour que je te les montre !
- Hé c'est toi qui a commencé avec mes seins !
- Jamais dit que je voulais les voir pour autant !
- Tu veux que je te les montre !
- Non ! Non ! Je ne veux rien du tout !
- Allez ! Cul nu Alexia !
- T'es barge ! Je ne veux pas te montrer mon cul !
- Je te montre le mien aussi ! Celle qui a le plus beau se fait payer le repas de ce soir par l'autre !
- Sérieuse !
- Oui sérieuse !
- Quand même qu'est ce qui me dit que tu vas me le montrer une fois que je t'aurai montré le mien ?
- Ben on le fait en même temps !
- Ok ça marche !
- On compte jusque 3 et on baisse nos pantalons et culottes en même temps ?
- Ok pour moi !
- 1..2..3 !
Alexia et Pauline dégraphent leurs pantalons et Alexia baisse rapidement le tout, exhibant ses jolies fesses rondes et fermes devant la
glace. Pauline rit, gardant ses mains sur le haut de son pantalon et le reboutonnant.
- C'est vrai qu'il est plus beau que le mien ! Tu as gagné !
- Salope ! Tu as dit en même temps !
- J'ai changé d'avis ! Reste comme ça que je regarde mieux !
Alexia donne un petit coup de poing sur l'épaule de Pauline pour se venger, les fesses toujours à l'air, troublée d'être comme cela
devant son amie puis remonte culotte et pantalon, furieuse de s'etre faite avoir.
- Je ne te ferai plus jamais confiance !
- Tu veux voir mes seins en échange ?
- Vrai ? Tu ne dis pas ça pour voir les miens?
- Tu veux aussi me les montrer ?
- Tu ne vas pas m'avoir 2 fois !
- Si je te les montre, tu ne seras plus fachée?
- Si tu me les montres on est quitte mais tu me payes le resto quand meme !
- Ca marche dit Pauline retirant son T-shirt blanc.
Elle dévoile un soutien-gorge en dentelle blanche prêt à éclater et le retire prestement à son tour. Ses globes volumineux s'affaissent
légèrement, sa jeune poitrine étant bien ferme.
- Putain ! Ils sont vraiment gros !
- Plus beaux que les tiens non ?
- Je ne sais pas ! Ils sont si différents !
Alexia retire alors son chemisier pour découvrir de jolis seins moulés dans un dessous noir. Elle les dénude à son tour, sa poitrine ronde
et ferme fièrement tendue devant elle, ses tétons durcis par l'excitation provoquée par ce jeu.
- Ils sont beaux aussi !
- Je te l'avais dit ! C'est peut etre moi qui gagne sur toute la ligne ! Plus beau cul et plus beaux seins !
- Ex-aequo pour les seins !
- D'accord ! Mais je gagne quand même !
- Oui tu as gagné !
- Au moins maintenant on peut aller à la plage ensemble !
- Oui on ne sera plus génée si on voit les seins de l'autre !
- C'est cool d'etre amies !
- Oui tu es ma meilleure amie !
- Toi aussi !
Les deux amies après s'etre bien matées l'une l'autre finissent par se rhabiller et par partir pour le restaurant.
Pauline donne un de ses tickets comme promis à Alexia pour payer son repas et elles essaient de trouver une place libre
à l'écart des autres étudiants pour y poser leur plateau.
Elles essaient de ne pas attirer les regards pour ne pas etre importunées, la poitrine de Pauline et la beautée d'Alexia
ayant tendance à excercer une forte attraction sur la population male etudiante.
- C'est quand même une journée de folie aujourd'hui !
- Comment tu le sais dit Alexia surprise, se demandant comment son amie est au courant de ce qui lui arrive.
- Ben oui, on a parlé fantasmes ce matin et ce soir tu t'es pratiquement mise à poil devant moi !
- Hé ! C'est à cause de toi à chaque fois je te signale !
Alexia respire mieux ayant eu peur d'avoir été découverte, tout en se disant qu'elle est stupide, que personne ne peut savoir.
- Tu ne t'es pas beaucoup faite prier pour parler du chien ou pour me montrer ton cul !
- Oui je suis trop naîve ! Je ne pense pas que ma meilleure amie peut m'arnaquer comme cela !
- Tu regrettes ?
- Non...non c'est sur je ne regrette pas dit Alexia après une longue réflexion.
- Moi non plus tu sais ! Je crois que l'on va etre encore plus proches après ce jour !
- Pas trop proches quand même !
- Que veux tu dire ?
- Ben je n'ai pas l'intention de coucher avec toi !
- Je sais tu préfère te taper un chien plutôt que moi !
Pauline rit aux éclats alors qu'Alexia se met à rougir confuse! Elle finit par se reprendre.
- Et toi un âne !
- C'est déjà plus ambitieux qu'un chien !
- T'es qu'une putain ! Tu n'as même pas honte de me l'avoir dit ?
- Non j'assume !
- Salope ! Moi j'ai super honte !
- T'es aussi une putain comme moi ! Qui s'est branlée sous sa douche en s'imaginant sautée par un chien ? Pas moi !
- Chut !!! Pas si fort on va t'entendre ! dit Alexia toute rouge pivoine maintenant.
- Et tu oses te plaindre ?
- Je ne veux pas que toute la fac soit au courant !
- Je suis sure que tu en mouilles ta culotte !
- Enfoirée !
- Pas vrai ?
- Je ne te le dirai pas !
- Alors je dois avoir raison !
- Tu ne sauras pas !
- Toi si ! La mienne est trempée !
- Tu m'as déjà eu pour que je montre mon cul alors ce n'est pas parce que tu parles de ta culotte que je te parlerai de la mienne !
- Non je suis sérieuse ! Et j'étais sérieuse ce matin.
- Pour l'âne ?
- Oui et pour le fait que si je le fais, j'aimerais que tu sois là !
- Tu n'es qu'une vicieuse !
- Ho je ne pensais pas à ça ! Mais il faudra quelqu'un pour contrôler un peu l'âne, je ne me vois pas demander cela à quiconque en
dehors de toi.
- Tu y penses vraiment sérieusement alors !
- Oui bien sur ! Tu ne parlais pas sérieusement toi pour le chien ?
- Si si aussi ! avoue la belle en rougissant encore plus.
- Tu me promets de le faire devant moi si tu sautes le pas ?
- Oui promis ! Et toi tu promets pour l'âne ?
- Promis ! D'autant plus qu'il me faudra vraiment de l'aide !
- Salope !
- Chienne !
Les deux amies rient aux éclats tout en continuant leur repas, revenant à des sujets plus conventionnels de discussion.
Une fois de retour chez elle, Alexia ressort le carton de son placard et passe la tenue policière pour voir ce que cela donne.
Elle s'admire sous toutes les coutures, heureuse de son uniforme.
Aussitôt son esprit se met en route et des fantasmes divers surgissent. Elle fait le tri dans ses envies en se laissant une part
d'improvisation et commence à s'imaginer intervenant dans un hotel louche, faisant interruption dans la chambre pour prendre sur
le fait 2 trafiquants de drogue.
- Haut les mains !
Alexia porte la main à sa ceinture pour sortir son pistolet et se rend alors compte qu'il n'y en a pas dans sa panoplie.
Elle sort alors précipitamment sa matraque pour menacer les dealers, tout en essayant de prendre l'air le plus terrible dont elle est capable.
- Pas un geste ! J'ai reçu une formation spéciale et je vous démonte la tronche si vous bougez !
Elle essaie d'avoir l'air encore plus menaçante pour etre convainquante et essaie de faire tourner la matraque dans sa main comme
dans les films. Elle pousse un cri dépité alors que cette dernière lui échappe pour tomber à terre.
- J'ai encore du boulot pour etre au point !
Elle imagine alors que les truands en profitent pour la maitriser.
- Jolie poulette !
- Ouai ! Bonne marchandise ! Amene là sur le lit !
L'homme lui tripote les seins et le cul à travers son uniforme tout en l'amenant sur le lit.
- A 4 pattes sale pute de flic ! Et vite où je te défonce ta petite gueule !
Alexia s'empresse de se mettre sur son lit comme demandé, après avoir ramassé sa matraque sur le sol, la posant à portée de main.
- A poil salope ! Magne toi !
La petite brune retire sa ceinture puis sa veste, s'imaginant menacée d'un révolver par l'un des truands, se sentant effrayée et
excitée par la situation qu'elle vit virtuellement.
Elle laisse filer la veste sur le sol, gardant les menottes sur le lit puis son pantalon avant d'y jeter également ses dessous
et se remet sagement à 4 pattes sur le lit.
Elle se met près du haut de son lit et prépare la matraque en la plaçant entre ses jambes, levée, en appui sur la partie perpendiculaire
du manche.
- Tu voulais nous matraquer salope ! Tu vas voir comment tu vas la prendre ta matraque !
- Menotte-là au lit !
- Oui chef !
Alexia prend les menottes et se passe l'un des anneaux à la main, réflechissant ensuite. Soit elle passe la chainette derriere le montant et
se menotte le second poignet soit elle passe l'autre partie de la menotte au montant pour garder une main disponible.
Elle opte finalement pour cette option afin de pouvoir manipuler la matraque au cas où...
- on va te le défoncer ton petit cul de flic !
Elle prend la matraque de sa main libre et la pousse le plus durement possible en elle, sachant bien qu'elle ne le fait pas aussi durement
que ce qui se produirait si elle etait entre les mains de vrais truands. Puis elle remue la matraque en elle, se prenant en gémissant de
plaisir, adorant cette situation, nue, la casquette sur le crane, menottée par la main gauche au lit.
- Retire la matraque, je vais me la faire !
Alexia se déconne et pose la matraque sur son lit en équilibre puis s'enfonce sur la barre, s'imaginant violée. Elle remue son bassin
pour se prendre au rythme qu'elle imagine le truand prendre pour la violer.
Rapidement elle pousse de petits gémissements de plaisir et jouit comme une folle.
Elle reprend lentement son souffle, la tete posée sur son oreiller, la matraque toujours en elle.
- Allez laisse moi la place ! Je vais l'enculer ! Pas envie de rentrer là où tu es passé !
Alexia sort la matraque de son vagin et place le bout contre son anus. Elle se demande si elle ne va pas trop loin dans son fantasme,
pas du tout habituée à etre pénétrée ainsi mais elle a besoin de se défouler après cette journée si spéciale.
Elle s'encourage mentalement et pousse sur ses reins pour s'enfoncer sur sa matraque, s'imaginant enculée de force par le truand.
Elle sent le bout arrondi de la matraque progresser lentement et douloureusement dans son anus, celui-ci lui refusant le passage
malgré son désir de se prendre. Son déflorage anal s'avère plus compliqué que prévu.
Elle essaie encore de pousser sur ses reins, la matraque s'enfonce dans son matelas sans réussir à franchir le barrage de son anus.
En désespoir de cause, elle pousse sur son sphyncter comme pour faire ses besoins et enfin le bout pénètre en elle.
Celui lui arrache un gémissement de plaisir, une sensation jusqu'ici inconnu pour elle l'envahit. Elle se fait enculer par une
matraque de police comme la dernière des salopes. L'instrument glisse maintenant facilement en elle et pénètre au fond de son rectum.
Elle se regarde dans la glace, enculée à 4 pattes, menottée et le spectacle lui plait.
Elle remue ses reins, admirant sa poitrine qui pend et remue sous elle à son rythme, se trouvant pire qu'une actrice de porno ainsi.
Se voir ainsi lui donne du plaisir et accentue ses sensations. Elle gémit encore plus fort se disant qu'elle est en formation pour
devenir une bonne pute !
Elle donne une plus grande amplitude à ses mouvements de rein, commençant à apprécier la pénétration anale et la vue que lui
renvoit le miroir. Elle glisse sa main libre sous elle et masse doucement son clitoris, le presse un peu et jouit , la tête plongée
dans son oreiller, le cul redressé en l'air avec la matraque plantée dedans, mordant le tissus pour ne pas crier trop fort de plaisir.
Elle finit par s'allonger sur le ventre, toujours enculée, réflechissant à ce nouveau fantasme, heureuse de sa nouvelle situation.
Après un bon quart d'heure de rêveries, elle sort la matraque de son rectum et la regarde en grimaçant un peu, pas tres propre tout cela !
Elle la pose sur son chevet sur le coté le plus propre pour ne pas tout salir et se redresse pour retirer les menottes.
Elle cherche le système d'ouverture et se rend compte que ce sont de vraies menottes de police, fermant à clé.
Quelle cruche je suis ! s'insulte mentalement Alexia. Evidemment que ce sont de vraies menottes ! Ce n'est pas un fantasme cet équipement !
- Où sont ces putains de clés ! crie la prisonnière nue dans sa chambre avec angoisse.
Elle essaie de se souvenir mais ne se rappelle pas les avoir eues en main. Elle essaie de s'étirer au maximum pour attraper les vetements
sur le sol mais en vain.
- Saloperie ! Je suis sure qu'elles sont encore dans ce putain de carton !
Elle tire en vain sur sa main coincée, se la meurtrit un peu pour essayer de la sortir mais la menotte est trop serrée.
- Merde ! Merde ! Merde ! Je suis dans la merde !
Elle essaie alors de deplacer son lit dans la piece pour s'apercevoir que l'ensemble de chevet est fixé au mur et scelle le tout sur place.
Impossible de bouger !
La mort dans l'âme, ne voyant plus aucune autre solution, elle prend son téléphone qu'heureusement elle pose toujours sur son chevet
et ouvre son répertoire. Qui vais-je appeler ? Qui va avoir le droit de me voir dans ce pétrin ?
Elle réfléchit et élimine ses ex rapidement, ils sont trop cons, tout le monde seraient au courant ensuite.
Ses cousins, pas mieux ! Ses oncles ! Elle se dit que toute la famille connaitra ses mésaventures, ils sont incapables de garder un secret
et ses tantes, c'est bien pire !
Rapidement, elle se retrouve limiter à deux choix : soit ses parents, soit Pauline.
Qui vais-je appeler ?
A suivre...
Alexia en mission
Chapitre 3 : Drôle de nuit
- Allo ! Maman ! Alexia pousse un petit soupir soulagée, préférant parler à sa mère plutôt qu'à son père de sa situation.
Le choix avait été difficile à faire entre Pauline et ses parents. D'un coté, sa meilleure amie se serait sûrement moqué d'elle pendant
un bon moment mais elle ne l'aurait pas laissée dans ce pétrin c'est sur. Par contre coté discrétion, elle aurait été capable de la
prendre en photo ou vidéo et de la montrer à d'autres pour s'amuser. Coté sexe, elle part quand même souvent en vrille, elle se lache
un peu trop sans se soucier vraiment des conséquences.
De l'autre coté, appeler ses parents, c'était leur avouer une partie de sa sexualité un peu fantasque. Soit elle tombait sur son père
et il fallait trouver une raison pour ne parler qu'à sa mère et qu'elle seule vienne, soit par chance et ouf c'était le cas, elle
avait sa mère directement. Bon ça, c'etait encore la partie la plus facile, après il y avait la venue de sa mère ici à gérer.
Etre retrouvée nue menottée à son lit, ce n'est pas simple à expliquer.
- Oui Alexia ? Que se passe-t'il ?
- Ho rien de grave maman ! J'ai juste besoin d'un petit service...
- Oui qu'y a t'il pour que tu appelles si tard ?
Alexia regarde sur son chevet et se rend alors compte que ses activités l'ont menée jusque 22h30. Jamais elle n'appelle après 21h
habituellement chez ses parents.
- Ho excuse-moi maman, je n'avais pas vu l'heure !
- Ce n'est rien ma petite chérie, alors que voudrais tu ?
- J'ai besoin de toi maman, il faudrait que tu viennes à ma chambre, avec la clé que je t'ai laissée aussi.
- Je vais t'envoyer ton père alors, il est tard !
- Ho non non maman ! Je voudrais que ce soit toi qui vienne dit Alexia en gémissant de désespoir
- Tu sais bien que je n'aime pas prendre la voiture si tard !
- Ho s'il te plait maman !
- Le temps de venir chez toi il va etre facilement 23h ma chérie et après il faut que je ressorte et je ne suis pas rassurée !
- Je t'en prie maman !
- Non je t'envoie ton père !
- Non non tant pis alors
- C'est si grave que ça ?
- C'est embarrassant maman !
- Un truc qu'entre filles ?
- Oui maman !
- Bon d'accord je viens mais s'il est trop tard, je reste chez toi ! on dormira à deux dans ton lit !
- Oui d'accord maman !
- Bon j'arrive, laisse-moi le temps de me préparer.
- N'oublie pas la clé maman !
- Je vais essayer...
- C'est important maman, j'ai besoin que tu aies la clé !
- Je fais de mon mieux et j'arrive !
- Merci maman
- A tout de suite ma chérie.
Alexia repose son téléphone sur son chevet en soupirant. Une bonne chose de faite ! Les dés sont jetés maintenant mais il fallait
que je le fasse. Si je n'avais appelé personne, c'est la femme de ménage qui m'aurait découverte ainsi demain, ce serait pire ! pense Alexia
La belle brune se glisse sous sa couette pour sauver les apparences comme elle le peut, regrettant de ne rien pouvoir atteindre de ses
vetements attendant résignée la venue de sa mère en réfléchissant à ce qu'elle va bien pouvoir lui dire.
J'espère qu'elle n'a pas changé d'avis et qu'ils ne vont pas venir à deux !
Alexia se secoue la tête brutalement. Concentre toi ma fille ! Tes vetements sont éparpillés sur le sol ! Pourquoi ? Il me faut une raison !
J'etais fatiguée et j'ai tout balancé au hasard pour me jeter sur mon lit ! Et c'est un uniforme de flic ! Pourquoi un uniforme de flic ?
Je rentre d'un bal masqué ! Un peu tôt pour rentrer ! Je faisais un essayage pour le bal ? Et je suis si fatiguée après l'essayage que
j'ai tout balancé par terre ? Sauf le kepi ! Bon à la limite je le jete avec le reste mais comment j'explique les menottes ?
En me jetant sur le lit, elles m'ont agressée et je me suis retrouvée attachée ? Ce sont des super-menottes qui vivent leur propre vie !
Il me faut une excuse valable pour les menottes ! Franchement je n'en vois pas ! Il faut que je lui fasse un gros mensonge et qu'elle
accepte de faire semblant d'y croire en fait ! Pas trop le choix !
Je suis dans de beaux draps ! Elle lisse sa couette de la main, non ils ne sont pas si beaux que ça ! Il faut que j'en achète de plus
beaux tiens !
Enfin c'est accessoire les draps, j'ai besoin d'une super excuse !
Une sale blague de Pauline ! C'est plausible oui ! Par contre, comment je justifie que je suis nue ! Elle va croire que je suis
lesbienne et sado-maso si je dis cela, ce sera encore pire ! Elle ne voudra plus jamais voir Pauline en plus !
Des coups frappés à sa porte interrompent ses pensées.
- Oui ? C'est toi maman ?
- Oui ouvre moi Alexia.
- Je ne peux pas maman ! Tu as la clé ?
Pas de réponse mais un petit bruit métallique puis l'ouverture de la porte qui se déclenche. Alexia remonte la couette sur sa poitrine
comme si c'etait un rempart.
- Tu es malade ma chérie ?
- Non non maman.
- Tu pourrais te lever alors !
- Si je pouvais maman, je ne t'aurais pas demandé de venir dit Alexia penaude. Je suis coincée à mon lit.
- Ca n'explique pas ce bazar aussi partout ! Tu ne ranges jamais tes affaires !
Alexia rougit génée n'osant pas montrer sa menotte pour le moment cachée derrière sa tête.
Sa mère,Françoise, la cinquantaine rayonnante, fine avec de belles formes encore bien fermes, se met à ramasser les affaires sur
le sol.
- C'est quoi cette tenue Alexia ? On dirait un uniforme de flic !
- C'en est un maman !
- Et c'est normal que cela traine par terre?
- Non maman répond elle penaude.
- Tu es une petite souillon ma fille !
- Maman je ne suis plus une enfant ! Je suis adulte !
- On ne dirait pas ! J'ai par moment l'impression d'avoir manqué quelque chose dans ton éducation.
Elle replie soigneusement les affaires et lisse le tissus pour éviter le chiffonnage.
- Je peux ranger tout cela où ? Que cela ne s'abime pas !
- Justement maman, il y a un carton dans le bas de mon armoire.
- Surtout ne te lève pas pour m'aider ! Tu n'as pas l'air si incapable que cela de te lever !
- Maman je te jure !
- Ha ne jure pas !
Elle ouvre l'armoire et en sort le carton pour le poser sur le lit. Alexia pleine d'espoir se dit qu'elle va finalement bien s'en
sortir. Les choses ne tournent pas à la catastrophe comme elle le craignait.
Elle prend le carton de sa main libre et trouve un petit sachet scotché sur la paroi intérieure avec une paire de clés.
Miracle ! je suis sauvée ! Elle tire sur le paquet pour le détacher comme si elle venait de trouver un trésor.
- Alexia ! Tu es nue dans ton lit !
Elle baisse la tête et s'aperçoit que dans sa précipitation elle a un peu oublié son état et qu'elle est à moitié dévoilée par la couette
qui a glissé.
Elle rougit de nouveau et tire sur la couette pour se cacher tout en laissant le sachet de clés tomber en dessous. Son sésame pour un
honneur sauf tout proche d'elle, elle se sent beaucoup mieux.
Sa mère range l'uniforme dans le carton et curieuse ouvre l'enveloppe qu'elle y a trouvée.
- Un contrat ma chérie ? Tu vas travailler en plus de tes études ? On ne te donne pas assez d'argent ?
- Oui maman je vais travailler mais pas pour l'argent.
- Pourquoi alors ?
- Ce sera un plus dans mon cv maman !
- Tu n'en as pas besoin maintenant !
- Et puis cela m'occupera un peu maman !
- Tu n'as qu'à ranger tes affaires déjà ! Et nettoyer cette chambre ! Si tu t'ennuies, ce ne serait pas du luxe !
- Maman ! Il y a une femme de ménage qui le fait !
- Et bien si tu t'ennuies, tu n'as qu'à venir nous voir plus souvent !
- Ce n'est pas ça maman...
- Et cette matraque là qui traine aussi ?
Sa mère prend en main la matraque pour l'agiter sous son nez. Alexia ouvre de grands yeux inquiete et écoeurée par l'odeur.
Elle se rend compte qu'elle l'a completement oubliée et l'odeur de son cul est tres présente dessus.
- Oui tu peux faire la grimace ! Elle ne sent pas bon !
Sa mère la porte à son nez et grimace !
- Qu'est ce que tu as fait avec ? Elle pue !
- Rien rien maman, je devais justement la nettoyer !
- Et ces traces tout du long ? tu t'en es servie pour faire quoi ma chérie ?
Alexia rougit de plus en plus en bafouillant cherchant une bonne excuse. Elle se dit que c'est sa mère qui devrait etre embauchée
par la police. Coté interrogatoire, difficile de lui cacher quoi que ce soit !
La jeune fille réfléchit pour s'inventer une solution valable mais avant qu'elle n'ait le temps de trouver, elle se retrouve nue devant
sa mère. La couette a valsé au bout du lit et sa mère la retire completement pour la poser hors de portée sur le bureau.
- Maman ! Qu'est ce que tu fais !
- C'est plutôt toi qui doit répondre à cette question ma fille !
Alexia prend vite le sachet pour essayer d'en extraire une clé.
- Donne-moi cela Alexia !
- Maman... dit la belle desespérée
- Alexia !
Confuse, elle obéit et tend le sachet à sa mère. Celle-ci le secoue faisant tinter les clés devant leurs yeux.
- C'est pour cela que tu m'as appelée c'est ça ?
- Oui maman !
- Tu as fait joujou sans penser aux conséquences ?
- Oui maman...dit elle penaude.
- Tu sais que j'ai horreur de sortir tard le soir seule de la maison !
- Oui oui maman...dit la petite prisonnière désemparée.
Elle sort une clé du sachet avant de le poser sur le bureau et approche du lit.
- Tu es mignonne comme cela attachée à ton lit !
- Tu savais depuis quand maman?
- Je l'ai vu dès que je suis entrée Alexia.
- Et tu m'as cuisinée et laissée marinée exprès depuis tout à l'heure ?
- Il faut bien que cela te serve de leçon ! Je ne vais pas me déplacer sans cesse chaque fois que tu joueras avec tes menottes !
- Tu es quand même dure avec moi maman !
- Dure ? Moi ?
Elle détache la menotte du lit et tire brutalement dessus par le haut arrachant un petit cri de douleur à sa fille.
Profitant de sa surprise, elle attrape son bras libre et le rapproche puis referme la menotte sur le second poignet.
Alexia est à moitié tournée pour ne pas souffrir, menottée par les deux mains maintenant au haut du lit.
- Qu'est ce que tu fais maman ?
- Tu me trouves dure, je ne veux pas te décevoir ma chérie !
- Maman s'il te plait ! C'est pas drôle ton jeu !
