Nouvelle demeure, nouveaux voisins
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 1 : Notre première orgie chez nos voisins
Je me tenais avec mon époux sur l'entrée de notre nouvelle maison savourant l'instant où nous allions pénétrer pour la première fois dedans.
C'était une belle grande maison, située dans une banlieue haut de gamme.
Elle était bâtie de pierres et de briques et paraissait neuve aussi bine de l'intérieur que de l'extérieur.
Cela faisait maintenant trois ans que nous étions mariés et nous avions travaillé dur pour épargner suffisamment d'argent pour nous offrir cette demeure.
Les mensualités étaient importantes et s'étendaient sur une longue période, mais s'avéraient bien moindre que la location que nous versions auparavant pour notre petit logement.
Actuellement, avec les déductions fiscales que nous avons obtenues, nous pouvions vivre largement.
Dave, mon mari travaillait dans une entreprise de fabrication d'avion de tout premier plan.
Il était un ingénieur très apprécié et il adorait son boulot, il était plus que bien payé, mais en contrepartie, il faisait beaucoup d'heures et voyageait souvent.
Il me répétait que cela nous permettait d'honorer facilement nos engagements tout en nous ménageant une vie des plus confortables.
Je n'aimais pas le vois si souvent en voyage, mais je comprenais que c'était pour notre bien et je me montrais patiente.
Je travaillais dans un bureau comme une secrétaire des plus ordinaires bien que mon statut soit bien au-dessus de celui des dactylographes.
Je voulais travailler assez longtemps pour que l'on finisse de nous installer dans notre nouvelle maison et qu'on puisse l'aménager à notre goût, puis, ensuite nous voulions avoir des enfants.
Nous pensions qu'au besoin je pourrais toujours trouver un autre travail.
La boite dans laquelle je travaillais était sinistre, les employés étaient traités durement et chaque jour je craignais de me rendre à mon boulot.
Je me prénomme Donna et j'ai 24 ans, Dave a deux de plus que moi.
Nous nous sommes rencontrés en fac et nous nous sommes rapidement amourachés l'un de l'autre, il ne nous fallut pas longtemps pour comprendre que nous avions trouvé le partenaire que nous recherchions tous deux.
Nous nous sommes fiancés l'année suivante et nous nous sommes installés ensemble dans un petit logement sur le campus.
Je décidais alors que suivre de longues études ne m'intéressait pas et qu’il valait mieux que je gagne un peu d'argent pour améliorer sensiblement notre train de vie.
Aussi abandonnais-je la fac pour rejoindre le monde du travail, jusqu'ici nos parents avaient subvenu à nos besoins, mais ils n'étaient pas très riches et avaient mieux à faire de leur argent que de me payer un diplôme d'art contemporain ! ....
Nous avions commencé à découvrir notre nouvelle maison.
Nous avions déjà apporté quelques cartons et des rideaux, mais nous avions attendu que la vente soit officialisée pour préparer notre emménagement.
Et voila que nous avions officiellement rejoint le monde des accédants à la propriété ! ..... C'était tout au moins ainsi qu'on nous qualifiait sur une montagne de papiers concernant l'achat.
Nous sommes rentrés à l'intérieur, et avons traversé la maison pour nous rendre dans l'arrière cour pour nous asseoir au bord de notre piscine.
Par chance les anciens propriétaires avaient laissé un ensemble de matériel de plein air.
Nous nous relaxions main dans la main nous réjouissant d'être les heureux propriétaires de cette demeure confortable.
La matinée avait été stressante, l'idée que toutes ces démarches cela se terminaient sur une simple signature était assez intimidante.
Nous ne pouvions cependant pas rester longtemps à ne rien faire, nous devions planifier notre emménagement, nous devions empaqueter nos affaires et déménager de nous même en utilisant le pick-up de Dave les quelques jours à venir, on devait tout emporter nous-mêmes à part le mobilier lourd pour lequel on louerait les services d'une boite de déménagement.
Nous devions ensuite inventorier notre matériel et voir comment il s'inscrivait dan notre nouvelle demeure, puis acheter le complément nécessaire pour nous installer confortablement selon nos rêves.
Nous étions impatients de mener ces choses à terme, aussi nous sommes nous levés pour nous diriger vers notre ancien appartement qui se trouvait à une dizaine de minutes de là.
Nous avions déjà bon nombre de cartons prêts, nous les avons chargés dans le van et les avons emmenés chez nous, nous avons eu le temps de faire trois voyages avant de décider que c'en était assez pour cette journée.
Cela ne faisait que 3 ans que nous étions mariés, jamais nous aurions pensé avoir accumulé autant de choses en si peu de temps ! .....
Il y avait un grand nombre de cartons remplis de bouquins, nous aimions tous deux lire et avions chacun notre propre collection de livres.
Rien de tels que des livres pour composer des cartons bien lourds ! ....
Après notre troisième voyage, l'après-midi se terminait, nous avons alors décidé de rester la fin du jour dans notre nouvelle demeure.
Nous avions déjà amené notre lit que nous avions assemblé dans la chambre. Je commençais alors à déposer les cartons de linge dans la cuisine.
Nos travaillions dur, mais notre joie était grande d'être parvenus à nos fins.
La sonnette de la porte d'entrée me fit sursauter.
Je fus surprise de voir un homme de si haute taille sur le seuil.
Il se présenta :
Dave sortait de la chambre, il descendit au rez-de-chaussée et je le présentais à Roy.
Je cherchais à expliquer à notre voisin que nous étions sales et couverts de sueur, et qu'il me paraissait difficile dans ces conditions de leur rendre visite.
Il ne voulait pas en démordre.
Je regardais Dave droit dans les yeux, il me fit signe d'accepter l'invitation.
Nous sommes sortis, Dave ferma la porte à clef et nous avons accompagné Roy.
Roy et Anne avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils semblaient bien assortis, des gens aimables chez qui nous nous sommes instantanément sentis les bienvenus.
Anne avait cuisiné un plat de lasagnes accompagné de pain à l'ail, je salivais en sentant le fumet des choses qui cuisaient dans la cuisine.
Nous avions quitté notre maison sans même nous rafraîchir, Roy nous montra où se trouvait leur salle de bain et nous avons pris tous deux une douche avant de nous asseoir devant le meilleur plat de lasagnes que nous ayons jamais dégusté ! ..... Le tout accompagné d'un délice de vin rouge.
Je ne buvais pas beaucoup, ce n'est pas que j'aie quelque chose contre, tout simplement je n'avais pas aimé le goût des quelques vins que j'avais goûté jusqu'ici, mais ce dernier me semblait fantastique.
Nous avons mangé, bu et discuté pendant une bonne paire d'heures. Il nous semblait qu'en même temps que notre nouvelle maison nous avions déniché de merveilleux amis.
Roy et Anne étaient tous deux très séduisants, très bien éduqués, ils possédaient une bibliothèque à faire honte aux autres. Ils possédaient par ailleurs une collection de films très fournie et un écran géant qui devait avoir coûté le même prix que ma voiture.
Nous avons remercié Roy et Anne de leur accueil si chaleureux, et nous sommes retournés dans notre nouvelle maison.
On mit rapidement des draps sur le matelas et nous nous sommes endormis jusqu'à 9 heures du matin.
Le samedi matin, nous nous sommes levés tôt et après avoir vidé une paire de tasses de café dehors assis au bord de la piscine, nous sommes retournés à notre ancien appartement avec la camionnette pleine de cartons que nous avions vidé la veille.
A la fin du jour, il ne restait plus que le mobilier lourd, des buffets, un canapé, une paire de chauffeuses et quelques étagères à livres.
Nous avons rassemblé ces meubles comme on le put,
et le lundi j'ai appelé un transporteur en lui demandant de se charger de l'acheminement de ces meubles au plus vite.
Comme le chargement était peu encombrant et que le déplacement était court, ils m'assurèrent que ce serait fait le mercredi suivant et que cela ne me coûterait pas les yeux de la tête.
Vendredi soir après avoir passé nos soirées à déballer nos affaires avant de les ranger nous pouvions enfin jouir de notre maison telle que nous l'avions rêvée.
Nous avions décidé de remeubler entièrement le salon et nous avions besoin de meubler la salle à manger puisque nous n'en avions pas dans notre ancien appartement.
Nous avions acquis de nouveaux équipements pour le patio et la piscine, elle était maintenant telle que nous l'avions pensée en la voyant la première fois.
Le dimanche, comme nous l'avions programmé la semaine précédente en soupant chez nos nouveaux voisins, Roy et Anne se pointèrent pour passer la soirée avec nous autour de la piscine.
J'avais acheté quelques steaks bien épais et préparé plusieurs salades variées.
Comme convenu, ils arrivèrent par la porte séparant nos deux cours, Dave manqua de s'étrangler en les voyant.
En voyant Anne en fait, elle portait un minuscule bikini mettant en valeur ses charmes plus qu'il ne les cachait. Je n'avais jamais vu de bikini aussi provocant, il lui allait à merveille.
Je donnais un coup de coude à Dave et il reprit une attitude plus normale, Roy traînait derrière elle, il charriait une petite glacière qu'il avait posée derrière la grille.
Anne s'avança et nous embrassa tous les deux convivialement, feignant de totalement ignorer le choc que nous avions ressenti à sa vue ainsi peu vêtue.
Elle était très sexy et vive, si elle ne m'avait pas dit son âge le denier week-end, j'aurai pensé qu'elle avait une bonne vingtaine d'années.
Elle était en bien meilleure forme que moi ! ....
Ses tétons étaient dissimulés derrière deux petits triangles de tissu et un troisième s'efforçait de voiler sa toison pubienne.
Je portais aussi un petit bikini assez sexy, mais en comparaison du sien je me sentais vêtue de la tête aux pieds.
Roy s'avança et posa sa glacière avant de m'embrasser gentiment et de serrer la main de Dave.
Il portait un maillot de bain plus ordinaire, mais il était impossible d'ignorer la bosse qui en déformait le devant de son maillot tant elle semblait importante.
Je ne sais ce qu'ils buvaient, le cocktail provenait d'une cruche, nichée dans la glacière.
Ils me dirent le nom de cette boisson, je ne la connaissais pas et je ne m'en rappelle plus maintenant.
Roy insista pour m'en servir un verre, c'était délicieux, je n'étais même pas certaine que ce mélange contenait de l'alcool.
Roy remplit mon verre à plusieurs reprises.
Dave aussi avait échangé sa bière contre un verre de ce mélange spécial qu'ils avaient concocté, il semblait 'apprécier tout autant que moi.
Nous discutions assis en rond.
Tout comme la semaine dernière, nos voisins menaient la conversation, mais c'était un moment extrêmement plaisant, nous avions atteint un tel niveau de béatitude que nous ne prêtions plus aucune attention à leurs tenues.
Jusqu'au moment où Anne me demanda ce que je pensais de son nouveau maillot.
Je dus admettre que c'était la tenue la plus sexy que j'aie jamais vu à ce jour, elle me dit l'avoir trouvé sur le web et qu'elle en avait commandé plusieurs.
Elle poursuivit qu'elle aimerait me voir en porter un, et avant que je puisse dire un mot, ils décidèrent tous trois de se rendre chez eux pour en choisir un.
Dave semblait particulièrement impatient de me voir dans un de ces bikinis.
Je ne pense pas être plus modeste que la majorité des filles qui courent les rues, j'adore porter des mini-jupes, de courts shorts et des brassières sexy.
Je ne dirai pas que mon bikini était un modèle de décence, mais je n'avais aucune envie d'essayer un de ces maillots minimums dévoilant plus de charmes qu'il n'en cachait.
Je suivis donc à contrecœur Anne dans sa chambre.
Elle sortit de sa commode deux bikinis similaires au sien et un troisième qui s'avérait encore plus indécent.
Dès que nous fûmes dans sa chambre, elle tendit le bras pour dégrafer mon soutien-gorge, j'en étais troublée, mais je décidais de me comporter comme si c'était anodin.
Elle repoussa ensuite mon string sur mes cuisses et il tomba au sol.
Je n'avais plus jamais étée déshabillée par une femme depuis que ma mère prenait soin de moi dans ma tendre enfance, cela me semblait étrange.
Anne me fit tourner sur moi-même admirant mon corps me complimentant sur mes seins épanouis et ma chute de rein avenante.
Je rougis comme une tomate et tendais le bras pour saisir un des maillots qu'elle avait posé sur le lit.
Elle me coupa dans mon élan en me disant :
Tu ne peux pas les enfiler tout de go Donna, il y a un petit problème à régler auparavant ! ......
Elle saisit ma main et me tira dans sa salle de bains.
Elle posa une serviette sur la lunette des toilettes et me fit asseoir face à elle.
Je suppose que dès ce moment je sus ce qui allait advenir, j'étais incapable de réagir lorsque Roy et elle m'entouraient.
Avant que je puisse dire un mot, ou appeler à l'aide, à l'aide d'une paire de ciseaux elle raccourcissait ma toison pubienne. Tout en travaillant, elle me félicitait d'avoir une aussi jolie chatte, jamais une autre femme ne m'avait dit cela auparavant.
Elle travaillait rapidement et cela ne prit pas longtemps pour qu'il ne me reste plus que quelques vestiges de ma blonde toison. On aurait dit qu'on avait coupé mon pelage en courte brosse.
Anne se redressa et empoigna un rasoir, de la mousse à raser et une serviette humide, puis elle me força à écarter de plus belle les cuisses.
Visiblement elle n'était pas satisfaite de son œuvre, je dus me relever, elle posa la serviette sur le sol carrelé de la salle de bain et je dus m'allonger dessus à plat dos.
Il semblait que je ne commandais plus mes actes, elle se penchait à nouveau entre mes cuisses.
J'étais extrêmement gênée laisser une autre personne que mon mari manipuler mon intimité, mais je ne protestais pas alors qu'elle promenait la serviette humide sur ma fentine embrasée puis étalait de la mousse à raser sur toute la surface de mon pubis.
Elle me semblait gaspiller beaucoup pus de temps que nécessaire à masser ma féminité tout en étalant la crème mousseuse.
Elle se courba sur moi, le visage a quelques 20 centimètres de ma fourche alors qu'elle rasait les derniers vestiges de ma fourrure.
Lorsqu'elle écarta de ses doigts mes babines pour permettre un rasage intégral de ma chatoune, un choc électrique courut dans tout mon corps ce qui accrut encore ma gêne.
Cela empira encore, alors que je pensais qu'elle en avait terminé, que mon mont de Venus était glabre, elle releva subitement ma jambe la repliant sur mon buste pour examiner en détail ma cramouille béante et mon petit oeillet frémissant de honte, enlevant les dernières traces de poils autour de mon anus.
Elle me rinça avec la serviette puis me sécha consciencieusement avant de m'aider à me relever.
Elle me posta devant le miroir en pied et susurra :
Elle me ramena dans la chambre et j'essayais les deux bikinis.
Ils me laissaient quasiment nue.
Jusqu'ici, il n'y avait que deux endroits dans lesquels je m'étais dénudée, ma salle de bain et ma chambre, je trouvais inapproprié de me trouver nue au que se soit ailleurs.
Avant que j'aie le temps de refuser, Anne tira sur les ficelles du second string de bikini qui chut au sol.
Elle attrapa la petite pièce de tissu et me l'enleva sans aucune difficulté.
Elle se pencha en avant et me fit enfiler le haut constitué" de deux micros triangles de tissu, puis elle noua les bretelles dans mon dos.
Elle tira sur les minuscules triangles de tissu quasi transparent et les ajusta sur mes nichons.
Les fines bretelle se prolongeaient vers le bas rejoignant me foufoune en formant un nouveau minuscule triangle de tissu transparent qui épousait ma fente.
De là un cordon courait dans ma raie culière qui s'entourait au tour de ma taille se rattachant sur le devant.
Anne s’extasiait, elle me complimentait sur mon look si sexy insistant sur le fait que ce micro maillot semblait créé pour moi.
Je me voyais dans le miroir en pied et je devais admettre que c'était drôlement excitant.
Les zones que dissimulaient habituellement mes bikinis étaient maintenant exhibés révélant des bandes de chair blanche qui attirait les yeux.
Je savais pertinemment que Dave adorerait cela, je serais vraiment heureuse de le porter moi aussi si nous étions s tous les deux.
Mais je n'eus même pas le temps de dire à Anne que je ne voulais porter aucun de ces trois maillots en public et encore moins le troisième.
Elle me traînait déjà dans mon arrière cour sans écouter mes vagissements.
Je semblais totalement incapable de m'opposer à ses volontés, je lui obéissais docilement tout comme j'aurai obéi à mes parents.
Moins d'une minute plus tard je me trouvais face à Dave et Roy, l'éclair de concupiscence qui s'allumait dans leurs yeux alors qu'ils me complimentaient me plongea dans un extrême embarras.
J’étais certaine que Dave serait furieux et m'ordonnerait de me rhabiller.
J'avais tort ! ....
Il aimait ma tenue ! ....
Il m'attira contre lui et m'embrassa passionnément en me disant que j'étais ravissante.
Il fit promettre à Anne de lui donner l'adresse web ou du site sur lequel elle s'était procurée ces jolies choses pour qu'ils puissent m'acheter d'autres articles érotiques.
On me donna un nouveau verre de cette boisson contenue dans le pichet qu'ils avaient amené. Elle était réellement délicieuse et quoi qu'elle comporta, elle contribua à me calmer rapidement.
Tout au long de l'après midi Anne et Roy continuèrent à diriger la conversation abordant souvent des sujets qui me gênaient.
Ils avaient une sexualité exubérante qu'ils n'hésitaient pas à évoquer, il me semblait que plus je buvais de verres de leur boisson, moins je me sentais gênée.
Après avoir piqué une tête dans la piscine je constatais que mon maillot était totalement transparent. On distinguait clairement mes tétons érigés et ma fentine débroussaillée. Je fis comme si c'était tout à fait normal.
Roy retourna deux reprises chez lui au cours de l'après-midi pour remplir le pichet.
Nous étions, Dave et moi, légèrement éméchés.
On piqua une tête à plusieurs reprises dans la piscine, j'étais parfaitement consciente que mon bikini s'avérait totalement transparent lorsqu'il était mouillé.
Roy m'allumait alors que nous étions dans la piscine ce qui me faisait rire, je dus une bonne douzaine de fois réajuster mon haut de maillot qui avait glissé exposant mes mamelons à l'air libre.
Je remarquais Anne jouait les gamines espiègles avec Dave s'amusant à l'allumer.
Je remarquais aussi qu'une énorme bosse déformait l'avant du maillot de Roy alors qu'il escaladait le rebord de la piscine.
Je ne pouvais m'e^pêcher de regarder cette grosse bosse me demandant ce que je ressentirai si cette énorme colonne de chair allait et venait dans mon étroite petite chatte.
Ma main avait effleuré à plusieurs reprises cette grosse déformation alors que nous jouions dans la piscine, et je suppose que mes réflexes amoindris par la forte quantité d'alcool que j'avais absorbé au cours de l'après- midi je n'avais pas résisté à la tentation de la serrer fermement entre mes doigts pour tester sa véritable grosseur.
Une paire d'heures plus tard, nous avions vidé le deuxième pichet de boisson Anne se leva soudainement et intervint :
Avant même que je dise un mot Dave rétorqua :
Je suis sure que c'était l'effet des boissons parce que justement je ne suis pas ce genre de personne qui agit sur un coup de tête, et pourtant, je ne sais pas pourquoi, lorsque Roy se leva et ôta son étroit maillot de bain exposant son incroyable bite au soleil je restais captivée par cette vue qui m'aurait profondément effarouchée et fait fuir en temps normal.
Puis il avança vers moi et dénoua les bretelles de mon maillot et le roula sur mes hanches me demandant de l'enjamber tandis qu'Anne enlevait le short de Dave exposant sa bite de taille moyenne mais totalement déployée.
Je regardais avec stupéfaction Anne sourire et poser la main sur sa bite en disant :
C'est justement ce que je constatais, mes yeux étaient rivés sur sa grosse mentule. J'étais incapable de détourner les yeux de cette bite qui vibrait et grossissait encore sous mes yeux ébahis.
C'est alors que Roy m'empoigna et me projeta dans la piscine, plongeant dans mon dos.
Nous luttions bientôt dans l'eau alors que Dave et Anne s'étaient assis sur le bord et discutaient ensemble sans se soucier de nous.
Les mains de Roy se baladaient sur tout mon corps alors que nous jouions, il se permit même de poser ma main sur sa grosse bitte déployée, je ne sais pas encore pourquoi, mais je ne parvenais pas l'en ôter.
Je savais que c'était mal, que c'était extrêmement gênant, mais Jésus que c'était bon ! .....
Elle était si longue, si épaisse, si bandée, en un mot si mâle...
Je ne sais pas comment cela arriva, mais bientôt je me serrais contre le rebord de la piscine alors que sa bite frottait contre ma fentine, mes jambes s'ouvrirent et sa bite s'enfourna dans ma chatoune sans aucun effort.
J'étais certaine que ce serait douloureux, mais il me pénétra extrême lentement, gentiment et nos yeux rivés l'un à l'autre je ne m'étais jamais sentie aussi comblée.
Lorsque Roy fit coulisser son organe démesuré dans et hors de ma chatoune, ce qui me rendit tout de suite folle d'excitation, je jetais un coup d’œil sur Dave et vit qu'en compagnie d'Anne ils nous ignoraient totalement.
Je ne sais pas pourquoi je me livrais à Roy, je ne sais pas non plus pourquoi je n'avais pas le réflexe de lui dire d'arrêter.
L'idée que Dave puisse tourner la tête et se rendre compte que je me faisais baiser par Roy dans la piscine à quelques pas de lui me terrifiait ! .....
Roy me murmura à l'oreille :
Je regardais alors avec plus d'attention Dave et Anne, et remarquais bien vite qu'elle lui caressait la face interne des cuisses.
J'étais extrêmement gênée lorsqu'elle se leva soudain repoussant du pied son transat pour se jeter à ses genoux et emboucher séance tenante sa bite ! ....
