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Alexia est malade
L’été se terminait. Les vacances s’étaient bien déroulées. Alexia était partie s’amuser une dizaine de jours en bord de mer avec une bande d’amies avant de profiter ensuite
du bon air de la montagne. Elle en avait profité pour parfaire son bronzage qui sous des latitudes plus au nord perdait de son éclat pendant ses longs mois d’étude. Elle était
rentrée en forme et ne s’était pas ménagée donc à son retour. Elle avait décidé de terminer ses vacances à faire la fête avant de devoir se reconcentrer sur ses études.
Ce matin là pourtant, Alexia eut du mal à s’extirper de son lit. Il était plus de onze heure du matin et elle avait la tête lourde. Elle avait l’impression de porter un casque.
Son nez se mit aussitôt à couler en abondance. Elle avait du attraper un rhume carabiné ou une sinusite. Quel manque de chance ! Elle avait prévu de sortir ce soir encore…
Elle se traîna jusque la cuisine pour manger quelque chose avant que ses parents ne rentrent du travail et ouvrit les différentes armoires ainsi que le réfrigérateur. Rien ne lui
faisait envie. Même pas le chocolat, le Nutella ou les gâteaux bien gras qui habituellement la faisaient d’autant plus saliver qu’elle se refusait à y toucher pour conserver
sa ligne parfaite.
La jolie petite brune secoua doucement la tête et installa son mètre cinquante sept et ses quarante-deux kilos sur une des chaises de la cuisine. Elle posa son menton dans l’ovale
créé par ses mains, ses coudes appuyés sur la table. Elle n’allait vraiment pas bien. Elle passa sa main droite dans ses beaux cheveux noirs pour se masser le crane. Finalement, de
l’aspirine, c’est encore ce qu’il y avait de mieux pour ce matin.
Elle laissa tomber une pastille blanche dans un verre d’eau et contempla la lente désagrégation du cachet accompagnée du claquement des bulles en furie. Elle grimaça en avalant
le contenu du verre. Il fallait maintenant qu’elle mange quelque chose sinon son estomac allait avoir du mal à supporter cette mixture. Elle se força à avaler une tranche
de pain nature.
Elle se mit à frissonner. En se levant, elle avait chaud et maintenant elle avait la chair de poule. Elle se massa ses bras nus et serra sa nuisette en satin rose pale sur elle.
Elle se dit que le mieux était de filer sous sa couette. Elle se traîna jusque sa chambre et s’endormit rapidement une fois couchée.
- Chérie ? Tu n’es pas encore debout ?
Alexia se réveilla à moitié, comme sa mère la secouait doucement, la main sur son épaule.
- Tu as trop bu hier soir toi ! Ce n’est pas bien !
- Non maman, je suis malade.
- Tu as pris de l’aspirine ?
- Oui vers 11h maman.
- Et tu ne te sens pas mieux ?
- Non j’ai toujours aussi mal au crane dit Alexia en s’asseyant dans son lit, calant son dos contre son oreiller.
- Tu fais de la fièvre ?
- Je ne sais pas maman.
- Il faut prendre ta température.
- D’accord maman.
- Je t’amène le thermomètre.
- Ca va aller maman, je vais me débrouiller toute seule.
- Tu peux te lever ?
- Oui oui maman, ça va aller…
Alexia se leva tout en lissant sa nuisette pour gagner la salle de bain pendant que sa mère descendait préparer un repas pour elles deux. Alexia fouilla dans l’armoire à pharmacie
et trouva le thermomètre. Ses parents n’avaient jamais été convaincus par les autres méthodes de prise de température.
Elle se pencha sur le lavabo et troussa sa nuisette sur ses reins. Elle se vit dans la glace en pied qui se trouvait sur le coté et trouva cela sexy. Lentement, elle fit glisser
sa culotte sur ses fesses pour la descendre sur ses genoux. Elle s’imaginait grondée par sa mère et punie par elle. Cela provoqua aussitôt une douce moiteur au niveau de son sexe.
