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J\'appartiens à Snake désormais

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Synopsis: Une jeune femme qui s\'est aventurée sur le web se vante d\'expérineces fantasmées, elle se fait prendre à son propre jeu par une pervers violent qui l\'asservit en s\'en sert comme d\'un jouet, la prostituant, l\'offrant à ses amis ......


Brian est appelé en Irak Ch 1


Coulybaca /  Vulgus



Le texte de Vulgus étant très long, je me suis permis de le diviser en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture



  Premier chapitre : droguée, violée, filmée.



  Pour la première fois depuis le dpart de Brian pour l'Irak,  je m'accordais une petite sortie.


Son unité de la garde nationale avait étée appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak.


Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui.


Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari.


Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de réponse.



  Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres.


Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi.


Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée.


Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme, s'il avait été blessé.....



  Lorsqu'une amie me parla de la petite fête qu'elle organisait chez elle ce vendredi soir, je n'avais pas envie d'y aller parce que Brian me manquait, depuis deux semaines je n'avais aucune nouvelle de lui.


J'y suis allée parce que j'étais fatiguée de rester assise seule devant la télé dans mon petit appartement et que j'étais inquiète.


Je voulais écouter de la musique, parler avec des gens heureux, danser et boire quelques verres.



  Je n'avais aucune idée de la façon dont allait se terminer cette sortie.


Mon amie Tanya n'était pas une « tête en l'air », je n'avais aucune raison de craindre qu'il s’agisse d'autre chose que d'une petite fête entre amis, c'était son anniversaire et deux de ses amis avaient organisé cette petite fête en son honneur, ils avaient réservé une piscine dans leur complexe d'habitations.



  J'avais l'intention de boire quelques verres, de me détendre, de danser un peu, puis de rentrer chez moi retrouver le confort de mon grand lit conjugal.


Rien ne m'inquiétait, j'étais une jeune femme de 21 ans mariée et indépendante et j'étais capable de prendre soin de moi.


Du moins je le pensais à ce moment ! .....



  Le temps était ensoleillé, il faisait très chaud, je faisais quelques danses et bus quelques verres, puis j'enfilais mon bikini et piquais une tête dans la piscine pour me rafraîchir.


Quelques gars me rejoignirent, j'étais très flattée, je flirtais avec quelques-uns uns mais je leur signifiais clairement que cela n'irait pas plus loin, et ils ne tardèrent pas à m'abandonner, j'étais un peu déçue.



  Lorsque vous sortez d'une année très satisfaisante de vie amoureuse pour vous retrouver privée de sexe pendant trois longs mois, cela n'est ni facile à endurer ni enthousiasmant.



  Lorsque la nuit tomba, le temps fraîchit un peu, je refaisais quelques danses. J'étais restée en bikini, et j'étais loin d'être la seule, de nombreuses filles dansaient en bikini.


Je passais pas mal de temps avec un des invités, il était très rusé et amusant et prenait courtoisement soin de moi. Lorsque nous ne dansions pas, nous nous asseyions sur le bord de la piscine, de l'eau jusqu'au cou, où à petite table pour siroter quelques canettes de bière.



  Je lui avais signifié clairement que je partirai à 22 heures, et, bien que déçu, il n'avait pas élevé d'objections.


Il était légèrement plus vieux que moi, il devait approcher la trentaine et se montrait fort mature.


Il savait qu'il ne me sauterait pas ce soir, et nous j'aimais sa compagnie amicale.


De plus il me distrayait vraiment de ma vie ennuyeuse, et de toute façon les autres gars m'avaient laissé totalement choir.



  Vers 21 heures trente il me proposa de boire une dernière bière, il quitta alors la piscine et partit me chercher une canette et nous avons pris place sur deux transats en retrait de la piscine.


Le volume musical avait baissé vers les 21 heures trente et nous pouvions discuter plus facilement, je ne cachais pas que je m'étais bien amusée.



  Je sirotais ma dernière bière et jetais œil un oeil sur ma montre, décidée à partir dès 22 heures.


Ce n'est pourtant pas ce qui s'est passé.


Je ne me souviens pas de ce qui est arrivé.


J'étais assise discourant avec mon interlocuteur, prenant du bon temps.



  La dernière chose dont je me rappelle c'est que je me suis réveillée samedi matin dans un lit allongée au coté d'un mec.


Je ne sais pas ce qui s'est passé.


Je savais que j'étais loin d'être ivre, je devinais qu'on m'avait droguée.


Je jetais un oeil sur le type allongé le long de mon corps et je le reconnus, c'était le mec avec qui j'avais passé la plus grande partie de la soirée, mais je ne parvenais pas à me rappeler son nom.



  J'étais nue, j'avais des traces de foutre sur mes nichons, mon buste et mon ventre, mes cuisses étaient recouvertes de semence séchée.


Je me pris la tête entre les mains et je réalisais que j'avais tout autant de foutre étalé sur le visage.



  Je me levais lentement, j'avais une bonne gueule de bois, je cherchais des yeux la salle de bain.


Lorsque je bougeais, je réalisais que j'étais toute courbaturée, mon corps était sévèrement meurtri, mon vagin me faisait mal, mon anus me faisait mal, et j'avais la gorge en feu.


Je compris que j'avais été violée la nuit précédente et pas par un seul homme.



  Je trouvais la selle d'e bain et m'y rendais, je me regardais fixement dans un miroir. Mon visage était couvert de taches de foutre sec, mon corps et mes cheveux en était recouverts.



  Je sentis soudain mon estomac se soulever et je me précipitais dans les toilettes et vomis tripes et boyaux pendant quelques longues minutes.


Lorsque je cessais, l'estomac vide, je jaillis des toilettes et me lavais la figure et les mains, c'est alors que je le vis, il se tenait dans l'entrée de la salle de bain et me souriait de toutes ses dents.



  Avant que ne dise quoi que ce soit, il intervint :


-         "Quel gâchis! ..... Je t'ai entendu vomir, j'étais certain que tu dégueulerais après avoir avalé autant de foutre! ..... Tu vas pouvoir recommencer à me sucer maintenant que tu as l'estomac vide! ....."




   Je retrouvais ma voix et bien que difficilement je hurlais :


-         "Tu n'es qu'un sale violeur! ...." Tu ne t'en sortiras pas comme ça! ..... Dès que je serai sortie j'appelle les flics... je te hais! ...."



  Il se contenta de me sourire et me fixa comme si je lui sortais une bonne plaisanterie.



  Je terminais de me nettoyer et empoignais un drap de bain pour me sécher., puis je retournais dans la chambre et y cherchais mes vêtements.


-         Il me suivit et, lorsque je lui demandais où e trouvaient mes vêtements il me rétorqua :


-         "Ton bikini? ...  Dans le salon! ....."



  Je frappais du pied la porte et me ruais dans le salon, quatre hommes assis autour d'une table me sourirent de toutes leurs dents. On aurait dut qu'ils venaient tout juste de se lever.



  Je réalisais qu'ils devaient tous avoir  usés de mes charmes cette nuit, je ne me rappelais de rien et me sentais très embarrassée de me retrouver nue sous leurs yeux. Je vis mon bikini gisant au sol, je  m'en saisis et l'enfilais rapidement.


Mon sac à main était posé sur la table je l'empoignais, mais je ne trouvais pas le reste de mes vêtements, ils étaient certainement encore le long de la piscine.



  Je me dirigeais vers la porte, mais avant que je ne l'ouvre il me dit :


-         "Ne pars pas... Nous avons quelque chose à te montrer! ....."



  -         "Non... je m'en fous! ... Je m'en vais! ....." hurlais-je en ouvrant la porte.


Je ne fis pas assez vite. L'un des quatre hommes qui avait visiblement dormi dans la salle de séjour se leva et me bloqua le passage.



  Je voulus le griffer, j'étais assez furieuse pour m'en prendre à lui. Je hurlais de se retirer de mon chemin, il se contenta de me sourire sans bouger d'un pouce.


Cela ne fit qu'augmenter ma fureur.


Je me ruais sur lui cherchant à le repousser, voyant le peu d'impact de mon action je me sentis folle de rage.



  Il était fatigué de me voir agir ainsi, il me saisit par une mèche de cheveux et me souleva dans les airs.


Je jetais mon sac et posais mes mains sur sa taille cherchant à me libérer de sa douloureuse emprise


Il ignora mes efforts et me traîna facilement sur le canapé et me projeta brutalement entre les deux hommes qui étaient assis dessus.



  Il  me dit alors :


-         "Tom vient de te dire avec une extrême politesse de rester pour regarder quelque chose qu'il désire te montrer! .....  J'espère bien que tu ailles accepter de regarder ce qu’il veut te faire voir! ......  C'est d'une extrême importance pour toi! ....."



  Je me redressais et frottais mon crane douloureux, il en tomba une averse de pellicules de sperme séché qui me couvrit les épaules. Je comprenais peu à peu ce qui m'était arrivé et ce qui allait s'ensuivre.


Je me forçais à prendre une profonde inspiration et leur demandais ce que je devais voir d’important.



  L'un d’eux se saisit d'une télécommande et alluma la télé.


Je criais de dépit lorsqu'apparut l'image et que je me vis passer des bras d'un homme à un autre dans ce salon.


J'étais entièrement nue et je souriais, on aurait cru que je n'avais jamais autant joui de la vie et de ses plaisirs! .....


Leurs mains courraient sur tout mon corps et je semblais les encourager de tout mon cœur.



  J'éructais sourdement :


-         "Vous n'êtes que de sales bâtards! ....."


Et j'essayais de me relever pour fuir cette maudite chambre.


J'étais à peine debout que l'homme assit à mon coté gauche me rassit de force sur le sofa.


L'un d'eux m'informa alors :


-         "Le film est loin d'être fini...   Tu as encore beaucoup de scènes à visionner! .....  Tu vas aimer......  C'est très éducatif, voire même pédagogique! ....."



  Je me débattais et grogna :


-         "Tout ça montre que vous m'avez lâchement violée, infâmes salopards! ...."



  Tom intervint alors :


-         "Eh non ma petite chérie, tu n'as pas regardé avec assez d'attention! ....  Les images dont nous disposons, prouvent que tu participais volontairement à cette orgie! ......  Regarde-toi bien, tes yeux sont grands ouverts, tu souris et participes activement à la baise, tu tiens bien sur tes jambes! ....  Personne, après avoir regardé ce film ne pensera que tu te faisais violer! .... Regarde bien! ...."



  Je n'avais pas le choix, ils ne me laisseraient pas partir tant que je n'aurai pas visionné la cassette! .....



  Je me calais dans le sofa et je regardais les hommes qui ne me pelotaient pas se déshabiller.


Lorsqu'ils furent nus, ils me prirent en main et ce fut au tour des autres de se dévêtir. Et je repassais de nouveau de mains en mains.


J'étais très humiliée de me voir sur l’écran, d'autant plus que j'étais assise au milieu de cinq spectateurs attentifs les yeux rivés sur l'écran.



  Ils finirent par se lasser de me peloter tout à tour,  et trois d'entre eux s'assirent sur le canapé un quatrième me demanda d'une voix douce de m'agenouiller entre ses cuisses.


Il n'y avait pas le moindre signe de contrainte.


Quand bien même je savais que j'étais droguée, je n'en voyais pas plus de signe.



  Ma gêne s'accrut encore lorsque je me vis prendre la bite d'un  premier homme dans ma bouche et le sucer avidement.


J'avais maintenant réalisé que tous ces hommes m'avaient possédé! ....


Cela ne facilitait pas le fait de s'asseoir parmi eux pour regarder le film qui se déroulait sur l'écran télé.



  Tandis que suçais ce premier gaillard, les autres s'agenouillèrent autour de moi, face à la caméra de Tom et ils se mirent à me peloter lascivement les nichons, l'un d'eux glissa sa main entre mes cuisses me branlant âprement.


J'observais mes réactions alors qu'il me labourait la fente de ses doigts, mon visage affichait une lubrique satisfaction.



  Je sentis alors de grosses larmes couler sur mes joues, j'en étais furieuse, je ne voulais pas que ces bâtards se rendent compte de ma panique.


J'essuyais mes yeux et continuais à regarder l'écran. Mon chevaucheur de bouche ne tarda pas à éjaculer, je semblais savourer avec un énorme plaisir sa semence que j'avalais voracement. Je n'avais jamais accordé une telle cajolerie à mon mari! .....



  L'homme qui me possédait se recula et un autre prit sa place, ils me regardaient tous me repositionner pour lui faciliter l'accès à ma bouche Tom précisa alors :


-         "Au cas où tu te le demanderais Rory était le second que tu suçais,...  Tu m'avais déjà fait une pipe le temps que mes copains arrivent! ...  Mes amis avec qui je partage tout! ...."



  Horrifiée, je me vis sucer les quatre bites de ces salauds, Tom s'approchait de temps à autre et prenait des gros plans de mon visage souriant alors que j'avalais leur foutre tout à tour.



  Lorsque j'eus sucé les  le quatrième salaud, je fus disposée sur le dos et le premier que j'avais sucé s'installa entre mes cuisses et engouffra facilement sa bite dans ma petite chatte détrempée.


Je vis que mes grandes lèvres chatte étaient rouge vif et gonflées, comme si l'on m'avait déjà possédée.



  Je braquais mes yeux sur Tom qui me précisa :


-         "Ouais, je t'avais déjà baisée auparavant! ...."



  Ils me baisèrent tous l'un après l'autre, une fois qu'ils avaient éjaculé dans ma foufounette, ils revenaient vers mon visage et je leur nettoyais complaisamment la bite avec la bouche.



  Je sentis soudain mon estomac se soulever, la main sur la bouche je fonçais dans la salle de bains.


Il était  temps je dégueulais de suite.


Mon estomac était quasiment vide et c'était surtout des nausées sèches.



  J’attendais que mon estomac se calme, puis je me lavais le visage et je retournais à reculons dans la salle de séjour.


Je repris ma place entre les deux hommes sur le sofa et le DVD, qu'ils avaient mis sur pause, repartit m'imposant des images de mon gang bang.



  Une fois qu'ils eurent tous éjaculé en moi, les fellations recommencèrent. Cette fois la seconde pipe de Tom était filmée et j'étais obligée de me regarder en train de le sucer habilement.


Mais cette fois ils ne jouirent pas dans ma bouche, une fois que la bite de Tom fut assez dure, il me retourna sur le prie-dieu et entreprit de me graisser le trou du cul avec de la vaseline.



  Je le regardais me lubrifier et m'évaser l'anus pendant quelques minutes, puis il me tendit le tube de vaseline et je l'utilisais pour graisser sa grosse bite avec un empressement apparent.



  Il me regardait dans les yeux et sourit de toutes ses dents alors que j'étalais la pommade grasse sur sa bite


Il me tapota doucement la tête me félicitant :


-         "T'es vraiment une bonne fille! ....."


Puis la caméra entreprit des allers retours entre mon visage et mon trou du cul alors qu'il enfouissait sa grosse bite dans mon petit oeillet qui n'avait jamais été à telle fête! .......



  Je le regardais faire avec incrédulité de le voir pénétrer aussi aisément alors que je lui jetais un regard passionné.


Tom dit alors :


-         "Je ne pensais que cueillir ton pucelage anal serait aussi facile ma chérie, c'était bien la première fois que tu te faisais enculer, n'est ce pas ? ......"



  Je hochais la tête abasourdie de voir la facilité avec laquelle il s'enfouissait jusqu'aux burnes dans mon trou du cul asservi.



  Ils avaient arrêté le son, mais maintenant ils le rallumaient et je m'entendis grogner de plaisir tout en lui demandant de m'enculer avec encore plus de vigueur! ......


Tandis qu'il me cassait le cul, les autres se succédaient dans ma bouche, visiblement je devais leur rendre leur vigueur pour qu'ils puissent se satisfaire à leur tour dans mon trou du cul.



  Ils s'étaient déjà vidés les couilles à deux reprises et certains me labourèrent pendant très longtemps avant de prendre leur plaisir dans mon anus distendu, mais pas tous, une paire d'entre eux se vidèrent les couilles aussi rapidement que la première fois.


Cependant cette séance d'enculade dura assez longtemps, je les suppliais tous, chacun à leur tour de m'enculer plus vigoureusement.


Lorsque l'un éjaculait dans mes entrailles, je prenais sa bite en bouche pour la nettoyer de toutes traces d’excrément avec un empressement apparent alors que je demandais au suivant de le remplacer dans mon trou du cul.



  Après cela ils s'étaient tous assis et s'étaient décontracté, de temps en temps l'un d'entre eux m'appelait pour se faire sucer à nouveau.


Lorsque je ne les suçais pas, j'obéissais à leurs ordres salaces, posant dans des positions obscènes, ou me branlant vigoureusement, recueillant le foutre qui s'écoulait de ma chatte et de mon anus pour me l'étaler sur le visage, mes cheveux et ma poitrine à leur grande joie.


C'est la chose la plus dégoûtante que j'ai jamais fait, et tout cela avec l'air d'adorer ce que je faisais.



  Je réalisais que sans aucun doute je ne pourrai pas me plaindre à la police, je ne sais pas quelle drogue ils avaient utilisé pour me sidérer, mais les effets étaient tels que n'importe quel flic, n'importe quel juge, n'importe que  jury serait persuadé que je n'étais qu'une fieffée salope qui profitait de ce que son mari était réquisitionné en Irak pour se faire baiser à couilles rabattues et ce de façon obscène.



  Je regardais fixement Tom et  pleurnicha :


-         "C'est d'accord...  Vous avez gagné! .....  Je ne dirai rien aux flics.....  Je sais trop bien ce qui arriverait si j'essayais de convaincre qui que ce soit de la vérité! ....."



  Tom sourit à pleines dents et me répondit :


-         "Ne crois pas ça ma petite Kim chérie..... On n'en a pas fini avec toi! ....  Bien sur on a tous savouré cette extraordinaire séance de baise d'hier soir..... T'es une formidable suceuse de bites et ta chatte est divinement étroite, et ton trou du cul encore plus savoureux! .....  Nous n'allons pas te laisser partir comme ça! .....  Peut être dans une semaine ou deux, mais pour l'instant ton cul nous appartient! ......"



  Je tentais de me relever, ils me rejetèrent sur le canapé.


Je pris ma tête entre mes mains tout en me lamentant :


-         "Non, je ne peux pas, je ne veux pas! ......  Je ne peux pas refaire ces choses que vous avez obtenues de moi en me droguant la nuit dernière! .....  Je n'ai jamais fait de telles choses avec mon mari! ..... Je ne veux plus les faire! ...."



  Tom éclata de rire et intervint brutalement :


-         "Oh que si tu vas les faire ma chérie, parce que sinon ton mari recevra une copie du DVD qu'on vient de visionner, nous verrons bien alors s'il tolérera que tu fasses toutes ces choses avec des étrangers mais pas avec lui! ...... Je suppose ton émancipation l'émerveillera! ....."



  Puis il se saisit de mon agenda qui se trouvait dans mon sac à main et ajouta :


-         "Je suppose qu'il y a beaucoup d'autres gens qui seraient ravis de savoir à quel point tu n'es qu'une salope! ....."


Il parcourait l'agenda s'arrêtant de temps à autre me demandant qu'elles étaient mes relations avec différentes personnes dont j'avais noté les adresses dans mon agenda, je ne répondais pas, mais l'idée que ces gens puissent visionner le DVD relatant mes exploits était encore plus horrible que l'idée de devoir recommencer toutes ces choses avec ces salauds.