Je ne savais quoi ressentir. J'étais soulagée, il ne pouvait plus se montrer jaloux désormais ! ....
J'étais extrêmement surprise de constater que les observer faire pouvait être aussi excitant et j'aimais sentir la grosse bite de Roy coulisser aisément dans ma chatoune accueillante.
Roy comprit que j'allais crier mon plaisir, il posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle enflammée.
Je savais que c'était mal.
Nous n'étions pas un couple échangiste ou quelque soit la façon d'appeler ces gens.
Nous étions mariés et heureux de l'être, on se comportait toujours en jeunes mariés en fait.
Je n'avais jamais entretenu l'idée d'avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, et il en était de même pour lui, j'en étais sure.
Je ne parvenais plus à réfléchir, je me contentais de vivre les événements, c’était bien trop pour moi.
Avoir enfilé ce minuscule bikini si provoquant après m'être fait raser la chatte par une femme, avoir participa à des conversations hautement érotiques alors qu'on se relaxait au bord de la piscine, avoir tant bu de cette délicieuse boisson que je savourais tant, tout cela c'était trop.
Je criais dans la bouche de Roy en jouissant, rebondissant d'orgasme en orgasme.
Jamais je n'avais ressenti d'orgasmes multiples auparavant et je n'étais plus qu'une chiffe molle lorsque je sentis Roy éjaculer au fin fond de ma chatoune en me martelant de deux ou trois violents coups de boutoir.
Une fois qu'il eut joui en moi, il resta imbriqué dans ma cramouille et nous roulâmes sur le flanc pour mieux observer Dave et Anne.
Dave était visiblement sur le point de jouir dans la bouche d'Anne, elle paraissait impatiente de savourer son sperme.
Dave se raidit, grogna sourdement et je vis les joues d'Anne se gonfler sous la pression du foutre qu'il lui projetait à flots dans la bouche, puis je la vis avaler la chaude potion avec des mines gourmandes.
J'aurais du être furieuse mais à ma grande stupéfaction ce spectacle m'excitait follement.
Je sentis mes muscles vaginaux se crisper sur la bite de Roy la serrant comme dans un étau, en réponse sa bite prit encore plus de volume.
Nous regardions maintenant Anne se faire brouter par Dave, bien vite elle enchaîna les orgasmes.
Ils devaient s'être rendus compte qu'on les observait avec attention, mais ils agissaient comme s'ils étaient seuls au monde.
Roy entreprit de sortir de la piscine avec sa grosse bite bandée toujours imbriquée dans ma foufoune ultra-sensible.
Il me transporta sur une petite zone herbeuse où l'herbe était particulièrement grasse et accueillante et m'allongea la bite toujours enfoncée en moi.
Dès qu'il se mit à coulisser, je me retrouvais au septième ciel, je fermais les yeux savourant ces sensations enivrantes pendant plusieurs minutes, puis je sentis une main et une bouche s'emparer de chacun de mes nichons.
Je levais les yeux surprise sur Roy qui s'appuyait sur ses bras tendus, Anne et Dave s'occupaient chacun d'un de mes nibards.
Il y avait sûrement quelque chose d'autre que de l'alcool dans leur boisson sinon je n'aurai jamais consenti à ce genre d'expérience.
En fait c'était la plus excitante situation qui m'était jamais advenue et j'aurai voulu que cela ne cesse jamais ! .....
Je posais un bras autour du cou de Dave et l'autre autour de celui d'Anne et je les serrais tendrement tandis que Roy me faisait rebondir d'orgasme en orgasme.
Il se vida finalement en moi et tandis que je jouissais sous ses assauts, Dave me roula une pelle passionnée, je me sens incapable de rapporter les émois que je ressentais à cet instant.
L'amour, l'excitation, cette satisfaction des sens apaisés que je n'avais jamais autant ressenti qu'aujourd'hui.
Pour toutes ces raisons, je ne me sentais plus du tout gênée.
Finalement Roy se retira de ma foufoune et se dressa sur les genoux. Anne remplaça Dave et se mit à m'embrasser avec passion me disant qu'elle me trouvait follement excitante.
Puis elle guida mon visage vers la bite de son mari enduite de nos secrétions.
Je ne saurai expliquer pourquoi je la laissais m'inviter à faire une chose aussi répugnante.
Non ce n'est pas exact, elle ne me faisait pas faire, elle me présentait cette opportunité et j'ouvris la bouche et absorbais la plus grande part de la mentule de Roy dans ma bouche.
Comme je suçais et léchais son chibre, Anne me caressait le visage d'une main et la bite et les couilles de son mari de l'autre.
Dave m'embrassait dans le cou et sur mes épaules mignotant mes tétons si sensibles me répétant à quel point j'étais sexy.
La bite de Roy se déployait rapidement dans ma bouche, son pouvoir de récupération m'épatait, sans parler de la dimension démesurée que prenait son organe, lequel me semblait bien plus gros que lorsque je l'avais devant mon visage.
Ils me contrôlaient tous trois et bientôt l'énorme mentule de Roy pénétra de plus en, plus profondément dans ma bouche largement distendue.
Dave posa la main sur ma chatoune comblée et y glissa aisément plusieurs doigts alors qu'en même temps il m'écrasait le clito de son pouce.
Je réagis en absorbant encore plus de la monstruosité de Roy, je sentis alors la main d'Anne se poser sur la nuque m'invitant à avaler encore plus son gros chibre.
Je ne pansais pas que ce soit possible, en fait, je savais que c'était impossible, mais brutalement mes mâchoires s'écartèrent à la limite de la rupture alors qu'il avait planté ses 25 centimètres de bite dans ma gorge, ses burnes tapant contre mon menton.
Le plus étonnant c'est que je ne paniquais pas.
Toutes les stimulations que je recevais me transformaient en une véritable marionnette à cet instant.
Je reculais ma tête jusqu'à ne laisser que son gland dans ma bouche, puis je l'enfournais à nouveau jusqu'à la garde.
C'était de plus en, plus facile et j'étais très fière de mon exploit.
Je sentais sa bite vibrer dans ma gorge et je savais qu'il était sur le point de jouir dedans, mais il se recula, le gland à l'orée de mes lèvres et je travaillais de concert avec Anne pour le faire jouir de nos mains.
C'était le troisième orgasme que je procurais à Roy, lors de cette dernière demi-heure et j'étais stupéfaite du volume de sperme qui m'emplit la bouche, suintant autour de sa grosse bite.
Il extirpa finalement son chibre de ma bouche et j'avalais avidement son foutre, c'était quelque chose que je n'avais jamais fait cela avec mon mari.
Une fois que j'eus tout ingéré, Anne ramassa d'un doigt le foutre qui s'était étalé sur mon menton et me tendit son doigt à lécher.
Je le suçais docilement puis elle me poussa en avant pour cueillir les dernières gouttes de semence poissant la bite de Roy.
Puis elle me redressa et me roula une nouvelle pelle.
Je n'avais jamais, avant ce soir, embrassé de femme de cette façon, je n'avais jamais même imaginé que je le fasse un jour, pour quelque raison que ce soit j'en étais toute réjouie, j'appréciais tout de cette soirée.
Roy se releva et nous invita à faire de même. Nous avons rejoint lentement nos sièges pour siroter un nouveau verre de leur délicieux cocktail.
Je ne saurai pas expliquer pourquoi nous étions maintenant capables de nous asseoir en cercle entièrement nus, et de discuter tranquillement entre nous, de rire et de plaisanter sans être autrement gêné.
Je n'avais plus un seul brin de contrôle de moi maintenant, ni le moindre sentiment de culpabilité d'avoir baisé avec Roy, pas plus que de jalousie d'avoir vu Dave et Anne s'aimer avidement.
En fin après-midi j'ai été frappée de voir que Dave suivait les avis de Roy et Anne, tout comme moi d'ailleurs.
Nous semblions faire tout ce qu'ils souhaitaient, que ce soit quelque chose que nous aurions fait normalement ou pas.
Roy me posséda deux fois encore tandis que Dave faisait cuire les steaks.
Chaque fois c'était aussi délicieux que la première fois.
Et chaque fois, au moment de conclure Anne et Dave nous rejoignirent pour jouir avec nous.
Un moment donné, alors qu'Anne était étendue à coté de moi me tenant la main et que Dave lui faisait l'amour, Roy me rendit encore folle de plaisir en me ramonant une fois de plus avec sa grosse bite.
Chaque fois qu'il me prenait, il me présentait sa bite à nettoyer avec ma bouche et mes lèvres, ce que je faisais sans aucune hésitation.
Je remarquais qu'une fois que Dave avait fait l'amour à Anne elle lui demandait de nettoyer sa fentine avec sa langue.
C'était encore une chose dont Dave ne m'avait jamais fait profiter !
Un peu avant 17 heures Roy suggéra à Dave de faire cuire les steaks, il s'empressa de se lever et d'allumer le grill.
Anne me suggéra de mettre la table, je rentrais dans la maison pour aller chercher des assiettes les couverts que je disposais obligeamment sur la table selon ses vœux.
Puis je posais les salades et dix minutes plus tard nous nous régalions de concert.
Je remarquais que tout me semblait bien meilleur en cette fin d'après-midi.
La baise était bien meilleure, la nourriture était bien meilleure, la boisson était délicieuse, je semblais profondément amoureuse de nos nouveaux voisins que nous rencontrions pour seulement la seconde fois, je me débrouillais pour tout faire pour leur plaire !
Je suppose que c'est pour cela que je ne refusais pas lorsque Anne me repoussa à nouveau sur la pelouse m'allongeant sur un coussin avant de s'étendre sur moi.
Nous nous roulions des pelles fiévreuses en se pelotant, je participais avec joie à cette séance de gouinage.
Je lui refaisais toutes les choses délicieuses qu'elle me prodiguait.
Alors que nous faisions l'amour, je vis du coin de l’œil que les hommes se tenaient à nos cotés, leurs bites se déployant à nouveau alors qu'Anne s'embrasait, pour la première fois je goûtais au jus d'une autre femme.
Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais je me sentais obligée de lui complaire, aussi lui suçais-je avec avidité la foufoune, j'adorais ça !
Nous avons joui à plusieurs reprises avant que Roy nous sépare, me faisant mettre à genoux pour me prendre par derrière.
Tandis que Roy baisait à nouveau ma chatoune accueillante, Dave se pencha sur moi et j'enfournais avec facilité ses 18 cm de bite au fond de ma gorge, il semblait que chaque fois que je pensais que les choses ne pouvaient pas être plus excitantes, Roy et Anne me démontraient que j'avais tort.
Dave jouit rapidement dans ma bouche et j'avalais sa semence pour la première fois !
Il s'affaissa alors et regarda Roy me remettre sur les genoux et m'attirer étroitement contre son torse, malaxant mes nichons tout en me baisant avec vigueur.
Il jouit à son tour et, sans même qu'on me le dise, je pivotais et engloutis sa bite mollissante dans ma bouche impatiente que j'étais de savourer ses flots de jute grasse.
Il me tapota la tête, comme on le fait avec un jeune chiot, me répétant que j'étais vraiment une bonne tailleuse de pipe.
Tout au fond de mon esprit l'idée que j'aurai du refuser ces assauts lubriques persistait, mais je n'en tenais aucun compte, captivée par les compliments de Roy.
Puis survint la chose la plus surprenante de toute cette nuit, lorsque j’eus terminé de nettoyer sa queue et ses burnes, il m'ordonna de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.
J'obéis séance tenante, et je vis avec stupeur Anne guider Dave entre mes cuisses, fourrer son visage tout contre ma chatte engorgée de foutre.
J'écarquillais mes yeux comme des soucoupes alors que sans aucune hésitation Dave lapait voracement le foutre que Roy avait largué dans ma foufoune.
Tandis qu'il me butinait le gazon, Roy se pencha au-dessus de ma tête et suggéra que ce serait encore meilleur si je lui nettoyais le trou du cul.
J'obtempérais.
J'eus bientôt un nouvel orgasme sous les caresses de la langue de Dave qui me bouffait avidement le minou.
Nous nous sommes alors relevés tous les quatre et nous avons regagné le patio.
Anne me suggéra alors de nettoyer la table, ils s'assirent tous me regardant obéir sans même me poser de questions.
Lorsque j'eus nettoyé la cuisine et le patio je les rejoignis et vidais un nouveau verre de leur potion.
Nous étions assis tous 4 entièrement nus et décontractés au tour de la table, Roy et Anne menaient la conversation clamant qu'on avait tous 4 pris un plaisir extrême ensembles. Tout nous semblait normal.
Ils nous dirent qu'ils retournaient chez, il se faisait tard, ils nous souhaitèrent une bonne nuit nous avisant qu'ils avaient organisé une journée d'enfer pour le lendemain.
Nous avons accepté leur décision sans moufter. Nous nous sommes roulés des pelles, je veux dire nous leur avons roulé des pelles en les quittant.
Puis nous sommes allés au lit nous lovant l'un contre l'autre.
Je ne me rappelle pas m'être jamais endormi aussi vite.
Nous nous sommes réveillés tôt au petit matin ce que nous ne faisions jamais le dimanche et nous avons pris une douche ensemble.
Nous n'avions aucun remords en ce qui concerne les événements de la veille.
Nous nous sourions l'un l'autre, nous embrassions, nous caressions, nous n'éprouvions aucun repentir, juste un profond amour.
10 février 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 2
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Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 2 :
Lundi : les amis de nos nouveaux amis, premier jour au boulot.
Après notre douche nous avons regagné notre chambre pour enfiler quelques vêtements quand Dave intervint soudain:
- Nous n'avons pas besoin de ces vêtements... Je préfère rester nu ! Et toi ?
J'y réfléchissais une paire de secondes et réalisais que moi aussi je préférai rester nue.
Aussi nous sommes allés dans la cuisine préparer notre petit déjeuner, Dave se chargea du café. Puis nous nous sommes installés dans le patio pour prendre notre petit déjeuner.
Alors que nous déjeunions, je jetais un coup d’œil circulaire sur l'arrière cour repensant à tout ce qui s'était passé la veille.
J'avais un léger sentiment de remords dont je n'identifiais pas la raison.
Profondément enfoui dans mon esprit, je savais que ce que nous avions fait était mal et que de plus cela ne nous ressemblait pas du tout de nous comporter ainsi.
Ce sentiment commençait à peser de plus en, plus fort sur mes épaules alors que la matinée s'avançait.
Anne nous rejoignit vers 10 heures, elle tenait un verre dans chaque main.
C'était le même cocktail que nous avions savouré la veille, elle me tendit un verre et l'autre à Dave nous invitant à les vider.
Je voulais lui dire que je ne buvais jamais d'alcool dans la matinée mais elle se contenta de me sourire et d'ajouter :
- Petite sotte, je suis bien sure que tu vas boire ton verre, tu dois faire tout ce que je veux !
Je savais que je ne voulais vraiment pas boire le verre que j'avais en main, mais je réalisais soudain que je devais lui obéir et le vider.
Je le sirotais et aussitôt les doutes qui m'assaillaient disparurent comme par enchantement, je ne me rappelais même plus les avoir eu.
Anne s'assit et on vint la rejoindre autour de la table. Elle était habillée de pied en cap alors que nous étions entièrement nus, mais quelle qu'en soit la raison cela ne nous perturbait pas.
Une quinzaine de minute plus tard arriva Roy et tendit à Dave une paire de caisses de bière en lui disant de les mettre au frais.
Il nous dit qu'il était si heureux de nous avoir rencontré qu'il avait invité de ses copains à faire notre connaissance.
Ils devaient ne plus tarder à arriver.
Je me levais pour aller m'habiller mais Anne me coupa dans mon élan :
- Où vas-tu ma chérie ?
Je lui disais qu'il fallait que j'enfile des vêtements, mais elle me coupa à nouveau :
- Mais non ma chérie, t'es bien plus belle comme ça ! Les copains de Roy vont beaucoup aimer te voir nue... De plus tu dois te sentir beaucoup plus à ton aise dans cette tenue !
Je m'entendis lui répondre que oui, sans même y penser.
Je retournais à mon siège lorsque m'attira à lui.
Je me suis assise sans hésitation me réjouissant de sentir ses mains comme pétrir mes miches et me doigter la chatoune.
Il extirpa son doigt de ma cramouille, le tendit vers mon visage et s'exclama en souriant :
- Dis donc chérie, on dirait que t'es tout à fait prête à te faire à nouveau baiser, n'est ce pas ?
Je souris en hochant la tête, il introduisit alors son doigt entre mes lèvres et je le nettoyais avec enthousiasme.
Bientôt des étrangers arrivèrent par la porte que Roy avait laissée grande ouverte.
Cela ne me dérangeait nullement, je me mis à leur servir des boissons fraîches, me baladant entre eux, ils me caressaient, m'embrassaient et faisaient ce qu'ils voulaient sans que cela m'offusque !
Je ne sais pas combien d'hommes se tenaient maintenant dans l'arrière cour de la maison, mais plus tard dans l'après-midi il m'apparut qu'elle était pleine.
Anne avait apporté une autre cruche de cocktail, j'en bus à plusieurs reprises avec Dave cet après-midi.
Vers 17 heures Roy me fit allonger sur une couverture qui avait été étendue sur la pelouse.
Je remarquais que deux hommes se tenaient à proximité des caméras vidéos professionnelles en mains pointées sur moi.
Mais cela ne m'effaroucha pas, je n'en tenais pas compte !
Roy me roula un patin puis annonça :
- Regardez la bien les gars, vous allez avoir du mal à le croire!
Puis il me poussa à genoux, ouvris sa braguette je l'aidais à descendre son pantalon sur ses jarrets.
Il ma tapota la tête et ajouta :
- C'est bon, montre à mes copains que t'es une merveilleuse suceuse de bites !
J’étais anxieuse de ne pas me montrer à la hauteur.
Je commençais par embrasser et lécher sa hampe et ses grosses burnes puis j'embouchais sa mentule, et l'enfournais en un rien de temps au fin fond de ma gorge, ses poils pubiens râpaient mon menton.
Je lui malaxais lascivement les couilles alors que je faisais coulisser de mon mieux sa grosse bite dans mon gosier accueillant.
J'entendais fleurir les commentaires enthousiastes des assistants alors que je cajolais tendrement la bite de Roy.
Cela ne dura pas aussi longtemps que la veille.
Il jouit assez rapidement en fait, et je me sentais légèrement déçue lorsqu'il cracha un flot de foutre puis retira sa bite mollissante de ma bouche.
Il vit que j'étais dépitée, il me tapota à nouveau la tête me consolant :
- Ne te tracasse pas ma chérie, tous mes amis sont prêts à te combler, tu vas disposer de bien plus de bites que tu aurais pu seulement l'espérer ! Es-tu prête à y goûter ?
Pour quelque raison que ce fut j'en voulais plus !
Je secouais la tête avec impatience, Roy s'avança alors vers moi.
C'est alors que tout a démarré, cela commença vers 17 heures et jusque 2 heures du matin des bites inconnues visitèrent constamment mes orifices.
Quelque fois un seul me prenait, parfois deux simultanément.
Généralement les hommes qui me baisaient en bouche déversaient des flots de foutre dans ma gorge, mais quelques-uns uns extirpèrent leurs bites de mes lèvres et m'aspergèrent le visage !
Lorsqu'ils faisaient cela, Dave se présentait pour me nettoyer le visage avec sa langue !
Lorsque deux ou trois hommes s'étaient vidés les couilles dans ma foufoune, je devais m'étendre sur le dos et à nouveau Dave me nettoyait la chatte suçant, léchant, aspirant le jus qui dégorgeait de ma cramouille inondée, ou parfois c'est lui qui s'étendait sur le dos et je devais enjamber son visage pour qu'il puisse curer ma chatoune en profondeur.
Au milieu de la nuit, tandis que je suçais avidement une énorme bite quelqu'un inséra un doigt dans mon anus.
Son doigt était enduit d'une pommade très fraîche il pénétra aisément mon oeillet ridelé, je ne pensais même pas à leur crier d'arrêter... Je ne sais pas pourquoi... Je n'avais jamais permis à Dave de voir mon trou du cul, encore moins de le toucher !
Les spectateurs regardaient attentivement cet homme introduire un, puis deux, et finalement trois doigts dans mon anus m'évasant imparablement le goulot !
Puis il retira ses doigts et je sentis la masse mafflue de son gland presser mon anus.
Cela me faisait atrocement mal, mais je n'essayais pas pour autant d'échapper aux mains de mon enculeur.
Je continuais de me concentrer sur la mentule que j'avais en bouche alors que l'homme dans mon dos ma cassait le trou du cul à la grande joie des spectateurs enthousiastes.
Puis ils semblèrent se partager entre ma chatte et mon trou du cul, à l'exception des moments où ils me prenaient en sandwich.
La première fois, j'enfourchais un gros chibre et l'accueillais bien au chaud dans ma cramouille, tandis qu'un musculeux gaillard noir, que je r"marquais pour la première fois, me tirait contre son buste et me tenait fermement serrée contre lui tandis qu'un troisième s'agenouillait entre mes jambes et forait son trou dans mon anus resserré.
Je hurlais de douleur mais pour me faire taire quelqu'un choisit cet instant pour se vider les couilles dans ma gorge, cela arriva à plusieurs reprises au cours de la nuit, je ne saurai dire combien de fois !
La chose qui me restait en tête c'est que Dave, encore et toujours, me nettoyait la chatte et le trou du cul d'une langue agile, je ne me demandais même pas pourquoi il faisait cela, il avait l'air égaré, on aurait dit qu'il n'était pas là.
Mais j'étais bien trop occupée pour lui prêter une attention soutenue.
Après une bonne heure, Anne, s'approcha des verres de son délicieux cocktail en main que je dégustais de concert avec Dave avant de retourner à mes luxurieuses activités !
Ils m'abandonnèrent sur le coup de deux heures je me relevais douloureusement.
Je m'approchais de Roy et Anne assis dans le patio.
Je ne posais aucune question à la vue de Dave agenouillé suçant la bite de Roy, avalant sa bite à pleine gorge.
Je le fixais un bon moment, c'est alors qu'Anne me fit signe de m'agenouiller entre ses cuisses.