Elle sortit le thermomètre de son étui et posa la pointe sur son anus. Elle frissonna au contact. Elle n’avait jamais autorisé un garçon à la pénétrer ainsi. Seul ce thermomètre
avait eu ce privilège jusqu’alors. Elle le poussa doucement, pour profiter de la sensation, alors que la pointe ouvrait son anus. Elle continua la poussée pour le faire
glisser un peu plus loin en elle, sans oser aller trop loin. Elle avait toujours regretté que ces engins ne soient pas un peu plus longs.
Alexia posa ses deux bras sur le lavabo et se tourna un peu pour bien profiter de la vue du thermomètre enfoncé entre ses petites fesses rondes. Elle se cambra un peu plus pour
avoir une vue plus précise de son anus orné de l’engin. Son sexe lisse était en train de s’ouvrir d’excitation. Ses seins s’étaient gonflés et tendus sous le satin. Ses pointes
dures se dessinaient à la perfection.
Alexia ne put s’empêcher de glisser sa main sur son bas-ventre pour masser son bouton des doigts, soupirant doucement en raison du plaisir qu’elle se donnait.
- Alors Alex ?
Alexia sentit son cœur battre la chamade dans sa poitrine. Sa mère venait d’ouvrir la porte de la salle de bain et d’entrer. Elles étaient tellement surprises l’une comme l’autre
qu’elles restèrent pétrifiées. Alexia vit le regard de sa mère se promener sur ses fesses et son intimité.
- Mais que fais tu petite salope ?
- Je euh…
- C’est comme ça que tu prends ta température ?
- Maman ! Je suis majeure ! Je fais ce que je veux !
- Pas tout à fait jeune fille ! Non ! Ne touche pas à ce thermomètre ! Il est très bien où il est !
Alexia continua malgré tout son geste et retira le thermomètre. Elle vit qu’elle ne faisait pas de température. Cependant elle avait très chaud, bien plus chaud que jamais…
Sa mère s’approcha d’elle en fronçant les sourcils, le regard sévère.
- Penche-toi à nouveau sur le lavabo !
- Non !
Une paire de gifles brutale vint rougir les joues d’Alexia.
- Penche-toi tout de suite petite putain !
- Jamais !
Les gifles s’enchainèrent alors sur les joues de la pauvrette. Alexia n’osait pas intervenir contre sa mère et comprit qu’en raison de cela, il valait mieux qu’elle obéisse.
La situation semblait sans issue pour elle. Jamais elle ne pourrait s’en prendre physiquement à sa mère. Elle se pencha résignée, les larmes aux yeux de douleur et de rage de
devoir se soumettre à cette demande.
- Mains sur la tête !
- Oui maman.
Alexia se sentit encore plus humiliée, penchée sur le meuble de salle de bain, la tête dans le lavabo, les mains sur la nuque.
- C’est bien ma fille ! Comme tu as truqué ta prise de température, on va la reprendre plus sérieusement.
Alexia sentit sa nuisette remonter sur son dos pour venir couvrir ses mains et sa tête. Ses seins ronds pendaient nus sous elle, bien découvert. Sa culotte était toujours
sur ses genoux. Elle se sentit gênée comme jamais. Elle pensait que rien ne pouvait être pire mais elle changea d’avis quand sa mère lui écarta les fesses d’une main et lui
planta le thermomètre d’un coup, brutalement dans l’anus. Alexia hurla de douleur, surprise par cette pénétration brutale.
- Ne bouge pas petite dévergondée ! Je reviens !
- Bien maman bafouilla Alexia humiliée.
Elle resta plusieurs minutes penchée, presque nue, le thermomètre bien enfoncé dans son anus. Sa mère revint enfin avec un thermomètre géant à la main.
- Je n’ai jamais osé l’utiliser mais comme tu es volontaire, on va en profiter !
