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Review This Story || Author: Zioni

La Condamnée

Part 1

Tous les personnages de cette histoire sont fictifs, majeurs et âgés de plus de 18 ans. Toute ressemblance avec des faits ou personnages ayant existé ne serait que pure coïncidence. Il sagit ici de fantasmes.

Ceci est lhistoire de mon avilissement, de ma descente aux enfers, de mes désirs dhumiliation et de dégradation.

Je mappelle Samantha Endersson; à 45 ans je suis une femme pulpeuse, une chevelure châtain qui tombe en larges boucles jusquau milieu de mon dos, une bouche aux lèvres ourlées, un visage fier et arrogant, une peau de pêche, légèrement hâlée.

Malgré mon âge, les hommes se retournent toujours sur mon passage : jai une chute de reins très cambrée, des fesses charnues, comme les blacks, des jambes longues aux muscles dessinés. Mon corps a pris quelques kilos avec les années mais ces rondeurs me rendent, parait-il, encore plus sexy.

Mon atout majeur, ce sont mes seins : je fais du 105DD, des seins lourds, en forme dénormes poires avec des tétons qui pointent vers lextérieur. Au moindre de mes mouvements, ils frottent lun contre lautre et ballottent lourdement, attirant les regards des hommes de tout âge.

Jeune, jétais gênée par cette poitrine démesurée que je trouvais obscène.

Maintenant, jen suis très fière et je la mets en évidence en portant toujours des vêtements moulants ou des décolletés les plus provoquants.

Avec mon mari Dexter, 50 ans, ingénieur, nous habitons dans les beaux quartiers de Houston, au Texas, dans le Sud des USA. Nous navons plus grand-chose en commun, lui et moi, nayant pas eu denfants. Je nen ai jamais voulu ; cétait impossible avec ma carrière. Nous partageons la même vie mais la passion ny est plus ; nous sommes mariés en séparation de biens pour que chacun puisse reprendre ses billes si ça tourne mal pour lautre…

Je suis CEO dune grosse société de conseil financier et immobilier. Jai lutté durement pour gravir les échelons et je suis fière de régner sur plus de 300 employés.

Dans la vie active, je suis une femme ambitieuse, autoritaire et crainte par mes employés.

Mon côté obscur est tout différent : je suis hantée par des fantasmes masochistes, de soumission, dhumiliation, desclavage…

Mon mari ne partageant pas mes désirs, javais dû assouvir ceux-ci par des rencontres sur internet.  Les 1eres rencontres avec des inconnus, selon des scenarios préparés à lavance avaient révélé ma sexualité. Javais longtemps eu une liaison avec un black musclé, très dominant. Je lattendais dans la chambre dhôtel où il me rejoignait le midi, nue à genoux métant moi-même menottée les mains derrière le dos après avoir laissé la porte entrouverte. Il  entrait sans un mot, me giflait copieusement en me traitant de grosse pute ou de sac à foutre puis il me forçait à le sucer, lentement, gobant et léchant langoureusement ses couilles, ma langue sinsinuant dans son anus.

Il me tenait par les cheveux métouffant à moitié en enfonçant son énorme sexe dans le fond de ma gorge ; jadorais le regarder en lui offrant ma bouche pendant quil me crachait dessus et minsultait. Il jouissait en longs jets salés et acres et javalais sa semence jusquà la dernière goutte. Après avoir nettoyé son sexe avec ma langue, il me battait à coups de poings et de pieds ou me cinglait les fesses et les seins à coups de ceinture. Dautres fois, il mattachait au lit les mains au-dessus de la tête et appelait un room service. Lorsque le garçon détage entrait, il me trouvait enchaînée nue sur le lit, les seins et les fesses striés des zébrures des coups de ceinture. Il lui demandait alors de menculer sans aucune forme de respect. Après avoir remercié le garçon détage, je devais lui nettoyer le sexe avec ma langue en mexcusant « que mon gros cul de poufiasse soit plein de merde ». Après quoi, mon amant black prenait mon portefeuille et lui donnait un pourboire princier.

