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Nouvelle demeure, nouveaux voisins

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Synopsis: Un jeune couple s'installe dans leur nouvelle maison, invit廥 par leurs voisins, sous l'emprise d'une puissante drogue ils se livrent ?une v廨itable orgie, le chantage peut alors s'installer !!!!

Nouvelle demeure, nouveaux voisins

Our First New Home

Coulybaca / Vulgus

Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, jai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin den faciliter la lecture.

Chapitre 1�: Notre premi�re orgie chez nos voisins

Je me tenais avec mon �poux sur l'entr�e de notre nouvelle maison savourant l'instant o� nous allions p�n�trer pour la premi�re fois dedans.

C'�tait une belle grande maison, situ�e dans une banlieue haut de gamme.

Elle �tait b�tie de pierres et de briques et paraissait neuve aussi bine de l'int�rieur que de l'ext�rieur.

Cela faisait maintenant  trois ans que nous �tions mari�s et nous avions travaill� dur pour �pargner suffisamment d'argent pour nous offrir cette demeure.

Les mensualit�s �taient importantes et s'�tendaient sur une longue p�riode, mais s'av�raient bien moindre que la location que nous versions auparavant pour notre petit logement.

Actuellement, avec les d�ductions fiscales que nous avons obtenues, nous pouvions vivre largement.

Dave, mon mari travaillait dans une entreprise de fabrication d'avion de tout premier plan.

Il �tait un ing�nieur tr�s appr�ci� et il adorait son boulot, il �tait plus que bien pay�, mais en contrepartie, il faisait beaucoup  d'heures et voyageait souvent.

Il me r�p�tait que cela  nous permettait d'honorer facilement nos engagements tout en nous m�nageant une vie des plus confortables.

Je n'aimais pas le vois si souvent en voyage, mais je comprenais que c'�tait pour notre bien et je me montrais patiente.

Je travaillais dans un bureau comme une secr�taire des plus ordinaires bien que mon statut soit bien au-dessus de celui des dactylographes.

Je voulais travailler assez longtemps pour que l'on finisse de nous installer dans notre nouvelle maison et qu'on puisse l'am�nager � notre go�t, puis, ensuite nous voulions avoir des enfants.

Nous pensions qu'au besoin je pourrais toujours trouver un autre travail.

La boite dans laquelle je travaillais �tait sinistre, les employ�s �taient trait�s durement et chaque jour je craignais de me rendre � mon boulot.

Je me pr�nomme Donna et j'ai 24 ans, Dave a deux de plus que moi.

Nous nous sommes rencontr�s en fac et nous nous sommes rapidement amourach�s l'un de l'autre, il ne nous fallut pas longtemps pour comprendre que nous avions trouv� le partenaire que nous recherchions tous deux.

Nous nous sommes fianc�s l'ann�e suivante et nous nous sommes install�s ensemble dans un petit logement sur le campus.

Je d�cidais alors que suivre de longues �tudes ne m'int�ressait pas et quil valait mieux que je gagne un peu d'argent pour am�liorer sensiblement notre train de vie.

Aussi abandonnais-je la fac pour rejoindre le monde du travail, jusqu'ici nos parents avaient subvenu � nos besoins, mais ils n'�taient pas tr�s riches et avaient mieux � faire de leur argent que de me payer  un dipl�me d'art contemporain ! ....

Nous avions commenc� � d�couvrir notre nouvelle maison.

Nous avions d�j� apport� quelques cartons et des rideaux, mais nous  avions attendu que la vente soit officialis�e pour pr�parer notre emm�nagement.

Et voila que nous avions officiellement rejoint le monde des acc�dants � la propri�t� ! .....  C'�tait tout au moins ainsi qu'on nous qualifiait sur une montagne de papiers concernant l'achat.

Nous sommes rentr�s � l'int�rieur, et avons travers� la maison pour nous rendre dans l'arri�re cour pour nous asseoir au bord de notre piscine.

Par chance les anciens propri�taires avaient laiss� un ensemble de mat�riel de plein air.

Nous nous relaxions  main dans la main nous r�jouissant d'�tre les heureux propri�taires de cette demeure confortable.

La matin�e avait �t� stressante, l'id�e que toutes ces d�marches cela se terminaient sur une simple signature �tait assez intimidante.

Nous ne pouvions cependant pas rester longtemps � ne rien faire, nous devions planifier notre emm�nagement, nous devions empaqueter nos affaires et d�m�nager de nous m�me en utilisant le pick-up de Dave les quelques jours � venir, on devait tout emporter nous-m�mes � part le mobilier lourd pour lequel on louerait les services d'une boite de d�m�nagement.

Nous devions ensuite inventorier notre mat�riel et voir comment il s'inscrivait dan notre nouvelle demeure, puis acheter le compl�ment n�cessaire pour nous installer confortablement selon nos r�ves.

Nous �tions impatients de mener ces choses � terme, aussi nous sommes nous lev�s pour nous diriger vers notre ancien appartement qui se trouvait � une dizaine de minutes de l�.

Nous avions d�j� bon nombre de cartons pr�ts, nous les avons charg�s dans le van et les avons emmen�s chez nous, nous avons eu le temps de faire trois voyages avant de d�cider que c'en �tait assez pour cette journ�e.

Cela ne faisait que 3 ans que nous �tions mari�s, jamais nous aurions pens� avoir accumul� autant de choses en si peu de temps ! .....

Il y avait un grand nombre de cartons remplis de bouquins, nous aimions tous deux lire et avions chacun notre propre collection de livres.

Rien de tels que des livres pour composer des cartons bien lourds ! ....

Apr�s notre troisi�me voyage, l'apr�s-midi se terminait, nous avons alors d�cid� de rester la fin du jour dans notre nouvelle demeure.

Nous avions d�j� amen� notre lit  que nous avions assembl� dans la chambre. Je commen�ais alors � d�poser les cartons de linge dans la cuisine.

Nos travaillions dur, mais notre joie �tait grande d'�tre parvenus � nos fins.

La sonnette de la porte d'entr�e me fit sursauter.

Je fus surprise de voir un homme de si haute taille sur le seuil.

Il se pr�senta :

Dave sortait de la chambre, il descendit au rez-de-chauss�e et je le pr�sentais � Roy.

Je cherchais � expliquer � notre voisin que nous �tions sales et couverts de sueur,  et qu'il me paraissait difficile dans ces conditions de leur rendre visite.

Il ne voulait pas en d�mordre.

Je regardais Dave droit dans les yeux, il me fit signe d'accepter l'invitation.

Nous sommes sortis, Dave ferma la porte � clef et nous avons accompagn� Roy.

Roy et Anne avaient tous deux une bonne quarantaine d'ann�es, ils semblaient bien assortis, des gens aimables chez qui nous nous sommes instantan�ment sentis les bienvenus.

Anne avait cuisin� un plat de lasagnes accompagn� de pain � l'ail, je salivais en sentant le fumet des choses qui cuisaient dans la cuisine.

Nous avions quitt� notre maison sans  m�me nous rafra�chir, Roy nous montra o� se trouvait leur salle de bain et nous avons pris tous deux une douche avant de nous asseoir devant le meilleur plat de lasagnes que nous ayons jamais d�gust� ! .....  Le tout accompagn� d'un d�lice de vin rouge.

Je ne buvais pas beaucoup, ce n'est pas que j'aie quelque chose contre, tout simplement je n'avais pas aim� le go�t des quelques vins que j'avais go�t� jusqu'ici, mais ce dernier me semblait fantastique.

Nous avons mang�, bu et discut� pendant une bonne paire d'heures. Il nous semblait qu'en m�me temps que notre nouvelle maison nous avions d�nich� de merveilleux amis.

Roy et Anne �taient tous deux tr�s s�duisants, tr�s bien �duqu�s, ils poss�daient une biblioth�que � faire honte aux autres. Ils poss�daient par ailleurs une collection de films tr�s fournie et un �cran g�ant qui devait avoir co�t� le m�me prix que ma voiture.

Nous avons remerci� Roy et Anne de leur accueil si chaleureux,  et nous sommes retourn�s dans notre nouvelle maison.

On mit rapidement des draps sur le matelas et nous nous sommes endormis jusqu'� 9 heures du matin.

Le samedi matin, nous nous sommes lev�s t�t et apr�s avoir vid� une paire de tasses de caf� dehors assis au bord de la piscine, nous sommes retourn�s � notre ancien appartement avec la camionnette pleine de cartons que nous avions vid� la veille.

A la fin du jour, il ne restait plus que le mobilier lourd, des buffets, un canap�, une paire de chauffeuses et quelques �tag�res � livres.

Nous avons rassembl� ces meubles comme on le put,

et le lundi j'ai appel� un transporteur en lui demandant de se charger de l'acheminement de ces meubles au plus vite.

Comme le chargement �tait peu encombrant et que le d�placement �tait court, ils m'assur�rent que ce serait fait le mercredi suivant et que cela ne me co�terait pas les yeux de la t�te.

Vendredi soir apr�s avoir pass� nos soir�es � d�baller nos affaires avant de les ranger nous pouvions enfin jouir de notre maison telle que nous l'avions r�v�e.

Nous avions d�cid� de remeubler enti�rement le salon et nous avions besoin de meubler la salle � manger puisque nous n'en avions pas dans notre ancien appartement.

Nous avions acquis de nouveaux �quipements pour le patio et la piscine, elle �tait maintenant telle que nous l'avions pens�e en la voyant la premi�re fois.

Le dimanche, comme nous l'avions programm� la semaine pr�c�dente en soupant chez nos nouveaux voisins, Roy et Anne se point�rent pour passer la soir�e avec nous autour de la piscine.

J'avais achet� quelques steaks bien �pais et pr�par� plusieurs salades vari�es.

Comme convenu, ils arriv�rent par la porte s�parant nos deux cours, Dave manqua de s'�trangler en les voyant.

En voyant Anne en fait,  elle portait un minuscule bikini mettant en valeur ses charmes plus qu'il ne les cachait. Je n'avais jamais vu de bikini aussi provocant, il lui allait � merveille.

Je donnais un coup de coude � Dave et il reprit une attitude plus normale, Roy tra�nait derri�re elle, il charriait une petite glaci�re qu'il avait pos�e derri�re la grille.

Anne s'avan�a et nous embrassa tous les deux convivialement, feignant de totalement ignorer le choc que nous avions ressenti � sa vue ainsi peu v�tue.

Elle �tait tr�s sexy et vive, si elle ne m'avait pas dit son �ge le denier week-end, j'aurai pens� qu'elle avait une bonne vingtaine d'ann�es.

Elle �tait en bien meilleure forme que moi ! ....

Ses t�tons �taient dissimul�s derri�re deux petits triangles de tissu et un  troisi�me s'effor�ait de voiler sa toison pubienne.

Je portais aussi un petit bikini assez sexy, mais en comparaison du sien je me sentais v�tue de la t�te aux pieds.

Roy s'avan�a et posa sa glaci�re avant de m'embrasser gentiment et de serrer la main de Dave.

Il portait un maillot de bain plus ordinaire, mais il �tait impossible d'ignorer la bosse qui en d�formait le devant de son maillot tant elle semblait importante.

Je ne sais ce qu'ils buvaient, le cocktail provenait d'une cruche, nich�e dans la  glaci�re.

Ils me dirent le nom de cette boisson, je ne la connaissais pas et je ne m'en rappelle plus maintenant.

Roy insista pour m'en servir un verre, c'�tait d�licieux, je n'�tais m�me pas certaine que ce m�lange contenait de l'alcool.

Roy remplit mon verre � plusieurs reprises.

Dave aussi avait �chang� sa bi�re contre un verre de ce m�lange sp�cial qu'ils avaient concoct�, il semblait 'appr�cier tout autant que moi.

Nous discutions assis en rond.

Tout comme la semaine derni�re, nos voisins menaient la conversation, mais c'�tait un moment extr�mement plaisant, nous avions atteint un tel niveau de b�atitude que nous ne pr�tions plus aucune attention � leurs tenues.

Jusqu'au moment o� Anne me demanda ce que je pensais de son nouveau maillot.

Je dus admettre que c'�tait la tenue la plus sexy que j'aie jamais vu � ce jour, elle me dit l'avoir trouv� sur le web et qu'elle en avait command� plusieurs.

Elle poursuivit qu'elle aimerait me voir en porter un, et avant que je puisse dire un mot, ils d�cid�rent tous trois  de se rendre chez eux pour en choisir un.

Dave semblait particuli�rement impatient de me voir dans un de ces bikinis.

Je ne pense pas �tre plus modeste que la majorit� des filles qui courent les rues, j'adore porter des mini-jupes, de courts shorts et des brassi�res sexy.

Je ne dirai pas que mon bikini �tait un mod�le de d�cence, mais je n'avais aucune envie d'essayer un de ces maillots minimums d�voilant plus de charmes qu'il n'en cachait.

Je suivis donc � contrec�ur Anne dans sa chambre.

Elle sortit de sa commode deux bikinis similaires au sien et un troisi�me qui s'av�rait encore plus ind�cent.

D�s que nous f�mes dans sa chambre, elle tendit le bras pour d�grafer mon soutien-gorge, j'en �tais troubl�e, mais je d�cidais de me comporter comme si c'�tait anodin.

Elle repoussa ensuite mon string sur mes cuisses et il tomba au sol.

Je n'avais plus jamais �t�e d�shabill�e par une femme depuis que ma m�re prenait soin de moi dans ma tendre enfance, cela me semblait �trange.

Anne me fit tourner sur moi-m�me admirant mon corps me complimentant sur mes seins �panouis et ma chute de rein avenante.

Je rougis comme une tomate et tendais le bras pour saisir un des maillots qu'elle avait pos� sur le lit.

Elle me coupa dans mon �lan en me disant :

Tu ne peux pas les enfiler tout de go Donna, il y a un petit probl�me � r�gler auparavant ! ......

Elle saisit ma main et me tira dans sa salle de bains.

Elle posa une serviette sur la lunette des toilettes et me fit asseoir face � elle.

Je suppose que d�s ce moment je sus ce qui allait advenir, j'�tais incapable de r�agir lorsque Roy et elle m'entouraient.

Avant que je puisse dire un mot, ou appeler � l'aide, � l'aide d'une paire de ciseaux elle raccourcissait ma toison pubienne. Tout en travaillant, elle me f�licitait d'avoir une aussi jolie chatte, jamais une autre femme ne m'avait dit cela auparavant.

Elle travaillait rapidement et cela ne prit pas longtemps pour qu'il ne me reste plus que quelques vestiges de ma blonde toison. On aurait dit qu'on avait coup� mon pelage en courte brosse.

Anne se redressa et empoigna un rasoir, de la mousse � raser et une serviette humide, puis elle me for�a � �carter de plus belle les cuisses.

Visiblement elle n'�tait pas satisfaite de son �uvre, je dus me relever, elle posa la serviette sur le sol carrel� de la salle de bain et je dus m'allonger dessus � plat dos.

Il semblait que je ne commandais plus mes actes, elle se penchait � nouveau entre mes cuisses.

J'�tais extr�mement g�n�e laisser une autre personne que mon mari manipuler mon intimit�, mais je ne protestais pas alors qu'elle promenait la serviette humide sur ma fentine embras�e puis �talait de la mousse � raser sur toute la surface de mon pubis.

Elle me semblait gaspiller beaucoup pus de temps que n�cessaire � masser ma f�minit� tout en �talant la cr�me mousseuse.

Elle se courba sur moi, le visage a quelques 20 centim�tres de ma fourche alors qu'elle rasait les derniers vestiges de ma fourrure.

Lorsqu'elle �carta de ses doigts mes babines pour permettre un rasage int�gral de ma chatoune, un choc �lectrique courut dans tout mon corps ce qui accrut encore ma g�ne.

Cela empira encore, alors que je pensais qu'elle en avait termin�, que mon mont de Venus �tait glabre, elle releva subitement ma jambe la repliant sur mon buste pour examiner en d�tail ma cramouille b�ante et mon petit oeillet fr�missant de honte, enlevant les derni�res traces de poils autour de mon anus.

Elle me rin�a avec la serviette puis me s�cha consciencieusement avant de m'aider � me relever.

Elle me posta devant le miroir en pied et susurra :

Elle me ramena dans la chambre et j'essayais les deux bikinis.

Ils me laissaient quasiment nue.

Jusqu'ici, il n'y avait que deux endroits dans lesquels je m'�tais d�nud�e, ma salle de bain et ma chambre, je trouvais inappropri� de me trouver nue au que se soit ailleurs.

Avant que j'aie le temps de refuser, Anne tira sur les ficelles du second string de bikini qui chut au sol.

Elle attrapa la petite pi�ce de tissu et me l'enleva sans aucune difficult�.

Elle se pencha en avant et me fit enfiler le haut constitu�" de deux micros triangles de tissu, puis elle noua les bretelles dans mon dos.

Elle tira sur les minuscules triangles de tissu quasi transparent et les ajusta sur mes nichons.

Les fines bretelle se prolongeaient vers le bas rejoignant me foufoune en formant un nouveau minuscule triangle de tissu transparent qui �pousait ma fente.

De l� un cordon courait dans ma raie culi�re qui s'entourait au tour de ma taille se rattachant sur le devant.

Anne sextasiait, elle me complimentait sur mon look si sexy insistant sur le fait que ce micro maillot semblait cr�� pour moi.

Je me voyais dans le miroir en pied et je devais admettre que c'�tait dr�lement excitant.

Les zones que dissimulaient habituellement mes bikinis �taient maintenant exhib�s r�v�lant des bandes de chair blanche qui attirait les yeux.

Je savais pertinemment que Dave adorerait cela, je serais vraiment heureuse de le porter moi aussi si nous �tions s tous les deux.

Mais je n'eus m�me pas le temps de dire � Anne que je ne voulais porter aucun de ces trois maillots en public et encore moins le troisi�me.

Elle me tra�nait d�j� dans mon arri�re cour sans �couter mes vagissements.

Je semblais totalement incapable de m'opposer � ses volont�s, je lui ob�issais docilement tout comme j'aurai ob�i � mes parents.

Moins d'une minute plus tard je me trouvais face � Dave et Roy, l'�clair de concupiscence qui s'allumait dans leurs yeux alors qu'ils me complimentaient me plongea dans un extr�me embarras.

J�tais certaine que Dave serait furieux et m'ordonnerait de me rhabiller.

J'avais tort ! ....

Il aimait ma tenue ! ....

Il m'attira contre lui et m'embrassa passionn�ment en me disant que j'�tais ravissante.

Il fit promettre � Anne de lui donner l'adresse web ou du site sur lequel elle s'�tait procur�e ces jolies choses pour qu'ils puissent m'acheter d'autres articles �rotiques.

On me donna un nouveau verre de cette boisson contenue dans le pichet qu'ils avaient amen�. Elle �tait r�ellement d�licieuse et quoi qu'elle comporta, elle contribua � me calmer rapidement.

Tout au long de l'apr�s midi Anne et Roy continu�rent � diriger la conversation abordant souvent des sujets qui me g�naient.

Ils avaient une sexualit� exub�rante qu'ils n'h�sitaient pas � �voquer, il me semblait que plus je buvais de verres de leur boisson, moins je me sentais g�n�e.

Apr�s avoir piqu� une t�te dans la piscine je constatais que mon maillot �tait totalement transparent. On distinguait clairement mes t�tons �rig�s et ma fentine d�broussaill�e. Je fis comme si c'�tait tout � fait normal.

Roy retourna deux reprises chez lui au cours de l'apr�s-midi pour remplir le pichet.

Nous �tions, Dave et moi, l�g�rement �m�ch�s.

On piqua une t�te � plusieurs reprises dans la piscine, j'�tais parfaitement consciente que mon bikini s'av�rait totalement transparent lorsqu'il �tait mouill�.

Roy m'allumait alors que nous �tions dans la piscine ce qui me faisait rire, je dus une bonne douzaine de fois r�ajuster mon haut de maillot qui avait gliss� exposant mes mamelons � l'air libre.

Je remarquais Anne jouait les gamines espi�gles avec Dave s'amusant � l'allumer.

Je remarquais aussi qu'une �norme bosse d�formait l'avant du maillot de Roy alors qu'il escaladait le rebord de la piscine.

Je ne pouvais m'e^p�cher de regarder cette grosse bosse me demandant ce que je ressentirai si cette �norme colonne de chair allait et venait dans mon �troite petite chatte.

Ma main avait effleur� � plusieurs reprises cette grosse d�formation alors que nous jouions dans la piscine, et je suppose que mes r�flexes amoindris par la forte quantit� d'alcool que j'avais absorb� au cours de l'apr�s- midi je n'avais pas r�sist� � la tentation de la serrer fermement entre mes doigts pour tester sa v�ritable grosseur.

Une paire d'heures plus tard, nous avions vid� le deuxi�me pichet de boisson Anne se leva soudainement et intervint :

Avant m�me que je dise un mot Dave r�torqua :

Je suis sure que c'�tait l'effet des boissons parce que justement je ne suis pas ce genre de personne qui agit sur un coup de t�te, et pourtant, je ne sais pas pourquoi, lorsque Roy se leva et �ta son �troit maillot de bain exposant son incroyable bite au soleil je restais captiv�e par cette vue qui m'aurait profond�ment effarouch�e et fait fuir en temps normal.

Puis il avan�a vers moi et d�noua les bretelles de mon maillot et le roula sur mes hanches me demandant de l'enjamber tandis qu'Anne enlevait le short de Dave exposant sa bite de taille moyenne mais totalement d�ploy�e.

Je regardais avec stup�faction Anne sourire et poser la main sur sa bite en disant :

C'est justement ce que je constatais, mes yeux �taient riv�s sur sa grosse mentule. J'�tais incapable de d�tourner les yeux de cette bite qui vibrait et grossissait encore sous mes yeux �bahis.

C'est alors que Roy m'empoigna et me projeta dans la piscine, plongeant dans mon dos.

Nous luttions bient�t dans l'eau alors que Dave et Anne s'�taient assis sur le bord et discutaient ensemble sans se soucier de nous.

Les mains de Roy se baladaient sur tout mon corps alors que nous jouions, il se permit m�me de poser ma main sur sa grosse bitte d�ploy�e, je ne sais pas encore pourquoi, mais je ne parvenais pas l'en �ter.

Je savais que c'�tait mal, que c'�tait extr�mement g�nant, mais J�sus que c'�tait bon ! .....

Elle �tait si longue, si �paisse, si band�e, en un mot si m�le...

Je ne sais pas comment cela arriva, mais bient�t je me serrais contre le rebord de la piscine alors que sa bite frottait contre ma fentine, mes jambes s'ouvrirent et sa bite s'enfourna dans ma chatoune sans aucun effort.

J'�tais certaine que ce serait douloureux, mais il me p�n�tra extr�me lentement, gentiment et nos yeux riv�s l'un � l'autre je ne m'�tais jamais sentie aussi combl�e.

Lorsque Roy fit coulisser son organe d�mesur� dans et hors de ma chatoune, ce qui me rendit tout de suite folle d'excitation, je jetais un coup d�il sur Dave et vit qu'en compagnie d'Anne ils nous ignoraient totalement.

Je ne sais pas pourquoi je me livrais � Roy, je ne sais pas non plus pourquoi je n'avais pas le r�flexe de lui dire d'arr�ter.

L'id�e que Dave puisse tourner la t�te et se rendre compte que je me faisais baiser par Roy dans la piscine � quelques pas de lui  me terrifiait ! .....

Roy me murmura � l'oreille :

Je regardais alors avec plus d'attention Dave et Anne, et remarquais bien vite qu'elle lui caressait la face interne des cuisses.

