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Review This Story || Author: French_Master

Béatrice : engagement

Part 5

Béatrice : Engagement




Chapitre 5 : Veille de match




-        Où allons-nous Maitre ?


-        Tu es bien curieuse ma petite !


-        C’est que j’ai très mal Maitre !


-        Tu n’as qu’à pas être si gourmande et pousser pour le faire sortir de ton cul !


-        Je ne peux pas Maitre ! Sa boule est encore trop grosse !


-        Alors tant pis pour toi !


-        C’est encore loin ?


-        Non ! Je vois la ferme d’ici !


-        La ferme Maitre ?


-        Oui ! Nous allons y déjeuner ce midi ! Tu as besoin de reprendre des forces !


-        Mais je suis toute nue !


-        Et en laisse oui ! Mais à ta place je ne me soucierais pas de cela !


-        Pourquoi Maitre ?


-        Ben tu as la queue de Valère dans le cul ! Je trouve cela pire !


-        J’espère bien qu’il sera sorti avant !


-        Avant la ferme peut-être ! Salut Raymond !


-        Salut mon grand ! Tu as une nouvelle championne on dirait !


-        Oui un grand espoir !


-        Tu as pris une inconnue totale ?


-        Oui, j’avais envie d’un vrai défi !


-        Je me doutais qu’il y avait quelque chose ! Valère qui disparait tout à coup ! Ca sent la femelle Raymond que j’me suis dit !


-        Oui il est toujours prêt à aider le brave !


-        En tout ca elle a l’air de bien prendre ! Il te faut combien de temps pour arriver au trainage par le cul habituellement ?


-        Un bon trimestre oui !


-        Et là ? 2 jours ?


-        Oui ! A peine ! On est le deuxième jour !


-        Bravo jeune fille ! Raymond tapota mes fesses, les ouvrant pour voir où était la boule de Valère. Tu sais, je crois qu’il faut


le retourner ! Il la lâchera pas tout de suite ! Il est prêt pour la remettre !


-        Tu crois ? Il écarta à son tour mes fesses et vit que la boule s’était bien regonflée en effet. Tu as raison ! Quelle chienne !




Ils aidèrent Valère à remonter sur mon dos et il bougea de nouveau en moi, me prenant plus lentement, étant déjà gonflé en moi.


Ses mouvements courts et lents durèrent beaucoup plus longtemps. Le pantalon de Raymond se gonfla de même que celui de mon maitre.


J’étais déjà humiliée à l’arrivée devant Raymond mais être prise par son chien sous ses yeux me faisait encore plus honte. J’avais un autre problème !


Ayant été excitée par la promenade cul à cul jusqu’ici, j’étais en train de prendre du plaisir à être enculée par Valère et


je n’arrivais plus à le cacher. J’avais la bouche ouverte et de petits gémissements s’en échappaient sans que je puisse les contrôler.




Je sentis Valère se mettre à pousser sa queue plus profondément en moi et je sentis un premier jet de son sperme tout chaud. Ca me rendait


folle de plaisir ces petites poussées à chaque giclée, avec le massage que me procurait sa boule pendant ses mouvements.




Je jouis à mon tour devant le regard ébahie de Raymond.


-        T’es allé la chercher où celle là ?


-        Elle est venue toute seule…


-        Putain de merde ! Je l’ai vu jouir là !


-        Oui aucun doute là-dessus !


-        Elle se fait enculer par Valère qu’elle connait depuis hier seulement et elle jouit alors qu’il l’encule !


-        C’est une femelle Raymond !


-        Oui mais pas une classique ! Essaie de la garder celle-là !


-        Seulement si elle devient une championne ! Les autres ne m’intéressent pas !


-        T’es difficile mon gars !


-        Je sais Raymond !


-        Moi la Maryse, elle est pas championne mais elle me va bien !


-        C’est une championne de l’organisation et des fourneaux Raymond ! En plus d’être une championne au pieu !


-        Pas faux, d’ailleurs j’ai un pieu qui a besoin d’elle ! On va manger !


