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Tous les personnages de cette histoire sont fictifs, majeurs et âgés de plus de 18 ans. Toute ressemblance avec des faits ou personnages ayant existé ne serait que pure coïncidence. Il s’agit ici de fantasmes.
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Ceci est l’histoire de mon avilissement, de ma descente aux enfers, de mes désirs d’humiliation et de dégradation.
Je m’appelle Samantha Endersson; à 45 ans je suis une femme pulpeuse, une chevelure châtain qui tombe en larges boucles jusqu’au milieu de mon dos, une bouche aux lèvres ourlées, un visage fier et arrogant, une peau de pêche, légèrement hâlée.
Malgré mon âge, les hommes se retournent toujours sur mon passage : j’ai une chute de reins très cambrée, des fesses charnues, comme les blacks, des jambes longues aux muscles dessinés. Mon corps a pris quelques kilos avec les années mais ces rondeurs me rendent, parait-il, encore plus sexy.
Mon atout majeur, ce sont mes seins : je fais du 105DD, des seins lourds, en forme d’énormes poires avec des tétons qui pointent vers l’extérieur. Au moindre de mes mouvements, ils frottent l’un contre l’autre et ballottent lourdement, attirant les regards des hommes de tout âge.
Jeune, j’étais gênée par cette poitrine démesurée que je trouvais obscène.
Maintenant, j’en suis très fière et je la mets en évidence en portant toujours des vêtements moulants ou des décolletés les plus provoquants.
Avec mon mari Dexter, 50 ans, ingénieur, nous habitons dans les beaux quartiers de Houston, au Texas, dans le Sud des USA. Nous n’avons plus grand-chose en commun, lui et moi, n’ayant pas eu d’enfants. Je n’en ai jamais voulu ; c’était impossible avec ma carrière. Nous partageons la même vie mais la passion n’y est plus ; nous sommes mariés en séparation de biens pour que chacun puisse reprendre ses billes si ça tourne mal pour l’autre…
Je suis CEO d’une grosse société de conseil financier et immobilier. J’ai lutté durement pour gravir les échelons et je suis fière de régner sur plus de 300 employés.
Dans la vie active, je suis une femme ambitieuse, autoritaire et crainte par mes employés.
Mon côté obscur est tout différent : je suis hantée par des fantasmes masochistes, de soumission, d’humiliation, d’esclavage…
Mon mari ne partageant pas mes désirs, j’avais dû assouvir ceux-ci par des rencontres sur internet. Les 1eres rencontres avec des inconnus, selon des scenarios préparés à l’avance avaient révélé ma sexualité. J’avais longtemps eu une liaison avec un black musclé, très dominant. Je l’attendais dans la chambre d’hôtel où il me rejoignait le midi, nue à genoux m’étant moi-même menottée les mains derrière le dos après avoir laissé la porte entrouverte. Il entrait sans un mot, me giflait copieusement en me traitant de grosse pute ou de sac à foutre puis il me forçait à le sucer, lentement, gobant et léchant langoureusement ses couilles, ma langue s’insinuant dans son anus.
Il me tenait par les cheveux m’étouffant à moitié en enfonçant son énorme sexe dans le fond de ma gorge ; j’adorais le regarder en lui offrant ma bouche pendant qu’il me crachait dessus et m’insultait. Il jouissait en longs jets salés et acres et j’avalais sa semence jusqu’à la dernière goutte. Après avoir nettoyé son sexe avec ma langue, il me battait à coups de poings et de pieds ou me cinglait les fesses et les seins à coups de ceinture. D’autres fois, il m’attachait au lit les mains au-dessus de la tête et appelait un room service. Lorsque le garçon d’étage entrait, il me trouvait enchaînée nue sur le lit, les seins et les fesses striés des zébrures des coups de ceinture. Il lui demandait alors de m’enculer sans aucune forme de respect. Après avoir remercié le garçon d’étage, je devais lui nettoyer le sexe avec ma langue en m’excusant « que mon gros cul de poufiasse soit plein de merde ». Après quoi, mon amant black prenait mon portefeuille et lui donnait un pourboire princier.