  Je m'effondrais sur le canapé et couvrit ma face entre mes mains secouée par une violente crise de larmes.


J'étais totalement incapable de réfléchir,  ils me laissèrent pleurer tout mon saoul..


Lorsque mes sanglots se calmèrent, je compris que j’allais devoir faire tout ce qu'ils exigeraient de moi, aussi longtemps qu'ils le voudraient.....  J'étais totalement en leur pouvoir.


Je savais pertinemment que j'avais été une participante involontaire dans les jeux sexuels qu'ils avaient filmés cette nuit.


Et bien que le sachant, on ne décèle aucun signe de révolte de ma part dans cet enregistrement, bien au contraire je semblais y participer avec enthousiasme, impatience. Ils n'avaient même pas à m'ordonner de me livrer à ces actes pervers, il leur suffisait de me guider, de suggérer certaines pratiques pour que je m'y efforce avec complaisance.



  J'essayais de me dire au fond de moi-même que cela importait peu maintenant, ils m'avaient fait faire tout ce qu'ils voulaient dorénavant je ne ferai que répéter ces actes obscènes.


Je savais cependant que c'était faux, pour une bonne raison, je serai consciente désormais attentive aux pratiques et actes sulfureux auxquels ils allaient soumettre mon corps, et j'étais bien certaine qu'ils me réservaient bien d'autres humiliations mordantes.



  Tom se plaça devant moi et me dit :


-         "Nous avons pris du bon temps cette nuit chérie, tu t'es comportée comme une sensationnelle petite pute......  Personnellement je réfléchis à ce que je pourrais bien te faire faire maintenant que tu sais ce va t'arriver et que tu détesteras chaque minute de ton futur calvaire..... Cela va être bien mieux maintenant que tu resteras lucide! .... Pourquoi ne commencerais-tu pas par te relever et enlever ce foutu bikini! ......"



  Il se baissa et me saisit la main pour m'aider à me  relever, je réalisais qu'il était inutile de lutter, non seulement ils m'avaient tous vu nues, mais de plus ils avaient tous usés et abusés de mes charmes! .... Je n'en avais pas le moindre souvenir, aussi loin que je pouvais réfléchir tout  ce qu'ils avaient l'intention de me faire subir serait nouveau dans mon esprit sinon dans mon corps.



  Je jetais un oeil sur Tom, qui se tenait debout mon agenda en main, mon cerveau tournait à vide, je ne voyais pas comment me sortir de ce gâchis.


Je vis que l'un d'entre eux avait recommencé à me filmer, je vis alors les larges sourires qu'ils affichaient tous à l'idée de prendre leur plaisir avec moi alors que je serai consciente et qu'ils savaient tous pertinemment que je haïrais ce que j'allais endurer.


J'étais terrifiée, folle d'humiliation et ils s'en rendaient parfaitement compte.



  Je baissais les yeux sur le tapis, tendais mon bras dans mon dos et et dégrafais mon soutien-gorge de bikini.


Il tomba aussitôt au sol offrant mes nichons fermes à leur convoitise.


Ils gloussèrent, je suppose que me voir humiliée les amusait.


Il était évident qu'ils se réjouissaient déjà de me dégrader tout autant qu'ils aimaient baiser. Je devais assumer le fait qu'ils aiment sauter des filles et qu'ils n'étaient pas prêts de me laisser tomber.



  Je passais les pouces sous la ceinture élastiquée de mon maillot puis je le roulais sur mes cuisses avant de le choir au sol.


Je me trouvais maintenant entièrement nue, entièrement livrée à leurs appétits lubriques. Je luttais contre l'envie de cacher mes charmes derrière mes mains, cela serait hypocrite et inutile, ils avaient tous amplement goûtés à mes charmes, cela ne ferait que les amuser un peu plus.



  Tom me félicita :


-         "Ca c'est une gentille fille...  Et maintenant trempe-toi le cul dans la baignoire et prends une bonne douche! ..... Tu pues! ....."



  Comme je sortais du salon, me mordant les lèvres pour  protester que ne "puais" pas avant qu'ils me violent, Tom se tourna vers ses copains, la caméra toujours en main et suggéra :


-         "Pourquoi ne l'accompagnerais-tu pas John? ....  Tu vas la filmer sous la douche! ......"



  John me suivit caméra en main, j'étais cruellement consciente que la caméra enregistrait tous mes faits et gestes.


Je me glissais sous a douche et utilisai le savon de Tom et son shampoing pour me débarrasser des tâches de foutre séché qui parsemaient mon corps, mon visage, mon entrecuisse, mon buste et mes cheveux.



  John maintenait ouvert le rideau de douche pour me regarder et me filmer tout à son aise.


Je ne désirais absolument pas retourner dans le salon, pour leur servir de jouet sexuel, mais je me crispas de plus sous l’œil de la caméra qui enregistrait chaque détail de ma toilette intime.


Il alla jusqu'à me filmer assise sur les toilettes alors que je faisais pipi, m'ordonnant de bien écarter les cuisses qu'il puisse capturer les images de mon urine jaillissant de ma chatte.


Je frissonnais de révulsion à chaque nouvelle humiliante expérience qu'on m'imposait sous l’œil de la caméra.



  Avant de retourner dans le salon, je me brossais les dentures avec mon doigt et de la pâte à dentifrice de Tom.


Je voulais effacer le goût de sperme que j'avais en bouche. J'imaginais déjà que je se serai pas longue à retrouver ces haïssables effluves dans ma bouche.



  Lorsque je revins dans le salon, Tom m'appela à lui,  et me força à me baisser.


Il me flaira longuement sacarstiquement comme s'il vérifiait si j'étais assez propre pour qu'il me touche.


Il sourit alors et dit :


-         "C'est bien mieux! .....  Et maintenant mes amis et moi-même avons programmé ta journée pendant que tu te nettoyais.....  Tu es assez fine pour savoir que les choses qui nous amusent ne sauront pas aussi amusantes pour toi que pour nous! .....  Et pourtant tu sais que tu n'as pas le choix, n'est ce pas ? ......"



  Je hochais la tête en signe d'approbation. C'était vrai, peu importe ce qu'ils allaient exiger, ils en connaissaient assez sur moi pour ruiner ma vie, détruire mon mariage et ma réputation! ......


Tom poursuivit :


-         "C'est bon.....  Je ne veux pas avoir à répéter mes menaces pour te faire obéir! .....  Si cela te pose problème, on pourra toujours te rendre de cette drogue que je t'ai donnée la nuit dernière... Tu as pu constater son efficacité! ....  Nous sommes un groupe de gens à l'imagination assez vive, les images pourraient être bien pires si l'on te droguait à nouveau! ......



  Je savais pertinemment que sans aucun doute qu'ils prendraient un énorme plaisir à me détruire si je ne me montrais pas d'une docilité absolue! ....


Je ne savais pas si je pourrais leur obéir, j'ai toujours été une femme très conservatrice, je n'étais pas de ces filles qui s'habillaient pour provoquer et exciter les mâles, avant cette nuit, je n'avais jamais eu de rapports sexuels avec plusieurs partenaires et je n'avais surtout jamais posé pour des photos pornographiques.



  En de nombreuses occasions Brian m'avait demandé de poser pour des photos sexy, il me réclamait désespérément une photo sexy pour emmener lors de son séjour en Irak.


Je pensais que c'était pour la montrer à ses copains aussi avais-je refusé.


Je l'aimais de tout mon cœur, et j'aimais être sexy, mais c'était juste pour Brian et moi. Tout au moins jusqu'au début de cette nuit.



  Tout en m'avertissant de lui obéir docilement si je ne voulais pas être droguée à nouveau, il tendit le bras vers moi et me caressa comme s'il était le propriétaire de mon corps.


Je le haïssais de toucher des endroits intimes que seul mon mari aurait du pouvoir toucher, je le détestais d'autant plus que mon corps répondait à ses caresses.


Bien que je sache que ce n'était qu'une réponse primitive, sur laquelle je ne pouvais exercer aucun contrôle, je détestais sentir mon corps se libérer de mon cerveau.


Je hissais d'autant plus que je savais que je lui appartenais totalement le temps qu'il se fatigue de mes charmes.



  Il me fit relever et me dit alors :


-         "Allez ma chérie, allons dans ma chambre trouver quelque chose à te mettre sur le cul! .... Puis on va aller faire un tour….. »


D'un  coté j'étais ravie de ne pas devoir passer la journée enfermée avec ces salauds, mais par ailleurs, je craignais vivement les humiliations qu'ils pourraient me faire subir en public."



  Un coup d’œil sur leurs visages respirant la cruauté suffit à me convaincre que je ne devais attendre aucune pitié de leur part.


Ils étaient plus vieux que moi et flirtaient tous avec les 30/35 ans.


C'est tout ce que je savais d'eux. Je ne connaissais le nom que de trois de ces salauds, Tom, Rory et John.


Avant cette funeste nuit je n'avais appartenu qu'à deux hommes, mon mari bien sur et un petit ami qui avait cueilli maladroitement mon pucelage alors que j'avais 18 ans. Et voilà qu'en une seule nuit, le nombre de mes amants grimpait à 7, et encore dont deux dont je ne connaissais même pas les noms.



  Je suivis Tom dans sa chambre, il me dit alors :


-         "T'as juste besoin de quelque chose qui te permette de gagner l'endroit où l'on va, une là on te trouvera une tenue plus appropriée... "



  Il sortit d'une commode une chemise qu'il me tendit.


Je l'enfilais et commençais à la boutonner.


Il me stoppa avant que je n'aie boutonné beaucoup de boutons.


Je regardais jusqu'ou descendais les pans de la chemise, devant eux couvraient à peine ma chatte, je doutais qu'ils couvrent la totalité de mes fesses.


Il m'avait fait arrêter le boutonnage sous la poitrine.


La chemise était ample et le décolleté pendait bas dévoilant mes nichons à tous les gens qui me regarderaient de coté.



  Je me tenais debout, attendant qu'il me tende une autre pièce de vêtements, mais il sourit et rigola :


-         "C'est parfait, allons-y... "



  J'avalais ma salive sous le choc, j'avais résolu de ne pas tenter de me dérober à ses ordres, je savais que de toute manière c'est lui qui gagnerait. Cependant il m'était impossible de sortir aussi peu vêtue! ....



  Je l'interpellais :


-         "Tom, attendez... "



  Il arrêta et se retourna, un large sourire illumina alors son visage.


Je suis immédiatement qu'il ne me donnerait rien d'autre à porter. Il avait décidé de m'humilier, j'hésitais une seconde et je feintais :


-         "Mes pieds...  Pourrais-je au moins enfiler mes sandales? ...."


Il me regarda ironiquement et rétorqua :


-         "Je suppose qu'elles sont dans le salon, allons y salope! ...."



  Je pensais fugitivement :


-         "Je ne suis pas une pute, mais toi tu n'es qu'un sale bâtard mon salaud! ...." Je me mordis la langue pour ne pas exprimer à voix haute ce que je pensais tout bas.


Je ne voulais pas qu'il se sente obligé de me prouver que j'avais un statut de soumise désormais.



  Je m'arrêtais dans la chambre et me regardais dans un  miroir en pied, je n'en crus pas mes yeux, il fallait que je sorte dévêtue de cette façon! .....


Je me tournais et je vis que j'allais offrir une bonne moitié de ma croupe à la vue des passants.


Je rattrapais Tom avant de lui donner l'opportunité d'exercer son autorité, lorsque j'entrais dans la salle de séjour, ces salauds explosèrent de rire et sifflèrent en me voyant dans une tenue aussi dégradante.


Je jetais un coup d’œil panoramique et retrouvais mes sandales sous la table basse, je les enfilais, ils se levèrent tous d'un même mouvement et nous partîmes.



  16 septembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



J'appartiens à Snake dorénavant Ch 2


I belong to Snake now Ch 2


Coulybaca/ Vulgus





    Chapitre 2 :  Où notre héroïne s'offre quelques tenues de pute et apprend à payer avec son cul !




   J'étais heureuse d'être enfin sortie de cet établissement où j'avais pensé être relativement en sécurité, je ne savais pas ce qu'avait programmé Snake et j'étais  légèrement inquiète.



  On partit en moto, je dus m'asseoir derrière lui, sur un siège minimum.


Je n'avais jamais fait de moto auparavant, j'étais terrifiée. Mon siège était en porte à faux sur les feux arrière. Il n'y avait pas de dosseret, rien qui pouvait m'empêcher de glisser en arrière.



  Il me montra comment caler mes pieds et m'ordonna d'agripper sa taille et me prévint que je ne devais en aucun cas lâcher sa taille, pas même une seconde.


Si je le lâchais, il arrêterait sa machine et me collerait une bonne fessée à cul nu quel que soit l'endroit où l'on se trouva.


Je lui dis que j'avais bien compris.


En fait dès le démarrage de la moto je démontrais que je m'étais pas montrée aussi attentive que cela! ......



  Il démarra, le son de l'échappement était dément, il était s brutal que cela ma déchirait les tympans! ....


Il accéléra encore, la moto se cambra, la roue avant quitta le sol et il s'engagea sur la chaussée.


Je faillis glisser de mon siège sur la route.


Comme on dévalait la contre allée menant à la voie principale je remarquais que ma jupe se relevait, je lui dis qu'il fallait que je la glisse sous mes fesses afin que le vent cesse de s'engouffrer en dessous, il me rétorqua que c'était trop tard maintenant.



  Ce n'était pas si mal au début, jusqu'au moment où il quitta la voie principale sur la quelle la vitesse était limitée à 60 km heure.


Soudain ma jupe roula sur mes hanches exposant mon bas ventre alors que l'on traversait le carrefour à l'entrée de la ville.


Je lui criais que nous allions nous faire arrêter mais il répliqua que cela ne le tracassait pas, que lui avait son pantalon en bonne place.



  Je commençais par jeter un coup d’œil circulaire histoire de savoir qui pouvait me voir, il y avait pas mal de monde, et plus spécialement les conducteurs de camion qui devaient bénéficier d'un magnifique point de vue.


Lorsque nous arrivâmes au premier feu, je pensais que ma jupe allait se remettre en place, mais ce ne fut pas le cas.


Les cotés retombèrent bien sur mes cuisses mais l'avant restait tirebouchonné exposant la totalité de ma fourche intime.


Je réalisais que je devais m'en accommoder et fermer les yeux en espérant que tout se passerait bien jusqu'au moment où nous arriverons à l'endroit où il avait décidé de m'emmener. J'essayais de plus y penser.



  Finalement il s'arrêta devant une boutique qui me parut totalement invraisemblable.


D'un coté du magasin se tenait un bar, apparemment un bar pour motards à voir le nombre de motos garées sur le parking.


De l'autre coté s'ouvrait sur une boutique de cuir et de lingerie sexy.



  Il me dit de descendre ce que je m'empressais de faire.


Je dus le suivre dans la boutique de cuir.


Lorsque nous sommes entrés, il y avait déjà une foule de motards sirotant des pichets de bière tout en plaisantant.


Ils levèrent les yeux, et, reconnaissant mon maître chanteur ils le saluèrent en chœur de son surnom.


-         "Salut Snake que racontes-tu? ...."


C'est ainsi que j'appris comment on le surnommait.


-         "Qu'est ce que c'est que cette gonzesse que tu trimbales avec toi? ....."



  -         "Snake! ...." pensais-je soudain, un surnom qui correspond particulièrement bien à ce suppôt de Satan! ....."



Je suivis Snake alors qu'ils s'approchaient pour serrer des mains d'un groupe restreint.


La plupart avaient des surnoms aussi évocateurs que le sien, le groupe était formé de quatre hommes et d'une femme.


Dans leur dos je vis une porte qui donnait sur une piscine où des gens s'amusaient tout en buvant et se distrayant au son d'une musique d'ambiance.


Ils discutèrent quelques minutes en m'ignorant, ce qui me souriait d'ailleurs.


J’étais extrêmement consciente du danger d'être vue en compagnie de Snake, et je priais pour que personne ne me connaissant ne m'ait vue chevauchant la moto pour nous rendre à cet endroit mal famé.



  Mais cela ne dura pas.


Il me tira devant lui et me présenta :


-         "Ma nouvelle salope elle commence tout juste son  l'entraînement! ....  Il y a juste une demi-heure se faisait baiser par des motards.....  Elle est en train de récupérer! ...."



  Mon visage s'empourpra alors que l'assistance, et même les filles éclataient de rire.



  L'un d'eux commenta :


-         "Alors finalement t'as trouvé chaussure à ton pied? ...."


Le colosse nommé Larry, qui paraissait être le patron demanda :


-         "Où t'es-tu dégotté une petite pute aussi classieuse? ...."



  Snake sourit et précisa:


-         "Je te raconterai ça en détail plus tard..... En gros, je fais chanter cette stupide connasse! .... C'est la nénette la plus naïve, la plus bécasse dont j'ai jamais disposé! ....  Tu vas avoir du mal à le croire, mais elle n'avait jamais sucé de bite avant ce matin! ..."



  Ils s'esclaffèrent en chœur :


-         Eh ben merde alors!  ....  C'est pas possible! ... Jamais! ...."



  Je me tenais tête baissée consciente de leur complet étonnement.


Snake reprit :


-         "Ouais et regardez-moi ces merdes qu'elle se fout sur le dos. Je te l'ai amenée pour acheter quelques bonnes tenues de salope! ......  Des fringues qui la mettraient en valeur! ....."



  Larry me reluqua longuement et nous emmena Snake et moi vers les étagères.


Je vis que trois hommes et plusieurs femmes nous suivaient. Nous nous arrêtâmes devant une étagère remplie de jupes courtes, elles étaient si courtes que je pensais qu'il était interdit de porter de telles nippes.


Il me demanda quelle taille je portais, et lorsque je lui eus répondu, il saisit une jupe une taille en dessous et me la tendit.


Il me dit alors de l'essayer.



  Je cherchais des yeux la cabine pour changer de tenue, Snake intervint alors :


-         "Es-tu sourde? ....  Essayes cette jupe! ..... "


Je soupirais sourdement que je cherchais la cabine pour me changer.



  Snake se moqua de moi d'une voix aiguë c'est alors que je réalisais que je devais essayer cette jupe sous les yeux des spectateurs ravis de l'aubaine.



  -         "Oh mon Dieu.....  S'il te plait Snake, ne me fait pas faire ça! ...."


La gifle arriva si vite que je ne la vis pas venir. Elle était si violente que mon visage tourna de 45°. J'étais trop choquée pour pousser un cri! .....


Je le regardais avec crainte, tremblante de peur, je ne comprenais pas pourquoi il m'avait giflée si violemment! ....


 D'une voix furieuse il m'expliqua :


-         "Premièrement, seuls mes amis m'appellent Snake, stupide connasse...  Toi tu t'adresses à moi en m'appelant maître ou monsieur... T'as compris? ...."



  Les gens qui nous entouraient étaient tout sourire, et se marrait comme si c'était vraiment amusant, même les filles semblaient s'amuser de mon attitude aussi naïve.



  Je hochais la tête et acquiesçais servilement :


-         "Oui monsieur! ..."


Je tremblais comme une feuille, peur et douleur mélangées, je ne voulais pas à nouveau le mettre en colère.