J'allais me mettre à genoux sur le ciment lorsqu'elle coupa mon élan m'envoyant du bout du pied un coussin.
Je m'agenouillais donc et elle remonta sa jupe, je lui butinais la chatoune pendant un long moment, elle succomba à plusieurs orgasmes consécutifs.
J'entendis Roy jouir dans la bouche de Dave, ils nous permirent ensuite de nous reposer quelques instants.
Mais rapidement je dus satisfaire les deux mecs qui avaient filmé toute la soirée avant leur départ.
Dave s'assit passivement alors que l'on me couchait sur le dos sur la couverture, ils m'enculèrent chacun à leur tour.
Lorsque le premier en termina, je nettoyais sa bite d'une langue habile puis ce fut au tour du second, je pus alors savourer un nouveau verre de leur délicieux cocktail.
J'étais éreintée, dans des circonstances normales j'aurai pris une douche avant de me coucher, mais rien n'était normal dans ce qui nous arrivait !
Nous le réalisions à peine.
Roy et Anne finirent par se lever, ils nous intimèrent alors de nettoyer l'arrière cour avant d'aler nous coucher, puis ils partirent chez eux.
Nous nous sommes levés et avons jeté un coup d’œil périphérique, l'arrière corps était dans un bordel défiant toute imagination. De nombreuses bouteilles de bières jonchaient le sol ainsi que des boites à pizza.
Il me frappa soudain que nous n'avions rien mangé depuis notre petit déjeuner, mais avec les doses de foutre que nous avions avalé tous deux, nous devions avoir l'estomac plein !
Peut-être bien que c'est pour cela que je n'avais pas faim !
Je rassemblais les emballages vides alors que Dave gagnait le garage pour aller y chercher des sacs à poubelle vides.
Cela nous prit une bonne heure pour nettoyer la cour, nous nous sommes alors autorisés à aller au lit.
Je ne sais pas si c'est à cause de la fatigue, ou parce qu'Anne ne nous l'avait pas dit, mais nous n'avons pas pris de douche avant de gagner notre grand lit.
Nous nous sommes lovés l'un contre l'autre nous réfugiant dans les bras de Morphée !
Lorsque le réveil sonna 3 heures plus tard, nous nous sommes éveillés péniblement.
Tout mon corps était endolori.
Mes nichons étaient couverts de bleus, mes cuisses aussi.
La douleur émanant de mon trou du cul et de ma chatoune retint toute mon attention. J'avais envie de me faire porter pâle.
Je pris une douche espérant que cela calmerait mes douleurs, mais il n'en fut rien.
Je gagnais le salon et tendais la main pour me saisir du téléphone lorsque je vis un message épinglé juste au-dessus.
Je le saisis et réalisais tout de suite qu'il s'agissait d'un message d'Anne.
C'était court et gentil, elle nous disait :
- Dave et Donna nous avons passé une merveilleuse soirée avec vous, c'était vraiment super. On vous attend ce soir après souper, on a quelque chose à vous montrer.
A partir de cet instant, le port de sous-vêtements vous est absolument interdit à l'un comme à l'autre, de plus Donna nous voulons que tu portes des tenues extrêmement sexy. On t'interdit de te faire porter pâle à ton boulot, tendrement... Anne.
Je tendis le message à Dave alors qu'il s'habillait.
Nous nous sommes regardés un bon moment puis il se dévêtit et enleva ses sous-vêtements.
Quoi qu'il en soit nous devions obéir à ce dictat, comme nous noues étions soumis à toutes leurs volontés pendant ce week-end qui nous avait vu évoluer entièrement nus.
Nous étions parfaitement conscients de nos actions même si cela ne nous ressemblait pas du tout d'agir ainsi.
Nous étions très gênés mais nous devions obéir.
Quoique nos voisins veuillent nous faire faire, nous devions obtempérer, leur emprise était telle que nous nous sommes habillés comme indiqués, puis nous sommes partis travailler après avoir pris un rapide déjeuner constitué de céréales.
Je ne peux que m'imaginer le type de journée que subit Dave, la mienne avait été parfaitement haïssable.
Tout d'abord j'étais vêtue de façon bien plus provocante que d'ordinaire, lorsque je m'assis à mon bureau cherchant à expédier mon travail, les événements de ce week-end flashaient dans mon esprit, j'étais déchirée entre totale humiliation et folle excitation.
Mais, vers la fin de la journée de travail, et quel que ce soit ce qui maintenant une telle emprise sur mon esprit, je me sentais de plus en plus honteuse et de moins en moins excitée.
Vers 15 heures je me rendis aux toilettes, m'enfermais dans une cabine et pleurais toutes les larmes de mon corps pendant quelques minutes avant de reprendre difficilement mes esprits et mon self-control.
Je séchais alors mes yeux, gagnais l'évier me rafraîchissais le visage et me remaquillais.
Je retournais à mon travail le temps de recevoir un appel de mon superviseur me convoquant dans son bureau.
Je me levais et gagnais le coin de la pièce ou se tenaient les bureaux des superviseurs.
Celui de monsieur Jefferson était tout au coin, deux grandes baies vitrés donnaient su la salle ce qui lui permettait de nous surveiller facilement.
Je frappais à sa porte, il me dit d'entrer et de m'asseoir.
Il se leva et ferma les stores de ses fenêtres, verrouilla sa porte puis revint à son bureau et s'assit face à moi.
- Donna, je n'ai pu m'empêcher de remarquer que vous avez totalement fait du code de vêture en usage dans notre établissement ! Levez-vous je vous prie !
Je me levais appréhendant déjà la suite, je regardais mes mains crispées devant moi.
- Je vous prie de m'excuser monsieur Jefferson, je ne sais vraiment pas à quoi je pensais ce matin ! Soupirais-je misérablement.
J'étais très gênée d'être appelée dans son bureau, dans la tenue que je portais, j'étais très humiliée d'autant plus que je craignais énormément cet homme que je méprisais par ailleurs.
Il continua à me toiser des pieds à la tête puis il ajouta :
- Vous portez un chemisier quasiment transparent, une mini-jupe et pas de soutien-gorge ! Vous n'avez pas mis de collants, qu'avez vous encore oublié d'enfiler Donna ?
Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais obligée de lui répondre.
- Je ne porte aucun sous-vêtement monsieur Jefferson, je suis désolée !
Il me regarda fixement pendant quelques instants, puis il tendit lentement la main, attrapa l'ourlet de ma jupe qu'il retroussa lentement dévoilant en entier mon bas-ventre.
Je me tenais debout devant lui passive, je le laissais faire sans un mot de protestation.
Il coinça le bas de ma jupe dans la ceinture et sa main glissa sur mon ventre vers mon mont chauve.
Il me reluquait de la chatoune aux yeux, alors qu’il glissait un des ses doigts entre mes babines.
- Belle petite chatte rasée... Constata-t-il hilare.
- Fermée, douce, soyeuse... On dirait une petite fille... Mais que sont ces nombreuses contusions sur vos cuisses ?
Je ne savais pas quoi lui dire, finalement je me décidais :
- Nous avons organisé une petite fête la nuit dernière et cette soirée a dégénéré !
- C'est ce que je vois ! S'esclaffa-t-il vicieusement.
Alors que son doigt coulissait lentement dans ma chatoune inondée de cyprine, il m'ordonna de déboutonner mon corsage.
J'aurai voulu désespérément pouvoir tourner les talons et fuir son bureau !
Mais je fis ce qu'il m'ordonnait, je déboutonnais mon corsage laissant pendre les pans.
Son autre main se posa sur mon épaule et glissa sur mon bras alors qu'il inspectait mes nichons.
- Magnifique ! S'exclama-t-il
- Magnifique mais quelque peu meurtri ! Je ne pensais pas avoir déjà vu une chatoune aussi couvertes de bleus ! Drôle de fête ! Combien d'hommes t'ont sautée ?
- Je ne sais pas... Avouais-je misérablement.
Je me mis à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi je me laissais tripoter ainsi.
De toutes les fibres de mon être j'aspirais à tourner les talons pour m'enfuir en hurlant de son bureau.
- Ta pauvre petite minette est-elle douloureuse ? M'interrogea-t-il feignant de se montrer pitoyable.
Je hochais affirmativement la tête, alors que la journée avançait j'étais de plus en plus consciente de souffrir de tout mon corps.
- Bon dans ce cas je ne vais pas te baiser la chatoune aujourd'hui, à la place tu vas me tailler une bonne pipe !
Il se leva et déboutonna sa braguette laissant tomber son pantalon sur ses genoux, puis il se pencha en arrière sur le bureau.
Je fixais craintivement la porte qui était fermée mais non verrouillée, mais je suppose que ce n'était pas un problème.
Je me laissais tomber à genoux et pris sa bite bandée en bouche et commençais à le branler consciencieusement.
Visiblement il raffolait des caresses de mes lèvres sur sa hampe, il gémissait sourdement alors que le suçais habilement comme j'avais appris à le faire ce week-end.
Il jouit si rapidement que je ne m'y attendais pas et j'étouffais presque en réceptionnant son foutre au fond de ma gorge.
Il me tenait fermement la tête contre son ventre me disant :
- Continue salope !
Je lui obéis servilement, cela prit plus longtemps cette seconde fois mais ce ne fut cependant pas très long avant qu'il me remplisse de nouveau la bouche de foutre.
Finalement il me remit sur pied et me tourna autour levant le dos de ma jupette pour inspecter mon cul.
- Merveilleux ! S'écria-t-il ravi.
- Dorénavant tu t'habilleras toujours comme aujourd'hui ! Et maintenant sors de mon bureau et rentre chez toi !
Je jetais un oeil sur l'horloge au mur, cela faisait 5 minutes que je devrais être sortie, tout le monde devait avoir quitté les lieux.
Je réajustais ma jupe, refermais mon chemisier et le reboutonnais et gagnais mon bureau pour y reprendre mon sac à main.
Puis hébétée, je regagnais ma voiture.
Je rentrai à la maison comme dans un nuage, bientôt je me retrouvais garée dans l'allée de notre garage, je ne me rappelais absolument pas comment j'étais rentrée.
Je pénétrais dans notre nouvelle demeure et me rendais dans notre chambre, je me déshabillais prestement et pris une douche.
Puis je m'effondrais sur le lit et pleurais toutes les larmes de mon corps.
Finalement je repris mes esprits enfilais une tenue d'intérieure et gagnais la cuisine pour préparer le souper.
A moins qu'il ne m'appelle pour me prévenir qu'il serait en retard, j'attendais Dave pour 17 heures 30.
Lorsqu'il arriva le souper était prêt, il vint dans la cuisine et me serra dans ses bras me demandant :
- Par le diable que nous arrive t-il ?
Je me blottis contre sa poitrine et me mis à pleurer en lui répondant :
- Je ne sais pas, Roy et Anne nous ont fait quelque chose, ils nous ont drogués ou quelque chose de ce genre... Oh mon dieu Dave ça a été épouvantable... Toute la journée fut épouvantable !
Je ne me rappelais de tout ce qui m'était arrivé dans la journée mais je me rappelais ce sentiment d'humiliation et de honte que j'avais éprouvé à longueur de temps.
Je me rappelais soudain que Roy et Anne nous attendaient après dîner, il fallait y aller. Je ne sais pas pourquoi, mais nous devions obéir.
Dave me serra bien fort et ajouta :
- Je sais ma chérie, je ressens la même chose ! Je sais ce que tu entends en disant te rappeler de certaines choses, toute la journée je me suis remémoré les choses que nous avions subies la nuit dernière, c'était l'enfer, tout le week-end !
- Toute la journée j'ai eu des nausées, j'avais envie de rentrer à la maison, mais je me souvenais du message de ce matin et que je me devais d'obéir, mais le brouillard qui m'avait envahi l'esprit s'efface peu à peu, quoi qu'il soit... Nous devons juste faire bien attention de ne pas manger ni boire n'importe quoi chez eux ce soir !
J'opinais de la tête et servais le souper.
Nous avons mangé lentement, nous étions tous deux anxieux à l'idée de rejoindre nos "amis" !
Après souper, je nettoyais la table et faisais la petite vaisselle alors que Dave enfilait une tenue du soir, puis nous sommes allés frapper à la porte voisine.
18 février 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 3
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Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 3 :
Mardi : soirée chez nos amis, « premier transports » en bus et seconde journée au boulot…
Anne ouvrit la porte, nous allions entrer mais elle nous a coupé dans notre élan.
- Enlevez vos vêtements avant d'entrer ! nous intima-t-elle autoritairement.
- Dorénavant vous ne viendrez plus chez nous habillés, à moins que nous vous le disions !
Elle nous parlait amicalement, d'une voix aimable, mais elle nous donnait un ordre, comme un adulte parlant à des gosses de quatre ans.
Nous avons tous deux opiné de la tête et nous nous somme dévêtus prestement nous tenant dans la lumière brillante de l'entrée.
J'entendis des voitures qui roulaient sur le boulevard s'arrêter, mais je n'avais pas le courage de me retourner pour regarder.
Anne nous permit enfin d'entrer nos vêtements à la main.
On jeta nos fringues sur une chaise comme elle nous l'enjoignit puis on la suivit dans la salle de Télé.
Roy s'y tenait déjà discutant avec les deux hommes qui avaient filmé la séance de la veille.
Roy nous désigna les deux verres de cocktail posés sur la table et nous intima de les boire.
Dave le pria de ne pas nous faire boire ce breuvage, il se contenta de nous regarder en souriant, il savait que nous allions finalement lui obéir.
J'avais les yeux plains de larmes en prenant un des verres que je vidais cul sec.
Je suppose que c'était la même boisson que nous avions siroté tout le week-end.
Mais, sans le parfum fruité de camouflage, cette potion s'avérait terriblement amère.
Nous nous regardions dans les yeux Dave et moi en vidant nos verres avent de les reposer sur la table.
- Ne vous tracassez pas ! intervint Roy
- Juste un verre chaque soir pendant le reste de la semaine !
- Qu'est ce que c'est ? Osais-je demander.
- Que nous avez-vous fait ?
- Ca me parait évident Donna, c'est une drogue que mes laboratoires pharmaceutiques ont développé pour combattre la dépression, mais qui se trouva voir un effet particulier que je viens de découvrir récemment en pratiquant les tests d'essais.
- Elle agit sur le propre arbitre le réduisant à néant, il annule toute possibilité de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit, je l'ai mélangé avec une bonne dose d'aphrodisiaque ce week-end pour vous rendre les choses plus agréables.
- Mais en fait, on ne voulait pas vraiment vous faire plaisir, c'est beaucoup plus amusant de vous faire faire des choses que vous réprouvez de toute votre âme, parce que vous n'avez pas le choix.
- Nous avons appris que l'absorption de sept doses de cette drogue rend ces changements définitifs, afin que vous gardiez espoir, je dois vous préciser qu'il existe un antidote que nous vous donnerons certainement lorsque nous serons las de vous.
- Mais d'ici là, je crains fort que vous soyez obligés de nous complaire, d'obéir à tous nos ordres et même aux suggestions de n'importe qui.
- Vous serez totalement incapables de mettre en oeuvre votre libre arbitre.
- Vous avez certainement remarqué que les effets de cette drogue diminuaient alors que le jour avançait, d'ici la fin de la semaine cela n'arrivera plus.
- Vous avez certainement aussi remarqué que l'effet de l'aphrodisiaque avait disparu, lorsque je serai de bonne humeur je vous en rendrai une forte dose quand la situation s'y prêtera... Mais je préfère savoir que vous haïssez ce que vous faîtes !
Nous nous tenions tous deux stupidement devant eux, alors que Roy et ses deux amis se levaient et se déshabillaient.
Ils se rassirent tout de suite, Roy et l'un des cameramen étaient assis cote à cote sur le large canapé.
Je regardais l'homme à coté de Roy ordonner à Dave de s'étendre à son coté avec son visage tourné vers lui.
Je dus faire de même avec Roy.
Lorsque je fus étendue la bouche refermée sur la virilité de Roy je sentis mes cheveux frotter contre ceux de Dave.
Anne empoigna la télécommande et se tourna vers le grand écran Télé, dès qu'elle appuya sur la touche lecture, le DVD défila.
Il concernait la soirée de la veille, maintenant sans être sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, je réalisais le nombre d'hommes qui m'avaient possédée.
Je ne pouvais pas les compter, ils étaient bien trop nombreux et ils ne cessaient de bouger, je vis aussi que le léchage de ma chatte engorgée de foutre n'avait pas été la seule dépravation qu'avait enduré Dave.
Plusieurs hommes s'étaient fait sucer la bite, deux autres l'avaient même enculé, je n'étais pas au courant de ces faits.
Roy la coupa :
- Je suppose que vous vous demandez combien il y avait d'hommes hier soir.
La bouche serrée sur sa grosse bite, je grommelai que oui.
- Eh bien, j'étais un peu désappointé, j'avais invité une bonne centaine de convives, mais il n'en vint que 72… Certains ne pouvaient pas sortir de chez eux un dimanche soir, d'autres étaient déjà retenus, mais, pour faire bonne mesure presque la moitié de mes invités te baisèrent à deux reprises... T'étais follement excitée ma chère Donna, Les gars ont adoré se faire une jeune ménagère aussi douce obéissante... Tu leur as tourné la tête, juste comme tu me tournes la tête maintenant... Tends ta main et branle moi lascivement, je suis sur le point de jouir, ne ferrme pas les yeux ! Une caméra et braquée sur nous et je ne veux pas que tu perdes une miette du document que ces deux gentlemen ont eu du mal à finaliser.
J'entrepris de branler Roy, et en peu de temps il vomit son foutre crémeux dans ma bouche. C'était plus difficile à supporter maintenant que je n'étais plus sous l'emprise d'aphrodisiaques, l'ignoble potion me brûlait la gorge alors que je me forçais à déglutir.
Lorsque Roy fut entièrement satisfait de ma prestation, il me repoussa et l'autre cameraman m'appela.
Il se tenait à coté de Dave, la bite déployée.
Il m'ordonna de m'asseoir sur lui et de le chevaucher sans perdre des yeux l'écran télé.
Comme je montais et descendais sa mentule dressée, je sentais mes nichons se balancer douloureusement, Roy semblait apprécier le spectacle.
Il m'ordonna de garder les mains le long du corps.
Roy me demanda s'il m'était arrivé quelque chose d'inhabituel aujourd'hui, je dus lui relater ce qui s'était passé avec mon superviseur.
Lorsque j'eus terminé de lui narrer mon aventure ils explosèrent tous de rire.
L'homme qui se faisait sucer par mon mari saisit finalement fermement sa tête afin de se vider dans sa bouche asservie.
Dave gargouilla un peu, mais se débrouilla pour tout avaler.
Dès que son suborneur le repoussa, Anne l'appela et lui ordonna de plonger sa tête sous sa jupe pour lui brouter le minou.
Roy le coupa dans son élan :
- Non, attends cinq minutes Anne ! On va juste voir le premier enculage de Donna et son premier triple, je serai désolé que Dave manque cette séquence !
Je regardais avec horreur, me souvenant de pénible, alors qu'un étranger me lubrifiait soigneusement le trou du cul sous les yeux de la foule des spectateurs avant de forer son trou dans mes fesses.
J'entendais mes hurlements de douleur partiellement étouffés par la grosse bite qui me bâillonnait.
Le film était savamment structuré, il montrait tous les participants alors qu'ils fourraient leurs bites dans ma bouche, mon con ou mon cul.
On voyait le début et la fin de chaque action, alors que l'intervalle était largement amputé par souci de minorer la durée du DVD.
L'orgie dans son entier avait duré 9 heures, il en existait une version totale en 4 DVD destinée à la vente, alors que nous regardions une version allégée.
Tout en regardant le DVD je m'étais penchais sur le ventre de Roy dont je suçais la queue pour lui rendre toute sa vigueur.
Il m'informa qu'il n'avait pas eu l'occasion de m'enculer la veille et qu'il allait le faire tandis que Dave brouterait le minou de sa femme chérie.
Nous avons continué de regarder la télé, l'homme sur lequel j'étais assise, m'ordonna alors de me retourner et de nettoyer sa bite sans quitter des yeux l'écran.
Tandis que je le nettoyais d'une langue agile, arriva cet instant maudit où je me suis retrouvée avec trois bites en moi.
Je tenais la bite de celui que je suçais en bouche et gardais les yeux rivés sur l'écran on l'on pouvait me voir fourrées par 3 bites épaisses.
Nous étions tous rivés à la scène qui se déroulait sur l'écran.
Dès que l'orgie reprit, Roy me rappela et me courba sur un grand prie-Dieu et entreprit de s'amuser avec le goulot de mon trou du cul.
Pendant ce temps, Dave était installé entre les cuisses d'Anne la tête sous sa jupe, il lui mignotait la chagatte.
Roy sondait mon trou du cul, tout d'abord en employant juste l'humidité de ma chatte, puis en utilisant un lubrifiant.
Lorsqu'il parvint à insérer trois doigts dans mon goulot je parvenais à peine à respirer tant j'avais mal.
Il continuait à m'évaser le goulot distendant impitoyablement mon oeillet annelé.
Puis il se posta dans mon dos et entreprit de forer son chemin dans mon trou du cul rétif.
Au début je pleurnichais, j'avais mal.
Mais comme il continuait impitoyablement à enfouir sa grosse bite dans mon anus cuisant, je me mis à hurler, le suppliant d'arrêter.
Je le suppliais de sortir de moi, je jurais de faire tout ce qu'il voudrait mais pas ça !
En guise de réponse il empoigna mes nibards endoloris et se mit à m'enculer avec une extrême violence, je hurlais à jets continus.
Il me susurra à l'oreille :
- C'est ça ma chérie, hurle pour moi... Fais-moi entendre ta douleur ! Je n'en ai que plus envie de te casser le trou du cul... Tous tes trous s'avèrent extra ! Malheureusement je ne peux pas fourrer ma queue dans tes oreilles ! Bordel... On dirait que ton boyau se visse autour de ma bite, quelle sacrée salope tu fais !