- Ho mais je ne veux pas !
- Tu veux que je te vire de la maison ?
- Non maman.
- Alors souviens toi de qui t’entretient et paye tes études petite salope !
- Oui maman.
- Tu pourrais même t’excuser ! Je me donne du mal pour te soigner !
- Excuse-moi maman.
Alexia trouvait sa situation de plus en plus difficile à supporter. Elle avait le regard fixé sur le thermomètre que tenait sa mère. Il mesurait une bonne cinquantaine de cm de
longs et s’évasait jusqu’à atteindre un diamètre de 5 cm. Il était entièrement en métal.
- Il est beau non ?
- Il est grand et gros surtout !
- Ton père l’a récupéré chez un vétérinaire qui prenait sa retraite.
- Tu ne comptes quand même pas t’en servir ?
- Si si ! Nous nous sommes toujours demandé s’il était en état de fonctionnement !
- Mais quel intérêt ?
- Aucun ! Mais s’il indique la même température que celui-ci, 37°3, ce sera ton thermomètre dédié.
- Ho non maman !
- Tu n’as pas le choix ma chérie ! Une salope comme toi qui se branle avec un thermomètre dans le cul alors qu’elle est malade ou soi-disant malade, tu vas aimer ça !
Alexia sentit le thermomètre sortir de son anus. Elle vit sa mère poser une petite caméra sur le meuble du fond, l’objectif de ¾ par rapport à ses fesses.
- Qu’est-ce que tu fais maman ?
- Je filme ma chérie.
- Je vois bien mais pourquoi ?
- Pour ton père. Il sera ravi de voir l’expérimentation !
- Ho non je ne veux pas.
- Ce que tu veux ou non n’a aucune importance !
- Tout de même, je suis presque nue !
- Tu as raison, c’est important les détails ! A poil !
- Ho non !
Alexia hurla de douleur, surprise par un coup de martinet qui venait de s’abattre sur sa croupe.
- Ne bouge pas ! Sinon je diffuse la vidéo sur le net !
- C’est pas juste !
- Tout à fait ma chérie ! Il est temps que tu apprennes que le monde est fait d’innombrables injustices !
- Ce n’est pas ton rôle de m’en protéger au lieu de m’en faire subir ?
- Tu as raison ma chérie, c’est pour cela que je veux être certaine que ce thermomètre fonctionne parfaitement !
- Ce n’est pas drôle !
- Non c’est excitant ! Allez détends toi bien sinon tu vas avoir mal !
Alexia sentit la pointe du thermomètre, dure et glaciale venir se poser contre son anus. La taille n’avait rien à voir avec celle du précédent. Elle poussa un grand cri de douleur
quand sa mère poussa pour faire entrer la partie la plus fine de l’engin dans son cul, une main sur la partie graduée pour le diriger, l’autre sur le bout pour assurer
une poussée forte.
Alexia se sentit transpercée d’un coup. L’appareil emplit entièrement son rectum. Lorsque sa mère le lacha, elle sentit que l’engin pesait sur son anus, attiré fortement vers
le sol en raison de sa masse importante.
- Ne bouge surtout pas ! Il n’est pas fait pour une humaine. D’après le vétérinaire, il faut compter une bonne dizaine de minutes pour notre espèce pour avoir la
température correcte.
- Dix minutes avec ce truc énorme dans le cul ?
- Oui ma chérie !
- C’est long !
- C’est pour ton bien ! Et puis je vais t’occuper un peu.
Alexia vit sa mère fouiller dans l’armoire pour en sortir un paquet de lingettes désinfectantes.
- Voilà ! Tu peux nettoyer les vasques et la baignoire ! N’oublie pas que tu es filmée, si tu fais cela à la va-vite, je le saurai !
- Oui maman dit Alexia résignée, l’anus de plus en plus meurtrie par la présence étrangère en elle.