-         "Donne-moi la jupe que tu portes! ..... Fous-toi à poil ce sera encore le mieux! ...."



  J'avais bien trop peur pour tergiverser! .....


Je retirais prestement corsage et jupe et me glissais entièrement nue sous les yeux de Snake, Larry et des autres autres spectateurs..


Non, ils étaient plus de quatre maintenant, deux autres hommes avaient vu ce qui se passait et s'étaient joints à mes admirateurs.


Ils se tenaient contre le mur et assistaient ravis de l'aubaine, à mon humiliation.



  Ils avaient tous les yeux fixés sur moi estimant d'une façon générale que je n'étais pas mal foutue! .....


Je dus tourner sur moi-même tous purent voir Larry me tendre la jupe que j'enfilais.


Elle descendait tout juste sous mon entrecuisse et je pense que la raie de mes fesses devait être visible bien que je me tienne droite comme un "I".


Si je me penchais, bref il valait mieux que je m'abstienne de me pencher en avant! .....


La jupe s'enroulait autour de la taille et se boutonnait à la ceinture, c'était la seule fermeture.


Si l'on exceptait ce bouton tout le coté était grand ouvert.


Ils me firent arpenter l'allée de bas en haut, lorsque je passais devant eux il suffisait à mes admirateurs de tendre la main pour me peloter les fesses.


Je savais qu'il valait mieux que je me taise et  les laisse faire.



  Lorsque je rejoignis Snake et Larry, Larry tendit la main et empoigna mes nibards.


Je me tins tranquille, il serrait rudement mes nichons et me dit :


-         "On va voir si on peut trouver quelque chose pour couvrir tes miches! ...."


Sur ces mots il se mit à fouiller les étagères, il dégotta un "marcel" masculin avec des emmanchures extrêmement larges. Je l'enfilais et me rendis compte que cela laissait découvert les flancs de mon torse, on voyait clairement mes nichons au travers des emmanchures.


Je remontais une nouvelle fois l'allée et, cette fois, mes admirateurs me pelotèrent les miches en passant les mains par les emmanchures de mon maillot.


Même les filles en sourirent et me pelotèrent les nibards.



  Larry se saisit d'un autre haut à résille, j'enlevais celui que je portais et l'essayais à son tour, mes mamelons étaient entièrement visibles, la totalité de mes miches  était exposée, je me sentais plus exhibée que couverte.


Cette tenue accentuait la taille de mes nichons en les mettant en évidence.



  Larry et Snake empoignèrent deux autres brassières aussi provocatrices et décidèrent que j'avais besoin de deux autres jupes.


Puis Larry fit une nouvelle suggestion, il me mena vers un ensemble d'articles en cuir et il se saisit de ce qui paraissait être un harnais en cuir, il le glissa à mes bras et l'attacha dans mon dos.


Il était constitué comme un soutien-gorge, mais à la place des bonnets, il y avait des trous qui encerclaient les nibards tout en les exposant sensuellement.



  Ces tenues m'horrifiaient et je devais les essayer comme le ferait un modèle sous les yeux ravis d'une bande de motards hilares.


Ils me dirent de prendre mes vieux vêtements et de les poser sur le comptoir à coté de mes nouvelles tenues.


Puis ils m'emmenèrent dans un coin ou se trouvait une importante collection de chaussures et de boots pour la plupart des chaussures de pute bien entendu! .....



  J'étais assise sur un siége, entourée de nombreux spectateurs, Larry empoigna ma cheville et posa mon pied sur la toise.


Ma jupe avait remonté au-dessus de ma taille exposant mon buisson doré.


Jambes en l'air, ma foufoune se trouvait offerte aux regards de l'entière assistance.


Et Larry prenait tout son temps.


Il me mesura la plante des pieds et attrapa une paire de très hauts talons, il me les enfila aux pieds, s'assurant que je gardais les jambes largement écartées pendant toute la manœuvre.


Il enveloppa la langue lanière de fixations autour de mes chevilles et les boucla sur mon mollet, lorsque j'eus les deux chaussures aux pieds, il me laissa les poser au sol et se recula.



  Je dus me lever et marcher de long en marge.


J'étais si concentrée sur le fait de ne pas tomber que je n'avais pas remarqué que mes nibards étaient sortis des petits bonnets sensés les dissimuler aux regards.


Je marchais de long en large pendant une bonne minute prenant lentement de l'assurance en apprenant à marcher en bon équilibre avec ces chaussures.


Je jetais un coup d’œil furtif dans un miroir et réalisais alors que mes j'exhibais mes nichons et leurs mamelons dardés, je me pressais de les remettre en place dans leurs bonnets sous les rires des spectateurs.



  Puis nous retournâmes au comptoir face à la caisse enregistreuse.


Tandis que Larry demandait la facture, Snake déclara qu'il me préférait en "marcel".


J'enlevais mon harnais de cuir et enfilais rapidement le maillot pensant qu'il dissimulerait un peu mieux mes charmes, mais je ne tardais pas à déchanter, les emmanchures démesurées exposaient la totalité de mes nibards à qui regardait de coté..


Je cherchais à ajuster ma tenue, mais Snake m'ordonna de cesser de me trémousser, je lui obéissais laissant mes voisins jouir de la vue intégrale de mes miches.


Finalement la facture s'élevait à 275 $, j'avais du mal à le croire! ..... J'espérais que cela découragerait Snake et qu'il rendrait la marchandise au vendeur, mais il me dit :


-         "Payes ma chérie! ...."



  Je le regardais désorientée, incompréhensive, je n'avais pas d'argent sur moi, je n'avais pas pris mon sac lorsque nous étions sortis.



  Je balbutiais :


-         "Mais...  Mais... Je..... Je n'ai pas...... Pas d'argent sur moi! ...."



  -         "Tu n'es qu'une une grosse cruche! ..." siffla Snake sourdement.


-         "A quoi tu pensais pour faire des courses sans emmener d'argent? ....."


Les spectateurs souriaient et riaient à gorges déployées, ravis d'assister à cette scène.


Sauf moi bien sûr.



  Je ne pouvais que demeurer sans voix, désarmée.


Snake me jeta un regard vicieux et il calcula rapidement.


-         "Ok, voyons un peu...  275 $...... Je crois que nous devrions aller au bar pour voir ce qu'on peut tirer de ton cul! ....."



  Je couinais de désespoir alors qu'il me poussait vers la porte sonnant sur le bar, mais Larry l'arrêta dans son élan.


-         "Hey Snake, 50 dollars pour me la faire! ...."


Snake se tâta quelques secondes et surenchérit :


-         "75 $, et tu ne les regretteras pas, elle est quasiment vierge! ...."


-         "C'est d'accord! ...." répliqua Larry avec un certain enthousiasme.



  Snake me poussa vers Larry je chancelais sur mes hauts talons et lui tombais dans les bras.


Sous les regards concupiscents il me courba sur une table de service et se prépara à me posséder.


D'une chiquenaude il releva ma courte jupe sur mes reins et commença à me doigter la chatoune.



  -         "Merde! ..." grogna-t-il alors constatant la sécheresse de mon vagin.


-         "Aussi sèche que le désert de Gobi! ...."


Snake soupira :


-         "Désolé Larry mais comme je viens de te le dire c'est une nouvelle! ....  Elle n'a encore jamais travaillé! ...."


Les spectateurs gloussaient alors que Larry me saisissait  les cheveux me forçant à m'agenouiller au sol.


Il pressa mon visage contre son pénis et l'enfourna dans ma bouche rétive.



  -         "T'as dix secondes pour lubrifier ma bite! ..." grogna-t-il "C'est le temps que je te laisse avant de faire mon trou dans ta petite chatte crispée! ....  Je n'ai pas l'intention de te faire mal, mais je ne veux pas que la sécheresse de ton vagin irrite la peau da ma bite! ......"



  Je fis de mon mieux, utilisant ma langue autant que possible, Sa bite était de taille ordinaire, j'en fus surprise eu égard à sa stature, elle paraissait petite en comparaison de sa taille gigantesque.



  Après s'être longuement enfoncé dans mon arrière-gorge, il se retira, me courba sur la table, retroussa ma courte jupe, écarta mes cuisses en grand et engouffra son épaisse colonne dans ma chatte.


Je réalisais alors que j'étais loin d'être sèche! .....


Apparemment il s'était enfoncé dans ma bouche pour lubrifier sa queue, mais c'était inutile, ma foufoune était déjà  inondée de cyprine, je suppose que c'est d'avoir du parader nue devant tous ces inconnus qui m'avait excité mécaniquement.



  Il s'enfonça profondément en moi et se mit alors à me labourer frénétiquement, il me ramona longtemps avant qu'enfin je ne le sente éjaculer sa grasse semence au fin fond de mon utérus.


J'étais bien au-delà des larmes! .....


Je restais courbée sur la table lorsqu'il se retira de ma chatte, attendant passivement les ordres à venir.



  Apparemment un autre client s'était déclaré alors que Larry utilisait ma chatte, il s'empressa de le remplacer.


Larry sortit par la porte du fond et revint rapidement avec une caisse de bières et une douzaine de motards.


C'est alors que je les entendis prononcer ces termes terribles : gang bang, moi qui pensais qu'ils abuseraient de mes charmes un à un! .....


Je me rappelle être restée courbée sur la table alors que deux hommes me forçaient simultanément, puis je dus me mettre à quatre pattes, de cette façon avec embrochée sur une bite je me faisais enculer tandis qu'une bite nerveuse s'enfonçait dans mon arrière gorge et que je branlais deux derniers clients.



  Je ne sais pas exactement quand, mais on me déshabilla à nouveau. Je me rappelle avoir entendu Snake qu'il était inutile de souiller mes vêtements neufs.


Je ne sais pas combien de clients je dus satisfaire ce jour là, certains me prenaient puis se reculaient pour jouir du spectacle que je leur offrais, d'autres partaient après m'avoir sautée.


D'autre homme et quelques couples défilaient dans le magasin ignorant que je me faisais violer à coté de la caisse enregistreuse.


La femme qui  était restée tout le temps de mon épreuve me prit par le bras et me dit :


-         « Viens avec moi ma chérie..... Viens te laver le cul.....  Tu dégoulines de foutre! ..... »


Alors que nous nous éloignions, je me rendis compte que l'un des spectateurs avait filmé la totalité de ma performance, il tendait la caméra à Snake alors qu'on m'emmenait.



  En fait c'était un véritable gâchis : le sperme de ces hommes qui m'avaient culbutée coulait à flot le long de mes jambes, des filets de semence décoraient mon menton pour ensuite se couler dans mon cou.


J'étais incapable de dire combien d'hommes m'avaient possédée, j'avais tenté de les compter, mais j'avais du abandonner, ils étaient trop nombreux.



  Toujours entièrement nue, la femme m'emmenait vers les toilettes pour dames, des sifflets enthousiastes et des commentaires salaces saluaient ma progression.



  A peine la porte des toilettes fermée dans notre dos, je tombais à genoux et me mis à geindre comme une petite fille désespérée.


Mon accompagnatrice me dit alors :


-         « Allez chérie...  reprends tes esprits.....  Garde le contrôle de tes réactions! .....  Snake ne t'amènera pas ici tous les jours! .... Si tu vois ce que je veux dire! ..... »


Je ne comprenais pas ce qu'elle sous-entendait, Snake m'effrayait, finalement je réussis sécher mes larmes et le relevais.


Je la regardais et lui dis :


-         "Je voudrai mourir! ....."



  Elle me sourit et répliqua :


-         "Chérie, tu ne lui obéirais pas si tu voulais vraiment mourir...... Snake fait de toi sa chose......  Comment est-il parvenu à refermer ses griffes sur toi? ....."



  Tout en parlant, elle m'aidait à me nettoyer de toutes ces traces de sperme qui souillaient mon visage et mon corp



  -         "Je ne sais pas très bien... " Répondis-je sourdement


-         "Il m'a appelée tôt dans la matinée..... Je répondis à un appel, une voix autoritaire me dit alors de consulter ma boite aux lettres.....  Je m'exécutais et trouvais des  photos de moi très compromettantes, dont certaines en sous-vêtements......  S'y trouvaient aussi la copie de discussions libres que j'avais eue avec des inconnus......  C'était des propos très érotiques, mais totalement fantasmés! ......  Je n'avais jamais fait ce que je décrivais! ..... Ces interlocuteurs étaient sensés habiter aux antipodes! ..... Il m'ordonna de le rejoindre chez lui à 9 heures, et là il m'a violée et reviolée! ..... Je me laissais faire, mais c'était tout de même des viols! ......  Il me prit en photos et enregistra des rushs de moi nue et souillée de foutre... il me menaça de ruiner ma vie.....  Je pourrai aussi bien mourir maintenant......  Lorsque mes parents, mon pasteur ou mon mari apprendra ce que j'ai fait! .....  Mon Dieu que pourrai-je faire? ....."



  -         "Je suis désolée pour toi ma chérie, mais tu me sembles une proie idéale! .....  Je pense que Snake va garder ton secret... Parce que tant qu'il le taira, il gardera une énorme emprise sur toi! ......  Je pense que tu ne peux que lui obéir en espérant que tu n'en souffriras pas trop! .....  Et maintenant retournons avec eux, tu es aussi propre que tu peux l'être sans prendre de douche! ....  Allons-y! ....."



  Sur ces mots elle me poussa hors des toilettes pour retourner au bar, les sifflets et les commentaires salaces saluèrent mon retour dans la salle.


Puis je retournais dans le magasin, où je pus ré-enfiler mes chaussures, ma micro-jupe, et le tee-shirt, je me sentais mieux, bien qu’aussi peu  vêtue, après avoir été aussi longuement exposée aux regards concupiscents de ces hommes.



  Snake me tendit le sac avec les vêtements qu'il avait choisi et une facture phénoménale.


-         "On a fait un sacré extra dans cette boutique, Je le fends avec vous."


 


Je regardais stupidement la facture, et à la paire de billets de banque qui l'accompagnait.


10 dollars pour salaire de mon gang-bang! .....


Je me contentais de souffler :


-         "Merci monsieur....."



  Snake lui sourit et nous retournâmes au bar vider une paire de demis.


J'avais passé tant de temps entièrement nue que je ne faisais pas attention au fait que mes nibards et mon cul étaient découverts.


Normalement je ne bois jamais de bière, mais je sirotais toutes les bières que Snake commandait.



  Snake dit au revoir à ses copains et nous étions sur le point de sortir lorsque l'un des hommes accoudés au bar intervint :


-         "Hey Snake, si tu veux, je peux déposer ce sac chez toi dans la soirée, je suis en camion... "


Snake répliqua :


-         "Merci Mickey...  J'apprécie ton geste! ....." et il lui tendit le sac.



  On sortait lorsque je réalisais que mes vêtements initiaux se trouvaient dans le sac.


-         "Monsieur... " commençais-je craintivement "Puis-je dire quelque chose? ...."



  Il me jeta un coup d’œil intrigué et m'interrogea :


-         "Que veux-tu salope? ...."



  -         « Monsieur, je devrai rentrer chez moi tout à l'heure... Je ne peux pas le faire dans cette tenue! .....  Mes vêtements se trouvent dans le sac..... »



-         "Tu rentreras chez toi dans la tenue que te dirai! ......  Tu  portes ce que je veux quand je le veux! ...... As-tu une autre question? ...."


-         "Non monsieur....." soupirais-je désespérée. Je reprenais ma route résignée à retourner chez moi dans cette infâme tenue de pute.



  Mais avant que nous sortions du bar, Mickey ajouta :


-         "Hey Snake, si ta pute me fait une autre pipe, je te ramène le sac chez toi d'ici un petit quart d'heure! ..... Est ce d'accord? ..."


Snake lui sourit et répliqua :


-         "Ca marche pour moi! .....  Es-tu d'accord salope? ....."



  Comme si j'avais le choix! .....


-         "Oh oui monsieur, si c'est ce que vous voulez! ...."



  Des spectateurs explosèrent de rire et l'un d'eux commenta :


-         "Bordel Snake, elle est drôlement arrangeante...... Tu cueilles son pucelage ce matin et ce soir elle connaît déjà sa place...  J'aimerai que tu me formes une pute de cette façon... "



  Snake rit à pleines dents et répondit :


-         "Merde alors, je ne sais pas Bubba, c'est beaucoup de travail et de sacrifice pour y parvenir... Peut-être bien qu'on pourrait en trouver une avec un peu de cervelle! .....  Ce serait d'autant plus facile que ce ne serait pas une sombre idiote! ....."


Ils explosèrent à nouveau de rire à mes dépens, et nous sortîmes sur ces derniers commentaires salaces de Snake.



  Il enfourcha sa moto et je m'assis derrière lui.


Mais cette fois il ne m'obligea pas à boucler mes mains autour de sa taille, je posais les mains sur ses épaules.


Cela me semblait beaucoup plus évident.


Mes nichons étaient totalement exposés  à la vue des véhicules qu'on côtoyait, et dès que je bougeais ma minuscule jupe bouchonnait et devenait pratiquement inexistante, il me dit de ne la redescendre que si on croisait des flics.



  Bien sur, dès que je bougeais ma micro jupe s'envolait et mes emmanchures s'élargissaient  livrant tous mes charmes aux voitures qui circulaient.


Les chauffeurs klaxonnaient et me hurlaient leurs encouragements salaces tout le long du chemin de retour. Je ne sais pas si l'on croisa des flics, je tenais mes yeux hermétiquement fermés.



  On arriva à son domicile vers 14 heures, je devais rentrer chez moi pour 16 heures.


Peut -être bien qu'il serait las de me torturer pour ce jour,  et qu'il me laisserait partir tout de suite! ....


Ce que je pouvais être stupide! .....



  On pénétra dans la maison, il m'envoya dans la salle de bain prendre une douche rapide.


Je lui demandais une serviette propre, Snake rit et dit :


-         "T'as encore de la chance que ne t'oblige pas à t'essuyer avec mes sous-vêtements sales! ..."


Je le croyais. Je pris une douche rapide et me sécha avec la serviette la moins souillée que je trouvais, puis-je remis mes nouveaux vêtements et revins dans le salon.



  -         "Tu n'as pas besoin de t'habiller quand on est à la maison! .....  Tu ne dois les porter que lorsque l'on sort! ..... "



  Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait dire, puis, je vis son visage se crisper et il me balança une sévère beigne.


Les vêtements, je ne devais pas porter de vêtements dans sa maison, pour ce qu'ils cachaient d'ailleurs! .....



  Je me dévêtais prestement et me penchais pour enlever mes chaussures, mais il me dit de les garder aux pieds.



  -         "C'est très bien ma chérie... " concéda-t-elle sur le ton de la conversation, on a un peu de temps à tuer.


-         "Qu'aimerais-tu faire? ...."


-         "Tout ce que vous voudrez maître..." répondis-je aussi obséquieusement que possible.


-         "Peut être bien que tu pourrais trouver quelque chose à sucer en attendant que Mickey ne ramène tes vêtements! ....  Qu'en penses-tu petite salope! ....."



  -         "Oui maître... "


Que pouvais-je répondre d'autre ?


-         "Alors demande-le-moi! ...."


Il voulait que je lui demande de sucer sa bite! ....


Je pris une profonde inspiration, il m'avait déjà giflé deux fois aujourd'hui et je ne tenais pas à me prendre une troisième claque.



  -         "S'il vous plait maître, pourrais-je sucer votre pénis? ...." demandais-je servilement.