-        Ho oui ! J’avais pas vu l’heure ! Elle ne va pas gueuler que j’amène ma chienne sans prévenir ?


-        Bah non ! Elle t’a à la bonne ! Et puis il y a le pieu ! Elle aime ça !


-        Il y a un rapport ?


-        Quand tu as une chienne, je passe mon temps à bander ! Alors elle adore que tu ais une chienne !


-        Ho ! Compris !




Ils se mirent en route vers la ferme, Valère me trainant de nouveau par sa queue coincée dans mon cul.


Le choc d’être vue sous Valère commençait à passer quand ils arrivèrent à la ferme. Maryse attendait sur le pas de sa porte, tapant du pied,


prête à râler pour le retard ! Sa bouche resta en O en voyant ce que Valère trainait derrière lui.




-        Tu as une nouvelle chienne mon tout beau !


-        Comme tu vois amour de ma vie !




Maryse s’avança vers le quatuor et embrassa les 2 hommes sur la bouche.




-        Beau cul !


-        Tu l’as dit ! Regarde ! dit Raymond en montrant son pantalon…


-        J’adore quand tu amènes une chienne !


-        Tu vois ! Je te l’avais dit ! Raymond tapa mon maitre du poing sur l’épaule pour ponctuer sa phrase.


-        Belles mamelles aussi !


-        Je ne veux pas l’engrosser Maryse ! Je veux en faire une championne !


-        Bah tu as l’habitude !


-        Ca ne fonctionne pas toujours !


-        Les russes sont paresseuses ! Tu dois oublier ces échecs ! Cela avait bien marché avant !


-        Ho je ne doute pas de moi ! Juste des filles que j’entraine !


-        Et celle-là ?


-        Elle a un bon potentiel mais on part de loin !


-        En tout cas elle me plait conclua Maryse en massant la queue de Raymond à travers son pantalon ! J’ai mis la table sur la terrasse !


Installe toi ! Faut qu’je cause à mon homme !




Mon maitre rit et me caressa la tête.




-        Tu vois ! Tu peux te décontracter ! Tu es déjà acceptée par mes amis !


-        Mais Maitre ! Je n’ai pas l’habitude que du monde me voit nue ! Encore moins à 4 pattes en laisse ! Et encore moins enculée par un chien !


-        C’est pour cela que tu devrais te détendre ! Là tu le serres derrière sa boule et il se sent bien ! Il n’aura pas envie de sortir !


-        J’aimerais vous y voir !


-        Ca ne risque pas d’arriver ! Mais tu viendras souvent ici nue et tu subiras beaucoup de tracasseries ici ! Ils ont l’habitude et


adorent regarder ! Tu es une espèce de cadeau pour eux ! Donc sois en fière et respire !




Mon maitre me massa le dos, ce qui m’aida doucement à me détendre. Mon anus libéra un peu la queue en moi. Valère se mit à dégonfler et


sortit accompagné d’un flot de sperme. Heureusement, le sol était brut en terre.




-        Tu vas te régaler tu vas voir !




Il reprit ma laisse et m’emmena dans la cour principale de la ferme. Elle était entièrement pavée sauf en son centre qui abritait


un grand massif de vivaces. De chaque coté des corps de ferme protégeaient l’endroit des regards. Une grande allée sur le bout à droite


donnait accès aux champs et prés entourant les bâtiments.


Une grande table en bois avec des bancs, façon table de pique-nique des aménagements autoroutiers, mais beaucoup plus grande et massive,


se dressait près de la porte menant à la cuisine. De celle-ci ouverte s’échappaient des odeurs alléchantes.




Mon maitre attacha ma laisse à un anneau dans le mur situé à un petit mètre de cette porte. Un petit abreuvoir en béton ornait le pied de ce mur.


Je le regardais en grimaçant ! Pas question que je boive là-dedans !




Il ne s’occupa pas de moi et rentra se chercher à boire. Je fus ravie et soulagée de voir qu’il ne m’avait pas oubliée, déposant un bol


d’eau devant moi. Je me précipitai dessus et lapais avec plaisir l’eau fraiche pendant qu’il sirotait son pastis.