Quand mon mari partait en voyage d’affaires, je participais à des soirées dans des clubs SM très fermés où on me vendait comme esclave pour quelques jours. J’adorais l’humiliation d’être ainsi exposée et palpée comme du bétail. Tenue en laisse par une dominatrice toute vêtue de cuir, je montais sur scène, nue enchaînée les mains derrière le dos, des fers à mes chevilles avec une lourde chaîne les reliant, sous les moqueries du public. Je me tenais fièrement, cambrée, toisant les acheteurs qui venaient soupeser mes seins, mes fesses et explorer mes trois orifices de leurs mains. Pour faire monter les enchères, ma dominatrice me forçait à danser de façon obscène à coups de cravache. Les chaînes me faisaient souvent tomber pour le plus grand plaisir des spectateurs qui voyaient mes seins s’écraser sur le plancher rugueux de la scène. La honte, l’humiliation, les moqueries du public me procuraient une excitation incroyable. Une fois vendue, ma dominatrice m’ordonnait de me mettre à genoux et lorsque mon acheteur montait sur scène, je baisais humblement les pieds de mon nouveau maître tandis qu’elle me cravachait les fesses. C’était tellement intense que je jouissais parfois sur scène, dans de longs râles entre deux léchages de semelles.
Mon propriétaire temporaire m’emmenait alors en laisse pour plusieurs jours d’esclavage sexuel ou je mettais toute ma science et ma sensualité pour satisfaire ces hommes parfois répugnants. Parfois aussi des femmes m’achetaient, c’étaient de loin les plus sadiques et les plus imaginatives.
Mais tous ces plaisirs ne durèrent qu’un temps et je rêvais à présent de bien plus.
Je voulais que ma déchéance soit totale et permanente ; les petites séances d’un soir ne me comblaient plus. Je rêvais d’esclavage réel, devant tout le monde, sans possibilité de faire marche arrière.
Assise dans mon grand bureau directorial au 50e étage de l’immeuble G&R ltd, je rêvassais, distraite, l’ennui s’étant installé profondément dans ma vie. J’avais lu sur internet des récits où des femmes étaient punies des travaux forcés sur une galère, ramant nues sous les coups de fouet, en sueur, pataugeant dans leurs excréments, la tête rasée, enchaînée à leur banc. Pendant leurs rares moments de répit, elles devaient satisfaire leurs gardiens, avec leur bouche. A l’idée de me voir condamnée à des travaux forcés très durs, de n’être plus qu’une bête de somme, mon clitoris se durcissait et je me masturbait frénétiquement pendant des heures, laissant une large auréole humide sur mon siège.
Aujourd’hui, ma secrétaire devait m’apporter un rapport très important. Lillian, 38 ans, mince, assez fade était ma secrétaire et aussi mon souffre-douleur. Je passais sur elle mes frustrations sexuelles en la traitant de façon infâme.
Elle me tendit une farde épaisse et s’assit sur le siège faisant face à mon bureau.
Après une heure de lecture et de nombreuses remarques blessantes sur la mauvaise qualité du travail, je jetai la farde par terre, avec dédain.
Je lui ordonnai de ramasser les papiers éparpillés et elle sortit du bureau, les yeux pleins de larmes mais aussi de haine. A peine cette petite imbécile sortie, je me replongeai dans internet. Un article intéressant sur le durcissement des lois avait excité ma curiosité : avec la crise et l’augmentation de la criminalité, de nouvelles lois avaient été votées. Chaque condamnation devait à présent avoir plusieurs aspects. La privation de liberté du coupable bien sûr, mais aussi un aspect dissuasif en rendant publique la condamnation et en montrant à la population ce qui attendaient les criminels. Le condamné étant conduit publiquement sur les lieux de son forfait pour y demander pardon et étant ensuite emmené nu et enchaîné vers sa prison pour y purger sa peine. Un autre aspect qui faisait remonter en moi mes désirs les plus infâmes était que chaque condamné(e) devrait payer sa dette à la société en se soumettant à des travaux au service de la collectivité…Un site montrait une prison du Sud de l’état où des femmes condamnées à de longues peines travaillaient nues enchaînées par les pieds les unes aux autres à casser des cailloux pour la construction d’une route.