- Ha oui ! Parce que tu trouves que c'est drôle pour une mère de sortir à 23h sur les routes pour aller détacher sa salope de fille qui
s'est menottée à poil sur son lit parce que s'enculer avec une matraque sans etre attachée ne lui suffit même pas !
Alexia s'empourpre totalement et ne sait plus quoi dire.
- Ta matraque pue le cul espèce de trainée ! Alors s'il n'est pas trop tard pour t'éduquer correctement, je ne me serai pas déplacée pour
rien. Cela va peut etre servir ! Si c'est pas malheureux ! Arrivée à 50 ans je m'étais enfin tranquille, plus de gosse à élever !
Alexia voit sa mère rouge de colère, visiblement très sérieuse et furieuse contre elle.
- Allez, a quatre pattes sur ton lit ! Plus vite que cela !
Alexia préfère obéir, n'ayant aucun argument pour se défendre et étant plus que jamais coincée à son lit et dépendante de la bonne volonté
de sa mère.
A peine en place, Alexia pousse un grand cri de douleur accompagné par celui provoqué par le claquement violent de la main de sa mère
sur ses fesses.
- Devoir en venir là alors que tu as 18 ans ! Tu ne te rends pas compte !
La fessée se poursuit dure, rougissant les fesses d'Alexia.
- Etre emmerdée le soir pour trouver sa fille à poils menottée dans son lit avec une matraque qui a servi à l'enculer !
Elle frappe plus fortement, sa colère renforcée par ses paroles.
- Et en plus tu n'en as même pas honte ! Et tu n'exprimes même aucun regret !
Alexia commence à pleurer de douleur, ses fesses lui font mal maintenant même entre 2 claquements.
- Tu n'as même pas essayer de cacher la matraque ! Posée en évidence comme si tu voulais que je vois à quoi elle t'a servie !
- Je te jure que non maman dit la petite punie en larmes
- Qu'est-ce que va dire ton père quand je vais lui raconter tout cela !
- Ho non maman tu ne vas pas lui raconter !
- Jamais je ne lui ai menti de ma vie ma chérie !
- Mais juste ne lui dit pas !
- Pourquoi ferais je cela ?
- Pour moi maman !
- Il fallait peut etre y penser avant de t'attacher et de t'enculer !
- Mais maman...
- Tu devrais avoir honte ! Tu t'es enculée comme la pire des catins ! La plupart refuse de faire cela !
- Je ne le ferai plus maman !
- Ho que si tu le feras encore !
- Promis que non maman !
- Si tu veux que je ne dise rien à ton père, tu le feras encore !
- Comment ça maman ?
- Je te punirai régulièrement ! Te prendre ton cul fera partie des punitions !
- Ho maman !
- Tu veux mon silence?
- Oui maman !
- Il s'achète ainsi ! Tu me laisses terminer ton éducation comme je l'entends !
- Bien maman.
- Cela veut dire que tu es d'accord ?
- Oui maman.
- Bien ma fille. Et c'est quoi ce minou tout lisse ? Tu te prends pour une actrice porno ?
- Non non maman ! Ce n'est pas sexuel ! Juste que je déteste les poils maman !
- C'est parce que tu aimerais faire du porno !
- Mais je t'assure maman que...
Alexia n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'une nouvelle claque violente tombe en travers de ses fesses.
- Tu veux devenir une actrice porno !
- Oui maman ! Je m'épile parce que j'aimerais etre une actrice porno...
- Tu es la pire fille que je pouvais avoir !
- Oui maman je suis désolée !
- Tais toi trainée!
La mère décroche son téléphone et appelle son mari.
- Allo ! C'est moi ! Je reste ici pour la nuit, je n'ai pas encore fini avec notre fille...Oui...Un travail compliqué...Oui c'est un
sujet compliqué...Je crois que je vais devoir l'aider régulièrement à l'avenir...Je te rappelle demain, bisous !
Alexia écoute tout cela attachée à son lit, le cul en feu.
- Tu n'es qu'une petite pute doublée d'une souillon !
- Oui maman !
Elle pose la matraque sur l'oreiller de sa fille.
- Leche moi cela pour bien la nettoyer !
- Ho mais maman c'est dégouttant !
- Tu crois que ce n'est pas dégouttant pour une mère de découvrir une matraque non nettoyée qui a servi à enculer sa fille !
- Je suis désolée maman !
- Je vais te corriger pour éviter que tu ne recommences !
- Ho pitié mamane ! Je ne supporterais pas cela !
- Tu n'as pas le choix !
- Mais maman...
- Leche et vite !
Alexia se penche sur la matraque écoeurée et passe sa langue sur la longueur en gémissant de douleur sous les premiers coups de
ceinture que sa mère lui délivre sur les reins et les fesses.
Ses jolis seins se balancent sous elle au rythme des coups qu'elle reçoit et de nouveau en larmes, elle continue son oeuvre en
dépit du dégout grandissant qui l'envahit, le gout d'excrément s'amplifiant dans sa bouche et ne la quittant plus.
La punition se prolonge, ponctuée uniquement par un arrêt lorsque sa mère retourne la matraque sur l'oreiller pour lui faire nettoyer
l'autre face et un second lorsqu'ayant mal au bras, elle changea sa ceinture de main.
Une fois la punition terminée, Alexia s'effondra sur son lit à plat-ventre, brisée, pleurant toujours.
Sa mère prend la matraque luisante de salive et la renifle.
- Beau travail ma chérie ! Tu n'auras pas honte en allant travailler ! Elle ne sent plus !
Sa mère rit et ajoute
- Heureusement que je suis là ! Petite souillon ! Je veillerai à l'avenir à l'état de tes affaires ! Je crois que je vais passer
régulièrement le soir ici maintenant !
Alexia est effondrée mais ne dit mot, bien trop souffrante pour le moment et sous le choc de ce qui vient de lui arriver.
Sa mère détache l'une des menottes.
- Mains dans le dos !
- Oui maman.
Alexia soumise et ne tenant plus à etre frappée, obéit sans discuter et rapidement se retrouve menottée mains dans le dos.
- Pitié maman ! Je suis désolée ! Je ne le ferai plus !
- Ne t'inquiete pas ma chérie !
Françoise lui caresse les cheveux en s'asseyant près d'elle.
- En fait je suis contente de ce qui arrive.
- Maman !
- Oui j'ai toujours révé de pouvoir humilier et corriger une jeune fille ! Alors ce qui arrive est merveilleux pour moi !
Alexia en reste sans voix.
- Pas pour toi chérie ?
- Je ne sais pas maman, tu es ma mère tout de même !
- C'est encore mieux ! A la fois naturel qu'une mère punisse sa fille pour faire son éducation et à la fois pervers vu ton age !
j'adore cela ma fille et je ne suis pas sûre que tu détestes !
Elle sent alors sa mère lui écarter les cuisses et les fesses pour l'ouvrir.
- Tu ne peux pas nier ! Tu es trempée !
Alexia cache sa tête dans son oreiller humiliée sans rien dire.
- Dorénavant, sans te prévenir, chaque fois que j'en aurai envie, je viendrai ici pour parachever ton éducation !
- Oui maman dit Alexia pas du tout en état de négocier.
- On va bien s'entendre toutes les deux !
- Oui c'est sur maman ! Je ne pourrai rien te refuser !
- Si si tu pourras ! Mais il y aura des conséquences !
- Oui maman !
- En tout cas je suis fière de moi !
- Pourquoi maman ?
- Hé bien j'ai réussi une fille qui a un magnifique cul, de superbes petits seins et une belle frimousse ! Et qui en plus s'essaye à la
perversion ! Quoi de mieux !
Alexia reste sans voix devant cette déclaration.
- Allez descend du lit ! direction la salle de bain !
Alexia se relève, menottée dans le dos pour filer dans la pièce indiquée. Sa mère la prend par la nuque sans prévenir et lui plonge la tête
dans le lavabo.
- Pas bouger !
Alexia la sent alors lui écarter une de ses fesses puis sent un petit objet pénétrer son anus.
- Ne t'agite pas sinon ta température va monter !
Elle comprend alors qu'elle a un thermometre dans le cul.
L'eau se met à couler devant son nez et sa mère humidifie sa brosse à dents, y met du dentifrice.
- Retrousse tes levres catin !
Alexia obéit et ainsi sa mère lui lave les dents jusqu'à ce que le thermomètre se mette enfin à sonner.
Elle les lui fait rincer en se servant du jet coulant du robinet puis retire le thermomètre.
- 37°6! Je vais devoir te mettre un suppositoire pour la nuit !
Elle enfonce le thermometre dans la bouche d'Alexia alors qu'elle allait se mettre à protester.
- Nettoie moi ça et ne bouge pas !
Françoise s'absente une minute et Alexia reste ainsi sucant le thermometre issu de son cul pour le nettoyer.
- Ecarte tes fesses des mains !
Une claque lui tombe sur le cul lui arrachant un cri de douleur et Alexia obéit.
Elle sens le bout de la matraque sur son anus. Sa mère pousse dessus et l'encule durement, plantant la matraque le plus loin possible.
- Voilà un bon suppo ! Tu vas pouvoir aller te coucher et je passerai une bonne nuit sans que tu me déranges !
Elle retire le thermomètre de la bouche de sa fille pour le ranger.
- Allez redresse-toi et au lit !
Alexia précède sa mère, avançant devant elle nue debout, mains menottées dans le dos, la matraque bien enfoncée au fond de son petit cul.
- Allez couchée !
Sa mère désigne la descente de lit et Alexia, pas en position de se rebiffer s'y allonge, désemparée.
Françoise se met alors nue devant elle, rajoutant à sa géne puis se couche sur le lit après y avoir remis la couette.
Alexia la regarde, jalouse de ses formes mures de femmes, de sa prestance naturelle quand elle évolue nue, de ses hanches rondes,
de ses seins plus ronds que les seins.
- Bonne nuit ma chérie !
- Bonne nuit maman !
- Je t'aime ma chérie !
- Je t'aime maman !
La lumière s'éteind laissant Alexia encore plus sur le choc.
Elle essaie de faire le point. Elle était nue attachée par des menottes à son lit et en appelant à l'aide, elle se retrouve nue, menottée mains
dans le dos, allongée sur une carpette pour la nuit et enculée malgré elle par la matraque.
Je me suis trompée de choix lorsque j'ai appelé, ou alors les autres solutions auraient été encore pires ?
Elle s'abime de nouveau dans ses pensées, essayant d'oublier la douleur émanant de ses fesses ainsi que la matraque qui lui perfore l'anus.
Le sommeil finit par la délivrer de ses tourments, enfin jusqu'au prochain matin...
A suivre...
Si vous aimez mes histoires, ecrivez moi goodtimefr@live.fr
Alexia en mission
Chapitre 4 : Réveil
Il était tôt matin quand Françoise mit fin à sa conversation téléphonique. Elle s'était réfugiée dans la salle de bain de la
chambre de sa fille Alexia. Cette dernière dormait d'un sommeil de plomb, sous le choc des divers évènements qui venaient de
bouleverser sa petite vie rangée d'étudiante.
Le regard de Françoise s'attarda sur les poignets menottés dans le dos de sa fille puis sur les jolies rondeurs de sa croupe.
Les fesses étaient un peu écartées, la matraque qu'elle lui avait enfoncée la veille étant toujours planté dans son rectum.
Ce spectacle réjouissait la mère de la jeune prisonnière et provoquait une douce chaleur entre ses cuisses.
Un petit toc toc toc à la porte l'arracha à sa contemplation. Sur la pointe des pieds, elle se dirigea à travers la pièce pour
ouvrir la porte et laisser entrer un homme.
Ce dernier se retint de pousser un cri de surprise en voyant le spectacle. La vision de la matraque plantée dans ce petit cul
bien rond le fit aussitôt bander.
Françoise lui tapa sur l'épaule amusée.
"Dit donc vieux cochon ! Je ne te fais pas autant d'effet !"
"On ne sait pas ! Il faudrait essayer ! Je ne t'ai jamais vue menottée et enculée par une matraque dormant sur une carpette au
pied du lit !"
"Ca te plairait ?"
"Oui ! C'est certain !"
"Et me fesser aussi ?"
"J'en rêve ! Surtout si tu es en train de râler après moi !"
"Quand tu veux !"
"Retenu ! Tu ne pourras pas te défiler !"
"J'en ai trop envie ! Je ne me sauverai pas !"
Se faisant, Françoise s'était accroupie pour écarter doucement les fesses de sa fille. Alexia dormait toujours comme une masse.
L'homme, la queue tendue, longue et dure, s'accroupit à son tour. Il commença à retirer lentement la matraque du cul d'Alexia.
Celle-ci perturbée dans son sommeil commença à remuer pour s'allonger sur le ventre.
Il enleva alors la matraque d'un coup puis se positionna le gland sur l'anus de la jolie jeune femme et plongea d'un coup
en elle, se plantant jusqu'aux couilles dans l'anus encore ouvert.
"AIIIIIE ! Qu'est ce qui se passe ?"
Françoise plaqua sa main sur la bouche d'Alexia pour ne pas qu'elle alerte toute la résidence par ses cris.
"Chut ma chérie ! C'est un petit cadeau que je te fais !"
"Mais maman !"
"Tu n'as jamais été enculée par un homme non ?"
"Non jamais maman !"
"Alors tu devrais etre contente !"
"Mais c'est papa qui m'encule tout de même !"
"Cela doit te donner encore plus de plaisir ma chérie !"
Son père en tout cas en prenait énormement. Le petit cul ouvert de sa fille, suite à la nuit passée empalé sur la matraque, le
faisait bander comme aucune autre avant elle. Il restait malgré tout bien serré sur sa queue. Le corps de sa victime etait si beau
aussi, bien plus que ce qu'il avait pu admirer jusqu'alors. Et voir les menottes qui la maintenaient à sa disposition renforçait
ses sensations. Ma queue est plantée dans le cul de ma fille se disait il et cette petite salope adore ça !
Cela le rendait complètement fou et il accélérait de plus en plus le rythme de sa pénétration, claquant avec ravissement ses couilles
contre les fesses bien fermes d'Alexia.
Il finit par se vider en elle, lachant ses jets de sperme au plus profond de son rectum.
Allongé sur sa fille, bien calé en elle, il lui mordilla la nuque, profitant bien de ce jeune corps offert.
Il susurra à son oreille :
"Tu ne m'en veux pas ma chérie ?"
"Non non papa !"
"Tu m'aimes toujours ?"
"Oui je t'aime papa même si cela me fait drôle de le dire avec ta queue enfoncée dans mon cul..."
"Tu vas t'y habituer au fil du temps !"
"Parce que tu comptes recommencer cela !"
"Bien sur ! Tu as vu comment tu es ? Quel homme pourrait s'empecher de profiter de toi s'il le peut!"
"Tu es un salaud papa !"
"Et toi une salope ! Je ne t'ai pas entendu protester pendant tout le temps où je pilonnais ton superbe petit cul de ma queue !"
Alexia rougit, prise en défaut et se tut. C'est vrai que cette nouvelle expérience avait été trop inattendue pour qu'elle ait le temps
de songer à la rejeter.
Elle se dit qu'elle allait devoir éviter de rendre visite à ses parents en étant seule à l'avenir. Enfin la plupart du temps...Pourquoi
ne pas se laisser tenter par moment...
L'homme sortit de l'anus de sa fille et la tira par les cheveux pour la mettre à genoux. Il s'assit sur le lit et lui mit sa queue sur
les levres.
"Ouvre la bouche !"
Comme Alexia hésitait à prendre son géniteur entre ses lèvres, une paire de gifles s'habattit sur ses joues, lui arrachant des larmes.
Elle aspira le gland qui palpitait contre sa bouche et commença à sucer le membre qui sortait de son cul.
Humiliée, entravée comme dans ses pires fantasmes, elle pompait son père et le pire c'est qu'elle y prenait plaisir.
Sentir sa queue chaude et palpitante dans sa bouche, masser de ses levres la tige sur toute sa longueur, jouer de la langue sur le
méat, entendre les gémissements de plaisir qu'elle provoquait ainsi, tout cela lui plaisait !
Le premier jet de sperme la surprit. Elle voulut retirer sa tête en arrière pour le recracher mais la douleur en provenance de ses
oreilles la convainquit de ne pas continuer son mouvement. Son père la tenait par les oreilles, la contraignant à rester la bouche
enfoncée sur sa queue alors qu'il jouissait dans sa bouche.
Il poussa alors d'un coup de reins sa queue au fond de sa gorge pour terminer de s'y vider tranquillement.
La petite brune ne pouvait rien faire pour se dégager et avala le sperme de son père contrainte, ce denier restant longuement
dans sa gorge, jusqu'à la perte de son érection.
"Hummm quel pied d'enfer !"
Alexia était morte de honte. Sucer est une chose mais avaler le sperme de son père en était une autre. Un nouveau choc important pour
elle ! Elle venait de boire le sperme de celui qui l'avait conçue il y a 19 ans...
Elle sentit de nouveau qu'elle était tirée par les cheveux. Françoise venait de l'empoigner ainsi pour la faire se relever.
"Tu n'as pas honte espèce de petite trainée ! Non contente de te faire enculer par ton père, tu te permets de le sucer et de boire
son sperme ! "
Alexia baissa la tête rabaissée et terriblement gênée par tout ce qui se passait. Sa mère la propulsa en travers des genoux de son père.
Sa main s'abattit sur les fesses rondes de la petite brunette et les fessées s'enchainèrent, lui meurtrissant ses jolies rondeurs.
"Ton comportement est indigne d'une fille bien élevée !"
Son père à son tour l'humiliait en paroles tout en lui claquant le cul.
"Passer la nuit enculée sur une matraque pour se faire ensuite enculer au petit matin par le premier qui se présente ! Bravo !"
Les claques sur son arrière-train redoublèrent de vigueur. Son cul était en feu !
Fesser ainsi sa fille relevait des plus grands fantasmes de son père. Il n'en revenait pas de sa chance. Sa queue se redressait à nouveau.
Voir Alexia se tortiller en travers de ses cuisses sous les coups qu'il lui dispensait, était un spectacle divin. Un vrai plaisir de
gourmet !
Il se releva brutalement sans un signe d'avertissement et la petite victime chuta à terre lourdement, ne s'attendant pas à cela.
Sa mère lui empoigna de nouveau les cheveux pour la relever tout aussi durement que son père la traitait et elle l'emmena au coin
de la pièce, derrière la porte. Elle lui colla le nez contre le mur.
"Ne bouge pas petite pute!"
Elle accompagna son ordre d'une énorme claque sur les fesses cramoisies d'Alexia. Elle se retrouvait toujours nue et entravée dans
un coin comme quand elle était punie enfant. La douleur émanant de sa croupe restait très présente.
Elle entendit alors ses parents qui gloussaient et son lit commença à grincer. Elle était effarée. Ses parents étaient en train de
baiser sur son lit alors qu'elle était au coin. La situation lui faisait honte tout en provoquant son excitation. Elle sentait son
sexe en train de couler sur ses cuisses.
Elle endura cela une bonne heure, coincée dans son coin, ayant envie de se caresser, excitée par la situation et ce qu'elle entendait
en provenance de son lit.
Tout était redevenu calme, enfin !
"J'ai faim mon amour !"
"Je m'en occupe, je vais commander ce qu'il faut au café voisin !"
"3 grands cafés au lait et 5 croissants ! Oui c'est bien cela ! D'ici 10 mn ? parfait oui !"
Elle entendit ses parents ensuite glousser sous la douche, le temps lui paraissant de plus en plus long dans son coin.
Les coups frappés à sa porte la firent sursauter.
Son père, une serviette autour des reins ouvrit la porte.
"Ah! C'est le petit-déjeuner ! Parfait !"
Alexia tremblait dans son coin, soulagée d'etre cachée par la porte aux yeux du livreur.
"Je vous dois combien ?"
"Cela fera 15 euros monsieur"
"Alexia, où se trouve ton sac ?"
Elle sursauta surprise d'etre interrogée.
"Sur mon bureau papa !"
Elle l'entendit fouiller et comprit que la note du petit-déjeuner, c'etait pour elle !
"Voici 20 euros, vous pouvez garder la monnaie !"
Alexia faillit s'étrangler dans son coin en entendant la générosité dont il faisait preuve avec ses subsides.
"Merci monsieur ! Mais je ne peux pas vous laisser le plateau."
"Ha oui, je comprends ! On va poser le tout sur le bureau alors !"
Le garçon entra alors dans la pièce. Alexia se retint de pousser un cri de désespoir.
Elle entendit les gobelets de café glisser sur le plateau, le serveur manquant de peu de tout laisser tomber par terre, surpris par
le spectacle de cette jolie femme nue menottée dans le coin de la pièce.
"Ne faites pas attention à elle ! Elle est punie !"
"Je ne sais pas monsieur ! Vous n'etes pas retenue contre votre volonté mademoiselle ?"
"Non non rassurez-vous" dit Alexia, rouge de honte, contente de rester le nez contre le mur.
"Dit lui pourquoi tu es punie Alexia !"
"Je suis punie parce que j'ai fait une betise !"
"Alexia ! Tu veux une fessée devant ce garçon?"
"Je suis punie parce que je me suis faite enculer par n'importe qui ce matin, sans me soucier de qui c'etait!"
Alexia était rouge pivoine mais elle semblait pâle à coté du livreur qui semblait au bord de l'apoplexie. Il mit un peu de temps
avant d'etre capable de prononcer une phrase correcte.
"Je crois qu'il faudrait que j'appelle la police tout de même au cas où !"
"Je vous assure que ce n'est pas la peine!" dit Alexia ne voulant pas rajouter de témoin à son humiliation.
"Je vais lever sa punition si cela peut vous soulager !"
Son père retira les menottes d'Alexia, la libérant de son coin. Elle essaya de couvrir sa poitrine d'un bras et de proteger son pubis
de son autre main.
"Ce n'est qu'un jeu vous voyez! " dit Alexia toute blanche.
Le serveur hésitait, profitant visiblement du spectacle, difficile à convaincre en raison de ses doutes et de la vision de rêve qui
s'offrait à lui.
Alexia passa devant lui, lui offrant de nouveau le spectacle de sa croupe nue et fouilla dans le carton en bas de son armoire pour
sortir le porte-carte.
Elle colla la carte fournie par Interpol sous le nez du serveur en prenant sa voix la plus dure.
"Je suis de la police ! Alors maintenant que vous vous etes bien rincé l'oeil, vous vous barrez compris !"
"Oui mademoiselle, excusez moi !"
"Et comme vous en avez bien profité, vous me rendez ça ! Le spectacle de mon corps entravé vaut bien plus que cela !"
Elle arracha le billet des mains du garçon et le poussa dehors, heureuse de récuperer son argent.
Le serveur, surpris, se laissa mettre dehors. Après tout, il ferait passer tout cela en vol et ce qu'il avait vu ce matin l'enchanterait
pour la vie. La dureté qu'il sentait dans son pantalon confirmait que cette livraison lui avait plu. Il se hata de retourner au café, se
demandant si sa collègue Sylvie accepterait de le soulager. Il n'était pas certain que sa braguette tienne le coup jusque là...
"Bien joué ma chérie!"
Son père satisfait lui tapota les fesses alors que sa mère les rejoignait enfin, vetue du tailleur amené par son mari.
"J'ai faim ! Tout ce sexe ! Je ne suis plus habituée !"
"Moi non plus !" répondit son mari très heureux. "Elle a réveillé notre libido !"
"Oui elle a bien mérité son petit-déjeuner aussi !"
Son père rit et commença à raconter à son épouse les details de la livraison pour la plus grande honte d'Alexia.
Ils transportèrent les cafés et les croissants dans la cuisine.
Sa mère s'installa à un bout de la table, son père à l'autre, Alexia sur l'un des cotés.
"Cela ne va pas !"
"Quoi donc chérie ?"
"Cela me choque ! Habille toi pour prendre le petit-dejeuner !"
Alexia se leva alors pour obéir à sa mère mais elle la retint par le bras.
"Pas toi ma chérie !"
Son père qui avait compris que cela s'adressait à lui avait disparu déjà pour se vetir.
"Mais tu ne peux pas prendre ton petit-dejeuner ainsi à table avec nous ! Pas après tout cela !"
Sa mère se leva à son tour et fouilla dans l'armoire, en sortit une assiette creuse, la considérant en faisant la moue.
"ça devrait aller !"
Elle versa le café au lait d'Alexia dans l'assiette puis y laissa tomber les morceaux de son croissant au fur et à mesure qu'elle
les découpait.
"Voilà ! Parfait !"
Elle posa l'assiette dans un coin de la cuisine éloigné de la table alors que son mari revenait les rejoindre.
"Allez petite chienne ! A 4 pattes, ton déjeuner t'attend ! Tu dois etre affamée ! Encore que tu as déjà eu une bonne dose de sperme
pour te caler un peu ! "
Sa mère riait alors qu'Alexia redevenait rouge à l'évocation de son père jouissant dans sa gorge.
Elle préféra ne pas rester devant sa mère et se sentit comme soulagée de filer dans le coin à 4 pattes pour laper le café et
manger les morceaux de croissant qui y flottaient.