J'�tais extr�mement g�n�e lorsqu'elle se leva soudain repoussant du pied son transat pour se jeter � ses genoux et emboucher s�ance tenante sa bite ! ....

Je ne savais quoi ressentir. J'�tais soulag�e, il ne pouvait plus se montrer jaloux d�sormais ! ....

J'�tais extr�mement surprise de constater que les observer faire pouvait �tre aussi excitant et j'aimais sentir la grosse bite de Roy coulisser ais�ment dans ma chatoune accueillante.

Roy comprit que j'allais crier mon plaisir, il posa ses l�vres sur les miennes et me roula une pelle enflamm�e.

Je savais que c'�tait mal.

Nous n'�tions pas un couple �changiste ou quelque soit la fa�on d'appeler ces gens.

Nous �tions mari�s et heureux de l'�tre, on se comportait toujours en jeunes mari�s en fait.

Je n'avais jamais entretenu l'id�e d'avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari,  et il en �tait de m�me pour lui, j'en �tais sure.

Je ne parvenais plus � r�fl�chir, je me contentais de vivre les �v�nements, c�tait bien trop pour moi.

Avoir enfil� ce minuscule bikini si provoquant apr�s m'�tre fait raser la chatte par une femme, avoir participa � des conversations hautement �rotiques alors qu'on se relaxait au bord de la piscine, avoir tant bu de cette d�licieuse boisson que je savourais tant, tout cela c'�tait trop.

Je criais dans la bouche de Roy en jouissant, rebondissant d'orgasme en orgasme.

Jamais je n'avais ressenti d'orgasmes multiples auparavant et je n'�tais plus qu'une chiffe molle lorsque je sentis Roy �jaculer au fin fond de ma chatoune en me martelant de deux ou trois violents coups de boutoir.

Une fois qu'il eut joui en moi, il resta imbriqu� dans ma cramouille et nous roul�mes sur le flanc pour mieux observer Dave et Anne.

Dave �tait visiblement sur le point de jouir dans la bouche d'Anne, elle paraissait impatiente de savourer son sperme.

Dave se raidit, grogna sourdement et je vis les joues d'Anne se gonfler sous la pression du foutre qu'il lui projetait � flots dans la bouche, puis je la vis avaler la chaude potion avec des mines gourmandes.

J'aurais du �tre furieuse mais � ma grande stup�faction ce spectacle m'excitait follement.

Je sentis mes muscles vaginaux se crisper sur la bite  de Roy la serrant comme dans un �tau, en r�ponse sa bite prit encore plus de volume.

Nous regardions maintenant Anne se faire brouter par Dave, bien vite elle encha�na les orgasmes.

Ils devaient s'�tre rendus compte qu'on les observait avec attention, mais ils agissaient comme s'ils �taient seuls au monde.

Roy entreprit de sortir de la piscine avec sa grosse bite band�e toujours imbriqu�e dans ma foufoune ultra-sensible.

Il me transporta sur une petite zone herbeuse o� l'herbe �tait particuli�rement grasse et accueillante et m'allongea la bite toujours enfonc�e en moi.

D�s qu'il se mit � coulisser, je me retrouvais au septi�me ciel, je fermais les yeux savourant ces sensations enivrantes pendant plusieurs minutes, puis je sentis une main et une bouche s'emparer de chacun de mes nichons.

Je levais les yeux surprise sur Roy qui s'appuyait sur ses bras tendus, Anne et Dave s'occupaient chacun d'un de mes nibards.

Il y avait s�rement quelque chose d'autre que de l'alcool dans leur boisson sinon je n'aurai jamais consenti � ce genre d'exp�rience.

En fait c'�tait la plus excitante situation qui m'�tait jamais advenue et j'aurai voulu que cela ne cesse jamais ! .....

Je posais un bras autour du cou de Dave et l'autre autour de celui d'Anne et je les serrais tendrement tandis que Roy me faisait rebondir d'orgasme en orgasme.

Il se vida finalement en moi et tandis que je jouissais sous ses assauts, Dave me roula une pelle passionn�e, je me sens incapable de rapporter les �mois que je ressentais � cet instant.

L'amour, l'excitation, cette satisfaction des sens apais�s que je n'avais jamais autant ressenti qu'aujourd'hui.

Pour toutes ces raisons, je ne me sentais plus du tout g�n�e.

Finalement Roy se retira de ma foufoune et se dressa sur les genoux. Anne rempla�a Dave et se mit � m'embrasser avec passion me disant qu'elle me trouvait follement excitante.

Puis elle guida mon visage vers la bite de son mari enduite de nos secr�tions.

Je ne saurai expliquer pourquoi je la laissais m'inviter � faire une chose aussi r�pugnante.

Non ce n'est pas exact, elle ne me faisait pas faire, elle me pr�sentait cette opportunit� et j'ouvris la bouche et absorbais la plus grande part de la mentule de Roy dans ma bouche.

Comme je su�ais et l�chais son chibre, Anne me caressait le visage d'une main et la bite et les couilles de son mari de l'autre.

Dave m'embrassait dans le cou et sur mes �paules mignotant mes t�tons si sensibles me r�p�tant � quel point j'�tais sexy.

La bite de Roy se d�ployait rapidement dans ma bouche, son pouvoir de r�cup�ration m'�patait, sans parler de la dimension d�mesur�e que prenait son organe, lequel me semblait bien plus gros que lorsque je l'avais devant mon visage.

Ils me contr�laient tous trois  et bient�t l'�norme mentule de Roy p�n�tra de plus en, plus profond�ment dans ma bouche largement distendue.

Dave posa la main sur ma chatoune combl�e et y glissa ais�ment  plusieurs doigts alors qu'en m�me temps il m'�crasait le clito de son pouce.

Je r�agis en absorbant encore plus de la monstruosit� de Roy, je sentis alors la main d'Anne se poser sur la nuque m'invitant � avaler encore plus son gros chibre.

Je ne pansais pas que ce soit possible, en fait, je savais que c'�tait impossible, mais brutalement mes m�choires s'�cart�rent � la limite de la rupture alors qu'il avait plant� ses 25 centim�tres de bite dans ma gorge, ses burnes tapant contre mon menton.


Le plus �tonnant c'est que je ne paniquais pas.

Toutes les stimulations que je recevais me transformaient en une v�ritable marionnette � cet instant.

Je reculais ma t�te jusqu'� ne laisser que son gland dans ma bouche, puis je l'enfournais � nouveau jusqu'� la garde.

C'�tait de plus en, plus facile et j'�tais tr�s fi�re de mon exploit.

Je sentais sa bite vibrer dans ma gorge et je savais qu'il �tait sur le point de jouir dedans, mais il se recula, le gland � l'or�e de mes l�vres et je travaillais de concert avec Anne pour le faire jouir de nos mains.

C'�tait le troisi�me orgasme que je procurais � Roy, lors de cette derni�re demi-heure et j'�tais stup�faite du volume de sperme qui m'emplit la bouche, suintant autour de sa grosse bite.

Il extirpa finalement son chibre de ma bouche et j'avalais avidement son foutre, c'�tait quelque chose que je n'avais jamais fait cela avec mon mari.

Une fois que j'eus tout ing�r�, Anne ramassa d'un doigt le foutre qui s'�tait �tal� sur mon menton et me tendit son doigt � l�cher.

Je le su�ais docilement puis elle me poussa en avant pour cueillir les derni�res gouttes de semence poissant la bite de Roy.

Puis elle me redressa et me roula une nouvelle pelle.

Je n'avais jamais, avant ce soir, embrass� de femme de cette fa�on, je n'avais jamais m�me imagin� que je le fasse un jour, pour quelque raison que ce soit j'en �tais toute r�jouie, j'appr�ciais tout de cette soir�e.

Roy se releva et nous invita � faire de m�me. Nous avons rejoint lentement nos si�ges pour siroter un nouveau verre de leur d�licieux cocktail.

Je ne saurai pas expliquer pourquoi  nous �tions maintenant capables de nous asseoir en cercle enti�rement nus, et de discuter tranquillement entre nous, de rire et de plaisanter sans �tre autrement g�n�.

Je n'avais plus un seul brin de contr�le de moi  maintenant, ni le moindre sentiment de culpabilit� d'avoir bais� avec Roy, pas plus que de jalousie d'avoir vu Dave et Anne s'aimer avidement.

En fin apr�s-midi j'ai �t� frapp�e de voir que Dave suivait les avis de Roy et Anne, tout comme moi d'ailleurs.

Nous  semblions faire tout ce qu'ils souhaitaient, que ce soit quelque chose que nous aurions fait normalement ou pas.

Roy me poss�da deux fois encore tandis que Dave faisait cuire les steaks.

Chaque fois c'�tait aussi d�licieux que la premi�re fois.

Et chaque fois, au moment de conclure Anne et Dave nous rejoignirent pour jouir avec nous.

Un moment donn�, alors qu'Anne �tait �tendue � cot� de moi me tenant la main et que Dave lui faisait l'amour, Roy me rendit encore folle de plaisir en me ramonant une fois de plus avec sa grosse bite.

Chaque fois qu'il me prenait, il me pr�sentait sa bite � nettoyer avec ma bouche et mes l�vres, ce que je faisais sans aucune h�sitation.

Je remarquais qu'une fois que Dave avait fait l'amour � Anne elle lui demandait de nettoyer sa fentine avec sa langue.

C'�tait encore une chose dont Dave ne m'avait jamais fait profiter !

Un peu avant 17 heures Roy sugg�ra � Dave de faire cuire les steaks, il s'empressa de se lever et d'allumer le grill.

Anne me sugg�ra de mettre la table, je rentrais dans la maison pour aller chercher des assiettes les couverts que je disposais obligeamment sur la table selon ses v�ux.

Puis je posais les salades et dix minutes plus tard nous nous r�galions de concert.

Je remarquais que tout me semblait bien meilleur en cette fin d'apr�s-midi.

La baise �tait bien meilleure, la nourriture �tait bien meilleure, la boisson �tait d�licieuse, je semblais profond�ment amoureuse de nos nouveaux voisins que nous rencontrions pour seulement la seconde fois, je me d�brouillais pour tout faire pour leur plaire !

Je suppose que c'est pour cela que je ne refusais pas lorsque Anne me repoussa � nouveau sur la pelouse m'allongeant sur un coussin avant de s'�tendre sur moi.

Nous nous roulions des pelles fi�vreuses en se pelotant, je participais avec joie � cette s�ance de gouinage.

Je lui refaisais toutes les choses d�licieuses qu'elle me prodiguait.

Alors que nous faisions l'amour, je vis du coin de l�il que les hommes se tenaient � nos cot�s, leurs bites se d�ployant � nouveau alors qu'Anne s'embrasait, pour la premi�re fois je go�tais au jus d'une autre femme.

Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais je me sentais oblig�e de lui complaire, aussi lui su�ais-je avec avidit� la foufoune, j'adorais �a !

Nous avons joui � plusieurs reprises avant que Roy nous s�pare, me faisant mettre � genoux pour me prendre par derri�re.

Tandis que Roy baisait � nouveau ma chatoune accueillante, Dave se pencha sur moi et j'enfournais avec facilit� ses 18 cm de bite au fond de ma gorge, il semblait que chaque fois que je pensais que les choses ne pouvaient pas �tre plus excitantes, Roy et Anne me d�montraient que j'avais tort.

Dave  jouit rapidement dans ma bouche et j'avalais sa semence pour la premi�re fois !

Il s'affaissa alors et regarda Roy me remettre sur les genoux et m'attirer �troitement contre son torse, malaxant mes nichons tout en me baisant avec vigueur.

Il jouit � son tour et, sans m�me qu'on me le dise, je pivotais et engloutis sa bite mollissante dans ma bouche impatiente que j'�tais de savourer ses flots de jute grasse.

Il me tapota la t�te, comme on le fait avec un jeune chiot, me r�p�tant que j'�tais vraiment une bonne tailleuse de pipe.

Tout au fond de mon esprit l'id�e que j'aurai du refuser ces assauts lubriques persistait, mais je n'en tenais aucun compte, captiv�e par les compliments de Roy.

Puis survint la chose la plus surprenante de toute cette nuit, lorsque jeus termin� de nettoyer sa queue et ses burnes, il m'ordonna de m'allonger sur le dos et d'�carter les cuisses en grand.

J'ob�is s�ance tenante, et je vis avec stupeur Anne guider Dave entre mes cuisses, fourrer son visage tout contre ma chatte engorg�e de foutre.

J'�carquillais mes yeux comme des soucoupes alors que sans aucune h�sitation Dave lapait voracement le foutre que Roy avait largu� dans ma foufoune.

Tandis qu'il me butinait le gazon, Roy se pencha au-dessus de ma t�te et sugg�ra que ce serait encore meilleur si je lui nettoyais le trou du cul.

J'obtemp�rais.

J'eus bient�t un nouvel orgasme sous les caresses de la langue de Dave qui me bouffait avidement le minou.

Nous nous sommes alors relev�s tous les quatre et nous avons regagn� le patio.

Anne me sugg�ra alors de nettoyer la table, ils s'assirent tous me regardant ob�ir sans m�me me poser de questions.

Lorsque j'eus nettoy� la cuisine et le patio je les rejoignis et vidais un nouveau verre de leur potion.

Nous �tions assis tous 4 enti�rement nus et d�contract�s au tour de la table, Roy et Anne menaient la conversation clamant qu'on avait tous 4 pris un plaisir extr�me ensembles. Tout nous semblait normal.

Ils nous dirent qu'ils retournaient chez, il se faisait tard, ils nous souhait�rent une bonne nuit nous avisant qu'ils avaient organis� une journ�e d'enfer pour le lendemain.

Nous avons accept� leur d�cision sans moufter. Nous nous sommes roul�s des pelles, je veux dire nous leur avons roul� des pelles en les quittant.

Puis nous sommes all�s au lit nous lovant l'un contre l'autre.

Je ne me rappelle pas m'�tre jamais endormi aussi vite.

Nous nous sommes r�veill�s t�t au petit matin ce que nous ne faisions jamais le dimanche et nous avons pris une douche ensemble.

Nous n'avions aucun remords en ce qui concerne les �v�nements de la veille.

Nous nous sourions l'un l'autre, nous embrassions, nous caressions, nous n'�prouvions aucun repentir, juste un profond amour.

10 f�vrier 2008

Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Vulgus



Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 2


Our First New Home


Coulybaca / Vulgus




   Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.



  �


Chapitre 2 :


Lundi : les amis de nos nouveaux amis, premier jour au boulot.



  Apr�s notre douche nous avons regagn� notre chambre pour enfiler quelques v�tements quand Dave intervint soudain:


-         Nous n'avons pas besoin de ces v�tements... Je pr�f�re rester nu !� Et toi ?



  J'y r�fl�chissais une paire de secondes et r�alisais que moi aussi je pr�f�rai rester nue.


Aussi nous sommes all�s dans la cuisine pr�parer notre petit d�jeuner, Dave se chargea du caf�. Puis nous nous sommes install�s dans le patio pour prendre notre petit d�jeuner.



  Alors que nous d�jeunions, je jetais un coup d��il circulaire sur l'arri�re cour repensant � tout ce qui s'�tait pass� la veille.


J'avais un l�ger sentiment de remords dont je n'identifiais pas la raison.


Profond�ment enfoui dans mon esprit,� je savais que ce que nous avions fait �tait mal et que de plus cela ne nous ressemblait pas du tout de nous comporter ainsi.


Ce sentiment commen�ait � peser de plus en, plus fort sur mes �paules alors que la matin�e s'avan�ait.



  Anne nous rejoignit vers 10 heures, elle tenait un verre dans chaque main.


C'�tait le m�me cocktail que nous avions savour� la veille, elle me tendit un verre et l'autre � Dave nous invitant � les vider.


Je voulais lui dire que je ne buvais jamais d'alcool dans la matin�e mais elle se contenta de me sourire et d'ajouter :


-         Petite sotte, je suis bien sure que tu vas boire ton verre, tu dois faire tout ce que je veux !



  Je savais que je ne voulais vraiment pas boire le verre que j'avais en main, mais je r�alisais soudain que je devais lui ob�ir et le vider.


Je le sirotais et aussit�t les doutes qui m'assaillaient disparurent comme par enchantement, je ne me rappelais m�me plus les avoir eu.



  Anne s'assit et on vint la rejoindre autour de la table. Elle �tait habill�e de pied en cap alors que nous �tions enti�rement nus, mais quelle qu'en soit la raison cela ne nous perturbait pas.


Une quinzaine de minute plus tard arriva Roy et tendit � Dave une� paire de caisses de bi�re en lui disant de les mettre au frais.


Il nous dit qu'il �tait si heureux de nous avoir rencontr� qu'il avait invit� de ses copains � faire notre connaissance.


Ils devaient ne plus tarder � arriver.



  Je me levais pour aller m'habiller mais Anne me coupa dans mon �lan :


-         O� vas-tu ma ch�rie ?



  Je lui disais qu'il fallait que j'enfile des v�tements, mais elle me coupa � nouveau :


-         Mais non ma ch�rie, t'es bien plus belle comme �a !� Les copains de Roy vont beaucoup aimer te voir nue...� De plus tu dois te sentir beaucoup plus � ton aise dans cette tenue !



  Je m'entendis lui r�pondre que oui, sans m�me y penser.



  Je retournais � mon si�ge lorsque m'attira � lui.


Je me suis assise sans h�sitation me r�jouissant de sentir ses mains comme p�trir mes miches et me doigter la chatoune.


Il extirpa son doigt de ma cramouille, le tendit vers mon visage et s'exclama en souriant :


-         Dis donc ch�rie, on dirait que t'es tout � fait pr�te � te faire � nouveau baiser, n'est ce pas ?



  Je souris en hochant la t�te, il introduisit alors son doigt entre mes l�vres et je le nettoyais avec enthousiasme.


Bient�t des �trangers arriv�rent par la porte que Roy avait laiss�e grande ouverte.


Cela ne me d�rangeait nullement, je me mis � leur servir des boissons fra�ches, me baladant entre eux, ils me caressaient, m'embrassaient et faisaient ce qu'ils voulaient sans que cela m'offusque !


Je ne sais pas combien d'hommes se tenaient maintenant dans l'arri�re cour de la maison,� mais plus tard dans l'apr�s-midi il m'apparut qu'elle �tait pleine.


Anne avait apport� une autre cruche de cocktail, j'en bus � plusieurs reprises avec Dave cet apr�s-midi.



  Vers 17 heures Roy me fit allonger sur une couverture qui avait �t� �tendue sur la pelouse.


Je remarquais que deux hommes se tenaient � proximit� des cam�ras vid�os professionnelles en mains point�es sur moi.


Mais cela ne m'effaroucha pas, je n'en tenais pas compte !



  Roy me roula un patin puis annon�a :


-         Regardez la bien les gars, vous allez avoir du mal � le croire!



  Puis il me poussa � genoux, ouvris sa braguette je l'aidais � descendre son pantalon sur ses jarrets.


Il ma tapota la t�te et ajouta :


-         C'est bon, montre � mes copains que t'es une merveilleuse suceuse de bites !



  J��tais anxieuse de ne pas me montrer � la hauteur.


Je commen�ais par embrasser et l�cher sa hampe et ses grosses burnes puis j'embouchais sa mentule, et l'enfournais en un rien de temps au fin fond de ma gorge, ses poils pubiens r�paient mon menton.


Je lui malaxais lascivement les couilles alors que je faisais coulisser de mon mieux sa grosse bite dans mon gosier accueillant.



  J'entendais fleurir les commentaires enthousiastes des assistants alors que je cajolais tendrement la bite de Roy.


Cela ne dura pas aussi longtemps que la veille.


Il jouit assez rapidement en fait, et je me sentais l�g�rement d��ue lorsqu'il cracha un flot de foutre puis retira sa bite mollissante de ma bouche.


Il vit que j'�tais d�pit�e, il me tapota � nouveau la t�te me consolant :


-         Ne te tracasse pas ma ch�rie, tous mes amis sont pr�ts � te combler, tu vas disposer de bien plus de� bites que tu aurais pu seulement l'esp�rer !� Es-tu pr�te � y go�ter ?



  Pour quelque raison que ce fut j'en voulais plus !


Je secouais la t�te avec impatience, Roy s'avan�a alors vers moi.


C'est alors que tout a d�marr�, cela commen�a vers 17 heures et jusque 2 heures du matin des bites inconnues visit�rent constamment mes orifices.


Quelque fois un seul me prenait, parfois deux simultan�ment.


G�n�ralement les hommes qui me baisaient en bouche d�versaient des flots de foutre dans ma gorge, mais quelques-uns uns extirp�rent leurs bites de mes l�vres et m'asperg�rent le visage !


Lorsqu'ils faisaient cela, Dave se pr�sentait pour me nettoyer le visage avec sa langue !



  Lorsque deux ou trois hommes s'�taient vid�s les couilles dans ma foufoune, je devais m'�tendre sur le dos et � nouveau Dave me nettoyait la chatte su�ant, l�chant, aspirant le jus qui d�gorgeait de ma cramouille inond�e, ou parfois c'est lui qui s'�tendait sur le dos et je devais enjamber son visage pour qu'il puisse curer ma chatoune en profondeur.


Au milieu de la nuit, tandis que je su�ais avidement une �norme bite quelqu'un ins�ra un doigt dans mon anus.


Son doigt �tait enduit d'une pommade tr�s fra�che il p�n�tra ais�ment mon oeillet ridel�, je ne pensais m�me pas � leur crier d'arr�ter...� Je ne sais pas pourquoi...�� Je n'avais jamais permis � Dave de voir mon trou du cul, encore moins de le toucher !



  Les spectateurs regardaient attentivement cet homme introduire un, puis deux, et finalement trois doigts dans mon anus m'�vasant imparablement le goulot !


Puis il retira ses doigts et je sentis la masse mafflue de son gland presser mon anus.



  Cela me faisait atrocement mal, mais je n'essayais pas pour autant d'�chapper aux mains de mon enculeur.


Je continuais de me concentrer sur la mentule que j'avais en bouche alors que l'homme dans mon dos ma cassait le trou du cul� � la grande joie des spectateurs enthousiastes.



  Puis ils sembl�rent se partager entre ma chatte et mon trou du cul, � l'exception des moments o� ils me prenaient en sandwich.


La premi�re fois, j'enfourchais un gros chibre et l'accueillais bien au chaud dans ma cramouille, tandis qu'un musculeux gaillard noir, que je r"marquais pour la premi�re fois, me tirait contre son buste et me tenait fermement serr�e contre lui tandis qu'un troisi�me s'agenouillait entre mes jambes et forait son trou dans mon anus resserr�.


Je hurlais de douleur mais pour me faire taire quelqu'un choisit cet instant pour se vider les couilles dans ma gorge, cela arriva � plusieurs reprises au cours de la nuit, je ne saurai dire combien de fois !


La chose qui me restait en t�te c'est que Dave, encore et toujours, me nettoyait la chatte et le trou du cul d'une langue agile, je ne me demandais m�me pas pourquoi il faisait cela, il avait l'air �gar�, on aurait dit qu'il n'�tait pas l�.


Mais j'�tais bien trop occup�e pour lui pr�ter une attention soutenue.


Apr�s une bonne heure, Anne, s'approcha des� verres de son d�licieux cocktail en main que je d�gustais de concert avec Dave avant de retourner � mes luxurieuses activit�s !



  Ils m'abandonn�rent sur le coup de deux heures je me relevais douloureusement.