Nous entendîmes alors des bruits significatifs d’une certaine activité qui furent suivis peu après de cris non moins significatifs.


Mon maitre rit !




-        Tu vois ! Tu les rends heureux !


-        Oui Maitre…


-        Donc tu dois te sentir fière de venir ici en chienne !


-        Je vais essayer Maitre !


-        Bien ! Je suis fier de toi !


-        Merci Maitre !




Personnellement je n’étais pas du tout fière de moi. J’avais accepté plus de choses en 2 jours que les autres en plusieurs mois,


quand elles avaient acceptés ! Mon opinion de moi-même baissait d’heure en heure !




Raymond et Maryse revinrent enfin, tous les deux enjoués. Maryse me donna une belle ration de son pot au feu avec des morceaux de choix


tout en me caressant la tête et en me remerciant du bonheur que je lui apportais. J’en rougis de nouveau mais je me sentais malgré tout beaucoup mieux.




Ils discutèrent en mangeant gaiement, visiblement très habitués à cela mais je sentais qu’ils avaient retrouvés quelque chose qui leur avait manqué !


De mon coté, la cuisine de Maryse était si exquise que j’en oubliais ma position et ma nudité. J’étais même prête à revenir chaque jour


si c’était toujours ainsi. Après tout, une fois le premier choc passé, on s’habitue à être nue devant du monde. Le plus dur reste tout


de même d’être la seule à l’être au milieu de gens habillés.




Je m’allongeais ensuite à l’ombre tranquillement pendant qu’ils terminaient leur repas pour m’endormir sur les pavés. J’étais si fatiguée


que je n’en perçus pas l’inconfort.




Je me réveillais sous la caresse de mon maitre, sa main passant de mon crane jusque ma croupe en massant doucement mon dos. Je m’aperçus


qu’il m’avait repluggée en profitant de mon sommeil, ce qui était plutôt gentil. Il reprit ma laisse et après avoir pris congés de nos hôtes,


nous regagnâmes sa propriété, direction le court de tennis en terre battue. Cette promenade à travers la campagne m’inquiétait toujours autant.


J’avais la crainte permanente de croiser du monde.


Le plug travaillait toujours dans mon anus, me procurant des sensations pendant tout le trajet. Une fois arrivée à domicile,


ma chatte coulait sur mes cuisses comme si j’étais en manque de sexe !




Cela fit rire mon maitre qui me dit qu’il était vraiment heureux de m’avoir trouvée. J’eus droit à nouveau à différents exercices


en retour de service et en bombardement de mon coup droit ou de mon revers.


Je me sentais pataude sur le court. Le collier m’empêchait de bien reprendre mon souffle. Le plug me gênait dans mes déplacements


et la douleur des décharges électriques me bloquait parfois sur place, enchainant une nouvelle décharge si j’en oubliais d’essayer de frapper la suivante.


Etre pieds nus m’empêchait également de glisser sur la surface. Ces deux heures m’épuisèrent totalement.


Nous terminâmes par une séance de services, mes mauvaises positions étant aussitôt sanctionnées par une torture électrique.


Je me sentais aussi mauvaise que d’habitude mais mon maitre souriait et cela me rassurait. Il semblait satisfait de moi.




J’eus droit ensuite à une bonne douche pour me rafraichir, une fois le plug retiré. A ma sortie, mon maitre m’attendait pour me frotter


dans un drap de bain moelleux et doux à souhait. Un vrai délice ! Il me sécha en frottant un peu plus que nécessaire la poitrine et les fesses.


Il m’embrassa longuement et me mordilla les lobes d’oreilles, les épaules, le creux du cou. J’en étais toute chose ! Mes pointes de seins me trahissaient.


Je reçus une bonne claque sur mes fesses ainsi que l’ordre de ne pas m’emballer. Rien le soir de la veille d’un match ! Surtout que je jouais le matin.