Quand mon mari partait en voyage daffaires, je participais à des soirées dans des clubs SM très fermés où on me vendait comme esclave pour quelques jours. Jadorais lhumiliation dêtre ainsi exposée et palpée comme du bétail. Tenue en laisse par une dominatrice toute vêtue de cuir, je montais sur scène, nue enchaînée les mains derrière le dos, des fers à mes chevilles avec une lourde chaîne les reliant, sous les moqueries du public. Je me tenais fièrement, cambrée, toisant les acheteurs qui venaient soupeser mes seins, mes fesses et explorer mes trois orifices de leurs mains. Pour faire monter les enchères, ma dominatrice me forçait à danser de façon obscène à coups de cravache. Les chaînes me faisaient souvent tomber pour le plus grand plaisir des spectateurs qui voyaient mes seins sécraser sur le plancher rugueux de la scène. La honte, lhumiliation, les moqueries du public me procuraient une excitation incroyable. Une fois vendue, ma dominatrice mordonnait de me mettre à genoux et lorsque mon acheteur montait sur scène, je baisais humblement les pieds de mon nouveau maître tandis quelle me cravachait les fesses. Cétait tellement intense que je jouissais parfois sur scène, dans de longs râles entre deux léchages de semelles.

Mon propriétaire temporaire memmenait alors en laisse pour plusieurs jours desclavage sexuel ou je mettais toute ma science et ma sensualité pour satisfaire ces hommes parfois répugnants. Parfois aussi des femmes machetaient, cétaient de loin les plus sadiques et les plus imaginatives.

Mais tous ces plaisirs ne durèrent quun temps et je rêvais à présent de bien plus.

Je voulais que ma déchéance soit totale et permanente ; les petites séances dun soir ne me comblaient plus. Je rêvais desclavage réel, devant tout le monde, sans possibilité de faire marche arrière.

Assise dans mon grand bureau directorial au 50e étage de limmeuble G&R ltd, je rêvassais, distraite, lennui sétant installé profondément dans ma vie. Javais lu sur internet des récits où des femmes étaient punies des travaux forcés sur une galère, ramant nues sous les coups de fouet, en sueur, pataugeant dans leurs excréments, la tête rasée, enchaînée à leur banc. Pendant leurs rares moments de répit, elles devaient satisfaire leurs gardiens, avec leur bouche. A lidée de me voir condamnée à des travaux forcés très durs, de nêtre plus quune bête de somme, mon clitoris se durcissait et je me masturbait frénétiquement pendant des heures, laissant une large auréole humide sur mon siège.

Aujourdhui, ma secrétaire devait mapporter un rapport très important. Lillian, 38 ans, mince, assez fade était ma secrétaire et aussi mon souffre-douleur. Je passais sur elle mes frustrations sexuelles en la traitant de façon infâme.

Elle me tendit une farde épaisse et sassit sur le siège faisant face à mon bureau.

Après une heure de lecture et de nombreuses remarques blessantes sur la mauvaise qualité du travail, je jetai la farde par terre, avec dédain.

Je lui ordonnai de ramasser les papiers éparpillés et elle sortit du bureau, les yeux pleins de larmes mais aussi de haine. A peine cette petite imbécile sortie, je me replongeai dans internet. Un article intéressant sur le durcissement des lois avait excité ma curiosité : avec la crise et laugmentation de la criminalité, de nouvelles lois avaient été votées. Chaque condamnation devait à présent avoir plusieurs aspects. La privation de liberté du coupable bien sûr, mais aussi un aspect dissuasif en rendant publique la condamnation et en montrant à la population ce qui attendaient les criminels. Le condamné étant conduit publiquement sur les lieux de son forfait pour y demander pardon et étant ensuite emmené nu et enchaîné vers sa prison pour y purger sa peine. Un autre aspect qui faisait remonter en moi mes désirs les plus infâmes était que chaque condamné(e) devrait payer sa dette à la société en se soumettant à des travaux au service de la collectivité…Un site montrait une prison du Sud de létat où des femmes condamnées à de longues peines travaillaient nues enchaînées par les pieds les unes aux autres à casser des cailloux pour la construction dune route.