Ses parents s'attablèrent tranquillement, parlant de la météo et de leurs programmes du jour avant que la conversation ne dérive
naturellement sur Alexia. Sa croupe ondulait, remuant au fil des mouvements qu'elle devait faire pour laper et manger,
tête proche du sol, le cul bien en l'air, ouverte à la vue de ses géniteurs.
Elle essayait d'oublier la honte qui la submergeait pour ne penser qu'à boire et à manger.
"Quel cul ! "
"Oui j'en suis jalouse !"
"Ho le tien est superbe aussi !"
"Flatteur ! Je sais que je ne t'ai jamais fait bander comme elle ce matin !"
"Tu en as bien profité après non ?"
"mmmm oui ! On va venir ici plus souvent si elle ne vient pas à la maison !"
"Ho oui !"
Alexia était horrifiée dans son coin mais pour éviter de trop penser à tout cela, elle se concentrait sur les morceaux de croissant.
"Si je n'avais pas déjà autant joui, voir son petit cul et sa chatte ouverte comme cela me ferait bander comme un fou ! Mais je ne peux plus!"
"Cochon ! Tu as joui 5 fois ce matin, c'est plus que depuis le début de l'année !"
"Oui mais je vais penser à cela toute la journée ! Et puis c'est toi qui a tenu à ce que je jouisse plus de fois avec toi qu'avec elle
tellement tu es jalouse !"
"Oui je l'admets ! Je vais bien m'occuper d'elle ! Elle a besoin d'un bon dressage !"
"Toi aussi je vais te dresser !"
"Cochon qui s'en dédit !"
"Tu seras servie !"
Alexia n'en croyait pas ses oreilles, elle avait du mal à laper le café. Sa langue était bien moins agile que celle d'une chienne et
le café n'entrait pas facilement dans sa bouche. Cependant elle persévérait, se montrant patiente.
"bon je dois partir ! Je vais etre en retard !"
Son père embrassa Françoise puis lui glissa sa main sur la chatte, enfonçant un doigt dans son vagin et son anus avant de les sucer
tout en s'eloignant vers la porte.
"Bonne journée mes chéries"
"Bonne journée chéri"
Alexia resta sans voix choquée par la pénétration impromptue qu'elle venait de subir.
Elle hurla de douleur alors que la main de sa mère commençait à claquer ses fesses à plusieurs reprises.
"La prochaine fois tu es priée de dire au revoir à ton père sale petite chienne !"
"Oui Oui maman ! Pardonne-moi !"
"lape ton café ! Tu vas etre en retard à la fac !"
Elle reprit ses lapements alors que sa mère disparaissait dans la salle de bain pour se remaquiller.
De nouveaux coups sur sa porte la firent sursauter.
"Alex ! T'es prete !"
"Pas encore Pauline ! Une minute s'il te plait " cria Alexia terrifiée.
La porte s'ouvrit alors, Pauline ayant essayé de l'ouvrir comme d'habitude pour aller presser son amie.
"S'il te plait non ! Ressors tout de suite !"
Pauline ne dit mot mais entra dans le coin cuisine guidée par la provenance des paroles.
Elle resta bouche bée en voyant son amie nue à 4 pattes penchée sur une assiette de café au lait.
Alexia baissa la tête humiliée, n'osant plus détacher son regard du sol mais n'osant pas se relever, sa mère toujours sur les lieux.
"Quand tu m'as dit vouloir etre une chienne, je t'ai crue à moitié ! Mais c'est vrai de vrai !"
Alexia fit oui de la tête penaude.
"C'est top ! J'adore !"
Alexia laissa échapper un soupir, soulagée que son amie prenne cela ainsi.
"Elle est belle en chienne n'est ce pas ?"
Pauline eut un mouvement de peur à son tour.
"Ho ! C'est vous madame ? je ne pensais pas qu'Alex faisait cela devant sa famille !"
"C'est tout neuf ! Elle n'a pas eu le temps de te raconter encore !"
"Je comprends mieux oui"
"Tu vas tout lui dire en chemin pour la fac Alexia ! Tout !"
"Oui maman"
Elle etait rouge de honte et termina de laper son assiette alors que Pauline discutait avec sa mère.
"J'ai fini maman !"
"Tu appelles cela fini ? Tu n'es qu'une sale chienne !"
Françoise lui poussa la tête sur le sol, lui mettant le nez dans une petite flaque de café répandue sur le carrelage.
"Nettoie tes dégats ou je te fais fesser par Pauline !"
Terrorisée, Alexia s'empressa d'obeir sans tenter de discuter l'ordre, lappant plus qu'il ne fallait le sol sous les regards
narquois de sa mère et de sa copine.
"On va la laver à deux ! Sinon vous n'etes pas encore parties !"
"Oui bonne idée madame !"
"Allez petite chienne ! A la douche !"
Alexia n'osant pas se relever, avança à 4 pattes devant les deux nouvelles complices, entrant finalement dans la douche soumise.
Sa mère prit la paume de douche en main, donnant le gel douche à Pauline.
"Je l'arrose, tu la frottes ! Ca te va ! "
"Oui Oui madame !"
Pauline avait répondu avec enthousiasme, heureuse de pouvoir peloter ainsi autant qu'elle le voudrait son amie.
Le jet d'eau fit crier Alexia, c'était froid.
"Chienne douillette" remarqua simplement sa mère "toute une éducation à refaire !"
Pauline riait et arrosait en meme temps de produit son amie, lui massant le corps des mains, jouant avec ses mamelles pendantes sous
elle, étirant ses tetons, faisant le geste de la traire pour encore plus l'humilier.
Alexia en gémissait de honte et de plaisir. Elle sentait le plaisir monter en elle, son sexe trempé en raison de ce qu'elle subissait.
Pauline massa longuement ses fesses puis fit glisser ses doigts dans la chatte de la petite brune offerte.
Elle joua avec son clitoris, fit entrer ses doigts dans son vagin en les vrillant, puis son index dans l'anus plissé avant de pincer
son clitoris.
Alexia incapable de se retenir jouit alors, complétement humiliée, traitée comme une bete par sa mère et sa meilleure amie.
Elle subit ensuite un long shampoing de la part de cette dernière.
"Tout doux ma belle ! Faut éliminer les puces !"
Pauline l'humiliait tout en massant son cuir chevelu.
"Sage ! Pas bouger ! C'est bien !"
Alexia se sentait si humiliée, elle se demandait comment elle allait revivre normalement après tout cela. Cette fois elle ne rêvait pas
et ne fantasmait pas !
Sa mère lui rinça abondamment enfin les cheveux, lui envoyant de l'eau dans le nez, les oreilles, la bouche.
Alexia suffoquait, recrachait ce qu'elle pouvait.
Elle finit par se retrouver entre leurs mains, chacune la frottant durement avec une serviette, toujours à 4 pattes dans la douche
avant de la faire sortir puis retourner dans la chambre dans cette position.
"Dommage que tu ne puisses pas aller à la fac dans cette position et cette tenue !"
Pauline lui déclarait cela avec grand regret, Alexia se dit qu'heureusement qu'il y avait des lois dans ce pays !
Sa mère sortit alors une robe très moulante de son armoire, mi-cuisse et décolletée.
"Tiens ! Met cela ! sans rien dessous !"
"Oui maman"
Pauline gloussa et l'aida à enfiler la robe, jouant au passage avec ses tétons, les faisant pointer sous le tissus.
"Parfait ! Allez les filles ! A la fac !"
"Bonne journée madame"
"Bonne journée maman"
Françoise embrassa Pauline sur les 2 joues puis à sa grande surprise lui déposa un baiser furtif sur les lèvres puis elle se pencha
sur sa fille bien plus petite qu'elle pour lui faire à son tour 2 bisous et lui entrer la langue dans sa bouche, la prenant aussi
par surprise.
Elle abandonna là les 2 amies, excitées et sous le choc ou le charme.
Elles rassemblèrent leurs affaires et prirent le chemin de la fac ensemble, très en retard.
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Alexia en mission
Chapitre 5 :
Alexia et Pauline cheminaient ensemble vers l'amphi de leur second cours de la matinée. Leurs activités matinales s'étaient un peu trop
prolongées pour qu'elles soient à l'heure. C'était d'ailleurs le cadet de leurs soucis.
Alexia était toute à la fois choquée par les évènements qui s'étaient enchaînés depuis la veille :
- Sa mère qui l'avait attachée, punie, violée avec la matraque, faite dormir nue au pied de son lit.
- Son père qui l'avait enculée au réveil sans aucun ménagement et sans aucun remord alors qu'elle était sa fille. Elle avait même cru
détecter que le fait que ce soit elle, cela l'excitait d'autant plus. Le pire, c'est qu'elle se sentait comme marquée parce qu'il avait
joui en elle. Elle sentait encore les mains qui serraient ses hanches alors qu'il poussait à fond sa queue en elle à chaque jet de
foutre qu'il lui envoyait dans le cul.
- Le serveur qui l'avait vue nue au coin punie et qu'elle avait du mettre elle-même dehors. Elle ne pourrait plus jamais commander
quoi que ce soit dans ce café ni y prendre une consommation. Il avait du mettre tout le monde au courant de sa bonne aventure...
- Le petit déjeuner qu'elle avait prendre comme une chienne y compris sous les yeux de sa meilleure amie.
- Sa mère et Pauline qui l'avait vraiment traitée comme une chienne ensuite pour la laver et l'habiller.
Cela faisait beaucoup d'un coup pour la jeune fille pas du tout habituée aux perversions, qui voyait le sexe comme un prolongement de
l'amour et avait certes beaucoup de fantasmes mais pas à réaliser. Enfin quelques uns mais avec son amant, pas avec sa famille ou avec
sa meilleure amie !
Elle était donc complètement absorbée dans ses pensées, cherchant une façon d'amortir psychologiquement tous ces chocs.
Pauline, à ses cotés, toute aussi muette, pensait à la chance qui l'avait favorisée enfin. Elle avait envie d'etre plus intime avec
Alexia depuis si longtemps, de jouer avec elle à quelques jeux tres coquins. Ses envies les plus folles allaient enfin pouvoir se
concrétiser...Même celles qu'elles n'auraient jamais osé songer réaliser, comme ce qui s'était passé ce matin même.
Elle était donc pleinement heureuse, excitée, mouillant sa petite culotte comme jamais de sa vie pendant ce trajet matinal.
Aller en cours ce matin là était un vrai bonheur. Elle ne lachait pas une seconde la main d'Alexia, sentant grâce à ce contact qu'elle
ne rêvait pas.
Alexia serrait de son coté la main de Pauline pour ne pas perdre pied avec la réalité. Elle ne savait plus où elle en était et ce contact
la rassurait plus qu'il ne l'effrayait. Après tout, son amie semblait forte, digne de confiance. Elle n'avait pas essayé de lui faire
du chantage suite aux évènements, ou pas encore...
Elle allait peut-être essayer d'en profiter pour lui extorquer un certain nombre de faveurs. Cela emoustillait Alexia tout en l'angoissant.
La petite brune essaya de penser à autre chose. Elle sentait l'odeur de son excitation remonter par le col de sa robe. Son absence de culotte
ne pouvait malheureusement étouffer les odeurs habituelles. Et le fait d'etre nue sous sa robe n'arrangeait rien. Le moindre souffle de vent
lui procurait des caresses sur les fesses et les lèvres. Ses pointes de seins tendaient le tissu, se découpant bien à travers lui.
Elles arrivèrent enfin à leur amphi, une dizaine de minutes avant tout le monde, les autres étant encore au cours précédent.
Elles en profitèrent pour prendre leurs places préférées, cote à cote, au milieu de la rangée du milieu.
Une fois assises, Pauline pinça les tétons d'Alexia à travers le tissu, les gardant entre ses doigts. Elle tira dessus pour amener
sa victime plus près d'elle et l'embrassa, enfonçant sa langue dans sa bouche.
Alexia surprise essaya au début de serrer ses dents mais la torsion de ses tétons entre les doigts de Pauline lui arracha un petit cri
et la langue de cette dernière en profita pour lui violer la bouche.
Rapidement malgré tout, elle lia sa langue à celle de Pauline pour un vrai long baiser. Elle se colla contre elle s'abandonnant à elle.
Pauline rompit enfin le baiser, les laissant essoufflées toutes les deux.
- C'est un délice de t'embrasser Alex ! Je crois que je vais souvent recommencer !
- Pas en public en tout cas s'il te plait ! dit Alexia, toute rouge.
- Tu as aimé aussi ?
- Oui mais cela fait beaucoup de choses neuves pour moi en peu de temps ! J'ai besoin d'un peu de recul !
- Salope ! Tu n'en auras pas ! Tu ne crois pas que je vais laisser passer ma chance !
- Ho mais Pauline...
- Pas question ! Je te veux depuis bien trop longtemps !
- Mais et nos études ?
- Je ne vois pas le rapport !
- Elles vont en patir ! Tu le sais bien !
- Non ! Je te ferais travailler à coups de cravache s'il le faut ! Tu n'en seras que meilleure !
- Tu plaisantes ! dit Alexia horrifiée.
- Jamais été aussi sérieuse ! Et comme je ne veux pas etre moins bonne qu'une chienne, cela me motivera également ! D'ailleurs tu seras punie
chaque fois que j'aurai une moins bonne note que toi !
- Je vais devoir faire exprès d'avoir des notes moyennes alors ! Cela n'est pas bien pour nous !
- J'y ai pensé ! Pour chaque point en dessous de 20, tu auras 10 coups de martinet sur ton superbe petit cul !
- Mais c'est déjà quasi impossible d'avoir un 17 !
- Tu ne croyais pas que les choses seraient simples pour toi !
- Mais si je suis excellente tout le temps, je vais me prendre au moins 30 coups de martinets !
- Je n'y peux rien si tu as un si joli cul qui attire le martinet !
- T'es qu'une salope !
- 10 coups ce soir dans ma chambre !
- Mais...
- 20 coups !
- Et si j'ai une meilleure note que toi ? dit Alexia vaincue
- 5 coups par point d'ecart, cela te forcera à viser la meilleure note possible puisque un point de moins c'est 10 coups !
- Petite pute !
- 30 coups ! Et si tu ne viens pas je viens te chercher avec ta mère et je te fais traverser la résidence à poils en te tenant par
les cheveux !
Alexia baisse la tête résignée, comprenant que les choses ont bien changées.
- Je suis dure avec toi mais je t'aime Alex !
- Oui Pauline !
- Et toi ? Tu m'aimes ?
- Je ne sais pas ! C'est trop neuf ! Je dois faire le point !
- Je serai patiente avec toi ! Dure mais patiente !
- Merci Pauline !
Elle l'attrape par la nuque et colle sa bouche sur la sienne, enfonçant sa langue dans la bouche d'Alexia sans rencontrer de résistance
cette fois, ne la lachant que lors de l'ouverture de la porte de l'amphi par les premiers arrivants.
Elles se réinstallent correctement, reprenant leur souffle, toute rouge de confusion et de plaisir.
Le cours commence alors, captivant Pauline, laissant Alexia indifférente. Tout va trop vite pour elle !
Elle n'imaginait pas se retrouver sous la coupe de Pauline ainsi et quand elle fantasmait un peu là dessus, ce n'était pas en subissant
plus qu'une simple fessée. Visiblement son amie voulait d'elle comme chienne et entendait bien utiliser le martinet.
Elle frissonna en songeant aux 30 coups auxquels elle venait d'etre condamnée. Cela lui rendit plus présente la douleur émanant de
ses fesses meurtries par sa mère et de son anus douloureux suite aux assauts de son père.
- Melle K. ! Pouvez-vous donner la réponse à ma question ?
- Pardon Madame ?
- Vous n'écoutiez pas mon cours Melle K. ?
- Je suis désolée Madame, si vous pouviez répeter, je n'ai pas bien compris...
- Je suis ravie de voir que cela vous intéresse quelque peu ! Venez donc me rejoindre Melle K. ! Vous m'entendrez mieux comme cela !
- Néoromantisme et néoclassicisme Melle K., qu'est ce qui les opposent ou les allient ?
Alexia fait alors de gros yeux ronds et gonfle ses joues, essayant de rassembler ses souvenirs sur chacun des sujets.
- C'est à dire Madame que le sujet est vaste !
- Je vous demande simplement de me lister les points principaux Melle K. ! Comme je viens juste de les évoquer, cela ne devrait pas
etre trop compliqué pour vous !
Alexia se mordille les levres désemparée et rougissante. Elle voit son professeur, grande femme blonde d'un bon metre quatre-vingt,
aux traits durs, qui la fusille du regard. Elle fait de grands gestes qui agitent sa poitrine lourde sous le nez de la brunette.
- Alors Melle k. ! On ne va pas attendre jusque Noel !
- Je suis désolée Madame.
- Pas tant que moi Melle K. ! Pas tant que moi !
Alexia baisse la tête penaude esperant etre vite renvoyée à sa place.
- Au coin devant le tableau mains sur la tête !
- Pardon Madame ?
- Vous avez visiblement un vrai problème d'acuité auditive Melle K. ! J'ai dit au coin au tableau mains sur la tête !
- Mais je ne suis plus une petite fille Madame !
- Vous agissez comme telle alors vous serez en partie traitée comme telle ! C'est ça ou vous etes virée de la fac ! Et je m'arrangerai
pour que vous ne soyez plus inscrite dans aucune école dans ce pays !
Humiliée, Alexia se tourne pour approcher du tableau, dans un des coins, et pose ses mains sur la tête, rouge de honte.
Se retrouver ainsi devant toute sa promotion, le choc est encore plus violent pour elle que ce qu'elle a vécu ces dernières 24 heures.
- J'ai discuté avec vos professeurs, nous sommes tous très mécontents de cette promotion, qui ne pense qu'à faire la fête au lieu
de travailler, et nous avons décidé d'agir pour votre bien. Je vais donc faire un exemple avec Melle K. ! Le ou la prochaine qui se
retrouvera dans son cas, étant prévenu, subira bien pire, que ce soit clair !
Le silence se fait totalement dans l'amphithéatre. On pourrait entendre une mouche voler. Alexia se sent encore plus stressée,
sentant tous les regards fixés sur elle, toutes les conversations personnelles s'étant interrompues.
- Sortez tous une copie blanche et un crayon ! Je ne veux voir rien d'autre sur les tablettes !
Les bruissements des sacs, copies et livres emplissent alors l'amphithéatre, personne n'osant discuter l'ordre.
- Contrôle général, vous l'avez deviné ! La note comptera pour la moyenne générale de ma matière ! Elle comptera également pour votre
note d'anglais, les réponses à mes questions devant etre rédigées dans la langue de Shakespeare !
Petit murmure de panique dans les rangs étudiants suite à cette annonce vite stoppé par un "Taisez-vous !" péremptoire.
- Melle K., vous écrirez vos réponses sur le tableau ! Vu le niveau apparent de vos connaissances, j'invite vos camarades à éviter
de les copier betement ! A propos de copiage, les propriétaires de 2 copies par trop identiques seront sanctionnés sans que je cherche
à savoir qui a copié sur qui !
L'amphithéatre bruisse alors à nouveau un peu et la prof désigne alors un jeune homme du 3e rang.
- Vous ! Vous me donnez votre copie blanche, juste vos noms et prénoms et vous sortez !
Le jeune homme blanchit et s'éxécute ne voulant pas etre rayé de l'université et abandonne l'amphi sous le regard atterré de ses camarades.
- Melle K. ! Cela m'a agacé ! J'ai besoin de passer mes nerfs sur quelqu'un et ce sera donc sur vous ! C'est vous qui avez déclenché tout
cela !
- Je suis désolée Madame...
- Il ne manquerait plus que vous soyez heureuse de tout cela ! Troussez votre robe sur vos hanches Melle K. !
Alexia panique aussitôt, ce n'est pas possible de faire cela, elle n'a pas de culotte aujourd'hui.
- Dépéchez vous ou vous etes virée !
Tremblante Alexia retire ses mains de sa tête et prend l'ourlet de sa robe.
- Si j'entends des sifflements dans cet amphi, j'en vire 10 au hasard !
Les garçons et certaines filles de l'amphi, dont Pauline, qui allait chambrer la jeune fille se figent paniqués.
Alexia continue son mouvement découvrant la rondeur ferme de ses fesses magnifiques, provoquant aussitôt le désir chez la majorité des
jeunes gens et la jalousie de beaucoup des filles. Tous se retiennent pour ne pas émettre leur jugement, fusillés par le regard de la
prof qui balaye bien les rangs.
- Bravo Melle K. ! Jolie croupe ! La prochaine fois vous songerez sûrement à mettre une culotte pour éviter de le montrer à tout le monde !
Encore que ! Je crois que vous auriez du la baisser de toute façon !
Alexia est honteuse le nez contre le tableau, tenant toujours sa robe sur ses reins, n'osant pas la laisser retomber.
- Bon ! Il est temps pour moi de me calmer un peu !
Alexia pousse un hurlement de douleur. Un claquement retentit, traversant les rangs de l'amphi toujours emplis d'étudiants calmes et inquiets.
Un coup de regle métallique souple vient de heurter les fesses d'Alexia, lui laissant une jolie marque rouge pour témoigner de l'impact
brutal qu'elles ont subies.
Alexia se sent encore plus humiliée et la douleur qui monte en elle avec un peu de retard lui amène les larmes aux yeux.
La colosse blonde enchaine alors 9 nouveaux coups qui laissent les fesses de sa victime complètement écarlates, ne cherchant pas à
maitriser sa force.
Alexia est en larmes, en cause, la douleur l'ayant complètement envahie et l'humiliation de cette punition publique.
- Je me sens mieux ! Merci Melle K. ! Je me souviendrai que vous etes un excellent souffre-douleur !
Elle rit laissant Alexia et l'ensemble des étudiants sans voix.
- Première question !
Bruissements paniqués, froissement de feuilles, claquement de stylos contre les tablettes, l'amphithéatre reprend vie.
- Qu'est ce que le néoclassicisme ? En anglais je vous le rappelle !
Tout le monde panique, les termes français sont si précis, du langage pointu d'expert dont il faut retrouver l'équivalent anglais.
Alexia est abattue en entendant la question. Si elle avait pu réviser hier soir, elle ne serait pas dans ce pétrin. Merci maman !
- Alors Melle K. ? Vous sechez ?
Rires de la prof, elle dit plus bas à direction exclusive d'Alexia,
- Ce n'est pas le bon terme vous sechez ! A ce que je vois entre vos cuisses !
Alexia est morte de honte suite à cette remarque et perd totalement ses moyens.
- Votre robe semble vous gener pour écrire Melle K. ! Je vais vous aider !
La prof se saisit de la robe pour la maintenir relever et donne une craie à Alexia qui ainsi cul à l'air essaie d'ecrire quelques
phrases au tableau.
- Humm c'est fatiguant ! J'ai une meilleure solution !
Alexia pousse un cri alors que la prof lui retire intégralement sa robe, la laissant nue devant le tableau.
- J'aurais du m'en douter ! Pas de soutien-gorge non plus Melle K. !
Elle se tourne vivement vers l'auditoire.
- Vous répondez à la question au lieu de vous rincer l'oeil !
Tout le monde se replonge dans sa copie.
- Vous deux au 8eme rang ! Votre copie et dehors ! J'ai prévenu pour les copieurs !
Les deux etudiantes prises en faute obtempèrent sans protester pour ne pas aggraver leur cas et sortent, laissant tout le monde encore
plus effrayé.
Alexia, nue, se sent de plus en plus mal ainsi devant le tableau.
- Bien ! J'espère que vous n'avez pas copié sur Melle K, parce qu'elle a tout faux !
Alexia laisse échapper un soupir de désespoir.
- C'est tres énervant pour un professeur de voir que l'on se moque de son enseignement !
La grande blonde tourne autour de son bureau agacée. Tout le monde retient son souffle ne voulant pas se retrouver à la place de la
jolie brune.
- A genoux au bord de l'estrade face à vos camarades Melle K. !
Alexia n'ose pas désobeir, elle ne peut se permettre d'etre renvoyée et sait qu'elle n'aura le soutien de personne.
Elle s'agenouille humiliée face à l'amphi.
- Mains sur la tête ! Il faut tout vous dire !
Un sifflement ponctué d'un claquement de la règle sur les fesses d'Alexia s'ensuivit accompagné par un grand cri de douleur de la suppliciée.
Alexia pose aussitôt ses mains sur son crane. Elle n'a pas le temps de reprendre ses esprits que déjà un nouveau coup s'abat sur elle.
Elle a le souffle completement coupé, sa poitrine est en feu. La règle a heurté ses seins par le dessous.
Avant qu'elle ne bouge 3 autres coups s'enchainent sur ses seins, la faisant s'écrouler sur le sol, en larmes, brisée.
- Ouf ! Cela fait du bien ! Je vous apprécie finalement Melle K. ! Je me demande si vous n'allez pas etre mon assistante permanente en cours!
La blonde rit, s'amusant de voir son élève tordue sur le sol.