- Je vais terminer de préparer le repas et je reviens.
- Bien maman. Je vais nettoyer c’est promis.
Alexia se retrouva de nouveau seule et vit dans la glace que l’engin était à moitié disparu en elle. Elle avait honte de ce spectacle qui était filmé. Si elle avait été seule,
cela aurait surement été différent…
Elle s’activa donc pour bien nettoyer la baignoire, penchée en avant à l’intérieur, le cul bien en l’air, ouverte à l’objectif. Elle savait qu’elle ne cachait rien d’elle ainsi
mais elle n’avait pas vraiment le choix. Il lui fallait tout nettoyer. Elle se sentit mieux quand elle put passer aux vasques. Là le problème était différent. Sa position faisait
que le thermomètre n’avait qu’une envie, sortir d’elle et elle dut à plusieurs reprises enfoncer de nouveau l’engin en elle, s’enculant devant la caméra tout en tirant la langue
en raison des sensations étranges que cela lui procurait. Elle s’en aperçut et rougit de honte. Elle se retint de faire un doigt d’honneur à l’objectif par peur de sanctions.
Après tout, sa mère n’avait pas hésité à lui donner un violent coup de martinet et sa menace de la jeter à la rue sans ressource ne semblait pas avoir été prononcée à la légère.
Sa mère revint alors qu’elle terminait le nettoyage. Elle la fit se pencher et s’écria avec joie et fierté que cela affichait exactement le même résultat que sur l’autre. Alexia
pesta intérieurement en l’entendant dire que ce thermomètre était donc dorénavant le sien et que son père serait très fier d’elle. Elle fit un mouvement pour retirer l’engin
de son fondement mais sa mère la stoppa dans son élan, lui ordonnant de le garder pour descendre jusque la cuisine pour le repas.
Alexia eut peur toute la durée de la descente des escaliers. Sa mère avait repris la caméra et filmait tout son périple. Elle avait peur de glisser, imaginant déjà les
conséquences de ce thermomètre lui perforant les intestins alors qu’elle s’empalerait dessus. Jamais elle n’avait mis autant de temps pour faire le trajet jusque la cuisine.
La table était dressée pour deux personnes et visiblement, sa mère avait prévu une entrée. Par contre Alexia vit que sa chaise avait été remplacée par une chaise inconnue.
Sa mère la guida vers le plan de travail et d’une main ferme la fit se pencher dessus. Alexia glapit, transie de froid au contact du plan de travail en granit. C’était glacial.
Ces seins avaient du mal à supporter cette variation de chaleur. Elle qui était enrhumée, cela n’allait pas arranger son état.
Sa mère posa une main ferme sur ses reins et empoigna le thermomètre planté dans le cul de sa fille d’une main ferme. Elle le tira sans ménagement, provoquant une douleur
intense qui s’irisa dans les reins de la jolie petite brune.
Alexia, consternée, vit alors sa mère poser l’engin dans sa petite assiette réservée à l’entrée. Elle se demanda quelle mouche piquait sa mère mais son attention fut détournée
immédiatement par quelque chose de bien plus étrange encore. Sa mère venait de tirer la chaise de sous la table. Elle était ornée de deux gros godes qui pointaient vers le plafond.
Alexia n’en croyait pas ses yeux. Visiblement les deux engins étaient solidement fixés à la chaise. Ce qui l’intriguait encore plus c’est qu’en dessous de la chaise,
il y avait deux tuyaux qui pendaient.
- Assis toi ma chérie je t’en prie.
- C’est pour plaisanter maman ?
- Mais non ! Ce sera pour toujours ta chaise maintenant !
- Mais je ne peux pas m’assoir là-dessus !
- Quand on veut on peut !
Sa mère avait remis le martinet bien en vue d’Alexia. Cette dernière trembla aussitôt. Elle n’en avait reçu qu’un seul coup mais elle le sentait encore. Elle décida de tenter
sa chance avec les godes.