Leurs conditions étaient très dures, on les voyait essayer de rouler de gros rochers sous les coups de fouet des gardiens. Beaucoup de ces femmes étaient des criminelles de basse classe, des noires mais il y avait aussi quelques blanches dans cette prison. Je me demandais si je serais capable dendurer de telles conditions, de devenir une de ces esclaves. Mais en fait, depuis plusieurs mois, je savais que je voulais définitivement quitter cette vie ennuyeuse et banale…

Javais échafaudé un plan fou dans lequel je me dénoncerais moi-même à mon Conseil dAdministration pour me faire condamner. Il y a des années, javais en effet profité dune erreur pour détourner une grosse somme dargent.  Jen éprouvais un sentiment de culpabilité obsédant et des remords me faisaient souvent me réveiller en sueur au milieu de la nuit. Plusieurs fois, javais préparé un courriel avec un fichier contenant toutes les preuves, à envoyer aux administrateurs. Mon doigt avait caressé la touche « envoyer » mille fois mais je navais pas osé le faire ; comme le suicidaire qui nose pas appuyer sur la gâchette. Tout le dossier fraude était caché soigneusement dans ma mallette.  Jhésitais, pesant ma vie luxueuse, puis me voyant nue, couverte de chaînes devant tout le monde comme je le désirais tant.

La journée avait passé rapidement et je fus surprise par lentrée de Lillian et de son fils, Kevin, 18 ans mais paressant 15, rouquin boutonneux, quasi obèse, avec son regard porcin et ses airs de puceau. Il me regardait toujours avec une envie malsaine, ce petit vicieux. Et aujourdhui, je vis que ma robe noire lui faisait de leffet : très moulante, avec un décolleté profond découvrant mes seins presque jusquaux aréoles, elle était aussi très courte et il remarqua vite la lisière noire de mes bas. Je croisai mes jambes et il eut brièvement une vision de mon porte-jarretelles. Mais assez joué…

Il était tard et je fermai la porte séparant mon bureau et celui de ma secrétaire pour me replonger dans ce reportage sur cette prison aux conditions très dures. Les gardiens, des blacks pour la plupart, avaient lair de brutes épaisses et en les voyant maltraiter leurs prisonnières, je mimaginais entre leurs mains, hurlant sous le fouet ou les satisfaisant avec ma bouche, réduite en esclavage, couverte de sueur et de poussière, cassant des cailloux le long dune route devant les habitants de lendroit… Les images tournaient dans ma tête et je recommençai à me masturber, lentement. De mon autre main, je caressais mes tétons emprisonnés dans ma robe si moulante. Je décidai de lenlever et je me mis nue, avec mon porte-jarretelles, jambes écartées sur mon fauteuil, une main massant mon clitoris, lautre mes seins. Jétais proche de lorgasme quand jentendis derrière moi un soupir. Je sursautai et vis Kevin, le pantalon baissé en train  de masturber son petit sexe. Javais oublié de fermer la porte de la salle de réunion !!!

En deux bonds, jétais sur lui, qui sétait empêtré dans son pantalon et était tombé par terre, son gros cul nu.

Sautant sur lui, je lui administrai une fessée cuisante jusquà ce que ses fesses soient toutes rouges.

Il pleurait à chaudes larmes, honteux et humilié de sêtre fait prendre. Je remis ma robe et appelai Lillian :

Sortez de mon bureau tous les deux et vous, continuez ce rapport sinon… !!!

Une fois le calme revenu, je respirai un grand coup, pris le dossier contenant mes fraudes et louvris sur mon bureau. Ma décision était prise…Je mettais mon sort entre les mains de ma secrétaire.

Je sortis du bureau :

Je laissai tomber un gant et lui jetai un regard noir :

Elle me détestait.

Le lendemain, en route vers le bureau, je me demandais si Lillian avait lu le dossier que javais laissé et si oui, mavait-elle dénoncé ? Jétais taraudée par la peur et lexcitation. Plusieurs fois, javais rebroussé chemin, hésitant à reprendre ma route. Javais mis une robe trop courte ultra moulante qui marrivait au ras des fesses, avec un string rouge et sans soutien. Décolletée  dans le dos mais aussi dévoilant mes gros seins presque entièrement, jétais obscène, on aurait dit une putain. Sans soutien, mes seins pendaient lourdement, mes mamelons dardant sous le tissu, ma robe arrivant tout juste à contenir lun contre lautre mes gros seins, mais mes tétons pointant vers la gauche et la droite, de vraies mamelles.