Je m'approchais de Roy et Anne assis dans le patio.


Je ne posais aucune question � la vue de Dave agenouill� su�ant la bite de Roy, avalant sa bite � pleine gorge.


Je le fixais un bon moment, c'est alors qu'Anne me fit signe de m'agenouiller entre ses cuisses.


J'allais me mettre � genoux sur le ciment lorsqu'elle coupa mon �lan m'envoyant du bout du pied un coussin.


Je m'agenouillais donc et elle remonta sa jupe, je lui butinais la chatoune pendant un long moment, elle succomba � plusieurs orgasmes cons�cutifs.


J'entendis Roy jouir dans la bouche de Dave, ils nous permirent ensuite de nous reposer quelques instants.


Mais rapidement je dus satisfaire les deux mecs qui avaient film� toute la soir�e avant leur d�part.



  Dave s'assit passivement alors que l'on me couchait sur le dos sur la couverture, ils m'encul�rent chacun � leur tour.


Lorsque le premier en termina, je nettoyais sa bite d'une langue habile puis ce fut au tour du second, je pus alors savourer un nouveau verre de leur d�licieux cocktail.



  J'�tais �reint�e, dans des circonstances normales j'aurai pris une douche avant de me coucher, mais rien n'�tait normal dans ce qui nous arrivait !


Nous le r�alisions � peine.



  Roy et Anne finirent par se lever, ils nous intim�rent alors de nettoyer l'arri�re cour avant d'aler nous coucher, puis ils partirent chez eux.


Nous nous sommes lev�s et avons jet� un coup d��il p�riph�rique, l'arri�re corps �tait dans un bordel d�fiant toute imagination. De nombreuses bouteilles de bi�res jonchaient le sol ainsi que des boites � pizza.


Il me frappa soudain que nous n'avions rien mang� depuis notre petit d�jeuner, mais avec les doses de foutre que nous avions aval� tous deux, nous devions avoir l'estomac plein !�


Peut-�tre bien que c'est pour cela que je n'avais pas faim !


Je rassemblais les emballages vides alors que Dave gagnait le garage pour aller y chercher des sacs � poubelle vides.


Cela nous prit une bonne heure pour nettoyer la cour, nous nous sommes alors autoris�s � aller au lit.


Je ne sais pas si c'est � cause de la fatigue, ou parce qu'Anne ne nous l'avait pas dit, mais nous n'avons pas pris de douche avant de gagner notre grand lit.


Nous nous sommes lov�s l'un contre l'autre nous r�fugiant dans les bras de Morph�e !



  Lorsque le r�veil sonna 3 heures plus tard,� nous nous sommes �veill�s p�niblement.


Tout mon corps �tait endolori.


Mes nichons �taient couverts de bleus, mes cuisses aussi.


La douleur �manant de mon trou du cul et de ma chatoune retint toute mon attention. J'avais envie de me faire porter p�le.


Je pris une douche esp�rant que cela calmerait mes douleurs, mais il n'en fut rien.


Je gagnais le salon et tendais la main pour me saisir du t�l�phone lorsque je vis un message �pingl� juste au-dessus.


Je le saisis et r�alisais tout de suite qu'il s'agissait d'un message d'Anne.



  C'�tait court et gentil, elle nous disait :


-         Dave et Donna nous avons pass� une merveilleuse soir�e avec vous, c'�tait vraiment super. On vous attend ce soir apr�s souper, on a quelque chose � vous montrer.


A partir de cet instant, le port de sous-v�tements vous est absolument interdit � l'un comme � l'autre, de plus Donna nous voulons que tu portes des tenues extr�mement sexy. On t'interdit de te faire porter p�le � ton boulot, tendrement...Anne.



  Je tendis le message � Dave alors qu'il s'habillait.


Nous nous sommes regard�s un bon moment puis il se d�v�tit et enleva ses sous-v�tements.


Quoi qu'il en soit nous devions ob�ir � ce dictat, comme nous noues �tions soumis � toutes leurs volont�s pendant ce week-end qui nous avait vu �voluer� enti�rement nus.


Nous �tions parfaitement conscients de nos actions m�me si cela ne nous ressemblait pas du tout d'agir ainsi.


Nous �tions tr�s g�n�s mais nous devions ob�ir.


Quoique nos voisins veuillent nous faire faire, nous devions obtemp�rer,� leur emprise �tait telle que nous nous sommes habill�s comme indiqu�s, puis nous sommes partis travailler apr�s avoir pris un rapide d�jeuner constitu� de c�r�ales.



  Je ne peux que m'imaginer le type de journ�e que subit Dave, la mienne avait �t� parfaitement ha�ssable.


Tout d'abord j'�tais v�tue de fa�on bien plus provocante que d'ordinaire, lorsque je m'assis � mon bureau cherchant � exp�dier mon travail, les �v�nements de ce week-end flashaient dans mon esprit, j'�tais d�chir�e entre totale humiliation et folle excitation.


Mais, vers la fin de la journ�e de travail, et quel que ce soit ce qui maintenant une telle emprise sur mon esprit, je me sentais de plus en plus honteuse et de moins en moins excit�e.



Vers 15 heures je me rendis aux toilettes, m'enfermais dans une cabine et pleurais toutes les larmes de mon corps pendant quelques minutes avant de reprendre difficilement mes esprits et mon self-control.


Je s�chais alors mes yeux, gagnais l'�vier me rafra�chissais le visage et me remaquillais.


Je retournais � mon travail le temps de recevoir un appel de mon superviseur me convoquant dans son bureau.




   Je me levais et gagnais le coin de la pi�ce ou se tenaient les bureaux des superviseurs.


Celui de monsieur Jefferson �tait tout au coin, deux grandes baies vitr�s donnaient su la salle ce qui lui permettait de nous surveiller facilement.


Je frappais � sa porte, il me dit d'entrer et de m'asseoir.


Il se leva et ferma les stores de ses fen�tres, verrouilla sa porte puis revint � son bureau et s'assit face � moi.



  -         Donna, je n'ai pu m'emp�cher de remarquer que vous avez totalement fait du code de v�ture en usage dans notre �tablissement !� Levez-vous je vous prie !



  Je me levais appr�hendant d�j� la suite, je regardais mes mains crisp�es devant moi.



  -         Je vous prie de m'excuser monsieur Jefferson, je ne sais vraiment pas � quoi je pensais ce matin ! Soupirais-je mis�rablement.


J'�tais tr�s g�n�e d'�tre appel�e dans son bureau, dans la tenue que je portais,� j'�tais tr�s humili�e d'autant plus que je craignais �norm�ment cet homme que je m�prisais par ailleurs.



  Il continua � me toiser des pieds � la t�te puis il ajouta :


-         Vous portez un chemisier quasiment transparent, une mini-jupe et pas de soutien-gorge ! Vous n'avez pas mis de collants, qu'avez vous encore oubli� d'enfiler Donna ?



  Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais oblig�e de lui r�pondre.


-         Je ne porte aucun sous-v�tement monsieur Jefferson, je suis d�sol�e !



  Il me regarda fixement pendant quelques instants, puis il tendit lentement la main, attrapa l'ourlet de ma jupe qu'il retroussa lentement d�voilant en entier mon bas-ventre.


Je me tenais debout devant lui passive, je le laissais faire sans un mot de protestation.


Il coin�a le bas de ma jupe dans la ceinture et sa main glissa sur mon ventre vers mon mont chauve.


Il me reluquait de la chatoune aux yeux, alors qu�il glissait un des ses doigts entre mes babines.



  -         Belle petite chatte ras�e...� Constata-t-il hilare.


-         Ferm�e, douce, soyeuse... On dirait une petite fille... Mais que sont ces nombreuses contusions sur vos cuisses ?



  Je ne savais pas quoi lui dire, finalement je me d�cidais :


-         Nous avons organis� une petite f�te la nuit derni�re et cette soir�e a d�g�n�r� !


-         C'est ce que je vois ! S'esclaffa-t-il vicieusement.



  Alors que son doigt coulissait lentement dans ma chatoune inond�e de cyprine, il m'ordonna de d�boutonner mon corsage.


J'aurai voulu d�sesp�r�ment pouvoir tourner les talons et fuir son bureau !


Mais je fis ce qu'il m'ordonnait, je d�boutonnais mon corsage laissant pendre les pans.



  Son autre main se posa sur mon �paule et glissa sur mon bras alors qu'il inspectait mes nichons.



  -         Magnifique ! S'exclama-t-il


-         Magnifique mais quelque peu meurtri !� Je ne pensais pas avoir d�j� vu une chatoune aussi couvertes de bleus !� Dr�le de f�te ! Combien d'hommes t'ont saut�e ?




   -         Je ne sais pas...� Avouais-je mis�rablement.


Je me mis � pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi je me laissais tripoter ainsi.


De toutes les fibres de mon �tre j'aspirais � tourner les talons pour m'enfuir en hurlant de son bureau.



  -         Ta pauvre petite minette est-elle douloureuse ? M'interrogea-t-il feignant de se montrer pitoyable.



  Je hochais affirmativement la t�te, alors que la journ�e avan�ait j'�tais de plus en plus consciente de souffrir de tout mon corps.



  -         Bon dans ce cas� je ne vais pas te baiser la chatoune aujourd'hui, � la place tu vas me tailler une bonne pipe !



  Il se leva et d�boutonna sa braguette laissant tomber son pantalon sur ses genoux, puis il se pencha en arri�re sur le bureau.


Je fixais craintivement la porte qui �tait ferm�e mais non verrouill�e, mais je suppose que ce n'�tait pas un probl�me.


Je me laissais tomber � genoux et pris sa bite band�e en bouche et commen�ais � le branler consciencieusement.


Visiblement il raffolait des caresses de mes l�vres sur sa hampe, il g�missait sourdement alors que le su�ais habilement comme j'avais appris � le faire ce week-end.


Il jouit si rapidement que je ne m'y attendais pas et j'�touffais presque en r�ceptionnant son foutre au fond de ma gorge.


Il me tenait fermement la t�te contre son ventre me disant :


-         Continue salope !



  Je lui ob�is servilement, cela prit plus longtemps cette seconde fois mais ce ne fut cependant pas tr�s long avant qu'il me remplisse de nouveau la bouche de foutre.


Finalement il me remit sur pied et me tourna autour levant le dos de ma jupette pour inspecter mon cul.



  -         Merveilleux !� S'�cria-t-il ravi.


-         Dor�navant tu t'habilleras toujours comme aujourd'hui ! Et maintenant sors de mon bureau et rentre chez toi !


Je jetais un oeil sur l'horloge au mur, cela faisait 5 minutes que je devrais �tre sortie, tout le monde devait avoir quitt� les lieux.


Je r�ajustais ma jupe, refermais mon chemisier et le reboutonnais et gagnais mon bureau pour y reprendre mon sac � main.


Puis h�b�t�e, je regagnais ma voiture.


Je rentrai � la maison comme dans un nuage, bient�t je me retrouvais gar�e dans l'all�e de notre garage, je ne me rappelais absolument pas comment j'�tais rentr�e.



  Je p�n�trais dans notre nouvelle demeure et me rendais dans notre chambre, je me d�shabillais prestement et pris une douche.


Puis je m'effondrais sur le lit et pleurais toutes les larmes de mon corps.


Finalement je repris mes esprits enfilais une tenue d'int�rieure et gagnais la cuisine pour pr�parer le souper.


A moins qu'il ne m'appelle pour me pr�venir qu'il serait en retard, j'attendais Dave pour 17 heures 30.



  Lorsqu'il arriva le souper �tait pr�t, il vint dans la cuisine et me serra dans ses bras me demandant :


-         Par le diable que nous arrive t-il ?


Je me blottis contre sa poitrine et me mis � pleurer en lui r�pondant :


-         Je ne sais pas, Roy et Anne nous ont fait quelque chose, ils nous ont drogu�s ou quelque chose de ce genre... Oh mon dieu Dave �a a �t� �pouvantable...� Toute la journ�e fut �pouvantable !



  Je ne me rappelais de tout ce qui m'�tait arriv� dans la journ�e mais je me rappelais ce sentiment d'humiliation et de honte que j'avais �prouv� � longueur de temps.


Je me rappelais soudain que Roy et Anne nous attendaient apr�s d�ner, il fallait y aller. Je ne sais pas pourquoi, mais nous devions ob�ir.



  Dave me serra bien fort et ajouta :


-         Je sais ma ch�rie, je ressens la m�me chose ! Je sais ce que tu entends en disant te rappeler de certaines choses, toute la journ�e je me suis rem�mor� les choses que nous avions subies la nuit derni�re, c'�tait l'enfer, tout le week-end !�


-         Toute la journ�e j'ai eu des naus�es, j'avais envie de rentrer � la maison, mais je me souvenais du message de ce matin et que je me devais d'ob�ir, mais le brouillard qui m'avait envahi l'esprit s'efface peu � peu, quoi qu'il soit...� Nous devons juste faire bien attention de ne pas manger ni boire n'importe quoi chez eux ce soir !



  J'opinais de la t�te et servais le souper.


Nous avons mang� lentement, nous �tions tous deux anxieux � l'id�e de rejoindre nos "amis" !


Apr�s souper, je nettoyais la table et faisais la petite vaisselle alors que Dave enfilait une tenue du soir, puis nous sommes all�s frapper � la porte voisine.




   18 f�vrier 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus


Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 3


Our First New Home


Coulybaca / Vulgus




   Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.



  �


Chapitre 3 :


Mardi : soir�e chez nos amis, � premier transports � en bus et seconde journ�e au boulot�




   Anne ouvrit la porte, nous allions entrer mais elle nous a coup� dans notre �lan.



  -         Enlevez vos v�tements avant d'entrer ! nous intima-t-elle autoritairement.


-         Dor�navant vous ne viendrez plus chez nous habill�s, � moins que nous vous le disions !


Elle nous parlait amicalement, d'une voix aimable, mais elle nous donnait un ordre, comme un adulte parlant � des gosses de quatre ans.



  Nous avons tous deux opin� de la t�te et nous nous somme d�v�tus prestement nous tenant dans la lumi�re brillante de l'entr�e.


J'entendis des voitures qui roulaient sur le boulevard s'arr�ter, mais je n'avais pas le courage de me retourner pour regarder.



  Anne nous permit enfin d'entrer nos v�tements � la main.


On jeta nos fringues sur une chaise comme elle nous l'enjoignit puis on la suivit dans la salle de T�l�.


Roy s'y tenait d�j� discutant avec les deux hommes qui avaient film� la s�ance de la veille.



  Roy nous d�signa les deux verres de cocktail pos�s sur la table et nous intima de les boire.


Dave le pria de ne pas nous faire boire ce breuvage, il se contenta de nous regarder en souriant, il savait que nous allions finalement lui ob�ir.



  J'avais les yeux plains de larmes en prenant un des verres que je vidais cul sec.


Je suppose que c'�tait la m�me boisson que nous avions sirot� tout le week-end.


Mais, sans le parfum fruit� de camouflage, cette potion s'av�rait terriblement am�re.


Nous nous regardions dans les yeux Dave et moi en vidant nos verres avent de les reposer sur la table.



  -         Ne vous tracassez pas ! intervint Roy


-         Juste un verre chaque soir pendant le reste de la semaine !


-         Qu'est ce que c'est ? Osais-je demander.


-         Que nous avez-vous fait ?


-         Ca me parait �vident Donna,� c'est une drogue que mes laboratoires pharmaceutiques ont d�velopp� pour combattre la d�pression, mais qui se trouva voir un effet particulier que je viens de d�couvrir r�cemment en pratiquant les tests d'essais.


-         Elle agit sur le propre arbitre le r�duisant � n�ant, il annule toute possibilit� de refuser quoi que ce soit � qui que ce soit, je l'ai m�lang� avec une bonne dose d'aphrodisiaque ce week-end pour vous rendre les choses plus agr�ables.


-         Mais en fait, on ne voulait pas vraiment vous faire plaisir, c'est beaucoup plus amusant de vous faire faire des choses que vous r�prouvez de toute votre �me, parce que vous n'avez pas le choix.


-         Nous avons appris que l'absorption de sept doses de cette drogue rend ces changements d�finitifs, afin que vous gardiez espoir, je dois vous pr�ciser qu'il existe un antidote que nous vous donnerons certainement lorsque nous serons las de vous.


-         Mais d'ici l�, je crains fort que vous soyez oblig�s de nous complaire, d'ob�ir � tous nos ordres et m�me aux suggestions de n'importe qui.


-         Vous serez totalement incapables de mettre en oeuvre votre libre arbitre.



  -         Vous avez certainement remarqu� que les effets de cette drogue diminuaient alors que le jour avan�ait, d'ici la fin de la semaine cela n'arrivera plus.


-         Vous avez certainement aussi remarqu� que l'effet de l'aphrodisiaque avait disparu, lorsque je serai de bonne humeur je vous en rendrai une forte dose quand la situation s'y pr�tera...� Mais je pr�f�re savoir que vous ha�ssez ce que vous fa�tes !



  Nous nous tenions tous deux stupidement devant eux, alors que Roy et ses deux amis se levaient et se d�shabillaient.


Ils se rassirent tout de suite, Roy et l'un des cameramen �taient assis cote � cote sur le large canap�.


Je regardais l'homme � cot� de Roy ordonner � Dave de s'�tendre � son cot� avec son visage tourn� vers lui.


Je dus faire de m�me avec Roy.


Lorsque je fus �tendue la bouche referm�e sur la virilit� de Roy je sentis mes cheveux frotter contre ceux de Dave.



  Anne empoigna la t�l�commande et se tourna vers le grand �cran T�l�, d�s qu'elle appuya sur la touche lecture, le DVD d�fila.


Il concernait la soir�e de la veille, maintenant sans �tre sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, je r�alisais le nombre d'hommes qui m'avaient poss�d�e.


Je ne pouvais pas les compter, ils �taient bien trop nombreux et ils ne cessaient de bouger, je vis aussi que le l�chage de ma chatte engorg�e de foutre n'avait pas �t� la seule d�pravation qu'avait endur� Dave.


Plusieurs hommes s'�taient fait sucer la bite, deux autres l'avaient m�me encul�, je n'�tais pas au courant de ces faits.



  Roy la coupa :


-         Je suppose que vous vous demandez combien il y avait d'hommes hier soir.


La bouche serr�e sur sa grosse bite, je grommelai que oui.


-         Eh bien, j'�tais un peu d�sappoint�, j'avais invit� une bonne centaine de convives, mais il n'en vint que 72�� Certains ne pouvaient pas sortir de chez eux un dimanche soir, d'autres �taient d�j� retenus, mais, pour faire bonne mesure presque la moiti� de mes invit�s te bais�rent � deux reprises... T'�tais follement excit�e ma ch�re Donna, Les gars ont ador� se faire une jeune m�nag�re aussi douce ob�issante...� Tu leur as tourn� la t�te, juste comme tu me tournes la t�te maintenant...� Tends ta main et branle moi lascivement, je suis sur le point de jouir, ne ferrme pas les yeux ! Une cam�ra et braqu�e sur nous et je ne veux pas que tu perdes une miette du document que ces deux gentlemen ont eu du mal � finaliser.



  J'entrepris de branler Roy, et en peu de temps il vomit son foutre cr�meux dans ma bouche. C'�tait plus difficile � supporter maintenant que je n'�tais plus sous l'emprise d'aphrodisiaques, l'ignoble potion me br�lait la gorge alors que je me for�ais � d�glutir.



  Lorsque Roy fut enti�rement satisfait de ma prestation, il me repoussa et l'autre cameraman m'appela.


Il se tenait � cot� de Dave, la bite d�ploy�e.


Il m'ordonna de m'asseoir sur lui et de le chevaucher sans perdre des yeux l'�cran t�l�.



  Comme je montais et descendais sa mentule dress�e, je sentais mes nichons se balancer douloureusement, Roy semblait appr�cier le spectacle.


Il m'ordonna de garder les mains le long du corps.



  Roy me demanda s'il m'�tait arriv� quelque chose d'inhabituel aujourd'hui, je dus lui relater ce qui s'�tait pass� avec mon superviseur.


Lorsque j'eus termin� de lui narrer mon aventure ils explos�rent tous de rire.


L'homme qui se faisait sucer par mon mari saisit finalement fermement sa t�te afin de se vider dans sa bouche asservie.



  Dave gargouilla un peu, mais se d�brouilla pour tout avaler.


D�s que son suborneur le repoussa, Anne l'appela et lui ordonna de plonger sa t�te sous sa jupe pour lui brouter le minou.


Roy le coupa dans son �lan :


-         Non, attends cinq minutes Anne !� On va juste voir le premier enculage de Donna et son premier triple, je serai d�sol� que Dave manque cette s�quence !



  Je regardais avec horreur, me souvenant de p�nible, alors qu'un �tranger me lubrifiait soigneusement le trou du cul sous les yeux de la foule des spectateurs avant de forer son trou dans mes fesses.


J'entendais mes hurlements de douleur partiellement �touff�s par la grosse bite qui me b�illonnait.



  Le film �tait savamment structur�, il montrait tous les participants alors qu'ils fourraient leurs bites dans ma bouche, mon con ou mon cul.


On voyait le d�but et la fin de chaque action, alors que l'intervalle �tait largement amput� par souci de minorer la dur�e du DVD.


L'orgie dans son entier avait dur� 9 heures, il en existait une version totale en 4 DVD destin�e � la vente, alors que nous regardions une version all�g�e.



  Tout en regardant le DVD je m'�tais penchais sur le ventre de Roy dont je su�ais la queue pour lui rendre toute sa vigueur.


Il m'informa qu'il n'avait pas eu l'occasion de m'enculer la veille et qu'il allait le faire tandis que Dave brouterait le minou de sa femme ch�rie.


Nous avons continu� de regarder la t�l�, l'homme sur lequel j'�tais assise, m'ordonna alors de me retourner et de nettoyer sa bite sans quitter des yeux l'�cran.



  Tandis que je le nettoyais d'une langue agile, arriva cet instant maudit o� je me suis retrouv�e avec trois bites en moi.


Je tenais la bite de celui que je su�ais en bouche et gardais les yeux riv�s sur l'�cran on l'on pouvait me voir fourr�es par 3 bites �paisses.


Nous �tions tous riv�s � la sc�ne qui se d�roulait sur l'�cran.



  D�s que l'orgie reprit, Roy me rappela et me courba sur un grand prie-Dieu et entreprit de s'amuser avec le goulot de mon trou du cul.


Pendant ce temps, Dave �tait install� entre les cuisses d'Anne la t�te sous sa jupe, il lui mignotait la chagatte.



  Roy sondait mon trou du cul, tout d'abord en employant juste l'humidit� de ma chatte, puis en utilisant un� lubrifiant.


Lorsqu'il parvint � ins�rer trois doigts dans mon goulot je parvenais � peine � respirer tant j'avais mal.


Il continuait � m'�vaser le goulot distendant impitoyablement mon oeillet annel�.


Puis il se posta dans mon dos et entreprit de forer son chemin dans mon trou du cul r�tif.



  Au d�but je pleurnichais, j'avais mal.


Mais comme il continuait impitoyablement � enfouir sa grosse bite dans mon anus cuisant, je me mis � hurler, le suppliant d'arr�ter.


Je le suppliais de sortir de moi, je jurais de faire tout ce qu'il voudrait mais pas �a !



  En guise de r�ponse il empoigna mes nibards endoloris et se mit � m'enculer avec une extr�me violence, je hurlais � jets continus.