Leurs conditions étaient très dures, on les voyait essayer de rouler de gros rochers sous les coups de fouet des gardiens. Beaucoup de ces femmes étaient des criminelles de basse classe, des noires mais il y avait aussi quelques blanches dans cette prison. Je me demandais si je serais capable d’endurer de telles conditions, de devenir une de ces esclaves. Mais en fait, depuis plusieurs mois, je savais que je voulais définitivement quitter cette vie ennuyeuse et banale…
J’avais échafaudé un plan fou dans lequel je me dénoncerais moi-même à mon Conseil d’Administration pour me faire condamner. Il y a des années, j’avais en effet profité d’une erreur pour détourner une grosse somme d’argent. J’en éprouvais un sentiment de culpabilité obsédant et des remords me faisaient souvent me réveiller en sueur au milieu de la nuit. Plusieurs fois, j’avais préparé un courriel avec un fichier contenant toutes les preuves, à envoyer aux administrateurs. Mon doigt avait caressé la touche « envoyer » mille fois mais je n’avais pas osé le faire ; comme le suicidaire qui n’ose pas appuyer sur la gâchette. Tout le dossier fraude était caché soigneusement dans ma mallette. J’hésitais, pesant ma vie luxueuse, puis me voyant nue, couverte de chaînes devant tout le monde comme je le désirais tant.
La journée avait passé rapidement et je fus surprise par l’entrée de Lillian et de son fils, Kevin, 18 ans mais paressant 15, rouquin boutonneux, quasi obèse, avec son regard porcin et ses airs de puceau. Il me regardait toujours avec une envie malsaine, ce petit vicieux. Et aujourd’hui, je vis que ma robe noire lui faisait de l’effet : très moulante, avec un décolleté profond découvrant mes seins presque jusqu’aux aréoles, elle était aussi très courte et il remarqua vite la lisière noire de mes bas. Je croisai mes jambes et il eut brièvement une vision de mon porte-jarretelles. Mais assez joué…
Il était tard et je fermai la porte séparant mon bureau et celui de ma secrétaire pour me replonger dans ce reportage sur cette prison aux conditions très dures. Les gardiens, des blacks pour la plupart, avaient l’air de brutes épaisses et en les voyant maltraiter leurs prisonnières, je m’imaginais entre leurs mains, hurlant sous le fouet ou les satisfaisant avec ma bouche, réduite en esclavage, couverte de sueur et de poussière, cassant des cailloux le long d’une route devant les habitants de l’endroit… Les images tournaient dans ma tête et je recommençai à me masturber, lentement. De mon autre main, je caressais mes tétons emprisonnés dans ma robe si moulante. Je décidai de l’enlever et je me mis nue, avec mon porte-jarretelles, jambes écartées sur mon fauteuil, une main massant mon clitoris, l’autre mes seins. J’étais proche de l’orgasme quand j’entendis derrière moi un soupir. Je sursautai et vis Kevin, le pantalon baissé en train de masturber son petit sexe. J’avais oublié de fermer la porte de la salle de réunion !!!
En deux bonds, j’étais sur lui, qui s’était empêtré dans son pantalon et était tombé par terre, son gros cul nu.
Sautant sur lui, je lui administrai une fessée cuisante jusqu’à ce que ses fesses soient toutes rouges.
Il pleurait à chaudes larmes, honteux et humilié de s’être fait prendre. Je remis ma robe et appelai Lillian :
Sortez de mon bureau tous les deux et vous, continuez ce rapport sinon… !!!
Une fois le calme revenu, je respirai un grand coup, pris le dossier contenant mes fraudes et l’ouvris sur mon bureau. Ma décision était prise…Je mettais mon sort entre les mains de ma secrétaire.
Je sortis du bureau :
Je laissai tomber un gant et lui jetai un regard noir :
Elle me détestait.
Le lendemain, en route vers le bureau, je me demandais si Lillian avait lu le dossier que j’avais laissé et si oui, m’avait-elle dénoncé ? J’étais taraudée par la peur et l’excitation. Plusieurs fois, j’avais rebroussé chemin, hésitant à reprendre ma route. J’avais mis une robe trop courte ultra moulante qui m’arrivait au ras des fesses, avec un string rouge et sans soutien. Décolletée dans le dos mais aussi dévoilant mes gros seins presque entièrement, j’étais obscène, on aurait dit une putain. Sans soutien, mes seins pendaient lourdement, mes mamelons dardant sous le tissu, ma robe arrivant tout juste à contenir l’un contre l’autre mes gros seins, mais mes tétons pointant vers la gauche et la droite, de vraies mamelles.