  -         "Mon quoi? ...." m'interrogea-t-il incrédule.


-         "Stupide salope...... Si je t'entends encore dire un mot comme cela, je te flanque une rouste! ......  M'as-tu bien compris? .....



  Je pensais que oui.


J'ignorais seulement de quels termes je devais me servir, et même si je connaissais ce vocabulaire qu'il voulait que j'emploie.


-         "Je suis désolée monsieur, je n'ai jamais employé ses mots..... Je ferai de mon mieux je vous le promets! ...."



  -         "Que veux-tu dire, tu n'aurais donc jamais employé de termes grossiers! ....."


-         "J'ai parfois dit merde quelque fois et parfois bordel! ...." rétorquais-je avec hésitation.


Je vis alors son visage s'empourprer et je comptais mon erreur.


-         "Je suis désolée monsieur, je veux dire que je n'ai jamais dit que merde! ...."



  -         "Poste-toi devant moi salope! ...."


Lorsque je fus en place, il m'intima :


-         "Montre du doigt les endroits les plus importants de ton corps et cite-moi leurs noms! ...."


-         Ca s'avérait plus difficile que je l'avais pensé, eu égard aux épreuves que j'avais endurée toute la journée.



  Je désignais ma poitrine et dit :


-         "Mes nibards... " puis, je dirigeais mon doigt vers mon vagin et ajoutais :


-         "Mon con... " puis désignant mon anus :


-         "Mon trou du cul... "



  Il désigna alors son pénis et me demanda :


-         "Et ceci? ...."



  -         Une bite..." répondis-je docilement, j'écoutais ces mots couler de ma bouche pour la première fois, cela me gênait énormément.



  -         "Une bite et quoi encore? ...."



  -         "Une bite et des couilles! ...."



  -         "Désormais tu n'emploieras plus d'autres termes que ceux-là, mets-toi bien ça en tête! ....  Tu m'as compris salope? ....."


-         "Oui monsieur... " répondis-je misérablement.


-         "C'est bon... " coupa-t-il " Et maintenant ramène ton cul et suce ma bite.....  Et t'as intérêt à ce que ce soit bien fait! ...."



  Je me dirigeais vers son entre-cuisse, mais il m'arrêta descendit son pantalon et son caleçon et s'assit face à moi.


Je le débarrassais de ces vêtements, il allongea ses jambes et je commençais par lui lécher les burnes.


La puanteur de ses organes génitaux était abominable. Il avait déjà eu des rapports sexuels avec moi, enfin ce n'est pas tout à fait juste, en réalité il m'avait baisée avant que nous quittions la maison ce matin même et il ne s'étirait pas lavé depuis.



Je ne crois pas qu'il m'avait baisée à nouveau dans le magasin, il était bien trop occupé à encaisser le fric de ces mecs qui voulaient me baiser.


Cela voulait donc dire son éjaculation avait séché... 


Le foutre séché qui souillait sa queue et ses couilles dataient donc de quatre bonnes heures plus tôt.


De toute manière il semblait que sa dernière douche remontait à longtemps.



  Je lui léchais les burnes, respirant par la bouche autant que possible pour éviter de renifler la puanteur, comme je lui léchais les burettes, sa gosse bite frottait contre mon visage.


Après quelques minutes il releva ses jambes sur les accoudoirs de son fauteuil et m'invita à approcher.


-         "Allez chérie, enfouis ton visage entre mes cuisses...... Léche mon trou du cul comme tu le ferais pour une petite chatte! ...."



  Je n'avais pas le courage de lui avouer que je n'avais jamais mignoté de chatoune, aussi enfouissais-je mon visage dans sa raie du cul et je léchais le pourtour de l'étroit oeillet.


C'était infâme. Je ne vous dis le goût qui s'en dégageait.


Mais je me débrouillais pour lui complaire, et bientôt il reposa ses jambes au sol et me dit :



  -         "C'est bon, et maintenant voyons si tu arriveras à me faire éjaculer avant l'arrivée de Mickey......"


Je ne l'avais pas vraiment sucé auparavant. Il m'avait baisé en bouche! ....


Mais j'avais une idée, je posai les lèvres sur son gland et commençais à le sucer avec enthousiasme.


Il s'enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche, j'essayais de le contenter sans étouffer.


Mais malgré tout mon bon vouloir, je ne parvenais pas à l'introduire dans ma gorge, j'avais peur qu'il ne me gifle violemment  aussi tentais-je de tout mon cœur de l'absorber au-delà de ma luette.


Un moment plus tard il se lassa de mes vaines tentatives, il me saisit la tête et donna un violent coup de rein, il me contraignit à savourer sa présence, puis il me libéra en remontant ma tête.


Il répéta plusieurs fois le même processus.


Après plusieurs tentatives il accrut encore  la violence de son coup de boutoir et à ma grande surprise, horrifiée, je le sentis s'enfoncer dans mon arrière-gorge.


C'était douloureux, mais je me rendis compte qu'en m'appliquant, je parvenais à respirer par le nez.



  Il se préparait à juter et m'en prévint.


Lorsqu'il cracha ses lourds jets de foutre, i se débrouilla pour que seul son gland se trouve entre mes lèvres,  je pus ainsi savourer pleinement le remplissage de ma bouche. Je pouvais ainsi profiter de toute la saveur de son foutre.


Je me retirais et finis de le faire juter en le branlant d'une main caressante.


Juste avant de me remplir la bouche de sperme, il m'avait prévenu :


-         "N'avale tant que je ne te l'aurai pas dit salope! ......"


Aussi restais-je quelques instants la bouche pleine de son amère potion.



  Je me débrouillais pour contenir mes hauts le cœur, dès qu'il eut fini de vomir sa gourme il se retira de ma bouche  et me regarda les joues gonflées de foutre.


-         "C'est bien ma chérie, on va avoir une sacré dose de plaisir tous deux, tu apprends vraiment très vite, je vais faire de toi une bonne petite salope en u temps record! ....."



  -         "Et maintenant quelques règles : tant que je ne te dirai rien d'autre, tu viendras chaque matin, je te dirai à quelle heure la veille, s'il y a un changement de plan, je te le téléphonerai.......   Une fois rentrée chez toi tu pourras porter ce que tu veux, mais lorsque tu viendras chez moi tu mettras tes tenues de pute et il vaudrait mieux que je ne te trouve jamais portant des sous-vêtements! ....."



  -         "Oui monsieur....." marmottais-je sourdement la bouche toujours pleine de foutre.


-         "Tant que je ne serai pas lassé de toi, et  je ne sais pas dans combien de temps cela arrivera, tu feras tout ce que je veux sans me poser de questions, sans proférer la moindre remarque, et cela inclut le fait de sucer ou de te faire baiser pat tous ceux que je te désignerais, hommes, femmes, bêtes.....  As-tu une question à poser? ...."


-         "Non-monsieur... "  répondis-je humblement.


J'entendis à cet instant un véhicule se garer devant la maison, Snake m'intima d'avaler le foutre que j'avais en bouche.


J'avalais tout avec allégresse, j'espérais désespérément qu'il m'offrirait une boisson qui me permettrait d'estomper cet ignoble fumet que j'avais en bouche.


Snake me poussa vers la porte m'ordonnant :


-         "Va ouvrir la porte! ......"


-         "Bien monsieur....." je traversai de la pièce et ouvrais la porte juste au moment ou Mickey arrivait mon sac de vêtements à la main.


Je m'écartais pour le laisser passer, mais il me poussa devant lui et dit :


-         "J'adore te voir marcher devant moi! .....  tourne du cul! ...."



  Ces mots m'avaient toujours gênée, je ne les utilisais jamais bien sur, mais j'étais consciente que laisser les employer en parlant de moi était tout aussi humiliant.


Je haïssais ce type de comportement, mais il est vrai que pour eux je n'étais qu'un con à remplir.



  Mickey jeta le sac sur le canapé et m'attira à lui.


Snake intervint :


-         "Tu ferais mieux de ne pas lui rouler de pelle, je viens de lui coller une sévère giclée de foutre en pleine gorge! ....."



  -         '"Est-ce bien vrai salope? ...."



  -         "Ouvre grand ta bouche que je vois ça! ...."


J'ouvrais docilement ma bouche.


-         "Ouvre la plus! ...." m'ordonna-t-il sèchement.



  Je m'efforçais de l'ouvrir encore plus lorsque soudain je sentis qu'il tordait mes nichons de son autre main.


-         "Force-toi ma chérie, je suis sur que tu peux faire mieux! ...."


J'ouvrais la bouche aussi grandement que possible, au point de disloquer mes mâchoires.


J'avais peur qu'il ne soit pas encore content.



  Il me regarda alors droit dans les yeux m'interdisant de détourner le regard.


Puis il se pencha sur moi, me tenant par la chevelure d'une main, tordant mes nichons de l'autre et il cracha droit dans ma bouche, et il recommença encore et encore.


J'étais épouvantée jamais, je n'avais imaginé qu'on me ferait endurer une telle infamie, je n'avais jamais entendu parler de ce genre de rapport.


Tout mon corps tremblait de révulsion, mais je ne bougeais pas d'un poil si l'on excepte ces tremblements convulsifs.


Ce type était bien pire que Snake.



  Il lâcha finalement mes cheveux et m'ordonna de tendre la langue. puis il lâcha mes nichons et entreprit d'enlever son pantalon, il le descendit sur ses genoux et m'intima :


-         "Je pense ma bite n'est pas assez lubrifiée... penche-toi, fais moi bander, enduis ma queue de salive que je puisse te baiser facilement! ...."



  Il se pencha encore et j'embouchais sa mentule. Sa bite n'était pas aussi grosse que celle de Snake et cela prit du temps avant qu'il ne parvienne à s'introduire dans mon arrière gorge.



  -         "Eh bien mon salaud! ... " s'esclaffa-t-il s'adressant à Snake


-         "Tu prétends que cette salope n'a jamais sucé de bite auparavant! .... Est-ce vrai? ......  Bordel ce qu'elle est bonne! ...."



  Snake lui répondit fièrement :


-         "C'est ce qu'elle prétend... Et je l'ai crue après sa première pipe! ......   Elle ne savait vraiment pas sucer une bite.....  Mais sa chatte était si étroite et goûteuse en compensation! ..... Merde alors,  elle était quasiment vierge! .... Une salope de 22 ans mariée à un connard à petite bite depuis moins d'un an... Elle m'a dit qu'elle était arrivée vierge à son mariage! .....  Tu crois ça mec! ...."



  -         "Eh ben mec t'as vraiment une chance de cocu, qu'elle bon coup! ....."



  Il me repoussa brutalement et m'enjoignit de m'allonger sur le dos pour qu'il puisse vérifier l'étroitesse de mon chaton.



  Je m'allongeais selon son gré comme une petite chienne bien dressée, instantanément il s'étendit sur moi.


Une nouvelle fois je fus surprise de contraster que mon vagin, pardon ma chagatte était à nouveau trempée de cyprine, prête à l'accueillir.


Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.



  Il fora sa grosse bite dans ma chatoune et entreprit de me labourer vigoureusement.


Il semblait que tous les motards oeuvraient ainsi à en juger par mon récent gang bang! ......


Je ne sais pas s'il m'avait déjà baisée cet après-midi, mais il me chevaucha longuement avant de gicler en mi.


Au début je me contentais de subir passivement attendant qu'il en finisse.


Ma foufoune était douloureuse, et je n'espérais qu'une chose rentrer rapidement chez moi.


Mais après un bon moment je commençais à sentir mes sens répondre à ses assauts. Je me mis à gémir et lorsqu'il se pencha sur mon torse et entreprit de mâchouiller mes tétons, je commençais à jouir lourdement.


Lorsqu'il exulta à son tour, il me mordit si sévèrement un téton qu'une tache de sang en décora l'aréole.



  Il resta étendu sur moi une bonne minute, reprenant ses esprits, puis il se releva, me fit mettre à genoux et m'invita :


-         "Il semblerait qu'il y ait une chose que Snake ne t'a pas encore enseigné ma petite chérie..... Lorsqu'un mec est assez gentil pour te baiser fougueusement, tu dois ensuite le remercier en lui nettoyant la queue rapidement! ...."



  Je pris une profonde inspiration et je pris sa bite souillée en bouche faisant de mon mieux pour la nettoyer aussi vite que possible de façon à en savourer le moins longtemps possible le goût et de pouvoir à nouveau respirer librement.


Mais une fois que j'eus correctement nettoyé sa bite, je dus faire de même avec ses burnes aux flagrances plus que douteuses.


Je me débrouillais pour cacher mon dégoût de peur des répercussions.



  Enfin Mickey se recula et remonta son pantalon.


-         "Merci Snake, si tu as besoin d'un coup de main pour dresser cette pute, pense à moi je serai heureux de pouvoir t'assister! ...."


-         "J'apprécie ton offre! ..." répliqua Snake hilare.


-         "Ravi de t'avoir fais plaisir Mickey, à la revoyure! ...." et sur ces mots, Mickey nous quitta.



  Snake se tourna vers moi et me dit :


-         "Je veux te voir demain à 7 heures du matin, salope... Amène des produits de nettoyage ainsi qu'un aspirateur...   Ma femme de ménage n'est pas venue depuis un bon moment, aussi t'occuperas-tu du ménage demain..... et maintenant tu peux riper tes galoches! ...."



  Je sortais ma tenue usuelle du sac, mais Snake m'arrêta me disant de garder la tenue de cet après-midi, lui obéissant aveuglement je remis ma tenue de salope.


Je faisais tout pour partir rapidement et rentrer chez moi prendre une bonne douche avant de réfléchir à la façon d'affronter mon mari, mes parents, mon pasteur, mes amis, et tous ceux que je devrais rencontrer à un moment ou à un autre.



  Je gagnais ma voiture, tachant de ne pas me faire remarquer, que les gens me connaissent ou pas.


Les voisins de Snake semblaient vaquer à leurs occupations sans s'occuper du reste.


Je vis des gens qui travaillaient dans leurs jardins, mais personne ne sembla me jeter de coup d’œil inquisiteur.







      6 novembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




J’appartiens à Snake désormais Ch 3


I belong to Snake




   Chapitre 3 : Le dressage commence, elle sert d'abord de femme de ménage à son tourmenteur puis de vide couille à ses amis !





    Je rentrais rapidement chez moi, en approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.


Cela importait peu, je rentrais tout droit au garage et refermais la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignais mon sac et me ruais dans la salle de bain, je me débarrassais de mes fringues putassières et préparais une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.


Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.


Je m'habillais et préparais le souper.



  Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un message de mon mari pendant la journée.....


Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les informations.


Nous avions un ordinateur pour la seule raison qu'il avait parfois besoin de travailler à la maison.



  Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la société, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore mois regonfler les batteries.


Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de sombrer dans les bras de Morphée.



  Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte.


Nous lisons souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale.



  Et voila que j'étais devenue une pute, une salope


-         "Oh mon Dieu, qu'allais-je faire ? ....."


Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin! .....



  Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'entendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pensais :


-         "Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé autant d'hommes dans la journée? ...."



  Je me débrouillais pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient violée. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche! ....


J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes  capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes! .....



  J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille! .....


Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir.


Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.



  On regarda en chœur les informations, plus particulièrement avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait.


Nous votions républicain quoi qu'il arrive! ....


C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas


Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas! .....


La pollution était un mythe.



  Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement.


Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit! ....



  Je regardais l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de retourner à la maison de Snake.


Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne sonne le réveil, j'arrêtais la sonnerie  me levais et préparais le petit déjeuner de mon mari. et j'avalais une tasse de café.


C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer! .....



  Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeais mon équipement de lavage dans la voiture pris une douche rapide et enfilais ma tenue de salope.


Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.


Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrémal courte qui exposait une large potion de mes miches.


Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.


Je grimpais dans ma voiture et me pressais de gagner la maison de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait son petit déjeuner lorsque je frappais à la porte, il me hurla d'entrer, je posais mon équipement de lavage et retournais à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.



Lorsque j'eux descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevais ma tenue de pute et jetais un coup d’œil circulaire pour déterminer par quoi commencer.


C'était, et de loin la maison la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposais que ce par quoi j'allais commencer importait peu.



Je gagnais la cuisine pour demander à Snake ses instructions.


Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler son repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé? .....


Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandais s'il avait des instructions particulières à me donner.


-         "Ouais je vais aller me reposer un moment  je veux que tu te remues ton petit cul, mais sans te crever! .....  Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard! ...... Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine,  et le salon et que tout soit impeccable! ..... Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes! ......"


Je lui demandais où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne disposait de rien qui m'aurait facilité la tâche.


Je commençais par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue.


Snake se recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :


-         "Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre...   Je dors mieux les couilles vides! ....."



  Je posais tout et le suivit dans la chambre, un seul coup d’œil à sa chambre suffit à me rendre malade.


Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit.


Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie? ......



  Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés.


J'étais incapable de discerner leur couleur originelle.


De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançais dans sa piaule.


Je pensais tout d'abord :


-         "Quel porc! ...." puis, je réalisais que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt! ..... »



  Je rampais sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me retourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune.


Le parfum qui se dégageait de son entrecuisse couvert de sueur était innommable.


J'hésitais un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchais et entreprit de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattais de la langue.


Je cajolais alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.


Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'intéressait pas vraiment.



  J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.


Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux.


D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt qu d'y être forcé.


Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrais pas le temps passé à le cajoler.


Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalais le foutre tiède et lui nettoyais minutieusement la bite.


J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer.



  Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler! ....


Je me glissais dehors et fermais la porte et m'empressais de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.



  Je décidais de commencer par la minuscule cuisine, elle était répugnante, mais si petite que j'espérais que cela ne me prendrait pas beaucoup de temps pour la nettoyer.


D'autant plus que vu j'avais les piles d'assiettes salles dans sa chambre.


Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était auparavant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.



  Je passais au salon. Je ne trouvais pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait.


Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passais l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière.


Puis, je me préparais un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette.



  J'étais épuisée, mais je n'osais pas m'arrêter! ...


Je transportais mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyais celui-ci à son tour.


J'évitais de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir.


Je sortais l'aspirateur par la porte de devant et le rangeais hors de mon chemin, rassemblais mes produits de décrassage et gagnais la salle de bain.


Je commençais par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottais et frottais avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait.


Je nettoyais les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant.


Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottais le sol à plusieurs reprises avant de le cirer.



  J'en terminais finalement.


J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce.


Il leva la lunette des toilettes se tint en face, sortit sa grosse bite et projeta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.


Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait? ..... Bordel de merde! .....



  J'attendais qu'il en eut fini et je revenais vers cet endroit qu'il souillait.


Le flot de son urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol.


Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit.


En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordonnant :


-         "Fais-moi une petite pipe ma chérie! ..."


Je frémis à cette idée.


Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas? .....


Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture.


Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.


Aussi ouvrais-je misérablement la bouche qu'il se glisse entre mes lèvres.


Une goutte de pisse tremblait suintait encore de son méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci.



  Il me tapota la tête puis regagna son lit.


Je nettoyais à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain.


Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayais-je soigneusement, le lavais et l'épongeais.


Pour finir j'époussetais et cirais le salon.



  Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.


Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans.


Aussi nettoyais-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminais et pris une profonde respiration.


Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos.


Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les endroits que je venais de nettoyer.


Je gagnais la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode.


Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.


Je regardais l'horloge, et à ma grande surprise je constatais que cela faisait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche.


Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour.



  Je terminais mon coup d’œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce.


Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.



Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyais sa bite à pleine bouche, puis il constata :


- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot! ..... Demain tu t'occuperas de la chambre et de la lessive! ..... Reviens à la même heure......  Et maintenant rhabille toi et vas-t'en! ...."



  Je ne comptais pas m'en tirer à si bon compte, je le quittais après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois.


Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain! .....


En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi de toute manière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée.



  Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.



  Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arrivée.


Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre.


Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :


-         "Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien......"



  -         "Oui tu pourrais stupide connasse! .... Mais tu vas te rendre à la laverie automatique de Dorchester... Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refuser à qui que ce soit! ..... Si un gugusse te met la main au cul, ou te tate les nichons, tu lui souris...  S'il te dit de le sucer ou de te pencher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit! .... Je me suis arrangé pour que ta prestations soit surveillée par un bon ami...   Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir! .....  C'est bon? ...."



  -         "Oui monsieur....." soupirais-je cherchant désespérément à cacher ma déception. Je me dépêchais de gagner sa chambre et je rangeais les assiettes sales dans l'évier, puis je triais le linge à laver, il me semblait  impossible que je puisse tout laver en une journée! .....



  Je nettoyais la chambre, balayais le plancher, époussetais, ouvrais le lit, retournais le matelas, mais il était aussi dégoûtant que l'envers que sur l'endroit.


Puis je chargeais le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs.


Je me dirigeais vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.



  -         "Tu aimerais que je dorme bien? ....  Tu sais ce qu'il faut faire pour cela! ....."


-         "Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable? ....."


-         "Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe! ....."


-         "Oui monsieur! ...."



  Je fis de mon mieux et ne tardais pas à partir pour la blanchisserie, le goût de son foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.



  Je me garais et jetais un coup d’œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre! .....


Je décidais que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plusieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands.



  Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.



  Je déchargeais le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines.


Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lavages.


Il y avait 4 personnes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient attentivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier.


Je m'assis et cherchais à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restais les yeux braqués sur la page attendant la fin du lavage.



  Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandais su l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake.


Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.


Du coin de l’œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à cote de moi et me demanda :


-          "Hey chérie que lis-tu ? ......"


Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.



  -         "Ta peau semble douce! ...." me dit-il.


-         " T'as de beaux cheveux.....  Un joli corps...   Une véritable perfection... " et, tendis qu'il me complimentait  sa main s'approchait de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire.



  Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur copain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien.


Et je ne pouvais toujours que leur sourire.



  Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre cote de moi.


Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir son pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma chatoune.


Et je ne pouvais toujours que sourire.



  Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards.


Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne......


Les deux qui ne me molestaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste.


Et je souriais toujours.



  Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toison rousse.


Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.



  Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d’œil.


Puis, je dus m'agenouiller et dès que je me penchais en avant je me retrouvais avec une grosse bite en foufoune et une autre en bouche.


Par chance ils jouirent juste à l'instant ou les machines à laver s'arrêtaient.


Je demandais aux deux autres de me laisser remettre mon linge dans mon panier avant qu'ils ne me sautent à leur tour.


Et une fois qu'ils se furent tous satisfaits dans mes orifices, ils m'entourèrent à nouveau et me prirent en sandwich.


Et je souriais toujours.



  Je me débrouillais pour leur demander de m'aider à terminer ma lessive, ce qui fait que j'en eus fini bien plus tôt que je l'avais pensé.


Ils me reprirent alors une fois de plus, puis je rentrais chez Snake.



  Je m'appliquais à rentrer discrètement pour ne pas le réveiller.


Mais il était déjà levé.


Il me jeta un  oeil et explosa de rire, je dus lui raconter comment cela s'était passé, sans éviter les détails sordides.


Puis, je lui fis une pipe, il jeta un oeil sur sa montre et s'écria :


-         "Bordel chérie...   Mon copain va être drôlement déçu.....  Il était sensé te surveiller pendant encore une heure... BORDEL! .... »


Je pris une douche rapide, me servais d’une serviette et rangeais les autres! ...."


Je fis le lit puis lavais les couverts et assiettes que j'avais ramenés de sa chambre ce matin.


Puis je rinçais ma brassière dont le haut était souillé de sperme, il n'y avait pas de toilettes dames à la laverie.



  Il se faisait tard et j'étais pressée de regagner ma maison.


J'attendais que Snake  se serve de moi à nouveau mais il téléphonait sans me prêter attention.


Je devais partir rapidement pour préparer le souper et cela commençait à me préoccuper.


Je vis soudain une voiture se ranger à l'extérieur et je jetais un coup d’œil anxieux à Snake.


Il me fit signe d'aller ouvrir la porte.


J'invitais à entrer le couple qui attendait derrière la porte. Je ne les avais jamais vus auparavant.


Ils me mangeaient du regard.



  Finalement Snake reposa son téléphone et me révéla que c'était le couple qui était sensé me surveiller à la laverie, il leur dit ce qui s'était passé et ils explosèrent tous trois de rire. Puis la femme s'assit, releva sa jupe et m'intima :


-         Viens ma chérie, cela va ta changer du goût de sperme que tu as en bouche! ....."



  Je savais que cela arriverait un jour, mais mon Dieu que c'était dur! ......


Je traversais la pièce et m'agenouillais entre ses cuisses, et je commençais à la lécher comme Snake m'avait léché une paire de jours plus tôt me donnant tant de plaisir! .....


Elle semblait apprécier mes caresses linguales.


Je sentis alors son époux s'agenouiller dans mon dos,  et tout de suite il me pénétra violemment enfouissant tout de go sa grosse bite au fin fond de mon utérus.


Pourquoi diable ces hommes étaient-ils si violents? ......


Jamais l'un d'un ne me fera l'amour? .....  BIen que je ne tienne pas particulièrement à faire l'amour avec aucun d'entre eux.



  J'avais déjà joui de nombreuses fois dans la Blanchisserie automatique.


J'étais fatiguée.


Aussi attendis-je que le couple ait joui et  j'ai regardé Snake pour voir s'il m'autorisait à partir.


Il hocha la tête.


Je me ruais dans la salle de bain, m'essuyais la chatte et le visage et me précipitais dans le salon pour enfiler ma jupe et ma brassière, puis je me pressais de rentrer chez moi.


Comme je partais Snake m'intima d'être là le lendemain à la même heure ?



  Une fois chez moi je pris une douche rapide puis j'entrepris de préparer le souper.


Il me vint d'un seul coup à l'idée que je n'avais pas vérifié ma boite aux lettres informatique depuis  le dernier mail qui m'enjoignait de me rendre chez Snake ce qui m'avait amené à endurer l'une des pires journées de ma vie.



  Je gagnais le bureau et allumais l'ordinateur je me figurais à cet instant que le pire était advenu, je m'attendais surtout à trouver des mails d'amis et de la famille.


J'avais reçu plusieurs douzaines de messages.


La plupart s'avérèrent être des spams, d'autres d'amis qui m'envoyaient des blagues, il y en avait deux émanant de Snake.



  Je craignais d'en dévoiler le contenu, mais je devais le faire.


J'ouvris le premier, il concernait ma première journée de soumission, il ne contenait que d'horribles photos de moi nue, en train de sucer des bites, et de me faire baiser à couilles rabattues.



  J'ouvrais le second message, c'était le même que le précédent en pire.


Il voulait sûrement se moquer de moi en me rappelant que je n'étais qu'une pute à son entière disposition! .....



  La soirée se passa rapidement, j'étais si lasse que je dormis comme une bûche.


Une fois Jay repartit à son boulot le lendemain matin, je me douchais rapidement et me tint prête à le recevoir.


Je rinçais les jupes que je pouvais porter les autres jours il ne me restait plus que le harnais de cuir de propre comme haut.


Je l'enfilais et me débrouillais pour dissimuler la plus grande surface de mes nichons en resserrant les sangles qui traversaient mes nibards pour ce faire.




   26 novembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




J’appartiens désormais à Snake Ch 4


I belong to Snake


Coulybaca / Vulgus




   Chapitre 4 : Une certaine routine s‘installe entre les tâches ménagères et les clients ou amis de Snake à éponger !




   J'arrivais chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyais la maison pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.


Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans son armoire.



  Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.


Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposais immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.



  -         "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait


-         "Tu me sembles parfois particulièrement stupide.....  On dirait une sombre idiote! .....  Ne vois-tu pas ce que c'est? .....  C'est un simple maillot de bain! ....  Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçais des dents.



  -         "Enfile ce foutu bikini, salope! ....  Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver! ....  Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt......"



  J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.


Je me redressais, la dépliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.


Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille.


Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.


Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus.



  Visiblement Snake aimait ma tenue..


Il semblait particulièrement amusé de, constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses.


Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :


-         "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maison, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! ....  Des quatre cotés... Commence par le devant de la maison! ....."


Je jetais un oeil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien.



  J'acquiesçais et sortis à l'extérieur.


Je trouvais la tondeuse à gazon derrière la maison comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude.



J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.


Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.


Je démarrais la taille de la pelouse devant la maison. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.



  En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.


Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler.


Bientôt un autre voisin le rejoignit.


Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.


Toutes les maisons étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maison où personne ne me regardait travailler.



  Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtais.


Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.


Snake était assis dans le salon avec son voisin d'en face.


C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.



  -         "Très bien......" pensais-je fugacement.


-         « " Peut-être que je n'aurai pas le refaire...... »


-         "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."



  -         "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé! ...."



  Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençais mes excuses, Snake me coupa la parole.


-         "Espèce d'idiote,  mets-toi à genoux pour t'excuser! ....."



  Je me laissais tomber à genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :


-         "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"



  -         "Je crois bien qu’oui...» me rétorqua-t-il hilare....  Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux! ....."


Je tendais la main dans mon cou et dénouais les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouais les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussais du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.



  Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.


Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre son pantalon.


J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.



  -         "Mes médicaments m’empêchent de bander! .... Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."



  Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle était très propre. Je le suçais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, son chibre était bien trop mou pour cela.


Imaginez mon désappointement.


Mais je le suçais avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche.


J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.



  Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille.


Puis il ajouta :


-         "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête! ....."


-         "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."


-         "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes? ...."


-         "Snake sûrement en tout cas....." 


Je gloussais à cette idée. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souillées, prenais ma douche, puis revins au salon.



  Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :


-         "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune! ....  j'adorerais ce genre de fille! ....."


Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière.


Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais séance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.



  Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui.



  Dès que la moto démarra, les vibrations découvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.


Mais je m'efforçais d'ignorer ces faits et de tenir bon.


En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley saurant de quoi je parle.


Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.



  Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois, à peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles.


Nous y jetâmes un coup d’œil.


Il y avait  une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un  pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans.


Snake aima tout de suite cette jupe.



  J'ôtais celui que je portais et enfilais le nouveau.


-         "Les gars vont drôlement aimer ça! ..." pensais-je fugitivement.


Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.



  L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.


Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.



  L'autre était taillé dans le même style que le pagne,  un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos.


Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air.


J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.



  Puis Larry ajouta :


-         "Une chose encore......  Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaison.


Un calicot, le tissu et l’aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable.


Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.


J'enlevais ma brassière et enfilais précautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d’œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.



  -         "C'est d'accord..." accepta Snake


-         "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant? ...."



  Larry répliqua :


-         "Ils sont tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez  et nous serons quittes! ....."



  Snake n'hésita pas.


Larry emballa les articles dans un sac, à l’exception du calicot que je portais., il me le fit enlever et me tendit la main.


Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.



  Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée.


Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.


Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.


Il descendit son pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.



  Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite.


Tandis que suçais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.


Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul.


Personne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi.


J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....



  Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils étaient froids et graisseux.


Il introduisit son index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts.



  Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :


-         "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.


-         "Vais-je être le premier à t'enculer? ....."



  Ces mots retinrent mon attention.


-         "Quoi...  Non je ne veux pas.....  Vous ne pouvez pas me faire cela! ......  Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."



Je me débattais bien un peu mais il me maintenait fermement et me prévint :


-         "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi! ...."



  -         "Non....." soupirais-je déjà résignée à mon triste sort.


Sur ces mots je m'efforçais de me décontracter attendant que la douleur survienne.



  Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.


Puis il aligna son épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força.


Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.


Je couinais de douleur alors que Larry grognait son plaisir.



  Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me forcer imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs.


Dieu que cela faisait mal! ......



  Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.


Enfin je sentis son épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.


Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.


Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.



  La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc.



  Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait son épais venin dans mon intestin distendu.


Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombais en avant.


Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et mme roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.


Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.



  Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur! .....


Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.


Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue, je serrais les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.



  Dès que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.


Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'évier et me nettoyais avec du papier toilette.


Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.



  Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroché au bar.


Je me dirigeais vers lui, sans même cherche à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance.



  Je me postais à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.



  -         "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement " il m'a défoncé le trou du cul! ....  C'était la première fois que je me faisais enculer! ......  Il m'a fait un peu mal! ....."




   Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.


J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boisson.


Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.


Tandis que j'attendais Snake j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule personne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.



  Finalement Snake me donna ma combinaison que j'enfilais prestement, c'était mieux que rien.


Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour son grand plaisir.


On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.


En entrant dans sa maison j'ôtais ma combinaison.


Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :


-         "Il va s'élargir peu à peu...  Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."


-         "Oui maître... " lui répondis-je docilement.


-         "Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa démarche! ...."



  Snake me courba sur une chaise et me baisa  à nouveau.


Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.



  Je me pointais à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maison il me dit alors que cela suffisait pour aujourd’hui.


C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.



  J'étais chez moi vers 10 heures et je passais la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maison, puis j'allais faire des courses à l'épicerie du coin.


Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.



  Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé,  je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir.



  Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.


Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents.


Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay.



  Il était tout excité en rentrant à la maison, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.


Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maison pendant toute  la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait u véritable enfer.



  Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raison valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.



  Le week-end se passa vite.


Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maison, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie.


Je, n'en avais parlé à personne, personne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais fait violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.


Personne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.


Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot.


J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle.


Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.



  Je détestais les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.


Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons.


Je me tournais de part en part devant mon miroir.



  Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements.


Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy! ....


Lorsque je réalisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.



  Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maison de Snake, arrivée à la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.


La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maison.


Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....


La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisais que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.



  Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais à poil.


Il me dit seulement :


-         "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage....."


Je me laissais tomber à genoux et lui suçais la bite.


Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler.


Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....


Lorsqu'il   finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.


Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.



  Aussi lui demandais-je timidement :


-         "Puis vous demander quelque chose maître? ..."


Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :


-         "Oui, que veux-tu? ...."



  -         "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre! .....  Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais....."


Si je devais faire son satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière."


Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée.


Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.


Quel bordel! .....


Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.


Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que son lit était fait.


Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans son dos.



  J’entrepris alors de nettoyer la maison.


Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....


J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs.


Je nettoyais entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.


J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte.



  Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée.


Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.



  -         "Snake est couché monsieur Steadman..." avançais-je sereinement.



  Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :


-         "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."



  Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir.


Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake! ....



  Je me reculais pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go son pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.


J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite.


De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.



  Je pris sa bite molle en bouche et je suçais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.


Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.


C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.


C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.



  Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maison où je repris une bonne douche et me brossais les dents.


Puis, je m'occupais de faire mon ménage.


Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.


Je me représentais dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar.


Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.


Tout en pensant à tout celà, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas à jouir avec intensité.


Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes! .....


Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maison entièrement nue! ......


Que devenais-je donc sous la férule de Snake? ......



  J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et vérifiais mes mails.


Mon mari m'avait envoyé le planning de son voyage à Atlanta la semaine prochaine.


Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche.


Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentrés avant dimanche matin de la semaine suivante.



  Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me disais que celà me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir.


Depuis la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute personnelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maison et du seigneur naturellement.


Je ne pensais plus qu'à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie.



  J'allais éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake.


Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.


Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.



  Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et préparais le souper.


Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de son voyage.


Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme.


Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.



  Je trouvais incroyable, qu'après tout que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude.


Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment.



  Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement.


Mais, quelle qu'en soit la raison je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire! .....


Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.


Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique.



  Lorsque Jay obtint finalement son petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur son ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant! ...


Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais entièrement.


Puis, je revins au lit et restais éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.


Est-ce parce que j'étais éreintée? .....


Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou brutaliser pour orgasmer? ....


Mon Dieu j'espérais bien que non! .....



  Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.


Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire son ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.



  J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.


Je me déshabillais à la porte et nettoyais rapidement la maison.



  Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.


Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.


Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graissée.


Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait.


Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.


Il était déjà installé sur son fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.



  Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commençais mon labeur, je les ignorais totalement concentrée sur mes mouvements.


Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.


Je pris le temps de me dire :


-         "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maison tu seras hors de vue! ...."



  Je me dépêchais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais à l'arrière de la maison sur un rythme plus tranquille.


Une fois ce travail terminé je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.


Puis je rentrais dans la maison et pris une douche.


Pendant que je me rinçais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un séchoir.



  Je me séchais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il était pratiquement midi maintenant.


J’entendis bouger dans le fond de la maison, Snake apparut et gagna la salle de bain.


Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler son urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.



  En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.


Il n'avait pas encore proféré un seul mot.


Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit.


Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune.


Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer.


Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.


Il joua un bon moment avec ma toison rousse et enfin me parla.



  -         "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte! .....  J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toison de rouquine! ....."


Il sourit sur ces mots et ajouta :


-         "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier! ...."



  Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée.


Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans son dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.


Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.



  Puis il jouit à son tour, il gicla en moi me pistonnant brutalement comme d'habitude.


Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.


Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.



  Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.


Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court  maillot  et un pagne.



  Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à son habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.


MES DETTES! .....


Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues! ....



  Larry fit un signe à Tom et me traîna nouveau, en arrière vers la resserre.


Cette fois Snake nous suivit caméra au poing.



  Dès que nous sommes entrés, je me déshabillais, sans même qu'on le l'ordonne.


Larry aussi se dépouilla de ses vêtements et je m'agenouillais face à lui et je commençais à lui léchouiller la bite, la titillant gentiment, il se mit à bander.



  Après quelques minutes je dus me disposer à quatre pattes et il me bouffa tout d'abord le cul, puis il le graissa en évasant le goulot puis il enfourna brutalement sa bite dans mon oeillet frémissant et m'encula frénétiquement.


Il se tenait à mes seins qu'il pétrissait allégrement, bientôt alors que ses mains me meurtrissaient le nichons je jouissais sous ses assauts.


C'était la première fois que je jouissais sous les coups de boutoir d'un soudard qui m'enculait âprement !


J'en fus si surprise que je ne remarquais pas l'instant ou il vomit son foutre au fin fond de mon intestin.



  Il se retira et je me retournais et me baissais pour nettoyer sa mentule.


Alors que j’effectuais cette tâche, je sentis Snake se poster dans mon dos, je suppose qu'il devait penser que j'étais suffisamment préparée pour supporter son énorme chibre.


Je suppose qu'il avait raison.


Cela faisait mal, mais je commençais à aimer cette pratique !


C'était douloureux, humiliant et révoltant mais j'eus un nouvel orgasme !


Et ouvrant les yeux, je vis que Mickey enregistrait l'épisode, à cette vue je jouis de nouveau.



  Larry reprit la caméra en main et Mickey commença à se déshabiller.


Je pensais qu'il allait essayer à son tour mon trou du cul à la suite de Snake.