Il me susurra � l'oreille :


-         C'est �a ma ch�rie, hurle pour moi...� Fais-moi entendre ta douleur ! Je n'en ai que plus envie de te casser le trou du cul...� Tous tes trous s'av�rent extra !� Malheureusement je ne peux pas fourrer ma queue dans tes oreilles ! Bordel... On dirait que ton boyau se visse autour de ma bite, quelle sacr�e salope tu fais !




   Cela me sembla durer une �ternit�, mon trou du cul finit par s'engourdir, je retrouvais mon souffle.


J'entendis alors u autre cri et me retournant vit qu'un des cameramen enculait sauvagement Dave alors qu'il butinait le gazon d'Anne.



  Lorsque Roy en eut fini avec mon trou du cul, l'autre cam�raman prit le relais, puis je leur nettoyais � tous deux la bite.


Puis toujours courb�e sur le prie-Dieu je continuais � regarder l'�cran t�l�.


Je ne pouvais m'emp�cher de jeter des coups d��il sur Dave, il avait fini de brouter le minou d'Anne lorsque son enculeur jouit dans ses fesses.


Il dut alors nettoyer sa bite de la bouche, comme je l'avais fait aux deux autres.



  Avant qu'ils nous laissent partir, nous d�mes nous l�cher l'un l'autre, pour nous nettoyer d'une langue agile nos trous du cul engorg�s de foutre.


Je ne pensais pas jouir; et pourtant je succombais sous les caresses de la langue de Dave.


C'�tait mon premier orgasme cette nuit, mais cela ne me r�jouit pas pour autant.



  Ils nous donn�rent une copie de l'enregistrement, nous ordonnant de la faire tourner en boucle sur notre TV.


Ils nous pr�vinrent que l'on ferait mieux de ne r�v�ler notre sort � personne, puis ils nous permirent de partir.


Je demandais � Anne si dor�navant nous pouvions utiliser la porte de la cour.



  Elle y r�fl�chit quelques minutes et en discuta avec Roy.



  Elle se tourna vers nous tout sourire et dit :


-         Roy dit que vous pourrez utiliser la porte de la cour la semaine prochaine...� Mais cette semaine vous avez besoin d'apprendre l'humilit� !� Maintenant je vous rappelle soyez ici tout de suite apr�s souper demain soir !� Une derni�re liste d'instructions : vous ne devrez parler de tout ceci � personne, vous ne devrez pas appeler � l'aide votre famille, vos amis, des �trangers ou m�me la police !� Et maintenant foutez-moi le camp !� Rentrez chez vous et pensez � tout le plaisir qu'on va tirer de vous !



  Nous avons empoign� nos v�tements et nous sommes ru�s jusqu'� notre porte de maison, heureusement, il faisait sombre et nous n'avons vu personne.



  Nous avons fonc� � l'int�rieur et pris une douche ensemble.


Nous nous sommes caress�s longuement apr�s nous �tre s�ch�s et nous avoir lav� les dents.


Nous cherchions un moyen de nous tirer de cette gal�re.


A la fin de la semaine, lorsque leur emprise serait permanente il serait trop tard pour agir.



  Je jetais un oeil sur l'horloge et constatais qu'il �tait trop tard pour appeler mes parents. Je d�cidais que ce serait la premi�re chose que je ferai le lendemain matin, je constaterais ainsi l'efficacit� de cette drogue. Lorsque nous sommes all�s au lit je pleurais longuement avant de m'endormir.



  Le lendemain matin nous avons repris une autre douche, j'enfilais une autre mini-jupe et un haut totalement inappropri�s dans un bureau.


Je pr�parais le petit d�jeuner, puis je t�l�phonais � ma m�re.


Ma m�re restait au foyer, mais elle se levait t�t pour d�jeuner avec mon p�re. Elle s'inqui�ta tut de suite, je n'avais pas l'habitude de l'appeler si t�t le matin, mais je r�ussis � me calmer l'assurant que tout se passait bien.


De toute mani�re j'�tais totalement incapable de lui exposer la raison de mon coup de fil.



  Apr�s avoir discut� de tout et de rien je la quittais pour partir au boulot. Dave �tait d�j� parti. Comme je refermais la porte de devant Anne vint vers moi� et me gourmanda :


-         Tu as essay� de nous d�sob�ir, tu as appel� ta m�re pour r�clamer son aide,� aujourd�hui tu prendras le car pour aller au boulot.



  Je n'avais jamais pris le bus, je ne savais pas comment m'y prendre.


Je savais qu'il y avait des arr�ts de bus, j'avis souvent vu des gens qui l'attendaient au coin de notre rue.


Je v�rifiais que j'avais de la monnaie et je me dirigeais rapidement vers l'arr�t de bus.



  Lorsque j'e vis un planning des bus, mais les destinations ne s'affichaient nulle part, et je ne savais donc pas lequel prendre.


Je pris le premier qui se pointa et je demandais au conducteur comment je pouvais me rendre � mon bureau et il me r�pondit quel bus je devais prendre.


Il se monta tr�s gentil et tr�s patient, il m'expliqua en d�marrant que je devrais changer de bus au boulevard Foster me disant lequel prendre.


Il me dit aussi comment je pourrai rentrer le soir.


Je payais ma place et il me donna un billet me disant qu'il m'appellerait lorsque j'arriverai � destination.



  Je me dirigeais vers une place vide et m'assit le long de la fen�tre � peu pr�s 4 rangs derri�re le conducteur.



  A l'arr�t suivant trois jeunes voyous mont�rent, ils lanc�rent leur monnaie dans la caisse � cot� du conducteur et vinrent vers moi.


Le plus costaud se tenait devant moi, lorsqu'il me vit son visage se fendit d'un large sourire, il s'assit � cot� de moi et se sera contre moi, ses deux copains s'assirent derri�re nous.



  D�s que le bus eut d�marr�, il tra�a un petit cercle de ses doigts sur ma cuisse, comme je ne protestais pas, il descendit sa main sur mon genou et remonta le long de ma cuisse jusqu'� ma chatte nue.


Lorsqu'il r�alisa que je ne portais pas de petite culotte, il tourna la t�te vers ses copains et leur souffla :


-         Et les gars, venez donc voir !



  L'un de ses copains se leva et se tint dans le passage � cot� de nous alors que l'autre se penchait au-dessus du si�ge.


Tandis qu'ils regardaient avidement, mon voisin retroussa lentement ma jupe sur ma taille exposant ma chatoune aux yeux de ses copains.


Je sentis le rouge envahir mon visage alors que je demeurais assise sans protester, sans d�fense, totalement humili�e.


Ces jeunes gens avaient tout juste 18 ans, les deux comparses me reluquaient alors que leur pote palpait mon mont de Venus chauve.


Je ne pouvais que leur �tre reconnaissante de ne pas attirer l'attention des voyageurs sur ce qu'ils me faisaient subir.


Alors que mon voisin jouait avec ma foufoune le gars se tenant dans mon dos tendit le bras et glissa sa main dans mon corsage et entreprit de malaxer mes nibards.


Je ne pouvais que rester assise et pleurnicher.



  Le bus arriva � l'arr�t suivant et j'entendis le chauffeur ouvrir les portes, se lever et venir vers nous en hurlant aux jeunes types de se barrer.



  Une fois qu'ils se furent enfuis, le chauffeur me demanda si tout allait bien.


Je recouvris prestement mon entrecuisse et rajustais mon chemisier hochant la t�te, trop honteuse pour le regarder dans les yeux.



  Il se pencha sur moi et dit :


-         Je suis d�sol�, vous auriez du m'appeler, vous descendez au prochain arr�t, �tes vous sure que tout va bien ?



  Je soupirais un timide merci et hochais la t�te toujours incapable d'affronter son regard.



  Lorsque l'autobus stoppa � l'arr�t suivant, je courus � la porte centrale et prit une profonde inspiration en quittant le car.


Je me mis imm�diatement � rechercher le bus que le chauffeur m'avait dit qu'il m'emm�nerait jusqu'� mon bureau, ce devait �tre le prochain.


Alors que je grimpais dedans, j'entendis quelqu'un hurler - Elle est ici !


Je jetais un oeil en arri�re et vis les trois jeunes gens qui m'avaient molest�e courir pour attraper le bus, mais ils n'y r�ussirent pas.


D�s que j'�tais grimp�e � bord, le chauffeur avait d�marr�.



  Je dis au conducteur o� je me rendais et lui expliquais que je n'avais pas l'habitude de prendre le bus lui demandant de me pr�venir lorsque je serai arriv�e.


Je me rendais compte que tous les hommes avaient envie de faire plaisir � une jolie jeune femme habill�e de fa�on provocante d'un chemisier quasi transparent, il me sourit, hocha la t�te en signe d'acceptation, et je gagnais ma place au fond du bus.



  Ce bus, � l'inverse du premier �tait plein � ras bord, tous les si�ges �taient pris et la plupart des places debout aupr�s des sangles de soutien �taient occup�es.


Je trouvais cependant une sangle � laquelle m'agripper et fis de mon mieux pour rester debout lorsque le bus acc�l�rait ou freinait selon le trafic.


Je remarquas que personne ne me regardait et pendant u certain temps j'aurai pu me croire seule dans ce car.



  Ce sentiment s'envola lorsque je sentis une main se poser sur mon mollet, un homme assis � cot� de moi me touchait les jarrets.


Je pensais tout d'abord que c'�tait par accident, je voulus le repousser et m'�carter, mais un coup de frein brusque me� fit revenir � ma place initiale.



  Comme je restais en place, la main du voyageur assis revint sur ma jambe me caressant as vergogne.


Comme je ne r�agissais pas, il se fit plus audacieux.


Sa main remonta le long de ma jambe, lentement, palpant mes charmes en s'excitant.


Puis exactement comme les trois jeunes gens l'avaient d�couvert plus t�t, il se rendit compte que je ne portais pas de sous-v�tement.


Sa main se pressa dans mon entre cuisse qui �tait l�g�rement �cart�e pour maintenir mon �quilibre, il avait ainsi un acc�s tout � fait libre � mon intimit�.



  Il poussa son avantage � fond et ins�ra prestement deux doigts dans ma f�minit�, et les fit coulisser all�grement.


Je fis la seule chose qui m'�tait permise, je fermais les yeux et attendis que le chauffeur m'indiqua l'arr�t o� je devais descendre.


Je ne parvenais pas � comprendre qu'un acte aussi vil, aussi humiliant puisse �tre aussi jouissif.


Si le chauffeur ne m'avait pas inform� de la proximit� de mon arr�t, si j'avais du attendre l'arr�t suivant, j'aurai s�rement joui sous ses profondes caresses !


Et je n'avais toujours pas vu son visage !



  Je descendis du bus et me ruais vers mon bureau tout proche.


Je me demandais si on se faisait toujours molester dans les bus.


Je jetais un oeil sur ma montre et r�alisais que j'avais dix bonnes minutes de retard. Monsieur Jefferson allait disposer de la journ�e enti�re pour en profiter.



  Je me pr�cipitais derri�re mon bureau et vis que monsieur Jefferson me guettait, je paniquais.



  Je posais mon sac et, j'�tais � peine assise que d�j� il m'appelait par le t�l�phone int�rieur.



  Je gagnais rapidement son bureau et frappais � sa porte. Il me fit signe d'entrer, il discutait avec quelqu'un au t�l�phone.


D�s que je fus entr�e, il reposa le t�l�phone et se leva.


Je lui demandais d'excuser mon retard, je lui dis que j'avais du prendre le bus ce matin et que je n'avais pas l'habitude de ce mode de locomotion.



  Il me fixait, visiblement satisfait de ma tenue, il me demanda :


-         Votre voiture est en panne ?� Vous savez que ce n'est pas une excuse valable n'est ce pas ?


-         Non-monsieur... R�pondis-je mis�rablement.


-         Dans ce cas, pourquoi avez-vous pris le bus ?



  J'avais du mal � respirer, j'aurai voulu me trouver ailleurs, j'�tais incapable de lui mentir, je devais lui raconter ce qui m'�tait arriv� !



  Je grommelais cherchant d�sesp�r�ment comment lui explique la chose de la fa�on le plus neutre possible, sans lui r�v�ler mon �tat de suggestion.


Finalement je commen�ais :


-         Ma voisine m'a fait prendre le bus pour me punir !



  A cet instant m�me la porte du bureau s'ouvrit sur monsieur Taylor qui �tait le chef direct de monsieur Jefferson, il ouvrit et referma la porte dans son dos.



  Monsieur Jefferson l'invita � s'asseoir puis se tourna vers moi et me demanda :


-         Pourquoi� laissez-vous votre voisine vous punir?"



  Cette question me plongeait dans un terrible dilemme. Je ne devais ni mentir ni refuser de r�pondre � mes interlocuteurs, mais par ailleurs mes ma�tres m'avaient ordonn� de ne r�v�ler � personne ma triste situation, ni r�clamer de l'aide � qui que ce soit.


Je r�alisais alors que je ne devais attendre aucune aide de la part de monsieur Jefferson, je pouvais donc lui r�pondre franchement.



  Je cherchais � organiser mes pens�es et r�pondis mis�rablement :


-         Nos voisins nous ont drogu�s mon mari et moi,� et depuis nous sommes tenus � faire tout ce qu'ils veulent, nous n'avons plus aucun libre arbitre, ce matin j'ai voulu appeler ma m�re pour lui demander de l'aide, bien que je n'en ai pas le droit !� Quelle qu'en soit la mani�re ma voisine l'a appris et me punit en m'ordonnant de prendre le bus pour me rendre � mon travail !



  Monsieur Taylor me coupa alors :


-         Pourquoi pouvez-vous nous parler de vos probl�mes et pas � votre m�re ?


-         Parce que je sais que pertinemment que vous ne nous aiderez pas !


Monsieur Taylor me sourit et s'adressant � monsieur Jefferson ajouta :


-         Dave je crois que vous avez eu la main dr�lement sure !



  Il s'approcha des stores et les ferma, puis il verrouilla la porte.


Il se tourna alors vers moi et me pr�cisa :


-         C'est le grand jour Donna, depuis que j'ai pos� les yeux sur tes charmes j'ai envie de te fourrer jusqu'� l'os !� Vire-moi tes frusques, et prends ton temps pour t'ex�cuter !



  Ils se regardaient l'un l'autre se souriant cyniquement puis ils se tourn�rent vers moi alors que je d�boutonnais mon corsage et l'enlevais.


Je le posais sur la chaise � cot� de moi puis j'�tais ma mini-jupe, mes chaussures et attendais alors les ordres...



  Monsieur Taylor se leva et se d�v�tit prestement posant ses habits sur la chaise.


Puis il eut une soudaine inspiration, il sortit son portable et me fit poser dans des poses obsc�nes le temps de prendre plusieurs clich�s.


Il garda son portable en main m'ordonnant de me mettre � genoux devant lui.


Je me mis en position et pris sa bite en bouche.


Sa bite �tait �paisse, mais pas aussi �paisse que celle de Roy, de ce fait je n'eus aucun probl�me pour la faire glisser dans ma gorge alors qu'il continuait � prendre des photos.



  Alors que je su�ais Monsieur Taylor, Monsieur Jefferson inspectait mon cul et ma chatte de ses mains moites.


Monsieur Taylor jouit rapidement dans ma bouche, me traitant des termes les plus grossiers qu'il connaissait !


Je r�alisais que jamais on n�avait du lui� prodiguer de gorge profonde et il trouvait cet acte particuli�rement jouissif.



  D�s que monsieur Taylor me repoussa, monsieur Jefferson m'enjoignit de me poster devant le bureau, il s'approcha de moi et me courba en avant de me p�n�trer sans plus de pr�liminaires. Je grognais de douleur et il gloussa de me voir ainsi malmen�e.



  Il me prit brutalement, c'�tait plus un viol qu'autre chose. Et, tandis qu'il me violentait, il me parlait calmement me disant combien j'allais devoir leur dispenser de plaisir � l'avenir.


Me traitant de tous les noms, il me pr�cisa que dor�navant j'�tais la pute du bureau ! Je ne pouvais que baisser la t�te alors qu'il grommelait en me baisant de plus belle.


Il me baisa pendant une bonne quinzaine de minutes avant d'agripper fermement les hanches et de me pilonner trois derni�res fois avant de se vider les couilles au fin fond de ma chatoune.



  J'attendais qu'il extirpe sa bite de ma fente, puis je m'agenouillais et je lui nettoyais servilement la queue d'une langue habile.



  -         T'es-tu toujours livr�e � ces actes ? Me demanda-t-il amus�.


-         Oui monsieur...� Lui r�torquais-je mis�rablement.



  Monsieur Taylor se releva et m'ordonna de me courber � nouveau sur le bureau, sa bite bandait � nouveau,� et il voulait lui aussi go�ter � mon d�licieux petit con.


Monsieur Taylor avait une bonne cinquantaine d'ann�es et �tait morbidement ob�se, je ne parvenais pas � d�cider si je me r�jouirai de le voir frapp� d'une crise cardiaque.



  Lorsqu'il eut joui en moi, je nettoyais� sa bite ils me firent alors retourner et d�taill�rent attentivement ma chatte engorg�e de foutre.



  Monsieur Taylor commenta alors :


-         Son charmant petit con me plait beaucoup ! Mais je ne crois pas qu'elle puisse se rendre aux toilettes le con d�gorgeant de foutre...


Monsieur Jefferson surench�rit :


-         T'as raison elle va disperser des gouttes de foutre dans tout le bureau !


Monsieur Taylor reprit :


-         Je ne vois qu'une solution ma ch�rie, tu vas r�cup�rer tout ce jus en te servant de tes doigts et les l�cher !



  Ils pensaient s�rement m'humilier profond�ment, mais ils ignoraient que j'avais aval� des litres de foutre� ces trois derniers jours, ce qui de ce fait banalisait fortement leur exigence.



  Je curais ma chatoune � pleins doigts et les portait � ma bouche pour les sucer l'un apr�s l'autre � plusieurs reprises, cela les satisfit rapidement.


Je pus alors me rhabiller et retourner mon bureau.


Ils m'avaient inform� que je travaillerai une heure de plus ce soir pour compenser mon quart d'heure de retard du matin ainsi que les 45 minutes que j'avais consacr� � satisfaire leurs app�tits lubriques.



  J'essayais de me concentrer sur mon travail.


Apr�s un moment je r�alisais que plus je travaillais dur, plus je me concentrais sur mon ordinateur, plus le temps semblait s'�couler rapidement.



  Pendant l'arr�t de midi, j'appelais Dave l'avertissant que je rentrai � la maison avec une heure de retard, il me demanda ce qui se passait, mais je ne pouvais pas lui r�pondre entour�e de mes coll�gues qui m'�coutaient distraitement assis � leurs bureaux, je lui dis donc que je lui expliquerai une fois rentr�e � la maison.



  Je me concentrais sur mon travail le reste de la journ�e, longtemps apr�s que mes coll�gues aient d�sert� leurs postes. J'avais une heure � rattraper, je pensais que c'�tait profond�ment injuste, mais qu'y pouvais-je ?



  Je m'attendais � ce que monsieur Jefferson me rappelle dan son bureau avant que je puisse partir.


En fait je travaillais sur mon ordinateur lorsque le concierge se pointa dans mon bureau, il ne me dit pas un mot, il se contenta de d�boutonner sa braguette, sortit sa longue et �paisse mentule noire d'�b�ne et m'enjoignit alors :


-         Suce-moi !



  J'�tais si concentr�e sur mon travail que je ne m'�tais rendu compte de sa pr�sence qu'en l'entendant prof�rer son ordre. Je me retournais effarouch�e et vis son �paisse byroute pendant entre ses cuisses.


Je levais les yeux sur lui, il attendait que je m'ex�cute.


Comme je me penchais en avant pour emboucher son membre viril je vis monsieur Jefferson se pencher au-dessus des cloisons de mon bureau me photographiant avec un appareil photo num�rique.



  Je sentais la bite du concierge grossir rapidement dans ma bouche, elle fut bien vite aussi grosse que celle de Roy, mais elle n'�tait pas �paisse au point que je ne puisse la prendre en gorge.


Il cria son plaisir � la vue de cette jeune �pouse blanche engloutissant sa mentule au fin fond de sa gorge dans le bureau vide.


Ses cris r�sonnaient dans ma bouche alors que je le su�ais avec enthousiasme comme on m'avait enjoint de le faire, parce que c'�tait la seule voie que je pouvais suivre.



  Il semblait d��u lorsqu'il se vida les couilles au fin fond de ma gorge, cela devait faire longtemps qu'il le d�sirait.


Puis, sans un mot il extirpa sa bite de ma bouche, me tapota la t�te et repartit travailler en remerciant monsieur Jefferson au passage.


Monsieur Jefferson s'assit sur mon bureau s'appuyant sur les coudes alors que je lui taillais une pipe, apparemment cela l'avait profond�ment excit� de me voir sucer le concierge.


Il �jacula rapidement, remonta la fermeture �clair de sa braguette et me dit de rentrer chez moi. Il ajouta que je ferai mieux d'arriver � l'heure le lendemain si je ne voulais pas qu'il se f�che.



  Je me levais rapidement, pris mon sac dans mon tiroir de bureau et me ruais hors du b�timent o� je travaillais.


Je n'avais pas m�me pris le temps de passer aux toilettes me rincer la bouche, j'�tais bien trop press�e de quitter les lieux.



  Je redescendis jusque la station de bus qui me ram�nerait chez moi. Cette fois, je savais quel bus je devais prendre et je poussais un soupir de soulagement lorsque je me retrouvais dans le bus bond� de monde.


J'avais oubli� combien mon trajet all�e avait �t� difficile, mais cela recommen�a rapidement.


Je me trouvais press�e entre de nombreux voyageurs basculant d'avant en arri�re au gr� des cahots du bus, lorsque je sentis une main effleurer mes jambes.


Je soupirais incr�dule.


Cela ne pouvait tout de m�me pas m'arriver chaque fois que je prenais le bus !



  Je me rendis compte que je n'�tais pas la seule femme, je vis que d'autres femmes �taient diss�min�es �a et l� dans le bus.


Elles n'avaient pas l'air de se faire molester, �tais-je donc marqu�e ?


Ou �tait-ce parce que mes mamelons �taient visibles au travers de mon chemisier et que ma mini jupe ne couvrait que mes fesses !



  Je restais passive alors que la main grimpait� lentement, mais sans trop d'h�sitations, le long de ma jambe.


Comme je ne m'�tais pas retourn�e pour lui claquer une gifle lors du premier attouchement, il devait persuader que cela me plaisait.


�Il ins�ra rapidement deux doigts dans ma cramouille et je commen�ais � m'en r�jouir.


J'aimais tant ce qu'il me faisait que je faillis manquer la station o� je devais changer de bus.


Je descendais rapidement du bus et me tins dans l'obscurit� avec plusieurs hommes, attendant tous le prochain bus calmement.



  Un des hommes me fixait indiscr�tement, je pensais que c'�tait en raison de ma tenue.


Mon autobus arriva finalement je grimpais dedans et donnais mon ticket au conducteur.


Je fis le chemin de retour assis le long d'une vitre et me laissais tomber sur le si�ge. Exactement comme ce matin, le bus n'�tait qu'� moiti� rempli.


Aussi fus-je grandement surprise en voyant un homme s'asseoir � cot� de moi, je le reconnu instantan�ment, c'�tait l'homme de la station de bus.



  Il me toisa pendant une longue minute, yeux riv�s sur ma poitrine, mes mamelons? Puis son regard descendit jusqu'� mon de culotte, il me sourit et me dit :


-         J'ai vu que tu te laissais faire dans le premier bus, j'ai bien vu que ton voisin te caressait intimement et que tu avais l'air d'appr�cier ses caresses !