Cela me sembla durer une éternité, mon trou du cul finit par s'engourdir, je retrouvais mon souffle.
J'entendis alors u autre cri et me retournant vit qu'un des cameramen enculait sauvagement Dave alors qu'il butinait le gazon d'Anne.
Lorsque Roy en eut fini avec mon trou du cul, l'autre caméraman prit le relais, puis je leur nettoyais à tous deux la bite.
Puis toujours courbée sur le prie-Dieu je continuais à regarder l'écran télé.
Je ne pouvais m'empêcher de jeter des coups d’œil sur Dave, il avait fini de brouter le minou d'Anne lorsque son enculeur jouit dans ses fesses.
Il dut alors nettoyer sa bite de la bouche, comme je l'avais fait aux deux autres.
Avant qu'ils nous laissent partir, nous dûmes nous lécher l'un l'autre, pour nous nettoyer d'une langue agile nos trous du cul engorgés de foutre.
Je ne pensais pas jouir; et pourtant je succombais sous les caresses de la langue de Dave.
C'était mon premier orgasme cette nuit, mais cela ne me réjouit pas pour autant.
Ils nous donnèrent une copie de l'enregistrement, nous ordonnant de la faire tourner en boucle sur notre TV.
Ils nous prévinrent que l'on ferait mieux de ne révéler notre sort à personne, puis ils nous permirent de partir.
Je demandais à Anne si dorénavant nous pouvions utiliser la porte de la cour.
Elle y réfléchit quelques minutes et en discuta avec Roy.
Elle se tourna vers nous tout sourire et dit :
- Roy dit que vous pourrez utiliser la porte de la cour la semaine prochaine... Mais cette semaine vous avez besoin d'apprendre l'humilité ! Maintenant je vous rappelle soyez ici tout de suite après souper demain soir ! Une dernière liste d'instructions : vous ne devrez parler de tout ceci à personne, vous ne devrez pas appeler à l'aide votre famille, vos amis, des étrangers ou même la police ! Et maintenant foutez-moi le camp ! Rentrez chez vous et pensez à tout le plaisir qu'on va tirer de vous !
Nous avons empoigné nos vêtements et nous sommes rués jusqu'à notre porte de maison, heureusement, il faisait sombre et nous n'avons vu personne.
Nous avons foncé à l'intérieur et pris une douche ensemble.
Nous nous sommes caressés longuement après nous être séchés et nous avoir lavé les dents.
Nous cherchions un moyen de nous tirer de cette galère.
A la fin de la semaine, lorsque leur emprise serait permanente il serait trop tard pour agir.
Je jetais un oeil sur l'horloge et constatais qu'il était trop tard pour appeler mes parents. Je décidais que ce serait la première chose que je ferai le lendemain matin, je constaterais ainsi l'efficacité de cette drogue. Lorsque nous sommes allés au lit je pleurais longuement avant de m'endormir.
Le lendemain matin nous avons repris une autre douche, j'enfilais une autre mini-jupe et un haut totalement inappropriés dans un bureau.
Je préparais le petit déjeuner, puis je téléphonais à ma mère.
Ma mère restait au foyer, mais elle se levait tôt pour déjeuner avec mon père. Elle s'inquiéta tut de suite, je n'avais pas l'habitude de l'appeler si tôt le matin, mais je réussis à me calmer l'assurant que tout se passait bien.
De toute manière j'étais totalement incapable de lui exposer la raison de mon coup de fil.
Après avoir discuté de tout et de rien je la quittais pour partir au boulot. Dave était déjà parti. Comme je refermais la porte de devant Anne vint vers moi et me gourmanda :
- Tu as essayé de nous désobéir, tu as appelé ta mère pour réclamer son aide, aujourd’hui tu prendras le car pour aller au boulot.
Je n'avais jamais pris le bus, je ne savais pas comment m'y prendre.
Je savais qu'il y avait des arrêts de bus, j'avis souvent vu des gens qui l'attendaient au coin de notre rue.
Je vérifiais que j'avais de la monnaie et je me dirigeais rapidement vers l'arrêt de bus.
Lorsque j'e vis un planning des bus, mais les destinations ne s'affichaient nulle part, et je ne savais donc pas lequel prendre.
Je pris le premier qui se pointa et je demandais au conducteur comment je pouvais me rendre à mon bureau et il me répondit quel bus je devais prendre.
Il se monta très gentil et très patient, il m'expliqua en démarrant que je devrais changer de bus au boulevard Foster me disant lequel prendre.
Il me dit aussi comment je pourrai rentrer le soir.
Je payais ma place et il me donna un billet me disant qu'il m'appellerait lorsque j'arriverai à destination.
Je me dirigeais vers une place vide et m'assit le long de la fenêtre à peu près 4 rangs derrière le conducteur.
A l'arrêt suivant trois jeunes voyous montèrent, ils lancèrent leur monnaie dans la caisse à coté du conducteur et vinrent vers moi.
Le plus costaud se tenait devant moi, lorsqu'il me vit son visage se fendit d'un large sourire, il s'assit à coté de moi et se sera contre moi, ses deux copains s'assirent derrière nous.
Dès que le bus eut démarré, il traça un petit cercle de ses doigts sur ma cuisse, comme je ne protestais pas, il descendit sa main sur mon genou et remonta le long de ma cuisse jusqu'à ma chatte nue.
Lorsqu'il réalisa que je ne portais pas de petite culotte, il tourna la tête vers ses copains et leur souffla :
- Et les gars, venez donc voir !
L'un de ses copains se leva et se tint dans le passage à coté de nous alors que l'autre se penchait au-dessus du siège.
Tandis qu'ils regardaient avidement, mon voisin retroussa lentement ma jupe sur ma taille exposant ma chatoune aux yeux de ses copains.
Je sentis le rouge envahir mon visage alors que je demeurais assise sans protester, sans défense, totalement humiliée.
Ces jeunes gens avaient tout juste 18 ans, les deux comparses me reluquaient alors que leur pote palpait mon mont de Venus chauve.
Je ne pouvais que leur être reconnaissante de ne pas attirer l'attention des voyageurs sur ce qu'ils me faisaient subir.
Alors que mon voisin jouait avec ma foufoune le gars se tenant dans mon dos tendit le bras et glissa sa main dans mon corsage et entreprit de malaxer mes nibards.
Je ne pouvais que rester assise et pleurnicher.
Le bus arriva à l'arrêt suivant et j'entendis le chauffeur ouvrir les portes, se lever et venir vers nous en hurlant aux jeunes types de se barrer.
Une fois qu'ils se furent enfuis, le chauffeur me demanda si tout allait bien.
Je recouvris prestement mon entrecuisse et rajustais mon chemisier hochant la tête, trop honteuse pour le regarder dans les yeux.
Il se pencha sur moi et dit :
- Je suis désolé, vous auriez du m'appeler, vous descendez au prochain arrêt, êtes vous sure que tout va bien ?
Je soupirais un timide merci et hochais la tête toujours incapable d'affronter son regard.
Lorsque l'autobus stoppa à l'arrêt suivant, je courus à la porte centrale et prit une profonde inspiration en quittant le car.
Je me mis immédiatement à rechercher le bus que le chauffeur m'avait dit qu'il m'emmènerait jusqu'à mon bureau, ce devait être le prochain.
Alors que je grimpais dedans, j'entendis quelqu'un hurler - Elle est ici !
Je jetais un oeil en arrière et vis les trois jeunes gens qui m'avaient molestée courir pour attraper le bus, mais ils n'y réussirent pas.
Dès que j'étais grimpée à bord, le chauffeur avait démarré.
Je dis au conducteur où je me rendais et lui expliquais que je n'avais pas l'habitude de prendre le bus lui demandant de me prévenir lorsque je serai arrivée.
Je me rendais compte que tous les hommes avaient envie de faire plaisir à une jolie jeune femme habillée de façon provocante d'un chemisier quasi transparent, il me sourit, hocha la tête en signe d'acceptation, et je gagnais ma place au fond du bus.
Ce bus, à l'inverse du premier était plein à ras bord, tous les sièges étaient pris et la plupart des places debout auprès des sangles de soutien étaient occupées.
Je trouvais cependant une sangle à laquelle m'agripper et fis de mon mieux pour rester debout lorsque le bus accélérait ou freinait selon le trafic.
Je remarquas que personne ne me regardait et pendant u certain temps j'aurai pu me croire seule dans ce car.
Ce sentiment s'envola lorsque je sentis une main se poser sur mon mollet, un homme assis à coté de moi me touchait les jarrets.
Je pensais tout d'abord que c'était par accident, je voulus le repousser et m'écarter, mais un coup de frein brusque me fit revenir à ma place initiale.
Comme je restais en place, la main du voyageur assis revint sur ma jambe me caressant as vergogne.
Comme je ne réagissais pas, il se fit plus audacieux.
Sa main remonta le long de ma jambe, lentement, palpant mes charmes en s'excitant.
Puis exactement comme les trois jeunes gens l'avaient découvert plus tôt, il se rendit compte que je ne portais pas de sous-vêtement.
Sa main se pressa dans mon entre cuisse qui était légèrement écartée pour maintenir mon équilibre, il avait ainsi un accès tout à fait libre à mon intimité.
Il poussa son avantage à fond et inséra prestement deux doigts dans ma féminité, et les fit coulisser allégrement.
Je fis la seule chose qui m'était permise, je fermais les yeux et attendis que le chauffeur m'indiqua l'arrêt où je devais descendre.
Je ne parvenais pas à comprendre qu'un acte aussi vil, aussi humiliant puisse être aussi jouissif.
Si le chauffeur ne m'avait pas informé de la proximité de mon arrêt, si j'avais du attendre l'arrêt suivant, j'aurai sûrement joui sous ses profondes caresses !
Et je n'avais toujours pas vu son visage !
Je descendis du bus et me ruais vers mon bureau tout proche.
Je me demandais si on se faisait toujours molester dans les bus.
Je jetais un oeil sur ma montre et réalisais que j'avais dix bonnes minutes de retard. Monsieur Jefferson allait disposer de la journée entière pour en profiter.
Je me précipitais derrière mon bureau et vis que monsieur Jefferson me guettait, je paniquais.
Je posais mon sac et, j'étais à peine assise que déjà il m'appelait par le téléphone intérieur.
Je gagnais rapidement son bureau et frappais à sa porte. Il me fit signe d'entrer, il discutait avec quelqu'un au téléphone.
Dès que je fus entrée, il reposa le téléphone et se leva.
Je lui demandais d'excuser mon retard, je lui dis que j'avais du prendre le bus ce matin et que je n'avais pas l'habitude de ce mode de locomotion.
Il me fixait, visiblement satisfait de ma tenue, il me demanda :
- Votre voiture est en panne ? Vous savez que ce n'est pas une excuse valable n'est ce pas ?
- Non-monsieur... Répondis-je misérablement.
- Dans ce cas, pourquoi avez-vous pris le bus ?
J'avais du mal à respirer, j'aurai voulu me trouver ailleurs, j'étais incapable de lui mentir, je devais lui raconter ce qui m'était arrivé !
Je grommelais cherchant désespérément comment lui explique la chose de la façon le plus neutre possible, sans lui révéler mon état de suggestion.
Finalement je commençais :
- Ma voisine m'a fait prendre le bus pour me punir !
A cet instant même la porte du bureau s'ouvrit sur monsieur Taylor qui était le chef direct de monsieur Jefferson, il ouvrit et referma la porte dans son dos.
Monsieur Jefferson l'invita à s'asseoir puis se tourna vers moi et me demanda :
- Pourquoi laissez-vous votre voisine vous punir?"
Cette question me plongeait dans un terrible dilemme. Je ne devais ni mentir ni refuser de répondre à mes interlocuteurs, mais par ailleurs mes maîtres m'avaient ordonné de ne révéler à personne ma triste situation, ni réclamer de l'aide à qui que ce soit.
Je réalisais alors que je ne devais attendre aucune aide de la part de monsieur Jefferson, je pouvais donc lui répondre franchement.
Je cherchais à organiser mes pensées et répondis misérablement :
- Nos voisins nous ont drogués mon mari et moi, et depuis nous sommes tenus à faire tout ce qu'ils veulent, nous n'avons plus aucun libre arbitre, ce matin j'ai voulu appeler ma mère pour lui demander de l'aide, bien que je n'en ai pas le droit ! Quelle qu'en soit la manière ma voisine l'a appris et me punit en m'ordonnant de prendre le bus pour me rendre à mon travail !
Monsieur Taylor me coupa alors :
- Pourquoi pouvez-vous nous parler de vos problèmes et pas à votre mère ?
- Parce que je sais que pertinemment que vous ne nous aiderez pas !
Monsieur Taylor me sourit et s'adressant à monsieur Jefferson ajouta :
- Dave je crois que vous avez eu la main drôlement sure !
Il s'approcha des stores et les ferma, puis il verrouilla la porte.
Il se tourna alors vers moi et me précisa :
- C'est le grand jour Donna, depuis que j'ai posé les yeux sur tes charmes j'ai envie de te fourrer jusqu'à l'os ! Vire-moi tes frusques, et prends ton temps pour t'exécuter !
Ils se regardaient l'un l'autre se souriant cyniquement puis ils se tournèrent vers moi alors que je déboutonnais mon corsage et l'enlevais.
Je le posais sur la chaise à coté de moi puis j'ôtais ma mini-jupe, mes chaussures et attendais alors les ordres...
Monsieur Taylor se leva et se dévêtit prestement posant ses habits sur la chaise.
Puis il eut une soudaine inspiration, il sortit son portable et me fit poser dans des poses obscènes le temps de prendre plusieurs clichés.
Il garda son portable en main m'ordonnant de me mettre à genoux devant lui.
Je me mis en position et pris sa bite en bouche.
Sa bite était épaisse, mais pas aussi épaisse que celle de Roy, de ce fait je n'eus aucun problème pour la faire glisser dans ma gorge alors qu'il continuait à prendre des photos.
Alors que je suçais Monsieur Taylor, Monsieur Jefferson inspectait mon cul et ma chatte de ses mains moites.
Monsieur Taylor jouit rapidement dans ma bouche, me traitant des termes les plus grossiers qu'il connaissait !
Je réalisais que jamais on n’avait du lui prodiguer de gorge profonde et il trouvait cet acte particulièrement jouissif.
Dès que monsieur Taylor me repoussa, monsieur Jefferson m'enjoignit de me poster devant le bureau, il s'approcha de moi et me courba en avant de me pénétrer sans plus de préliminaires. Je grognais de douleur et il gloussa de me voir ainsi malmenée.
Il me prit brutalement, c'était plus un viol qu'autre chose. Et, tandis qu'il me violentait, il me parlait calmement me disant combien j'allais devoir leur dispenser de plaisir à l'avenir.
Me traitant de tous les noms, il me précisa que dorénavant j'étais la pute du bureau ! Je ne pouvais que baisser la tête alors qu'il grommelait en me baisant de plus belle.
Il me baisa pendant une bonne quinzaine de minutes avant d'agripper fermement les hanches et de me pilonner trois dernières fois avant de se vider les couilles au fin fond de ma chatoune.
J'attendais qu'il extirpe sa bite de ma fente, puis je m'agenouillais et je lui nettoyais servilement la queue d'une langue habile.
- T'es-tu toujours livrée à ces actes ? Me demanda-t-il amusé.
- Oui monsieur... Lui rétorquais-je misérablement.
Monsieur Taylor se releva et m'ordonna de me courber à nouveau sur le bureau, sa bite bandait à nouveau, et il voulait lui aussi goûter à mon délicieux petit con.
Monsieur Taylor avait une bonne cinquantaine d'années et était morbidement obèse, je ne parvenais pas à décider si je me réjouirai de le voir frappé d'une crise cardiaque.
Lorsqu'il eut joui en moi, je nettoyais sa bite ils me firent alors retourner et détaillèrent attentivement ma chatte engorgée de foutre.
Monsieur Taylor commenta alors :
- Son charmant petit con me plait beaucoup ! Mais je ne crois pas qu'elle puisse se rendre aux toilettes le con dégorgeant de foutre...
Monsieur Jefferson surenchérit :
- T'as raison elle va disperser des gouttes de foutre dans tout le bureau !
Monsieur Taylor reprit :
- Je ne vois qu'une solution ma chérie, tu vas récupérer tout ce jus en te servant de tes doigts et les lécher !
Ils pensaient sûrement m'humilier profondément, mais ils ignoraient que j'avais avalé des litres de foutre ces trois derniers jours, ce qui de ce fait banalisait fortement leur exigence.
Je curais ma chatoune à pleins doigts et les portait à ma bouche pour les sucer l'un après l'autre à plusieurs reprises, cela les satisfit rapidement.
Je pus alors me rhabiller et retourner mon bureau.
Ils m'avaient informé que je travaillerai une heure de plus ce soir pour compenser mon quart d'heure de retard du matin ainsi que les 45 minutes que j'avais consacré à satisfaire leurs appétits lubriques.
J'essayais de me concentrer sur mon travail.
Après un moment je réalisais que plus je travaillais dur, plus je me concentrais sur mon ordinateur, plus le temps semblait s'écouler rapidement.
Pendant l'arrêt de midi, j'appelais Dave l'avertissant que je rentrai à la maison avec une heure de retard, il me demanda ce qui se passait, mais je ne pouvais pas lui répondre entourée de mes collègues qui m'écoutaient distraitement assis à leurs bureaux, je lui dis donc que je lui expliquerai une fois rentrée à la maison.
Je me concentrais sur mon travail le reste de la journée, longtemps après que mes collègues aient déserté leurs postes. J'avais une heure à rattraper, je pensais que c'était profondément injuste, mais qu'y pouvais-je ?
Je m'attendais à ce que monsieur Jefferson me rappelle dan son bureau avant que je puisse partir.
En fait je travaillais sur mon ordinateur lorsque le concierge se pointa dans mon bureau, il ne me dit pas un mot, il se contenta de déboutonner sa braguette, sortit sa longue et épaisse mentule noire d'ébène et m'enjoignit alors :
- Suce-moi !
J'étais si concentrée sur mon travail que je ne m'étais rendu compte de sa présence qu'en l'entendant proférer son ordre. Je me retournais effarouchée et vis son épaisse byroute pendant entre ses cuisses.
Je levais les yeux sur lui, il attendait que je m'exécute.
Comme je me penchais en avant pour emboucher son membre viril je vis monsieur Jefferson se pencher au-dessus des cloisons de mon bureau me photographiant avec un appareil photo numérique.
Je sentais la bite du concierge grossir rapidement dans ma bouche, elle fut bien vite aussi grosse que celle de Roy, mais elle n'était pas épaisse au point que je ne puisse la prendre en gorge.
Il cria son plaisir à la vue de cette jeune épouse blanche engloutissant sa mentule au fin fond de sa gorge dans le bureau vide.
Ses cris résonnaient dans ma bouche alors que je le suçais avec enthousiasme comme on m'avait enjoint de le faire, parce que c'était la seule voie que je pouvais suivre.
Il semblait déçu lorsqu'il se vida les couilles au fin fond de ma gorge, cela devait faire longtemps qu'il le désirait.
Puis, sans un mot il extirpa sa bite de ma bouche, me tapota la tête et repartit travailler en remerciant monsieur Jefferson au passage.
Monsieur Jefferson s'assit sur mon bureau s'appuyant sur les coudes alors que je lui taillais une pipe, apparemment cela l'avait profondément excité de me voir sucer le concierge.
Il éjacula rapidement, remonta la fermeture éclair de sa braguette et me dit de rentrer chez moi. Il ajouta que je ferai mieux d'arriver à l'heure le lendemain si je ne voulais pas qu'il se fâche.
Je me levais rapidement, pris mon sac dans mon tiroir de bureau et me ruais hors du bâtiment où je travaillais.
Je n'avais pas même pris le temps de passer aux toilettes me rincer la bouche, j'étais bien trop pressée de quitter les lieux.
Je redescendis jusque la station de bus qui me ramènerait chez moi. Cette fois, je savais quel bus je devais prendre et je poussais un soupir de soulagement lorsque je me retrouvais dans le bus bondé de monde.
J'avais oublié combien mon trajet allée avait été difficile, mais cela recommença rapidement.
Je me trouvais pressée entre de nombreux voyageurs basculant d'avant en arrière au gré des cahots du bus, lorsque je sentis une main effleurer mes jambes.
Je soupirais incrédule.
Cela ne pouvait tout de même pas m'arriver chaque fois que je prenais le bus !
Je me rendis compte que je n'étais pas la seule femme, je vis que d'autres femmes étaient disséminées ça et là dans le bus.
Elles n'avaient pas l'air de se faire molester, étais-je donc marquée ?
Ou était-ce parce que mes mamelons étaient visibles au travers de mon chemisier et que ma mini jupe ne couvrait que mes fesses !
Je restais passive alors que la main grimpait lentement, mais sans trop d'hésitations, le long de ma jambe.
Comme je ne m'étais pas retournée pour lui claquer une gifle lors du premier attouchement, il devait persuader que cela me plaisait.
Il inséra rapidement deux doigts dans ma cramouille et je commençais à m'en réjouir.
J'aimais tant ce qu'il me faisait que je faillis manquer la station où je devais changer de bus.
Je descendais rapidement du bus et me tins dans l'obscurité avec plusieurs hommes, attendant tous le prochain bus calmement.
Un des hommes me fixait indiscrètement, je pensais que c'était en raison de ma tenue.
Mon autobus arriva finalement je grimpais dedans et donnais mon ticket au conducteur.
Je fis le chemin de retour assis le long d'une vitre et me laissais tomber sur le siège. Exactement comme ce matin, le bus n'était qu'à moitié rempli.
Aussi fus-je grandement surprise en voyant un homme s'asseoir à coté de moi, je le reconnu instantanément, c'était l'homme de la station de bus.
Il me toisa pendant une longue minute, yeux rivés sur ma poitrine, mes mamelons? Puis son regard descendit jusqu'à mon de culotte, il me sourit et me dit :
- J'ai vu que tu te laissais faire dans le premier bus, j'ai bien vu que ton voisin te caressait intimement et que tu avais l'air d'apprécier ses caresses !