La situation l’embarrassait encore plus qu’avec le thermomètre. Là, il s’agissait de représentation d’organes males. C’était un peu comme si elle allait se faire baiser ou
enculer par un homme devant sa mère. Celle-ci tournait autour d’elle filmant la scène en cadrant sur son visage, ses fesses, les godes…Alexia avait l’impression d’être une
vedette de porno. La vedette d’un mauvais film porno…
Elle se résigna à se placer au dessus des godes et les guida, l’un à l’entrée de son vagin, l’autre sur sa rosette. Elle était rouge de honte, sa mère s’étant allongée sur le sol
pour filmer par en dessous pour ne rien manquer des introductions en elle.
Alexia serra les dents et lentement se laissa descendre sur les deux godes. Celui qui entrait dans son vagin ne posait pas de problème. Par contre, celui qui tentait de l’enculer
la faisait souffrir bien plus que le thermomètre en métal. Son anus meurtri se défendait contre cette nouvelle invasion. Le fait qu’elle se forçait à s’assoir sur les engins
contraignit son anus à la défaite. Elle ne put s’empêcher toutefois de pleurer.
Sa mère regardait la scène très satisfaite et excitée par la tournure que prenaient les évènements. Jamais elle n’avait espéré que tout cela se produise un jour. Elle en rêvait
depuis si longtemps. Découvrir que sa fille était une petite salope soumise l’avait agréablement surprise. Elle s’approcha d’Alexia et posa tendrement ses mains sur ses épaules.
Le gland du gode qui l’enculait était enfin passé dans son rectum mais il restait les trois quarts du gode à prendre encore en elle. L’autre se nichait tranquillement dans son
vagin et l’excitait, l’incitant à vouloir s’enfoncer plus loin malgré la douleur provoquée par son enculage.
Les mains prirent alors possession de ses seins, les massant par en dessous doucement, remontant vers ses pointes qu’elles étiraient doucement. C’était très excitant pour Alexia
qui parvenait presque à oublier qu’il s’agissait de sa mère, tellement les sensations étaient bonnes.
Elles finirent par abandonner ses mamelles pour rejoindre ses épaules et Alexia poussa un petit soupir de désappointement. Elle sentit un bisou que l’on déposait sur sa nuque suivi
d’une petite morsure au même endroit. Elle n’eut pas le temps de s’en émouvoir, hurlant de douleur, pleurant à chaudes larmes instantanément. Sa mère venait de peser de tout
son poids sur ses épaules pour l’empaler sur les deux godes. Celui qui l’enculait lui meurtrissait l’anus et poussait au fond de son rectum pour envahir son colon. L’autre dans
son vagin pressait contre son col de l’utérus, cherchant à l’ouvrir.
Elle n’eut pas la force de réagir quand sa mère lui prit les poignets pour les lui faire passer dans son dos avant de les menotter, un barreau du dossier de la chaise entre les
deux menottes.
- Voilà ! Tu es bien ma chérie ?
- J’ai mal maman !
- Normal ma chérie ! Il n’y a qu’une putain expérimentée qui pourrait prendre ses godes en elle sans broncher !
- Pourquoi me fais tu tout cela ?
- Pour mon plaisir ma chérie !
- Mais et moi ? Tu penses à moi ?
- Bien sur ma chérie, tu vas beaucoup aimer tout cela. Enfin au fil du temps, tu finiras par ne plus pouvoir t’en passer.
- Tu es une salope !
- Quoi ?
Alexia ne put répondre, le souffle coupé par les violents coups de martinet qui s’abattirent sur sa poitrine. Ils s’enchainèrent sans discontinuer, sans faiblesse de la part de
son bourreau.
- Excuse-moi maman, je ne le pensais pas.
- Je préfère ça jeune fille ! J’ai été un peu trop laxiste avec toi ces dernières années, je vais reprendre ton éducation en main.