- Bon ! On s'est assez diverti ! Deuxième question ! Comme pour la première mais pour le néoromantisme ! Allez Melle K. ! On se relève, il
faut essayer de répondre ! Bien que dans votre cas, il faut plus qu'essayer !
Alexia se traine jusqu'au tableau meurtrie, pliée en deux et essaie d'aligner quelques phrases sur le sujet.
Après quelques minutes, la prof donne un grand coup de règle sur son bureau.
- Navrant ! Tout simplement navrant !
Furieuse elle attrape Alexia par les cheveux et la tire violemment jusque son bureau.
- Grimpez dessus et allongée sur le dos, jambes relevées, genoux sur les seins, ouverte vers vos amis !
Alexia grimpe et se place ainsi humiliée, se sentant complètement ouverte à la vue de tout le monde. Les lèvres de son sexe s'ouvrent
laissant voir qu'elle mouille à tout le monde. Son anus est complètement apparent, rose et fripé, s'entrouvrant un peu suite aux
activités de la nuit, laissant voir à tout le monde qu'elle n'est pas vierge de ce coté là.
La prof vient devant elle et se délecte du spectacle de son élève soumise et ouverte devant elle. Son regard fouille le sexe ouvert
de la pauvrette, elle ne peut s'empecher d'en écarter les levres de la main et pour découvrir le clitoris et le presser de son pouce.
Alexia gémit de douleur et de honte. Heureusement le corps de sa prof fait écran avec les autres. La prof continue son exploration et
enfonce un doigt dans le vagin d'Alexia, testant son élasticité puis passe ce doigt sur l'anus de la jolie brune.
Elle le pousse en elle sans avoir à forcer.
- Hé bien ! On a l'habitude de se faire enculer on dirait !
Alexia rougit encore plus, esperant que personne n'a entendu cela. Sa prof ressort son doigt et l'examine.
- Mais c'est du sperme ! Tu t'es faite enculer ce matin avant de venir en cours petite trainée !
Alexia devient rouge pivoine, esperant pouvoir se faire plus petite qu'une souris. Elle ferme les yeux de honte.
Le premier coup tombe alors sur sa chatte. La règle l'a frappée dans le sens de la hauteur, sur ses levres et entre elles.
Les suivants s'enchaînent la laissant sans force et épuisée sur le bureau.
- Je vais t'enculer moi aussi entend Alexia à son oreille.
Elle sent de l'air frais sur ses fesses et sa robe qui se soulève, la douleur fuse de son anus.
Pauline vient de lui enfoncer durement sa bouteille de déodorant dans l'anus, sans préparation, le plus discrètement possible pour
que personne dans l'amphi ne la voit faire.
- Je me suis dit que tu en avais besoin pour te reveiller ma chérie ! Tu étais les yeux complètement dans le vide et rêveuse.
- Ce n'est pas une raison pour en profiter pour m'enfoncer n'importe quoi dans le cul ! Je ne suis pas à ta disposition !
- 40 !
- Quoi ?
- 40 coups de martinet ce soir, pour te rappeler que tu es à ma disposition !
Alexia tremble, revenue complètement à la réalite, se demandant si son rêve n'était pas préférable à la réalité pour elle.
- S'il te plait Pauline ! Je ne supporterai pas autant de coups ! Je te prie de m'excuser ! Je te raconterai ce à quoi je pensais !
- 15% alors !
- Quoi 15% ?
- Je te fais un rabais, cela fait 34 coups ! Sympa non ?
- T'es vraiment une salope !
- Et toi la meilleure copine que je pouvais souhaiter avoir !
- Toi aussi même si tu vas sûrement m'en faire baver !
- Je suis quand même sympa, je te laisse m'appeler salope et tout ça comme avant !
- Heureusement ! Sinon tu vas passer ton temps à me punir !
- Ca ne me déplairait pas !
Pauline ponctue cela d'une petite poussée sur la bouteille de déo dans le cul d'Alexia.
- Tu aimes ça petite pute non ?
- Tu me rends folle Pauline !
Elle glisse sa main sous la robe d'Alexia et penetre d'un doigt sa chatte.
- Putain oui ! Je te crois ! C'est une vraie fontaine là dessous !
Alexia rougit de honte et sent que Pauline lui retire le déo de l'anus.
- Le cours est bientôt fini, tient ! Nettoie ma bouteille ! Je ne peux pas la remettre comme ça dans mon sac !
Humiliée et ne voulant pas se faire remarquer par ses voisines, Alexia prend la bouteille et se penche faisant comme si elle cherchait
quelque chose dans son sac. Elle reste ainsi baissée et leche la bouteille sous le regard amusé et coquin de Pauline.
Une fois terminé, Pauline examine son déo.
- Beau travail ! Tu vas pouvoir passer professionnelle dit donc !
Elle essuie la bouteille sur la robe de son amie et la range dans son sac alors que la sonnerie de fin de cours retentit.
A suivre...
Alexia en mission
Chapitre 6 : Prise de fonction
Alexia abandonna Pauline le midi pour rentrer chez elle. Elle était trop impatiente pour attendre la fin d'après-midi.
Elle voulait rejoindre Interpol au plus vite. De plus, elle se méfiait de Pauline. Elle l'avait quand même sodomisée en plein cours
avec sa bouteille de déo alors le midi, cela risquait d'etre encore pire.
Une fois chez elle, elle nettoya l'écuelle de café resté au sol et balaya les miettes du petit-déjeuner éparpillées dans son petit logement.
Elle fit son lit, génée en repensant à elle attachée et fessée par sa mère la veille puis aux activités sexuelles de ses parents alors
qu'elle était au coin. Il fallait à tout prix qu'elle fasse une lessive en rentrant ce soir ! Pas question de dormir là-dedans !
Se ravisant donc, elle défit sa housse de couette et ses draps pour en faire un petit paquet pour aller à la laverie dès son retour.
Le sexe, c'est bien mais il y a quelques petits inconvénients !
Elle se dénuda, admirant ses petits seins ronds dans la glace, jouant un peu avec ses tétons puis examina ses fesses.
Elles étaient encore rouges, un peu marquées mais cela allait, d'ici peu, plus rien ne serait visible. Cela la rassura.
La douleur anale étant toujours très présente, elle se mit à 4 pattes près de son miroir et examina ainsi son sphincter.
La position manquait d'élégance mais pour examiner soi-même son cul, il n'existe pas beaucoup de possibilités élégantes.
Elle passa son doigt sur son anus, le massa un peu en grimaçant, essayant de le détendre. Il s'ouvrit un peu et après l'avoir bien
examiné, elle déclara que tout allait bien !
Totalement rassurée, Alexia se releva pour aller prendre une bonne douche. Pas question de commencer son travail sans etre bien fraiche !
Pour une fois, elle ne se laissa pas emporter par ses fantasmes. C'est fou pensait elle, je suis saturée de sexe ou quoi ?
Ou trop stressée par ce nouveau job ! L'eau coulait sur son corps en petites rivières, le long des jolies pommes de sa poitrine, rivières
qui formaient un petit fleuve sur son pubis ou dans le creux de ses reins.
Elle remua ses petites fesses rondes pour s'ouvrir au jet, profitant de la caresse qu'elle sentait relaxante au lieu d'excitante.
Elle s'enroula finalement dans un doux et épais drap de bain, se séchant avec douceur avant de rejoindre sa chambre.
Elle extirpa son uniforme du carton. Le grand moment était arrivé ! Enfin !
Elle enfila des dessous mignons et confortables, qui ne feraient pas de marques sous l'uniforme, roses avec un motif fleuri, en coton.
Puis elle se glissa dans le pantalon qui semblait fait sur mesure pour elle sauf sur un point. Ils devaient la croire plus grande
qu'elle n'était ! Elle allait devoir mettre de hauts talons pour ne pas qu'il traine sur le sol.
Il fallait qu'elle aborde ce point avec son futur supérieur.
Elle enfila la veste qui s'ajustait bien à elle. Après examen, un peu trop bien même. Sa poitrine était un peu trop moulée. Elle opta pour
dégrafer les deux derniers boutons pour se sentir plus à l'aise. Cela lui faisait un beau décolleté qui ne devait pas etre réglementaire.
Elle enfila enfin la ceinture avec la matraque et la housse pour les menottes. Elle regrettait de ne pas avoir de pistolet. Cela
aurait été du plus bel effet !
Elle prit enfin le porte carte, toute fière de sa carte officielle puis son contrat de travail. Elle allait devenir quelqu'un d'important !
Un membre d'interpol, cela jette !
Si seulement cela pouvait l'aider à gérer le bazar de sa vie privée ! Entre ses parents et Pauline, elle ne contrôlait plus rien de sa vie!
Et tout cela à cause des menottes et de la matraque ! Prise d'un doute elle sortit sa matraque pour la porter à son nez, à la recherche
d'une odeur suspecte. Cela sentait le caoutchouc mais elle avait l'impression de sentir aussi une légère odeur d'excrément dessus.
Cela devait venir d'elle, elle savait d'où sortait la matraque. Dans le doute, elle prit son vaporisateur de parfum et aspergea la matraque
avant de se parfumer elle-même.
Elle se coiffa enfin de la casquette et partit direction le commissariat central.
Le temps était agréable et elle se dit qu'elle allait bien profiter de sa promenade en uniforme jusque sa destination finale.
Elle marchait fièrement au début de son trajet, bien droite, sûre d'elle. Cependant, la multitude de regards se braquant sur sa poitrine
ou sur ses fesses commença à la géner de plus en plus. Ce qui est flatteur quand c'est fait discrètement, devient vite embarrassant
à grande échelle. Elle commença à pester contre son pantalon trop long qui la forçait à mettre des hauts talons, contre cette chemise
trop cintrée et moulante. Elle avait l'impression d'etre une pute en promenade quand elle arriva enfin au commissariat.
Elle franchit la porte avec soulagement, se demandant si elle pourrait bénéficier d'une voiture pour rentrer.
L'agitation l'a frappa aussitôt. La rue semblait bien calme par rapport à ce hall.
Elle vit le bureau d'accueil et essaya de s'en approcher. Les civils qui essayaient également de parvenir à cela, semblaient bien se
moquer du fait qu'elle porte un uniforme. Personne ne semblait décidé à la laisser passer prioritairement.
La femme chargé de l'accueil la jaugea du regard sans l'inviter non plus à doubler tout le monde et Alexia se résigna à faire la queue comme
tout le monde. Après un bon quart d'heure, elle accéda enfin au comptoir d'accueil.
- J'ai rendez-vous avec le commandant G.
- Connais pas ! Et vous aussi je ne vous connais pas !
- Je commence aujourd'hui, j'ai mon contrat avec moi.
- C'est ça oui ! Et vous avez cru bon de venir costumée ?
- Costumée ?
- Oui je n'ai pas de temps à passer avec de petites rigolotes comme vous ! C'est pour une caméra cachée ?
- Mais c'est mon uniforme !
- Mais oui c'est ça ! La couleur est trop claire, la veste cintrée au lieu d'etre droite, le pantalon moulant au lieu de flottant, et
pour couronner le tout, des hauts talons ! C'est pour tourner dans un film porno ? Vous ressemblez plus à une actrice qu'à un agent
comme cela. Pour le réalisme, il faudra revoir tout cela !
Alexia sentit son sang bouillir. Cela faisait deux fois en 24h qu'on l'assimilait à une actrice porno ! Cela commençait à bien faire !
Elle sortit son porte-carte qu'elle mit sechement sous le nez de son interlocutrice.
- Et ça ? C'est une fausse peut-etre !
L'agent examina la carte, la sortit de la pochette et l'examina dans tous les sens.
- Elle m'a l'air vraie !
- Donc je ne suis plus une actrice porno ?
- Non je vous prie de m'excuser Melle K.
- Et vous allez enfin appeler le commandant G. ?
- Oui oui toutes mes excuses Melle K.
Elle prit son téléphone et composa le numéro qu'elle semblait connaitre par coeur.
- Commandant G. ? J'ai quelqu'un pour vous à l'accueil. Oui c'est Melle K.. Bien Commandant G.
Un policier s'avança doublant tout le monde pour demander quelque chose à l'agent d'accueil. Elle lui fit signe de s'écarter.
- Inter ! dit-elle en désignant Alexia discrètement.
Le policer fit tout de suite un pas en arrière en bafouillant des excuses. Alexia se sentit mieux. Visiblement, cela avait des avantages
de travailler pour Interpol, cela en imposait et elle en était tres fière.
- Prenez l'escalier derrière moi, vous montrez votre carte à l'agent pour éviter toutes les formalités. C'est au dernier étage à droite.
Les noms sont sur les portes. Il me semble que c'est l'avant dernier bureau. Bonne journée Melle K..
- Bonne journée dit Alexia plus joviale.
Elle se dirigea d'un pas de nouveau assuré vers l'escalier, montrant sa carte pour passer sans contrôle aucun.
Elle rougit cependant en entendant quelques commentaires des femmes qu'elle croisa : Ils les engagent au berceau maintenant? On embauche
des putes de service ? Elle a eu son poste en couchant ! Celle-là elle est trop belle, elle va pas rester longtemps ici !
Tant qu'elle y est elle pourrait montrer son cul ! C'est quoi cette tenue ! Elle n'a pas eu le temps de changer de chaussures en rentrant
de son travail de nuit !
Son assurance s'envola de nouveau au fil de son cheminement jusqu'au dernier étage. Elle frappa enfin à la porte du commandant G..
- Entrez ! Bonjour Melle K.
- Bonjour Commandant G. ! Je ne vous dérange pas ?
- Je vous attendais ce soir mais ce n'est rien, nous pourrons déjeuner ensemble si vous voulez !
- J'ai amené mon contrat Commandant ! dit Alexia sans répondre à l'invitation, se souvenant du repas embarrassant de la veille.
- Les termes vous conviennent? Ainsi que le salaire ?
- Oui oui Commandant, je l'ai signé. Voici votre exemplaire !
- Hé bien vous faites officiellement partie de mon effectif maintenant agent K.
- oui Commandant et j'en suis fière.
- Mon Commandant !
- Pardon oui mon Commandant !
- Bien vous etes donc sous mon autorité !
- Oui mon Commandant !
- Jolie tenue tres sexy agent K. !
- Justement à ce sujet mon Commandant, le pantalon est trop long !
- Mais non ! Il tombe très bien !
- Je suis obligée de mettre des talons hauts !
- C'est pour cela qu'il est tres bien ! Cela t'habitue ! Tu dois rentrer dans la peau d'une pute !
- C'était voulu alors !
- Oui de même que ton haut cintré ! C'est pour que tu ne cherches pas à cacher tes seins !
- Vous etes un salaud !
- Non juste pragmatique agent K. ! Nous allons aborder ta mission !
- Volontiers !
Alexia sourit à l'idée, soulagée et angoissée malgré tout d'entrer enfin dans le vif du sujet.
- Baisse ton pantalon !
- Pardon ?
- Tu es une pute dans ta mission non?
- Oui mon Commandant mais quel est le rapport ?
- Tu seras amenée à montrer ton cul plus d'une fois au cours de ta mission ! Si un souteneur t'approche il voudra voir et palper !
Donc tu dois t'y habituer sinon cela lui paraitra suspect ! Donc montre ton cul !
- Oui mon Commandant
Alexia résignée dégrafa ceinture et pantalon et le baissa sur ses genoux. Elle se tourna enfin pour faire face à la porte.
- Je t'ai dit de montrer ton cul petite pute !
- Mais mon Commandant !
- Tu arretes de m'appeler ainsi ! Tu dis monsieur ! Si je dois intervenir dans la mission, je serai un client ! Là je suis un client
qui veut voir la marchandise avant de se décider !
- Mais vous aviez dit que vous enverriez des agents, que je ne serai pas obligée de passer à l'acte !
- C'est ce que je vais faire mais tu ne couperas pas malgré tout à l'exhibition de ton corps ! Un client qui ne veut pas voir ou tripoter
un peu avant, ce sera tout de suite anormal aux yeux de tes copines putains !
- Oui monsieur...
- J'attends toujours de voir ton cul ! C'est juste du travail, ce n'est pas personnel !
Alexia baissa sa culotte à regret sur ses genoux, dévoilant ses petites fesses rondes de toute beauté. Le commandant sentit aussitôt que son
pantalon etait devenu un peu étroit pour lui, bien qu'il fut tres habitué à voir des culs nus.
- C'est bien Alexia ! Quel va etre ton nom de pute au fait ? Autant que je t'habitue à ton nom aussi !
Alexia réfléchit un peu.
- Pauline ! dit elle ravie, pensant que cela lui ferait une petite vengeance sur son amie.
- Bien Pauline !
Le commandant se leva et approcha d'elle. Il lui tripota les fesses, les pétrissant, les massant sans douceur.
- Beau cul ! Ca donne envie ! J'en bande !
Alexia rougit.
- C'est pas gagné si tu rougis juste parce qu'on te tripote et que l'on te dit que tu fais bander !
- Excusez moi monsieur...
- Arrete de t'excuser, une pute ne s'excuse jamais ! Sauf si on la paie pour ça ! Tes seins !
Alexia ne réagit pas et se reçut une belle gifle. L'homme lui ouvrit la chemise et sortit ses seins de son soutien-gorge.
Après les avoir bien regardés, l'homme pressa ses seins, les souleva en les massant, lui prit les pointes en main et les fit
bouger dans tous les sens.
- Tu es trop top ! J'espère que cela passera quand même pour une pute de rue, tu es plutôt pute de luxe ! De grand luxe même !
- Merci monsieur.
Alexia devint encore plus rouge après ce traitement et cette répartie qui semblait etre un grand compliment dans la bouche de son supérieur.
- Bon on a quand même un gros problème avec toi, tu dois etre endurcie aux choses du sexe sinon dès demain soir ta couverture sera grillée !
A poil, je vais te trouver des vetements !
Alexia se dit qu'elle n'avait plus grand chose à lui cacher maintenant et se dénuda.
- Laisse tes chaussures ! Tiens mets ça !
Elle enfila une jupe courte et un top blanc moulant sans rien dessous.
- Parfait ! Allez, on y va !
- Où cela monsieur ?
- Tais-toi petite pute !
Il lui prit le bras et l'entraina hors du batiment. Ils cheminèrent ensemble jusqu'au fleuve. Alexia se sentit génée par sa jupe qui se souleva
à chaque coup de vent, dévoilant ses fesses à tout le monde.
L'homme l'entraina sur la berge, lui faisant dévaler les escaliers malgré ses hauts talons, la portant presque par moment.
- Allez on va sous le pont !
- Qu'allons nous faire ici monsieur ?
- Ah voilà un bateau, montre tes seins aux passagers ! dit le commandant ignorant sa question.
Comme Alexia tardait, une gifle vint ponctuer l'ordre.
- Montre tes nichons aux touristes ! Depeche toi ou je te fous à poil !
Effrayée Alexia remonta son top et exhiba bien ses seins en direction du bateau. Les flashs crépitèrent aussitôt ainsi que quelques hourras !
Alexia etait devenue rouge pivoine après le passage du bateau.
- Bien ! Tu es toujours aussi rouge mais tu deviens plus obeissante ! C'est déjà cela ! Il y en a un autre qui approche, tourne toi et
montre leur ton cul cette fois !
Alexia obéit résignée, se disant que là son visage ne sera pas sur les photos au moins ! Elle troussa sa petite jupe cul bien tendu,
les seins toujours à l'air. De nouveaux cris de joie lui parvinrent alors que les flashs éclairèrent le dessous du pont.
- Ne bouge pas ! Je m'en charge !
Alexia se demanda pourquoi son supérieur lui disait cela et tourna la tête, découvrant 2 agents de police qui venaient vers eux.
Le commandant sortit sa carte et s'avança vers eux.
- Mission spéciale de formation ! Interpol !
- Mes respects mon Commandant !
- Merci de surveiller les accès à la berge, que nous ne soyons pas interrompus !
- A vos ordres mon Commandant !
Les deux agents détaillèrent Alexia de la tête au pied avant de se décider à s'éloigner un peu pour garder l'accès au pont, un de
chaque coté.
Un nouveau bateau navigua plus près du quai pour offrir une meilleure vue sur la jeune exhibée, les cris de joie et les flashs
se manifestant à nouveau.
- Alors Pauline ! Cela va mieux ? Moins génée par la nudité en public ?
- Oui monsieur répondit elle moyennement convaincue.
- Ne t'inquiète pas, on va encore travailler cela un peu ! A poil !
- Pardon monsieur ?
Le bruit d'une nouvelle gifle qui décontenança Alexia résonna sous le pont, faisant se retourner les agents vers elle.
- A poil Pauline !
Alexia retira son top et sa jupe tres génée alors qu'un bateau de touristes assista à nouveau à cette scène.
Elle se retrouva nue offerte à la vue de tous et même les 2 agents mirent plusieurs minutes avant de se raisonner et se retourner devant
cette vision de rêve.
Le commandant G. émit un petit sifflement d'admiration.
- Pauline ! Je n'ai jamais vu jeune femme aussi belle que toi ! Il va falloir réclamer au dessus du tarif moyen, pour une telle marchandise!
Alexia rougit en entendant cela et baissa la tete.
- C'est combien Pauline ?
- Pardon monsieur ?
- C'est combien pour une pipe Pauline ?
- 50 monsieur !
- Pas donné ! T'es chère pour une pute !
- C'est de la bonne marchandise monsieur !
- Ouai t'as pas tort ! Et pour te baiser ?
- C'est 100 monsieur !
- Et pour t'enculer ? 200 ?
- Vous rigolez ! Pour cela c'est 500 ! Vous voyez pas le beau cul que j'ai !
- Sale pute !
- Non monsieur je suis très propre ! Si c'est trop cher pour vos moyens, voyez mes collègues !
- Bien Pauline ! Je vois que tu commences à te faire à ton rôle !
- Merci monsieur...
- A 4 pattes, face au fleuve !
- Monsieur ?
Une nouvelle gifle vint lui secouer la tête, lui arrachant une larme. Alexia se résigna à obéir sous les yeux des 2 agents qui se retournaient
à chaque bruit de gifle. Ils la virent ainsi s'humilier en se mettant à 4 pattes nue sous ce pont public.
Le commandant G. se délectait de la vue de la jeune femme dans cette position, le cul et la chatte bien ouverts sous ses yeux, ces petits
seins qui pendaient sous elle. Sa braguette faillit lacher sous la pression.
Il se rapprocha d'Alexia. Elle entendit inquiete un bruit de zip que l'on ouvre. Elle se crispa, se disant qu'il jouait avec ses nerfs.
Chose qu'il faisait un peu trop bien à son gout pensa Alexia alors qu'il s'agenouillait derrière elle lui écartant les jambes.
Elle poussa un cri d'effroi en sentant un gland tout chaud se frotter sur ses levres et se glisser entre elles.
- Qu'est ce que vous faites ! On doit juste simuler mon Commandant !
- Monsieur ! Pauline !
Elle vit 2 billets de 50 euros atterrir sous son nez et sentit la poussée de son chef en elle.
- Ah ! Que c'est bon !
Alexia n'eut pas le temps de réagir, son attention distraite par les billets et grimaça sous la poussée. L'homme la tenait par les hanches
et entama des mouvements lents et profonds en elle. Son sexe l'ouvrait terriblement. Elle le sentait énorme en elle. Pas très long mais
vraiment énorme. Un bateau passa, son pilote faisant retentir sa sirène pour saluer le couple. Alexia était horrifiée, prise face
au bateau, nue à 4 pattes comme une simple chienne, sous un pont en public !
C'était plus qu'elle n'osait imaginer dans ses fantasmes. La réalité venait de dépasser la fiction !
Devant tout ce vacarme, les 2 agents s'étaient retournés et regardaient Alexia en train de se faire baiser par son supérieur.
- Hummm c'est trop bon ! Tu es une sacrée pute Pauline !
Alexia baissa la tête, rabaissée, se sentant encore plus humiliée que le matin même avec ses parents. L'argent sous ses yeux semblait
la narguer en plus, comme si les billets lui criaient qu'elle était une putain.
Elle sentit l'homme jouir en elle et les giclés de sperme en elle déclenchèrent son orgasme.
- Qu'est ce que tu es bonne Pauline !
L'homme lui claqua le cul en disant cela, lui arrachant un gémissement de douleur et de plaisir. Elle avait terriblement honte après
avoir joui et repris ses esprits, toujours empalée sur la queue de son supérieur devant tout le monde.
Le bateau restait à leur hauteur, ayant coupé ses moteurs pour que ses occupants profitent bien du spectacle gratuit qui leur était
offert.
4 nouveaux billets vinrent danser devant les yeux d'Alexia qui poussa un cri de terreur.
- Ho non non ! Vous etes trop gros pour mon cul ! Ce n'est pas possible non !
- Un cul de pute, ça prend tout Pauline !
Il posa son gland sur son anus et poussa alors qu'Alexia protestait encore. Ses mains crispés sur les hanches de la jolie brune,
il donna un grand coup de reins, tout en la tirant sur son membre. Alexia hurla, ouverte sans aucun ménagement.
La matraque et la queue de son père lui parurent bien peu de chose à coté de cette queue qui la dilatait.