Je ne dis rien, qu'aurai-je pu lui répondre ?
Le conducteur avait éteint l'éclairage interne, lorsque le bus avait redémarré, seuls les lampadaires éclairaient faiblement l'intérieur du bus lorsque l'on passait devant eux, l'étranger tendit la main et palpa indiscrètement mes miches, je le laissais faire.
C'était la permission de poursuivre qu'il attendait.
Il déboutonna lentement mon chemisier et se mit à jouer avec mes nibards, avant de tourner son attention sur ma chatoune.
Il laissa bailler mon chemisier et tendit la main pour retrousser ma mini-jupe.
Il fixa des yeux ma chatoune pendant quelques instants, puis il m'enjoignit :
- Tiens bien ta jupe relevée.
Je tendais la main et saisis l'ourlet de ma jupe lui offrant un meilleur accès entre mes cuisses pour explorer ma moule qui s’avérait détrempé après les manipulations subies dans le premier bus.
- Tu aimes ça ? Me demanda-t-il.
- Tu aimes laisser des étrangers jouer avec tes charmes intimes ?
Je répondis le plus honnêtement que je le pus :
- Mon corps aime ça !
Il ne savait pas qu'en penser, mais il savait très bien quoi faire, il voulait prendre son plaisir.
Il m'ordonna de poser la main sur sa bite et de le caresser.
J'étais si impliquée dans ce que je faisais que j'oubliais de sonner à la station où je devais descendre.
Je devais revenir en arrière à trois quartiers de chez moi, le temps que je rentre, il était plus de 18 heures et Dave était malade d'anxiété.
Nous étions tous deux trop contrariés pour souper mais je préparais quand même une salade, je ne voulais pas que Dave se rende malade.
Lorsque nous soupâmes, je lui racontais tout ce qui m'était arrivé depuis ce matin, cela prit un certain temps.
Mais nous n'avons pas pu tergiverser plus longtemps, nous nous sommes déshabillés et avons gagné la porte des voisins, je vis que des gens se promenaient à l'extérieur, mais il faisait sombre et je pensais que personne ne devait prendre garde à notre tenue.
27 mars 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 4
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 4 : une certaine routine s’installe.
Anne avait allumé les lumières de son porche d'entrée, et elle nous laissa poireauter un bon moment après que l'on ait sonné.
J''entendais les gens passer dans la contre-allée alors que nous attendions.
Je savais qu'ils pouvaient nous voir.
Nous ne pouvions que rester là passivement, le dos tourné vers la contre-allée espérant que personne ne remarquerait notre tenue.
Finalement Anne ouvrit la porte et nous fit entrer, elle nous emmena dans la salle de télé, il n'y avait qu'eux d'eux.
Nous avons avalé docilement notre drogue, puis Roy me courba sur l'agenouilloir et me baisa lentement en chatte. Ma cramouille était trempée de cyprine et remise de tous les abus qu'elle avait subi dans la journée, je dus leur raconter tout ce que j'avais enduré au cours de cette journée.
Comme je décrivais ma journée, Anne se déshabilla et se rassit et se fit travailler par la langue de Dave.
Ils me posèrent quelques questions embarrassantes, ils ne se contentaient pas de mon rapport, ils voulaient des détails, ils voulaient que je décrive ce que j'avais ressenti, comment j'avais réagi, ainsi que les réactions de mes suborneurs.
Anne jouit à plusieurs reprises pendant la demi-heure que je pris pour raconter ma journée.
Roy jouit juste au moment ou je terminais et resta bourré au fin fond de ma chatoune tandis que je parlais.
Il ne tarda pas à durcir à nouveau et se remit à me baiser vigoureusement.
Anne s'estima enfin satisfaite et repoussa Dave.
Comme il n'avait rien à faire, Roy lui intima de se glisser entre ses jambes pour lui lécher les burnes tandis qu'il ma baisait à couilles rabattues.
Je vis le visage de Dave refléter son désarroi lorsqu'il se releva, mais il dut lui complaire, il ne pouvait qu'obéir, comme moi il n'avait pas d'autre choix.
Finalement ils nous laissèrent retourner chez nous vers 20 heures.
Nous nous sommes assis dans le salon où le DVD rapportant notre orgie du dimanche tournait en boucle, cherchant à nous consoler mutuellement.
Je ne pensais que les choses pouvaient perdurer ainsi bien longtemps. Soudain je sus ce dont j'avais besoin.
J'agrippais le bras de Dave et l'entraînais dans notre chambre lui murmurant à l'oreille :
- J'ai besoin que tu me fasses l'amour ! J'en ai marre de me faire baiser à la hussarde !
Il n'y avait pas besoin de longs préliminaires.
Cela faisait des heures que nous étions nus et ma chatoune était certainement bien lubrifiée.
Je m'étendis sur le dos sur le lit et Dave s'installa entre mes cuisses pour me lécher la fentine.
J'essayais de l'arrêter, mais il me sourit gentiment et me dit :
- Cela n'a plus grande importance Donna, tout ce qui compte maintenant c'est nous deux nous devons rester bien soudés et chercher le moyen de nous en tirer sans trop de problèmes !
Il recommença à me lécher la chatte, et mes cuisses détrempées, il me nettoya rapidement.
Puis il se concentra sur ma foufoune et je jouis rapidement sous ses léchouilles.
J'avais passé trop de temps à être excitée et stimulée, le plus souvent par de totaux étrangers, il me sembla que je jouissais bien plus vite que d'ordinaire avant que tout cela commence.
J'eus une paire d'orgasmes intenses avant que je me redresse pour l'attirer sur moi.
Nous nous sommes embrassés fougueusement et nous avons fait l'amour avec passion pendant un long moment.
Lorsqu'il n'en put plus Dave s'effondra à coté de moi je n'hésitais absolument pas à me pencher pour le prendre en bouche et lui nettoyer amoureusement la bite.
On puait tous deux le sexe, mais nous étions trop épuisés, trop crevés pour prendre une douche.
Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre et l'on ne bougea plus jusqu'au moment ou le réveil sonna le lendemain matin.
Nous avons pris notre douche et cherché quoi nous mettre pour la journée.
Je n'avais plus de brassières propres aussi enfilais-je une petite robe d'été au profond décolleté que j'avais l'habitude de porter avec un gilet recouvrant ma poitrine.
Si je ne portais pas ma veste, mes miches seraient très exposées.
Cette robe était très fine et très courte, j'espérais qu'elle ferait l'affaire. Je ne trouvais rien d'autre de portable. Il faudrait que je fasse des courses cette nuit en rentrant à la maison.
J’embrassais Dave en le quittant et me préparais à partir à mon tour.
Je sortais, fermais la porte à clef et me dirigeais vers ma voiture.
Je retenais ma respiration à chaque pas paniquée à l'idée de devoir reprendre le bus ce matin.
Mais je parvins sans encombre à ma voiture et partis vers mon bureau où j'arrivais avec un peu d'avance.
Je gagnais mon bureau, posais mon sac et me disposais à travailler.
Je terminais la frappe du premier document lorsque le signal indiquant l'arrivée d'un message retentit.
A l’exception des circulaires du bureau, je ne recevais jamais de message.
J'ouvris le mail et vis une photo de moi de pied en cap suçant la grosse bite noire du concierge la veille au soir.
Je jetais rapidement un coup d’œil circulaire pour m'assurer que j'étais seule puis je fis un scroll pour vérifier si un texte accompagnait la photo.
Je découvrais deux autres photos, sur la dernière j'avais les lèvres couvertes de semence, et je me pourléchais les babines.
J'atteins alors le texte. On m'ordonnait de me rendre dans la salle de conférence à 10 heures.
Je venais tout juste de refermer le mail lorsque monsieur Jefferson entra dans mon bureau, il m'intima de me lever et inspecta ma tenue.
Il fronça les sourcils puis il tendit la main et m'enleva ma veste, puis il me signe de tourner sur moi-même.
Je me tournais lentement consciente que les flancs de mes nichons étaient largement exposés. Lorsque je me retrouvais de nouveau fac à lui il me rendit ma veste m'ordonnant de ne pas la remettre sur mon dos.
Puis il retroussa ma robe détailla ma chatoune et sourit :
- Ravissant... S'exclama-t-il enthousiaste.
- Jamais je n'ai autant aimé mon boulot qu'en ce moment !
Comme c'est bizarre, pensais-je ironiquement, quant à moi, je n'ai jamais autant haï mon boulot qu'en ce moment !
Il me quitta bientôt et je repris à mon boulot. Je me jetais dessus à corps perdu m'efforçant de ne pas penser à mon rendez-vous de dix heures dans la salle de conférence.
Je jetais un oeil sur ma montre et constatais qu'il me restait deux minutes pour m'y rendre, c'était à l'autre bout de l'immeuble, mais par chance au même étage, j'y étais à 10 heures juste. Je frappais à la porte, une voix sourde me pria d'entrer.
J'entrais et retrouvais monsieur Jefferson, monsieur Taylor et deux jeunes gars du service du courrier.
Monsieur Taylor m'enjoignit de verrouiller la porte dans mon dos et m'expliqua :
- Je crois que tu as déjà rencontré Jimmy et Dan, n'est ce pas Donna ?
Je hochais affirmativement la tête avec découragement.
- Je t'ai invité à nous rejoindre parce que les photos que j'ai prises hier ne sont pas excellentes, aussi ai-je envie d'en reprendre plusieurs avec un bon appareil ! Je pense qu'elles seront d'autant plus excitantes si tu poses avec des partenaires, c'est alors que j'ai repensé à l'équipe du courrier... Ils méritent vraiment une augmentation, mais comme je ne peux la leur accorder, je me suis dit qu'à la place je leur permettrais de te baiser aujourd'hui et chaque fois qu'ils en auront envie, tant que leur boulot me donnera satisfaction ! Aujourd'hui tu vas poser avec eux tandis qu'ils te baiseront à couilles rabattues... Et désormais, lorsqu'ils auront du temps libre, ils pourront t'appeler de leur bureau et tu viendras dissiper leur stress !
Il se tourna vers Jimmy et Dan, ils semblaient de jeunes gens bien comme il faut.
Ils sortaient probablement du lycée et touchaient de bas salaires, ils devaient tous deux avoir moins de 20 ans.
Il leur dit :
- Les gars elle est toute à vous, prenez votre temps et amusez-vous bien ! Faite seulement bien attention de ne pas déchirer ses vêtements ! Elle doit être capable de travailler le reste de la journée !
Les deux jeunes hommes rivèrent leur regard sur moi alors que monsieur Jefferson et monsieur Taylor commençaient à prendre des photos.
Soudain ils ne me semblaient plus si jeunes que ça.
L'excitation leur donnait des expressions de prédateurs.
Ils s'approchèrent de moi et me bousculèrent pour me déshabiller pour palper au plus vite mes formes.
Je ne sais pas s'ils avaient reçu des consignes, mais ils étaient particulièrement brutaux et visiblement ils prenaient plaisir à me rudoyer.
Je pleurais et sanglotais rapidement exprimant ma douleur et mon humiliation alors qu'ils trituraient mes nichons, en pinçant la chair tendre, l'un d'eux me souleva même sur la pointe des pieds en me tirant par les tétons.
Ils se déshabillèrent tout à tour, l'un me maltraitant tandis que l'autre se dévêtait.
Puis ils me poussèrent sur le dos sur la table de conférence, l'un d'eux se pencha sur moi et se mit à me mordiller les mamelons me faisant hurler de douleur.
L'autre me releva les jambes et entreprit de me bouffer la chatte, il me butina la fente pendant un bon moment puis il titilla mon trou du cul de la pointe de la langue, il plongea sa langue dans ma grotte resserrée puis recula la tête et cracha sur le petit oeillet ridelé.
Il se redressa alors m'attira sur le rebord de la table et entreprit de bourrer sa mentule dans mon trou du cul affolé.
Cela ma faisait diantrement mal, la salive ne remplace pas le lubrifiant, et je n'étais absolument pas préparée à me faire enculer.
Je n'étais pas vierge du trou du cul, loin de là et j'avais l'habitude de me faire maltraiter par des hommes.
Bientôt il coulissait brutalement dans mon boyau asservi alors que son copain continuait à torturer mes nibards.
J'étais parfaitement consciente que mes deux patrons me filmaient constamment, tandis en plans américains tantôt en plans rapprochés.
C'était horrible.
Celui qui m'enculait prenait tout son temps alors que l'autre fatigué de maltraiter mes nichons attira ma tête sur le rebord de la table, je dus tourner la tête vers lui et j'embouchais sa bite raidie.
Il était brutal mais sa bite n'était ni très grosse, ni très longue. Il ne se satisfaisait pas de me violer la bouche, ses coups de bite s'avéraient de plus en plus violents.
Le premier éjacula rapidement au fin fond de son trou du cul et ils changèrent rapidement de position.
Je suçais le premier minutieusement pour lui nettoyer la bite alors que son ami me bourrait le trou du cul.
Par chance mes précédentes caresses buccales l'avaient fortement émoustillé et il ne tarda pas à jouir, en se vidant les couilles, il tendit la main et agrippa fermement mes tétons les malmenant rudement, je hurlais de douleur, mais l'épaisse bite qui me bâillonnait étouffait largement mes cris.
Je nettoyais cette nouvelle mentule, puis il leur fut ordonné de nous abandonner.
J’étais roulée en boule sur la table sanglotant hystériquement, mais il ne fallait pas que j'escompte apitoyer ces deux pervers.
C'est alors que je les entendis déboucler leurs ceintures, monsieur Taylor se plaça en bout de table, je voulus me redresser mais il m'intima de rester roulée en boule.
Il m'attira sur le rebord de la table puis il releva une de mes jambes se ménageant un accès des plus aisés à ma foufoune, il plongea sa grosse mentule dans ma chatoune asservie puis relâcha ma jambe.
Il enjoignit alors à monsieur Jefferson d'utiliser sa caméra pour le photographier me baisant à couilles rabattues.
Ils m'ordonnèrent de sourire à la caméra, mais mon visage n'affichait que de tristes grimaces au travers des larmes qui noyaient mes yeux, je suspectais fort que cela ne faisait que renforcer leur excitation, le fait de regarder les deux jeunes gars me travailler avaient visiblement ouvert leurs appétits de stupre.
Finalement monsieur Taylor me remplit la chatte de sa semence, une fois que j'eus sucé sa bite pour la nettoyer, il se redressa et se rhabilla.
Puis il saisit la caméra de monsieur Jefferson et commença à prendre quelques photos souvenirs.
Je gisais étalée sur la table, toujours roulée en boule attendant la suite.
J'avais perdu la notion du temps, mais il ne dut pas se passer beaucoup de temps avant que monsieur Jefferson, à son tour ne se vide les couilles dans ma chatoune engorgée de foutre, je dus, à son tour, nettoyer sa bite, puis ils m'installèrent sur le dos et prirent de nombreux clichés de mon trou du cul et de ma chatoune débordant tous deux de foutre.
Puis ils me laissèrent enfin retourner à mon travail. Il était maintenant l'heure du repas, ils m'avertirent qu'au vu du temps que j'avais perdu ce matin, je devrais travailler pendant cette période pour rattraper le travail perdu.
Cela me convenait parfaitement, je ne voulais surtout pas disposer de temps libre pendant lequel je remâcherais mes épreuves, je me rendis aux toilettes et me nettoyais de mon mieux.
Je travaillais tout le reste de la journée, priant pour que le téléphone ne sonne pas à nouveau.
J'étais éreintée.
A quatre heures je fonçais jusqu'à ma voiture, je l'appréciais comme jamais je ne l'avais appréciée jusqu'ici.
Une journée de bus avait suffi à me faire aimer ma vieille voiture.
Je rentrais chez moi à l'heure normale, pris une douche rapide et me rhabillais lorsque le téléphone sonna.
C'était Dave, il me prévint qu'il devait travailler tard, il ne rentrerait pas avant 20 ou 21 heures.
Nous avons discuté quelques minutes nous assurant l'un l'autre de notre amour réciproque.
Puis j'appelais Anne, je lui expliquais que Dave devait rentrer tardivement et lui demandais ce que je devais faire.
L'idée d'aller chez elle seule me terrifiait, même si je trouvais qu'il était préférable qu'il ne soit pas là à assister à mon asservissement.
Je haïssais encore plus les voir le soumettre à des choses horribles qu'à les subir.
Je me mis nue puis quittais la maison et me rendais chez Anne. Il faisait encore clair et je vis une paire de jeunes gens qui descendait la contre-allée se figer ébahis à ma vue, yeux rivés sur mes charmes.
Je sonnais à la porte d'Anne et attendis un long moment alors que les deux jeunes gars se rapprochaient de moi.
Postés face à moi ils détaillaient mes charmes avec concupiscence.
Enfin Anne ouvrit la porte, et, au lieu de me faire entrer, elle m'ordonna de tourner sur moi-même pour exposer tous mes charmes sous les yeux de mes deux jeunes admirateurs.
Je soupirais profondément, pris une profonde respiration et me tournais lentement. Il mes contemplèrent un bon moment les yeux écarquillés avant de reculer d'un pas, Anne les invita alors à entrer.
Ils se regardèrent effarés, comme s'il s'agissait d'un piège, mais la chance de se retrouver tout prêt d'une femme nue était d'un attrait irrésistible.
Ils s'approchèrent lentement de moi et se postèrent dans le porche d'entrée les yeux rivés sur mes appas.
Anne leur demanda s'ils avaient des copains qui aimeraient gagner un peu d'argent en tondant les pelouses.
Ils se regardèrent l'un l'autre et l'un d'eux rapidement :
- Oui madame, nous, nous aimerions nous faite un peu d'argent de poche ?
Anne sourit devant tant d'enthousiasme et ajouta :
- C'est ma voisine Donna, elle a besoin que quelqu'un vienne couper sa pelouse samedi... Je crois que vous adorerez travailler chez elle, elle se promène tout le tant toute nue dans sa maison, et même si vous le désirez, elle pourra vous donner une petite leçon d'éducation sexuelle tant que vous serez là ! Elle m'a déjà dit que les jeunes gars de 18 ans l'excitaient au plus haut point n'est ce pas Donna ?
Je jetais les yeux sur les deux gars, ils étaient tout jeunes, à peine 18 ans, bien que cela me fasse rougir, je ne pus qu'agréer un faible "oui madame ".
L'un des deux jeta un oeil vers Anne et intervint :
- C'est une blague ! C'est pour nous allumer !
Anne jura qu'elle ne disait que la vérité et sur ces mots elle lui saisit la main et approcha son doigt de ma chatte.
Si cela n'avait pas été aussi ignoble, cela m'aurait franchement amusé, il tendit lentement son doigt avec autant de précautions que s'il s'apprêtait à le plonger dans un brasier.
J'écartais un peu les cuisses, il promena son doigt dans ma fentine.
Il continua un bon moment à parcourir ma foufoune d'un doigt tremblant lorsque soudain son ami le repoussa intervenant :
- Laisse moi la tester à mon tour !
Il explora ma chatte à son tour pendant un bon moment, lorsque soudainement Anne intervint :
- Ca va les gars, vous pourrez jouer avec ses charmes autant que vous le voudrez, samedi ! Nous devons rentrer maintenant, mon mari attend la visite de Donna ! On se reverra Samedi !
Ils reprirent leur chemin échangeant leurs impressions. Je levais les yeux et vis Roy qui nous avait filmé au travers de la fenêtre. Merde, comme s'il ne disposait pas déjà d'assez de films d'elle ! Mais en fait cela ne changeait rien à sa situation, cela ne servirait sûrement pas à la faire chanter, mais plus sûrement à l'humilier, à lui démontrer qu'ils avaient tous pouvoirs sur elle.
En fait cela ne ferait que deux personnes de plus à venir chez moi profiter largement et en toute liberté de mes appas.
Déjà que mes prestations au boulot devenaient insupportables !
Je me refusais à dire à Anne et Roy à quel point j'étais malheureuse, ils auraient sûrement trouvé un biais pour encore accroître mon désespoir.
Je suivis Anne à l'intérieur, elle me conduisit dans leur arrière-cour.
Ils avaient eux aussi une belle piscine, elle plus grande et plus originale que la notre, il y avait même une petite chute d'eau à l'un des bouts, et des bassins d'eau chaude.
Je regardais peureusement alors que je pénétrais dans l'aire de la piscine, je me demandais combien de personnes me violenteraient ce soir, je ne vis personne.
Ils me donnèrent mon verre de cette drogue amère que je bus prestement.
Puis je les regardais tous deux se déshabiller, j'étais assise sur une chaise au centre d'une bâche posée sur la pelouse.
Lorsqu'Anne se fut assise, elle m'ordonna de leur raconter ma journée au travail, ils n'eurent pas à me poser de nombreuses questions cette fois, je savais ce qu'ils voulaient entendre.
Lorsque je leur eus tout raconté de cette journée alors que Roy me baisait paresseusement, Anne ouvrit ses cuisses et m'intima de venir lui bouffer le gazon.
Pendant que je lui butinais la fentine Roy continuait à me fourrer de longs et profonds coups de bite.
Anne jouit deux fois sous mes caresses labiales avant que Roy ne gicle dans ma chatoune.
Mais une fois qu'il se fut vidé les couilles il resta imbriqué en moi et je continuais à déguster la chagatte d'Anne jusqu'à ce qu'elle en eut assez elle se releva et repoussa la chaise au loin se dirigea vers la table et empoigna à nouveau la caméra digitale.
Elle se posta face à moi et m'enjoignit de la regarder et de continuer à la regarder quoi qu'il arrive.
Je ne savais pas ce qu'il allait m'arriver mais j'avais compris qu'ils avaient quelque chose en tête.
Au début je ne compris pas ce qui se passait, je sentais bien quelque chose de particulier, mais il se passa une bonne trentaine de secondes avant que je comprenne que Roy urinait dans ma chagatte.
Je hurlais et cherchais à le repousser mais il me gifla et m'ordonna de cesser de me débattre.
Anne continuait à filmer mon visage alors la pisse dégorgeait de ma foufoune s'écoulant sur mes cuisses, pour tomber sur la bâche sous moi.