Arrivée au bureau, je fus immédiatement arrêtée par les 5 policiers qui m’attendaient dans le hall, sous les yeux stupéfaits de mes employés de me voir emmenée dans une telle tenue.
Mon procès fut expédié en quelques heures ; j’avais tout avoué et n’avais pas demandé d’avocat. C’est donc dans cette tenue de prostituée que je m’entendis condamner :
Ma vie basculait ; dans la salle, j’aperçus mon mari et ma secrétaire qui applaudissaient à l’annonce du verdict. Je fus emmenée en me demandant si c’était le hasard qui les avait fait s’asseoir l’un à côté de l’autre.
Le lendemain, dans le fourgon cellulaire qui me conduisait vers mes anciens bureaux, la fonctionnaire pénitenciaire, Madame Olga, une petite femme maigre, la cinquantaine au regard très noir, m’expliqua :
Elle échangea un clin d’œil complice avec les deux gardiens qui m’escortaient et avec un sourire narquois, elle répondit :
Mes gardiens étaient deux noirs très jeunes, tous deux bâtis comme des armoires à glace ; ils me considéraient avec mépris, le regard mauvais ; je compris vite qu’il ne fallait pas les contredire et qu’il vaudrait mieux me montrer obéissante.
Arrivés devant l’immeuble de mes ex-bureaux, Madame Olga avait pris soin de couper les bretelles de ma robe ainsi que l’élastique qui en serrait le bas. Elle ne tenait donc plus que par ma taille et mon ventre. Je devais donc continuellement la remonter sur mes seins et tirer sur le bas qui laissait apparaitre mes grosses fesses et mon string à chaque pas que je faisais.
Agacée, la fonctionnaire m’ordonna :
Elle avait raison…
Je pénétrai dans le hall de l’immeuble l’air hautain et impassible, comme si je venais travailler normalement, à la différence que j’avais les seins qui ballottaient maintenant complètement hors de ma robe et que j’avais les fesses exposées aux yeux des employés stupéfaits…
Je fus conduite dans la grande salle de congrès où j’avais fait tant de discours et dans laquelle on avait réuni tous mes employés. Je traversai la salle sous les murmures et les ricanements moqueurs de mon ancien personnel.
Puis je retrouvai ma fierté et en regardant fièrement la salle :
La salle me huait copieusement. Je me tournai ensuite vers mes gardiens et je les toisai avec mon air arrogant:
Libérée par ces déclarations, l’assemblée s’en donnait à cœur joie ; les insultes, les huées pleuvaient sur moi.
Pour bien me ridiculiser devant mon personnel, elle m’avait fardé le bout des seins avec un rouge à lèvres criard et m’en avait couvert les lèvres en débordant partout. J’enlevai ma robe puis mon string en gardant mes jambes bien tendues pour le faire glisser jusqu’à terre et en me penchant vers l’avant pour exciter tous ces porcs qui se réjouissaient de ma déchéance.
Une fois en position, morte de honte, humiliée mais aussi de plus en plus excitée, je faisais face à tous ces gens qui, il y a peu, me parlaient avec respect et m’obéissaient et qui à présent, me huaient, m’insultaient et se moquaient de moi. Tous avaient sorti leurs portables et prenaient des photos ou me filmaient, dans une ambiance indescriptible. J’essayais de garder la tête haute et le regard fier malgré les tomates pourries qu’on lançait sur moi. Les femmes étaient les plus cruelles, visant mes seins avec des pommes achetées à la hâte à la cafeteria. J’avais une envie folle de me masturber…
Madame Olga demanda alors aux gardiens de commencer ma préparation. Un des gardiens me riva aux chevilles des fers très lourds et rouillés, reliés par une grosse chaîne de près d’un mètre.