Le repas du soir fut plus austère que celui du midi. Quel cordon bleu cette Maryse ! Non pas que mon maitre se débrouillait mal mais c’était


beaucoup plus diététique malheureusement ! Ou heureusement ! Après tout, si je voulais être une championne professionnelle, il fallait faire


quelques sacrifices !


Celui de mon estomac était tout de même plus difficile que celui de ma pudeur ou de mes orifices ! Je mangeais nue mais sans aucune contrainte


et à table pour ma plus grande surprise !




Nous fumes au lit vers 21 heure ce soir là. Je trouvais cela un peu tôt mais compris en voyant la télé méga grand écran s’allumer qu’il s’agissait


d’une soirée ciné à la maison. Nous nous allongeâmes sur le lit et il lança la diffusion d’un vieux western. Pas ma tasse de thé mais


je n’eus pas le temps d’exprimer mes gouts. Il enleva son short et son boxer et me désigna sa queue en train de durcir en m’intimant l’ordre


de sucer jusque nouvel ordre.




Je me glissais donc de coté pour mettre ma bouche à portée de sa queue. Après tout, c’était plus intéressant que son film ! J’étais décidée


à le lui faire oublier d’ailleurs ! Ma langue commença à jouer à soulever ses couilles l’une après l’autre. Une fois bien humides, je les aspirais


tour à tour dans ma bouche, en serrant les lèvres mais pas trop, pour procurer un massage sans faire mal. Puis j’amusais à les prendre toutes les deux


en même temps en bouche. Sa queue était complètement dressée sous mes yeux, bien dure, tellement il était excité. J’adore exciter un homme au point


de le rendre fou de désir, qu’il ne sache plus se contrôler, qu’il redevienne une vraie bête !


Je sentais ses bourses toutes chaudes qui palpitaient dans ma bouche. Un vrai signe de confiance, j’aurai pu les mordre et les arracher, d’un coup


de dents et le rendre eunuque ! Les hommes ne se rendent jamais compte du pouvoir qu’ils nous laissent sur eux en nous confiant leur engin à sucer !


Mais je l’aimais déjà trop pour avoir envie de faire autre chose que de lui donner du plaisir.


Je fis rouler ses couilles sur ma langue, les ballotant de droite et de gauche, les faisant frotter contre ma langue, mon palais et


l’intérieur de mes joues. Il en gémissait et fermait ses yeux. J’étais contente, il ne devait déjà plus trop savoir où en était son film.


Je continuais mon petit jeu un bon moment, voulant l’exciter au plus haut point mais sans le faire jouir.


J’abandonnais enfin ses testicules pour remonter de la langue tout le long de son membre. Une goutte d’excitation perlait au bout de son gland et


je vis qu’une autre était tombée sur son ventre, tissant sa toile entre son membre et son abdomen.


Il était à point ! je fis glisser la pointe de ma langue tout le tour de son gland, sous la base, le taquinant longuement ainsi, jouant de chaque coté


de son prépuce. Je continuais à le provoquer en lapant son méat, l’ouvrant de la pointe de la langue, avant de laper à nouveau son membre


du gland aux couilles.


Il ne regardait plus son film. Les yeux fermés, il semblait essayer de se concentrer pour ne pas jouir. J’allais lui faire rendre les armes !


J’aspirais son gland des lèvres, les refermant sur sa base. Je sentis à ses mouvements qu’il se contrôlait pour ne pas donner un coup de bassin pour


pénétrer ma bouche. Cela me fit grand plaisir ! De mon coté, mon sexe dégoulinait sur mes cuisses. Sentir ce gland chaud qui palpitait de désir


entre mes lèvres et sur ma langue, cela me donnait une envie folle d’être prise !


Je me calmais mentalement, continuant de jouer avec son gland de mes lèvres et de ma langue, me contrôlant pour ne pas grimper sur lui et le chevaucher.




C’était dur d’avoir une aussi belle queue à disposition, aussi dure que du béton et de ne pas pouvoir en profiter. Pas de sexe la veille d’un match !