Je pleurais longtemps après qu'il eut terminé de se servir de moi comme d'un urinoir, il se releva alors me contourna et resta les yeux braqués sur moi pendant quelques secondes, puis, tandis qu'Anne me contournait pour trouver une bonne chute, Roy s'approcha et m'ordonna de nettoyer de la langue sa bite, ses couilles et ses cuisses.
Je ne me voyais pas faire, je sanglotais hystériquement tout le temps que cette épreuve dura.
Anne reposa enfin la caméra puis elle se pencha sur moi et me susurra :
- La prochaine fois il te pissera dans la bouche ma chérie !
Je dus alors m'étendre sur la bâche couverte d'urine, elle était déjà refroidie.
Ca puait, de plus cela me rappelait clairement ce que je venais d'endurer, ils m'ignoraient, s'assirent dans le patio et sirotèrent un verre avant que Roy n'aille prendre une rapide douche.
C’est alors que survint Dave, il me jeta un oeil angoissé, comme révulsé par mon apparence abjecte.
Il but le grand verre d'eau de drogue qui l’attendait. Puis il revint vers moi et pissa sur tout mon corps.
Une fois qu'il en eut terminé, ils m'avertirent que je pouvais rentrer chez moi.
Anne avait filmé toute la séquence ou Dave m'urinait dessus, inondant mes cheveux, mon visage, mes nichons, mon pubis de sa sale pisse. jusqu'à l'instant ou le flot se tarit et qu'un seul filet jaunâtre s'écoula lentement de son méat.
Je dus ensuite m'asseoir au centre de la bâche, et ils ordonnèrent alors à Dave de s'approcher et de me rouler une pelle.
Elle arrêta alors la caméra, et m'ordonna d'emmener la bâche chez moi pour la nettoyer et la ramener propre le lendemain.
Je la pliais rapidement et Dave l'empoigna pour l'emmener. Il la jeta dans la cabine de douche et la savonna rapidement.
Nous l'avons ensuite rincée et pendu au-dessus du rideau de la cabine de douche des invités.
Ils m'avaient enjoint de raconter à Dave comment s'était passée ma journée en détail.
Nous avons pris une douche rapide puis nous sous sommes couchés et il me prit dans ses bras tandis que je lui racontais tout ce qui m'était arrivé au cours de cette maudite journée.
Je soupçonnais maintenant que notre maison était équipée de micros qui leur permettaient de nous surveiller jour et nuit peut-être pas de caméras vidéos, mais tout au moins de micros espions, aussi suivais-je scrupuleusement leurs consignes.
Cela me prit une bonne demi-heure pour tout raconter de ma journée à Dave, jusqu'au fait que deux jeunes gens allaient venir tondre la pelouse samedi et qu'ils pourraient profiter à leur guise de mes charmes alors que je continuerai à évoluer entièrement nue dans notre maison.
J'avais pris la bite de Dave en main tandis que je lui racontais ma journée, tandis que je narrais mes aventures je sentais sa bite grossir entre mes doigts au fur et à mesure que mon récit avançait.
Je réalisais que mon rapport l'excitait grandement, cela me convenait parfaitement car moi aussi je sentais mon émoi grandir, et je savais maintenant que je n'étais pas la seule à ressentir ces effets.
Lorsque je terminais mon récit, je me penchais sur lui et le suçais tendrement, une de ces fellations auxquelles j'avais été tant entraînée ces quatre derniers jours.
- Mon Dieu... Pensais-je soudain
- Cela ne faisait que quatre jours !
24 avril 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 5
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 5 : suite des aventures de nos héros
Le lendemain nous nous sommes levés comme à l'ordinaire et on déjeuna comme d'habitude en début de week-end d'un bol de céréales.
Comme d'ordinaire Dave partit travailler et je me rappelais soudain que je n'avais pas fait mon lavage hebdomadaire la nuit dernière.
Je paniquais, je cherchais désespérément quelque chose de sexy à enfiler.
J'étais désespérée en dernière ressource j'empoignais ma petite robe noire favorite et ma trousse de couture, et aussi vite que je le pus je la raccourcissais la transformant rapidement en mini-robe.
Je l'essayais rapidement et me rendis immédiatement compte que j'aurai pu être plus mesurée, elle était extrêmement courte.
Je grimpais sur un tabouret et me regardais dans le miroir, il m'apparut tout de suite que ma chatoune restait couverte tant que je ne bougeais pas d'un poil.
Je jetais un oeil sur l'horloge.
Je n'avais pas le choix.
Je devais sortir.
Je ne pouvais attendre plus longtemps.
J'empoignais mon sac et me ruais dehors, je tombais immédiatement sur Anne.
Elle me souriait gentiment et me dit :
- Quelle belle journée, je crois que tu apprécieras de faire à nouveau le trajet en bus aujourd'hui !
Je la regardais égarée, j'aurai voulu désespérément la supplier de se montrer raisonnable, mais je savais pertinemment que ce serait en vain.
Alors que je m'éloignais elle me jeta :
- Il y a un peu de vent aujourd'hui, mais ne te tracasse pas pour si peu, je t'interdis, quelques soient les circonstances, de maintenir ta robe en place ou de chercher à l'empêcher de se relever ! Passe une bonne journée ma petite chérie !
Je m'étais figée quelques secondes le temps de digérer ses dernières consignes., elle me critiqua :
- Tu ferai mieux de te magner le cul stupide salope ! Tu vas rester un bon moment en plein vent si tu rates ton bus...
Je réalisais qu'elle disait vrai et me précipitais vers l'arrêt de bus au bout de la rue, j'y arrivais en même temps que l'autocar.
Je faisais la queue avec deux hommes, mais celui qui était posté en face de moi prit conscience de ma tenue, galamment il me fit signe de le précéder pour monter dans le bus.
Je savais pertinemment qu'il allait reluquer mon cul lorsque je grimperais les marches d'accès au bus.
Je payais mon ticket et me dirigeais vers une place vide.
Je pensais que cela se passerait bien cette fois et m'assis sur de façon à ce que personne ne puisse s'asseoir à mes cotés.
Mais l'homme qui avait maté mon cul n'entendait pas se faire avoir aussi facilement. Il se posta à coté de moi et me demanda de me glisser sur le siège, bien sur, je m'exécutais docilement.
Je glissais de coté, exposant largement ma chagatte.
Du fait des dernières instructions d'Anne alors que je quittais la maison il m'était interdit de repousser ma jupe sur ma chatoune à l'air libre.
L'homme, un vieil homme un soixantenaire écarquillait les yeux à la vue de ma foufoune, puis il me sourit prenant mon manque de réaction pour une invitation évidente à me mignoter, il plaça alors sa main droite sur ma cuisse dénudée.
Sa main escaladait ma cuisse, le bus venait de stopper, une paire d'hommes et une femme montèrent.
Ils payèrent leurs tickets et se dirigèrent vers le fond où se trouvaient les fauteuils libres.
Le dernier homme à être monté allait nous dépasser lorsqu'il vit ma foufoune exposée à l'air libre, il s'arrêta subitement.
Il se figea et regarda fixement le vieillard qui malaxait ma chatoune avant d'insérer un doigt inquisiteur dans ma fentine, visiblement ma gêne le réjouissait, il sentait confusément que je lui permettais de telles privautés alors que je ne désirais pas une telle attention.
Mais pour l'instant il se contentait de profiter de cette chance qui lui échoyait, il me molestait sous les yeux d'un assistant ravi d'une telle aubaine, il me caressa ainsi sans vergogne jusqu'à l'arrêt du bus, je me levais pour changer de bus, les deux hommes en firent autant et me suivirent de loin.
Je me tenais à l'arrêt de bus, ma fine jupe flottant au vent exposant ma chatte et mon cul aux yeux des badauds enthousiastes.
Mon bus arriva enfin, je dus rester debout, toutes les places assises étant prises.
Je pensais que cela pouvait être un avantage.
J'étais hors de portée des hommes de l'autre bus.
J'en oubliais les gens assis à mes cotés.
J'étais debout à coté de deux jeunes gens dans les vingt ans qui braquaient des yeux concupiscents sur mes longues jambes.
L'homme qui avait malmené ma chatoune dans le premier bus se serra dans mon dos et releva lentement ma jupe.
Tout en relevant ma jupe il me tourna me disposant le cul juste face aux deux jeunes gars assis à coté de moi.
Lorsque ma croupe se retrouva entièrement exposée, il tendit la main et me pétrit fermement une fesse, de la jambe il me forçait à écarter les cuisses en grand.
Je n'osais pas regarder les deux jeunes gaillards assis à coté de moi, mais je savais que je retenais leur attention.
Je sentis la différence de toucher lorsqu'ils se mirent à explorer mes charmes culiers et ma chatoune, prenant chacun leur tour se montrant de plus en plus rudes.
Mais le pire ce fut quand j'entendis les deux femmes dans les fauteuils derrière moi détaillant tranquillement mes charmes, elles observaient attentivement ce qu'ils me faisaient.
Et encore n'était-ce pas vraiment le pire.
Le pire arriva lorsque je dus mordre mes lèvres pour me retenir de crier alors qu'un orgasme d'une intensité rare me dévastait.
Nous sommes enfin arrivés à mon arrêt, et grâce à la foule des gens se pressant les uns contre les autres, personne ne vit à quel point mes charmes étaient exhibés avant que ma jupe ne retombe sur mes cuisses.
Je me précipitais jusqu'à mon bureau, ignorant ma jupe qui volait au gré de ma course, j'avais une minute de retard.
J'étais si déçue que j'en aurai pleuré, ou bien était ce du fait de mon épreuve dans le bus ?
Apparemment la direction était nerveuse aujourd'hui, monsieur Jefferson vint dans mon bureau vers 10 heures, sortit sa bite de son caleçon et se fit tailler une pipe.
Le fait de sentir tous ces employés tourner autour de mon bureau devaient l'exciter car il éjacula rapidement.
Puis je suis restée seule jusque 15 heures, c'est à cette heure que je reçus un mail émanant des deux jeunes gérant la messagerie, m'ordonnant de les rejoindre.
Je pris l'ascenseur pour descendre au sous-sol qui semblait le bon endroit pour abriter ces animaux. Je frappais à la porte de leur antre.
Un panneau s'affichait sur la porte portant la mention "seuls les employés de la messagerie sont autorisés à franchir cette porte"
L’un des deux ouvrit la porte, je ne savais pas toujours pas lequel était Jimmy, et lequel Dan, mais cela importait peu en fait.
Il me fit entrer et referma la porte dans mon dos, ils m'ordonnèrent alors de me foutre à poil.
J'enlevais immédiatement ma petite robe noire.
Je la jetais sur une chaise proche et attendis que les abus commencent.
Ils sortirent tous deux des caméras digitales et me firent prendre des poses obscènes.
- Doux Jésus... Pensais-je résigné:
- Ils vont tous disposer de photos de moi nue !Jésus
J'assumais toutes les poses que leurs pervers esprits me réclamaient.
Celui qui avait traité si rudement mes nibards hier jeta ses sous-vêtements au sol et enfourna sa bite dans ma bouche asservie.
Puis, alors que son copain continuait à prendre cliché sur cliché il me tira les mains derrière la tête et les lia avec une ceinture.
Puis il me repoussa sur le dos en appui sur mes bras il me fit mal, je criais dans mon baillon, ce qui les fit rire.
Il me retourna, je ne savais pas ce dont il s'était servi pour me torturer.
Le petit bâtard me maintint allongé sur le dos et empoigna une règle de bois et commença à me frapper sur les nichons.
Je hurlais et me débattais pour lui échapper, mais il me clouait bien au sol et il me frappa jusqu'à ce que mes nichons soient tout rouges, brûlants et couverts de bleus.
Je pense que je m'étais évanouie, parce que la seule chose dont je me rappelle ensuite c'est qu'il me giflait violemment en plein visage alors qu'il me baisait brutalement en chatte.
Il en avait terminé avec ses brutaux préliminaires bien que j'étais dans les vapes.
Peu après que je soie revenue à moi il éjacula en moi tout en continuant à me gifler avec brutalité.
Il me jeta au sol pour que je lui nettoie la bite de la langue, puis il reprit sa ceinture et me refila à son copain.
Dieu merci son pote n'était pas aussi brutal que lui, il me disposa à plat dos sur le bureau, tournée vers lui et releva mes jambes exposant mon trou du cul.
Il me baisa en chatte pendant une bonne minute, puis il se retira et enfourna sa bite dans mon trou du cul.
Sa mentule n'était pas très grosse, et mes nichons me faisaient si mal que je n'y prêtais que peu d'attention.
Il jouit rapidement, et une fois que j'eus nettoyé sa bite il me rendit ma petite robe et m'e laissa retourner à mon bureau.
Il était 15 heures trente lorsque je rentrais dans mon bureau, il me semblait pourtant que mon épreuve avait duré bien plus longtemps que cela !
Je m'assis à mon bureau pendant une bonne minute, cherchant à récupérer mon souffle, puis je repris mon travail.
Je me préparais à quitter le bureau à quatre heures lorsque monsieur Jefferson s'approcha de moi.
Im me demanda ce qui s'était passé dans la messagerie, et lorsque je le lui eus raconté, il remonta mon chemisier dénudant mes miches qu'il observa attentivement, je m'attendais à ce qu'il me montre un peu de pitié. Je n'étais vraiment qu'une petite salope stupide. Il sourit et empoigna mes miches et les serra jusqu'à ce je tombe à genoux.
Je m'efforçais de ne pas crier pour ne pas attirer l'attention, c'était exactement la seule chose à ne pas faire, il baissa les yeux sur moi et secoua la tête en signe de dégoût en me disant :
- Rentre chez toi stupide salope !
J'empoignais mon sac gagnais rapidement mon arrêt de bus. Je me tenais dans la foule attendant que mon bus arrive.
Au début la foule me protégea de la brise qui était plus forte dans les rues de la cité qu'en banlieue.
Mais, alors que les gens se précipitaient pour monter dans le bus, je me retrouvais moins protégée du vent exposant mes charmes à un public ravi.
Un homme s'approcha de moi et me dit :
- Hello petite pute !
Bien que je ne vis pas son visage, je reconnus ses chaussures, c'était l'homme qui avait rendu ma promenade matinale si déplaisante, à l'exception de l'orgasme qui m'avait foudroyé à la fin du voyage.
Je soupirais :
- Hello. En retour et me figeais attendant que les abus reprennent.
J'espérais seulement qu'il attende le temps qu'on monte dans le bus afin que la ville entière ne soit pas témoin de ma dégradation.
Il n'attendit pas se montra assez discret alors qu'il me caressait énergiquement les fesses au travers de ma jupe alors qu'on attendait le bus.
Je savais que les gens qui se trouvaient à nos cotés étaient conscients qu'il caressait rudement mes charmes, mais j'étais incapable de me défendre.
Enfin mon bus arriva j'attrapais la barre et grimpais dans le bus, mon tourmenteur ne se satisfaisait pas de cela, il empoigna mon bras et tira vers le fond du bus, il me poussa sur la banquette arrière à coté de trois passagers qui m'ignorèrent tout au moins au début.
Cependant ils remarquèrent toutefois que je ne portais pas de culotte, lorsqu'il me repoussa sur le siège exposant entièrement ma chatoune.
Il me maintint dans cette position pendant quelques minutes partageant la vue de ma toison dorée avec mes voisins.
Mais il ne s'en satisfa pas longtemps. Je sentis qu'il descendait lentement la fermeture éclair dorsale de ma robe, je mordais mes lèvres en secouant la tête, le suppliant des yeux de cesser son manège.
Un des hommes à côté de moi toussa je levaisles yeux et le vit ouvrir de grands yeux écarquillés.
Le plus proche tendit la main et la posa sur ma cuisse.
Comme je n'opposais aucune résistance il la glissa vers ma chatoune et joua avec ma foufoune alors qu'il regardait mon agresseur descendre lentement le devant de ma robe dénudant lentement mes miches qui étaient rouge vif, enflammées.
Choqués ils regardaient tous quatre mes chairs contusionnées, puis l'homme sur lequel j'étais assise m'attira contre son torse et referma la fermeture à l'instant même où l'on arrivait à mon arrêt.
Nous avons forcé notre passage dans la foule et avons attendu notre prochain bus.
Il n'y avait pas grand monde autour de nous, il m'éloigna des gens qui attendaient, j'attendais qu'il recommence à me tourmenter.
Il me demanda alors ce qui m'était arrivé, c'était surtout pour s'en amuser, pas vraiment pour me torturer et abuser de moi.
J'aurai pu tout lui dire, mais je ne le pouvais pas, cela aurait pu être considéré comme un appel à l'aide aussi ne pouvais-je rien lui raconter.
Je le regardais des larmes pleins les yeux et lui confiais :
- Je suis désolée, j'aimerai pouvoir vous raconter mes ennuis, mais je ne le peux pas ! Même si je le désire profondément, je ne le peux pas !
Il était visible à son attitude qu'il crut que j'étais trop effrayée pour pouvoir lui confier mes problèmes.
Notre bus arriva et nous nous dirigeâmes vers l'arrêt suivant.
Je descendis et me pressais de retourner chez moi, j'étais consciente qu'il me suivait. Je ne pouvais qu'espérer que qu'il en sortirait quelque chose de bien. Peut-être bien qu'il préviendrait les flics et qu'il nous sauverait de l'emprise de nos voisins.
Je me précipitais dans notre chambre et me déshabillais, je pris une douche rapide et chargea la machine à laver, je voulais aller acheter des tenues encore plus audacieuses dès que possible, il ne me restait pas grand temps pour laver mes tenues provocantes à répétition.
Une fois la machine à laver mise en route, je préparais le souper, Dieu merci Dave rentra à la maison en temps normal.
Il fit la grimace en voyant mes miches maltraitées, mais je posais un doigt sur ses lèvres, et on évita d'évoquer ce sujet.
Nous avons mangé calmement, on craignait déjà notre future visite chez nos voisins.
Lorsque nous eûmes terminé notre repas, je nettoyais la cuisine et Dave sortit la bâche qui avait servi la nuit dernière et on la replia dans la salle de séjour.
J'étais déjà nue, il se déshabilla rapidement et nous avons regardé dehors.
Ne voyant personne se promener, nous nous sommes dirigés aussi rapidement que possible sans pour autant donner l'impression que nous courions, vers la porte de nos voisins et nous avons sonné.
Après l'habituelle attente ils nous firent entrer.
Ils nous tendirent notre verre de drogue que l'on vida rapidement, encore un et l'effet serait permanent.
Nous n'étions pas seuls ce soir, une demi-douzaine d'hommes nous attendaient, je ne les reconnus pas, mais cela ne voulait rien dire.
J'avais été baisée par plus de 80 hommes depuis dimanche et ne pouvais pas tous les reconnaître !
Nous avons du nous agenouiller de chaque coté de la table base du salon puis de nous pencher dessus.
Ce faisant nos têtes se touchaient, nous nous regardions yeux dans les yeux, partageant nos craintes et nos tourments, notre dégradation.
Nous ne devions pas bouger, deux hommes se positionnèrent dans nos dos, nous écartèrent les fesses et nous enculèrent vigoureusement.
Tandis qu'ils nous enculaient, je dus raconter, en détails, les événements de la journée.
Ils étaient particulièrement impatients de connaître la raison de ces marques de maltraitance sur mes nichons.
Je commençais par raconter mon état de panique lorsque j'avais réalisé que je n'avais rien d'approprié à enfiler. Je décris alors ma précipitation pour me préparer une tenue provocante et mon erreur dans la découpe du bas de ma robe, je l'avais coupée trop courte de 5 centimètres.
Je leur parlais de l'intervention d'Anne me suggérant de prendre le bus ce matin, je leur narrais alors les agissements de ce salopard qui m'avait suivi dans le bus.
J'abordais ensuite les événements survenus dans le second bus comment j'avais été exhibée sous les yeux de deux jeunes gars qui m'avaient pelotée pendant le reste du trajet. Cependant je taisais le puissant orgasme qui m'avait terrassé sous leurs caresses habiles.
Puis je racontais ma journée de travail, détaillant mon séjour dans la salle de messagerie. Puis je revenais à mon retour en bus jusqu'à évoquer le dilemme du à ma situation.
Le temps que je finisse de raconter es aventures, mon mari et moi avions déjà étés enculés par trois hommes.
Ils se reposèrent alors en regardant la vidéo tournée par Anne la nuit dernière.
Ils la lui firent rembobiner voulant revoir la séquence pendant laquelle Roy puis Dave m'avaient arrosé de pisse.
Ils regardèrent ce passage à plusieurs reprises avant de retrouver leur vigueur les trois qui m'avaient enculée faisaient maintenant la queue pour sodomiser mon mari, alors que les trois qui l'avaient enculé se préparaient à me casser le cul à leur tour.
Cela prit plus longtemps cette fois, bien plus longtemps !
Lorsque les six invités en eurent finis avec nous, Roy nous disposa cote sur la table et entreprit de nous enculer.
Il me bourrait de trois quatre cous de bite, puis enculait Dave.
Il alla ainsi entre nous deux à plusieurs reprises.
Puis il eut une meilleure idée, il attira l'agenouilloir et nous disposa de part et d'autre face à face.
Puis il entreprit d'enculer l'un de nous pendant une minute puis il contournait l'agenouilloir et procédait de même avec l'autre.
Il faisait des commentaires graveleux à l'usage des spectateurs, il disait que cela aurait été encore meilleur si l'on avait été lié sur une roue qu'il aurait fait tourner toutes les minutes ce qui lui aurait évité de se déplacer. Finalement il jouit dans mes intestins et se fit nettoyer la bite par Dave.
Puis je dus nettoyer le trou du cul de Dave avec ma langue et Dave fit de même avec mon anus.
Anne ne s'occupa de nous avant le départ de leurs 6 invités.
Elle aimait regarder, et elle aimait user et abuser de nos charmes, mais apparemment cela la gênait de se dénuder devant ces six hommes crépus.