Arrivée au bureau, je fus immédiatement arrêtée par les 5 policiers qui mattendaient dans le hall, sous les yeux stupéfaits de mes employés de me voir emmenée dans une telle tenue.

Mon procès fut expédié en quelques heures ; javais tout avoué et navais pas demandé davocat. Cest donc dans cette tenue de prostituée que je mentendis condamner :

Ma vie basculait ; dans la salle, japerçus mon mari et ma secrétaire qui applaudissaient à lannonce du verdict. Je fus emmenée en me demandant si cétait le hasard qui les avait fait sasseoir lun à côté de lautre.

Le lendemain, dans le fourgon cellulaire qui me conduisait vers mes anciens bureaux, la fonctionnaire pénitenciaire, Madame Olga, une petite femme maigre, la cinquantaine au regard très noir, mexpliqua :

Elle échangea un  clin dœil complice avec les deux gardiens qui mescortaient et avec un sourire narquois, elle répondit :

Mes gardiens étaient deux noirs très jeunes, tous deux bâtis comme des armoires à glace ; ils me considéraient avec mépris, le regard mauvais ; je compris vite quil ne fallait pas les contredire et quil vaudrait mieux me montrer obéissante.

Arrivés devant limmeuble de mes ex-bureaux, Madame Olga avait pris soin de couper les bretelles de ma robe ainsi que lélastique qui en serrait le bas. Elle ne tenait donc plus que par ma taille et mon ventre. Je devais donc continuellement la remonter sur mes seins et tirer sur le bas qui laissait apparaitre mes grosses fesses et mon string à chaque pas que je faisais.

Agacée, la fonctionnaire mordonna :

Elle avait raison…

Je pénétrai dans le hall de limmeuble lair hautain et impassible, comme si je venais travailler normalement, à la différence que javais les seins qui ballottaient maintenant complètement hors de ma robe et que javais les fesses exposées aux yeux des employés stupéfaits…

Je fus conduite dans la grande salle de congrès où javais fait tant de discours et dans laquelle on avait réuni tous mes employés. Je traversai la salle sous les murmures et les ricanements moqueurs de mon ancien personnel.

Puis je retrouvai ma fierté et en regardant fièrement la salle :

La salle me huait copieusement. Je me tournai ensuite vers mes gardiens et je les toisai avec mon air arrogant:

Libérée par ces déclarations, lassemblée sen donnait à cœur joie ; les insultes, les huées pleuvaient sur moi.

Pour bien me ridiculiser devant mon personnel, elle mavait fardé le bout des seins avec un rouge à lèvres criard et men avait couvert les lèvres en débordant partout. Jenlevai ma robe puis mon string en gardant mes jambes bien tendues pour le faire glisser jusquà terre et en me penchant vers lavant pour exciter tous ces porcs qui se réjouissaient de ma déchéance.

Une fois en position, morte de honte, humiliée mais aussi de plus en plus excitée, je faisais face à tous ces gens qui, il y a peu, me parlaient avec respect et mobéissaient et qui à présent, me huaient, minsultaient et se moquaient de moi. Tous avaient sorti leurs portables et prenaient des photos ou me filmaient, dans une ambiance indescriptible. Jessayais de garder la tête haute et le regard fier malgré les tomates pourries quon lançait sur moi. Les femmes étaient les plus cruelles, visant mes seins avec des pommes achetées à la hâte à la cafeteria. Javais une envie folle de me masturber…

Madame Olga demanda alors aux gardiens de commencer ma préparation. Un des gardiens me riva aux chevilles des fers très lourds et rouillés, reliés par une grosse chaîne de près dun mètre.