Mais j'avais tort, en fait, il s'agenouilla face à moi et promena sa bite dans ma fentine et l'enfonça vivement dans ma foufounette.


Je hurlais sourdement, j'étais emplie par deux bites, je ne parvenais pas croire que c'était possible.


Ils adoptèrent alors un rythme adéquat, je supposais que ce n'était pas la première fois qu'ils prenaient une fille ne sandwich.


Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'était bon lorsqu'ils accordèrent leurs mouvements.


Je criais sourdement, je rebondissais d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que je m'évanouisse.



  Je ne sais pas combien de temps je restais inconsciente, mais lorsque je revins à moi, j'étais étendue sur le dos et ils regardaient tous un inconnu qui me chevauchait  âprement.


Je les regardais, puis je regardais l'homme qui me baisait, je l'enserrais de mes bras et mes jambes et je baisais comme une folle, nous avons joui tous deux en même temps.



  Puis je me relevais et nettoyais toutes les bites qu'elles sortent de mon cul ou de ma chatte, une bonne ménagère ne termine jamais sa journée de travail !



  Ils m'ordonnèrent de me rendre dans les toilettes pour dames, de me laver puis de revenir avec eux.


Nous sommes tous retournés dans le magasin et je me ruais, entièrement nue dans les toilettes pour dames.


Une fois de plus une nuée de sifflements et de commentaires graveleux m'accompagnèrent.


Lorsque je revins à l'endroit où se tenait Snake, le gars qui venait de baiser regardait les vêtements exposés.


Il semble qu'en remerciement d'avoir accepté qu'il baise mon corps inconscient il devait m'acheter quelques nouveaux articles que je devais enfiler et porter avant que nous quittions le bar.



  Je me tenais nue en attendant qu'il ait fait son choix, finalement il se décida pour une tenue extrêmement chère.


Il aurait pu choisir une tenue moins coûteuse et moins transparente, il y en avait plein !


Mais il choisit un soutien-gorge  fait de cuir et de chaînes.


En fait il y avait des sangles de cuir là où normalement on trouvait les bretelles et les attaches, mais les bonnets étaient ouvert seulement traversé de fines chaînes.


Mes nichons étaient mis en valeur par ces chaînes qui les décoraient, j'aurai tout aussi bien pu être torse nu.



  Il regarda l'effet que cela faisait, et me pinçant cruellement les tétons il constata :


-         C'est vraiment chouette, j'aime ça !


Sur ces mots il paya Larry et nous sommes retournés au bar écluser quelques godets.


Alors que nous étions assis à une table  avec une paire de demis, des clients s'approchèrent et discutèrent avec Snake.


Ils prenaient tout leur temps pour contempler sans vergogne mes nibards, ils n'hésitaient même pas à les pincer et à en étirer les mamelons.


Il y en a un même qui m'a mordu !


Il se faisait tard, Snake se releva, je le suivis jusqu'à la moto et on rentra tranquillement chez lui.


J'essayais d'oublier le top que je portais, être exhibée en public me paraissait maintenant tout à fait banal.



  En rentrant chez lui il brancha sa caméra sur la télé et visionna l'enregistrement tandis que je le suçais tendrement, il me dit de me tourner de profil pour que je puisse voir aussi le spectacle se déroulant sur l'écran.


C'était terrible, jamais je n'avais été aussi humiliée, mais je remarquais aussi que jamais je n'avais été aussi sexy !


Finalement Snake se vida à nouveau les couilles dans ma gorge et je me rhabillais lorsque monsieur Steadman frappa à la porte.


Je regardais Snake, il se contenta de me sourire aussi je reposais ma jupe sur le crochet et je me penchais en avant pour sucer monsieur Steadman, puis je me rhabillais et me pressais de rentrer chez moi.



  4 décembre 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)





J’appartiens désormais à Snake Ch 5


I belong to snake now


Coulybaca / Vulgus






     Chapitre 5 : la routine s’installe, le ménage, les voisins, une nouvelle visite au sex-shop de Larry.




   J'arrivais chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyais la maison pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.


Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans son armoire.



  Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.


Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposais immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.



  -         "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait


-         "Tu me sembles parfois particulièrement stupide.....  On dirait une sombre idiote! .....  Ne vois-tu pas ce que c'est? .....  C'est un simple maillot de bain! ....  Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçais des dents.



  -         "Enfile ce foutu bikini, salope! ....  Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver! ....  Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt......"



  J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.


Je me redressais, la dépliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.


Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille.


Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.


Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus.



  Visiblement Snake aimait ma tenue..


Il semblait particulièrement amusé de, constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses.


Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :


-         "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maison, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! ....  Des quatre cotés... Commence par le devant de la maison! ....."


Je jetais un oeil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien.



  J'acquiesçais et sortis à l'extérieur.


Je trouvais la tondeuse à gazon derrière la maison comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude.



J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.


Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.


Je démarrais la taille de la pelouse devant la maison. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.



  En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.


Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler.


Bientôt un autre voisin le rejoignit.


Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.


Toutes les maisons étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maison où personne ne me regardait travailler.



  Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtais.


Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.


Snake était assis dans le salon avec son voisin d'en face.


C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.



  -         "Très bien......" pensais-je fugacement.


-         « " Peut-être que je n'aurai pas le refaire...... »


-         "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."



  -         "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé! ...."



  Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençais mes excuses, Snake me coupa la parole.


-         "Espèce d'idiote,  mets-toi à genoux pour t'excuser! ....."



  Je me laissais tomber à genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :


-         "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"



  -         "Je crois bien qu’oui...» me rétorqua-t-il hilare....  Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux! ....."


Je tendais la main dans mon cou et dénouais les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouais les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussais du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.



  Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.


Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre son pantalon.


J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.



  -         "Mes médicaments m’empêchent de bander! .... Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."



  Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle était très propre. Je le suçais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, son chibre était bien trop mou pour cela.


Imaginez mon désappointement.


Mais je le suçais avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche.


J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.



  Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille.


Puis il ajouta :


-         "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête! ....."


-         "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."


-         "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes? ...."


-         "Snake sûrement en tout cas....." 


Je gloussais à cette idée. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souillées, prenais ma douche, puis revins au salon.



  Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :


-         "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune! ....  j'adorerais ce genre de fille! ....."


Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière.


Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais séance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.



  Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui.



  Dès que la moto démarra, les vibrations découvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.


Mais je m'efforçais d'ignorer ces faits et de tenir bon.


En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley saurant de quoi je parle.


Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.



  Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois, à peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles.


Nous y jetâmes un coup d’œil.


Il y avait  une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un  pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans.


Snake aima tout de suite cette jupe.



  J'ôtais celui que je portais et enfilais le nouveau.


-         "Les gars vont drôlement aimer ça! ..." pensais-je fugitivement.


Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.



  L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.


Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.



  L'autre était taillé dans le même style que le pagne,  un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos.


Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air.


J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.



  Puis Larry ajouta :


-         "Une chose encore......  Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaison.


Un calicot, le tissu et l’aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable.


Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.


J'enlevais ma brassière et enfilais précautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d’œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.



  -         "C'est d'accord..." accepta Snake


-         "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant? ...."



  Larry répliqua :


-         "Ils sont tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez  et nous serons quittes! ....."



  Snake n'hésita pas.


Larry emballa les articles dans un sac, à l’exception du calicot que je portais, il me le fit enlever et me tendit la main.


Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.



  Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée.


Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.


Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.


Il descendit son pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.



  Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite.


Tandis que suçais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.


Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul.


Personne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi.


J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....



  Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils étaient froids et graisseux.


Il introduisit son index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts.



  Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :


-         "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.


-         "Vais-je être le premier à t'enculer? ....."



  Ces mots retinrent mon attention.


-         "Quoi...  Non je ne veux pas.....  Vous ne pouvez pas me faire cela! ......  Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."



Je me débattais bien un peu mais il me maintenait fermement et me prévint :


-         "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi! ...."



  -         "Non....." soupirais-je déjà résignée à mon triste sort.


Sur ces mots je m'efforçais de me décontracter attendant que la douleur survienne.



  Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.


Puis il aligna son épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força.


Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.


Je couinais de douleur alors que Larry grognait son plaisir.



  Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me forcer imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs.


Dieu que cela faisait mal! ......



  Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.


Enfin je sentis son épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.


Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.


Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.



  La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc.



  Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait son épais venin dans mon intestin distendu.


Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombais en avant.


Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et mme roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.


Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.



  Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur! .....


Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.


Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue, je serrais les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.



  Dès que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.


Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'évier et me nettoyais avec du papier toilette.


Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.



  Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroché au bar.


Je me dirigeais vers lui, sans même cherche à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance.



  Je me postais à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.



  -         "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement " il m'a défoncé le trou du cul! ....  C'était la première fois que je me faisais enculer! ......  Il m'a fait un peu mal! ....."




   Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.


J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boisson.


Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.


Tandis que j'attendais Snake j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule personne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.



  Finalement Snake me donna ma combinaison que j'enfilais prestement, c'était mieux que rien.


Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour son grand plaisir.


On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.


En entrant dans sa maison j'ôtais ma combinaison.


Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :


-         "Il va s'élargir peu à peu...  Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."


-         "Oui maître... " lui répondis-je docilement.


-         "Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa démarche! ...."



  Snake me courba sur une chaise et me baisa  à nouveau.


Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.



  Je me pointais à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maison il me dit alors que cela suffisait pour aujourd’hui.


C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.



  J'étais chez moi vers 10 heures et je passais la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maison, puis j'allais faire des courses à l'épicerie du coin.


Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.



  Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé,  je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir.



  Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.


Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents.


Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay.



  Il était tout excité en rentrant à la maison, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.


Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maison pendant toute  la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait u véritable enfer.



  Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raison valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.



  Le week-end se passa vite.


Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maison, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie.


Je, n'en avais parlé à personne, personne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais fait violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.


Personne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.


Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot.


J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle.


Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.



  Je détestais les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.


Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons.


Je me tournais de part en part devant mon miroir.



  Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements.


Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy! ....


Lorsque je réalisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.



  Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maison de Snake, arrivée à la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.


La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maison.


Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....


La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisais que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.



  Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais à poil.


Il me dit seulement :


-         "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage....."


Je me laissais tomber à genoux et lui suçais la bite.


Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler.


Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....


Lorsqu'il   finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.


Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.



  Aussi lui demandais-je timidement :


-         "Puis vous demander quelque chose maître? ..."


Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :


-         "Oui, que veux-tu? ...."



  -         "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre! .....  Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais....."


Si je devais faire son satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière."


Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée.


Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.


Quel bordel! .....


Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.


Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que son lit était fait.


Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans son dos.



  J’entrepris alors de nettoyer la maison.


Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....


J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs.


Je nettoyais entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.


J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte.



  Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée.


Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.



  -         "Snake est couché monsieur Steadman..." avançais-je sereinement.



  Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :


-         "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."



  Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir.


Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake! ....



  Je me reculais pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go son pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.


J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite.


De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.



  Je pris sa bite molle en bouche et je suçais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.


Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.


C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.


C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.



  Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maison où je repris une bonne douche et me brossais les dents.


Puis, je m'occupais de faire mon ménage.


Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.


Je me représentais dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar.


Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.


Tout en pensant à tout celà, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas à jouir avec intensité.


Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes! .....


Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maison entièrement nue! ......


Que devenais-je donc sous la férule de Snake? ......



  J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et vérifiais mes mails.


Mon mari m'avait envoyé le planning de son voyage à Atlanta la semaine prochaine.


Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche.


Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentrés avant dimanche matin de la semaine suivante.



  Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me disais que celà me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir.


Depuis la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute personnelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maison et du seigneur naturellement.


Je ne pensais plus qu'à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie.



  J'allais éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake.


Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.


Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.



  Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et préparais le souper.


Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de son voyage.


Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme.


Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.



  Je trouvais incroyable, qu'après tout que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude.


Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment.



  Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement.


Mais, quelle qu'en soit la raison je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire! .....


Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.


Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique.



  Lorsque Jay obtint finalement son petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur son ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant! ...


Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais entièrement.


Puis, je revins au lit et restais éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.


Est-ce parce que j'étais éreintée? .....


Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou brutaliser pour orgasmer? ....


Mon Dieu j'espérais bien que non! .....



  Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.


Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire son ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.



  J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.


Je me déshabillais à la porte et nettoyais rapidement la maison.



  Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.


Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.


Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graissée.


Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait.


Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.


Il était déjà installé sur son fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.



  Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commençais mon labeur, je les ignorais totalement concentrée sur mes mouvements.


Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.


Je pris le temps de me dire :


-         "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maison tu seras hors de vue! ...."



  Je me dépêchais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais à l'arrière de la maison sur un rythme plus tranquille.


Une fois ce travail terminé je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.


Puis je rentrais dans la maison et pris une douche.


Pendant que je me rinçais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un séchoir.



  Je me séchais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il était pratiquement midi maintenant.


J’entendis bouger dans le fond de la maison, Snake apparut et gagna la salle de bain.


Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler son urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.



  En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.


Il n'avait pas encore proféré un seul mot.


Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit.


Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune.


Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer.


Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.


Il joua un bon moment avec ma toison rousse et enfin me parla.



  -         "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte! .....  J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toison de rouquine! ....."


Il sourit sur ces mots et ajouta :


-         "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier! ...."



  Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée.


Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans son dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.


Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.



  Puis il jouit à son tour, il gicla en moi me pistonnant brutalement comme d'habitude.


Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.


Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.



  Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.


Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court  maillot  et un pagne.



  Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à son habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.


MES DETTES! .....


Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues! ....




   11 janvier 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



J'appartiens à Snake désormais Ch 6


I belong to Snake


Coulybaca / Vulgus





     


Chapitre 6 : où notre héroïne accueille et distrait les copains de Snake pendant un barbecue.




   Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage.


Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.


Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maison, prenais une douche et restais nue.


Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir.


Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir !



  Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu.


Au début la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :


-         Je veux que tu viennes demain... Dès que ton mari partira pour Atlanta !



  Il me sembla que ma  mâchoire se décrochait.


Comment le savait-il ?


Comment pouvait-il bien l'avoir appris ?


Je n'en avais pas dit un mot !


Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné !



  Snake explosa de rire et ajouta :


-         Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe !


-         Com...  Comment... Comment le sais-tu ?


-         Ce n'est pas ton problème petite chienne ! ... Et maintenant mets-toi au boulot !


-         Oui maître !



  -         Et au fait, lorsque tu viendras demain matin apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents ! .. Tu séjourneras chez moi un bon moment !



  Oh mon Dieu ! Pensais-je éperdue, ce ne peut pas être vrai.


Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester.


J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats.


Mais une semaine chez lui..... 


Sans pouvoir retourner chez moi le soir ! ....


Mon cœur battait la chamade à cette idée !


J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune.


Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.


Je me retrouvais devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage.



  Je me ruais dans ma voiture et démarrais sur les chapeaux de roues.


Je rentrais chez moi, me déshabillais et commençait mon ménage dans cette tenue.



  Je me versais un verre du vin m'assis cherchant à me  décontracter.


J'essayais d'imaginer à quoi il ressemblerait cette période où je serai totalement sous le de ce monstre  24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours.



  Je n'y parvenais pas, ou je m'y refusais.


Les images qui me venaient en tête m'étaient insupportables.


Je bus mon vin et me postais devant mon ordinateur.


Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip.


Je regardais plusieurs fois le clip puis je m'intéressais aux photos, puis je visionnais à nouveau le petit film à plusieurs reprises.


Tandis que je le regardais, je promenais mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatais à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.


Je me ruais dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise.


Puis j'étendais la serviette sur mon siège et m'assis dessus.


Et je repris mes caresses


Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue ?



  Je finis par éteindre l'ordinateur je m'essuyais la chagatte avec la serviette que je balançais ensuite dans la lingerie.


Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages.


Je posais la valise près de la porte du garage, puis je préparais le souper.



  Je ne parvenais pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maison.


Je le touchais constamment, l'embrassais, posais ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.


Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher.


Nous avons fait l'amour très tendrement.


Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.


Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à son avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.



  Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levais pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassais pour lui dire au revoir.



  La limousine l'emporta et je préparais mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrais dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposais aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres.


Puis je balançais le sac sur le siège passager et je me rendais à la maison de Snake.



  Je me déshabillais dans l'entrée.



  Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.


-         Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre...   J'y organise un barbecue tout à l'heure et enfile ça !


Il prit dans sa table de nuit et me la lança.



  C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand  "SALOPE" sur la plaque chromée.


Je sortais à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerais dans la salle de bain en me regardant dans le miroir.



  Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait.


Je plaçais le collier autour de mon cou et le bouclais. , il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.



  Je gagnais la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puise paraître, je pensais seulement que cela me rendait très excitante !


Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter !



  Je nettoyais la maison, m'habillais et sortis pour ranger l'arrière cour.


Je rangeais la tondeuse à gazon dans le hangar et vidais les cendres du grill à barbecue et le remplit de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.



  Je rentrais dans la maison, me déshabillais et regardais ce qui se trouvait dans le réfrigérateur.


Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparait un grand plat de charcuterie.


Je hachais quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.



  Tout au début de l'après-midi Le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa.


Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrais ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :


-         T'as fait du bon boulot, merci ! ... Il te reste une chose à faire, viens avec moi !



  Elle m'entraîna au salon s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit.


Je tombais à genoux entre ses jambes et commençais à l'embrasser.



  Je débutais par ses genoux et remontais le long de ses cuisses, je retroussais le bas de sa jupe et continuais mon chemin.


Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à son intimité.


Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que son clito et les lèvres de sa chatoune.



  J'embrassais et léchais tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.


Alors que je l'embrassais et la léchais avidement je sentais sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflais doucement sur sa fentine.


Je savourais avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.


Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartais la bande formant le fond de son string, toute surprise je réalisais que j'adorais ce que je faisais !



  Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle !


Je continuais à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.


Alors que je me redressais j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :


-         Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire !



  Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil !


J'étais prête !


Il me baisait âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer.



  Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :


-         Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait !



  Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à son tour.


Je me redressais alors et lui nettoyais consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.



  -         Merde alors ! ..... Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler ! .... S'exclama la femme


-         Ce sera pour plus tard ! ..... Allez ma fille viens t'occuper du grill.


Je me levais et me préparais à remettre mes vêtements


-         Laisse ça, tu n'en as nul besoin...   allons-y ! .....



  Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue ?



  Nous sommes sortis et je me contentais de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill.


Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur.


Lorsque nous sommes rentrés dans la maison Snake était levé et buvait déjà de la bière.


Je suivais docilement la femme et l'aidais à transporter le matériel nécessaire au barbecue.


Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.



  Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des  motards.


On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace.


Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude.



  Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.



  Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimais qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes.


Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes !


Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, personne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux !



  J'allais ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa son doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour.


Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.



  Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'impression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute manière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le risque.



  Lorsque j'approchais de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant.


Je commençais à fredonner un air de danse dans ma tête  sur lequel je cherchais à danser.


Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais personne ne se plaignait de ma performance.


Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.



  La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table.


Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquais 4 hommes qui sortaient un  banc du patio.


Je supposais que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.



  Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table.


Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue.


Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc.


Une sangle m'entourait la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc.


Mes jambes et mes bras étaient fruits, mais je ne pouvais pas bouger.



  Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol.


Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.



  Dès le début du film les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage.


D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film.


Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.



Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide.


Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre.


Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.


Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises.



  Je commençais à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtais aucune attention à ce qui se passait autour de moi.


Je remarquais cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.



  Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurais allongée à plat dos sur le banc toute la nuit.


Quelques gars allèrent pisser su fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.