Cela me surprenait après sa façon de se comporter de ces derniers jours, je suppose que tout simplement elle n'en avait pas envie à cet instant.
Lorsque Les six hommes partirent, Anne se dévêtit et Dave lui bouffa le gazon tandis que je suçais et mignotais ses tétons.
Enfin ils nous permirent de retourner chez nous.
Tandis que nous traversions l'arrière cour, je murmurais à Dave qu'ils nous entendaient lorsqu'on parlait dans la maison et que peut-être même qu'ils nous voyaient. J'étais certain qu'Anne m'avait fait prendre le bus ce matin même parce qu'elle avait constaté à quel point ma robe était courte.
Dave hocha la tête affirmativement, il ne semblait pas outre mesure surpris.
Nous sommes rentrés chez nous et je criais en voyant quelqu'un assis dans notre salon obscur.
Dave alluma la lumière, et je vis qu'il s'agissait de monsieur Taylor.
- Que faites-vous ici ? Criais-je
Il me sourit calmement et me coupa :
- Ferme la salope... Je t'ai ratée au boulot... J'ai du m'absenter pour honorer des rendez-vous hors de la ville... J'ai décidé que j'arrêterai chez toi en rentrant pour me faire ton jeune cul !
Il me parlait à moi, mais c'est Dave qu'il regardait.
Il comprit que Dave, comme il avait suspecté, était incapable de s'opposer à ce qu'il voudrait faire de moi.
Il se leva et m'ordonna de l'aider à se déshabiller.
Je soupirais résignée et m'approchais de lui commençant alors à le dévêtir. Il avait pas mal bu, il puait l'alcool.
Lorsqu'il fut nu il enjoignit à mon mari de prendre ses vêtements et m'ordonna de l'emmener dans notre chambre.
Il s'étendit sur le grand lit conjugal et m'intima de lui sucer la bite pendant quelques minutes.
Il semblait prendre énormément de plaisir à se faire tailler une pipe sous les yeux de mon mari sachant que nous étions obligés de participer contre notre volonté.
Je le suçais comme j'avais maintenant appris à le faire, avec une certaine compétence sinon de l’enthousiasme.
Après quelques minutes il repoussa ma bouche et m'attira sur le lit. Il s'allongea sur moi et ordonna à Dave de guider son chibre dans ma chatoune accueillante, et il entreprit de me marteler profondément sur un rythme soutenu.
Cela ne dura pas très longtemps. Il jouit rapidement, projetant une décharge crèmeuse de plus dans mon utérus profané.
Puis il s'écroula sur moi et y resta quelques minutes sa queue se ramollit en moi.
Il se retira finalement et ordonna à Dave de lui sucer la bite pour la nettoyer. Tandis qu'il se rhabillait, il me demanda ce qui était arrivé à mes nibards, je lui confiais mon épreuve.
Il rit et me dit :
- Bordel ces jeunes ont plus d'imagination que je le pensais ! Ils pourraient bien avoir de l'avenir dans la compagnie...
Je le suivais jusqu'à la porte et le regardais partir.
Puis, je me rappelais mes vêtements, je les sortis de la machine à laver pour les mettre dans l'essoreuse, je les fis sécher pendant un quart d'heure, je repris alors une douche rapide.
Enfin, je pendais mes vêtements sur le séchoir et allais au lit.
Allongé sur le dos Dave avait les yeux rivés au plafond, il semblait plongé dans des pensées moroses.
J'éteignais la lampe et me pelotonnais contre lui, je lui murmurais à l'oreille :
- Chéri, je ne pourrai pas supporter tout ceci si tu n'étais pas avec moi !
- Je sais bien Donna...
Mais sa voix semblait si résignée, si lointaine que je me désolais de le voir aussi atteint.
6 mai 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus
Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 6
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 7 : fin de l’épopée.
Nous avions besoin d'aller à l'épicerie faire quelques achats, aussi ai-je enfilé un de mes nouveaux tops et tenté de choisir mon vêtement le moins provocateur.
J'avais enfilé un top qui proclamait : "Oui, ils sont bien réels" et je le portais sur mes nichons nus.
Il était très fin et les petites haltères suspendues à mes mamelons étaient clairement visibles.
Je trouvais ce haut hyper provoquant, je l'accompagnais d'une de mes nouvelles micro-jupes et nous sommes partis faire nos courses dans l'épicerie la plus proche de notre maison, de toutes manières nous n'en connaissions pas d'autre.
Nous avons acheté les articles usuels plus quelques produits désinfectants pour nettoyer mes cicatrices, nous sommes alors rentrés à la maison où nous avons rangé nos courses.
Les deux pièces de vêtements que je portais me contractaient, aussi les ôtais-je prestement.
J'étais arrivée au point où je me sentais bien mieux entièrement nue que vêtue de façon ultra-provocante.
Dave me sourit et se déshabilla lui aussi.
Nous nous sommes préparés des boissons fraîches et sommes allés nous relaxer au bord de la piscine avant de dîner.
Tandis que nous étions assis sirotant nos boissons Roy arriva par la porte de l'arrière cour et me fit lever pour inspecter mes nouveaux ornements.
Visiblement il trouva le spectacle stimulant, il me fit rasseoir dans mon siège, sortit son épaisse mentule et l'enfourna dans ma bouche.
Tandis qu'il me baisait en bouche il me dit qu'ils nous laisseraient quasiment seuls les trois semaines à venir, le temps que je cicatrise.
Il sortit une note de sa poche et la posa sur la table.
Alors que je lui suçais servilement la bite il m'enjoignit :
- Tu donneras ce message à ton supérieur Donna... Je le préviens que ne veux plus voir de traces de coups et que tu ne peux que tailler des pipes ces trois semaines à venir, que sinon tu démissionnerais de sa boite !
Si je n'avais pas eu la bouche pleine, je l'aurai remercié.
Dave lui demanda si nous devions toujours leur raconter ce qui nous arrivait chaque soir en rentrant du boulot.
Roy répondit que cela n'était plus vraiment nécessaire maintenant que notre dressage était terminé.
Je souhaitais qu'ils cessent de discuter pour que Roy se concentre sur ce que je lui faisais.
Ils se turent enfin et aussitôt j'absorbais l'importante dose de foutre que Roy que Roy me larguait en pleine gorge.
Il nous quitta dès qu'il eut extirpé sa bite de ma bouche. Il s'arrêta à la grille et nous dispensa de visionner le DVD, nous le connaissions par chœur de toute manière.
Puis il partit et nous respirâmes tous deux bien mieux. C'était comme si un morceau de notre passé nous quittait. Je devais cependant toujours m'habiller en pute et d'obéir aux ordres de tous ces pervers qui voulaient me sauter.
Mais pour l'instant nous pouvions regarder un peu la télé ce qui nous maintenait la tête hors de l'eau.
Je me rinçais la bouche avec mon verre puis nous sommes rentrés préparer le souper. Une fois que tout fut prêt nous avons mis la table à coté de la piscine et nous avons mangé au calme.
C'était vraiment ironique, cette piscine, cette arrière-cour c'était les deux principales raisons pour lesquelles nous avions acheté notre maison !
Nous étions maintenant des esclaves sexuelles en grande partie à cause de cette piscine. Cependant nous aimions toujours nous asseoir à son abord, c'était calme et reposant.
Nous sommes rentrés après avoir siroté des digestifs à coté de la piscine et nous nous sommes assis devant la télé pour regarder les informations pendant une bonne heure, ce qui ne nous était pas arrivé depuis fort longtemps?
Nous étions heureux de découvrir que notre idiot de président ne nous avait pas entraînés dans de nouvelles guerres ces dernières semaines.
Nous avons éteint la télé et nous sommes blottis l'un contre l'autre pendant un bon moment.
Puis Dave m'allongea sur le plancher et me butina ma foufoune fraîchement perforée.
Cela me plaisait beaucoup et j'étais heureuse de lui rendre son plaisir lorsqu'il en eut terminé.
Satisfaits l'un de l'autre, nous sommes montés nous coucher assez bien relaxés.
Le lendemain matin, tout paraissait normal.
Tout au moins jusqu'à ce que j'enfile ce corsage pour la première fois.
Je ne croyais pas que l'on puisse paraître aussi dénudée. Mes nichons étaient clairement visibles, les piercings qui semblaient maintenir mes tétons en constante érection, crevaient les yeux.
Ils attiraient les regards.
Je ne voulais pas croire que dans un futur proche je devrai porter ce chemisier transparent, autant se promener seins nus.
Je rangeais la note de Roy dans mon sac à main et prit la direction du boulot.
Je gardais les yeux baissés tandis que je traversais le parking de l'entreprise et en parcourais les couloirs.
Les conversations cessaient sur mon passage, je sentais les yeux de mes collègues, hommes et femmes, s'appesantir sur mes charmes exposés où que j'aille.
Je me dirigeais vers mon box et posais mon sac à main, puis je gagnais le bureau de monsieur Jefferson et frappais à sa porte.
Il me fit signe d'entrer, je lui tendis la note de Roy.
Je restais face à lui tandis qu'il lisait le message, lorsqu'il en eut fini la lecture il garda les yeux braqués sur mes mamelons pendant quelques instants, puis il se leva ferma la porte et baissa les stores et me fit déshabiller.
Il examina de près mes piercings, le spectacle semblait le combler.
- J'ignorais que tu devais rapporter à tes "maîtres" ce qui se passait ici ! Pourquoi le fais-tu d'ailleurs ?
- Ils me l'imposent, chaque soir mon époux et moi-même devons aller chez eux et je dois leur raconter en détail tout ce qui m'est arrivé, de nature sexuelle, tout ce qui résulte des drogues qu'ils m'ont fait boire.
Monsieur Jefferson retourna derrière son bureau, s'assit sur son fauteuil, m'ordonna de m'approcher et de m'agenouiller en face de lui de façon à ce que j'aie quelque chose à raconter à mes "maîtres" ce soir !
Je le suçais rapidement et lui demandais ensuite s'il pouvait transmettre le message à monsieur Taylor et à Jimmy et Dan de la messagerie.
Il hocha affirmativement la tête, je me rhabillais et retournais reprendre mon travail.
Comme j'en ai avais pris l'habitude depuis que je portais des tenues de plus en plus révélatrices, je restais dans mon box toute la journée, n'en sortant que pour me rendre aux toilettes.
Une des raisons pour lesquelles cette place était si haïssable était due au fait que les contacts entre employés étaient fortement découragés.
Si l'on vous voyez dans un autre box que le votre, on vous demandait immédiatement ce que vous faisiez là !
Il valait mieux avoir une bonne raison de se tenir là pour toute conversation que l'on semblerait avoir !
Mais cette fois celà tournait à mon avantage.
A leur grand plaisir, nombre de collègues pouvaient voir la façon dont j'étais vêtue ainsi que mes tétons percés !
Les trois semaines suivantes passèrent rapidement.
Je faisais de fellation aux mêmes quatre hommes chaque jour au boulot, à partir de ce jour je n'en suçais plus aucun. Même Roy me laissait tranquille, puisqu'il ne pouvait pas me baiser, il encula tout le temps que je restais indisponible me contentant de butiner la chatoune d'Anne.
Je devais prodiguer des fellations aux jeunes gens qui tondaient le gazon le dimanche. Il fallait aussi que je les paye.
Ils étaient si excités de s'être fait dépuceler le premier dimanche qu'ils en avaient oublié de réclamer le paiement de leur prestation.
Leurs parents n'avaient pas apprécié la plaisanterie et elle avait du leur faire ses excuses d'avoir oublié de les rétribuer. Nous avions du rectifier le tir dès leur seconde visite.
Deux semaines plus tard, une paire d'étrangers se pointèrent chez eux réclamant des rapports sexuels., mais ils savaient tous deux qu'ils ne devaient pas utiliser mes nibards et ma foufoune s'ils n'étaient pas entièrement cicatrisés.
Cela ne pouvait pas durer bien longtemps.
Le dimanche clôturant la troisième semaine, je fis l'amour avec Dave et je découvris que les anneaux, tous les trois, non seulement ne me faisaient plus mal, mais excitaient ma libido.
La stimulation de mon clito était importante, je succombais à un orgasme intense dès que pénétrée pour la première fois de ma vie !
Après avoir fait l'amour nous avons fait quelque chose de tout nouveau sous le contrôle d'Anne et Roy.
Nous nous sommes nettoyés l'un l'autre avec nos bouches et nous avons trouvé cela très excitant tant que cela restait entre nous.
Cela nous procura à chacun un nouvel orgasme.
Les sensations que me procuraient la langue de Dave titillant l'anneau de mon clito étaient extraordinaires.
Nous nous sommes blottis l'un contre l'autre et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre, essayant d'oublier toutes ces restrictions qu'on nous imposait.
Le lendemain matin nous avons déjeuné normalement Et Dave me quitta pour se rendre à son travail à l'heure ordinaire.
Je ne m'habillais pas avant d'avoir déjeuné, je passais autant de temps que je le pouvais entièrement nue à la maison, et presque autant de temps au boulot.
J'enfilais un corsage transparent et une micro jupe, enfilais mes chaussures pris mon sac et me précipitais sur ma voiture. Anne m'attendait à l'extérieur de la maison.
- Mon petit cœur... Me dit-elle suavement
- Tes aventures en bus commencent à me manquer... Pourquoi ne le prendrais-tu pas aujourd'hui ?
Elle se tut le temps d'épier ma r&action puis s'en alla.
Je courus jusqu'à l'arrêt de bus au bout de la rue.
Je connaissais maintenant la routine par coeur, je tendis mon argent au chauffeur et il me donna mon ticket, puis, je m'assis au milieu du bus.
Je sentais les yeux de nombreuses personnes détailler mes charmes mammaires quasiment dénudés.
A peine m'étais-je assise que quelqu'un prit place à coté de moi. Je ne levais pas les yeux. Je détestais regarder les personnes qui tiraient avantage de ma situation. L'homme posa sa main sur le dossier de mon siège, sa main pendant à coté de mon nibard.
- Hello, je m'appelle Terri, et toi comment te nommes-tu chérie ? M'interpella-t-il.
- Donna... Je m'appelle Donna... Soupirais-je misérablement.
- J'aime ta tenue... Ajouta-t-il, je comprenais qu'il était sincère au son de sa voix.
- Que fais-tu Donna ? M'interrogea-t-il.
- Je me rends à mon travail !
Il me demanda où je travaillais, je dus lui répondre. Puis il s'enquit si je me rendais toujours à mon travail habillée de façon aussi provocante et sexy.
La question suivante me troubla énormément, il me demanda si mes collègues aimaient ma façon de m'habiller, je lui répondis que oui.
Sa main était maintenant posée sur ma cuisse, et comme je ne protestais pas il se crut autorisé à explorer mes charmes.
- Tu dois tourner la tête à de nombreux mâles dans ta boite avec tes vêtements sexy et ton allure de salope !
Je hochais la tête avalant ma salive alors qu'il introduisait ses doigts dans ma fentine.
- Tes collègues te font-ils des propositions salaces ? Me questionna-t-il.
Avant que j'aie le temps de répondre il poursuivit :
- As-tu déjà accepté de baiser avec eux ?
Je hochais à nouveau la tête.
Il me demanda avec qui, je lui répondis, puis il voulut savoir pourquoi, ayant remarqué que j'étais mariée.
Je détestais ce genre de question, mais j'étais tenue d'y répondre.
- Je n'ai pas le choix... Je suis obligée de baiser avec eux !
- Tu es obligée ? Pourquoi ?
- Parce qu'ils me l'ordonnent ! Aie-je du répondre misérablement.
- Fais-tu toujours ce que l'on t'ordonne de faire ? Poursuivit-il légèrement incrédule.
Je grognais que oui.
- Pourquoi ?
- Je n'ai pas le choix... Je dois le faire... Rétorquais-je à contrecœur.
- Dois-tu faire ce que n'importe qui t'ordonne ? Ne croyant pas encore en sa bonne fortune, se demandant maintenant comment utiliser cette information.
- Ainsi si je t'ordonnais de te foutre à poil, tu le ferais ?
Je hochais encore la tête effondrée.
Il ne savait pas encore comment, mais il savait que d'une manière ou d'une autre il est allé profiter de cette occurrence.
- Déboutonne trois boutons de ton corsage ! Lui intima-t-il.
Je soupirais résignée et obtempérais rapidement.
- Putain j'ai vraiment un pot de cocu ! S’esclaffa-t-il hilare.
Ses mains se portèrent sur mon buste, il empauma mes nibards et les malaxa gentiment avant de détailler ses mamelons et de découvrir mes piercings.
Je sentais mon arrêt s'approcher, je lui dis que je devais descendre là.
Il me répondit sèchement :
- Non, tu ne descendras pas à cet arrêt... Le mien arrive et il a un motel tout proche... Nous allons nous y rendre, y prendre une chambre pour baiser pendant un bon moment !
Je suppose que c'était inévitable, il ne voulait pas me suivre chez moi et voulait me baiser sur place, dans l'immédiat.
Je me contentais de hocher la tête et il continua à palper mes charmes le temps de parvenir à son arrêt.
Il se leva promptement et je commençais à reboutonner mon chemisier.
- Non ! Me dit-il
- Je t'aime mieux comme ça !
Nous nous trouvions trois arrêts plus loin et je le suivis jusqu'à l'hôtel qui faisait le coin.
Il m'ordonna d'entrer et de réserver une chambre je lui rétorquais qu'avec ma tenue ils risquaient de ne pas accepter de m'en louer une.
- C'est d'accord reboutonne ton décolleté... Et maintenant va réserver une chambre et viens me rejoindre !
Je me pressais de m'exécuter.
Le préposé me couvait d'un oeil concupiscent, mais il ne me dit rien. Je lui tendis ma carte de crédit et attendis qu'il me ma rende.
Quel suprême ironie que d'avoir à payer une chambre pour qu'un étranger me viole !
Je signais le talon de la carte de crédit et retournais rejoindre mon suborneur. Sur le chemin de la chambre je lui demandais de me laisser téléphoner à mon patron que je serai en retard.
Dès arrivé dans la chambre il appela son boulot pour signaler qu'il était malade.
Puis il me dit d'appeler mon patron une fois que je me serai déshabillée.
Je me dépouillais de mon chemisier et de ma jupe, il vit alors le bijou qui ornait mon clito.
Je m'allongeais dans le lit, il s'agenouilla entre mes cuisses et tandis que je téléphonais à monsieur Jefferson cet étranger commença à s'amuser avec ma chatoune et mon bijou de clito.
Je ne savais toujours pas son nom, mais c'était la norme que je vivais journellement.
Des hommes se pointaient chez moi, et me baisaient à couilles rabattues sans même me dire leurs noms.
Ce n'est pas que je m'inquiétais vraiment de leur identité, c'est tout simplement que je n'étais pas une pute et baiser avec des inconnus me traumatisait.
Cela me blessait profondément. Et le fait de ne pas avoir le chat n'était pas vraiment d'un grand réconfort.
Lorsque j'eus monsieur Jefferson en ligne, je lui dis :
- Monsieur Jefferson, c'est Donna... Je ne sais pas à quelle heure j'arriverai aujourd'hui... Anne m'a fait prendre le bus et un voyageur m'a ordonné de le suivre dans une chambre de motel.
Il me demanda combien de temps cela durerait et je rétorquais :
- Je ne sais pas monsieur, il ne me l'a pas dit !
Il demanda à parler à cet homme, je lui tendis donc le téléphone, il hésita pendant quelques instants, mais il le prit et souffla :
- Hello...
Il écouta pendant une bonne minute puis répondit :
- Je ne sais pas mec... C'est vraiment une belle petite salope et je me réjouis de jouir de ses appas pendant 1 heure ou 2... Je n'ai rien programmé !
Il attendit encore quelques instants et reprit :
- C'est bon mec... Elle travaille pour toi cette pute ? Voilà le marché : elle est avec moi et je vais me la baiser pendant un bon moment !... Quand j'en aurai fini avec elle, je la laisserai partir !
Sur ces mots il referma son portable et le jeta sur l'autre lit avec mes vêtements et mon sac à main.
Il se releva alors et se déshabilla lentement alors que le regardais avec curiosité.
Il semblait en bonne forme, assez séduisant, il devait avoir 34, 35 ans et s'avérait assez musclé.
Je le regardais se dévêtir, il me rejoignit alors sur le lit et m'intima de le sucer !
Apparemment on ne lui avait jamais prodigué de gorge profonde jamais profond auparavant et il adorait cette technique !
- Bordel de merde ! S'exclama-t-il
- Ce que t'es bonne ma salope !
Il avait été extrêmement bruyant tout le long de la fellation et lorsque finalement il jouit, il tint ma tête fermement bloquée contre son estomac alors que ses jets crémeux explosaient dans ma gorge.
Il se détendit lentement, je pus reculer la tête pour respirer avidement à grosses goulées.
- Donna, je peux te dire que c'est vraiment la meilleure fellation qu'on m'ait jamais prodiguée... Ton mari a vraiment un pot de cocu !
Je murmurais :
- Il aime se faire sucer !
Il me regarda avec curiosité pendant quelques secondes.
Mais ma situation l'excitait bien plus encore qu'elle ne le troublait.
Il m'ordonna de sucer ses burnes le temps qu'il reprenne vigueur, puis il me baisa énergiquement pendant un long moment.
Il devait avoir lu le "Kama Sutra" parce qu'il expérimenta un tas de positions, changeant à chaque fois au bout de quelques minutes, lorsqu'il s'épandit en moi il avait bien testé une douzaine de positions, dont certaines très compliquées.
Une fois qu'il eut joui à gros bouillon, il s'écroula sur le dos, il me regarda ravi lui nettoyer la bite d'une langue agile. Tous les hommes semblaient trouver cette action réjouissante alors que pour moi elle était surtout extrêmement dégradante.
Je le suçais jusqu'à ce que sa bite se déploie à nouveau, suffisamment pour qu'il me baise deux fois encore avant qu'il ne se rhabille.
Il me questionna au sujet de mon mari : comment prenait-il ce que je faisais ? Devait-il obéir lui aussi ?
Avant de partir, il me réclama mon adresse.