Mes poignets furent ferrés également, mais seul un anneau reliait les deux fers si bien que je ne pouvais absolument plus bouger mes mains, les mains derrière le dos. Je n’étais désormais plus maître de mon propre corps. Mon excitation grandissait ; le poids des chaînes, tous ces gens, les ordres des gardiens me mettaient dans un état second. Mon sexe était trempé…
Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les mèches tombaient sur mon corps et sur le sol, mêlées à mes larmes de rage et de honte. Le gardien s’empara alors d’un rasoir électrique et me tondit le sommet du crâne, laissant les côtés garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux mèches au sol et me les enfonça dans les narines puis me promena sur toute la scène pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.
Il reprit son travail et en quelques passages, ma tête fut aussi lisse qu’un œuf. Nouvel intermède pour bien me soumettre aux moqueries de la salle… Jamais, même dans mes rêves les plus pervertis, je n’avais pensé à une telle humiliation. J’en savourais autant que j’en haïssais chaque moment. Mon excitation était à son comble. Et la vision de mon ex-secrétaire au 1er rang vint encore l’augmenter.
Je voulus bondir au-devant de la scène pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rouèrent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, s’acharnant sur moi à grands coups de pieds.
Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me percèrent les grandes lèvres avec un poinçon chauffé à blanc et je fus fermée par un lourd anneau de métal. Je m’évanouis presque, foudroyée par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.
Nue, enchaînée, la tête rasée, mes mamelles et mes fesses exposées à tous, le sexe distendu par l’anneau, j’étais devenue une sorte de bête curieuse et mon sort devait en effet faire réfléchir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de l’administration pénitentiaire avaient donné naissance à des artistes de l’humiliation comme Madame Olga…
Pourtant je n’avais plus qu’un désir, vivre ma nouvelle vie d’esclave et me soumettre de la plus honteuse des façons. Malgré l’anneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur l’intérieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.
Je me jetai à genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.
Je fis ce qu’on m’avait ordonné. Sur un geste de la fonctionnaire, un des gardiens me maintint la tête au sol en appuyant sa semelle sur mon cou. Pendant que le deuxième forçait mes sphincters avec une sorte de pompe à vélo remplie d’un liquide visqueux qu’il vida dans mes entrailles en riant.
Pour que tu la chies pas, on va te mettre ça dans le cul ; autant que tu t’habitues directement à notre calibre, car dans la prison, presque tous les gardiens sont blacks et ils aiment pas les esclaves blanches au cul trop serré !!! me dit-il en me montrant un énorme phallus d’acier terminé à sa base par un anneau retenant une cloche de vache, qu’il fit tinter joyeusement.
Ce fut immédiatement la ruée et une bousculade vers l’estrade. J’espérais que Lillian serait choisie pour me sodomiser avec le phallus mais ce fut finalement mon ex-chauffeur qui fut le plus rapide. Je décidai de ne pas le décevoir. C’était un gros homme chauve, tout proche de la retraite, assez primaire avec un regard borné et sévère. Essoufflé par sa lutte pour arriver sur scène, il se planta devant moi, hésitant.
Aussitôt, je me mis respectueusement à genoux en le regardant dans les yeux, les reins cambrés et les seins offerts.
S’emparant du godemiché, il l’appuya contre mes sphincters et je le laissai pénétrer en moi au plus profond de mes entrailles. Je poussai un râle de plaisir, les yeux mi-clos en donnant moi-même une dernière poussée pour bien m’empaler sur le gigantesque phallus.
Je devenais folle en me contorsionnant sur le phallus d’acier et, abandonnant toute pudeur, je me perdis dans l’avilissement :
Après discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de règle sur les seins. On lui donna une latte plate en métal souple de 60 cm qu’il tapota d’une main sur l’autre puis Monsieur René me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit :
J’écoutai à genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors qu’à 10 reprises, il abattait sa règle sur mes seins. Après quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de façon obscène, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.
Mes seins striés de marques rouges avaient presque doublé de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. J’étais à ses pieds, vaincue… Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous l’œil amusé de mes gardiens. Il redescendit de la scène sous les applaudissements de mes ex-employés.
Allez, feignasse, lève-toi, il est temps de partir ; on t’attend à la prison ! m’ordonna Madame Olga.
Je me relevai avec difficulté, empalée par mon godemiché, mes seins et mon sexe piercé me faisant souffrir mille douleurs. Pendant qu’elle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer :
En laisse derrière la fonctionnaire, nous descendîmes nous frayer un passage à travers une haie d’honneur improvisée par les employés. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me protéger des gifles, des crachats, des pincements, que m’infligeaient mes anciens employés.
