Pour sauver son mari
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Coulybaca / Bedo
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Chapitre 1
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G�n�e, Vicky tenta de l'ignorer, mais en vain. Le bras pos� sur son �paule, il lui empauma un nichon, le caressant machinalement
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Je purgeais une peine de 180 jours, sanctionnant une conduite en �tat d'ivresse, c'est pourquoi je devais me contenter de m'asseoir aux cot�s de ma jolie petite femme.
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Vicky est �g�e de 23 ans, c'est une vraie blonde, ses longs cheveux pendent jusqu'� sa taille, elle a une jolie peau tr�s lumineuse, et est dot�e d'une forte poitrine, presque trop grosse, mais si ferme.
Elle �tait vierge lorsque je l'ai �pous�e, j'�tais son premier amant.
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Nous nous fr�quentons depuis les ann�es coll�ges et sommes tr�s amoureux l'un de l'autre.
C'�tait jour de visite � la prison du comt�, prisonniers et visiteurs �taient assis dans la caf�t�ria, qui �tait am�nag�e pour cet emploi.
La salle contenait une centaine de personnes m�lang�es, les enfants ne pouvaient venir que dans des occasions bien sp�cifiques, il n'y en avait pas un ce jour l�.
Les gardes se promenaient dans les rangs, surveillant d'�ventuels �changes. Parfois, les prisonniers pouvaient s'isoler un petit moment dans une petite pi�ce contigu� pour jouir d'une certaine intimit�.
M�me si le r�glement de la prison ne pr�voyait pas formellement les t�tes � t�tes conjugaux, les gardes tol�raient ces occasionnels isolements. Mais on ne pouvait jamais fermer enti�rement la porte, ce qui minorait d'autant l'intimit�.
De temps � autre, une femme s'allongeait sur la table pour baiser avec son homme, on essayait d'ignorer les bruits d'accouplement, les gardes se rin�aient l'oeil et riaient de l'humiliation des �pouses de prisonniers.
On aurait tous aim� se tenir sous la table pour profiter du spectacle.
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Je me faisais battre depuis quelques mois, depuis le d�but des visites de Vicky.
Elle avait pos� pour des photos nues et avait tent� de me les donner un jour de visite.
Sa soeur Val�rie l'avait prise en photos avec un polaro�d quelques jours plus t�t.
Lorsqu'elle s'�tait assise un grand sourire aux l�vres, je compris qu'elle me pr�parait une surprise. Tout ce que je savais, c'est que j'�tais s�v�rement frustr�, je la d�sirais �prement.
J'avais pos� ma main sur ses cuisses, et je glissai mes doigts vers sa chatte lorsqu'elle me mit les clich�s dans la paume de la main.
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Je t�tonnais et les rangeai prestement, malheureusement, l'un des gardes m'avait vu faire.
Il se dirigea vers moi me demandant de lui remettre l'objet introduit en fraude, il pensait que �a pouvait �tre de la drogue et fut heureusement surpris de d�couvrir des photos de ma ravissante femme nue.
Les deux premi�res montraient ses gros nibards, la suivante son cul bien ferme, et sur les deux derni�res elle exhibait sa chatte, l'une d'entre elles cuisses grande �cart�es.
Sur toutes ces photos, elle souriait vicieusement l'air d'inviter le client. Il rit et se les empocha, puis il fit des copies et les distribua � ceux qui en voulaient.
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Le salaud de n�gre assis aux cot�s de Vicky lui pelotant un nichon s'�tait procur� les cinq photos, et il voulait qu'elle en prenne d'autres d'elle nue pour les lui donner.
Il en voulait plusieurs avec sa petite amie et d'autres encore avec son fr�re.
Mais elle se refusait � faire cela.
Depuis il me battait journellement pour l'obliger � accepter. Il voulait aussi lui imposer certaines tenues pour lui plaire lors des visites.
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Elle serra les cuisses pour tenter d'arr�ter ces caresses obsc�nes, et s'�cria :
Le g�ant noir se releva et me mena�a :
Il reprit place � ses cot�s et lui remit une main sur l'�paule et l'autre sous la table, d'embl�e il posa sa grosse main sur ses cuisses tout pr�s de sa chatte.
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Les prisonniers assis dans notre voisinage, voyaient ses jambes grandes �cart�es, et la grosse main noire ins�r�e sous sa jupe, entre ses cuisses nacr�es. Elle pleurnichait, ignorant ses larmes, il lui fourra profond�ment les doigts dans la chatte.