L'homme se redressa sur ses jambes pour se mettre accroupi derrière son cul et il la pilonna durement, la faisant pleurer.
Comme il venait de jouir, la pénétration dura bien plus longuement. Alexia sentait son anus en feu, son rectum meurtri par les coups
de queue en elle. Sa chatte était douloureuse, battue par les couilles de l'homme qui venaient la cogner à la fin de chaque poussée.
Il poussa enfin un long gémissement tout en jouissant au fond de son cul, se soulageant bien en elle.
- Que c'est bon un petit cul de pute ! Pauline, je crois que nous recommencerons cela !
Alexia se jurait intérieurement que non, gémissant de douleur lorsque l'homme sortit enfin d'elle.
Plusieurs bateaux faisaient maintenant la queue à proximité du pont pour admirer le couple.
Un nouveau billet de 50 euros vint s'ajouter aux autres devant Alexia. Elle soupira résignée, après tout, elle avait eu le temps de
s'habituer au gout de son cul avec la matraque et son père. Un de plus ou de moins...
L'homme la fit mettre de coté pour que tout le monde puisse continuer à la voir et lui presenta sa queue, agenouillé devant elle.
Elle s'applique et le lecha, le suça pour bien le nettoyer. Ne s'arretant qu'une fois le travail bien fait.
Le commandant satisfait se rhabilla tranquillement alors qu'elle restait nue à ses pieds.
- Tu feras une bonne pute Pauline !
- On avait dit 500 pour mon cul !
- Moi j'avais dit 200 !
- Oui mais c'est moi qui fixe les tarifs !
- Non la preuve ! Je l'ai eu pour 200 !
- Ce n'est pas juste !
- Tu as raison Pauline !
Le commandant ramassa l'argent sous son nez pour le ranger dans son portefeuille.
- Hé mais il est à moi cet argent !
- Allons Pauline ! On simulait ! Tu es en formation !
- Salaud !
- Tu veux passer en conseil de discipline pour injure envers ton supérieur ?
- Excusez moi mon Commandant !
Il se baissa et prit le top et la jupe sous son bras.
- On ne va pas jeter cela ! Ca peut resservir !
- Mais je ne vais pas rester toute nue monsieur ?
L'ignorant, le commandant se tourna vers les agents.
- Vous deux ! Embarquez moi cette pute et amenez au commissariat central ! A pieds, pas la peine d'appeler une voiture pour ça !
Une fois arrivé, demandez le Commandant G. à l'accueil !
- Oui mon Commandant ! dirent les deux agents avec un peu trop d'enthousiasme.
- Vous pouvez la tripoter mais interdit de jouer avec compris ! C'est un agent d'interpol, plus haut gradé que vous et en formation !
Ne l'oubliez pas !
- Bien mon Commandant ! le sourire disparaissant du visage des agents.
- Cependant vous pouvez la tripoter en chemin ! Ce n'est qu'une pute ! Mais l'éthique vous interdit des pratiques sexuelles avec elle !
- Oui mon Commandant ! C'est compris mon Commandant !
- Monsieur s'il vous plait !
- Quoi Pauline ?
- Vous ne pouvez pas faire ça !
- Mais si Pauline ! Allez embarquez moi cette pute au commissariat !
Le commandant abandonna les agents derrière lui pour rejoindre la route et héler un taxi pour s'en retourner à son bureau, sans un regard
en arrière.
A suivre...
Si vous aimez mes histoires, écrivez moi French_Master@hotmail.fr
Alexia en mission
Chapitre 7 : En formation
- Tes papiers salope !
- Mais vous voyez bien que je suis à poil ! Je ne peux pas les cacher !
- C'est la procédure ! Tu refuses de montrer tes papiers ?
- J'aimerais bien vous les montrer mais ils sont restés au commissariat !
- Bien sur ! Encore une histoire à dormir debout ! Ces putes, quelle imagination !
- Et tes vetements ! Ils sont où espèce de trainée ? ajouta le second agent.
- Mais vous avez bien vu ! Mon Commandant les a emmenés avec lui !
- Quel Commandant ?
- Mais l'homme qui vous a parlé ! Qui était avec moi !
- Tu as vu quelqu'un toi ?
- Juste le client qu'elle se faisait et qui s'est sauvé en lui filant du blé !
- Il est où d'ailleurs ce blé salope ?
- Mais vous etes cinglés ou quoi !
- Insulte à agent en service ! Tu aggraves ton cas !
- Racolage, exhibitionnisme, outrage à agent, on t'embarque !
- Ca ne va pas la tête ! Je suis toute nue !
- Pas notre problème !
L'un des agents menotta rapidement le poignet droit d'Alexia puis le lui tira dans le dos pour le menotter à son autre poignet.
La pauvre était privée ainsi d'une grande partie de son autonomie. Mais de toute façon, nue, elle n'avait pas du tout envie de
sortir de sous ce pont. Les bateaux de tourisme continuaient de passer en enchainant clameurs et flashs photos mais elle n'en avait
plus cure. Elle se rendit compte que son Commandant avait raison, elle en était au point où etre nue sous ce pont et photographiée
n'avait plus d'importance pour elle.
Les agents l'empoignèrent chacun par un bras pour la forcer à avancer et quitter la berge pour rejoindre la rue principale.
Il y eu un enchainement de coups de klaxon, crissements de pneus et un peu de tôle froissée. Tant qu'elle chemina sur le trottoir
de ce boulevard, la vision de cette superbe jeune femme nue provoqua un trouble énorme sur la circulation.
La honte s'était de nouveau emparée d'Alexia. Sous le pont obscur, elle se sentait un peu protégée, la proximité de la voute,
cela donnait un caractère plus intime, que cette rue bien dégagée.
Les passants croisés se rinçaient ouvertement l'oeil, certains prenaient des photos ou films avec leur téléphone.
L'humiliation était totale. Ce qui l'embetait le plus, c'était le croisement des familles. Elle se sentait encore plus mal à l'aise.
Devant l'ensemble des perturbations provoquées par la jeune femme, les agents se décidèrent à emprunter les petites rues.
Leur patron risquait de pousser une gueulante si le bilan accidentogène de leur équipée était trop lourd.
Après tout, ils s'amusaient aux dépends de leur jeune collègue, pour toute autre, ils se seraient débrouillés pour la couvrir
décemment avant de la ramener au poste. Mais pour une fois qu'ils avaient carte blanche ! Elle était trop jolie pour ne pas vouloir
prolonger ce moment le plus longtemps possible.
Ses petits seins ronds, bien fermes, aux jolis mamelons clairs, les pointes tendues, qui trahissaient le trouble de la jeune femme,
remuaient au rythme de leur promenade dans les rues. Son joli ventre plat qui se concluait par un triangle imberbe, avec ses levres
qui se découpaient à chaque pas accentuait le trouble des agents et des passants. La vision des petites fesses rondes, sans défaut,
provoquait cumulée à la perfection de l'ensemble de son corps faisait se tendre nombre de sexes. Voir tous ces pantalons enflés sur
le devant rendait la brunette confuse. Elle était désolée des scènes de ménage qu'elle provoquait sans le vouloir, quand les
conjointes de ses messieurs se rendaient compte de leur état et commençaient à déclencher un conflit en hurlant dans la rue et
en la traitant de salope, trainée, dégénérée, putain et autre nom doux...
Elle baissait maintenant la tête, fixant le sol du regard pour éviter de se rendre compte des troubles engendrés par elle.
Ce n'était pas sa faute mais malgré tout, elle se sentait coupable. Comment avait elle été entrainée là-dedans!
Est-ce que cela se passait toujours comme cela chez Interpol ?
Elle priait pour que l'arrivée au commissariat se produise le plus tôt possible, estimant qu'elle ne pouvait tomber plus bas.
Et pourtant, l'humiliation la pire se produisit à mi-chemin. Un hovawart se prit de passion pour elle.
Il commença par la suivre à 2 pas de distance ce qui était humiliant mais encore gérable. Malheureusement, rapidement, il se
rapprocha encore plus d'elle et se mit à lui laper les fesses chaque fois que possible.
Alexia poussait de petits cris d'horreur et faisait des petits bonds en avant à chaque contact avec la langue alors que les
2 agents étaient hilares ! Ils s'appliquèrent à lui faire prendre un rythme irrégulier, pour que le chien puisse la lécher de
façon régulière, sans pouvoir faire quoi que ce soit de plus !
Une fois arrivés au commissariat, ils firent sauver le chien, le remerciant de sa compagnie. Alexia souffla soulagée de regagner
enfin les locaux de la police.
Elle se retrouva comme quelques heures auparavant devant le bureau d'accueil mais cette fois nue et menottée.
Cela provoqua le sourire de l'agent d'accueil.
- Je le savais que c'était une pute ou une actrice porno ! Je l'avais bien vu ! Au premier regard je les repère ces petites salopes !
- On l'amène pour le Commandant G.
- Il a envie de se divertir ? Vous pouviez pas en trouver une habillée ?
- Non il ne veut que celle-là !
- Ouai ! Remarque, il a pas mauvais gout ! Elle est bien roulée cette putain !
- Plutôt ! Tu as vu ce cul ? dit l'un des agents en faisant se tourner Alexia.
- Je comprends qu'elle le fasse travailler ! Si j'en avais un comme ça...Commandant G. ? J'ai une pute à l'accueil pour vous ! Karine?
Ok je l'appelle ! Mes respects mon Commandant !
- T'as de la chance ma poulette ! Tu vas faire connaissance avec Karine ! Oui Karine ? J'ai eu le Commandant G. ! Oui elle vous attend à
l'accueil...Les gars, vous prenez votre trainée et vous l'amenez au premier, bureau de Karine, elle l'attendait !
Les agents empoignèrent de nouveau Alexia pour lui faire passer le portique. La sonnerie se déclencha aussitôt, provoquant l'attention
de tout le monde sur leur petit groupe. Personne n'ignorait plus la nudité d'Alexia dans ce grand hall. Elle rougit de nouveau à
l'extreme. Tous ses collègues étaient en train de la mater.
- Qu'est-ce que tu t'es enfilé dans le cul pour faire sonner le portique comme ça !
- C'est son stérilet dit un agent en riant !
- Elle n'est pas pluggée ?
- Elle s'est rentré un gode jusqu'aux amygdales !
- Enleve lui ses boules de geisha !
- Elle a peut etre un flingue caché dans le cul !
- C'est super jamie ! Elle a un cul bionique pour faire plus de passes à l'heure !
Les remarques les plus tordues fusaient pour se moquer d'elle. Ses gardes du corps la pousserent à grimper les escaliers rapidement, juste pour
s'amuser à nouveau à ses dépends, tout en criant :
- Rassurez-vous ! Elle part à la fouille !
Cela glaça aussitôt la jeune femme. Quelles horreurs allaient elle encore subir !
Ils la firent entrer dans un local tres spartiate, carrelages clairs, un bureau métallique dans un coin, de vieilles armoires en métal contre
un mur.
Une jeune femme brune comme elle mais toute frisée, de beaux yeux bleux qui la détaillèrent de la tête au pied se leva pour venir à sa
rencontre. Un peu plus grande qu'Alexia, elle était aussi mince avec une petite poitrine bien cachée derrière sa veste remarqua la
putain présumée, se disant qu'elle s'était vraiment bien faite rouler dans la farine avec l'uniforme qu'elle avait reçu!
- Voici la pute Karine !
- Je vois cela Messieurs ! Vous auriez pu me l'amener habillée ! J'adore les voir faire un strip devant moi ces salopes !
- Elle tapinait à poil ! Ce sera pour une autre fois !
- C'est sur ! Elle est loin de la retraite ! On la ramassera forcément encore !
Les 3 agents se mirent à rire ! L'un d'eux défit les menottes d'Alexia pour les ranger et la laisser seule avec Karine.
- Ne t'inquiète pas, le Commandant G. m'a mise au courant !
- Ouf cela me rassure !
- Oui il m'a dit que tu étais une petite trainée qui commençait à tapiner dans le coin et que je ne devais te ménager en rien !
Karine souriait à pleines dents, les yeux pétillants de joie à l'idée de pouvoir disposer d'une petite victime à sa guise.
Elle sortit une matraque électrique de son bureau.
- Tu vois ceci ? Quand j'appuie sur le bouton, ca lance de petits éclairs et ca grésille dans l'air ! Tu imagines si je fais cela
au contact de ta chatte ? Ou encore après l'avoir rentrée au fond de ta chatte ! Un joli petit choc électrique pour te masser l'utérus !
Et imagine sur ces jolies petites pointes de seins ! Ou bien au fond de ta gorge !
Karine frétillait et frémissait de plaisir. Elle semblait transfigurée lorsqu'elle évoquait cela et Alexia se dit aussitôt qu'il ne
lui faudrait que le début du début d'un prétexte pour qu'elle passe à l'acte.
- Ce que je préfère, c'est quand je l'active contre l'anus et que je ne lache pas le bouton tout le long de la pénétration !
Un vrai bonheur ! Cela génère des notes très aigues chez ces demoiselles !
Alexia tremblait de peur devant l'agent. Elle n'osa pas rappeler qu'elle était un agent, se disant que Karine devait attendre cela
pour la cuisiner méchamment. Elle avait failli faire pipi sous elle en écoutant Karine et en voyant les éclairs bleus de la matraque
sous son nez.
Karine approcha d'elle et lui écrasa durement les tétons entre ses doigts. Alexia se retint de hurler et baissa les yeux vers le sol
pour ne pas que son regard puisse etre pris pour une provocation. Karine semblait bien trop dangereuse.
- Bien ! Je crois que l'on va bien s'entendre toutes les deux !
Elle lui tapota les seins par le dessous.
- Moins beaux que les miens mais pas trop mal ! Et des vrais pas retouchés, c'est rare pour une pute comme toi !
Alexia ne dit mot, se laissant humilier et rabaisser.
- Ecarte tes jambes !
Alexia s'empressa d'obéir soumise, laissant libre accès à Karine à son sexe.
- C'est une mode ou quoi ?!? Pourquoi est-ce que toutes les putes se font épiler la foufoune ?
Alexia s'abstint de répondre, se disant que Karine se parlait plus à elle-même qu'à elle.
Elle sentit les doigts de l'agent lui ouvrir les lèvres et chercher son clitoris. Elle semblait tres habile, le libérant rapidement des
replis et le pinçant durement en le vrillant un peu.
Alexia hurla prise de court, la douleur trop fulgurante et intense pour etre maitrisée mentalement. Elle sentit ses jambes l'abandonner
et Karine relacha alors sa prise, la giflant pour qu'elle se reprenne et se redresse.
Alexia vit que Karine se frottait les doigts ébahie.
- Qu'est ce que c'est ? Putain ! Du sperme ! Tu baises sans préservatif ! Tu es ce genre de salope ! C'est pas possible ! T'es félée !
Elle prit Alexia par les cheveux pour aller la plaquer contre son bureau, debout penchée en avant, les seins sur le plateau de métal froid.
Un bruit de tiroir, que l'on ouvre et reclaque, attira l'attention d'Alexia. Elle releva discretement les yeux et vit Karine qui se mettait
une paire de gant en latex.
Elle gémit de douleur alors que les doigts lui ouvraient le vagin pour la fouiller jusqu'au col.
- T'es pleine de sperme sale trainée !
Elle remonta sur les fesses pour toucher l'anus d'Alexia.
- C'est humide ! Qu'est ce que c'est que ça !
Karine porta les doigts près de son nez. Pas du sperme se dit elle. Elle mit ses doigts sous le nez d'Alexia.
- C'est quoi ça ! Tu réponds trainée ou c'est la matraque !
- De la salive !
- Sergent !
- De la salive Sergent !
- Tu t'es fait léchée le cul par un client ?
- Non Sergent !
- Ce n'est pas l'un de ces deux salopards d'agent au moins ! Tu me le dis et ils sont cassés tout de suite si c'est ça !
- Non non Sergent !
- Alors !
- C'est de la salive de chien Sergent !
Alexia hurla de douleur. Karine écoeurée n'avait pu se retenir de lui donner un coup de matraque électrique sur l'anus.
- Mais t'es tarée ou quoi ! Tu es en formation pute ! Il n'y a pas de pute à ma connaissance dans cette ville qui se fait lécher le cul
par un chien ! T'es pire que toutes les putes réunies ou quoi ? Qu'est ce qui ne va pas chez toi ?
- Je ne voulais pas Sergent ! C'est sur le chemin, un chien qui nous suivait !
- Putain ! Ils vont m'entendre les 2 salauds qui t'ont amenée ! Ils n'avaient pas le droit !
Alexia était en larmes, humiliée et meurtrie, toujours plaquée sur le bureau, cul en l'air.
- Ca me dégoutte mais faut que je regarde !
Karine glissa 2 doigts dans le cul d'Alexia sans ménagement. Elle les vrilla, les ouvrit dans son cul puis les retira.
- T'es une sacrée gourmande ! T'as le cul plein de sperme aussi ! Je ne sais pas où il t'a trouvée le Commandant mais tu mérites bien
le job ! Jamais vu ça de ma vie jusqu'ici ! Du sperme dans la chatte et le cul et l'anus plein de salive de clebs ! Bravo !
Pourtant j'en ai vu défiler des putes ! Tu es en tête du classement alors que tu n'as même pas encore commencé !
Bon allez tu m'ecoeures trop !
Karine prit Alexia par les cheveux et la traina hors de son bureau jusqu'aux douches.
Elle ouvrit une cabine et la propulsa dedans, Alexia heurta le mur du fond et en resta à moitié sonnée.
Le sergent prit la douchette et ouvrit l'eau froide.
- Penche toi et cul vers moi salope !
Alexia obéit tremblante de froid. Elle rala de douleur, Karine forçant le pommeau de douche dans son anus pour y laisser l'eau la remplir.
Elle tourna l'engin dans son cul, le laissant quelques instants pour bien l'emplir d'eau.
D'un geste sec reprovoquant les pleurs d'Alexia, elle sortit le pommeau du cul plein d'eau pour l'enfoncer dans le vagin de la pauvrette.
L'eau et le sperme coulèrent dans la cuvette de douche, Alexia toujours aussi glacée par l'eau en elle était sous le choc.
Le pommeau de douche sortit enfin également de son vagin, la soulageant un peu.
- Allez ! Pousse ! Il faut que tout ce que je t'ai mis dans le cul en ressorte maintenant !
Humiliée Alexia essaya d'oublier qu'elle était pliée en deux, l'anus bien exhibé et qu'elle devait se soulager devant une de ses collègues.
Pas du tout habituée à la position, elle mit un petit instant avant de réussir à libérer un petit jet d'eau souillée.
- Beurk ! C'est dégueulasse ! Allez dépeche toi ! je déteste ça !
Alexia parvint à liberer un deuxième puis un troisième jet et enfin son anus se décontracta. L'eau sortait de son cul, mélée d'excréments,
le sperme non visible mélé à tout cela.
Karine arrosait la raie d'Alexia d'eau froide en permanence pour la nettoyer au fur et à mesure.
Enfin, Alexia sentit que son cul était vide. Quelques derniers coups de jet suffirent à nettoyer le cul de la brunette puis le bac recepteur.
Elle se sentit extraite à nouveau violemment de la douche, tenue par les cheveux, dégoulinante d'eau.
Karine la traina ainsi jusqu'une grande cellule et la projeta nue au milieu. Alexia vit horrifiée qu'il y avait 3 hommes dans la cellule.
Elle avait fait exprès de ne pas la mettre dans la cellule femme. Karine pointa le mur du doigt.
- Face au mur debout mains sur la tete et jambes écartées, comme cela tu pourras sécher un peu !
Alexia n'osa pas désobéir, se disant que c'etait pire que le tableau noir qu'elle avait imaginé en cours le matin meme.
- Vous autres, le premier qui approche d'elle, je lui grille les couilles ! Compris ! dit Karine faisant une démonstration des pouvoirs de
sa matraque électriques aux occupants de la cellule.
Les hommes n'osèrent rien dire et baissèrent la tête, impressionnés par la démonstration. Le spectacle plaisant qui leur était offert
leur semblait déjà inespéré, pas besoin de se risquer à plus que de violer cette putain des yeux.
Karine s'installa sur une chaise en face de la cellule pour surveiller tout ce petit monde.
Alexia sentait tous les regards posés sur ses fesses, la fouillant pour essayer de mieux voir son anus et sa chatte. Les occupants de la
cellule commençaient à se contorsionner pour mieux voir, faisant le bonheur de Karine.
- Cambre toi la pute ! Tu as des spectateurs !
Alexia n'osa pas désobeir et se cambra pour mieux s'ouvrir à la vue des autres, qui avaient du mal à croire leur chance. Une pin-up de
magazine qui se tortillait sous leurs yeux ! Rien que pour eux ! Karine riait de la voir ainsi ouverte et son regard se promenait
sur les braguettes déformées des occupants de la cellule.
Après une bonne demi-heure de détention, Karine sortit Alexia de la cellule en la trainant de nouveau par les cheveux et la traina au
bureau du Commandant G., traversant presque tous les étages pour exhiber sa prise, prenant le trajet des écoliers...
Satisfaite, elle propulsa Alexia dans le bureau du Commandant après avoir eu l'autorisation d'entrer.
- Voici votre putain mon Commandant !
- Merci Sergent ! Vous pouvez disposer !
- Oui mon Commandant !
L'homme se leva pour approcher d'Alexia et la prendre dans ses bras. Surprise Alexia se laissa caliner par cet amant imprévu et non
désiré de l'après-midi. Ses sentiments étaient confus, tout était trop rapide pour elle, et trop de choses lui arrivaient d'un coup!
- Ca va Pauline ? Tu n'as pas été brutalisée ?
Alexia rougit. Le Commandant calinait la pute qu'elle était.
- Non monsieur ! Cela a été !
- On va voir cela ! Penche toi sur mon bureau cul en l'air !
- Oui monsieur.
- Dépeche toi ! Une petite pute comme toi a l'habitude d'avoir le cul en l'air ! Enfin tu dois etre plus habituée à ce que ce soit
devant plusieurs personnes que devant une seule !
Humiliée Alexia se pencha et s'offrit à la vue de son supérieur. Elle sentit qu'il lui ouvrait le vagin d'un doigté ferme.
- Encore trop de zèle ! Cette Karine ! Elle t'a douchée ?
- Oui monsieur.
- Y compris l'intérieur du cul ?
- Oui monsieur.
Alexia était de nouveau pivoine. Cet homme avait le don pour la rabaisser en quelques secondes.
- Heureusement que je ne résiste pas à la vue de ton cul !
Elle sentit des mains qui se posaient sur ses hanches et se dit qu'il n'allait quand même pas oser faire ça à nouveau et dans son bureau !
La poussée la projeta en avant, la plaquant sur le bureau. Le gros sexe du Commandant était en train de lui ouvrir de nouveau le vagin.
Il remua doucement en elle, profitant bien des sensations, ne cherchant pas cette fois à la rabaisser comme dans l'après-midi.
Alexia malgré tout était tres mal à l'aise. Elle était en train de se faire baiser par son supérieur sans raison. Pourquoi la prenait il?
L'apres-midi, c'était pour l'humilier publiquement et l'habituer à etre prise en public mais là ! Quelle justification ?
La grosse queue l'ouvrait tres fortement et massait l'entrée tres sensible de son vagin, la faisant gémir de plaisir malgré elle.
Après quelques minutes, ils jouirent ensemble et l'homme se pencha sur elle pour reprendre son souffle, allongé sur elle.
- Pourquoi m'avez vous prise mon Commandant?
- Pour le plaisir Alexia !
- Mais vous n'avez pas le droit !
- La preuve que si ! Tu as refusé ? Tu n'as pas aimée ? Tu n'as pas joui !
Alexia resta sans voix, ébahie.
- Tu as de la chance que je ne sois plus un jeune homme, sinon je t'aurai de nouveau enculée pour que tu ais mon sperme dans le vagin
et le cul à la fois comme cette après-midi !
- C'est du harcèlement sexuel tout cela non ?
- Non tu n'es pas harcelée mais baisée !
L'homme sortit sa queue d'elle.
- 3 fois en si peu de temps, cela fait longtemps que je n'avais pas baisé autant !
- Vous etes un beau salaud oui !
- Aussi mais toi tu es une pute ne l'oublie pas !
Il ouvrit sa porte et cria après un agent.
- Emportez-moi ça pour les séances d'identification !
- Tout de suite mon Commandant ! A poil ?
- Oui oui à poil ! C'est une pute ! Cela ne lui fait rien !
Le Commandant lui fila une grosse claque sur les fesses et Alexia se vit emmener pour les 2 séances d'identification de suspects par
des témoins, seule à etre nue au milieu des autres personnes soumises à identification, et sentant le sperme qui coulait entre ses
cuisses, ayant l'impression justifiée que tout le monde ne regardait qu'elle.
A suivre...
Si vous aimez mes histoires, écrivez moi French_Master@hotmail.fr
Alexia en mission
Chapitre 8 : en route
Alexia fut finalement ramenée par Karine au bureau du commandant G., nue, du sperme séché sur ses cuisses, humiliée devant tous ses collègues.