Il n’avait qu’à me prendre sans que je doive tout faire, cela ne me fatiguerait pas !




Je le sentais vibrer dans ma bouche et je l’entendais gémir. Il n’en pouvait plus, j’allais l’achever ! Je poussais lentement sa queue dans ma bouche,


centimètre par centimètre. Je serrais bien mes lèvres sur sa bite et ma langue massait sur la longueur. Alors que son gland arrivait


au niveau de ma luette, je ne m’arrêtais pas et le fis passer dans ma gorge. La sensation de chaleur, de douceur et de moiteur de ma gorge


le fit aussitôt jouir. Le sperme gicla à grands jets puissants alors qu’il gémissait, défait.




Je retirais sa queue de ma gorge pour profiter du dernier jet de sperme et savourer son gout.


Je ne le laissais pas respirer pour autant. Alors que je le sentis ramollir, je repris mon petit jeu avec ses couilles pour le faire raidir à nouveau,


m’enhardissant à passer ma langue sur son anus. Je jouais un peu avec avant de reprendre sa queue dans ma bouche et l’enfoncer dans ma gorge.


Il avait retrouvé toute sa vigueur en quelques minutes.


J’étais très fière de moi ! Je commençais alors à le pomper tout en massant ses couilles de la main. Il gémissait déjà très fort alors


que je débutais à peine. Je sentis tout à coup ses mains sur ma nuque qui me coincèrent avec sa queue dans la gorge.


Je ne pus émettre de cri mais l’envie ne me manquait pas alors qu’il me basculait sur le coté puis me forçait à me mettre sur le dos,


sa queue toujours bien plantée dans ma gorge.




Il était maintenant allongé au dessus de moi, ma bouche prenant sa queue, ses jambes de chaque coté de mon torse, lui en appui sur ses avant-bras


pour avoir plus de force. Il se mit ainsi à pistonner ma bouche, comme s’il me faisait l’amour. Sa queue bougeait dans ma bouche et


ma gorge à grandes poussées, il me baisait la bouche comme si c’était mon vagin.




Je suffoquais et gémissais de douleur. J’étais furieuse d’être ainsi traitée !


Moi qui me surpassais pour lui donner du plaisir, j’avais trop bien réussi le retour à la bête ! Il était pire que Valère en cet instant.




Heureusement, cela ne dura pas trop longtemps avant que je sente son sperme gicler dans ma gorge. Je me retrouvais gavée comme une oie d’élevage.


Je ne savais pas si c’était une si bonne évolution après avoir été chienne.




-        Vous êtes cinglé !


-        Pardon ?


-        Vous avez failli m’étouffer !


-        Pardon ?


-        Vous êtes bouché en plus ?


-        Au coin ! A genoux ! Mains sur la tête !


-        Je manque de mourir et en plus je suis punie !




Je reçus une violente claque sur la joue droite qui me convainquit qu’il valait mieux aller au coin. Je n’avais pas envie de recevoir


sa jumelle sur la joue gauche.




Pas contente, je m’agenouillais dans le coin à gauche de la télé, face au mur, les mains sur la tête.




J’entendis qu’il revenait en arrière pour reprendre son film à l’endroit où je l’avais perturbé. Je pestais dans mon coin, punie comme une gamine


que j’étais après tout. Je n’osais plus rien dire et compris lentement que je ne l’avais pas appelé Maitre. Il aurait peut-être accepté


mes récriminations si je l’avais fait.


Je passais ainsi une bonne heure dans mon coin humiliée, complètement calmée.




Il éteignit la télé et s’approcha de moi.




-        Calmée ma petite ?


-        Oui Maitre, je vous prie de bien vouloir m’excuser…


-        Je t’accorde mon pardon.


-        Merci Maitre !


-        Cependant tu dois être punie !


-        Ho non Maitre…


-        Tu es excusée mais tu mérites sanction !


-        J’ai passé beaucoup de temps au coin Maitre !