Ding, dilling, tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser à chaque pas.
Un groupe de secrétaires qui me détestaient et me jalousaient brandissaient leurs agrafeuses. Elles s’acharnèrent sur mes seins et mes fesses, me faisant pousser des cris stridents, tirant vainement sur ma laisse et mes chaînes pour échapper à leurs morsures.
J’aperçus le groupe des veilleurs de nuit ; je me dirigeai vers eux et m’agenouillai sans un mot. Ils me rossèrent à coups de poings et de pieds.
Arrivés à la sortie de l’immeuble, je regardai derrière moi une dernière fois la vie que je quittais. En me retournant pour monter dans le fourgon cellulaire, je ne pus masquer ma honte car devant moi se trouvait Lillian, le sourire narquois.
L’humiliation et la rage étaient trop fortes et je la toisai d’un « sale petite garce, tu savoures ta vengean… » Mais je n’eus pas le temps de finir ma phrase : un des gardiens m’asséna un violent coup de poing dans le ventre qui me fit tomber aux pieds de ma dénonciatrice.
Regarde-moi bien, je vais te faire un cadeau pour ton départ. Et lentement, elle se pencha et me gratifia d’un gros crachat.
Malgré ma honte et ma rage, je sentais monter en moi une incroyable excitation mon vagin était trempé et l’anneau qui me maintenait fermée, frottait contre mon clitoris, y faisant battre mon sang et chaque pulsation et mouvement infime de mes cuisses me rapprochait de la jouissance. J’étais nue, couverte de chaînes devant ma rivale, vaincue, contrainte de m’humilier moi-même devant elle et j’aimais ça. Pour rien au monde, je n’aurais voulu revenir en arrière. Dans la rue, les passants s’arrêtaient et s’approchaient du fourgon, avides de satisfaire leurs mauvais instincts comme chaque fois qu’une femme nue quittait le monde libre pour rejoindre celui des esclaves.
Madame Olga m’ordonna de me relever pour le départ.
J’avais une envie terrible d’uriner depuis que j’étais arrivée sur scène mais je n’avais plus osé demander la permission. A présent, avec le coup de poing du gardien, ma vessie ne pouvait plus résister et malgré mes efforts désespérés pour me retenir, je me laissai aller devant tout le monde, debout jambes écartées, offrant un dernier cadeau à celle qui m’avait envoyé en prison.
Puis me regardant d’un air bienveillant : tu les aimais tellement, ces chaussures et maintenant qu’elles sont à moi, tu les abimes avec tes gouttes de pisse ; ce n’est pas bien me dit-elle, d’un ton de reproche, comme on parle à un petit enfant. Je savais ce qui m’attendait…
Sans un mot, avec un sourire cruel, elle me montra le sol avec son doigt et me présenta un de ses pieds. La tête basse, je me mis à genoux en serrant mes poings puis je me baissai pour nettoyer consciencieusement les escarpins que je portais autrefois. Ma langue léchait la semelle, puis s’attardait longtemps sur les talons aiguilles, comme une prostituée vénérant le sexe de son client.
Qui m’aurait dit que je ferais un jour des choses aussi honteuses, nue à genoux en pleine rue, pataugeant dans ma propre pisse, devant des dizaines de passants amusés. Pourtant, je n’aurais pour rien au monde voulu revenir en arrière. A partir de ce moment, je devenais pleinement une esclave condamnée à perpétuité, acceptant mon sort, abandonnant toute pudeur et fierté…
Le fourgon m’emporta vers mon horrible destin. Je me demandais encore comment Lillian… ou plutôt Madame Lillian, devais-je dire, avait reçu mes vêtements et la bague… Les lui avait-on donnés pour la récompenser ? Ou alors… au procès, je l’avais vue à côté ce mon mari. Est-ce que… ?
Mais tout ça n’avait plus d’importance, à présent.
Une traction sur ma laisse m’arracha à ma rêverie : c’était le gardien assis à ma droite qui réclamait sa récompense.
A genoux devant lui, j’ouvris docilement ma bouche pour le recevoir.