Elle sentait cependant que tout cela lui avait été profitable. Elle commençait à accepter sa situation, à philosopher sur ce qui lui
arrivait en se disant qu'il valait mieux cela qu'etre blessée ou tuée, que cela lui serait tres utile pour son infiltration dans le milieu
de la prostitution. Il y avait tant de monde qui avait vu son corps que devoit l'exhiber pour donner le change lui serait bien plus
simple. Le matin même, elle n'aurait jamais osé montrer ses fesses dans la rue, alors qu'elle avait été promenée nue dans les rues
de la ville ! Par contre, elle ne se sentait pas prete à se faire sauter par n'importe qui ! Son commandant l'avait prise par surprise !
Il l'avait perturbée en l'exhibant sur les quais et avait profité de son trouble pour la prendre !
En plus, c'était son commandant ! Elle devait lui obéir ! Bon...peut-etre pas à ce point, elle poussait le zèle un peu loin !
Mais en dehors de cela, il fallait bien qu'elle s'avoue qu'il la troublait ! Ce qui était arrivé n'était probablement pas du hasard
ou de la simple formation. Et elle avait l'impression qu'il en pinçait aussi pour elle !
Karine la propulsa dans le bureau après les salutations d'usage et Alexia se retrouva devant son commandant, toujours en tenue d'Eve.
Cela commençait à devenir une habitude ! Il devait avoir passé maintenant plus de temps avec elle nue qu'habillée !
L'homme se leva pour la guider jusqu'une chaise, la poussant derrière pour l'installer, avec galanterie.
Il s'abstint pourtant de lui rendre son uniforme, ce qui aurait été encore plus galant !
- Tu n'as pas froid Alexia ?
- Non mon Commandant, cela ira ! Je crois que je me suis habituée à la température ambiante !
- Ton après-midi n'a pas été trop dure ?
- J'avoue que par moment oui mon Commandant !
- La mienne a atteint la perfection par moment Alexia ! Les moments que j'ai passés avec toi !
Alexia rougit, sa nudité ne l'aidait pas à traverser ce genre de moment. Le commandant vit son trouble et sourit.
- Ne t'inquiete pas ! Je ne te demande pas en mariage ! Je voulais juste que tu saches que tu n'avais pas eu affaire à une brute
insensible ! Et je te promets de veiller sur toi !
- Mais pourquoi me laisser nue alors si vous etes si bienveillant ?
- Pour ton bien Alexia !
- Mais je suis habituée maintenant, ce n'est pas une heure de plus ainsi qui va m'aider !
- Mais moi pas !
- Vous pas ?
- Oui je ne suis pas habitué à te voir nue ! Et j'espère ne jamais m'habituer, que ce soit toujours un ravissement permanent !
Alexia rougit de nouveau embetée. Impossible d'etre désobligeante avec son supérieur et etre draguée nue par un supérieur, elle ne
savait pas comment le gérer.
- Je te taquine, tu es si belle et si facile à troubler ! C'est pour ta protection comme je te disais ! Tu n'imagines pas le nombre
de paires d'yeux curieux t'ont remarquées aujourd'hui !
- Ho que si ! J'imagine très bien cela ! Mais je ne vois pas le rapport !
- Un tas de monde te prend vraiment pour une pute maintenant ! Tu es une pute officielle ! Tu n'as pas encore commencé sur le trottoir que
c'est officiel ! Que veux tu rever de mieux !
- Et je reste à poil pour ça ?
- Oui tu es rentrée à poil dans ce commissariat, il faut que tu en ressortes à poil ! Pas en uniforme !
- Je vais ressortir nue ! Encore une fois ?
- Oui tout à fait !
- Je ne veux pas rentrer chez moi toute nue !
- Non !
- Non ?
- Non !
- On peut continuer longtemps ! Je sors nue mais je ne rentre pas chez moi nue ?
- C'est bien ce que je dis !
- Je ne comprends pas !
- Tu ne rentres pas chez toi !
- Ha bon ! Et je vais où ?
- Chez ta copine Pauline !
- Pourquoi ?
- C'est ton planning ! Tu as oublié ?
- Comment savez-vous ça ?
- Je travaille pour Interpol !
- On s'est dit cela ce matin, nous n'étions que deux ! Vous avez mis des micros partout ?
- Non non pas partout ! Les techniques ont évoluées !
- Mais vous n'avez pas le droit !
- Si !
- Et depuis quand ?
- Depuis que tu as signé ton contrat !
- Vous m'avez espionnée avant !
- C'était pour ta protection !
- Protégée de quoi ? Personne ne me connait ! Et vous espionnez tous vos agents ?
- Non ! Il n'y en a qu'une qui m'intéresse !
- Vous etes un beau salaud !
- Pas de flatterie, tu n'en as pas besoin pour avoir toute mon attention !
Alexia rougit en voyant que son commandant la regardait sous toutes les coutures en disant cela !
- Arretez de regarder mes seins ! Et mon sexe aussi !
- Allons Alexia ! Nous sommes intimes maintenant !
- Non juste collègues et vous etes mon supérieur !
- Je peux t'ordonner de me montrer ce que je veux !
- Je sais !
- Jamais je ne le ferai ! Contrairement à ce que tu peux penser, j'ai une éthique ! Et je recherche le plaisir de ma partenaire avant
toute chose !
- Et sur les quais ?
- J'ai bien vu que cela te plaisait ! Alors si on se repromène ensemble sur les quais, je te l'ordonnerai peut etre à nouveau !
- Que cela me plaisait ?
- Tes tétons pointaient encore plus que maintenant ! Ton sexe était ouvert et plus que luisant ! Quand j'ai placé le mien à son entrée,
si tu avais dit non, jamais je ne serai allé plus loin ! Et je t'ai senti jouir, à mon avis tres intensément !
- Vous etes un salaud tout de même !
- Oui mais tu aimes les salauds Alexia ! Ce que ton amie semble te promettre va plus loin que ce que nous avons fait ! Et pourtant tu vas
aller chez elle ! Tu te soumets à elle parce que tu le veux bien !
Alexia était confuse, honteuse, ne sachant plus trop comment se défendre.
- On y va ?
- Où cela ?
- Je te ramène !
- Et cela ce n'est pas suspect ?
- Non tu vas voir ! DEHORS SALE PUTE ! JE NE VEUX PLUS JAMAIS VOIR TON CUL DANS MON BUREAU !
Le commandant avait ouvert la porte en hurlant et il propulsa Alexia dans le couloir. Celle-ci heurta le mur opposé à la porte assez
violemment, ne s'y étant pas préparée.
- VOUS LA ! hurla le commandant le doigt pointé sur Karine qui s'avança aussitôt, FOUTEZ-MOI CA DEHORS !
Il claqua la porte derrière lui. Karine entraina Alexia par le bras, la faisant de nouveau cheminer à travers les étages nue pour le
plus grand plaisir de tout le monde.
- Avance sale pute ! Remue un peu plus vite tes fesses ! Ca te connait ça faire travailler tes fesses non !
Humiliée Alexia n'avait plus qu'une envie, sortir au plus vite du commissariat. La sortie ne fut pas tout à fait celle qu'elle attendait !
Elle se retrouva projeté sur le sol, victime après l'ouverture de la porte d'une grosse poussée du pied sur son cul de la part de Karine.
Effarée, elle resta quelques minutes sur le sol, subissant les regards désaprobateurs des passants qui la traitaient de trainée et de
putain !
Elle se releva enfin, cherchant le commandant du regard. Personne ! Cet enfoiré l'avait laissée en plan ! Alexia fulminait !
Interessé par moi ! Tu parles ! Je me retrouve nue en pleine rue ! Juste envie de me sauter mais il n'en a rien à foutre de moi !
Elle avançait remontant la rue en direction du campus universitaire. Impossible d'acheter un vetement, elle n'avait pas d'argent !
Pas de vetement en train de secher comme dans les films, qu'elle aurait pu emprunter le temps de rentrer ! La vie est mal faite !
Elle traversa deux rues plus haut et chuta lourdement. Quelqu'un venait de lui faire un croche-pied. Elle hurla de frayeur !
Simultanément, une voiture venait de faire hurler ses pneus sur le sol et s'arretait sous son nez. Elle entendit un bruit de choc
sur la carrosserie . Elle s'assit à terre sous l'effet de surprise, se demandant ce qui arrivait. Elle n'avait mal nulle part !
Ce n'est pas elle qui avait été heurtée !
- Ca va Melle ? J'ai été surpris, une femme nue ce n'est pas banal ! Je suis désolé ! Montez je vous emmène à l'hopital !
L'homme qui lui avait fait un croche-pied sortit une carte de police.
- Allez circulez ! Melle va bien ! Vous pouvez l'emmener monsieur ?
- Oui oui bien sur !
- Melle ! Vous etes d'accord pour que monsieur vous conduise à l'hopital ?
- Oui oui je vais bien mais il vaut mieux controler ! dit Alexia qui avait depuis vu que le conducteur etait son commandant.
Elle grimpa sur le siège passager et la voiture s'en fut vers le campus pendant que le policier rassurait tout le monde, informant
qu'il s'agissait d'une prostituée relachée à l'instant et qu'il allait s'assurer qu'elle serait à l'hopital d'ici 5 minutes.
- Tu vois que je peux te reconduire chez toi !
- J'ai bien cru que vous ne viendriez plus !
- Tu dois avoir foi en moi ! Jamais je ne t'abandonnerai !
- J'ai du mal à faire confiance en quelqu'un qui m'a humiliée toute l'après-midi et qui m'a violée !
- Formation Alexia ! Et violée...On en a déjà discuté !
- Vous ne m'avez quand même pas fait la cours ni proposé un dernier verre !
- Ouvre la boite à gant !
Alexia obéit intriguée, difficile d'avoir une conversation suivie avec cet homme ! Elle découvrit surprise des mignonettes et une cannette
de soda light.
- C'est réfrigéré ! Prend ce que tu veux !
- Ce n'est pas la question cela ! C'était une expression !
- Oui mais j'ai manqué à tous mes devoirs par devers moi ! Je ne pouvais t'offrir à boire au commissariat sans que cela semble suspect !
Alexia prit une mignonette de whisky, elle lui fallait quelque chose pour se remonter !
- Tu as des verres sous ton siège !
- Vous recevez souvent des filles dans votre voiture ?
- Tu n'imagines même pas ! J'en forme une comme toi chaque semaine !
- ...
- Tu vois que toi aussi tu prends tout au premier degré ! Jalouse ?
- Salaud !
Alexia ne comprenait pas mais en effet elle avait senti une petite pointe de jalousie à l'idée qu'il y ait d'autres jeunes femmes comme elle.
- Tu es la seule ! Mes autres agents sont masculins et je ne suis pas bisexuel !
Le commandant rit ! J'ai parfois des journées difficiles ! Cela m'évite de donner le mauvais exemple en prenant un verre dans un bar !
- C'est pour ça que je suis la plus belle ! Pas de concurrence !
- Non cela je le pense globalement, tu as une frimousse superbe, de beaux cheveux, des seins mmmm! Si je les regarde là, on va sortir de la
route ! Un joli ventre plat, un petit cul d'enfer, des jambes magnifiques et de jolis petits pieds ! Que veux tu de plus ?
- C'est une déclaration d'amour pour mon corps !
- Oui c'en est une Alexia !
- J'aurais préféré que vous évitiez ! Cela me gene ! Je vais devoir gérer tout ce qui m'arrive avec en plus un supérieur dingue de moi !
- La vie est parfois tres compliquée ! Je crois que tu es douée pour ça !
- Pour avoir une vie compliquée ? On ne peut pas etre douée pour un truc pareil ! N'importe quoi !
- L'avenir nous le dira !
- Hé ! Mais on va où ? Le campus c'était à gauche !
- Tu ne vas pas chez toi ! Tu vas chez Pauline ! Tu te souviens ?
- Ho non ! Je pensais que vous plaisantiez ! Je n'ai pas l'intention d'aller chez elle ! Surtout après ce matin !
- Qu'est ce qu'il y a eu ce matin ?
- Ne vous foutez pas de ma gueule ! Vous m'espionnez alors vous savez tres bien !
- J'ai le droit d'essayer ! C'était si excitant comme situation ! J'avais envie de l'entendre de ta voix !
Un bruit violent de clac se fit entendre dans la voiture ! Le commandant faillit percuter une voiture en stationnement, surpris de ce
qui venait de se passer. Des traces rouges se détachaient sur sa joue. Il se hata de se garer sur le coté de la rue.
- Tu m'as giflé !
- Tu le mérites !
- Tu ? Tu tutoies ton commandant ?
- Je tutoie le salaud qui m'a baisée, qui me sublime soi-disant et qui ne cesse de se moquer de moi !
- J'apprécie ! Tu progresses dans le bon sens !
Le commandant attrapa Alexia par la nuque et posa ses lèvres sur les siennes. Sa langue n'eut pas à forcer pour entrer en elle et
se lier à celle de la magnifique petite brune. Le baiser dura longuement, passionné, fougueux.
Les mains du commandant jouaient en meme temps sur les tetons d'Alexia qui bougea pour grimper sur à califourchon sur le siege conducteur.
Ses mains se glissèrent pour dégrapher le pantalon et mettre à nu la verge tendue de son commandant.
Elle se fit glisser sur lui de manière à le placer à l'entrée de son sexe.
Le commandant se mit à lui pétrir les fesses, les caresser, les tapoter tour à tour alors que leurs langues jouaient toujours à cache-cache.
Alexia se frotta doucement sur le gland, l'humidifiant, le rendant luisant. Elle ne voulait pas craquer mais l'exciter et que ce soit
lui qui cède à la passion.
Le commandant ne résista pas longtemps. Trop épris de la jeune femme, il pénetra en elle, soulevant ses fesses du siège pour la prendre.
Il soupira de bonheur tout en continuant son baiser et en remuant lentement en elle.
C'était tres différent du matin, pas d'humiliation, pas d'exhibition, juste un acte d'amour entre eux. Ils en oublièrent qu'ils n'étaient
que dans une voiture, garée dans une rue citadine.
L'homme accéléra et Alexia s'accrocha à son cou, heureuse de se laisser aller au plaisir, secouée en rythme sur la grosse queue qui
remuait en elle. Pas assez longue pour lui faire mal mais si grosse qu'elle se sentait tres ouverte.
Ils s'abandonnèrent au plaisir, sans plus penser à rien, juste heureux d'etre en phase pour la première fois de la journée, prenant leur
temps. Leurs orgasmes furent presque simultanés. Ils restèrent liés un bon moment l'un à l'autre, le sexe du commandant gardant de sa
vigueur en elle. Il aurait voulu ne jamais débander, que ce moment dure à l'infini. Alexia était lovée contre sa poitrine, pour
la première fois de sa journée, elle se sentait rassurée, réconfortée, à l'abri de tous les soucis. Le temps s'était comme arreté pour eux.
Elle sentit les mains masser tout doucement le haut de ses épaules. La douceur s'imposait pour la première fois entre eux.
Elle sursauta alors qu'une des mains venaient de quitter son dos pour claquer sa fesse droite. Chasser le naturel, il revient au galop !
Ils se firent un nouveau long baiser avant de se séparer l'un de l'autre et Alexia regagna son siège.
- Vous etes surprenant tout de même !
- Tu me vouvoies à nouveau ?
- Oui je suis perdue ! Tout cela me bouleverse !
- Je te laisserai tout le temps qu'il faudra !
Le commandant défit sa veste pour en couvrir la jeune femme, à sa grande surprise.
- Il faut que j'ouvre pour faire un courant d'air !
Il désigna les vitres couvertes de buée !
- Si cela tombe, nous avons eu plein de spectateurs pendant notre moment d'intimité !
- Ca vous plairait n'est ce pas ?!
- Non pas cette fois ! Je suis sincère !
- Je vous crois parce que je pense comme vous !
Une fois la buée partie, ils s'aperçurent qu'ils n'avaient été seuls !
- Oh! Un voyeur dit le commandant en pointant son doigt vers l'intrus !
Alexia éclata de rire ! Un chat juché sur le toit de la voiture voisine semblait les avoir observés pendant leurs ébats.
- Prête à reprendre la route ?
- Je ne sais pas ! Vous ne m'avez pas simplifié la vie !
- Je sais ! J'ai commis une faute professionnelle ! J'ai mélangé mes sentiments avec le travail !
- C'était du travail ce matin ?
- Non je ne disais pas cela juste pour aujourd'hui...Dès le premier jour...J'aurai du t'écarter des candidates possibles au lieu de me
servir de ce poste pour avoir une occasion de t'approcher !
- C'est gentil cela ! Pour une fois, vous ne me dites pas quelque chose de méchant !
Alexia se pencha vers lui pour se nicher sous son bras et caliner un peu.
- Je vais démissionner !
- Mais pourquoi ?
- Pour toi ! Je ne pourrai pas travailler correctement avec toi !
- Je ne veux travailler avec personne d'autre ! Toi ou j'arrète !
- C'est impossible !
- Si, j'ai confiance en toi ! Et puis tu me dois bien ça maintenant ! Sinon il ne fallait pas que l'on fasse ce que l'on vient de faire !
Je sais que tu protègeras mes fesses encore plus maintenant que tu tiens à moi !
- Tes magnifiques fesses !
- Tu les protègeras ! Jure le moi !
- Je te le jure ! Mais je ne ferai pas que les protéger !
- J'y compte bien ! Sinon je te plaque ! Et tu n'auras même plus le droit de les regarder ! Rien que les protéger !
- Salope !
- C'est toi qui me pervertit ! Depuis que je t'ai rencontré, je suis prise dans une spirale du vice !
- Sur ce que j'ai vu, il n'a pas fallu grand chose pour t'y pousser !
- Ce n'est pas ma faute tout ce qui arrive !
- Il n'a fallu que la livraison d'un bête uniforme pour que tu te menottes et que tu te fasses la matraque !
- Quel enfoiré ! Tu as mis des caméras en plus !
- Oui tu veux voir les films ?
- Tu as filmé quoi ?
- Cela, puis ta mère te donnant la fessée ! Un grand moment ! Je ne m'y attendait pas et j'ai du rentrer me changer chez moi !
- Tu es encore plus pervers que je ne pensais !
- Moi je ne fais rien avec mes parents ! Parce que te faire enculer par ton père ! Faut oser quand même !
- Je dormais !
- A d'autres !
- Je te le jure ! Je dormais !
- Et le petit dejeuner pris comme une chienne ? Et la douche avec ta mère et Pauline qui te trayait ?
- Ha ! Parce qu'il y a des caméras dans la salle de bain aussi !
- Surtout là ! C'est quand même la pièce dans laquelle j'avais le plus de chance de te voir nue !
- Pas faux Commandant ! Y'a un cerveau là dedans ! Dit Alexia en pointant le crane de son supérieur de l'index. Pas qu'une bite qui
réfléchit ! C'est rassurant !
- Tu n'as aucune leçon à me donner avec ce que j'ai filmé en 24H. 99% des gens ne font pas tout cela au cours de toute leur vie !
Toi tu l'as fait en 24H ! Et si on rajoute ce matin, on doit arriver à 99,99% !!!
- Tu vas quand même démonter toutes tes caméras ! Un micro cela te sera suffisant !
- D'accord chef Alexia !
- Je suis sérieuse !
- Je le ferai !
- Promis ?
- Juré ! Je ne peux rien te refuser...Mais quand même avec ton père, tu aurais pu éviter...
- Je dormais ! C'était un viol !
- Tu veux porter plainte ?
- Si c'est nécessaire pour te convaincre que c'était un viol oui !
- Merci !
Le commandant repris la route, passant par une route de campagne pour raccourcir le trajet vers la maison de Pauline.
Il s'arreta soudainement sur une petite aire de repos avec une table pique-nique. Il sortit et fit le tour de la voiture pour ouvrir
la porte d'Alexia. Il récupéra sa veste et lui donna la main pour l'aider.
- Tu n'en as pas besoin, tu as l'habitude de te promener nue !
- J'aurais apprécié la conserver tout de même !
Il tira Alexia à lui. La jeune fille, fluette se retrouva extirpée de la voiture sans même le vouloir et menottée en moins de deux secondes
mains dans le dos. Elle pousse un cri de douleur en chutant lourdement sur le sol, dans l'herbe, victime d'un croche-pied.
Avant de pouvoir réagir, elle sentit le gland chaud du commandant sur son anus et hurla alors qu'il le lui forçait d'une seule poussée,
se plantant en elle jusqu'aux couilles !
- Il s'agit d'une reconstitution Melle K. ! C'est bien ainsi que vous vous etes réveillée ce matin ? Menottée, nue, votre père entré dans
votre cul ?
- Enculé ! oui c'est comme ça!
- C'est toi l'enculée ! La reconstitution est nécessaire pour le bien de l'enquète !
Et il commença à remuer doucement en elle, tout en lui mordillant la nuque. Rapidement Alexia se mit à tendre son cul pour aider la pénétration
de son amant. Etre attachée, menottée, dans la nature, dans un endroit visible de la moindre voiture amenée à passer, tout cela l'excitait
bien plus que ce qu'elle avait vécu le matin même.
La verge lui ouvrait bien plus le cul que ce qu'elle avait vécu jusqu'alors et c'était plus agréable que douloureux.
Une main se glissa sous elle pour masser délicatement son clitoris et le rythme des va et vients augmenta. L'homme venait percuter ses fesses
en fin de mouvement de ses couilles et de son ventre, lui procurant un massage et une espèce de fessée en plus de l'enculer.
Les frolements sur son clitoris la rendait folle.
En quelques minutes, ils jouirent tous les deux. Elle poussa de petits cris de plaisir et la crispation de son anus sur la queue de son
amant le fit jouir en elle puissamment.
Il s'allongea sur elle, continuant de lui mordiller la nuque et les épaules tout en restant planté en elle.
- Tu as joui !
- Toi aussi !
- Oui mais moi je ne porte pas plainte ! Ta plainte n'est pas recevable !
- Petit con !
- Insulte à un fonctionnaire dans l'exercice de ses fonctions ?
- Je risque quoi ? Un viol ?
- J'aimerais bien mais je ne peux plus ! Je ne l'ai jamais fait autant qu'aujourd'hui avec toi !
- Moi aussi ! 5 fois avec toi plus une pour laquelle tu me refuses une plainte !
- Oui mais j'ai bien aimé la reconstitution !
Il l'embrassa sur les levres, lançant sa langue à la recherche de la sienne, coupant sa réplique. Il remua encore un peu en elle avant de
sortir de son cul. Il alla chercher des lingettes dans sa voiture pour s'essuyer devant elle toujours allongée sur le sol, sur le dos
pour un peu plus de confort.
- Je ne te fais pas confiance ! Je préfère me nettoyer seul sinon tu vas essayer de me faire rebander ! Insatiable que tu es !
- Parle pour toi ! Je suis épuisée par tous ces exercices que tu m'imposes !
- C'est ton incorporation et tu as eu droit à une formation rapide et personnalisée, totalement exclusive et que je dispenserai plus
jamais de ma vie ! Cela je te le promets également !
- C'est gentil ! Tu n'es pas obligé ! Vu ma vie qui part dans tous les sens !
- Je vais t'aider ! Tu vas chez Pauline ?
- Je ne sais pas !
- Besoin d'en parler ?
- Oui et non ! Je ne sais pas quoi faire !
- M'aimes tu ?
- Je ne sais pas !
- Tu es franche dit donc !
- Cela t'embête ?
- Oui un peu ! Même beaucoup !
- J'aime etre avec toi ! J'aime ce que l'on a fait ensemble toute la journée ! Y compris dans la voiture !
- C'est déjà un début ! Et pour Pauline ?
- Elle me trouble terriblement ! Ce matin, c'était intense !
- Petite pute !
- C'est ce que tu veux que je devienne !
- Pas avec Pauline !
- Ne me demande pas de choisir déjà ! S'il te plait !
- Bien alors tu vas aller chez Pauline un point c'est tout !
Il la força plus qu'il ne l'aida à se relever pour la conduire coté coffre de sa voiture. Il sortit un collier pour chien de sa poche
de veste et le lui passa au cou. Il y attacha la clé des menottes et une fois le coffre ouvert, il lui poussa la tete vers le bas pour
qu'elle se penche et lui claqua durement les fesses.
- Allez sale clebs, on monte ! Tu vas aller chez ta maitresse ! Pas de chienne dans la voiture, ça salit tout !
Alexia n'osa pas resister et se retrouva allongée dans le coffre qui se referma sechement derrière elle.
Le grondement du moteur se fit entendre et semblait rager à chaque accélération tout le long du trajet jusque chez Pauline.
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Alexia en mission
Chapitre 9 : Pauline tombe le masque
Le commandant G. roulait sechement et nerveusement, ne prenant pas de précautions dans les virages. Il le faisait exprès
pour bien balloter cette petite salope d'agent K. ! Il s'était ouvert à elle et elle piétinait ses sentiments !
Elle veut etre une chienne pour sa copine Pauline ! Hé bien le coffre, elle allait apprendre à vivre avec pour ses
déplacements ! Il donna un gros coup de volant superflu juste pour qu'elle soit encore bien secouée!