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Boone fourra son doigt aussi loin qu’il put dans la cramouille de Vicky, il resserra son bras sur ses �paules, il empauma � nouveau un de ses nichons et reprit son pelotage :
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Les femmes aux alentours nous regardaient avec sympathie, mais il parlait � quelqu'un d'autre. Mark s'approcha de notre table, me repoussa de la main et s'assit � ma place, sans se cacher, il prit l'autre nibard en main et se mit � le peloter.
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Vicky se figea, elle me regarda, je lui fis non de la t�te, elle se remit � pleurer.
Ces salauds de garde ne purent ignorer plus longtemps ses cris, ils vinrent � son aide ordonnant aux deux salopards de n�gre de quitter les lieux.
En partant, ils se tourn�rent tous deux vers moi me souriant de fa�on mena�ante.
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Elle d�valait le vestibule lorsqu'un garde, un sergent l'interpella :
Au travers de ses sanglots elle demanda :
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Vicky approuva de la t�te et il continua :
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Vicky arr�ta le sergent dans son �lan et elle railla :
Vicky se tenait immobile, se retenant de pleurer, elle tenait ferm� son corsage de la main, les deux hommes avaient arrach� les boutons dans leur h�te de l'ouvrir, son corsage �tait d�chir�, et elle se sentait violent�e.
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Vicky retourna sombrement dans la salle des visites, et attendit debout contre un mur. La salle �tait maintenant � moiti� vide, Les deux noirs qui l'avaient molest�e n'�taient plus dans la pi�ce, plusieurs prisonniers cherch�rent � l'aborder, mais les gardes les en emp�ch�rent, et leur ordonn�rent de regagner leurs cellules.
Le gros sergent tenait parole, elle avait vu un garde emmener son mari vers les cellules d'isolement.
Elle regardait un groupe de gardes entrer dans la salle, un des ge�liers discutait avec le gros sergent, il dit � Vicky :
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Le gros sergent lui reprit le combin� des mains, et dit aux gardes de finirleur ronde et de revenir. Ils dispos�rent alors que le sergent s'adressait � Vicky :
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Vicky enleva son corsage exposant son opulente poitrine � cet �tranger, noir de surcro�t, elle avait la peau tr�s claire, ses ar�oles �taient un plus fonc�es, ses t�tons se redress�rent tandis qu'elle baissait la fermeture �clair de sa jupe.
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Elle laissa choir sa jupe, s'exposant enti�rement nue. Le gros sergent contemplait le corps de cette somptueuse femelle fascin� par sa toison blonde et le galbe de son corps bien proportionn�.
Vicky fit un bond en arri�re cherchant � dissimuler son intimit� de ses mains. Il saisit son combin� t�l�phonique et commen�a :
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Le gros sergent reposa son t�l�phone.
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Choqu�e, la jeune femme se laissa tomber � ses genoux, il lui intima de sortir sa bite et la regarda op�rer. Ouvrant son cale�on, elle tendit la main et tenta de sortir la bite du salaud de son cale�on, mais elle n'y parvint pas, frustr� le gros sergent d�boucla sa ceinture, d�grafa son pantalon et le laissa tomber au sol.
L'odeur �tait terrible, son cale�on �tait souill� de larges marques d'urine, son ventre pendait au dessus de sa bite engorg�e, sa queue �tait courte et tr�s large; il attrapa rudement Vicky par la chevelure et pressa son visage contre sa bite puante.
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Vicky recula la t�te et emboucha la bite du gros porc, la bouche distendue aux limites du supportable, elle paniqua cherchant � se relever.
Le gros sergent la maintint au sol lui for�ant les l�vres. A ce moment quatre gardes p�n�tr�rent dans la salle.
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Les gardes �clat�rent de rire et s'assirent attendant leur tour de poss�der cette somptueuse femelle.
Elle h�sitait encore, la saisissant par les oreilles, il enfourna sa queue enti�re dans sa bouche, et il commen�a de lentes et savoureuses all�es et venues.
Elle se dit qu'il ne devait pas se faire sucer bien souvent, peut-�tre bien qu'il allait �jaculer rapidement !
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Mais � sa grande surprise, il dura bien plus longtemps qu'elle l'escomptait, elle essaya toutes les ruses pour le faire gicler, et en finir, mais rien n'y fit.
Elle d�cida de lui faire ce qui marchait toujours avec son mari, �a marchait � chaque coup.