Mes poignets furent ferrés également, mais seul un anneau reliait les deux fers si bien que je ne pouvais absolument plus bouger mes mains, les mains derrière le dos. Je nétais désormais plus maître de mon propre corps. Mon excitation grandissait ; le poids des chaînes, tous ces gens, les ordres des gardiens me mettaient dans un état second.  Mon sexe était trempé…

Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les mèches tombaient sur mon corps et sur le sol, mêlées à mes larmes de rage et de honte. Le gardien sempara alors dun rasoir électrique et me tondit le sommet du crâne, laissant les côtés garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux mèches au sol et me les enfonça dans les narines puis me promena sur toute la scène pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.

Il reprit son travail et en quelques passages, ma tête fut aussi lisse quun œuf. Nouvel intermède pour bien me soumettre aux moqueries de la salle… Jamais, même dans mes rêves les plus pervertis, je navais pensé à une telle humiliation. Jen savourais autant que jen haïssais chaque moment. Mon excitation était à son comble. Et la vision de mon ex-secrétaire au 1er rang vint encore laugmenter.

Je voulus bondir au-devant de la scène pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rouèrent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, sacharnant sur moi à grands coups de pieds.

Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me percèrent les grandes lèvres avec un poinçon chauffé à blanc et je fus fermée par un lourd anneau de métal. Je mévanouis presque, foudroyée par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.

Nue, enchaînée, la tête rasée, mes mamelles et mes fesses exposées à tous, le sexe distendu par lanneau, jétais devenue une sorte de bête curieuse et mon sort devait en effet faire réfléchir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de ladministration pénitentiaire avaient donné naissance à des artistes de lhumiliation comme Madame Olga…

Pourtant je navais plus quun désir, vivre ma nouvelle vie desclave et me soumettre de la plus honteuse des façons. Malgré lanneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur lintérieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.

Je me jetai à genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.

Je fis ce quon mavait ordonné. Sur un geste de la fonctionnaire, un des gardiens me maintint la tête au sol en appuyant sa semelle sur mon cou. Pendant que le deuxième forçait mes sphincters avec une sorte de pompe à vélo remplie dun liquide visqueux quil vida dans mes entrailles en riant.

Pour que tu la chies pas, on va te mettre ça dans le cul ; autant que tu thabitues directement à notre calibre, car dans la prison, presque tous les gardiens sont blacks et ils aiment pas les esclaves blanches au cul trop serré !!! me dit-il en me montrant un énorme phallus dacier terminé à sa base par un anneau retenant une cloche de vache, quil fit tinter joyeusement.

Ce fut immédiatement la ruée et une bousculade vers lestrade. Jespérais que Lillian serait choisie pour me sodomiser avec le phallus mais ce fut finalement mon ex-chauffeur qui fut le plus rapide. Je décidai de ne pas le décevoir. Cétait un gros homme chauve, tout proche de la retraite, assez primaire avec un regard borné et sévère. Essoufflé par sa lutte pour arriver sur scène, il se planta devant moi, hésitant.

Aussitôt, je me mis respectueusement à genoux en le regardant dans les yeux, les reins cambrés et les seins offerts.

Semparant du godemiché, il lappuya contre mes sphincters et je le laissai pénétrer en moi au plus profond de mes entrailles. Je poussai un râle de plaisir, les yeux mi-clos en donnant moi-même une dernière poussée pour bien mempaler sur le gigantesque phallus.

Je devenais folle en me contorsionnant sur le phallus dacier et, abandonnant toute pudeur, je me perdis dans lavilissement :

Après discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de règle sur les seins. On lui donna une latte plate en métal souple de 60 cm quil tapota dune main sur lautre puis Monsieur René me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit :

Jécoutai à genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors quà 10 reprises, il abattait sa règle sur mes seins. Après quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de façon obscène, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.

Mes seins striés de marques rouges avaient presque doublé de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. Jétais à ses pieds, vaincue… Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous lœil amusé de mes gardiens. Il redescendit de la scène  sous les applaudissements de mes ex-employés.

Allez, feignasse, lève-toi, il est temps de partir ; on tattend à la prison ! mordonna Madame Olga.