Quelle pute ! Elle sera à sa place sur le trottoir ! Elle ne pense qu'à mouiller plus et se faire humilier par tout ce
qui passe ! Il tapa rageusement du poing sur le volant !
A la vitesse qui était la sienne, le voyage fut beaucoup plus court qu'habituellement.
Alexia, nue et mains menottée dans le dos, se sentait mal dans le coffre. Elle avait l'impression d'étouffer, elle se
sentait à l'étroit. Elle ne cessait en plus de glisser de tout coté, se cognant contre les parois du coffre sans
pouvoir anticiper le sens de la glissage suivant. Elle se sentait aussi mal à l'aise de ne pas s'etre un peu plus
impliquée avec le commandant, d'etre restée aussi distante avec lui. Elle comprenait maintenant qu'il pouvait prendre
son attitude pour un semi-rejet et qu'il était sûrement en colère après elle et après lui-même. Il avait entrouvert
son armure et elle avait pratiquement plongé un couteau dans son coeur...
Elle hurla alors qu'elle heurtait la paroi du siège arrière tres brutalement. La voiture venait de s'arreter net.
Le bruit des pneus maltraités se fit entendre, strident !
Le commandant, laissant le moteur tourner, descendit de voiture et ouvrit le coffre. Alexia sentit une poigne se
refermer dans sa chevelure pour la tirer par la tete. Elle se sentit aussi pénétrée dans ménagement, par surprise,
index, majeur et annulaire du commandant dans son vagin, pouce dans son rectum et elle hurla alors qu'il la soulevait
et la sortait du coffre ainsi avant de la laisser plus ou moins tomber sur le sol.
Elle vit qu'elle était devant la maison de Pauline, la voiture du commandant en double file, et elle donc à terre nue sur
la route de cette petite rue résidentielle de banlieue, une vingtaine de maison sur 500m de voie, souffrant de ses
orifices martyrisés par le crochetage de doigts.
Avant de pouvoir réfléchir plus longuement, elle se retrouva mise à genoux, toujours tirée par les cheveux pour etre
positionnée ainsi et se prit une paire de gifles sur les joues.
- Nettoie la chienne !
La voix était dure, froide, rabaissante. Alexia obéit tout de suite et lapa les doigts présentés sous son nez.
Une fois son ouvrage terminé, elle essaya d'exprimer ses regrets, de lui faire comprendre qu'elle ne le rejetait pas mais
qu'elle n'était pas prete à s'investir avec qui que ce soit pour le moment.
Avant qu'elle puisse prononcer un mot, elle se prit une nouvelle paire de gifles et se retrouva cul par terre.
- n'oublie pas ta mission ! Demain soir, rue Malotru, tu feras la pute de 22h à 3H du matin !
- Bien mon commandant ! Je voulais vous dire que je ne voulais pas vous faire de peine, que j'ai besoin de réfléchir mais
que je ne rejetais pas du tout vos sentiments pour moi mais que je dois faire le point sur les miens...
Elle avait continué sa tirade jusqu'au bout, pour que cela lui fasse du bien de prononcer ces mots mais elle savait
qu'il n'en avait rien entendu. La voiture était partie alors qu'elle n'avait même pas encore donné son assentiment pour le
lendemain soir.
Elle se remit debout difficilement mais pas question de rester plus longuement en plein milieu de la route. Elle était
visible de presque toutes les maisons à cet endroit. Elle se retrouva devant la barrière de la maison de Pauline.
Une grille haute se dressait devant elle, donnant accès à une allée en gravillons menant jusque la porte principale
ainsi qu'au garage. La cloture consistait en grillage rigide et haies de thuyas.
Un seul problème pour Alexia, la sonnette ! Sa petite taille ne l'avait jamais dérangée pour sonner jusqu'à ce jour.
Elle était menottée mains dans le dos et quand on mesure 1m57, et que l'on ne dispose plus que de son nez pour sonner,
toute sonnette semble un peu haute.
Elle se mit à sautiller sur la pointe des pieds, donnant des coups de nez vers le bouton de sonnette, s'en servant comme
un pic-vert de son bec. Elle se sentait ridicule et son nez à chaque loupé lui procurait un peu plus de douleur.
Après quelques minutes de cet exercice, elle émit un soupir de soulagement, elle entendit enfin le bruit de la sonnette
qui se déclenchait. Pourvu que ce soit Pauline qui réponde !
Elle n'avait jamais gagné au loto, au loto de la sonnette non plus !
- Nous n'avons besoin de rien !
La voix était celle de la mère de Pauline !
- C'est Alexia madame, une amie de Pauline !
- Alexia ! Connais pas !
Le silence retomba sur la rue. Elle avait mis fin à la conversation. Pas très sociable madame mère !
Alexia reprit sa danse devant la sonnette et mit un peu moins de temps cette fois pour réussir à sonner une deuxième fois.
- Nous n'avons besoin de rien !
Cela devait etre son argumentaire de base en soirée !
- C'est toujours Alexia, je viens voir Pauline !
- Il est tard ! Elle est couchée !
- Mais il n'est que 20h environ madame !
La conversation fut de nouveau coupée au grand desespoir d'Alexia. Jamais deux sans trois ! Elle reprit ses petits sauts
et son activité de pic-vert pour sonnette.
- Nous n'avons pas besoin de vous mademoiselle !
Un changement ! C'est toujours bon le changement dans une attitude aussi fermée !
- Je vous en supplie madame ! A l'aide ! J'ai été agressée !
Nouveau silence ! Et l'assistance à personne en danger ! Quelle salope !
La porte de la maison s'ouvrit laissant place à une quadragénaire blonde aux cheveux raides en carré.
- Qu'est ce que vous faites nue devant chez moi !
- Je dois voir Pauline madame ! Appelez là s'il vous plait !
- Eloignez vous de chez moi petite putain où j'appelle la police !
Et la porte reclaqua brutalement. Alexia était desespérée. Elle ne tenait pas à passer la nuit au poste de police.
Elle doutait que le commandant intervienne pour la sortir de cellule !
Plus question de sonner donc ! Elle examina la cloture. C'etait haut et sans l'aide de ses mains, cela lui paraissait
infranchissable. Elle alla jusqu'au coin à la jonction avec la résidence du voisin de gauche. Il y avait un petit muret
avec une haie de troènes derrière. Si elle grimpait sur le muret, elle pourrait sauter au dessus du grillage pour
atterrir chez Pauline. C'etait risqué mais moins que de rester trop longtemps sans défense et nue dans la rue.
Elle pouvait se faire agresser à tout moment ! Quel malheur d'etre si petite ! Elle dut se contorsionner pour mettre
son ventre sur le muret et se basculer dessus, afin de pouvoir prendre pied dessus, après avoir effectué une rotation
tres douloureuse. Avoir les mains dans le dos, ce n'était pas non plus idéal pour l'équilibre, elle avait l'impression
d'etre comme un funambule sur un fil à 20m au dessus du sol, sans rien pour s'équilibrer.
Elle remonta le mur jusque la cloture de Pauline. Le grillage était un peu plus haut ! Impossible de l'enjamber, il
n'y avait rien pour prendre appui de l'autre coté ! Elle allait devoir prendre un peu d'élan pour faire un saut au dessus
du grillage tout en s'écartant un peu sur sa gauche pour ne pas s'empaler sur la cloture qu'elle aurait à sa droite
une fois le saut fait!
Les thuyas n'étant pas collés à la cloture, elle devrait pouvoir éviter de s'en prendre un dans la figure et pouvoir se
réceptionner à terre ! Si tout se passait bien...Jusqu'ici, elle n'avait pas eu trop de chance...
Elle se recula pour prendre quelques pas d'élan. Le mur lui semblait encore plus étroit maintenant ! Courir à pieds nus
là-dessus menottée, cela semblait plus simple dans les films ce genre de choses !
Elle ferma les yeux pour vite les rouvrir ! Mauvaise idée que de les fermer, elle avait l'impression de tanguer et de
risquer de chuter à tout instant !
Assez réflechi ! J'y vais se dit Alexia et elle s'élança et prit son envol. Ses pieds passèrent bien au dessus du grillage
mais elle était trop proche de la cloture, elle donna un petit coup de pied dedans pour s'en écarter et se prit les
thuyas sur la gauche de son corps, basculant et chutant sur le sol tout en se griffant une partie de son dos.
Elle resta à terre quelques instants, sonnée, ayant du mal à respirer suite à sa chute, essayant de faire le point sur
ses douleurs pour se rassurer.
Cela semblait aller finalement. Elle rampa sur le ventre, les seins dans la terre, pour se faire glisser sous les thuyas
et arriver dans le gazon. Le contact de l'herbe lui fut d'un grand réconfort. Elle s'y allongea heureuse, regardant
les cieux. Elle était enfin entrée !
Elle en profita pour réfléchir un peu. Coté porte, elle risquait de retomber sur la mère de Pauline et de se faire mettre
hors de la propriété manu militari, donc à éviter ! Un saut mais pas deux ! Trop dangereux !
Sur les cotés, pas de fenètre ! Derrière, il y avait le salon ! Avec un peu de chance, peut-etre que Pauline s'y trouvait !
Sinon, il y avait la chambre de sa soeur ! Peut-etre qu'elle pourrait lui demander de prévenir Pauline !
Une fois relevée, Alexia s'empressa de filer à l'arrière de la maison. De coté par rapport à la baie vitrée, elle
regarda à l'intérieur. Elle se recula aussitôt pour se plaquer contre le mur de la maison. La propriétaire des lieux
était là ! Toujours là où l'on n'avait pas envie qu'elle soit !
Bon ! Pas question de se faire prendre ici ! Alexia quitta la terrasse sur laquelle elle avait pris pied pour rejoindre
le gazon et ramper dedans, à couvert grace au dénivelé. Elle regrimperait à l'autre bout pour approcher la fenêtre de
Mélanie, la soeur de Pauline.
Elle commença à ramper sur la gazon, heureuse de n'etre vue par personne. Elle se mouvait en remontant ses fesses en l'air
et en s'aidant du menton pour ne pas prendre tout son poids sur ses seins et les abimer sur le sol. Ses tétons lui
faisaient déjà suffisamment comprendre qu'ils n'était pas satisfaits de son attitude envers eux !
Elle fit donc la chenille sur une quinzaine de mètres avant d'etre stoppée net dans sa progression.
- Tu ne m'avais pas dit que c'était une chienne Pauline ?
- Si si Mél c'en est une ! Enfin surtout c'est MA chienne !
- On dirait un ver de terre pourtant !
- T'as déjà vu un ver de terre avec un cul pareil ?
- Une chienne non plus je te signale ! Alors ne chipote pas ! Une chienne ça se déplace à 4 pattes !
- Elle est peut etre en partie paralysée !
- Elle est vieille à ce point là ? Je croyais qu'elle avait ton age !
- oui mais en age canin, cela fait plus d'un siècle !
Des rires mélés retentirent !
- Vous me regardez depuis combien de temps ?
- Depuis ton envol !
- Oui joli saut !
- Pas tres stylé je trouve !
- Tu critiques toujours tout Mél !
- Mais vous etes des salopes toutes les deux ! Vous auriez pu m'ouvrir la barrière !
- J'allais le faire mais Mél m'a dit de patienter !
- J'ai eu raison non ? C'est bien plus amusant !
- Te voir ramper comme cela ! C'est trop top !
- Tu as un joli cul ! Ca donne envie de revoir ça souvent !
- Vous etes des petites enculées !
- A la fin de la soirée, tu en seras une bien pire que nous !
- Mél ! Ne lui dit pas tout !
Mélanie se leva pour approcher d'Alexia et la soulevant par le menton, elle lui balança 2 paires de gifles.
Ca c'est pour le salope et le enculée ! Mélanie était une jolie blonde de 16 ans, aux cheveux longs, comme sa soeur ainée.
Elle avait la même taille, 1m70 et était aussi fine que Pauline, avec cependant de petites fesses rondes et surtout
comme sa mère et sa soeur, une poitrine tres forte, 95D, ce dont chacune était très fière !
- Je peux t'aider à l'éduquer?
- Mél ! C'est MA chienne ! Tu n'as qu'à t'en trouver une ! J'ai eu du mal à trouver celle-ci déjà ! Cela fait des années que
je la travaille mentalement pour cela !
- T'es égoiste !
- Oui ! Tu pourras regarder mais tu ne touches pas ! Sauf si je te la prète !
- Tu me la prèteras ?
- Oui oui promis !
- Hep ! Les filles ! Je ne suis la chienne de personne !
Pauline se leva à son tour et la gifla plus durement que Mélanie, les claques ne tombant pas sur ses joues mais sur
ses seins, de chaque coté extérieur. Alexia hurla de douleur et tomba tête en avant dans le gazon, à moitié dans les pommes.
- Qu'est ce qui se passe les filles ?
- Rien maman ! C'est la chienne !
- Vous ne pouvez pas la dresser pour qu'elle fasse moins de bruit !
- C'est prévu maman !
- Pauline ! Tu as une amie à toi qui est passée ! Elle m'avait l'air bizarre ! Elle était à poil comme une chienne !
- C'est elle maman !
- Tu aurais pu me le dire ! Je lui aurai ouvert !
- Je pensais que tu comprendrais maman !
- Tu m'as dit que tu allais adopter une chienne ma chérie pas que ton amie viendrait nue à la maison !
- Elle a été agressée en venant maman, elle n'a plus de vetement et elle est menottée mains dans le dos ! C'est elle qui
devait amener la chienne !
- Je croyais que tu m'avais dit que c'etait la chienne qui avait hurlé !
- C'est parce que j'appelle Mélanie et Alexia comme ça maman ! C'est entre jeunes ! On s'appelle souvent chienne ou
putain pour s'amuser !
- Il faudra commander une autre chienne alors ce n'est pas grave ma chérie, tu devras juste attendre un peu !
- Alexia va me consoler en attendant maman !
- Tu pourrais la liberer ta pauvre amie et lui donner de quoi s'habiller aussi ! Elle a du avoir de grosses frayeurs !
Je vais appeler la police !
- Ho non non madame ! Ils m'ont juste pris mes vetements et la chienne ! Ce n'est rien ! J'ai peur des représailles si
je parle à la police !
- Tu es sure ma chérie ? Parce que tu as du tout de meme te promener nue menottée dans les rues ! Il y a de quoi porter
plainte !
- Maman ! N'insiste pas ! Comprends là ! S'il faut faire une reconstitution, elle va se retrouver à poil devant un tas
d'hommes ! ce sera pire que ce qu'elle vient de vivre !
- Je n'y avais pas pensé ! En effet ma chérie !
Pauline prit la clé au collier d'Alexia et lui libéra les mains. Une grosse claque sur ses fesses la fit vite se pencher
pour prendre sa position de chienne, alors qu'elle avait entrepris de se masser les poignets.
- Ha voilà ! Comme cela elle est mieux ! dirent en coeur Mélanie et sa mère.
- Je vais la loger dans ma chambre pour la nuit maman ! Elle a besoin de réconfort maintenant ! dit Pauline en lui
massant le haut du dos, Alexia toujours à genoux.
Alexia n'en revenait pas de tous ces échanges ! Qu'est ce que c'est que cette famille ! Pauline ne lui avait jamais dit
etre complice à ce point avec sa soeur ! Jamais elle ne s'était doutée pouvoir être une chienne comme cela ! Et sa mère
qui ne s'était même pas choquée de la voir nue, menottée ! Se doutait elle de quelque chose ?
Peut etre pas, elle semblait sincère pour la police !
- Je vais te donner une de mes nuisettes avant que l'on passe à table !
- Bonne idée Pauline et toi Mél, dresse la table sur la terrasse, il fait bon ce soir, il faut en profiter ! Je vais
préparer le repas !
- Allez viens ma belle dit Pauline en tapotant les fesses d'Alexia.
- Chérie ! Ta copine dépend un peu de toi en raison de la situation ! N'en profite pas ! Ce n'est pas parce qu'elle
se sent redevable de toi que tu dois en jouer !
- Oui oui maman !
Les deux amies montèrent à l'étage pour gagner la chambre de Pauline. A peine la porte franchie, une claque sonna à
moitié Alexia.
- Quand nous ne sommes pas en présence de ma mère à un niveau de la maison, tu te mets tout de suite à 4 pattes ! Tu es
MA chienne à partir de maintenant ! Tache de ne pas l'oublier ! Sale bête !
- Oui Pauline ! Excuse-moi ! C'est nouveau pour moi !
- Il va falloir te dépecher d'apprendre ! J'ai montré beaucoup de patience à ton endroit ces derniers mois ! Maintenant
que tu es enfin ma chienne, il va falloir filer droit !
- Oui Pauline, je ne m'étais pas rendu compte de tes désirs !
- Evidemment ! Tu n'es qu'une cruche qui ne comprend jamais rien ! Pas faute de te tendre des perches pourtant !
Alexia rougit honteuse sous les reproches.
- Au pied ! Qu'est ce que c'est que ça !
Pauline venait de passer ses doigts entre les lèvres de sa chienne, les retrouvant souillés de sperme.
Alexia rougit encore un peu plus en voyant le liquide.
Pauline la gifla de l'autre main.
- C'est quoi ?
- Du sperme...
- Du sperme ?
- Oui Pauline.
- De qui ?
- De mon supérieur à Interpol...
- Bravo ! Belle mentalité ! Tu fais un jour de travail et tu couches déjà !
- ...
- Et tu en as aussi là dedans ?
Alexia poussa un glapissement. Pauline venait de lui enfoncer 2 doigts dans le cul et les y remuait pour le lui fouiller.
- Oui oui j'ai aussi été enculée !
- Par ton supérieur ?
- Oui par lui !
- Félicitations ! Tu vas bientôt avoir une promotion alors !
- Non non ! Ce n'est pas pour ça!
- Ce n'est pas par amour ?
- Non non ! Enfin je ne crois pas ! Je ne sais pas !
- Pauvre cloche ! On ne couche pas avec un homme que l'on aime alors qu'on vient juste de le rencontrer ! Il va te prendre
pour quoi ! D'abord, on ne tombe pas amoureuse de quelqu'un comme ça ! En plus tu l'as laissé t'enculer !
Qu'est ce que tu veux qu'il attende de toi maintenant que tu lui as tout donné ?
- Qu'il en veuille encore autant et plus souvent !
- Tu es irrécupérable ! Tu l'aimes ?
- Non non ! Je ne le connais pas !
- Tu lui donnes beaucoup pour quelqu'un que tu n'aimes pas !
- C'est compliqué ! Il a beaucoup pris par lui-même aussi !
- Ha oui ! Il veut alors tu veux !
- Je n'en suis pas fière !
- Tu veux qu'on en reparle plus tard?
- Dans quelques semaines oui !
- Ok dans 2 semaines !
- Va te laver ! J'aime avoir une chienne propre ! Et je n'ai pas l'intention de te laver moi-même ! Sauf si c'est pour
jouer à deux avec le jet d'arrosage ! Attends !
Pauline essaya d'ouvrir le collier d'Alexia mais la clé ne fonctionnait pas sur le cadenas.
- Désolée, je ne peux pas l'enlever ! Il va falloir te doucher avec ! Evite de le mouiller ! Du cuir mouillé, ça rétrécit
après !
- Merci pour le conseil Pauline !
- Dépeche toi chienne !
Pauline claqua fortement le cul d'Alexia en la poussant hors de sa chambre et l'envoya dans la salle de bain.
Alexia se glissa sous la douche et passa beaucoup de temps à éviter que l'eau ne frappe le collier.
Elle se nettoya bien les genoux et les mains, noircis par la terre, ainsi que ses seins.
Elle concentra ensuite son effort sur ses orifices, se nettoyant du sperme de son commandant, repensant à ses moments
avec lui, à cette relation étrange : moments de douceurs alternant avec des moments durs et les moments les plus
humiliants de sa courte vie. Et ce collier qu'il lui avait passé au cou et dont elle ne pouvait se défaire !
Elle allait etre la chienne de Pauline mais il s'était arrangé pour que le collier à son cou soit le sien !
Une façon à lui de se l'approprier ? Elle serait en prêt à Pauline ainsi ?
Il fallait qu'elle lui en reparle la prochaine fois qu'elle le verrait !
Elle poussa un cri en sortant de la douche, se retrouvant nez à nez avec Mélanie.
- Au pied ! Tu es une chienne ne l'oublie pas !
- Oui mademoiselle !
- Pauline a du te le dire ! Si maman n'est pas à notre niveau, tu agis en chienne !
- Je suis désolée madamoiselle, je vais assimiler les règles.
- C'est parce que Pauline ne veut pas mais s'il ne tenait qu'à moi, je te donnerais une bonne raclée pour te les apprendre !
- Et il ne tient pas qu'à toi Mél !
Pauline venait d'entrer à son tour dans la salle de bain. Alexia fila vite à ses pieds. Elle se sentait plus en sécurité
auprès d'elle qu'auprès de Mélanie. Et moins humiliée ! Etre la chienne d'une gamine de seconde, elle qui était étudiante,
cela lui semblait encore plus difficile !
- Belle chienne ça !
Pauline accompagna sa parole d'un défrisement en règle de la tête d'Alexia.
- Fais la belle ! Accroupie, cuisses écartées, croupe sur les talons, bras repliés, mains pendantes, langue sortie !
Alexia s'empressa de prendre la position, humiliée devant les 2 soeurs.
- Les filles ! Le repas est prêt ! Vous descendez !
- On arrive maman ! cria Mélanie allant dans le couloir pour répondre.
- Ecoute moi petite chienne ! dit Pauline pendant ce temps, nous allons descendre pour diner mais tu déclineras
poliment tout ce que ma mère te proposera, même si cela te semble délicieux ! Je dirais même surtout si cela
te semble délicieux ! Tu mangeras après quand nous serons seule ! Je m'occuperai moi-même de ton repas !
- Oui Pauline j'ai compris.
- Une bonne maitresse nourrit elle-même sa chienne !
- Oui je comprends, c'est normal.
- Bien ! Je crois que je vais réussir à faire de toi une chienne correcte finalement !
- Merci Pauline ! Et pour la fac ? On sera toujours amies ?
- Oui en dehors des moments seules à deux, on continue comme avant ! A part le fait que si tu me manques de respect
dans ta vie étudiante, cela aura des répercussions dans ta vie de chienne !
Pauline sourit devant l'air dérouté d'Alexia qui comprit que plus rien ne serait comme avant !
- Je t'ai trouvé un vetement ! Regarde comme c'est mignon !
Pauline lui agitait une nuisette en nylon blanche, presque transparente, avec des bords peluchés blancs.
Alexia l'enfila soumise et se releva sur l'indication de sa maitresse. Elle se regarda dans la glace et se trouva
indécente. La nuisette mettait en valeur toutes ses formes, ses seins se découpaient sous le tissu et ses tétons
semblaient agrandis par l'effet du tissu. Son pubis lisse et le découpage de ses lèvres étaient totalement
visibles, même pas une impression floutée à ce niveau là. L'arrondie de ses fesses était accentué par la coupe et sa raie
était nettement visible, le tissu fluide s'y logeant. La nuisette s'arretait juste sous ses fesses. Elle avait l'air
d'une poule de luxe !
- Tu me plais ! dit Pauline, lui déposant un bisou sur les lèvres puis la prenant dans ses bras pour lui enfoncer
sa langue dans la bouche et l'embrasser pleinement !
Cela commençait à devenir une habitude, toutes ses personnes qui lui prenaient la bouche sans qu'elle s'y attende !
Cependant ce n'était pas déplaisant et Alexia lui rendit son baiser ! Son premier vrai baiser avec une autre fille...
- Allez ! A table !
Pauline poussa Alexia, la main sur ses fesses, la tripotant tout en la dirigeant vers l'escalier.
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Alexia en mission
Chapitre 10 : Vie de chienne
- Pauline ! Tu aurais pu donner quelque chose de plus décent à ton amie ! C'est comme si elle était nue là !
Voir pire que nue, c'est affriolant ce que tu lui fais porter ! Je me suis trompée sur ton compte ? Tu es portée
sur les filles maintenant ?
- Maman ! Elle est super jolie comme cela !
- Ce n'est pas le sujet ! Elle est magnifique mais vraiment pas en tenue décente !
- Je n'ai que cela de propre maman ! Sinon c'est trop grand et le reste est au lavage !
- Je ne suis pas certaine que tu me dises la vérité jeune fille !
- Ho maman ! Je te jure !
- Alexia ? Cela ne te dérange pas ?
- Non non madame ! Cela ira très bien ! J'aime beaucoup plaire !
- Bon je passe pour cette fois ! Mais que ce soit la première et la dernière Pauline ! Compris ?
- Oui maman !
- Sinon la prochaine fois, je vous fais échanger vos tenues ! Et si vous avez l'audace de venir nues toutes les deux,
je vous vire de ma maison, en l'état ! Comme l'une de vous a déjà l'habitude de cela...pas d'etre virée !
Elle souriait en disant cela à ses filles et à Alexia, s'imaginant déjà la scène !