-        Ce n’est pas suffisant ma petite ! Tu m’as agressé en paroles ! Et tu as oublié de m’appeler Maitre à plusieurs reprises !


Tu es en phase d’éducation, je ne peux laisser passer cela ! Tu le comprends ?


-        Oui Maitre je le comprends…




Il me fit lever et m’emmena jusqu’au lit. Sans délicatesse, il me bascula en travers de ses cuisses et me fouetta les fesses avec le martinet


qu’il avait pris au passage. Je fus rapidement en larmes puis je capitulais et hurlais ma douleur, moi qui essayais jusqu’alors de les retenir


par fierté. Cela ne le fit pas cesser les coups. Mes fesses devenaient violettes et les zébrures de plus en plus marquées. Il me fit alors


tomber sur le sol et alla reposer le martinet sur son bureau.




Je le vis prendre une capote, ce qui me surprit. Jusqu’ici, il n’en avait pas utilisé une seule pour me prendre.


Il se la mit sur le sexe. La punition l’avait excité de nouveau. Un vrai Priape !


Il s’absenta ainsi capoté, la queue bien dressée pour revenir quelques minutes après, dans le même état.


Je n’avais pas osé quitter le tapis au pied de son lit sur lequel j’étais tombée.




-        A plat ventre sur le lit ma petite !


-        Oui Maitre !


-        Tu ne crois pas que je vais te punir dans l’inconfort pour moi !




Je m’empressais de m’allonger sur le ventre soumise.




-        Mains sur la tête !


-        Oui Maitre…


-        Et ne bouge pas !


-        Promis Maitre !


-        Si tu me résistes, ce que tu viens de recevoir te semblera avoir été une séance de caresses !




Je tremblais sur le lit de peur. Mon cul était en feu et sa couleur violette m’inquiétait !




La douleur n’était rien comparée à celle qu’il m’infligea en pénétrant mon cul d’un coup, très violent, se plantant en moi entièrement,


écrasant ses couilles contre mes fesses. Elle montait de mon anus et de mon rectum. Je me sentais irritée de partout. Rien à voir


avec le fait d’être empalée d’un coup.


Je pleurais comme un bébé apeuré, ça me brulait de partout et cette douleur s’ajoutait à celle émanant de mes fesses meurtries par le martinet.




-        Tu aimes mon petit lubrifiant ma petite ?


-        Qu’est ce que vous avez fait Maitre ?


-        J’ai mis une petite crème de ma fabrication, piment et poivre !


-        Vous allez me faire mourir Maitre !


-        Mais non ! Pas pour si peu ! Les autres le supportaient aussi après chaque perte de match ! Pour toi il faudra que je trouve autre chose


pour la perte d’un match ! Cela ne te suffira pas ! Tu es bien trop gourmande !


-        Ho non non Maitre ! Cela m’ira très bien !


-        Ne t’inquiète pas, je trouverai ma petite !




Je me tus ne pouvant plus parler. Il venait d’amorcer ses mouvements pour m’enculer.




-        Désolée ma petite mais le préservatif, ça gène les sensations ! Je vais devoir te prendre plus longuement que d’habitude !


-        Bien Maitre…




Je réussis à prononcer ces mots avant de mordre la couette. Je hurlais tout en me forçant à ne pas me débattre et à ne pas retirer les mains de ma tête.




Il me prit ainsi pendant une bonne demi-heure, me laissant exténuée alors qu’il jouissait dans le préservatif. Il me jeta au bas de son lit pour


que je dorme sur le tapis, n’ayant pas mérité sa couche ce soir là.


Je m’allongeais sur le ventre, jambes écartées. L’air qui circulait me faisait du bien au niveau de l’anus. Je gardais cependant l’impression


pendant une bonne heure qu’il était toujours planté en moi tellement j’avais mal.




Heureusement qu’il avait dit pas de sexe la veille au soir d’un match !


Je finis par m’endormir ou m’évanouir ainsi à terre alors qu’il avait déjà commencé à emplir la pièce de ses ronflements de male satisfait…








A suivre...






Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr






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