Lorsque j'eus repris mes esprits, mon souffle et me fut rhabillée, je quittais la chambre à mon tour et regagnais l'arrêt de bus à pied pour me présenter à mon boulot avec quatre heures de retard et sentant le rut à plein nez !
J'étais si pressée que j'en avais même oublié de prendre une douche à l'hôtel !
Je prévenais monsieur Jefferson que j'étais de retour, il m'enjoignit de le rejoindre et de fermer la porte dans mon dos.
Il me regardait comme s'il était fou de moi... Cependant il savait parfaitement que je ne pouvais rien lui refuser !
Je dus lui raconter tout ce qui m'était advenu, mais tandis que je lui narrais mon aventure, il m'allongea sur le dos sur son bureau me troussa et me baisa vigoureusement pour la première fois depuis trois semaines. Le temps que je lui raconte tout en détail, depuis le départ du bus jusqu'à la sortie de la chambre d'hôtel il m'avait sautée à deux reprises.
Finalement il se retira de ma chatoune et, une fois qu'eus nettoyé sa bite, il me fit lécher les traces de semence étalées sur la surface du bureau. Une fois que ce fut terminé, il m'intima de me nettoyer puis d'aller voir monsieur Taylor.
Je gagnais la salle de bain où je me nettoyais les cuisses et la foufoune avec des serviettes en papier. Puis, lentement je descendais le hall pour gagner le bureau de monsieur Taylor. Je frappais à la porte, et j'entendis alors :
- Qui est-ce ?
Je lui dis que c'était moi et il m'invita à entrer.
J'ouvris la porte et fus profondément choquée de le voir en train de baisée une de mes collègues. Une ravissante rouquine qui occupait un bureau proche du mien, Je ne lui avais jamais parlé, je ne savais même pas son nom. Je refermais rapidement la porte dans mon dos et les regardais faire, je ne savais pas quoi faire !
Il m'ordonna de contourner le bureau afin qu'il puisse me voir me déshabiller. Je lui demandais si je pouvais verrouiller la porte et il hurla :
- Non ! Bordel de merde fais ce qu'on te dit !
Je contournais donc le bureau et me postais à coté de lui pour me dévêtir rapidement.
Puis il m'enjoignit de me pencher pour qu'il puisse me présenter à son amie Sheryl.
Je me courbais sur eux et il me présenta comme si l'on se trouvait normalement dans un salon.
Je vis s'afficher sur son visage l'humiliation qu'elle ressentait et je compris tout de suite qu'elle aussi se trouvait là contre sa volonté.
Nous nous sommes saluées cordialement, et monsieur Taylor nous poussa tête contre tête nous ordonnant de nous embrasser.
Je pressais mes lèvres contre les siennes, après tout cela ne faisait pas très longtemps que j'avais des rapports avec Anne.
Mais je sentais cependant qu'elle n'avait jamais roulé de pelle à une autre femme et que cela lui était très difficile de s'exécuter docilement.
J'aurai voulu la réconforter, lui dire que ce n'était pas si grave, mais monsieur Taylor m'ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.
Aussi me mis-je à lui rouler un patin fiévreux, tandis que nous nous embrassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il était évident que ce qui lui advenait la traumatisait profondément.
J'entendis la porte du bureau s'ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans son dos. Je commençais à me poser des questions au sujet de cette relation privilégiée qui existait entre ces deux hommes. Je l'entendis se déshabiller, il se posta immédiatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.
Alors qu'il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor releva la tête et observa attentivement le rictus horrifié alors qu'il se répandait dans sa foufoune asservie.
Je continuais à l'embrasser tendrement alors qu'il restait emboîté en elle. Je le voyais river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.
Il me frappa soudain que la relation particulière entre ces deux hommes était due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches rétives.
Il regardait attentivement le concierge et commenta :
- C'est ça mec, Baise-la à couilles rabattues ! Emplis sa chatte de salope de semence fraîche ! Fais-là se trémousser sous l'emprise de ta grosse bite noire !
Le concierge semblait apprécier ses commentaires et je le sentis se rengorger en haussant le rythme et la profondeur de ses pénétrations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus à cet instant qu'il allait jouir.
Tandis qu'il jouissait enfoncé dans ma grotte embrasée, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se réjouissant visiblement de ma gêne.
Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m'ordonna de contourner le bureau et de m'étendre au sol.
Dès que je fus installée à sa convenance, il se retira de la foufoune de Sheryl débordante de foutre, et l'amena à s'accroupir sa chatoune baveuse frôlant mon visage.
Je n'ai pas hésité, Je ne le pouvais pas.
Je n'avais plus de libre arbitre.
Mais Sheryl résista à quand ils lui pressèrent la tête entre mes cuisses.
Elle a cria, se débattit pour se redresser, les supplia, rien n'y fit. Monsieur Taylor recula d'un pas et le concierge lui échauffa les fesse à grands coups de ceintures, elle entreprit misérablement de me lécher la foufoune. Il la fouetta encore à deux reprises avant de se satisfaire de sa façon de faire.
Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec son portable, personnellement je m’en foutais, mais Sheryl sanglotait misérablement lorsqu'il se pista face à elle pour prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.
Je jouis à deux reprises avant qu'ils ne nous laissent en paix.
Sheryl n'avait pas joui.
Ils nous mirent à genoux cote à cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, échangeant fréquemment leur place.
C'était très pénible pour Sheryl, elle ne parvenait pas à leur prodiguer de gorges-profondes, elle étouffait, crachotait, et pleurait, il était évident que leur plaisir en était décuplé.
Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j'avalais tout avec facilité. Le concierge résista plus longuement et jouit à son tour dans la bouche de Sheryl.
Elle parvint à reculer la tête et la plus grande part de ses jets spermatiques explosèrent sur son visage.
Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l'arrêta. Il se recula affichant un sourire démoniaque éclairant son visage. Puis monsieur Taylor m'enjoignit de lécher le foutre couvrant son visage.
Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la tête, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je léchais même les grosses gouttes qui avaient giclé sur ses miches.
Elle se contentait de pleurer misérablement.
Ils nous intimèrent finalement de nous rhabiller. Je fus prête en un instant, puis j'aidais Sheryl.
Elle était désolée, elle ne parvenait à retrouver ni son soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu'elle n'en aurait plus nul besoin, qu'elle se promènerait cul nu désormais.
Je parvins finalement à la rhabiller décemment avant qu'on ne m'ordonne de l'escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l'aider à se nettoyer tout en l'amenant à reprendre ses esprits et à se calmer.
Elle commença par me repousser, comme si j'étais de leur coté. Puis je la lâchais et la laissais pleurer tout son saoul. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s'était retrouvée à se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s'était passé.
J'essayais de lui dire que je savais ce qu'elle avait enduré, que moi aussi j'avais été violée contre ma volonté.
Je lui fis un court résumé de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins pénible.
Mais elle ne me répondit pas un mot.
Finalement, elle se laissa nettoyer et rafraîchit son maquillage.
Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n'étais pas bien fraîche, mais j'avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La matinée avait été rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter son bureau je vis avec plaisir qu'il semblait très nerveux. Sapristi ce n'était pas une honte qu'il soit ainsi troublé.
En sortant de son bureau je jetais un oeil sur son horloge et constatais avec surprise qu'il était plus de 14 heures... Et je n'avais pas encore travaillé sur mon ordinateur !
Je gagnais ma stalle et m'assit pendant un long moment sans même mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma journée de travail bien que je ne sois pas réellement productive. J'étais surprise de ne pas avoir eu de nouvelles des gars de la messagerie, c'était la seule chose de bien, qui m'était arrivée ce jour là.
Puisque je n'avais pas reçu l'ordre de travailler tard, j'éteignais mon ordinateur et quittais le bureau à 16 heures. Je gagnais mon arrêt de bus que je pris sans aucun problème.
Personne ne me molesta dans ce premier bus.
Mais lorsque j'en descendis pour prendre ma correspondance, alors que j'attendais son arrivée à l'arrêt les trois jeunes gars qui m'avaient rudoyée le premier jour arrivèrent. Les trois gars que le chauffeur de bus avaient viré du car lorsqu'il avait vu dans son rétro, ce qu'ils me faisaient.
Je cherchais à me cacher derrière un colosse qui lisait son journal. Mais ils me virent quand même.
L'instant d'après ils m'encerclaient et leur chef me précisait à quel point il avait apprécié ma compagnie.
Il nota mes nouveaux ornements et tendit la main pour jouer avec.
Je ne pouvais espérer leur échapper qu'en montant dans le bus, mais à son arrivée un des jeunes m'invita :
- Allez ma petite chérie, tu vas t'asseoir avec nous...
Je ne pouvais que leur obéir, je ne pouvais rien faire d'autre. Je le laissais me traîner à travers le bus à moitié rempli et nous nous sommes assis sur la banquette arrière.
Il me prit sur ses genoux, ce qui fit remonter ma jupe sur mes cuisses dénudant ma foufoune.
Ses copains remarquèrent mon autre piercing et le désignèrent du doigt.
- Quelles salope ! S’exclama-t-il.
- Ma chérie j'ai envie de te baiser, tout comme mes copains...
- Je ne pus que soupirer un misérable
- Oui...
Ils n'avaient pas pensé que ce serait aussi facile, leur babil excité en était l'évidence. Je restais assise sur les genoux du gars alors que tous trois ils baladaient leurs mains sur mes charmes à peine cachés. Ils étaient frustes et ils me faisaient mal.
Lorsque nous sommes arrivés à leur arrêt de bus, un arrêt avant le mien, ils me firent descendre sans que je leur résiste, ils m'entraînèrent alors au travers des rues vers une maison qui était sombre et tranquille.
L'un d'eux déverrouilla la porte et me montèrent immédiatement dans une chambre de jeune homme, la seconde d'après je me retrouvais à poil.
Ils restèrent longuement autour de moi palpant mes charmes de leurs mains avides. Ils inspectaient mes charmes comme s'ils n'avaient jamais disposé d'une femme nue auparavant. Je suppose d'ailleurs que c'était le cas. Ils ne volaient même pas savoir pourquoi je les avais suivis et je leur obéissais au doigt et à l’œil, ils s'en foutaient totalement.
Fatigué d'attendre, leur chef me fit agenouiller. Je lui prodiguais une somptueuse pipe et bien sur, il gicla rapidement sur mes amygdales, je fis ensuite de même avec ses deux copains.
Puis ils me baisèrent à tour de rôle sur le lit, profitant de l'absence de leurs parents.
Ils me baisèrent tous encore et encore, cela dura assez longtemps finalement. Ils profitaient de leur pouvoir à pleines bites, et possédait un bon pouvoir de récupération. Lorsque j'eus fini de baiser avec le troisième d'entre eux, le premier était déjà prêt pour que lui refasse une bonne pipe.
Alors que je le suçais une fois de plus les autres me prirent par derrière. Lorsque j'eus fini de sucer le troisième ils me dirent :
- Bordel, il faut qu'elle nous quitte avant le retour de papa !
Je me suis habillée précipitamment, et j'ai gagné mon domicile à quelques rues de là. J'en avais soupé du bus pour aujourd'hui.
Bien que je sois très en retard, Dave n'était pas encore rentré. Je pris une douche puis préparais le souper.
Nous avons mangé dehors, et après souper nous avons attendu le coup de téléphone qui je le savais ne devait pas tarder. Nous sommes sortis, cette fois nous étions autorisés à utiliser la grille de derrière.
Roy et Anne, assis autour de la piscine nous attendait en compagnie de plusieurs hommes. Je fus invitée à me pencher sur une table robuste face à eux et je dus leur raconter ma journée.
Ca avait été une longue journée elle était longue à raconter.
Il était évident que tous les hommes trouvaient ce récit très excitant. Ils se succédèrent dans ma chatte et mon cul tandis que je leur narrais en détail tout ce qui m'était arrivé ce jour même.
J'étais face à Anne et il était évident qu'elle adorait m'entendre raconter chaque détail. La tête de Dave se trouvait sous sa jupe ce qui avait pour effet de parfois détourner son attention.
Il se passa une bonne heure avant que mon récit terminé je fus autorisée à m'agenouiller pour sucer tous les hommes présents.
Finalement nous sommes rentrés à la maison, nous avons pris une douche et sommes allés coucher, je pleurais longuement avant de m'endormir. Je me demandais si la drogue me laisserait la possibilité de me suicider. Je ne voyais pas pourquoi pas.
Nous nous préparions à partir au boulot le lendemain matin lorsque l'on frappa à la porte.
- Oh merde ! Pensais-je affoler
- Je ne veux pas reprendre le bus aujourd'hui !
Je gagnais la porte toujours nue et l'ouvrit.
Deux hommes en costume se trouvaient sur le seuil, l'un d'eux précisa :
- Bonjour madame, je m'appelle Gary Owens, je suis inspecteur de police, puis-je entrer ?
Soudain consciente de ma nudité, je m'excusais de les abandonner 5 minutes et partais dans la chambre enfiler une robe.
J'enfilais ma robe et entraînais Dave dans la salle de séjour.
Nous nous sommes assis et un des détectives a commencé :
- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués annihilant votre volonté ?
Nous nous sommes regardé dans les yeux. On nous avait ordonné de ne pas répondre à cette question, mais je voyais à l'expression de leur visage qu'ils étaient au courant.
Ils nous tendirent à chacun une petite fiole contenant un liquide clair et nous ordonnèrent de la vider. Nous avons obtempéré. Je ne me sentais pas vraiment différente.
Je priais pour que ce soit l'antidote, et pourtant je ne me sentais pas vraiment différente.
L'inspecteur reposa sa question :
- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués ?
Nous répondîmes à l'unisson :
- OUIIII !
La drogue ne faisait plus effet, nous avions retrouvé notre libre arbitre !
Dave prévint nos employeurs que nous étions malades.
Nous avons accompagné les deux inspecteurs au poste de police, nous avons discuté avec eux toute la journée, leur donnant des détails scabreux et forts gênants.
Ils détenaient déjà pas mal de DVD et de films et une série d'enregistrements personnels de Roy.
Ils nous racontèrent que l'un des associés de Roy ayant constaté l'effet de la drogue sur Dave et moi avait drogué sa femme et sa fille et avait fait de sa femme une prostituée et de sa fille sa concubine. Cependant il avait négligé de leur ordonner de ne raconter à personne ce qu'elles vivaient ou de demander de l'aide.
Ils nous ramenèrent chez nous, et pour la première fois depuis de longues semaines nous nous sommes sentis libres.
Dave s'empara d'un revolver qu'il braqua sur quelques importuns les jours suivants.
Mais rapidement les gens qui avaient abusé de nous comprirent que nous n'étions plus disponibles.
Dave retourna travailler le lendemain.
Quant à moi je voulais quitter mon emploi et me rendais à la boite pour toucher mon salaire du mois.
La première chose que je remarquais fut que monsieur Jefferson avait été remplacé. J'allais jusqu'à son bureau et frappais à la porte et demandais à voir monsieur Jefferson.
La femme assise à son bureau me prévint que monsieur Jefferson avait été licencié puis elle me demanda :
- Est ce vous Donna ?
Je hochais la tête, et elle s'excusa au nom de la firme pour ce que j'avais subi.
Je la regardais avec curiosité, elle m'expliqua alors que Sheryl avait déchaîné un véritable ouragan sur l'entreprise en rapportant que monsieur Taylor l'avait violée l'avant-veille.
Monsieur Taylor et le concierge étaient tous deux sous les barreaux, monsieur Jefferson et les eux préposés de la messagerie les rejoindraient dès que je donnerai mon témoignage.
Je soupirais et refermais la porte avant de m'asseoir pour lui expliquer ce qui m'était arrivé et pourquoi, de fait ils ne m'avaient pas réellement violé mais qu'ils avaient surtout profité de mon état de faiblesse.
Ils avaient abusé de moi en constatant que j'étais incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit !
Elle semblait désolée d'entendre mon témoignage et me prévint que de toutes façons ils sont virés et inculpés et que la compagnie aimerait m'indemniser pour tout ce que j'avais subi.
Je souris, je savais ce qu'elle pensait. On lui avait probablement dit de s'assurer que je ne porterai pas plainte contre eux.
Je lui dis de cesser de se tracasser, je ne porterai pas plainte contre eux, que je voulais juste percevoir mon dernier salaire avant de rentrer chez moi, et que je ne comptais jamais revenir dans cette boite.
Elle hocha la tête et précisa :
- Attendez-moi ici, je vous ramène votre paye dans cinq minutes.
Puis d'une voix sincère elle poursuivit :
- Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez subi, ça a du être horrible ! Je sais bien que la compagnie ne peut pas être considérée comme responsable, mais nous nous sentons tous très mal... Nous aurions aimé vous conserver dans nos effectifs si vous pensiez pouvoir continuer à travailler pour nous. Vous étiez une excellente collaboratrice !
Je lui rétorquais que je ne doutais pas de ses bons sentiments, mais que les conditions de travail dans leurs bureaux n'étaient pas humaines et que j'avais décidé de les quitter i l y avait déjà quelque temps.
Elle jeta un oeil par la fenêtre et se contenta de hocher la tête.
Une femme arriva tout de suite, et me tendit une liasse d'imprimés, puis je signais un reçu pour mon dernier salaire, je ne le regardais même pas avant qu'elle ne me quitte, puis j'appelais le nouveau superviseur pour lui signaler qu'il y avait erreur.
Le chèque représentait un salaire d'un semestre.
Elle me rétorqua :
- Non... Ce n'est pas une erreur... Je leur ai dit de vous faire un chèque de cette somme pour que vous n'ayez pas à vous plaindre de nous ! Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez traversé... Si vous changez d'avis et que vous vouiez un jour reprendre votre boulot, adressez-vous à moi, je serai très heureuse de vous réengager !
Je la remerciais vivement et regagnais mon bureau, j'emballais mes affaires personnelles et reprenais le chemin de la maison.
Nous avons passé quelques soirées au calme avant de décoder si nous allions ou non revendre la maison. Mais nous avions investi tous nous avoirs dans cet achat et nous perdrions beaucoup d'argent en la revendant aussi rapidement. Aussi avons nous décidé de la garder !
Roy et Anne avaient signé un bail pour leur maison aussi personne ne nous ennuya en s'installant à nos cotés.
Une chose marrante se passa pourtant. Je continuais à passer la plupart de mon temps dans la maison entièrement nue, ainsi que Dave d'ailleurs.
Le samedi suivant nous étions assis le long de la piscine lorsque les deux jeunes qu'Anne avait engagés pour tailler notre pelouse se pointèrent. Je les avais totalement oubliés.
Ils ne savaient rien des changements survenus. Je ne sais pas pourquoi, mais je fis exactement comme le samedi précédent. Ils tondirent la pelouse et je couchais avec eux jusqu'à ce qu'ils soient entièrement satisfaits. Puis je payais leurs services avant qu'ils ne partent.
A peine avaient-ils franchi la grille d'entrée que Dave sortit de la maison et me donna un verre puis il s'assit à mon coté affichant un large sourire. Je lui souris en retour et haussais les épaules.
Je ne m'étais pas non plus débarrassée de mes tenues de pote, je ne les avais pas remises depuis que j'avais pris l'antidote, mais je les gardais, on ne sait jamais, quelque fois que je doive reprendre le bus un de ces jours !
Nous avons eu recours à un professionnel pour nettoyer la maison.
Nous avions cherché de nous même à dénicher les caméras et les micros, mais nous avions échoué. Nous avons donc loué les services d'un type qui vint muni d'un détecteur et une bonne expérience de ce genre de boulot, il trouva rapidement deux micros et deux caméras dans chaque pièce, il en découvrit aussi dans le patio et dans le petit coin que Dave avait nettoyé dans la cave.
Il trouva un transmetteur à courte distance et nous avons conjoncturé que le récepteur devait se trouver de l'autre coté de la porte.
Nous avons rangé tout cet équipement dans un carton que nous avons remisé dans un coin de la cave, puis nous l'y avons oublié autant que possible.
A part en ce qui concerne la nudité, nous avons repris notre vie d'autrefois, faire l'amour nous semblait bien meilleur maintenant. Je m'habillais parfois en pute pour faire plaisir à Dave.
Parfois, alors que Dave se trouvait à son travail, j'avais une irrésistible envie d'enfiler une micro jupe et un chemisier transparent pour faire une virée en bus.
Je résistais, mais je le voulais vraiment.
J'en parlais à Dave qui explosa de rire et e répondit :
- Me tromper avec qui que ce soit importe peu n'est ce pas ? Si tu le fais, fais-le en toute sécurité ! Je n'en prendrai pas ombrage ! Je dois te confesser que t'entendre raconter tes journées de débauche dans le bus m'excitait considérablement ! Si tu préfères, tu pourrais prendre le bus lorsque je pourrai t'accompagner !
On ne l'a pas encore fait, mais on y pense vraiment !
La seule chose vraiment que je pense digne d'être mentionnée est la survenue de trois types, un soir.
Il s'agissait d'hommes de loi agissant pour le compte de la boite pharmaceutique qui employait Roy.
Ils sortaient de la femme et sa fille qui avaient été victimes d'un de ces monstres qui avait employé la drogue fabriquée par Roy.
Comme les exactions que j'avais subies étaient considérées comme bien plus ignominieuses, ils nous offraient un dédommagement de 41.000.000 $.
Accepter cette transaction n'aurait aucun effet sur les suites du procès criminel, cela ne servirait qu'à résoudre les problèmes de responsabilité de la compagnie à notre égard.
Cela ne nous empêcherait pas de porter plainte contre Roy et Anne devant les tribunaux civils.
Nous n'avions jamais pensé porter plainte contre qui que ce soit.
Nous étions convaincus que nous pourrions obtenir un dédommagement bien plus important encore si l'on se faisait représenter par un cabinet d'avocats, mais comme nous n'avions pas espéré d'en tirer un quelconque profit, cela nous parut une véritable aubaine.
Aussi avons nous signé les documents sans plus tergiverser, acceptant de ce fait le dédommagement qu'ils nous proposaient pour solde de tout comptes.
FIN.
4 juillet 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur : Vulgus
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