- C'est valable aussi pour toi Mélanie ! Je ne t'accorde pas le bon dieu sans confession !
- Maman ! Je suis sage moi ! Pas comme Pauline !
- Le sujet est clos ! A table ! Ton assiette Alexia s'il te plait!
- Ho merci madame ! Mais j'ai déjà diner avant de venir madame ! Je ne voulais pas m'imposer pour le repas !
- C'est bien Alexia ! Je t'ai peut etre mal jugée ! Tu es peut etre une fille bien élevée finalement ! Tu vas devoir nous
regarder manger alors...
- Ce n'est rien madame, je vous en prie...
Elle servit ses 2 filles et toutes 3 se mirent à manger en conversant de tout et de rien. Alexia avait faim et l'odeur
de ce plat qui semblait succulent la torturait. Le pire fut le moment du dessert. Voir passer la tarte aux fraises
sous son nez faillit la faire craquer.
Pauline voyant sa résistance chanceler, passa sa main entre les cuisses de sa voisine discrètement et glissa ses doigts
entre ses lèvres pour venir lui pincer le clitoris. Elle lui souffla à l'oreille de tenir bon, qu'elle aurait bientôt
de quoi se régaler et que s'il restait de la tarte, elle aurait le droit d'en avoir une part !
Alexia, honteuse avec la main de Pauline entre ses cuisses, se força à décliner le plus poliment possible ce dessert.
Finalement, elles desservirent ensemble les couverts, laissant Alexia nettoyer la table sur la terrasse.
Penchée sur celle-ci, sa nuisette dévoilait le bel arrondi de sa croupe toute ronde, l'ouvrant au regard investigateur
de Pauline, revenue de la cuisine.
- Parfait ma petite chienne ! Comme je suis une bonne maitresse, tu vas maintenant pouvoir manger !
- Ho merci ! Je suis affamée après vous avoir vu diner sous mon nez !
- Ta torture prend fin !
Pauline se dirigea sur le coté de la baie vitrée et sortit une ecuelle du sac qu'elle avait caché jusqu'ici à Alexia.
Mélanie et sa mère était en vue dans le salon, installées devant la télévision.
Pauline posa l'écuelle, à l'abri des regards pouvant provenir du salon.
- Pauline ! Alexia ! Vous venez vous joindre à nous ?
- Non maman ! Tout à l'heure ! On va profiter qu'il fait bon ce soir pour rester encore un peu dehors !
- Comme vous voulez les filles !
La baie vitrée étant ouverte, Pauline ne pouvait crier ses ordres à Alexia sans que tout le monde l'entende.
Elle désigna du doigt le sol devant l'écuelle. Devant l'absence de réaction de sa petite chienne, elle claqua des doigts.
Alexia lui fit des signes discrets pour montrer sa famille qui était proche ce qui énerva Pauline.
Elle prit les tétons d'Alexia entre ses doigts, les serrant et enfonçant ses ongles jusqu'à lui arracher des larmes
et elle la guida en ta tenant ainsi jusque l'écuelle, la faisant mettre à 4 pattes.
- Tu as intéret à obeir sans discuter sinon je flanque dans la rue à poil et maintenant il est tard ! Tu risques de faire
de mauvaises rencontres ! lui souffla Pauline à l'oreille.
Alexia décida de ceder et se mit sagement à 4 pattes devant l'écuelle. Pauline lui tira la nuisette jusqu'à lui retirer
entierement, et glissa ses doigts dans la chatte offerte pour pincer méchamment le clitoris qui s'offrait à sa vue.
- Tu m'as mise de mauvais poil ! Sale clebs !
Elle pinça encore puis lui écrasa. Alexia se mordait les lèvres pour ne pas hurler de douleur et pleurait à grandes larmes.
- Prochaine résistance, je te promets une raclée dont tu te souviendras !
- Mais je ne veux pas !
- Tu n'as pas le choix !
- Si je suis majeure et libre !
- Mais ici tu es ma chienne !
- Seulement parce que je l'ai décidé ! Si je veux arreter, j'arrete !
- Une chienne reste une chienne toute sa vie !
- Non ! Juste quand j'en ai envie !
- Cela te manquerait trop ! Maintenant que tu as goutté aux humiliations et contraintes ! Aux jeux sexuels qui vont avec...
Tu seras comme une droguée en manque !
- Tu es une enfoirée !
- Parce que j'ai raison ?
- Oui !
- Tu aimes etre à 4 pattes devant ton écuelle nue alors que ma mère est toute proche et pourrait te surprendre non?
- J'adore cela !
- Je vais te faire vivre des tas de choses de ce genre !
- Tu vas me tuer à force !
- Je ne veux que ton plaisir et le mien qui proviendra du tien !
- Tu viens de me promettre une raclée !
- Tu n'en veux pas ?
- Non non ! Je ne veux pas finir à l'hopital !
- Je ne veux pas te blesser ! Tu es folle ! dit Pauline en riant.
- Et c'est quoi une raclée ?
- Des coups de martinet sur tes mamelles, ta croupe, ta chatte de chienne, des coups de pieds au cul, des gifles ! Ce genre
de choses là !
- je n'ai pas l'habitude de tout cela !
- Heureusement ! Et je ne veux pas que tu t'y habitues sinon cela ne te punira plus !
- Mais tu ne fais pas tout cela pour te venger ou parce tu es furieuse après moi? Nous étions bonnes amies !
- Nous sommes toujours amies ! Mais j'ai toujours eu envie de t'avoir pour chienne ! C'est parce que nous sommes tres
amies que je veux cela ! Une maitresse aime toujours sa chienne et une chienne sa maitresse !
- Je ne l'avais pas vu sous cet angle ! Je commençais à me dire que tu me detestais !
- Tout ce que je vais te faire ou te faire faire, ce sera par amour !
- Tu vas t'en servir de pretexte surtout ! Je te connais ! Tu es une vraie pute ! Aiie !
Alexia venait de se prendre une gifle !
- Du respect pour ta maitresse !
- Pardonne-moi Pauline...
- Je préfère cela !
- Tu aimerais que je t'appelle maitresse?
- Non cela fait trop film de mauvais gout ! Pauline c'est tres bien !
- Et tu vas me donner un nom de chienne ?
- Bien sur !
- Lequel ?
- Alexia !
- Quoi ?
- C'est ton nom de chienne ! Idéal pour une chienne même !*
- Salope ! Aiie ! C'est pas juste ! Tu as dit qu'on était toujours amies et je ne peux plus rien te dire sans me prendre
une gifle !
- Tu ne peux pas quand tu es ma chienne ! Facile pour toi de savoir à quel moment c'est le cas, c'est quand tu es à poil
à mes pieds ! Même une bête chienne comme toi peut comprendre cela !
- Oui Pauline !
- Voilà ! On va y arriver !
Pauline sortit alors un petit sac de croquettes Royal Canin sous le nez d'Alexia.
- Tu vois ! Heureusement que je t'ai interdit de manger tout à l'heure ! Tu n'aurais pas pu te régaler ! Des bonnes
croquettes au boeuf ! Et d'une bonne marque !
- Tu es folle ! Ce sont des croquettes pour chien !
- Tu es quoi ?
- Une chienne mais pas physiologiquement !
- C'est pareil ! J'ai regardé la composition et fait des recherches sur internet ! Tant que l'on ne remplace qu'un de
tes repas journaliers, cela ne perturbera pas ton équilibre, surtout que tu prends toujours tes vitamines le matin !
Et puis, à ce que j'ai vu, tu prends des oligo-éléments en dose de sperme !
Pauline éclata de rire devant la mine déconfite de son amie et lui remplit à moitié son écuelle.
- Mange ! Sinon c'est le martinet sur la chatte jusqu'à ce que tu manges ! On ira dans le garage pour que ce soit plus
discret, c'est tout ce que cela changera !
- Tu es dure avec moi !
- Si tu veux on ne joue plus !
- Ho si si !
- Alors fini ce genre de remarque, sinon on redevient juste copines ! Et je me cherche une nouvelle chienne !
Alexia vexée et jalouse à cette idée se pencha sur l'ecuelle pour manger quelques croquettes. C'était sec, avec assez peu
de gout finalement. Elle avait déjà mangé pire à la cantine du collège autrefois !
Pauline contemplait le spectacle, son amie sur sa terrasse nue collier de chien au cou, ses mamelles ballotant sous elle
chaque fois qu'elle plongeait la tete dans son ecuelle, tout cela à quelques mètres de sa mère qui ne se doutait de rien.
Elle fit un petit geste du pouce à sa soeur pour lui indiquer que tout allait bien !
Elle regarda encore un peu la croupe ouverte d'Alexia, qui devait oublier toute pudeur pour manger devant elle, ne cachant
rien de ses trésors intimes.
Pauline réfréna ses envies. Si elles avaient été seules, elle se serait faite un plaisir de rentrer des objets dans
les trous offerts à sa vue ! Elle mourrait d'envie d'humilier son amie en la prenant avec des choses incongrues !
Elle se contint et s'accroupit à coté de sa petite chienne. Elle lui caressa le haut de la tête, la félicitant de manger
bien proprement. Elle lui tapota la croupe quand elle eut terminé son écuelle, heureuse de son comportement.
- Assise !
Alexia s'empressa de poser ses fesses sur le sol en beton brut, ses pieds de chaque coté d'elle, ses bras tendus, mains
à plat sur le sol.
- Brave chienne ça ! dit Pauline tout sourire, heureuse de son obéissance !
Elle prit la tête d'Alexia contre sa poitrine pour la caliner tout en lui ébourifant le haut du crane.
- Tu vas etre une super chienne ! J'en suis certaine ! On va bien s'amuser toutes les deux ! Fais moi juste confiance !
- Je vais essayer Pauline ! Mais il faut que tu comprennes que je suis tres vulnérable ainsi ! Alors j'ai peur !
- Je suis ton amie, pas une maitresse rencontrée par hasard ! Je ne veux que notre bien à toutes les deux ! Et je suis
aussi jalouse que toi je pense ! Je l'ai vu à ton regard tout à l'heure ! Je ne te partagerai pas avec d'autres !
Enfin si l'on excepte Mélanie ! C'est la soeur de ta maitresse ! Donc une maitresse par intérim ! Quand je suis absente,
tu lui obéis !
- Oui oui Pauline ! Je suis d'accord avec toi ! Tu tiens vraiment à moi !
- Oh que oui !
Alexia tendit ses lèvres vers Pauline pour l'embrasser.
- Aiie !
Une gifle venait de lui tomber sur la joue droite !
- Une chienne n'embrasse pas comme cela !
Alexia s'empressa de laper le visage de Pauline avant qu'elle ne lui ouvre sa bouche, la laissant laper sa langue avant
de s'embrasser plus conventionnellement.
La main de Pauline se glissa entre les cuisses d'Alexia et ses doigts fouillèrent doucement sa chatte. Elle lui ouvrit
les levres et la pénétra de l'index et du majeur, jouant à les faire tourner en elle en les écartant de plus en plus
puis à les vriller. Leur baiser se prolongea ainsi jusqu'à ce que Pauline sente que son amie allait jouir. Elle lui
taquina alors son bouton pour accentuer son plaisir.
Pauline entraina Alexia à quelque pas de là et elles s'effondrèrent sur le gazon, dans les bras l'une de l'autre.
Alexia glissa une main sous le T-shirt de son amie et cela lui confirma qu'elle n'avait pas de soutien-gorge.
Elle palpa avec plaisir ses gros seins, joua avec ses tétons tout en calinant dans ses bras.
- T'aimerais bien en avoir des comme ça ! pas vrai !
- Ho oui !
- J'ai toujours remarqué ton regard qui se pose plusieurs fois par jour sur eux ! Je ne peux pas te les montrer maintenant,
pour que ma mère ne trouve pas cela bizarre si elle nous surprend !
- Attend ! Je suis toute nue dans tes bras !
- Oui mais toi ! Tu passes pour une salope à ses yeux déjà ! Alors que tu sois souvent à poil, ça ne l'étonnera pas !
C'est quand même ta première rencontre avec elle et elle ne t'a encore pas vue du tout vétue correctement !
- Je n'y suis pour rien !
- Tu es quand même venue sans rien ici et menottée !
Alexia entreprit alors de lui raconter son après-midi en passant sous silence quelques épisodes humiliants, se concentrant
surtout ensuite sur le retour et la facherie de son supérieur.
- Tu as l'air de tenir à lui !
- Je l'aime bien ! Il a un je ne sais quoi qui le différencie des autres ! Aiiie !
Pauline venait de lui pincer le clito !
- Je n'aime pas quand tu dis que tu aimes bien quelqu'un d'autre !
- Alors ne demande pas !
- Un peu de respect petite chienne ! Et puis tu m'as donné envie à me tripoter les lolos comme ça ! A 4 pattes !
Alexia obéit génée, voyant Mélanie et sa mère depuis sa position dans le salon. Ce devait pouvoir etre réciproque.
Elle allait devoir compter sur l'obscurité pour ne pas etre vue ! Pauline troussa sa jupe et descendit son tanga sur
ses genoux. Elle tapota sur son pubis.
- Viens laper ma belle allez !
Alexia rougit d'etre appelée ainsi mais obéit et à 4 pattes elle se pencha, glissa sa langue pour la première fois de
sa vie entre les lèvres d'une fille. Pauline gémit aussitôt de plaisir et commença à respirer plus fortement à chaque
nouveau coup de langue de sa petite chienne. Alexia s'appliqua à découvrir tous les recoins de l'intimité de son amie,
fourrant sa langue partout où cela lui était possible avant de jouer à taquiner son clito.
La crispation de la main de Pauline dans sa chevelure lui indiquait chaque fois que son coup de langue faisait mouche.
Elle se concentra pour faire monter le plaisir de sa maitresse lentement, choisissant des endroits moins sensibles
quand les gémissements montaient en intensité ou que la main dans ses cheveux se crispaient plus fort, jusqu'à provoquer
un énorme orgasme chez Pauline.
Elle en profita pour alors glisser sa tête sous le T-shirt de celle-ci et lui teter les seins, ce dont elle mourrait
d'envie depuis toujours. Elle les lui aspira, les mordilla, lapa les globes volumineux malgré la position allongée,
profitant de la jouissance de Pauline et de son apathie. Au bout de quelques minutes, elle reçut une bonne claque en
travers des fesses et elle sortit de sous le tissu.
Pauline lui prit une oreille entre les doigts et l'attira vers elle.
- Tu n'as pas pu t'empecher d'en profiter ! Tu as déformé mon T-shirt sale chienne !
Et elle amena la figure d'Alexia près de la sienne pour lui dévorer la bouche. Elles se lovèrent de nouveau l'une contre
l'autre, échangeant de douces caresses tout en s'embrassant.
Tout à coup, Pauline sauta sur ses pieds et courut vers la terrasse, récupéra la nuisette pour la lancer sur la tête
d'Alexia.
- Magnes toi !
Elle avait entendu le générique de fin de l'émission de télé ! Elles s'installèrent juste à temps dans les fauteuils
de jardin avant que la maitresse des lieux ne les rejoignent.
- Bonsoir les filles ! Je vais me coucher ! Ne tardez tout de même pas trop sinon vous allez etre fatiguée pour la fac
demain !
- Je peux rester un peu avec elles Maman ?
- Non Mélanie ! Le lycée t'attend demain ! Au lit aussi !
Elles s'échangèrent des bisous toutes les 4 et bientôt la maison devint calme.
- Enfin seules !
- Oui, je ne sais pas si c'est pour mon bien !
- Tu me diras après si c'est le cas ! Allez ! A poil ! Plus besoin de te cacher !
Alexia se dénuda de nouveau et vint au pied de son amie.
- Sage ! Oui c'est bien ! Bonne chienne !
Pauline lui caressait la tête et le flanc en disant cela.
- Que c'était bon ta langue ! Ca me donne envie de recommencer !
Pauline fit glisser son tanga sur le sol, troussa sa jupe et passa ses jambes de chaque coté des bras du fauteuil,
s'ouvrant en grand devant Alexia. Elle tapota de nouveau doucement sur sa chatte.
- Allez Alexia ! Leche !
Elle en avait autant envie que Pauline aussi elle ne se fit pas prier ! Sa langue pénetra entre les levres offertes
et lapa le petit clito qui s'allongeait de nouveau d'excitation, joua sur le méat urinaire et entra dans le vagin
qui palpitait de désir. Elle la vrilla en elle, la fit tourner dans tous les sens, arrachant des cris de plaisir à
Pauline. Rapidement, Alexia sentit les deux mains de sa maitresse sur sa tête, la coinçant sur son sexe.
Elle frola plusieurs fois le clito de la pointe de la langue avant de la replonger dans le vagin offert.
Elle la plia à l'intérieur pour faire une petite équerre et fit quelques va et vients ainsi. Pauline gémit encore
plus fort, affolée par les sensations qui montaient en elle. Elle lacha sa petite chienne pour glisser ses mains
sous son haut et masser ses seins pendant qu'elle se faisait lécher.
Alexia quitta le vagin de sa maitresse pour passer sa langue sur son anus et y faire des ronds de la pointe de son
appendice. Elle la fit entrer dans le sphincter, sans avoir à forcer !
Les gémissements de Pauline augmentèrent en intensité.
Alexia sentait les frémissements, les contractions sur sa langue et jouait avec son amante, se plaisant à affoler
ses sens !
Elle se mit à entrer et sortir complètement sa langue de l'orifice faisant se pamer Pauline ! Les petits cris
encourageaient Alexia à continuer son oeuvre. Elle finit par courber sa langue comme elle l'avait fait dans son
vagin pour dilater l'anus qu'elle torturait de plaisir. Son pouce vint doucement caresser le clitoris et Pauline
se mit à jouir de nouveau tres fortement.
Elle se fit glisser au pied de son fauteuil tout en jouissant et prit Alexia dans ses bras pour la caliner.
- Ho ma chienne ! Tu me rends si heureuse !
Alexia s'amusa à laper les seins dénudés de sa maitresse. Elle les voyait à l'air pour la première fois, le T-shirt
étant remonté au dessus d'eux. Elle aimait teter ses gros globes, caresser ses joues avec eux, les masser de la
langue.
Pauline la fit se tourner et s'allonger sur le sol, à plat-ventre. Elle alla chercher une laisse dans son sac et
la clipsa au collier d'Alexia avant de boucler la poignée autour du pied de table.
- Pas bouger !
Alexia se demandait ce qu'elle pouvait bien préparer, avec une angoisse grandissante, maintenant qu'elle était coincée
par la laisse. Pauline menotta sa chienne dans le dos, se disant qu'il serait idiot de ne pas profiter du matériel
amené par cette dernière ! Elle termina en soulevant le ventre d'Alexia pour glisser un coussin en dessous et bien
lui remonter les fesses vers le haut.
- Ecarte tes pattes !
Alexia obéit inquiete, n'étant pas en position pour discuter les ordres.
- Comme tu es en chaleur et que je suis une gentille maitresse, je vais te donner un amant !
- ...
- Qu'est ce qu'on dit ?
- Merci Pauline !
- J'ai failli attendre !
Elle entendit du bruit derrière elle puis sentit quelque chose de gros et pointu se poser sur son anus. Elle ne put
s'empecher de tourner la tête pour regarder. Elle poussa un cri de douleur alors qu'au même instant elle vit
Pauline qui pesait sur le pied de parasol qu'elle lui enfonçait dans le cul sans ménagement !
Elle sentit le pieu remonter en elle pour aller buter le plus possible au fond de son rectum.
Alexia rala un peu de douleur alors que Pauline modifiait l'angle du pied de parasol pour le faire encore pénetrer de
quelques centimètres. Jamais elle n'avait été prise aussi profondément.
Pauline se mit alors à faire pivoter le pieu dans son cul, ajoutant un mouvement comme pour touiller dans le cul de
la pauvre Alexia. La douleur se melait au plaisir, provoquant la confusion chez la brunette, le cul en feu.
Après quelques minutes, Pauline inversa les mouvements de sens, arrachant des cris de plaisir à sa victime plus que
de douleur. Puis elle encula sa petite chienne de façon plus conventionnelle, sortant le pieu entièrement du cul
qui lui était offert avant de bien le replonger à l'intérieur.
Elle finit par replonger le pieu bien au fond du cul d'Alexia et en fit reposer l'autre extrémité sur le sol, forçant
la petite enculée à se contorsionner pour ne pas souffrir en raison du nouvel angle de pénétration.
Pauline la regarda ainsi torturée, se rasseyant dans son fauteuil, se caressant le clito devant ce spectacle vivant.
Cela la changeait des films visionnés sur internet ! Elle voyait Alexia en position inconfortable, bougeant sans cesse
pour moins souffrir, s'enculant sans le vouloir sur le pieu, incapable de s'en dégager à cause de la laisse ni de
s'aider de ses mains menottées dans le dos. Quel bonheur !
Elle jouit rapidement une nouvelle fois devant cette scène.
Alexia se sentait abandonnée, torturée par ce pieu en elle. Le poids tirait le pieu lui donnant un angle allant du haut
vers le bas alors que son cul pointait vers le haut. Cela la contraignait à rabaisser comme elle pouvait son bassin,
lui coupant la respiration, la forçant à essayer de remonter un peu ses cuisses pour améliorer sa position. Cela la
faisait s'enculer encore plus sur le pieu. Son anus en raison de l'angle était distendu, ouvert, percé dans un sens
inhabituel, le pieu à l'entrée pesait sur le bas de son sphincter et à la sortie de celui-ci, il poussait sur le haut !
Le pire c'est que dès qu'elle arrivait à se mettre dans une position satisfaisante, Pauline lui tirait sur les chevilles
pour la faire redescendre, s'enculant encore plus profondément et distendant encore plus son anus ce qui la faisait
pleurer de plus belle.
Pauline ne se lassait pas de jouer au chat et à la souris avec la pauvre chienne ! Cela l'amusait de la voir s'épuiser
à se défaire du pieu et de la retirer dessus en la laissant récupérer un peu, ne lui accordant jamais le même
temps de repos.
- Qu'est ce que tu crois petite chienne ! Que tu vas jouir en étant enculée sur un pied de parasol ! Tu n'as pas honte !
Tu te prends n'importe quoi dans le cul !
Alexia préféra rester muette, subissant la torture en silence, l'humiliation s'y rajoutant maintenant.
Pauline s'accroupit devant elle, cuisses ouvertes.
- Leche Alexia !
Le prénom claquait dans sa bouche comme un nom de chienne, rajoutant à la honte de la jeune fille. Elle entreprit de
satisfaire sa maitresse dans l'espoir qu'elle mettrait ensuite fin à ses tourments !
Elle commençait à avoir mal à la langue en plus de son cul...Une nouvelle douleur vint s'ajouter aux précédentes !
Pauline la fessait ! Cela faisait se contracter son anus sur le pieu qui l'ouvrait en grand.
Les mouvements de son bassin sous la fessée la firent s'enculer de plus belle ! Cela procurait aussi des frottements
sur ses levres et le plaisir l'envahit.
Elle jouir en même temps que Pauline qui en lacha un jet d'urine sur sa figure tant son plaisir était grand et
incapable de se controler, accroupie.
Cela doucha le plaisir d'Alexia qui se sentit encore plus rabaissée, la figure et les cheveux pleins de pipi.
Pauline se mit à rire !
- Je ne l'ai pas fait exprès mais après tout, une chienne, ça ne connait que cela ! Le territoire se marque ainsi !
Tu es à moi !
- C'est dégoutant !
- Ce n'etait pas volontaire ! Tu n'espères quand même pas que ta maitresse va s'excuser auprès d'une chienne comme toi !
Allez je suis gentille ! Je vais mettre fin à tes tourments !
Elle se releva et tira d'un coup sur le pied de parasol. Alexia pleura à nouveau sous la douleur provoqué par ce retrait
peu délicat. Elle vit alors le pieu venir sous son nez.
- Il faut nettoyer ! Les chiennes adorent ça !
Résignée, Alexia lapa le pied de parasol des traces d'excréments, s'appliquant en dépit du dégout que cela provoquait en
elle. Une fois le pied bien propre et luisant, Pauline le remit en place dans l'orifice percé au centre de la table.
Elle défit les menottes et remit le coussin en place dans le fauteuil, Alexia à 4 pattes à ses pieds.
Elle récupéra enfin la laisse pour tirer un coup dessus, brutalement.
- Tu dois avoir envie de faire pipi aussi ! Moi je n'ai pu me retenir ! Toi, il faut que tu te soulages aussi pour cette
nuit ! Pas question que je me lève pour te sortir !
Alexia, étranglée, se mit en mouvement, voyant avec effarement que son amie l'entrainait vers la barrière d'entrée de la
propriété, direction la rue ! Pauline sourit en voyant l'expression sur le visage d'Alexia et tout en se rhabillant
correctement, elle lui dit :
- Tu es une chienne non ? Donc je vais t'apprendre le caniveau ! Il est une heure du matin, on devrait etre tranquilles !
Et puis si on ne l'est pas, ce n'est pas moi qui suis à poil en laisse dans la rue donc je m'en moque !
A suivre...
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