- Oui maman.
Alexia vit alors sa mère s’affairer à approcher un drôle d’engin derrière sa chaise. Elle y brancha les deux tuyaux trainant sous la chaise et mit en route le gros moteur électrique.
- Qu’est ce que c’est que cela maman ?
- Tu le découvriras bientôt ma chérie. Tu peux commencer ton entrée.
- Mon entrée ?
- Oui délice de ton cul sur lit de métal !
- Je dois lécher le thermomètre ?
- Tu ne crois quand même pas que c’est moi qui vais le faire ?
- Non maman mais je peux le nettoyer à l’alcool.
- Et gâcher ton entrée ? non jamais.
- Et si…
- On rejoue avec le martinet.
Alexia, écœurée mais terrorisée par la menace, se pencha sur le thermomètre et commença à lécher le métal souillé par des traces d’excréments. Sa mère se servit alors une coupelle
de crudités, poissons et fruits de mer. La vue de cela accentua encore la sensation d’injustice ressentie par Alexia. Elle n’avait malgré tout pas le choix et continua son ouvrage.
Elle sentit alors les godes se mettre à vibrer en elle. Pas de va et vient mais des vibrations constantes qui jouaient avec ses parois intimes. Alexia commença à gémir de désir
et de douleur mêlés. Après quelques minutes, elle sentit effarée un liquide jaillir dans son cul par petits jets, comme si on éjaculait en elle. Elle sentit une dizaine de jets
de liquide chaud et épais avant que le gode ne se remettre à simplement vibrer en elle.
Sa mère desservit la table pour servir le plat principal. Du hachis Parmentier. Alexia se pencha et se retrouva le nez plein de purée. Elle réussit à prendre une bouchée de cette
façon.
Les vibrations des godes s’intensifièrent et elle poussa un cri. Elle ouvrit la bouche à la recherche d’air comme si elle étouffait et se mit à gémir incapable de s’arrêter.
L’orgasme qui la saisit fut puissant, long et total. Elle mit plusieurs minutes pour s’en remettre, minutes pendant lesquelles, une seconde série d’éjaculations se produisirent
en elle.
Elle reprit son repas dès qu’elle le put, son assiette se refroidissant. Elle ne doutait pas que sa mère la forcerait à tout manger alors autant le faire tant que c’était chaud.
La caméra pendant ce temps continuait à tout enregistrer. Pendant qu’elle terminait son assiette en la léchant, les vibrations augmentèrent à nouveau d’intensité et un
second orgasme la balaya, la faisant trembler des pieds à la tête. Une troisième série d’éjaculations se produisit, plus longue cette fois.
Alexia entendit soulagée le moteur qui vibrait derrière elle s’arrêter. Sa mère la détacha de la chaise pour la remenotter immédiatement mains dans le dos. Elle l’aida à se soulever.
La sortie des godes était douloureuse et lui coupait les jambes. Sa mère la fit agenouiller devant la chaise et elle dut nettoyer le gode qui l’avait enculée tout comme elle
l’avait fait avec le thermomètre. Le gout et l’odeur étaient tout aussi écoeurant que pour son entrée. Elle s’acquitta de cette tache sans entrain par peur du martinet.
Sa mère lui prit les cheveux brutalement et guida sa bouche sur le gland du second gode. Elle lui enfonça la tête dessus jusqu’à faire entrer le gland dans la gorge de sa fille.
Alexia sentit effarée le gode se mettre à vibrer et un liquide couler dans sa gorge, qu’elle avala contrainte. Un petit peu de ce liquide se versa dans sa bouche et Alexia
reconnut le gout de l’urine. Elle se débattit provoquant les rires de sa mère.
- J’ai fait pipi dans le second réservoir. C’est gentil non ?
Alexia n’eut pas le loisir de répondre, un second jet lui coula dans la gorge. Une dizaine de jet d’urine coulèrent dans son estomac malgré elle.