Je ne dis rien, qu'aurai-je pu lui r�pondre ?



  Le conducteur avait �teint l'�clairage interne,� lorsque le bus avait red�marr�, seuls les lampadaires �clairaient faiblement l'int�rieur du bus lorsque l'on passait devant eux, l'�tranger tendit la main et palpa indiscr�tement mes miches, je le laissais faire.


C'�tait la permission de poursuivre qu'il attendait.


Il d�boutonna lentement mon chemisier et se mit � jouer avec mes nibards, avant de tourner son attention sur ma chatoune.


Il laissa bailler mon chemisier et tendit la main pour retrousser ma mini-jupe.


Il fixa des yeux ma chatoune pendant quelques instants, puis il m'enjoignit :


-         Tiens bien ta jupe relev�e.



  Je tendais la main et saisis l'ourlet de ma jupe lui offrant un meilleur acc�s entre mes cuisses pour explorer ma moule qui s�av�rait d�tremp� apr�s les manipulations subies dans le premier bus.



  -         Tu aimes �a ? Me demanda-t-il.


-         Tu aimes laisser des �trangers jouer avec tes charmes intimes ?


Je r�pondis le plus honn�tement que je le pus :


-         Mon corps aime �a !



  Il ne savait pas qu'en penser, mais il savait tr�s bien quoi faire, il voulait prendre son plaisir.


Il m'ordonna de poser la main sur sa bite et de le caresser.


J'�tais si impliqu�e dans ce que je faisais que j'oubliais de sonner � la station o� je devais descendre.


Je devais revenir en arri�re � trois quartiers de chez moi, le temps que je rentre, il �tait plus de 18 heures et Dave �tait malade d'anxi�t�.



  Nous �tions tous deux trop contrari�s pour souper mais je pr�parais quand m�me une salade, je ne voulais pas que Dave se rende malade.



  Lorsque nous soup�mes, je lui racontais tout ce qui m'�tait arriv� depuis ce matin, cela prit un certain temps.


Mais nous n'avons pas pu tergiverser plus longtemps, nous nous sommes d�shabill�s et avons gagn� la porte des voisins, je vis que des gens se promenaient � l'ext�rieur, mais il faisait sombre et je pensais que personne ne devait prendre garde � notre tenue.



  27 mars 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus


Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 4


Our First New Home


Coulybaca / Vulgus



  Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.




   Chapitre 4 : une certaine routine s�installe.



  Anne avait allum� les lumi�res de son porche d'entr�e, et elle nous laissa poireauter un bon moment apr�s que l'on ait sonn�.


J''entendais les gens passer dans la contre-all�e alors que nous attendions.


Je savais qu'ils pouvaient nous voir.


Nous ne pouvions que rester l� passivement, le dos tourn� vers la contre-all�e esp�rant que personne ne remarquerait notre tenue.



  Finalement Anne ouvrit la porte et nous fit entrer, elle nous emmena dans la salle de t�l�, il n'y avait qu'eux d'eux.


Nous avons aval� docilement notre drogue, puis Roy me courba sur l'agenouilloir et me baisa lentement en chatte. Ma cramouille �tait tremp�e de cyprine et remise de tous les abus qu'elle avait subi dans la journ�e, je dus leur raconter tout ce que j'avais endur� au cours de cette journ�e.


Comme je d�crivais ma journ�e, Anne se d�shabilla et se rassit et se fit travailler par la langue de Dave.



  Ils me pos�rent quelques questions embarrassantes, ils ne se contentaient pas de mon rapport, ils voulaient des d�tails, ils voulaient que je d�crive ce que j'avais ressenti, comment j'avais r�agi, ainsi que les r�actions de mes suborneurs.



  Anne jouit � plusieurs reprises pendant la demi-heure que je pris pour raconter ma journ�e.


Roy jouit juste au moment ou je terminais et resta bourr� au fin fond de ma chatoune tandis que je parlais.


Il ne tarda pas � durcir � nouveau et se remit � me baiser vigoureusement.



  Anne s'estima enfin satisfaite et repoussa Dave.


Comme il n'avait rien � faire, Roy lui intima de se glisser entre ses jambes pour lui l�cher les burnes tandis qu'il ma baisait � couilles rabattues.


Je vis le visage de Dave refl�ter son d�sarroi lorsqu'il se releva, mais il dut lui complaire, il ne pouvait qu'ob�ir, comme moi il n'avait pas d'autre choix.



  Finalement ils nous laiss�rent retourner chez nous vers 20 heures.


Nous nous sommes assis dans le salon o� le DVD rapportant notre orgie du dimanche tournait en boucle, cherchant � nous consoler mutuellement.


Je ne pensais que les choses pouvaient perdurer ainsi bien longtemps. Soudain je sus ce dont j'avais besoin.


J'agrippais le bras de Dave et l'entra�nais dans notre chambre lui murmurant � l'oreille :


-         J'ai besoin que tu me fasses l'amour !� J'en ai marre de me faire baiser � la hussarde !



  Il n'y avait pas besoin de longs pr�liminaires.


Cela faisait des heures que nous �tions nus et ma chatoune �tait certainement bien lubrifi�e.


Je m'�tendis sur le dos sur le lit et Dave s'installa entre mes cuisses pour me l�cher la fentine.


J'essayais de l'arr�ter, mais il me sourit gentiment et me dit :


-         Cela n'a plus grande importance Donna, tout ce qui compte maintenant c'est nous deux nous devons rester bien soud�s et chercher le moyen de nous en tirer sans trop de probl�mes !



  Il recommen�a � me l�cher la chatte, et mes cuisses d�tremp�es, il me nettoya rapidement.


Puis il se concentra sur ma foufoune et je jouis rapidement sous ses l�chouilles.


J'avais pass� trop de temps � �tre excit�e et stimul�e, le plus souvent par de totaux �trangers, il me sembla que je jouissais bien plus vite que d'ordinaire avant que tout cela commence.



  J'eus une paire d'orgasmes intenses avant que je me redresse pour l'attirer sur moi.


Nous nous sommes embrass�s fougueusement et nous avons fait l'amour avec passion pendant un long moment.


Lorsqu'il n'en put plus� Dave s'effondra � cot� de moi je n'h�sitais absolument pas � me pencher pour le prendre en bouche et lui nettoyer amoureusement la bite.



  On puait tous deux le sexe, mais nous �tions trop �puis�s, trop crev�s pour prendre une douche.


Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre et l'on ne bougea plus jusqu'au moment ou le r�veil sonna le lendemain matin.



  Nous avons pris notre douche et cherch� quoi nous mettre pour la journ�e.


Je n'avais plus de brassi�res propres aussi enfilais-je une petite robe d'�t� au profond d�collet� que j'avais l'habitude de porter avec un gilet recouvrant ma poitrine.


Si je ne portais pas ma veste, mes miches seraient tr�s expos�es.


Cette robe �tait tr�s fine et tr�s courte, j'esp�rais qu'elle ferait l'affaire. Je ne trouvais rien d'autre de portable. Il faudrait que je fasse des courses cette nuit en rentrant � la maison.



  J�embrassais Dave en le quittant et me pr�parais � partir � mon tour.


Je sortais, fermais la porte � clef et me dirigeais vers ma voiture.


Je retenais ma respiration � chaque pas paniqu�e � l'id�e de devoir reprendre le bus ce matin.



  Mais je parvins sans encombre � ma voiture et partis vers mon bureau o� j'arrivais avec un peu d'avance.



  Je gagnais mon bureau, posais mon sac et me disposais � travailler.


Je terminais la frappe du premier document lorsque le signal indiquant l'arriv�e d'un message retentit.


A l�exception des circulaires du bureau, je ne recevais jamais de message.


J'ouvris le mail et vis une photo de moi de pied en cap su�ant la grosse bite noire du concierge la veille au soir.


Je jetais rapidement un coup d��il circulaire pour m'assurer que j'�tais seule puis je fis un scroll pour v�rifier si un texte accompagnait la photo.



  Je d�couvrais deux autres photos,� sur la derni�re j'avais les l�vres couvertes de semence, et je me pourl�chais les babines.


J'atteins alors le texte. On m'ordonnait de me rendre dans la salle de conf�rence � 10 heures.


Je venais tout juste de refermer le mail lorsque monsieur Jefferson entra dans mon bureau, il m'intima de me lever et inspecta ma tenue.


Il fron�a les sourcils puis il tendit la main et m'enleva ma veste, puis il me signe de tourner sur moi-m�me.



  Je me tournais lentement consciente que les flancs de mes nichons �taient largement expos�s. Lorsque je me retrouvais de nouveau fac � lui il me rendit ma veste m'ordonnant de ne pas la remettre sur mon dos.


Puis il retroussa ma robe d�tailla ma chatoune et sourit :


-         Ravissant... S'exclama-t-il enthousiaste.


-         Jamais je n'ai autant aim� mon boulot qu'en ce moment !



  Comme c'est bizarre,� pensais-je ironiquement, quant � moi, je n'ai jamais autant ha� mon boulot qu'en ce moment !



  Il me quitta bient�t et je repris � mon boulot. Je me jetais dessus � corps perdu m'effor�ant de ne pas penser � mon rendez-vous de dix heures dans la salle de conf�rence.


Je jetais un oeil sur ma montre et constatais qu'il me restait deux minutes pour m'y rendre, c'�tait � l'autre bout de l'immeuble, mais par chance au m�me �tage, j'y �tais � 10 heures juste. Je frappais � la porte, une voix sourde me pria d'entrer.



  J'entrais et retrouvais monsieur Jefferson, monsieur Taylor et deux jeunes gars du service du courrier.


Monsieur Taylor m'enjoignit de verrouiller la porte dans mon dos et m'expliqua :


-         Je crois que tu as d�j� rencontr� Jimmy et Dan, n'est ce pas Donna ?


Je hochais affirmativement la t�te avec d�couragement.



  -         Je t'ai invit� � nous rejoindre parce que les photos que j'ai prises hier ne sont pas excellentes, aussi ai-je envie d'en reprendre plusieurs avec un bon appareil !� Je pense qu'elles seront d'autant plus excitantes si tu poses avec des partenaires, c'est alors que j'ai repens� � l'�quipe du courrier...� Ils m�ritent vraiment une augmentation, mais comme je ne peux la leur accorder, je me suis dit qu'� la place je leur permettrais de te baiser aujourd'hui et chaque fois qu'ils en auront envie, tant que leur boulot me donnera satisfaction ! Aujourd'hui tu vas poser avec eux tandis qu'ils te baiseront � couilles rabattues... Et d�sormais, lorsqu'ils auront du temps libre, ils pourront t'appeler de leur bureau et tu viendras dissiper leur stress !



  Il se tourna vers Jimmy et Dan, ils semblaient de jeunes gens bien comme il faut.


Ils sortaient probablement du lyc�e et touchaient de bas salaires, ils devaient tous deux avoir moins de 20 ans.


Il leur dit :


-         Les gars elle est toute � vous, prenez votre temps et amusez-vous bien ! Faite seulement bien attention de ne pas d�chirer ses v�tements ! Elle doit �tre capable de travailler le reste de la journ�e !



  Les deux jeunes hommes riv�rent leur regard sur moi alors que monsieur Jefferson et monsieur Taylor commen�aient � prendre des photos.


Soudain ils ne me semblaient plus si jeunes que �a.


L'excitation leur donnait des expressions de pr�dateurs.


Ils s'approch�rent de moi et me bouscul�rent pour me d�shabiller pour palper au plus vite mes formes.


Je ne sais pas s'ils avaient re�u des consignes,� mais ils �taient particuli�rement brutaux et visiblement ils prenaient plaisir � me rudoyer.


Je pleurais et sanglotais rapidement exprimant ma douleur et mon humiliation alors qu'ils trituraient mes nichons, en pin�ant la chair tendre, l'un d'eux me souleva m�me sur la pointe des pieds en me tirant par les t�tons.



  Ils se d�shabill�rent tout � tour, l'un me maltraitant tandis que l'autre se d�v�tait.


Puis ils me pouss�rent sur le dos sur la table de conf�rence, l'un d'eux se pencha sur moi et se mit � me mordiller les mamelons me faisant hurler de douleur.



  L'autre me releva les jambes et entreprit de me bouffer la chatte, il me butina la fente pendant un bon moment puis il titilla mon trou du cul de la pointe de la langue, il plongea sa langue dans ma grotte resserr�e puis recula la t�te et cracha sur le petit oeillet ridel�.


Il se redressa alors m'attira sur le rebord de la table et entreprit de bourrer sa mentule dans mon trou du cul affol�.



  Cela ma faisait diantrement mal, la salive ne remplace pas le lubrifiant, et je n'�tais absolument pas pr�par�e � me faire enculer.


Je n'�tais pas vierge du trou du cul, loin de l� et j'avais l'habitude de me faire maltraiter par des hommes.


Bient�t il coulissait brutalement dans mon boyau asservi alors que son copain continuait � torturer mes nibards.



  J'�tais parfaitement consciente que mes deux patrons me filmaient constamment, tandis en plans am�ricains tant�t en plans rapproch�s.


C'�tait horrible.


Celui qui m'enculait prenait tout son temps alors que l'autre fatigu� de maltraiter mes nichons attira ma t�te sur le rebord de la table, je dus tourner la t�te vers lui et j'embouchais sa bite raidie.


Il �tait brutal mais sa bite n'�tait ni tr�s grosse, ni tr�s longue. Il ne se satisfaisait pas de me violer la bouche, ses coups de bite s'av�raient de plus en plus violents.



  Le premier �jacula rapidement au fin fond de son trou du cul et ils chang�rent rapidement de position.


Je su�ais le premier minutieusement pour lui nettoyer la bite alors que son ami me bourrait le trou du cul.


Par chance mes pr�c�dentes caresses buccales l'avaient fortement �moustill� et il ne tarda pas � jouir, en se vidant les couilles, il tendit la main et agrippa fermement mes t�tons les malmenant rudement, je hurlais de douleur, mais l'�paisse bite qui me b�illonnait �touffait largement mes cris.



  Je nettoyais cette nouvelle� mentule, puis il leur fut ordonn� de nous abandonner.


J��tais roul�e en boule sur la table sanglotant hyst�riquement, mais il ne fallait pas que j'escompte apitoyer ces deux pervers.


C'est alors que je les entendis d�boucler leurs ceintures, monsieur Taylor se pla�a en bout de table, je voulus me redresser mais il m'intima de rester roul�e en� boule.


Il m'attira sur le rebord de la table puis il releva une de mes jambes se m�nageant un acc�s des plus ais�s � ma foufoune, il plongea� sa grosse mentule dans ma chatoune asservie puis rel�cha ma jambe.



  Il enjoignit alors � monsieur Jefferson d'utiliser sa cam�ra pour le photographier me baisant � couilles rabattues.


Ils m'ordonn�rent de sourire � la cam�ra, mais mon visage n'affichait que de tristes grimaces au travers des larmes qui noyaient mes yeux, je suspectais fort que cela ne faisait que renforcer leur excitation, le fait de regarder les deux jeunes gars me travailler avaient visiblement ouvert leurs app�tits de stupre.



  Finalement monsieur Taylor me remplit la chatte de sa semence, une fois que j'eus suc� sa bite pour la nettoyer, il se redressa et se rhabilla.


Puis il saisit la cam�ra de monsieur Jefferson et commen�a � prendre quelques photos souvenirs.


Je gisais �tal�e sur la table, toujours roul�e en boule attendant la suite.



  J'avais perdu la notion du temps, mais il ne dut pas se passer beaucoup de temps avant que monsieur Jefferson, � son tour ne se vide les couilles dans ma chatoune engorg�e de foutre, je dus, � son tour,� nettoyer sa bite, puis ils m'install�rent sur le dos et prirent de nombreux clich�s de mon trou du cul et de ma chatoune d�bordant tous deux de foutre.


Puis ils me laiss�rent enfin retourner � mon travail. Il �tait maintenant l'heure du repas, ils m'avertirent qu'au vu du temps que j'avais perdu ce matin, je devrais travailler pendant cette p�riode pour rattraper le travail perdu.



  Cela me convenait parfaitement, je ne voulais surtout pas disposer de temps libre pendant lequel je rem�cherais mes �preuves, je me rendis aux toilettes et me nettoyais de mon mieux.


Je travaillais tout le reste de la journ�e, priant pour que le t�l�phone ne sonne pas � nouveau.


J'�tais �reint�e.



  A quatre heures je fon�ais jusqu'� ma voiture, je l'appr�ciais comme jamais je ne l'avais appr�ci�e jusqu'ici.


Une journ�e de bus avait suffi � me faire aimer ma vieille voiture.



  Je rentrais chez moi � l'heure normale, pris une douche rapide et me rhabillais lorsque le t�l�phone sonna.


C'�tait Dave, il me pr�vint qu'il devait travailler tard, il ne rentrerait pas avant� 20 ou 21 heures.


Nous avons discut� quelques minutes nous assurant l'un l'autre de notre amour r�ciproque.


Puis j'appelais Anne, je lui expliquais que Dave devait rentrer tardivement et lui demandais ce que je devais faire.



  L'id�e d'aller chez elle seule me terrifiait, m�me si je trouvais qu'il �tait pr�f�rable qu'il ne soit pas l� � assister � mon asservissement.


Je ha�ssais encore plus les voir le soumettre � des choses horribles qu'� les subir.



  Je me mis nue puis quittais la maison et me rendais chez Anne. Il faisait encore clair et je vis une paire de jeunes gens qui descendait la contre-all�e se figer �bahis � ma vue, yeux riv�s sur mes charmes.



  Je sonnais � la porte d'Anne et attendis un long moment alors que les deux jeunes gars se rapprochaient de moi.


Post�s face � moi ils d�taillaient mes charmes avec concupiscence.



  Enfin Anne ouvrit la porte, et, au lieu de me faire entrer, elle m'ordonna de tourner sur moi-m�me pour exposer tous mes charmes sous les yeux de mes deux jeunes admirateurs.


Je soupirais profond�ment, pris une profonde respiration et me tournais lentement. Il mes contempl�rent un bon moment les yeux �carquill�s avant de reculer d'un pas, Anne les invita alors � entrer.


Ils se regard�rent effar�s, comme s'il s'agissait d'un pi�ge, mais la chance de se retrouver tout pr�t d'une femme nue �tait d'un attrait irr�sistible.


Ils s'approch�rent lentement de moi et se post�rent dans le porche d'entr�e les yeux riv�s sur mes appas.



  Anne leur demanda s'ils avaient des copains qui aimeraient gagner un peu d'argent en tondant les pelouses.


Ils se regard�rent l'un l'autre et l'un d'eux rapidement :


-         Oui madame, nous, nous aimerions nous faite un peu d'argent de poche ?



  Anne sourit devant tant d'enthousiasme et ajouta :


-         C'est ma voisine Donna, elle a besoin� que quelqu'un vienne couper sa pelouse samedi...� Je crois que vous adorerez travailler chez elle, elle se prom�ne tout le tant toute nue dans sa maison, et m�me si vous le d�sirez, elle pourra vous donner une petite le�on d'�ducation sexuelle tant que vous serez l� !� Elle m'a d�j� dit que les jeunes gars de 18 ans l'excitaient au plus haut point n'est ce pas Donna ?



  Je jetais les yeux sur les deux gars, ils �taient tout jeunes, � peine 18 ans, bien que cela me fasse rougir, je ne pus qu'agr�er un faible "oui madame ".


L'un des deux jeta un oeil vers Anne et intervint :


-         C'est une blague !� C'est pour nous allumer !


Anne jura qu'elle ne disait que la v�rit� et sur ces mots elle lui saisit la main et approcha son doigt de ma chatte.


Si cela n'avait pas �t� aussi ignoble, cela m'aurait franchement amus�, il tendit lentement son doigt avec autant de pr�cautions que s'il s'appr�tait � le plonger dans un brasier.


J'�cartais un peu les cuisses, il promena son doigt dans ma fentine.


Il continua un bon moment � parcourir ma foufoune d'un doigt tremblant lorsque soudain son ami le repoussa intervenant :


-         Laisse moi la tester � mon tour !



  Il explora ma chatte � son tour pendant un bon moment, lorsque soudainement Anne intervint :


-         Ca va les gars, vous pourrez jouer avec ses charmes autant que vous le voudrez, samedi !� Nous devons rentrer maintenant, mon mari attend la visite de Donna !� On se reverra Samedi !



  Ils reprirent leur chemin �changeant leurs impressions. Je levais les yeux et vis Roy qui nous avait film� au travers de la fen�tre. Merde, comme s'il ne disposait pas d�j� d'assez de films d'elle ! Mais en fait cela ne changeait rien � sa situation, cela ne servirait s�rement pas � la faire chanter, mais plus s�rement � l'humilier, � lui d�montrer qu'ils avaient tous pouvoirs sur elle.


En fait cela ne ferait que deux personnes de plus � venir chez moi profiter largement et en toute libert� de mes appas.


D�j� que mes prestations au boulot devenaient insupportables !


Je me refusais � dire � Anne et Roy � quel point j'�tais malheureuse, ils auraient s�rement trouv� un biais pour encore accro�tre mon d�sespoir.



  Je suivis Anne � l'int�rieur, elle me conduisit dans leur arri�re-cour.


Ils avaient eux aussi une belle piscine, elle plus grande et plus originale que la notre, il� y avait m�me une petite chute d'eau � l'un des bouts, et des bassins d'eau chaude.


Je regardais peureusement alors que je p�n�trais dans l'aire de la piscine, je me demandais combien de personnes me violenteraient ce soir, je ne vis personne.



  Ils me donn�rent mon verre de cette drogue am�re que je bus prestement.


Puis je les regardais tous deux se d�shabiller, j'�tais assise sur une chaise au centre d'une b�che pos�e sur la pelouse.


Lorsqu'Anne se fut assise, elle m'ordonna de leur raconter ma journ�e au travail, ils n'eurent pas � me poser de nombreuses questions cette fois, je savais ce qu'ils voulaient entendre.


Lorsque je leur eus tout racont� de cette journ�e alors que Roy me baisait paresseusement, Anne ouvrit ses cuisses et m'intima de venir lui bouffer le gazon.


Pendant que je lui butinais la fentine Roy continuait � me fourrer de longs et profonds coups de bite.



  Anne jouit deux fois sous mes caresses labiales avant que Roy ne gicle dans ma chatoune.


Mais une fois qu'il se fut vid� les couilles il resta imbriqu� en moi et je continuais � d�guster la chagatte d'Anne jusqu'� ce qu'elle en eut assez� elle se releva et repoussa la chaise au loin se dirigea vers la table et empoigna � nouveau la cam�ra digitale.


Elle se posta face � moi et m'enjoignit de la regarder et de continuer � la regarder quoi qu'il arrive.


Je ne savais pas ce qu'il allait m'arriver mais j'avais compris qu'ils avaient quelque chose en t�te.



  Au d�but je ne compris pas ce qui se passait, je sentais bien quelque chose de particulier, mais il se passa une bonne trentaine de secondes avant que je comprenne que Roy urinait dans ma chagatte.


Je hurlais et cherchais � le repousser mais il me gifla et m'ordonna de cesser de me d�battre.


Anne continuait � filmer mon visage alors la pisse d�gorgeait de ma foufoune s'�coulant sur mes cuisses, pour tomber sur la b�che sous moi.