Elle tendit la main au del� de ses couilles, et lui fourra un doigt dans le trou du cul, �a marcha, le gros porc se mit � trembler de tous ses membres et jaillit dans sa bouche, il lui tenait bien la t�te la for�ant � avaler jet apr�s jet, se vidant totalement dans sa bouche asservie.
Elle d�glutit en absorbant une certaine partie, mais il en d�borda le long de ses joues, tenant sa bite en main, il gicla une derni�re fois sur sa langue.
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Les gardes discutaient tranquillement, l'un d'entre eux dit a Vicky de se relever.
Elle obtemp�ra laissant cette bande de pervers admirer ses charmes, ses gros nichons qui sortent du commun, ils s'�tonn�rent aussi de la finesse de se poils pubiens.
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Il prit un de ses nibards en main et se mit � le peloter vigoureusement sa pine durcit instantan�ment.
Comme elle h�sitait, il la repoussa sur le sol froid. Il baissa son pantalon et son cale�on sur ses chevilles, les �ta prestement, et s'assit sur l'abdomen de Kelly.
Il pla�a son �paisse queue raidie entre ses seins et commen�a � aller et venir entre ses loches, ses nibards �taient secs ce qui entravait le coulissement, aussi tendit-il les doigts en arri�re, et les plongea-t-il profond�ment dans son connil d�tremp�.
Il enroba alors sa hampe de la substance gluante r�colt�e dans son vagin.
Il recommen�a trois fois, jusqu'au moment o� il glissa avec assez d'aisance pour lui baiser la poitrine.
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Vicky �tait �tendue sur le plancher froid, yeux ferm�s, alors que cet homme se servait de sa poitrine comme �crin � sa bite, chose qu'elle n'aurait jamais imagin�. C'�tait sa premi�re cravate de notaire, elle prenait le chemin de la d�gradation, on se servait d'elle comme d'une belle pi�ce de viande, son mari ne l'aurait jamais poss�d� ainsi, pas de cette mani�re vicieuse.
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Elle ouvrit les yeux assez longtemps pour le voir presser ses globes mammaires sur sa bite qui coulissait ais�ment entre eux, lui touchant parfois le menton, elle sentit l'excitation monter dans ses reins.
Elle sentit qu'il s'activait de plus en plus rapidement entre ses gros nibards, il se mit � trembler convulsivement, elle comprit soudain qu'il allait jouir sur son visage.
Elle referma �troitement les yeux, alors qu'il se mettait � g�mir sourdement, elle sentit le foutre chaud lui poisser le menton, les l�vres, le nez, lui piquer les yeux quelques jets avaient m�me atteints son front et ses cheveux blonds.
Il �clata de rire �talant son foutre sur son visage, elle se sentait profond�ment humili�e. Il aimait particuli�rement l'�pandre autour de sa bouche
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Vicky resta bouche ferm�e, mas il �tait bien r�solu � lui faire go�ter son sperme. Se pla�ant au dessus de son visage, il prit sa bite quasi molle et la pressa contre ses l�vres.
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Elle ouvrit la bouche, mais resta yeux ferm�s, apr�s quelques secondes elle les ouvrit aussi. Elle le vit se pr�parant � se glisser entre ses l�vres disjointes, elle vit du foutre perler � son m�at, il projeta un jet de foutre �pais droit dans sa gorge sous les hourras des spectateurs.
Refermant la bouche elle se mit � tousser, � crachoter.
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Le suivant lui �carta les cuisses et s'installa entre elles, il la doigta le temps d'obtenir une moiteur suffisante pour faciliter les op�rations.
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Les autres regardaient fascin�s sa large queue aller et venir entre ses babines distendues, ils �taient �pat�s de voir ses grandes l�vres gainer sa hampe turgescente, alors que son �pais gourdin disparaissait dans sa caverne asservie.
A chaque pouss�e, elle r�lait, �cras�e par le poids de son suborneur, ce qui excitait l'assistance. Ils �tait tous impatients de voir leur tour arriver !
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Le gros sergent dit alors :
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Jimmy sourit de toutes ses dents et quitta la pi�ce.
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Son fouteur �tait pr�t � jouir, il se mit � la chevaucher fr�n�tiquement et explosa dans son ventre fertile, ses derni�res pouss�es furent aussi rudes qu'obsc�nes, il s'effor�ait de la bourrer jusqu'� la garde.
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FIN
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Coulybaca
Avec l'aimable autorisation de l'auteur : Bedo
Email : be_do_li_do@excite com
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