Je me relevai avec difficulté, empalée par mon godemiché, mes seins et mon sexe piercé me faisant souffrir mille douleurs. Pendant quelle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer :

En laisse derrière la fonctionnaire, nous descendîmes nous frayer un passage à travers une haie dhonneur improvisée par les employés. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me protéger des gifles, des crachats, des pincements, que minfligeaient mes anciens employés.

Ding, dilling, tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser à chaque pas.

Un groupe de secrétaires qui me détestaient et me jalousaient brandissaient leurs agrafeuses. Elles sacharnèrent sur mes seins et mes fesses, me faisant pousser des cris stridents, tirant vainement sur ma laisse et mes chaînes pour échapper à leurs morsures.

Japerçus le groupe des veilleurs de nuit ; je me dirigeai vers eux et magenouillai sans un mot. Ils me rossèrent à coups de poings et de pieds.

Arrivés à la sortie de limmeuble, je regardai derrière moi une dernière fois la vie que je quittais. En me retournant pour monter dans le fourgon cellulaire, je ne pus masquer ma honte car devant moi se trouvait Lillian, le sourire narquois.

Lhumiliation et la rage étaient trop fortes et je la toisai dun « sale petite garce, tu savoures ta vengean… » Mais je neus pas le temps de finir ma phrase : un des gardiens masséna un violent coup de poing dans le ventre qui me fit tomber aux pieds de ma dénonciatrice.

Regarde-moi bien, je vais te faire un cadeau pour ton départ. Et lentement, elle se pencha et me gratifia dun gros crachat.

Malgré ma honte et ma rage, je sentais monter en moi une incroyable excitation mon vagin était trempé et lanneau qui me maintenait fermée, frottait contre mon clitoris, y faisant battre mon sang et chaque pulsation et mouvement infime de mes cuisses me rapprochait de la jouissance. Jétais nue, couverte de chaînes devant ma rivale, vaincue, contrainte de mhumilier moi-même devant elle et jaimais ça. Pour rien au monde, je naurais voulu revenir en arrière. Dans la rue, les passants sarrêtaient et sapprochaient du fourgon, avides de satisfaire leurs mauvais instincts comme chaque fois quune femme nue quittait le monde libre pour rejoindre celui des esclaves.

Madame Olga mordonna de me relever pour le départ.

Javais une envie terrible duriner depuis que jétais arrivée sur scène mais je navais plus osé demander la permission. A présent, avec le coup de poing du gardien, ma vessie ne pouvait plus résister et malgré mes efforts désespérés pour me retenir, je me laissai aller devant tout le monde, debout jambes écartées, offrant un dernier cadeau à celle qui mavait envoyé en prison.

Puis me regardant dun air bienveillant : tu les aimais tellement, ces chaussures et maintenant quelles sont à moi, tu les abimes avec tes gouttes de pisse ; ce nest pas bien me dit-elle, dun ton de reproche, comme on parle à un petit enfant. Je savais ce qui mattendait…

Sans un mot, avec un sourire cruel, elle me montra le sol avec son doigt et me présenta un de ses pieds. La tête basse, je me mis à genoux en serrant mes poings puis je me baissai pour nettoyer consciencieusement les escarpins que je portais autrefois. Ma langue léchait la semelle, puis sattardait longtemps sur les talons aiguilles, comme une prostituée vénérant le sexe de son client.

Qui maurait dit que je ferais un jour des choses aussi honteuses, nue à genoux en pleine rue, pataugeant dans ma propre pisse, devant des dizaines de passants amusés. Pourtant, je naurais pour rien au monde voulu revenir en arrière. A partir de ce moment, je devenais pleinement une esclave condamnée à perpétuité, acceptant mon sort, abandonnant toute pudeur et fierté…

Le fourgon memporta vers mon horrible destin. Je me demandais encore comment Lillian… ou plutôt Madame Lillian, devais-je dire, avait reçu mes vêtements et la bague… Les lui avait-on donnés pour la récompenser ? Ou alors… au procès, je lavais vue à côté ce mon mari. Est-ce que… ?

Mais tout ça navait plus dimportance, à présent.

Une traction sur ma laisse marracha à ma rêverie : cétait le gardien assis à ma droite qui réclamait sa récompense.

A genoux devant lui, jouvris docilement ma bouche pour le recevoir.










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