  Je pleurais longtemps apr�s qu'il eut termin� de se servir de moi comme d'un urinoir, il se releva alors me contourna et resta les yeux braqu�s sur moi pendant quelques secondes, puis, tandis qu'Anne me contournait pour� trouver une bonne chute, Roy s'approcha et m'ordonna de nettoyer de la langue sa bite, ses couilles et ses cuisses.



  Je ne me voyais pas faire, je sanglotais hyst�riquement tout le temps que cette �preuve dura.


Anne reposa enfin la cam�ra puis elle se pencha sur moi et me susurra :


-         La prochaine fois il te pissera dans la bouche ma ch�rie !


Je dus alors m'�tendre sur la b�che couverte d'urine, elle �tait d�j� refroidie.


Ca puait, de plus cela me rappelait clairement ce que je venais d'endurer, ils m'ignoraient, s'assirent dans le patio et sirot�rent un verre avant que Roy n'aille prendre une rapide douche.



  C�est alors que survint Dave, il me jeta un oeil angoiss�, comme r�vuls� par mon apparence abjecte.


Il but le grand verre d'eau de drogue qui l�attendait. Puis il revint vers moi et pissa sur tout mon corps.


Une fois qu'il en eut termin�, ils m'avertirent que je pouvais rentrer chez moi.


Anne avait film� toute la s�quence ou Dave m'urinait dessus, inondant mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon pubis de sa sale pisse. jusqu'� l'instant ou le flot se tarit et qu'un seul filet jaun�tre s'�coula lentement de son m�at.



  Je dus ensuite m'asseoir au centre de la b�che, et ils ordonn�rent alors � Dave de s'approcher et de me rouler une pelle.


Elle arr�ta alors la cam�ra, et m'ordonna d'emmener la b�che chez moi pour la nettoyer et la ramener propre le lendemain.


Je la pliais rapidement et Dave l'empoigna pour l'emmener. Il la jeta dans la cabine de douche et la savonna rapidement.


Nous l'avons ensuite rinc�e et pendu au-dessus du rideau de la cabine de douche des invit�s.



  Ils m'avaient enjoint de raconter � Dave comment s'�tait pass�e ma journ�e en d�tail.


Nous avons pris une douche rapide puis nous sous sommes couch�s et il me prit dans ses bras tandis que je lui racontais tout ce qui m'�tait arriv� au cours de cette maudite journ�e.


Je soup�onnais maintenant que notre maison �tait �quip�e de micros qui leur permettaient de nous surveiller jour et nuit peut-�tre pas de cam�ras vid�os, mais tout au moins de micros espions, aussi suivais-je scrupuleusement leurs consignes.


Cela me prit une bonne demi-heure pour tout raconter de ma journ�e � Dave, jusqu'au fait que deux jeunes gens allaient venir tondre la pelouse samedi et qu'ils pourraient profiter � leur guise de mes charmes alors que je continuerai � �voluer enti�rement nue dans notre maison.



  J'avais pris la bite de Dave en main tandis que je lui racontais ma journ�e, tandis que je narrais mes aventures je sentais sa bite grossir entre mes doigts au fur et � mesure que mon r�cit avan�ait.


Je r�alisais que mon rapport l'excitait grandement, cela me convenait parfaitement car moi aussi je sentais mon �moi grandir, et je savais maintenant que je n'�tais pas la seule � ressentir ces effets.



  Lorsque je terminais mon r�cit, je me penchais sur lui et le su�ais tendrement, une de ces fellations auxquelles j'avais �t� tant entra�n�e ces quatre derniers jours.


-         Mon Dieu... Pensais-je soudain


-         Cela ne faisait que quatre jours !





    24 avril 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus


Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 5


Our First New Home


Coulybaca / Vulgus



  Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.




   Chapitre 5 : suite des aventures de nos h�ros



  Le lendemain nous nous sommes lev�s comme � l'ordinaire et on d�jeuna comme d'habitude en d�but de week-end d'un bol de c�r�ales.


Comme d'ordinaire Dave partit travailler et je me rappelais soudain que je n'avais pas fait mon lavage hebdomadaire la nuit derni�re.


Je paniquais, je cherchais d�sesp�r�ment quelque chose de sexy � enfiler.


J'�tais d�sesp�r�e en derni�re ressource j'empoignais ma petite robe noire favorite et ma trousse de couture, et aussi vite que je le pus je la raccourcissais la transformant rapidement en mini-robe.


Je l'essayais rapidement et me rendis imm�diatement compte que j'aurai pu �tre plus mesur�e, elle �tait extr�mement courte.


Je grimpais sur un tabouret et me regardais dans le miroir, il m'apparut tout de suite que ma chatoune restait couverte tant que je ne bougeais pas d'un poil.


Je jetais un oeil sur l'horloge.


Je n'avais pas le choix.


Je devais sortir.


Je ne pouvais attendre plus longtemps.



  J'empoignais mon sac et me ruais dehors, je tombais imm�diatement sur Anne.


Elle me souriait gentiment et me dit :


-         Quelle belle journ�e, je crois que tu appr�cieras de faire � nouveau le trajet en bus aujourd'hui !



  Je la regardais �gar�e, j'aurai voulu d�sesp�r�ment la supplier de se montrer raisonnable, mais je savais pertinemment que ce serait en vain.


Alors que je m'�loignais elle me jeta :


-         Il y a un peu de vent aujourd'hui, mais ne te tracasse pas pour si peu, je t'interdis, quelques soient les circonstances, de maintenir ta robe en place ou de chercher � l'emp�cher de se relever !� Passe une bonne journ�e ma petite ch�rie !



  Je m'�tais fig�e quelques secondes le temps de dig�rer ses derni�res consignes., elle me critiqua :


-         Tu ferai mieux de te magner le cul stupide salope !� Tu vas rester un bon moment en plein vent si tu rates ton bus...



  Je r�alisais qu'elle disait vrai et me pr�cipitais vers l'arr�t de bus au bout de la rue, j'y arrivais en m�me temps que l'autocar.


Je faisais la queue avec deux hommes, mais celui qui �tait post� en face de moi prit conscience de ma tenue,� galamment il me fit signe de le pr�c�der pour monter dans le bus.



  Je savais pertinemment qu'il allait reluquer mon cul lorsque je grimperais les marches d'acc�s au bus.


Je payais mon ticket et me dirigeais vers une place vide.


Je pensais que cela se passerait bien cette fois et m'assis sur de fa�on � ce que personne ne puisse s'asseoir � mes cot�s.


Mais l'homme qui avait mat� mon cul n'entendait pas se faire avoir aussi facilement. Il se posta � cot� de moi et me demanda de me glisser sur le si�ge, bien sur, je m'ex�cutais docilement.



  Je glissais de cot�, exposant largement ma chagatte.


Du fait des derni�res instructions d'Anne alors que je quittais la maison il m'�tait interdit de repousser ma jupe sur ma chatoune � l'air libre.


L'homme, un vieil homme un soixantenaire �carquillait les yeux � la vue de ma foufoune, puis il me sourit prenant mon manque de r�action pour une invitation �vidente � me mignoter, il pla�a alors sa main droite sur ma cuisse d�nud�e.



  Sa main escaladait ma cuisse, le bus venait de stopper, une paire d'hommes et une femme mont�rent.


Ils pay�rent leurs tickets et se dirig�rent vers le fond o� se trouvaient les fauteuils libres.


Le dernier homme � �tre mont� allait nous d�passer lorsqu'il vit ma foufoune expos�e � l'air libre, il s'arr�ta subitement.



  Il se figea et regarda fixement le vieillard qui malaxait ma chatoune avant d'ins�rer un doigt inquisiteur dans ma fentine, visiblement ma g�ne le r�jouissait, il sentait confus�ment que je lui permettais de telles privaut�s alors que je ne d�sirais pas une telle attention.



  Mais pour l'instant il se contentait de profiter de cette chance qui lui �choyait, il me molestait sous les yeux d'un assistant ravi d'une telle aubaine, il me caressa ainsi sans vergogne jusqu'� l'arr�t du bus, je me levais pour changer de bus, les deux hommes en firent autant et me suivirent de loin.



  Je me tenais � l'arr�t de bus, ma fine jupe flottant au vent exposant ma chatte et mon cul aux yeux des badauds enthousiastes.



  Mon bus arriva enfin, je dus rester debout, toutes les places assises �tant prises.


Je pensais que cela pouvait �tre un avantage.


J'�tais hors de port�e des hommes de l'autre bus.


J'en oubliais les gens assis � mes cot�s.



  J'�tais debout � cot� de deux jeunes gens dans les vingt ans qui braquaient des yeux concupiscents sur mes longues jambes.


L'homme qui avait malmen� ma chatoune dans le premier bus se serra dans mon dos et releva lentement ma jupe.


Tout en relevant ma jupe il me tourna me disposant le cul juste face aux deux jeunes gars assis � cot� de moi.


Lorsque ma croupe se retrouva enti�rement expos�e, il tendit la main et me p�trit fermement une fesse, de la jambe il me for�ait � �carter les cuisses en grand.



  Je n'osais pas regarder les deux jeunes gaillards assis � cot� de moi, mais je savais que je retenais leur attention.


Je sentis la diff�rence de toucher lorsqu'ils se mirent � explorer mes charmes culiers et ma chatoune, prenant chacun leur tour se montrant de plus en plus rudes.


Mais le pire ce fut quand j'entendis les deux femmes dans les fauteuils derri�re moi d�taillant tranquillement mes charmes, elles observaient attentivement ce qu'ils me faisaient.


Et encore n'�tait-ce pas vraiment le pire.


Le pire arriva lorsque je dus mordre mes l�vres pour me retenir de crier alors qu'un orgasme d'une intensit� rare me d�vastait.



  Nous sommes enfin arriv�s � mon arr�t, et gr�ce � la foule des gens se pressant les uns contre les autres, personne ne vit � quel point mes charmes �taient exhib�s avant que ma jupe ne retombe sur mes cuisses.



  Je me pr�cipitais jusqu'� mon bureau, ignorant ma jupe qui volait au gr� de ma course, j'avais une minute de retard.


J'�tais si d��ue que j'en aurai pleur�, ou bien �tait ce du fait de mon �preuve dans le bus ?



Apparemment la direction �tait nerveuse aujourd'hui, monsieur Jefferson vint dans mon bureau vers 10 heures, sortit sa bite de son cale�on et se fit tailler une pipe.


Le fait de sentir tous ces employ�s tourner autour de mon bureau devaient l'exciter car il �jacula rapidement.


Puis je suis rest�e seule jusque 15 heures, c'est � cette heure que je re�us un mail �manant des deux jeunes� g�rant la messagerie, m'ordonnant de les rejoindre.



  Je pris l'ascenseur pour descendre au sous-sol qui semblait le bon endroit pour abriter ces animaux. Je frappais � la porte de leur antre.


Un panneau s'affichait sur la porte portant la mention "seuls les employ�s de la messagerie sont autoris�s � franchir cette porte"


L�un des deux ouvrit la porte, je ne savais pas toujours pas lequel �tait Jimmy, et lequel Dan, mais cela importait peu en fait.



  Il me fit entrer et referma la porte dans mon dos, ils m'ordonn�rent alors de me foutre � poil.


J'enlevais imm�diatement ma petite robe noire.


Je la jetais sur une chaise proche et attendis que les abus commencent.


Ils sortirent tous deux des cam�ras digitales et me firent prendre des poses obsc�nes.



  -         Doux J�sus... Pensais-je r�sign�:


-         Ils vont tous disposer de photos de moi nue !J�sus



J'assumais toutes les poses que leurs pervers esprits me r�clamaient.


Celui qui avait trait� si rudement mes nibards hier jeta ses sous-v�tements au sol et enfourna sa bite dans ma bouche asservie.


Puis, alors que son copain continuait � prendre clich� sur clich� il me tira les mains derri�re la t�te et les lia avec une ceinture.


Puis il me repoussa sur le dos en appui sur mes bras il me fit mal, je criais dans mon baillon, ce qui les fit rire.


Il me retourna, je ne savais pas ce dont il s'�tait servi pour me torturer.


Le petit b�tard me maintint allong� sur le dos et empoigna une r�gle de bois et commen�a � me frapper sur les nichons.


Je hurlais et me d�battais pour lui �chapper, mais il me clouait bien au sol et il me frappa jusqu'� ce que mes nichons soient tout rouges, br�lants et couverts de bleus.



  Je pense que je m'�tais �vanouie, parce que la seule chose dont je me rappelle ensuite c'est qu'il me giflait violemment en plein visage alors qu'il me baisait brutalement en chatte.


Il en avait termin� avec ses brutaux pr�liminaires bien que j'�tais dans les vapes.


Peu apr�s que je soie revenue � moi il �jacula en moi tout en continuant � me gifler avec brutalit�.


Il me jeta au sol pour que je lui nettoie la bite de la langue, puis il reprit sa ceinture et me refila � son copain.



  Dieu merci son pote n'�tait pas aussi brutal que lui, il me disposa � plat dos sur le bureau, tourn�e vers lui et releva mes jambes exposant mon trou du cul.


Il me baisa en chatte pendant une bonne minute, puis il se retira et enfourna sa bite dans mon trou du cul.


Sa mentule n'�tait pas tr�s grosse, et mes nichons me faisaient si mal que je n'y pr�tais que peu d'attention.


Il jouit rapidement, et une fois que j'eus nettoy� sa bite il me rendit ma petite robe et m'e laissa retourner � mon bureau.



  Il �tait 15 heures trente lorsque je rentrais dans mon bureau, il me semblait pourtant que mon �preuve avait dur� bien plus longtemps que cela !


Je m'assis � mon bureau pendant une bonne minute, cherchant � r�cup�rer mon souffle, puis je repris mon travail.



  Je me pr�parais � quitter le bureau � quatre heures lorsque monsieur Jefferson s'approcha de moi.


Im me demanda ce qui s'�tait pass� dans la messagerie, et lorsque je le lui eus racont�, il remonta mon chemisier d�nudant mes miches qu'il observa attentivement, je m'attendais � ce qu'il me montre un peu de piti�. Je n'�tais vraiment qu'une petite salope stupide. Il sourit et empoigna mes miches et les serra jusqu'� ce je tombe � genoux.



  Je m'effor�ais de ne pas crier pour ne pas attirer l'attention, c'�tait exactement la seule chose � ne pas faire, il� baissa les yeux sur moi et secoua la t�te en signe de d�go�t en me disant :


- Rentre chez toi stupide salope !



  J'empoignais mon sac gagnais rapidement mon arr�t de bus. Je me tenais dans la foule attendant que mon bus arrive.


Au d�but la foule me prot�gea de la brise qui �tait plus forte dans les rues de la cit� qu'en banlieue.


Mais, alors que les gens se pr�cipitaient pour monter dans le bus, je me retrouvais moins prot�g�e du vent exposant mes charmes � un public ravi.



  Un homme s'approcha de moi et me dit :


-         Hello petite pute !


Bien que je ne vis pas son visage, je reconnus ses chaussures, c'�tait l'homme qui avait rendu ma promenade matinale si d�plaisante, � l'exception de l'orgasme qui m'avait foudroy� � la fin du voyage.



  Je soupirais :


-         Hello.� En retour et me figeais attendant que les abus reprennent.


J'esp�rais seulement qu'il attende le temps qu'on monte dans le bus afin que la ville enti�re ne soit pas t�moin de ma d�gradation.



  Il n'attendit pas se montra assez discret alors qu'il me caressait �nergiquement les fesses au travers de �ma jupe alors qu'on attendait le bus.


Je savais que les gens qui se trouvaient � nos cot�s �taient conscients qu'il� caressait rudement mes charmes, mais j'�tais incapable de me d�fendre.



  Enfin mon bus arriva j'attrapais la barre et grimpais dans le bus, mon tourmenteur ne se satisfaisait pas de cela, il empoigna mon bras et tira vers le fond du bus, il me poussa sur la banquette arri�re � cot� de trois passagers qui m'ignor�rent tout au moins au d�but.


Cependant ils remarqu�rent toutefois que je ne portais pas de culotte, lorsqu'il me� repoussa sur le si�ge exposant enti�rement ma chatoune.



  Il me maintint dans cette position pendant quelques minutes partageant la vue de ma toison dor�e avec mes voisins.


Mais il ne s'en satisfa pas longtemps. Je sentis qu'il descendait lentement la fermeture �clair dorsale de ma robe, je mordais mes l�vres en secouant la t�te, le suppliant des yeux de cesser son man�ge.



  Un des hommes � c�t� de moi toussa je levaisles yeux et le vit ouvrir de grands yeux �carquill�s.


Le plus proche tendit la main et la posa sur ma cuisse.


Comme je n'opposais aucune r�sistance il la glissa vers ma chatoune et joua avec ma foufoune alors qu'il regardait mon agresseur descendre lentement le devant de ma robe d�nudant lentement mes miches qui �taient rouge vif, enflamm�es.



  Choqu�s ils regardaient tous quatre mes chairs contusionn�es, puis l'homme sur lequel j'�tais assise m'attira contre son torse et referma la fermeture � l'instant m�me o� l'on arrivait � mon arr�t.



  Nous avons forc� notre passage dans la foule et avons attendu notre prochain bus.


Il n'y avait pas grand monde autour de nous, il m'�loigna des gens qui attendaient, j'attendais qu'il recommence � me tourmenter.


Il me demanda alors ce qui m'�tait arriv�, c'�tait surtout pour s'en amuser, pas vraiment pour me torturer et abuser de moi.


J'aurai pu tout lui dire, mais je ne le pouvais pas, cela aurait pu �tre consid�r� comme un appel � l'aide aussi ne pouvais-je rien lui raconter.



  Je le regardais des larmes pleins les yeux et lui confiais :


-         Je suis d�sol�e, j'aimerai pouvoir vous raconter mes ennuis, mais je ne le peux pas ! M�me si je le d�sire profond�ment, je ne le peux pas !



  Il �tait visible � son attitude qu'il crut que j'�tais trop effray�e pour pouvoir lui confier mes probl�mes.


Notre bus arriva et nous nous dirige�mes vers l'arr�t suivant.


Je descendis et me pressais de retourner chez moi, j'�tais consciente qu'il me suivait. Je ne pouvais qu'esp�rer que qu'il en sortirait quelque chose de bien. Peut-�tre bien qu'il pr�viendrait les flics et qu'il nous sauverait de l'emprise de nos voisins.



  Je me pr�cipitais dans notre chambre et me d�shabillais, je pris une douche rapide et chargea la machine � laver, je voulais aller acheter des tenues encore plus audacieuses d�s que possible, il ne me restait pas grand temps pour laver mes tenues provocantes � r�p�tition.



  Une fois la machine � laver mise en route, je pr�parais le souper, Dieu merci Dave rentra � la maison� en temps normal.


Il fit la grimace en voyant mes miches maltrait�es, mais je posais un doigt sur ses l�vres, et on �vita d'�voquer ce sujet.


Nous avons mang� calmement, on craignait d�j� notre future visite chez nos voisins.



  Lorsque nous e�mes termin� notre repas, je nettoyais la cuisine et Dave sortit la b�che qui avait servi la nuit derni�re et on la replia dans la salle de s�jour.



  J'�tais d�j� nue, il se d�shabilla rapidement et nous avons regard� dehors.


Ne voyant personne se promener, nous nous sommes dirig�s aussi rapidement que possible sans pour autant donner l'impression que nous courions, vers la porte de nos voisins et nous avons sonn�.


Apr�s l'habituelle attente ils nous firent entrer.



  Ils nous tendirent notre verre de drogue que l'on vida rapidement, encore un et l'effet serait permanent.


Nous n'�tions pas seuls ce soir, une demi-douzaine d'hommes nous attendaient, je ne les reconnus pas, mais cela ne voulait rien dire.


J'avais �t� bais�e par plus de 80 hommes depuis dimanche et ne pouvais pas tous les reconna�tre !



  Nous avons du nous agenouiller de chaque cot� de la table base du salon puis de nous pencher dessus.


Ce faisant nos t�tes se touchaient, nous nous regardions yeux dans les yeux, partageant nos craintes et nos tourments, notre d�gradation.



  Nous ne devions pas bouger, deux hommes se positionn�rent dans nos dos, nous �cart�rent les fesses et nous encul�rent vigoureusement.


Tandis qu'ils nous enculaient, je dus raconter, en d�tails, les �v�nements de la journ�e.


Ils �taient particuli�rement impatients de conna�tre la raison de ces marques de maltraitance sur mes nichons.



  Je commen�ais par raconter mon �tat de panique lorsque j'avais r�alis� que je n'avais rien d'appropri� � enfiler. Je d�cris alors ma pr�cipitation pour me pr�parer une tenue provocante et mon erreur dans la d�coupe du bas de ma robe, je l'avais coup�e trop courte de 5 centim�tres.


Je leur parlais de l'intervention d'Anne me sugg�rant de prendre le bus ce matin, je leur narrais alors les agissements de ce salopard qui m'avait suivi dans le bus.


J'abordais ensuite les �v�nements survenus dans le second bus comment j'avais �t� exhib�e sous les yeux de deux jeunes gars qui m'avaient pelot�e pendant le reste du trajet. Cependant je taisais le puissant orgasme qui m'avait terrass� sous leurs caresses habiles.



  Puis je racontais ma journ�e de travail, d�taillant mon s�jour dans la salle de messagerie. Puis je revenais � mon retour en bus jusqu'� �voquer le dilemme du � ma situation.


Le temps que je finisse de raconter es aventures, mon mari et moi avions d�j� �t�s encul�s par trois hommes.


Ils se repos�rent alors en regardant la vid�o tourn�e par Anne la nuit derni�re.


Ils la lui firent rembobiner voulant revoir la s�quence pendant laquelle Roy puis Dave m'avaient arros� de pisse.


Ils regard�rent ce passage � plusieurs reprises avant de retrouver leur vigueur les trois qui m'avaient encul�e faisaient maintenant la queue pour sodomiser mon mari, alors que les trois qui l'avaient encul� se pr�paraient � me casser le cul � leur tour.


Cela prit plus longtemps cette fois, bien plus longtemps !



  Lorsque les six invit�s en eurent finis avec nous,� Roy nous disposa cote sur la table et entreprit de nous enculer.


Il me bourrait de trois quatre cous de bite, puis enculait Dave.


Il alla ainsi entre nous deux � plusieurs reprises.



  Puis il eut une meilleure id�e, il attira l'agenouilloir et nous disposa de part et d'autre face � face.


Puis il entreprit d'enculer l'un de nous pendant une minute puis il contournait l'agenouilloir et proc�dait de m�me avec l'autre.


Il faisait des commentaires graveleux � l'usage des spectateurs, il disait que cela aurait �t� encore meilleur si l'on avait �t� li� sur une roue qu'il aurait fait tourner toutes les minutes ce qui lui aurait �vit� de se d�placer. Finalement il jouit dans mes intestins et se fit nettoyer la bite par Dave.


Puis je dus nettoyer le trou du cul de Dave avec ma langue et Dave fit de m�me avec mon anus.



  Anne ne s'occupa de nous avant le d�part de leurs 6 invit�s.


Elle aimait regarder, et elle aimait user et abuser de nos charmes, mais apparemment cela la g�nait de se d�nuder devant ces six hommes cr�pus.


Cela me surprenait apr�s sa fa�on de se comporter de ces derniers jours, je suppose que tout simplement elle n'en avait pas envie � cet instant.



  Lorsque Les six hommes partirent, Anne se d�v�tit et Dave lui bouffa le gazon tandis que je su�ais et mignotais ses t�tons.



  Enfin ils nous permirent de retourner chez nous.