  On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux.



  Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un  tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture.


Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché  ça et là sur mon corps et mon visage.



  Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.


Je me plaçais dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps.



  Je me précipitais sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses personnes, surprise et consternée.


Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus.



  Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon.


Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par son nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais personne par leur nom, c'était plus sûr.



  Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchais et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.


Je lui obéis promptement sans une plainte,  je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priais pour qu'elle épargne ma chatoune.



  Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot  d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette.


Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante.



  Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une personne.


-         Rude nuit ma fille ! ..... Me demanda-t-elle.


-         Oh oui madame...  Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.



  -         Appelle-moi Beth..... me dit-elle.


-         Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée ! .... J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer...  Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maison et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit.....


-         Je pense qu'à la nuit tombée Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour ! ..... Il adore se montrer un excellent hôte ! .....        Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit... 


-         Je sais que cela fait très mal ! ..... Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir! ....  A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis ! ....


-         Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir ! .....



  -         Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne.


Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me force à subir des choses dégradantes.



  Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :


-         Eh merde alors.....  Chérie, tu as intérêt à t'appliquer.....  Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant.....  Il cherche à les briser.....  Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable... Certaines de ces filles.....  Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit ! .....



J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquais, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère ? ....


Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout ! .....



  Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant.



  Je me débrouillais pour dormir un peu et je me réveillais vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler.


Il me fit lever et me roula un patin, son haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers.


Je l'embrassais en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.



  Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth.


Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :


-         Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage ! .....


Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.



  Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.


Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.


Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.



  La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :


-         J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire.....  Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre ! ....  Des questions salope ? .....



  -         Non-maître...


Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......



  Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison ! ....


Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe  comme pourboire


Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.


Finalement je posais mon bras autour de son cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.



  Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.


Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.



  J’embrassais et léchais pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.


Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.


Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.


Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :


-         Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu ! .....


Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...


Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.



  Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.


Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.



  Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot.



  Enfin il ne resta plus que Snake et moi.


Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.



  Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.


Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit.


J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé ! .....



  Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je précautionneusement pour gagner la salle de bain.


Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.


Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.



  Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.


Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.


Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.


Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.



  J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.


Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.


Lorsque je retournais dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.



  J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.



  -         Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide ! .....


Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.



  Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte  jupe et mon haut provocant et je traversais vivement la rue.


Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :


-         Bien sûr, sans problème, entre donc ! ....


Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit problème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.



  -         Par le diable, pourquoi as-tu été si longue  ? .....


-         Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer ! ....


Snake éclata de rire et s'esclaffa :


-         Quel vieux salaud ! ....


Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.


Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il  m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute.


J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.


Snake m'ordonna de le suivre, nous avons  sortis et sommes montés dans sa camionnette.


Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient.


J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici.


Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci.


Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.


-         Surtout ne déçois pas Snake ! .....


Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire ! ......



  Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser.


Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussais mon caddy.


Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.


-         Sens-tu ma caresse chienne ! ..


Je hochais la tête, et il poursuivit :


-         J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes ! ....


Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée.



  Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre.


A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers.


J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur ! ......



Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.


Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin.


Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes.


Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées.


Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.


"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire des nos deux visages lequel était le pus rouge.



  Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l’œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendais pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.



  Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :


-         Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale ! .....


Il ouvrit la  portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol.


Puis il me tapota les fesses en commentant :


-         Elle a vraiment un beau cul ! .....  Tu peux te la faire mon gars ! ......



  Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher.


Je jetais un oeil par-dessus mon épaule vers Snake et secouais la tête désespérée en lui murmurant :


-         Non, Snake..... Je vous en prie pas ça...  Ne m'obligez pas à......



Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire.


Je réalisais, alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que e venais de prononcer les paroles prohibées ! .....  On ne devait jamais rien refuser à Snake ! .....



  Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite.


Lorsque je me relevais Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien.


"Salope".


-         Joli surnom madame Anderson...   Quelle surprise de vous si gentille avec moi ! .....



  Snake prit le chemin du retour sans dire un mot.


Je cherchais à m'excuser, je lui demandais la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve.


J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée ! .....


2 février 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



J'appartiens à Snake désormais Ch 7


I belong to Snake


Coulybaca / Vulgus





    Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage.


Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.


Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maison, prenais une douche et restais nue.


Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir.


Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir !



  Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu.


Au début la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :


-         Je veux que tu viennes demain... Dès que ton mari partira pour Atlanta !



  Il me sembla que ma  mâchoire se décrochait.


Comment le savait-il ?


Comment pouvait-il bien l'avoir appris ?


Je n'en avais pas dit un mot !


Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné !



  Snake explosa de rire et ajouta :


-         Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe !


-         Com...  Comment... Comment le sais-tu ?


-         Ce n'est pas ton problème petite chienne ! ... Et maintenant mets-toi au boulot !


-         Oui maître !



  -         Et au fait, lorsque tu viendras demain matin apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents ! .. Tu séjourneras chez moi un bon moment !



  Oh mon Dieu ! Pensais-je éperdue, ce ne peut pas être vrai.


Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester.


J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats.


Mais une semaine chez lui..... 


Sans pouvoir retourner chez moi le soir ! ....


Mon cœur battait la chamade à cette idée !


J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune.


Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.


Je me retrouvais devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage.



  Je me ruais dans ma voiture et démarrais sur les chapeaux de roues.


Je rentrais chez moi, me déshabillais et commençait mon ménage dans cette tenue.



  Je me versais un verre du vin m'assis cherchant à me  décontracter.


J'essayais d'imaginer à quoi il ressemblerait cette période où je serai totalement sous le de ce monstre  24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours.



  Je n'y parvenais pas, ou je m'y refusais.


Les images qui me venaient en tête m'étaient insupportables.


Je bus mon vin et me postais devant mon ordinateur.


Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip.


Je regardais plusieurs fois le clip puis je m'intéressais aux photos, puis je visionnais à nouveau le petit film à plusieurs reprises.


Tandis que je le regardais, je promenais mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatais à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.


Je me ruais dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise.


Puis j'étendais la serviette sur mon siège et m'assis dessus.


Et je repris mes caresses


Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue ?



  Je finis par éteindre l'ordinateur je m'essuyais la chagatte avec la serviette que je balançais ensuite dans la lingerie.


Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages.


Je posais la valise près de la porte du garage, puis je préparais le souper.



  Je ne parvenais pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maison.


Je le touchais constamment, l'embrassais, posais ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.


Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher.


Nous avons fait l'amour très tendrement.


Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.


Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à son avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.



  Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levais pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassais pour lui dire au revoir.



  La limousine l'emporta et je préparais mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrais dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposais aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres.


Puis je balançais le sac sur le siège passager et je me rendais à la maison de Snake.



  Je me déshabillais dans l'entrée.



  Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.


-         Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre...   J'y organise un barbecue tout à l'heure et enfile ça !


Il prit dans sa table de nuit et me la lança.



  C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand  "SALOPE" sur la plaque chromée.


Je sortais à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerais dans la salle de bain en me regardant dans le miroir.



  Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait.


Je plaçais le collier autour de mon cou et le bouclais. , il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.



  Je gagnais la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puise paraître, je pensais seulement que cela me rendait très excitante !


Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter !



  Je nettoyais la maison, m'habillais et sortis pour ranger l'arrière cour.


Je rangeais la tondeuse à gazon dans le hangar et vidais les cendres du grill à barbecue et le remplit de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.



  Je rentrais dans la maison, me déshabillais et regardais ce qui se trouvait dans le réfrigérateur.


Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparait un grand plat de charcuterie.


Je hachais quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.



  Tout au début de l'après-midi Le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa.


Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrais ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :


-         T'as fait du bon boulot, merci ! ... Il te reste une chose à faire, viens avec moi !



  Elle m'entraîna au salon s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit.


Je tombais à genoux entre ses jambes et commençais à l'embrasser.



  Je débutais par ses genoux et remontais le long de ses cuisses, je retroussais le bas de sa jupe et continuais mon chemin.


Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à son intimité.


Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que son clito et les lèvres de sa chatoune.



  J'embrassais et léchais tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.


Alors que je l'embrassais et la léchais avidement je sentais sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflais doucement sur sa fentine.


Je savourais avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.


Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartais la bande formant le fond de son string, toute surprise je réalisais que j'adorais ce que je faisais !



  Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle !


Je continuais à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.


Alors que je me redressais j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :


-         Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire !



  Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil !


J'étais prête !


Il me baisait âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer.



  Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :


-         Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait !



  Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à son tour.


Je me redressais alors et lui nettoyais consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.



  -         Merde alors ! ..... Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler ! .... S'exclama la femme


-         Ce sera pour plus tard ! ..... Allez ma fille viens t'occuper du grill.


Je me levais et me préparais à remettre mes vêtements


-         Laisse ça, tu n'en as nul besoin...   allons-y ! .....



  Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue ?



  Nous sommes sortis et je me contentais de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill.


Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur.


Lorsque nous sommes rentrés dans la maison Snake était levé et buvait déjà de la bière.


Je suivais docilement la femme et l'aidais à transporter le matériel nécessaire au barbecue.


Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.



  Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des  motards.


On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace.


Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude.



  Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.



  Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimais qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes.


Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes !


Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, personne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux !



  J'allais ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa son doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour.


Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.



  Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'impression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute manière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le risque.



  Lorsque j'approchais de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant.


Je commençais à fredonner un air de danse dans ma tête  sur lequel je cherchais à danser.


Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais personne ne se plaignait de ma performance.


Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.



  La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table.


Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquais 4 hommes qui sortaient un  banc du patio.


Je supposais que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.



  Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table.


Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue.


Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc.


Une sangle m'entourait la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc.


Mes jambes et mes bras étaient fruits, mais je ne pouvais pas bouger.



  Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol.


Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.



  Dès le début du film les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage.


D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film.


Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.



Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide.


Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre.


Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.


Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises.



  Je commençais à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtais aucune attention à ce qui se passait autour de moi.


Je remarquais cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.



  Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurais allongée à plat dos sur le banc toute la nuit.


Quelques gars allèrent pisser su fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.



  On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux.



  Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un  tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture.


Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché  ça et là sur mon corps et mon visage.



  Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.


Je me plaçais dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps.



  Je me précipitais sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses personnes, surprise et consternée.


Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus.



  Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon.


Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par son nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais personne par leur nom, c'était plus sûr.



  Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchais et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.


Je lui obéis promptement sans une plainte,  je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priais pour qu'elle épargne ma chatoune.



  Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot  d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette.


Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante.



  Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une personne.


-         Rude nuit ma fille ! ..... Me demanda-t-elle.


-         Oh oui madame...  Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.



  -         Appelle-moi Beth..... me dit-elle.


-         Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée ! .... J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer...  Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maison et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit.....


-         Je pense qu'à la nuit tombée Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour ! ..... Il adore se montrer un excellent hôte ! .....    Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit... 


-         Je sais que cela fait très mal ! ..... Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir! ....  A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis ! ....


-         Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir ! .....



  -         Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne.


Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me force à subir des choses dégradantes.



  Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :


-         Eh merde alors.....  Chérie, tu as intérêt à t'appliquer.....  Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant.....  Il cherche à les briser.....  Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable... Certaines de ces filles.....  Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit ! .....



J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquais, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère ? ....


Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout ! .....



  Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant.



  Je me débrouillais pour dormir un peu et je me réveillais vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler.


Il me fit lever et me roula un patin, son haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers.


Je l'embrassais en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.



  Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth.


Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :


-         Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage ! .....


Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.



  Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.


Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.


Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.



  La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :


-         J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire.....  Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre ! ....  Des questions salope ? .....



  -         Non-maître...


Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......



  Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison ! ....


Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe  comme pourboire


Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.


Finalement je posais mon bras autour de son cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.



  Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.


Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.



  J’embrassais et léchais pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.


Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.


Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.


Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :


-         Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu ! .....


Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...


Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.



  Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.


Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.



  Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot.



  Enfin il ne resta plus que Snake et moi.


Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.



  Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.


Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit.


J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé ! .....



  Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je précautionneusement pour gagner la salle de bain.


Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.


Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.



  Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.


Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.


Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.


Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.



  J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.


Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.


Lorsque je retournais dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.



  J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.



  -         Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide ! .....


Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.



  Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte  jupe et mon haut provocant et je traversais vivement la rue.


Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :


-         Bien sûr, sans problème, entre donc ! ....


Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit problème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.



  -         Par le diable, pourquoi as-tu été si longue  ? .....


-         Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer ! ....


Snake éclata de rire et s'esclaffa :


-         Quel vieux salaud ! ....


Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.


Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il  m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute.


J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.


Snake m'ordonna de le suivre, nous avons  sortis et sommes montés dans sa camionnette.


Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient.


J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici.


Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci.


Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.


-         Surtout ne déçois pas Snake ! .....


Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire ! ......



  Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser.


Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussais mon caddy.


Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.


-         Sens-tu ma caresse chienne ! ..


Je hochais la tête, et il poursuivit :


-         J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes ! ....


Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée.



  Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre.


A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers.


J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur ! ......



Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.


Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin.


Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes.


Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées.


Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.


"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire des nos deux visages lequel était le pus rouge.



  Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l’œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendais pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.



  Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :


-         Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale ! .....


Il ouvrit la  portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol.


Puis il me tapota les fesses en commentant :


-         Elle a vraiment un beau cul ! .....  Tu peux te la faire mon gars ! ......



  Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher.


Je jetais un oeil par-dessus mon épaule vers Snake et secouais la tête désespérée en lui murmurant :


-         Non, Snake..... Je vous en prie pas ça...  Ne m'obligez pas à......



Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire.


Je réalisais, alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que e venais de prononcer les paroles prohibées ! .....  On ne devait jamais rien refuser à Snake ! .....



  Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite.


Lorsque je me relevais Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien.


"Salope".


-         Joli surnom madame Anderson...   Quelle surprise de vous si gentille avec moi ! .....



  Snake prit le chemin du retour sans dire un mot.


Je cherchais à m'excuser, je lui demandais la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve.


J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée ! .....



  Dès rentrés, Snake me fit décharger nos achats les posant dans le séjour.


Tandis que je travaillais, il donna plusieurs coups de fil.


Lorsque j'en eus terminé, je sortis du salon et lui demandais à nouveau la permission de m'excuser.


Il m'opposa un sourire aussi cynique que menaçant ! ....



  Une demi-heure plus tard Mickey se pointa devant la porte, nous attendant dans sa camionnette, Snake me traîna derrière lui et me poussa au milieu du siège passager. Personne ne parlait.



  Mickey nous emmenait vers la base militaire aux frontières de la ville.


Je pensais que nous allions nous rendre dans la base, mais il bifurqua à droite juste devant la grille d'entrée et s'arrêta devant une vaste vieille maison.



  Ils descendirent, Snake me tirait toujours derrière lui. Snake frappa à la porte, une minuscule femme l'ouvrit.


Elle ne devait pas mesurer plus d'1, 55 m, elle devait avoir 35 à 40 ans, c'était difficile à dire.


Lorsqu'elle vit qu'il s'agissait de Snake, son sourire se ferma, mais elle s'effaça nous permettant d'entrer.



  Je jetais un long coup d’œil circulaire et je vis s'ouvrir devant moi plusieurs couloirs bordés de nombreuses portes.


L'étage était aménagé à l'identique. L'entrée était constituée d'une vaste salle meublée de nombreuses chaises.


Une demi-douzaine de femmes vêtues de baby-dolls où même en sous-vêtements étaient assises en demi-cercle.


Elles nous regardèrent fixement à notre entrée, elles détournèrent rapidement le regard à la vue de Snake.



  La petite femme s'avança vers moi et m'informa :


-         On m'appelle Mamma...  Tu peux m'appeler ainsi...  Et maintenant accordes moi une minute.....  Il faut qu'on ait un petit entretien ! .....



  On prit un des couloirs qui nous amena dans une petite stalle meublée d'un petit lit pouilleux et d'un lavabo.


Elle me fit asseoir de façon à ce que nos regards soient au même niveau, puis elle entama rapidement :


-         Ma fille, je ne sais pas ce que tu as fait, mais t'a sûrement salement merdé ! .....  Snake est fou de colère ! ....  Il t’a amenée ici pour qu'on te donne une bonne leçon ! .....  Sais-tu où tu te trouves ? .....


J'avais bien des soupçons, mais je secouais négativement la tête.



  -         C'est un bordel ! .... Me révéla-t-elle en fait.


-         Comme tu le sais de l'autre coté de cette grille se trouve une importante base militaire, et aujourd’hui c'est le jour de paye, pendant les deux jours à venir ce sera l'endroit le plus actif de la ville ! .....  Snake veut vendre ton cul pendant ces deux jours ! .....



  -         Cela veut dire un tour complet d'horloge à sucer des clients et à te faire baiser ! ......  Il m'a suggéré de te ligoter sur un lit pour que tous ceux qui veulent de toi te sautent à leur guise, qu'ils te fassent tout ce qu'ils veulent ! .....  Je vais pourtant t'offrir le choix..... Bien que je le prenne sur moi..... 


-         Si tu le préfères, tu peux te joindre aux autres filles et accueillir avec elles les clients dans le hall d'entrée pour les inviter à prendre du bon temps ! .....  Ce sera sûrement moins violent ! ......  A toi de choisir ! .....  Si tu choisis cette voie plus facile tu pourras, te rafraîchir et te détendre les jambes entre deux clients ! ......


Je sentais déjà l'étreinte d'une sangle qu'on enroulait autour de mon buste alors que "Mamma" m'expliquait la situation.


Le sang me monta à la tête alors que je pensais m'évanouir.  Elle comprit que j'étais en plaine détresse, mais visiblement elle ne voulait pas en tenir compte, cela risquait trop d'influer sur sa propre situation.



  Elle me laissa un temps de réflexion, et comme je ne me décidais, elle tendit la main pour attraper des chaînes posées sous le lit.


-         Non, attendez.....  Je ferai comme vous dites ! ....  Je vous en prie ne me ligotez pas sur ce lit ! .....



  -         C'est d'accord, lève toi et donne-moi ta petite combinaison ! .....


Elle lança mon seul vêtement sur une petite étagère sous le lavabo et m'entraîna hors de la chambrette. Elle me montra la salle de bain, puis nous sommes retournées dans le hall.



  Snake et Mickey assis au milieu des filles sirotaient une bière en flirtant avec les prostituées. En me voyant revenir, ils me jetèrent un coup d’œil menaçant puis m'ignorèrent.


Bien qu'il soit encore tôt dans l'après-midi, des jeunes gens se manifestaient déjà.


Ils arrivaient par deux, parfois seuls, parfois en groupes constitués de plusieurs individus, mais le plus souvent par deux, et très souvent à peine majeurs.



  Je n'étais que depuis deux trois minutes dans l'entrée lorsque la porte s'ouvrit sur de jeunes clients. Ils entrèrent et toisèrent les filles, nous nous étions mises en ligne, ils inspectèrent nos charmes, firent leur choix, payèrent Mamma et nous entraînèrent vers nos chambrettes.



  J'essayais de me comporter gentiment avec eux, d'être amicale.


Ces jeunes gens ne pouvaient pas savoir que j'étais ici contre ma volonté.


Le premier qui me sélectionna se déshabilla rapidement et me tendit une capote.


Je m'agenouillais et suçais sa bite pendant une bonne minute pour la raidir suffisamment pour lui enfiler facilement sa capote.


C'était assez difficile pour cette première fois, je n'avais jamais fait cela auparavant, je n'en avais jamais vu en fait.


Mais, une fois le sachet ouvert je compris facilement comment faire. Je m'allongeais à plat dos et le jeune homme m'enfourcha impatiemment.