Quand sa mère la lâcha, Alexia était sous le choc. Elle sentait aussi ses intestins commencer à la faire souffrir. Le liquide travaillait en elle et avait envie de sortir
de ses boyaux. Des bruits sortant de ses intestins emplirent la pièce provoquant sa gêne et l’hilarité de sa mère. Celle-ci reprit les cheveux de sa fille en main et elle la
traina dehors dans le jardin. Il faisait un peu frais pour sortir nue, surtout enrhumée mais sa mère n’en avait cure.
Elle poussa la tête d’Alexia contre le sol, la plaçant le cul en l’air, tout en lui écartant les jambes et les cuisses en grand. L’herbe chatouillait les narines d’Alexia.
Sa mère lui intima l’ordre de se retenir encore et de ne pas bouger. Elle disparut dans la maison, laissant la pauvre dans cette position une dizaine de minutes. Alexia vit
sa mère réapparaitre nue, avec un gode ceinture. Le gode était encore plus gros que celui de la chaise et effraya Alexia.
Sa mère sourit en voyant l’air inquiet qui se dessinait sur le visage de sa fille.
- Il est beau n’est-ce pas ? Tu n’en as jamais eu un comme cela dans le cul non ?
- Je n’ai jamais été enculée avant aujourd’hui maman !
- Et dans ta chatte ? Tu en as déjà eu un pareil ?
- Non jamais maman…
- Tu te rends comptes que tu vas te faire enculer par ta mère ma petite salope !
- Oui maman.
- Et tu vas te laisser faire ?
- Oui maman.
- Tu es une trainée ! Une moins que rien !
Alexia n’osa rien dire, continuant à se faire insulter par sa mère qui se plaçait à genoux derrière elle. Elle la fit se redresser un peu pour se mettre à 4 pattes. Alexia sentit
inquiète le gland énorme venir contre son anus. Elle ne se sentait pas capable de le prendre en elle. Elle avait déjà si mal. Et elle n’avait qu’une envie, pousser pour
faire sortir le liquide d’elle. Pour empêcher cela, elle était obligée de serrer son anus très fortement.
Cela rendit la percée ultra douloureuse. Sa mère la tenait fermement par les hanches et poussa comme une furieuse du bassin pour empaler sa fille sur le gode énorme et immense.
Un peu de liquide blanc souillé sortit de son cul. Alexia comprit alors qu’elle avait eu droit à des giclées de lait chaud en elle.
Le gode commença à s’agiter plus vite dans son cul. Sa mère était en train de la besogner à grands coups violents. Alexia ne pouvait plus dominer son corps et le lait ainsi que
ses excréments amollis sortaient de ses intestins à chaque mouvement en arrière du gode. A la douleur s’ajoutait la honte toujours croissante de ce vidage devant sa mère, vidage
accompagné d’un tas de bruits indécents.
Sa mère accéléra encore ses mouvements de gode et Alexia l’entendit gémir de plus en plus fort alors qu’elle-même était en larmes. Elle finit par jouir au milieu d’une
grande explosion de lait.
Une fois satisfaite, sa mère sortit du cul d’Alexia, sans se défaire du gode.
- Tes besoins sont terminés ma chérie ?
- Oui maman.
- Parfait, allons sous la douche alors !
- Oui maman.
- Puis je t’accompagnerai au lit pour faire la sieste, il faut que tu te reposes !
- Bien maman.
- Et ensuite j’ai de l’aspirine en poudre que l’on peut prendre en lavement ! Je te l’injecterai dans le cul avec mon gode ceinture ! Il peut aussi avoir
de belles éjaculations…
- Oui maman je te donnerai mon cul…
- On va bien s’amuser tu vas voir ma chérie.Mais regarde bien la caméra pour le moment ! Allez !
Alexia se promit que la prochaine fois qu’elle serait malade, elle irait consulter un médecin pour éviter cela…