  Tandis que nous traversions l'arri�re cour, je murmurais � Dave qu'ils nous entendaient lorsqu'on parlait dans la maison et que peut-�tre m�me qu'ils nous voyaient. J'�tais certain qu'Anne m'avait fait prendre le bus ce matin m�me parce qu'elle avait constat� � quel point ma robe �tait courte.



  Dave hocha la t�te affirmativement, il ne semblait pas outre mesure surpris.



  Nous sommes rentr�s chez nous et je criais en voyant quelqu'un assis dans notre salon obscur.


Dave alluma la lumi�re, et je vis qu'il s'agissait de monsieur Taylor.



  -         Que faites-vous ici ?� Criais-je


Il me sourit calmement et me coupa :


-         Ferme la salope...� Je t'ai rat�e au boulot... �J'ai du m'absenter pour honorer des rendez-vous hors de la ville... J'ai d�cid� que j'arr�terai chez toi en rentrant pour me faire ton jeune cul !



  Il me parlait � moi, mais c'est Dave qu'il regardait.


Il comprit que Dave, comme il avait suspect�, �tait incapable de s'opposer � ce qu'il voudrait faire de moi.


Il se leva et m'ordonna de l'aider � se d�shabiller.



  Je soupirais r�sign�e et m'approchais de lui commen�ant alors � le d�v�tir. Il avait pas mal bu, il puait l'alcool.



  Lorsqu'il fut nu il enjoignit � mon mari de prendre ses v�tements et m'ordonna de l'emmener dans notre chambre.



Il s'�tendit sur le grand lit conjugal et m'intima de lui sucer la bite pendant quelques minutes.


Il semblait prendre �norm�ment de plaisir � se faire tailler une pipe sous les yeux de mon mari sachant que nous �tions oblig�s de participer contre notre volont�.



  Je le su�ais comme j'avais maintenant appris � le faire, avec une certaine comp�tence sinon de l�enthousiasme.


Apr�s quelques minutes il repoussa ma bouche et m'attira sur le lit. Il s'allongea sur moi et ordonna � Dave de guider son chibre dans ma chatoune accueillante, et il entreprit de me marteler profond�ment sur un rythme soutenu.



  Cela ne dura pas tr�s longtemps. Il jouit rapidement, projetant une d�charge cr�meuse de plus dans mon ut�rus profan�.


Puis il s'�croula sur moi et y resta quelques minutes sa queue se ramollit en moi.



  Il se retira finalement et ordonna � Dave de lui sucer la bite pour la nettoyer. Tandis qu'il se rhabillait, il me demanda ce qui �tait arriv� � mes nibards, je lui confiais mon �preuve.


Il rit et me dit :


-         Bordel ces jeunes ont plus d'imagination que je le pensais !� Ils pourraient bien avoir de l'avenir dans la compagnie...



  Je le suivais jusqu'� la porte� et le regardais partir.


Puis, je me rappelais mes v�tements, je les sortis de la machine � laver pour les mettre dans l'essoreuse, je les fis s�cher pendant un quart d'heure, je repris alors une douche rapide.


Enfin, je pendais mes v�tements sur le s�choir et allais au lit.



  Allong� sur le dos Dave avait les yeux riv�s au plafond, il semblait plong� dans des pens�es moroses.


J'�teignais la lampe et me pelotonnais contre lui, je lui murmurais � l'oreille :


-         Ch�ri, je ne pourrai pas supporter tout ceci si tu n'�tais pas avec moi !


-         Je sais bien Donna...


Mais sa voix semblait si r�sign�e, si lointaine que je me d�solais de le voir aussi atteint.



  6 mai 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


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Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 6


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  Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.




   Chapitre 7 : fin de l��pop�e.



  Nous avions besoin d'aller � l'�picerie faire quelques achats, aussi ai-je enfil� un de mes nouveaux tops et tent� de choisir mon v�tement le moins provocateur.


J'avais enfil� un top qui proclamait : "Oui, ils sont bien r�els" et je le portais sur mes nichons nus.


Il �tait tr�s fin et les petites halt�res suspendues � mes mamelons �taient clairement visibles.


Je trouvais ce haut hyper provoquant, je l'accompagnais d'une de mes nouvelles micro-jupes et nous sommes partis faire nos courses dans l'�picerie la plus proche de notre maison, de toutes mani�res nous n'en connaissions pas d'autre.



  Nous avons achet� les articles usuels plus quelques produits d�sinfectants pour nettoyer mes cicatrices, nous sommes alors rentr�s � la maison o� nous avons rang� nos courses.


Les deux pi�ces de v�tements que je portais me contractaient, aussi les �tais-je prestement.


J'�tais arriv�e au point o� je me sentais bien mieux enti�rement nue que v�tue de fa�on ultra-provocante.


Dave me sourit et se d�shabilla lui aussi.



  Nous nous sommes pr�par�s des boissons fra�ches et sommes all�s nous relaxer au bord de la piscine avant de d�ner.


Tandis que nous �tions assis sirotant nos boissons� Roy arriva par la porte de l'arri�re cour et me fit lever pour inspecter mes nouveaux ornements.



  Visiblement il trouva le spectacle stimulant, il me fit rasseoir dans mon si�ge, sortit son �paisse mentule et l'enfourna dans ma bouche.


Tandis qu'il me baisait en bouche il me dit qu'ils nous laisseraient quasiment seuls les trois semaines � venir, le temps que je cicatrise.


Il sortit une note de sa poche et la posa sur la table.



  Alors que je lui su�ais servilement la bite il m'enjoignit :


-         Tu donneras ce message � ton sup�rieur Donna...� Je le pr�viens que ne veux plus voir de traces de coups et que tu ne peux que tailler des pipes ces trois semaines � venir, que sinon tu d�missionnerais de sa boite !�



Si je n'avais pas eu la bouche pleine, je l'aurai remerci�.


Dave lui demanda si nous devions toujours leur raconter ce qui nous arrivait chaque soir en rentrant du boulot.


Roy r�pondit que cela n'�tait plus vraiment n�cessaire maintenant que notre dressage �tait termin�.



  Je souhaitais qu'ils cessent de discuter pour que Roy se concentre sur ce que je lui faisais.


Ils se turent enfin et aussit�t j'absorbais l'importante dose de foutre que Roy que Roy me larguait en pleine gorge.


Il nous quitta d�s qu'il eut extirp� sa bite de ma bouche. Il s'arr�ta � la grille et nous dispensa de visionner le DVD, nous le connaissions par ch�ur de toute mani�re.



  Puis il partit et nous respir�mes tous deux bien mieux. C'�tait comme si un morceau de notre pass� nous quittait. Je devais cependant toujours m'habiller en pute et d'ob�ir aux ordres de tous ces pervers qui voulaient me sauter.



  Mais pour l'instant nous pouvions regarder un peu la t�l� ce qui nous maintenait la t�te hors de l'eau.



  Je me rin�ais la bouche avec mon verre puis nous sommes rentr�s pr�parer le souper. Une fois que tout fut pr�t nous avons mis la table � cot� de la piscine et nous avons mang� au calme.


C'�tait vraiment ironique, cette piscine, cette arri�re-cour c'�tait les deux principales raisons pour lesquelles nous avions achet� notre maison !


Nous �tions maintenant� des esclaves sexuelles en grande partie � cause de cette piscine. Cependant nous aimions toujours nous asseoir � son abord, c'�tait calme et reposant.



  Nous sommes rentr�s apr�s avoir sirot� des digestifs � cot� de la piscine et nous nous sommes assis devant la t�l� pour regarder les informations pendant une bonne heure, ce qui ne nous �tait pas arriv� depuis fort longtemps?


Nous �tions heureux de d�couvrir que notre idiot de pr�sident ne nous avait pas entra�n�s dans de nouvelles guerres ces derni�res semaines.



  Nous avons �teint la t�l� et nous sommes blottis l'un contre l'autre pendant un bon moment.


Puis Dave m'allongea sur le plancher et me butina ma foufoune fra�chement� perfor�e.


Cela me plaisait beaucoup et j'�tais heureuse de lui rendre son plaisir lorsqu'il en eut termin�.


Satisfaits l'un de l'autre, nous sommes mont�s nous coucher assez bien relax�s.



  Le lendemain matin, tout paraissait normal.


Tout au moins jusqu'� ce que j'enfile ce corsage pour la premi�re fois.


Je ne croyais pas que l'on puisse para�tre aussi d�nud�e. Mes nichons �taient clairement visibles, les piercings qui semblaient maintenir mes t�tons en constante �rection, crevaient les yeux.


Ils attiraient les regards.


Je ne voulais pas croire que dans un futur proche je devrai porter ce chemisier transparent, autant se promener seins nus.



  Je rangeais la note de Roy dans mon sac � main et prit la direction du boulot.


Je gardais les yeux baiss�s tandis que je traversais le parking de l'entreprise et en parcourais les couloirs.


Les conversations cessaient sur mon passage, je sentais les yeux de mes coll�gues, hommes et femmes, s'appesantir sur mes charmes expos�s o� que j'aille.



  Je me dirigeais vers mon box et posais mon sac � main, puis je gagnais le bureau de monsieur Jefferson et frappais � sa porte.


Il me fit signe d'entrer, je lui tendis la note de Roy.


Je restais face � lui tandis qu'il lisait le message, lorsqu'il en eut fini la lecture il garda les yeux braqu�s sur mes mamelons pendant quelques instants, puis il se leva ferma la porte et baissa les stores et me fit d�shabiller.


Il examina de pr�s mes piercings, le spectacle semblait le combler.



  -         J'ignorais que tu devais rapporter � tes "ma�tres" ce qui se passait ici !� Pourquoi le fais-tu d'ailleurs ?



  -         Ils me l'imposent, chaque soir mon �poux et moi-m�me devons aller chez eux et je dois leur raconter en d�tail tout ce qui m'est arriv�, de nature sexuelle, tout ce qui r�sulte des drogues qu'ils m'ont fait boire.



  Monsieur Jefferson retourna derri�re son bureau, s'assit sur son fauteuil, m'ordonna de m'approcher et de m'agenouiller en face de lui de fa�on � ce que j'aie quelque chose � raconter � mes "ma�tres" ce soir !



  Je le su�ais rapidement et lui demandais ensuite s'il pouvait transmettre le message � monsieur Taylor et � Jimmy et Dan de la messagerie.



  Il hocha affirmativement la t�te, je me rhabillais et retournais reprendre mon travail.


Comme j'en ai avais pris l'habitude depuis que je portais des tenues de plus en plus r�v�latrices, je restais dans mon box toute la journ�e, n'en sortant que pour me rendre aux toilettes.


Une des raisons pour lesquelles cette place �tait si ha�ssable �tait due au fait que les contacts entre employ�s �taient fortement d�courag�s.


Si l'on vous voyez dans un autre box que le votre, on vous demandait imm�diatement ce que vous faisiez l� !


Il valait mieux avoir une bonne raison de se tenir l� pour toute conversation que l'on semblerait avoir !



  Mais cette fois cel� tournait � mon avantage.


A leur grand plaisir, nombre de coll�gues pouvaient voir la fa�on dont j'�tais v�tue ainsi que mes t�tons perc�s !



  Les� trois semaines suivantes pass�rent rapidement.


Je faisais de fellation aux m�mes quatre hommes chaque jour au boulot, � partir de ce jour je n'en su�ais plus aucun. M�me Roy me laissait tranquille, puisqu'il ne pouvait pas me baiser, il encula tout le temps que je restais indisponible me contentant de butiner la chatoune d'Anne.



  Je devais prodiguer des fellations aux jeunes gens qui tondaient le gazon le dimanche. Il fallait aussi que je les paye.


Ils �taient si excit�s de s'�tre fait d�puceler le premier dimanche qu'ils en avaient oubli� de r�clamer le paiement de leur prestation.�


Leurs parents n'avaient pas appr�ci� la plaisanterie et elle avait du leur faire ses excuses d'avoir oubli� de les r�tribuer. Nous avions du rectifier le tir d�s leur seconde visite.



  Deux semaines plus tard, une paire d'�trangers se point�rent chez eux r�clamant des rapports sexuels., mais ils savaient tous deux qu'ils ne devaient pas utiliser mes nibards et ma foufoune s'ils n'�taient pas enti�rement cicatris�s.



  Cela ne pouvait pas durer bien longtemps.


Le dimanche cl�turant la troisi�me semaine, je fis l'amour avec Dave et je d�couvris que les anneaux, tous les trois, non seulement ne me faisaient plus mal, mais excitaient ma libido.


La stimulation de mon clito �tait importante, je succombais � un orgasme intense d�s que p�n�tr�e pour la premi�re fois de ma vie !



  Apr�s avoir fait l'amour nous avons fait quelque chose de tout nouveau sous le contr�le d'Anne et Roy.


Nous nous sommes nettoy�s l'un l'autre avec nos bouches et nous avons trouv� cela tr�s excitant tant que cela restait entre nous.


Cela nous procura � chacun un nouvel orgasme.


Les sensations que me procuraient la langue de Dave titillant l'anneau de mon clito �taient extraordinaires.



  Nous nous sommes blottis l'un contre l'autre et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre, essayant d'oublier toutes ces restrictions qu'on nous imposait.



  Le lendemain matin nous avons d�jeun� normalement Et Dave me quitta pour se rendre � son travail � l'heure ordinaire.


Je ne m'habillais pas avant d'avoir d�jeun�, je passais autant de temps que je le pouvais enti�rement nue � la maison, et presque autant de temps au boulot.


J'enfilais un corsage transparent et une micro jupe, enfilais mes chaussures� pris mon sac et me pr�cipitais sur ma voiture. Anne m'attendait � l'ext�rieur de la maison.



  -         Mon petit c�ur...� Me dit-elle suavement


-         Tes aventures en bus commencent � me manquer... Pourquoi ne le prendrais-tu pas aujourd'hui ?


Elle se tut le temps d'�pier ma r&action puis s'en alla.


Je courus jusqu'� l'arr�t de bus au bout de la rue.


Je connaissais maintenant la routine par coeur, je tendis mon argent au chauffeur et il me donna mon ticket, puis, je m'assis au milieu du bus.


Je sentais les yeux de nombreuses personnes d�tailler mes charmes mammaires quasiment d�nud�s.


A peine m'�tais-je assise que quelqu'un prit place � cot� de moi. Je ne levais pas les yeux. Je d�testais regarder les personnes qui tiraient avantage de ma situation. L'homme posa sa main sur le dossier de mon si�ge, sa main pendant � cot� de mon nibard.




   -         Hello, je m'appelle Terri, et toi comment te nommes-tu ch�rie ? M'interpella-t-il.


-         Donna... Je m'appelle Donna...� Soupirais-je mis�rablement.


-         J'aime ta tenue...� Ajouta-t-il,� je comprenais qu'il �tait sinc�re au son de sa voix.


-         Que fais-tu Donna ? M'interrogea-t-il.


-         Je me rends � mon travail !



  Il me demanda o� je travaillais, je dus lui r�pondre. Puis il s'enquit si je me rendais toujours � mon travail habill�e de fa�on aussi provocante et sexy.


La question suivante me troubla �norm�ment, il me demanda si mes coll�gues aimaient ma fa�on de m'habiller, je lui r�pondis que oui.



  Sa main �tait maintenant pos�e sur ma cuisse, et comme je ne protestais pas il se crut autoris� � explorer mes charmes.


-         Tu dois tourner la t�te � de nombreux m�les dans ta boite avec tes v�tements sexy et ton allure de salope !


Je hochais la t�te avalant ma salive alors qu'il introduisait ses doigts dans ma fentine.



  -         Tes coll�gues te font-ils des propositions salaces ? Me questionna-t-il.


Avant que j'aie le temps de r�pondre il poursuivit :


-         As-tu d�j� accept� de baiser avec eux ?


Je hochais � nouveau la t�te.


Il me demanda avec qui, je lui r�pondis, puis il voulut savoir pourquoi, ayant remarqu� que j'�tais mari�e.



  Je d�testais ce genre de question, mais j'�tais tenue d'y r�pondre.


-         Je n'ai pas le choix...�� Je suis oblig�e de baiser avec eux !


-         Tu es oblig�e ?� Pourquoi ?


-         Parce qu'ils me l'ordonnent ! Aie-je du r�pondre mis�rablement.



  -         Fais-tu toujours ce que l'on t'ordonne de faire ? Poursuivit-il l�g�rement incr�dule.


Je grognais que oui.


-         Pourquoi ?


-         Je n'ai pas le choix...� Je dois le faire... R�torquais-je � contrec�ur.



  -         Dois-tu faire ce que n'importe qui t'ordonne ? Ne croyant pas encore en sa bonne fortune, se demandant maintenant comment utiliser cette information.



  -         Ainsi si je t'ordonnais de te foutre � poil, tu le ferais ?


Je hochais encore la t�te effondr�e.



  Il ne savait pas encore comment, mais il savait� que d'une mani�re ou� d'une autre il est all� profiter de cette occurrence.



  -         D�boutonne trois boutons de ton corsage !� Lui intima-t-il.


Je soupirais r�sign�e et obtemp�rais rapidement.


-         Putain j'ai vraiment un pot de cocu ! S�esclaffa-t-il hilare.


Ses mains se port�rent sur mon buste, il empauma mes nibards et les malaxa gentiment avant de d�tailler ses mamelons et de d�couvrir mes piercings.



  Je sentais mon arr�t s'approcher, je lui dis que je devais descendre l�.


Il me r�pondit s�chement :


-         Non, tu ne descendras pas � cet arr�t...� Le mien arrive et il a un motel tout proche...� Nous allons nous y rendre, y prendre une chambre pour baiser pendant un bon moment !



  Je suppose que c'�tait in�vitable, il ne voulait pas me suivre chez moi et voulait me baiser sur place, dans l'imm�diat.


Je me contentais de hocher la t�te et il continua � palper mes charmes le temps de parvenir � son arr�t.


Il se leva promptement et je commen�ais � reboutonner mon chemisier.



  -         Non ! Me dit-il


-         Je t'aime mieux comme �a !



  Nous nous trouvions trois arr�ts plus loin et je le suivis jusqu'� l'h�tel qui faisait le coin.


Il m'ordonna d'entrer et de r�server une chambre je lui r�torquais qu'avec ma tenue ils risquaient de ne pas accepter de m'en louer une.


-         C'est d'accord reboutonne ton d�collet�...� Et maintenant va r�server une chambre et viens me rejoindre !



  Je me pressais de m'ex�cuter.


Le pr�pos� me couvait d'un oeil concupiscent, mais il ne me dit rien. Je lui tendis ma carte de cr�dit et attendis qu'il me ma rende.


Quel supr�me ironie que d'avoir � payer une chambre pour qu'un �tranger me viole !


Je signais le talon de la carte de cr�dit et retournais rejoindre mon suborneur. Sur le chemin de la chambre je lui demandais de me laisser t�l�phoner � mon patron que je serai en retard.



  D�s arriv� dans la chambre il appela son boulot pour signaler qu'il �tait malade.


Puis il me dit d'appeler mon patron une fois que je me serai d�shabill�e.


Je me d�pouillais de mon chemisier et de ma jupe, il vit alors le bijou qui ornait mon clito.


Je m'allongeais dans le lit, il s'agenouilla entre mes cuisses et tandis que je t�l�phonais � monsieur Jefferson cet �tranger commen�a � s'amuser avec ma chatoune et mon bijou de clito.


Je ne savais toujours pas son nom, mais c'�tait la norme que je vivais journellement.


Des hommes se pointaient chez moi, et me baisaient � couilles rabattues sans m�me me dire leurs noms.


Ce n'est pas que je m'inqui�tais vraiment de leur identit�, c'est tout simplement que je n'�tais pas une pute et baiser avec des inconnus me traumatisait.


Cela me blessait profond�ment.� Et le fait de ne pas avoir le chat n'�tait pas vraiment d'un grand r�confort.



  Lorsque j'eus monsieur Jefferson en ligne, je lui dis :


-         Monsieur Jefferson, c'est Donna... Je ne sais pas � quelle heure j'arriverai aujourd'hui...� Anne m'a fait prendre le bus et un voyageur m'a ordonn� de le suivre dans une chambre de motel.



  Il me demanda combien de temps cela durerait et je r�torquais :


-         Je ne sais pas monsieur, il ne me l'a pas dit !


Il demanda � parler � cet homme, je lui tendis donc le t�l�phone, il h�sita pendant quelques instants, mais il le prit et souffla :


-         Hello...



  Il �couta pendant une bonne minute puis r�pondit :


-         Je ne sais pas mec...� C'est vraiment une belle petite salope et je me r�jouis de jouir de ses appas pendant 1 heure ou 2...� Je n'ai rien programm� !



  Il attendit encore quelques instants et reprit :


-         C'est bon mec...� Elle travaille pour toi cette pute ? Voil� le march� : elle est avec moi et je vais me la baiser pendant un bon moment !...� Quand j'en aurai fini avec elle, je la laisserai partir !


Sur ces mots il referma son portable� et le jeta sur l'autre lit avec mes v�tements et mon sac � main.



  Il se releva alors et se d�shabilla lentement alors que le regardais avec curiosit�.


Il semblait en bonne forme, assez s�duisant, il devait avoir 34, 35 ans et s'av�rait assez muscl�.


Je le regardais se d�v�tir, il me rejoignit alors sur le lit et m'intima de le sucer !



  Apparemment on ne lui avait jamais prodigu� de gorge profonde jamais profond� auparavant et il adorait cette technique !



  -         Bordel de merde !� S'exclama-t-il


-         Ce que t'es bonne ma salope !


Il avait �t� extr�mement bruyant tout le long de la fellation et lorsque finalement il jouit, il tint ma t�te fermement bloqu�e contre son estomac alors que ses jets cr�meux explosaient dans ma gorge.



  Il se d�tendit lentement, je pus reculer la t�te pour respirer avidement � grosses goul�es.


-         Donna, je peux te dire que c'est vraiment la meilleure fellation qu'on m'ait jamais prodigu�e... Ton mari a vraiment un pot de cocu !



  Je murmurais :


-         Il aime se faire sucer !�


Il me regarda avec curiosit� pendant quelques secondes.


Mais ma situation l'excitait bien plus encore qu'elle ne le troublait.


Il m'ordonna de sucer ses burnes le temps qu'il reprenne vigueur, puis il me baisa �nergiquement pendant un long moment.


Il devait avoir lu le "Kama� Sutra" parce qu'il exp�rimenta un tas de positions, changeant � chaque fois au bout de quelques minutes, lorsqu'il s'�pandit en moi il avait bien test� une douzaine de positions, dont certaines tr�s compliqu�es.



  Une fois qu'il eut joui � gros bouillon, il s'�croula sur le dos, il me regarda ravi lui nettoyer la bite d'une langue agile. Tous les hommes semblaient trouver cette action r�jouissante alors que pour moi elle �tait surtout extr�mement d�gradante.



  Je le su�ais jusqu'� ce que sa bite se d�ploie � nouveau, suffisamment pour qu'il me baise deux fois encore avant qu'il ne se rhabille.


Il me questionna au sujet de mon mari : comment prenait-il ce que je faisais ?� Devait-il ob�ir lui aussi ?�


Avant de partir, il me r�clama mon adresse.



  Lorsque j'eus repris mes esprits, mon souffle et me fut rhabill�e, je quittais la chambre � mon tour et regagnais l'arr�t de bus � pied pour me pr�senter � mon boulot avec quatre heures de retard et sentant le rut � plein nez !


J'�tais si press�e que j'en avais m�me oubli� de prendre une douche � l'h�tel !