  Il jouit tout de suite, j'étais désolée pour lui, je ne savais pas combien il avait déboursé pour me sauter, mais cela avait été trop vite.


Cela n'avait pas duré plus longtemps que le temps de lui enfiler la capote sur sa bite tendue.



  Il grogna et me remercia aimablement :


-         Merci madame.....


Je posais mes bras autour de son cou et lui murmurait :


-         Ne le dis à personne, mais aimerais-tu recommencer ?



  Son visage s'éclaira et il m'embrassa gentiment.


Et affichant un charmant sourire il me rétorqua :


-         Je suis désolé madame,  je sais que les femmes comme vous n'aiment pas être embrassées. Il était si doux et si gentil que je le serrais dans mes bras et l'embrassais passionnément tandis qu'il récidivait.



Lorsqu'il jouit de nouveau, après bien plus de temps que la première fois, je roulais la capote pour la retirer de sa jolie petite bite, je ne pus résister, je me penchais sur son ventre et la nettoyais d'une langue agile.


Une fois qu'il fut rhabillé je lui dis :


-         Rappelle-toi  pas un mot... 


Et je posais mon doigt sur mes lèvres, il hocha affirmativement la tête et nous sortîmes dans le couloir.



  Alors que Mamma lui ouvrait la porte,  je l'entendis lui dire que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.


J'étais désolée, mais il était si gentil.


Je savais pourtant j'avais trot de m'apitoyer.


Mais c'était juste un si gentil jeune homme.


L'idée me frappa soudain que je n'avais que 22 ans et je pensais à tous ces jeunes hommes comme à des enfants.



  Je jetais un coup d'œil anxieux vers Snake et Mickey, ils semblaient un peu désappointés de me voir accepter aussi facilement de travailler dans un bordel.


Je me disais au fond de moi même


-         Donnez-moi le temps, ce n'est que mon premier client ! ...



  Dès ce moment, et pendant toute la nuit jusque 4 heures, je montais et descendais le couloir menant à ma chambre, m'arrêtant parfois pour me rafraîchir un peu dans la salle de bain.


Il y avait des clients qui se montraient gentils, d'autres qui étaient plus chiants, certains beaux d'autres laids, de toutes les races que l'on puisse connaître.



  Je dus prendre une fois deux gars en même temps et deux fois je dus me joindre à une autre fille pour satisfaire un client exigeant.


Après chaque client je nouais le haut de la capote et la jetais dans la poubelle.


Elle était à moitié pleine vers 4 heures et demi du matin alors que redescendais le couloir avec mon dernier client. Il ne restait plus qu'une autre fille et moi dans le hall d'entrée.


Les autres filles nous avaient quitté une heure plus tôt.


Snake et Mickey étaient partis après mon troisième ou quatrième client.



  Personne ne s'était pointé depuis une demi-heure et je m'endormais sur ma chaise quand la sonnette retentit à nouveau.


Mamma alla ouvrit la porte à un groupe de six hommes.


Je suppose qu'il s'agissait d'officiers ou d'auxiliaires civiles de la base militaire.


Ils semblaient faire partie de l'armée, mais ils bien trop vieux  pour être des jeunes recrues comme la plupart des jeunes hommes qui m'avaient sautée ce soir.



  L'un d'eux discuta calmement avec Mamma tandis que les autres nous parlaient à l'autre prostituée et à moi.


Visiblement ils avaient bu mais ils ne semblaient, ni ivres ni antipathiques pour autant.


Je vis Mamma hocher la tête et ils se dirigèrent tous vers le fond du hall d'entrée vers une pièce légèrement plus grande que celle ou j'avais officié toute la nuit.



  Cette salle ne comportait pas de lit à sa place on trouvait un banc couvert de feutre d'environ deux mètres de long, à hauteur de bite.


Ils m'allongèrent sur le dos, l'autre fille placée sur moi en 69.



Nous nous mîmes toutes eux au travail.


Mon pauvre minou avait déjà supporté une longue nuit de service aussi sa langue me faisait drôlement de bien.


Je suppose que les prostituées ne sont pas sensées avoir d'orgasmes lorsqu'elles travaillent, mais j'en avais eu de nombreux au cours de la nuit...... Et je n'étais pas loin de succomber une fois encore. Cette fille était une excellente brouteuse de chatte.



  Nos clients se tenaient à nos cotés nous observant attentivement, parfois l'un d'eux nous caressait, caressait ses fesses ou passait la main entre nos deux corps pour nous pincer les nichons.


Nous nous sommes bouffé la chatte pendant un long moment, puis j'entendis nos consommateurs se déshabiller et je vis une longue bite se planter dans la chatoune de la fille qui me surplombait.


Au même instant une autre plongea dans ma cramouille, j'entrepris e lécher la bite et les couilles qui frottaient sur mon visage, il se passa plusieurs minutes avant que je réalise que ce salaud ne portait pas de capote.


J'en étais arrivé à un point où je m'en foutais totalement.


Bien trop de motards m'avaient sautée la bite nue pour que je m'en soucie maintenant.



  Je sentais une grosse bite coulisser dans ma chatoune mais je faisais surtout attention à la longue mentule qui labourait mon "amie".


Je voyais bien qu'il tout près de jouir, il se retira alors de la chatte de l'autre pute et engouffra sa bite dans ma bouche, jusqu'à la luette. S'ils pensaient que cela puisse m'affecter, ils en furent pour leurs frais.


J'avais avalé bien plus de sperme lors de ces dernières semaines que la plupart des femmes dans toute leur vie.



  J'avalais sa semence légèrement acide et lui nettoyais la bite, il s'exclama :


-         Bordel quelle bonne suceuse ! .....


J’en étais fière, ils ne tardèrent pas à m'encercler pour se vider tout à tour dans ma bouche accueillante. Je suçais ainsi les 6 hommes.



  Ils me laissèrent finalement, je me nettoyais et revins dans le hall.


Cela faisait maintenant une bonne douzaine d'heures que je me prostituais et je n'avais pas encore échangé un seul mot avec mes compagnes, à l'exception de Mamma.


Même pas avec celle qui m'avait brouté le minou.


Je ne saurai pas dire si c’était parce qu'elles ne m'aimaient pas ou si elle n'appréciait pas mon irruption dans leur petit commerce.



  Lorsque les 6 hommes partirent, la fille que j'avais mignotée en fit autant, je demeurais seule avec Mamma, nous somnolions sur nos chaises.


Je pensais que ne tarderions plus à nous coucher lorsque la sonnette retentit de nouveau.


Mamma ouvrit à 3 nouveaux jeunes clients, ils furent désappointés de voir que j'étais la seule fille disponible.


Ils n'étaient pas vraiment désappointés en fait ils n'avaient aucune envie de se partager une pute.


Mais comme ils n'avaient pas le choix ils décidèrent de me prendre à trois, chacun voulant utiliser un trou différent.



  Je les emmenais dans ma petite chambre et commençais par tailler une pipe à l'un d'eux.


Je compris bien vite que ce gars réclamait une gorge profonde. Et comme d'habitude cela ne dura pas bien longtemps.


J'étais si fatiguée que j'avais oublié de lui enfiler une capote, je fus toute surprise de sentir un flot de sperme m'emplir la bouche.


J'avalais sa semence, lui souris et m'exclamais :


-         Oups ! .....



  Il me sourit en retour et me dit :


-         C'était la meilleure fellation que j'ai eu de ma vie ! ..... Ma fille si tu n'étais pas une pute je t'épouserai sur-le-champ ! ....



  Je me rappelais de la capote pour les suivants bien qu'ils n'aiment pas cela.


Mais c'était de bon gars et ils ne voulaient pas me froisser.



  J'étais si fatiguée que je ne réalisais même pas combien de fois je m'étais fait baiser depuis que Snake m'avait amené dans ce bordel.


Mais je ne me sentais pas encore assez endolorie pour ne plus pouvoir continuer.



  Lorsque je redescendis avec mes trois clients satisfaits, je vis Mamma se préparer à partir.


Son rôle était terminé, il y avait maintenant trois autres filles attendant le client, Mamma les avait apparemment informées que j'étais ici à la requête de Snake, elles semblaient se contenter de cette mise au point.



  Je suppose que je devais paraître assez fatigué.


Excepté un court somme peu auparavant, je n'avais pas dormi depuis presque vingt-quatre heures maintenant.


La plupart du temps je travaillais avec les autres filles se tenant dans le hall d'entrée.


Cependant, ce qui me distinguait des autres, c'est que j'étais intégralement nue.


On ne me choisissait plus que lorsque les autres filles étaient déjà occupées, ce qui me convenait parfaitement.



  Il en fut de même pendant la matinée, je ne dus satisfaire que quelques clients, mais, aux environs de midi, les affaires reprirent.


A ce moment les clients ne se préoccupaient que de trouver des filles désœuvrées, cela ne changeait pas grand chose.


Je descendais le couloir, un homme me choisissait, je retournais en sa compagnie dans ma chambrette, et y faisais tout ce qu'il voulait ; 5 % de mes prestations étaient anales, 20 % orales, et les 75 % restant ordinaires bien que souvent violentes.



  Je notais ma 24ème heure d'abattage, puis ma 36ème heure, mon corps était totalement engourdi, les clients commençaient à se plaindre que je m'endormais alors qu'ils me baisaient.


Aussi le gros rouquin qui remplaçait Mamma me prit à part pour avoir une petite conversation avec moi avant de tester mes charmes...



  Il me prévint qu'il savait pour quelle raison je me trouvais là, et qu'il était désolé pour moi, mais qu'il ne pouvait laisser des clients se plaindre du comportement des putes dont ils louaient les services !


Aussi ferai-je mieux de me secouer si je ne voulais pas que Snake soit mis au courant.



  Cette semonce me fit autant d'effet qu'une douche froide, il sortit alors sa grosse bite de son caleçon et je lui taillais une pipe avec un dynamisme certain.


Puis nous avons regagné le hall et je fis de mon mieux pour me montrer avenante et dynamique avec mes clients.



  Snake revint vers 17 heures, cela faisait pratiquement cinquante heures que je subissais client après client.


J'étais à mi-chemin de sa camionnette lorsque Mamma ouvrit la porte et me hurla de venir reprendre ma combinaison.


Je courus vers elle et debout dans le porche d'entrée j'enfilais ma courte combinaison, puis je retournais au van.



  Snake démarra et on partit.


-         As-tu compris la leçon chienne ? Me demanda-t-il sévèrement.


-         Oui monsieur...  Soufflais-je affolée.


-         Qu'as-tu appris salope ?


-         Maître, j'ai appris que je ne devais jamais vous appeler par votre nom, et que je ne devais jamais rien vous refuser...



  -         T'es vraiment une conne, petite chienne, je me demande si tu as vraiment retenu quelque chose...  Tu as probablement pris du bon temps !  Tu te l'es coulée douce en fait ! 


-         La prochaine fois que tu serviras, ce sera dans un club sado-maso à une heure et demi d'ici !  Je te garantis que tu n'y prendras aucun plaisir cette fois !


-         Je n'étais pas sure de comprendre ce dont il me menaçait, mais je savais déjà que je détesterais cela.



  Snake gara sa voiture dans l'allée du garage, je pénétrais dans la maison, me débarrassais de ma combinaison et entamait son ménage.


Tandis que je nettoyais la chambre, je remarquais que l e pot d'onguent se trouvait toujours là, je m'en servis pour  en enduire copieusement mon trou du cul et ma fentine.


Instantanément je me sentis mieux, j'essuyais l'extérieur de mes orifices, je ne pensais pas que Snake aimerait celà, il était persuadé que je n'avais pas encore assez souffert !


Je ne voulais donc pas qu'il se rende compte que je m'étais servi de cet onguent miracle.



  Il se faisait tard et Snake décida qu'il ne voulait pas que je tourne autour de lui alors qu'il travaillait, il me renvoya donc chez moi, j'étais folle de joie.


Je rassemblais mes effets, enfilais ma combinaison et m'empressais de rentrer à la maison.



  Je me ruais à l'intérieur et je vis quelqu'un bouger et crier, je me suis évanouie à cette vue.



  Je repris conscience dans les bras de mon mari qui me tenait la tête et frottait une serviette humide sur mon visage.


Je devins carrément hystérique en constatant que c'était lui, ma vie était finie !


Cela me prit bien dix bonnes minutes pour me calmer assez pour entendre ce qu'il me disait.


J'étais épuisée, j'avais du dormir en tout et pour tout une quarantaine de minutes ces dernières 60 heures !


Un espèce de brouillard envahit alors votre esprit quand vous êtres par trop éreintée.



  Finalement j'acceptais le fait que ma vie et mon mariage étaient ruinés, et je commençais à expliquer les faits à Jay.


Je lui racontais tout, je lui montrais même les mails et les photos, je m'attendais à ce qu'il hurle ou me frappe ou quelque chose de ce genre !


J'épiais son visage guettant l'expression dégoûtée qu'il  afficherait tôt ou tard.


Mais il se contenta de m'écouter sans commentaires superflus.


Il ne me posa que quelques questions puis il m'aida à me relever et m'emmena dans la douche, il enleva sa robe de bain et se doucha avec moi, me lavant gentiment le corps.


Puis il m'aida à gagner notre lit et s'assit sur le rebord prit ma tête et m'embrassa tendrement pour me souhaiter une bonne nuit.



  Je ne comprenais pas, à ma connaissance pas un homme ne resterait avec une foutue salope qui l'aurait trompé !


Pourquoi ne manifestait-il pas sa fureur ?


Il m'avait seulement dit :


-         Prends un peu de repos, ça ira mieux à ton réveil !


Je pleurais amèrement dans mon lit.


Il se pencha alors sur moi et essuya mes larmes m'embrasant jusqu'à ce que je m'endorme.



  Je dormis quasiment 24 heures d'affilée, lorsque je m'éveillais, Jay était étendu à mon coté, je m'assis et il ouvrit les yeux, je ne vis que de l'amour et de la pitié dans son regard.


Je lui dis que j'allais partir, qu'il devait me foutre dehors, qu'il était bien trop parfait pour une salope de mon acabit.


Il se contenta de sourire et me dit de me calmer.


Je sortis du lit, j'étais gênée qu'il me voie nue, après tous ces gens qui m'avaient vu nue dernièrement, j'étais paradoxalement extrêmement gênée d'exhiber ma nudité sous ses yeux.


Je pensais que je ne le méritais plus, j'étais souillée à jamais.



  J'enfilais prestement une robe puis nous avons gagné la cuisine.


J'e préparais un souper léger puis nous nous sommes assis tranquillement. Je ne savais que dire à quel point j'étais désolée.


Il continuait à me répondre que c'était bon, bien qu'en  fait ça ne l'était pas. Cela ne pourrait plus jamais être bon.



  On alluma ensuite la télé pour suivre les informations, je regardais sans y faire attention jusqu'au moment ou je vis apparaître des photos de Snake, évidemment elles retinrent mon attention.


Il semblait que plus tôt dans la journée un voisin avait découvert le corps sans vie d'Albert "Snake" Dutton, il avait été tué de deux coups de revolver de petit calibre, probablement un 22.


Lors de leur enquête, les inspecteurs avaient trouvé une pièce verrouillée à double tour, refermant des preuves évidentes qu'il faisait chanter des utilisateurs du prestataire internet pour lequel il travaillait la nuit ce qui lui permettait d'avoir accès aux mails et aux discussions de nombreux consommateurs.



  Jay possédait un 22, c'était un cadeau de son grand-père, il tirait à la cible avec lorsqu'il était gamin.


Mais il n'avait pas servi depuis de longues années, je lui jetais un oeil soupçonneux, il se contenta de me sourire en retour.



  -         Te sens-tu mieux maintenant ? Me demanda-t-il inquiet.


Je hochais affirmativement la tête.


-         Veux-tu me faire plaisir ?


-         Oh mon Dieu Jay, tout ce qu tu voudras !  Je mourrais pour toi !



Il m'adressa un petit sourire furtif et ajouta :


-         Ce n'est pas plus mal !


Puis il éteignit la télé, me prit la main et m'emmena dans notre chambre.


-         Il semble impossible qu'il veuille encore me faire l'amour après tout ce que je lui ai avoué... Pensais-je tristement.



  -         Je voudrai te voir dans  ces tenues qu'il te faisait porter !


Je pensais tout d'abord qu'il voulait  satisfaire sa curiosité et m'humilier avant de me foutre dehors !


Mais j'avais tort.



  Jay vit  ma confusion, il poursuivit :


-         Ma chérie, j'ai essayé d'être l'époux parfait depuis que nous nous sommes marié...    Non, depuis que nous nous sommes rencontrés...  Je t'ai aimée dès la première fois que je t'ai vue, j' ai tout de suite voulu être ton prince charmant...  Mais je pense que je n'avais encore jamais réalisé à quel point j'étais stupide... 


Lorsque tu m'as raconté toutes ces horribles choses que tu as subies, j'ai senti croître mon excitation au fur et à mesure de tes révélations.....  Lorsque tu m'as montré ces photos de toi dans tes mails j'ai quasiment joui dans mon pantalon !  Et lorsque tu as dormi j'ai réfléchi à toutes ces choses que Snake savait de toi...  J'ai regardé les vidéos... Je les ai toutes regardées, y compris les DVD que j'ai dérobé dans sa maison...   Et j'ai alors réalisé que nous avions raté un tas de chose dans notre vie...  Et surtout toutes ces choses qu'on aurait pu faire ensemble.....



  -         Si je veux te voir dans ces tenues c'est que je veux voir moi aussi ce les autres ont vu...  Je veux ressentir les mêmes émois que ces hommes quand tu refermais ta bouche sur leurs biotes...   Et je veux que tu hurles de plaisir sous les caresses de ma langue comme lorsque Snake te butinait la chatoune !


-         Nous avons vécu une vie frileuse sans en tirer grand plaisir...  J'en suis venu à comprendre tout ce que nous avons raté en suivant ce lamentable chemin...  Je ne suis pas encore sur que ça valait vraiment le coup...



  Je ne savais pas si j'avais raison, mais j'enfilais un de mes pagnes et le haut le plus révélateur que je trouvais, puis je paradais sous les yeux de Jay, je regardais son visage et comprit qu'il ne se foutait pas de moi.


Il aimait le spectacle que je lui offrais.


Lorsque je me laissais tomber à genoux pour descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et que je me mis à lu tailler une pipe, il commença à se cabrer furieusement dans ma bouche, je compris qu'il m'aimait toujours autant, sinon plus.


J'étais si heureuse que j'en pleurais, je le suçais et pleurais à chaudes larmes, et lorsqu'un orgasme fracassant le submergea, il jouit pour la première fois dans ma dans ma bouche alors que je succombais à mon tour.



  Puis il s'occupa de moi, il était évident qu'il avait observé attentivement les vidéos, il dégustait pour la première fois ma chagatte, mais il le fit avec style et amour, c'était vraiment fantastique !



  Je n'entendis plus jamais parler de l'enquête, apparemment pas un seul des amis de Snake n'avait mentionné mon nom.


Demain je dois conduire Jay en ville, il veut renouer avec un  de ses vieux copains, je savais juste qu'il possédait un bar à putes, Jay voulut s'arrêter chez Larry sur le chemin du retour pour voir s'il disposait de nouvelles tenues que j'aimerai endosser, je portais mon collier de chienne.



  9 février 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




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