  Je pr�venais monsieur Jefferson que j'�tais de retour, il m'enjoignit de le rejoindre et de fermer la porte dans mon dos.


Il me regardait comme s'il �tait fou de moi...� Cependant il savait parfaitement que je ne pouvais rien lui refuser !



  Je dus lui raconter tout ce qui m'�tait advenu, mais tandis que je lui narrais mon aventure, il m'allongea sur le dos sur son bureau me troussa et me baisa vigoureusement pour la premi�re fois depuis trois semaines. Le temps que je lui raconte tout en d�tail, depuis le d�part du bus jusqu'� la sortie de la chambre d'h�tel il m'avait saut�e � deux reprises.



  Finalement il se retira de ma chatoune et, une fois qu'eus nettoy� sa bite, il me fit l�cher les traces de semence �tal�es sur la surface du bureau. Une fois que ce fut termin�, il m'intima de me nettoyer puis d'aller voir monsieur Taylor.



  Je gagnais la salle de bain o� je me nettoyais les cuisses et la foufoune avec des serviettes en papier. Puis, lentement je descendais le hall pour gagner le bureau de monsieur Taylor. Je frappais � la porte, et j'entendis alors :


-         Qui est-ce ?


Je lui dis que c'�tait moi et il m'invita � entrer.



  J'ouvris la porte et fus profond�ment choqu�e de le voir en train de bais�e une de mes coll�gues. Une ravissante rouquine qui occupait un bureau proche du mien, Je ne lui avais jamais parl�, je ne savais m�me pas son nom. Je refermais rapidement la porte dans mon dos et les regardais faire, je ne savais pas quoi faire !


Il m'ordonna de contourner le bureau afin qu'il puisse me voir me d�shabiller. Je lui demandais si je pouvais verrouiller la porte et il hurla :


-         Non !� Bordel de merde fais ce qu'on te dit !



  Je contournais donc le bureau et me postais � cot� de lui pour me d�v�tir rapidement.


Puis il m'enjoignit de me pencher pour qu'il puisse me pr�senter � son amie Sheryl.


Je me courbais sur eux et il me pr�senta comme si l'on se trouvait normalement dans un salon.


Je vis s'afficher sur son visage l'humiliation qu'elle ressentait et je compris tout de suite qu'elle aussi se trouvait l� contre sa volont�.



  Nous nous sommes salu�es cordialement, et monsieur Taylor nous poussa t�te contre t�te nous ordonnant de nous embrasser.


Je pressais mes l�vres contre les siennes, apr�s tout cela ne faisait pas tr�s longtemps que j'avais des rapports avec Anne.


Mais je sentais cependant qu'elle n'avait jamais roul� de pelle � une autre femme et que cela lui �tait tr�s difficile de s'ex�cuter docilement.



  J'aurai voulu la r�conforter, lui dire que ce n'�tait pas si grave, mais monsieur Taylor m'ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.


Aussi me mis-je � lui rouler un patin fi�vreux, tandis que nous nous embrassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il �tait �vident que ce qui lui advenait la traumatisait profond�ment.



  J'entendis la porte du bureau s'ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans son dos. Je commen�ais � me poser des questions au sujet de cette relation privil�gi�e qui existait entre ces deux hommes. Je l'entendis se d�shabiller, il se posta imm�diatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.



  Alors qu'il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor releva la t�te et observa attentivement le rictus horrifi� alors qu'il se r�pandait dans sa foufoune asservie.



  Je continuais � l'embrasser tendrement alors qu'il restait embo�t� en elle. Je le voyais� river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.


Il me frappa soudain que la relation particuli�re entre ces deux hommes �tait due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches r�tives.



  Il regardait attentivement le concierge et commenta :


-         C'est �a mec,� Baise-la � couilles rabattues !� Emplis sa chatte de salope de semence fra�che !� Fais-l� se tr�mousser sous l'emprise de ta grosse bite noire !



  Le concierge semblait appr�cier ses commentaires et je le sentis se rengorger en haussant le rythme et la profondeur de ses p�n�trations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus � cet instant qu'il allait jouir.



  Tandis qu'il jouissait enfonc� dans ma grotte embras�e, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se r�jouissant visiblement de ma g�ne.



  Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m'ordonna de contourner le bureau et de m'�tendre au sol.


D�s que je fus install�e � sa convenance,� il se retira de la foufoune de Sheryl d�bordante de foutre,� et l'amena � s'accroupir sa chatoune baveuse fr�lant mon visage.



  Je n'ai pas h�sit�, Je ne le pouvais pas.


Je n'avais plus de libre arbitre.


Mais Sheryl r�sista � quand ils lui press�rent la t�te entre mes cuisses.


Elle a cria, se d�battit pour se redresser, les supplia, rien n'y fit. Monsieur Taylor recula d'un pas et le concierge lui �chauffa les fesse � grands coups de ceintures, elle entreprit mis�rablement de me l�cher la foufoune. Il la fouetta encore � deux reprises avant de se satisfaire de sa fa�on de faire.



  Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec son portable, personnellement je m�en foutais, mais Sheryl sanglotait mis�rablement lorsqu'il se pista face � elle pour prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.



  Je jouis � deux reprises avant qu'ils ne nous laissent en paix.


Sheryl n'avait pas joui.


Ils nous mirent � genoux cote � cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, �changeant fr�quemment leur place.


C'�tait tr�s p�nible pour Sheryl, elle ne parvenait pas � leur prodiguer de gorges-profondes, elle �touffait, crachotait, et pleurait, il �tait �vident que leur plaisir en �tait d�cupl�.


Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j'avalais tout avec facilit�. Le concierge r�sista plus longuement et jouit � son tour dans la bouche de Sheryl.


Elle parvint � reculer la t�te et la plus grande part de ses jets spermatiques explos�rent sur son visage.



  Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l'arr�ta. Il se recula affichant un sourire d�moniaque �clairant son visage. Puis monsieur Taylor m'enjoignit de l�cher le foutre couvrant son visage.


Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la t�te, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je l�chais m�me les grosses gouttes qui avaient gicl� sur ses miches.


Elle se contentait de pleurer mis�rablement.



  Ils nous intim�rent finalement de nous rhabiller. Je fus pr�te en un instant, puis j'aidais Sheryl.


Elle �tait d�sol�e, elle ne parvenait � retrouver ni son soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu'elle n'en aurait plus nul besoin, qu'elle se prom�nerait cul nu d�sormais.


Je parvins finalement � la rhabiller d�cemment avant qu'on ne m'ordonne de l'escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l'aider � se nettoyer tout en l'amenant � reprendre ses esprits et � se calmer.



  Elle commen�a par me repousser, comme si j'�tais de leur cot�. Puis je la l�chais et la laissais pleurer tout son saoul. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s'�tait retrouv�e � se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s'�tait pass�.



  J'essayais de lui dire que je savais ce qu'elle avait endur�, que moi aussi j'avais �t� viol�e� contre ma volont�.


Je lui fis un court r�sum� de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins p�nible.


Mais elle ne me r�pondit pas un mot.


Finalement, elle se laissa nettoyer et rafra�chit son maquillage.


Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n'�tais pas bien fra�che, mais j'avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La matin�e avait �t� rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter son bureau je vis avec plaisir qu'il semblait tr�s nerveux. Sapristi ce n'�tait pas une honte qu'il soit ainsi troubl�.



  En sortant de son bureau je jetais un oeil sur son� horloge et constatais avec surprise qu'il �tait plus de 14 heures...� Et je n'avais pas encore travaill� sur mon ordinateur !



  Je gagnais ma stalle et m'assit pendant un long moment sans m�me mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma journ�e de travail bien que je ne sois pas r�ellement productive. J'�tais surprise de ne pas avoir eu de nouvelles des gars de la messagerie, c'�tait la seule chose de bien, qui m'�tait arriv�e ce jour l�.



  Puisque je n'avais pas re�u l'ordre de travailler tard, j'�teignais mon ordinateur et quittais le bureau � 16 heures. Je gagnais mon arr�t de bus que je pris sans aucun probl�me.


Personne ne me molesta dans ce premier bus.


Mais lorsque j'en descendis pour prendre ma correspondance, alors que j'attendais son arriv�e � l'arr�t les trois jeunes gars qui m'avaient rudoy�e le premier jour arriv�rent. Les trois gars que le chauffeur de bus avaient vir� du car lorsqu'il avait vu� dans son r�tro, ce qu'ils me faisaient.



  Je cherchais � me cacher derri�re un colosse qui lisait son journal. Mais ils me virent quand m�me.


L'instant d'apr�s ils m'encerclaient et leur chef me pr�cisait � quel point il avait appr�ci� ma compagnie.


Il nota mes nouveaux ornements et tendit la main pour jouer avec.



  Je ne pouvais esp�rer leur �chapper qu'en montant dans le bus, mais � son arriv�e un des jeunes m'invita :


-         Allez ma petite ch�rie, tu vas t'asseoir avec nous...


Je ne pouvais que leur ob�ir, je ne pouvais rien faire d'autre. Je le laissais me tra�ner � travers le bus � moiti� rempli et nous nous sommes assis sur la banquette arri�re.


Il me prit sur ses genoux,� ce qui fit remonter ma jupe sur mes cuisses d�nudant ma foufoune.


Ses copains remarqu�rent mon autre piercing et le d�sign�rent du doigt.



  -         Quelles salope ! S�exclama-t-il.


-         Ma ch�rie j'ai envie de te baiser, tout comme mes copains...


-         Je ne pus que soupirer un mis�rable


-         Oui...



  Ils n'avaient pas pens� que ce serait aussi facile, leur babil excit� en �tait l'�vidence. Je restais assise sur les genoux du gars alors que tous trois ils baladaient leurs mains sur mes charmes � peine cach�s. Ils �taient frustes et ils me faisaient mal.



  Lorsque nous sommes arriv�s � leur arr�t de bus, un arr�t avant le mien, ils me firent descendre sans que je leur r�siste, ils m'entra�n�rent alors au travers des rues vers une maison qui �tait sombre et tranquille.


L'un d'eux d�verrouilla la porte et me mont�rent imm�diatement dans une chambre de jeune homme, la seconde d'apr�s je me retrouvais � poil.



  Ils rest�rent longuement autour de moi palpant mes charmes de leurs mains avides. Ils inspectaient mes charmes comme s'ils n'avaient jamais dispos� d'une femme nue auparavant. Je suppose d'ailleurs que c'�tait le cas. Ils ne volaient m�me pas savoir pourquoi je les avais suivis et je leur ob�issais au doigt et � l��il, ils s'en foutaient totalement.



  Fatigu� d'attendre, leur chef me fit agenouiller. Je lui prodiguais une somptueuse pipe� et bien sur, il gicla rapidement sur mes amygdales, je fis ensuite de m�me avec ses deux copains.


Puis ils me bais�rent � tour de r�le sur le lit, profitant de l'absence de leurs parents.



  Ils me bais�rent tous encore et encore, cela dura assez longtemps finalement. Ils profitaient de leur pouvoir � pleines bites, et poss�dait un bon pouvoir de r�cup�ration. Lorsque j'eus fini de baiser avec le troisi�me d'entre eux, le premier �tait d�j� pr�t pour que lui refasse une bonne pipe.



  Alors que je le su�ais une fois de plus les autres me prirent par derri�re. Lorsque j'eus fini de sucer le troisi�me ils me dirent :


-         Bordel, il faut qu'elle nous quitte avant le retour de papa !



  Je me suis habill�e pr�cipitamment, et j'ai gagn� mon domicile � quelques rues de l�. J'en avais soup� du bus pour aujourd'hui.



  Bien que je sois tr�s en retard, Dave n'�tait pas encore rentr�. Je pris une douche puis pr�parais le souper.



  Nous avons mang� dehors, et apr�s souper nous avons attendu le coup de t�l�phone qui je le savais ne devait pas tarder. Nous sommes sortis, cette fois nous �tions autoris�s � utiliser la grille de derri�re.


Roy et Anne, assis autour de la piscine nous attendait en compagnie de plusieurs hommes. Je fus invit�e � me pencher sur une table robuste face � eux et je dus leur raconter ma journ�e.


Ca avait �t� une longue journ�e elle �tait longue � raconter.


Il �tait �vident que tous les hommes trouvaient ce r�cit tr�s excitant. Ils se succ�d�rent dans� ma chatte et mon cul tandis que je leur narrais en d�tail tout ce qui m'�tait arriv� ce jour m�me.



  J'�tais face � Anne et il �tait �vident qu'elle adorait m'entendre raconter chaque d�tail. La t�te de Dave se trouvait sous sa jupe ce qui avait pour effet de parfois d�tourner son attention.


Il se passa une bonne heure avant que mon r�cit termin� je fus autoris�e � m'agenouiller pour sucer tous les hommes pr�sents.



  Finalement nous sommes rentr�s � la maison, nous avons pris une douche et sommes all�s coucher, je pleurais longuement avant de m'endormir. Je me demandais si la drogue me laisserait la possibilit� de me suicider. Je ne voyais pas pourquoi pas.



  Nous nous pr�parions � partir au boulot le lendemain matin lorsque l'on frappa � la porte.


-         Oh merde !� Pensais-je affoler


-         Je ne veux pas reprendre le bus aujourd'hui !



  Je gagnais la porte toujours nue et l'ouvrit.


Deux hommes en costume se trouvaient sur le seuil, l'un d'eux pr�cisa :


-         Bonjour madame, je m'appelle Gary Owens, je suis inspecteur de police, puis-je entrer ?


Soudain consciente de ma nudit�, je m'excusais de les abandonner 5 minutes et partais dans la chambre enfiler une robe.



  J'enfilais ma robe et entra�nais Dave dans la salle de s�jour.


Nous nous sommes assis et un des d�tectives a commenc� :


-         Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogu�s annihilant votre volont� ?



Nous nous sommes regard� dans les yeux. On nous avait ordonn� de ne pas r�pondre � cette question, mais je voyais � l'expression de leur visage qu'ils �taient au courant.



  Ils nous tendirent � chacun une petite fiole contenant un liquide clair et nous ordonn�rent de la vider. Nous avons obtemp�r�. Je ne me sentais pas vraiment diff�rente.


Je priais pour que ce soit l'antidote, et pourtant je ne me sentais pas vraiment diff�rente.



  L'inspecteur reposa sa question :


-         Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogu�s� ?


Nous r�pond�mes � l'unisson :


-         OUIIII !


La drogue ne faisait plus effet, nous avions retrouv� notre libre arbitre !



  Dave pr�vint nos employeurs que nous �tions malades.


Nous avons accompagn� les deux inspecteurs au poste de police, nous avons discut� avec eux toute la journ�e, leur donnant des d�tails scabreux et forts g�nants.


Ils d�tenaient d�j� pas mal de DVD et de films et une s�rie d'enregistrements personnels de Roy.



  Ils nous racont�rent que l'un des associ�s de Roy ayant constat� l'effet de la drogue sur Dave et moi avait drogu� sa femme et sa fille et avait fait de sa femme une prostitu�e et de sa fille sa concubine. Cependant il avait n�glig� de leur ordonner de ne raconter � personne ce qu'elles vivaient ou de demander de l'aide.



  Ils nous ramen�rent chez nous, et pour la premi�re fois depuis de longues semaines nous nous sommes sentis libres.


Dave s'empara d'un revolver qu'il braqua sur� quelques importuns les jours suivants.


Mais rapidement les gens qui avaient abus� de nous comprirent que nous n'�tions plus disponibles.



  Dave retourna travailler le lendemain.


Quant � moi je voulais quitter mon emploi et me rendais � la boite pour toucher mon salaire du mois.


La premi�re chose que je remarquais fut que monsieur Jefferson avait �t� remplac�. J'allais jusqu'� son bureau et frappais � la porte et demandais � voir monsieur Jefferson.


La femme assise � son bureau me pr�vint que monsieur Jefferson avait �t� licenci� puis elle me demanda :


-         Est ce vous Donna ?


Je hochais la t�te,� et elle s'excusa au nom de la firme pour ce que j'avais subi.


Je la regardais avec curiosit�, elle m'expliqua alors que Sheryl avait d�cha�n� un v�ritable� ouragan sur l'entreprise en rapportant que monsieur Taylor l'avait viol�e l'avant-veille.


Monsieur Taylor et le concierge �taient tous deux sous les barreaux, monsieur Jefferson et les eux pr�pos�s de la messagerie les rejoindraient d�s que je donnerai mon t�moignage.



Je soupirais et refermais la porte avant de m'asseoir pour lui expliquer ce qui m'�tait arriv� et pourquoi, de fait ils ne m'avaient pas r�ellement viol� mais qu'ils avaient surtout profit� de mon �tat de faiblesse.


Ils avaient abus� de moi en constatant que j'�tais incapable de refuser quoi que ce soit � qui que ce soit !



  Elle semblait d�sol�e d'entendre mon t�moignage et me pr�vint que de toutes fa�ons ils sont vir�s et inculp�s et que la compagnie aimerait m'indemniser pour tout ce que j'avais subi.


Je souris, je savais ce qu'elle pensait. On lui avait probablement dit de s'assurer que je ne porterai pas plainte contre eux.


Je lui dis de cesser de se tracasser, je ne porterai pas plainte contre eux, que je voulais juste percevoir mon dernier salaire avant de rentrer chez moi, et que je ne comptais jamais revenir dans cette boite.



  Elle hocha la t�te et pr�cisa :


-         Attendez-moi ici, je vous ram�ne votre paye dans cinq minutes.


Puis d'une voix sinc�re elle poursuivit :


-         Je suis vraiment d�sol�e pour tout ce que vous avez subi, �a a du �tre horrible !� Je sais bien que la compagnie ne peut pas �tre consid�r�e comme responsable, mais nous nous sentons tous tr�s mal... Nous aurions aim� vous conserver dans nos effectifs si vous pensiez pouvoir continuer � travailler pour nous. Vous �tiez une excellente collaboratrice !



  Je lui r�torquais que je ne doutais pas de ses bons sentiments, mais que les conditions de travail dans leurs bureaux n'�taient pas humaines et que j'avais d�cid� de les quitter i l y avait d�j� quelque temps.


Elle jeta un oeil par la fen�tre et se contenta de hocher la t�te.



  Une femme arriva tout de suite,� et me tendit une liasse d'imprim�s, puis je signais un re�u pour mon dernier salaire, je ne le regardais m�me pas avant qu'elle ne me quitte, puis j'appelais le nouveau superviseur pour lui signaler qu'il y avait erreur.


Le ch�que repr�sentait un salaire d'un semestre.


Elle me r�torqua :


-         Non... Ce n'est pas une erreur...� Je leur ai dit de vous faire un ch�que de cette somme pour que vous n'ayez pas � vous plaindre de nous !� Je suis vraiment d�sol�e pour tout ce que vous avez travers�...� Si vous changez d'avis et que vous vouiez un jour reprendre votre boulot, adressez-vous � moi, je serai tr�s heureuse de vous r�engager !



  Je la remerciais vivement et regagnais mon bureau, j'emballais mes affaires personnelles et reprenais le chemin de la maison.



  Nous avons pass� quelques soir�es au calme avant de d�coder si nous allions ou non revendre la maison. Mais nous avions investi tous nous avoirs dans cet achat et nous perdrions beaucoup d'argent en la revendant aussi rapidement. Aussi avons nous d�cid� de la garder !



  Roy et Anne avaient sign� un bail pour leur maison aussi personne ne nous ennuya en s'installant � nos cot�s.


Une chose marrante se passa pourtant. Je continuais � passer la plupart de mon temps dans la maison enti�rement nue, ainsi que Dave d'ailleurs.


Le samedi suivant nous �tions assis le long de la piscine lorsque les deux jeunes qu'Anne avait engag�s pour tailler notre pelouse se point�rent. Je les avais totalement oubli�s.



  Ils ne savaient rien des changements survenus. Je ne sais pas pourquoi, mais je fis exactement comme le samedi pr�c�dent. Ils tondirent la pelouse et je couchais avec eux jusqu'� ce qu'ils soient enti�rement satisfaits. Puis je payais leurs services avant qu'ils ne partent.



  A peine avaient-ils franchi la grille d'entr�e que Dave sortit de la maison et me donna un verre puis il s'assit � mon cot� affichant un large sourire. Je lui souris en retour et haussais les �paules.



  Je ne m'�tais pas non plus d�barrass�e de mes tenues de pote, je ne les avais pas remises depuis que j'avais pris l'antidote, mais je les gardais, on ne sait jamais, quelque fois que je doive reprendre le bus un de ces jours !



  Nous avons eu recours � un professionnel pour nettoyer la maison.


Nous avions cherch� de nous m�me � d�nicher les cam�ras et les micros, mais nous avions �chou�. Nous avons donc lou� les services d'un type qui vint muni d'un d�tecteur et une bonne exp�rience de ce genre de boulot, il trouva rapidement deux micros et deux cam�ras dans chaque pi�ce, il en d�couvrit aussi dans le patio et dans le petit coin que Dave avait nettoy� dans la cave.



  Il trouva un� transmetteur � courte distance et nous avons conjonctur� que le r�cepteur devait se trouver de l'autre cot� de la porte.


Nous avons rang� tout cet �quipement dans un carton que nous avons remis� dans un coin de la cave, puis nous l'y avons oubli� autant que possible.



  A part en ce qui concerne la nudit�, nous avons repris notre vie d'autrefois, faire l'amour nous semblait bien meilleur maintenant. Je m'habillais parfois en pute pour faire plaisir � Dave.



  Parfois, alors que Dave se trouvait � son travail, j'avais une irr�sistible envie d'enfiler une micro jupe et un chemisier transparent pour faire une vir�e en bus.


Je r�sistais, mais je le voulais vraiment.


J'en parlais � Dave qui explosa de rire et e r�pondit :


-         Me tromper avec qui que ce soit importe peu n'est ce pas ?� Si tu le fais, fais-le en toute s�curit� !� Je n'en prendrai pas ombrage ! Je dois te confesser que t'entendre raconter tes journ�es de d�bauche dans le bus m'excitait consid�rablement !� Si tu� pr�f�res, tu pourrais prendre le bus lorsque je pourrai t'accompagner !



  On ne l'a pas encore fait, mais on y pense vraiment !


La seule chose vraiment que je pense digne d'�tre� mentionn�e est la survenue de trois types, un soir.


Il s'agissait d'hommes de loi agissant pour le compte de la boite pharmaceutique qui employait Roy.


Ils sortaient de la femme et sa fille qui avaient �t� victimes d'un de ces monstres qui avait employ� la drogue fabriqu�e par Roy.



  Comme les exactions que j'avais subies �taient consid�r�es comme bien plus ignominieuses, ils nous offraient un d�dommagement de� 41.000.000 $.


Accepter cette transaction n'aurait aucun effet sur les suites du proc�s criminel, cela ne servirait qu'� r�soudre les probl�mes de responsabilit� de la compagnie � notre �gard.


Cela ne nous emp�cherait pas de porter plainte contre Roy et Anne devant les tribunaux civils.



  Nous n'avions jamais pens� porter plainte contre qui que ce soit.


Nous �tions convaincus que nous pourrions obtenir un d�dommagement bien plus important encore si l'on se faisait repr�senter par un cabinet d'avocats, mais comme nous n'avions pas esp�r� d'en tirer un quelconque profit, cela nous parut une v�ritable aubaine.


Aussi avons nous sign� les documents sans plus tergiverser, acceptant de ce fait le d�dommagement qu'ils nous proposaient pour solde de tout comptes.



  FIN.



  4 juillet 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur : Vulgus

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