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Alexia en mission
Chapitre 2 : Reflexion
Alexia avait du mal à se concentrer. Assise sur son siège au milieu de l'amphi, suite à son retard en cours, elle essayait de
se concentrer un peu sur ce que disait le professeur. Elle détestait ce genre de place. Soit on fayotte et on se met devant,
soit on se la coule douce et on se met dans le fond. Résultat, elle etait au milieu. Pauline avait essayé de lui garder une place
à coté d'elle mais avait du se résoudre finalement à la laisser libre, Alexia n'arrivant pas.
Seule au milieu de l'arène étudiante, rien de mieux pour gacher une après-midi...
En plus, la conversation et la proposition du midi lui revenaient sans cesse à l'esprit, la sortant du contexte du cours.
Impossible d'en parler à Pauline ou à qui que ce soit en plus ! Il lui fallait prendre la décision seule.
Cela semblait excitant, plein de mystère, romantique comme travail, etre une sorte de Mata-Hari...
Oui mais est ce que ce n'etait pas trop dangereux pour elle aussi ! Elle avait tout de même mal fini la Mata !
Et puis je ne suis pas une salope comme elle ! Même en l'étant, elle n'avait pas pu sauver sa peau !
Il faut que je dise non même si j'ai envie de dire oui !
D'un autre coté, c'est ennuyeux ma vie jusqu'ici ! Et puis il a promis de me protéger...
Alexia passa son après-midi ainsi dans ses pensées, alternant entre un refus catégorique et une acceptation enthousiaste de
ce qui lui était proposé.
Quand même, jouer le rôle d'une putain, ce n'est quand même pas terrible ! Si encore c'était call-girl de luxe !
Là c'était le plus bas niveau pratiquement ! Je mérite quand même mieux ! Je suis plutôt canon !
Et si j'ai un vrai client ! Qu'est ce que je fais ? Il a beau dire que je n'aurai que des faux clients, ce n'est pas garanti !
- Hé ! Tu viens ?
Alexia secoue la tête pour regarder qui lui parle.
- Tu t'es endormie ou quoi? C'est fini ! On rentre à sa maison !
Pauline se moquait d'elle depuis l'entrée de sa rangée. L'étudiante rangea rapidement ses affaires dans son petit sac Longchamps
tout en remarquant que l'amphi était aux 3/4 vide déjà. Elle s'empressa de rejoindre son amie.
- Qu'est ce que tu faisais ? Tu étais en train de rêver encore ?
- Oui et non !
- C'est soit oui soit non !
- Je ne peux pas t'en parler...
- Ben voyons ! Tu recommences ?
- Non non! C'est sérieux, ce n'est pas un rêve, je dois prendre une décision concernant ma vie mais je ne sais pas encore quoi faire...
- Et tu ne peux pas m'en parler ?
- Non ! je te jure que je ne peux pas !
- T'es pas marrante Alex !
- C'est pour devenir une espionne !
- Tu fais chier Alex ! Allez dit moi ce que c'est !
- C'est pour devenir une vraie espionne !
- T'es pas sympa ! Mais bon tant pis, je ne te dirai plus tout non plus !
Les deux jeunes filles prirent la route du retour en papotant de tout et de rien, Alexia soulagée d'avoir dit la vérité à son amie,
sachant qu'elle ne pourrait pas la croire. Cela n'existe que dans les films !
Une fois chez elle, Alexia commença à réflechir aux cotés pratiques de tout cela. Comment savoir si ce que cet homme lui avait dit
etait vrai ! Que tout cela était sérieux !
Elle n'avait que ses paroles, comment les vérifier ! Je suis peut etre tombée sur un mythomane et je me suis faite avoir !
Je ne peux pas me pointer dans le premier commissariat venu pour me renseigner, on va me prendre pour une folle !
Elle s'allonge sur son lit pour travailler un peu ses courts mais rapidement elle s'égare dans ses pensées, trop perturbée par ce
qui lui arrive.
- TOC TOC TOC !
Elle est ramenée à la réalité par les coups sur sa porte.
- Oui oui ! J'arrive ! Tu es en avance Pauline !
Elle se leve et ouvre sa porte sans meme regarder dans le couloir.
- Entre, je ne suis pas encore prête !
- Excusez-moi Miss ! Y'a erreur sur la personne !
La voix grave la surprend et elle se retourne, découvrant un livreur de société à sa porter avec un grand carton.
- C'est pour une livraison Miss !
- Vous etes un livreur non ?
- Oui Miss
- Donc vous livrez ! Qu'est ce que cela a d'extraordinaire ? Allez ! Donnez-moi ça !
Elle prend d'autorité le carton des mains du livreur pour le jeter sur son lit.
- Mais il faut que vous signiez le reçu Miss dit l'homme embarrassé et surpris par la tournure des évènements.
- Je sais ! Vous me prenez pour une cruche en plus ?
- Non non ! Je ne me permettrais pas !
- Il ne manquerait plus que cela ! Stylo !
- Pardon ?
- Stylo ! Je ne vais pas signer avec mes pieds !
- Oui voici !
Elle se saisit du stylo et signe rapidement le papier puis claque la porte au nez du livreur.
- Je n'attends rien alors n'attendez rien non plus, surtout pour un carton si léger !
Alexia s'assit sur son lit et se met à rire en songeant à ce qu'elle vient de faire et à la tête du livreur.
Elle se sent mieux après cette petite blague.
- N'empeche c'est vrai ! Je n'attends rien du tout moi !
Elle ouvre le colis rapidement, déchirant le carton, poussée par sa curiosité à vite en découvrir le contenu.
Elle tombe sur une enveloppe qu'elle jete sur le lit puis écarte des grandes feuilles de papier protecteur pour découvrir un
habit de policier. Elle sort le pantalon et la tunique puis une ceinture avec une matraque et enfin des chaussures à sa pointure.
- Qu'est ce que c'est que tout cela !
Le déballage continue et elle découvre un petit étui avec un insigne et un porte-carte avec une carte officielle portant sa photo,
son état-civil et le titre d'agent d'Interpol.
Si c'est du faux, c'est drôlement bien fait s'extasie la jolie brune ! Ils connaissent meme ma pointure de chaussure !
Elle ouvre l'enveloppe qui accompagne tout cela et en commence la lecture.
Melle K., vous trouverez dans ce colis, une tenue officielle de nos services de police, ainsi qu'une carte officielle qui établit
votre identité et votre fonction. Ceci vous permettra de venir me retrouver officiellement demain en nos locaux situés à l'adresse
indiquée dans votre contrat d'embauche si joint. Cela vous permettra de lever vos doutes concernant le sérieux de notre conversation
de ce midi, tres plaisante au demeurant me concernant.
- Tu m'étonnes ! Tu en as profité pour m'embrasser et me tripoter espece de cochon! marmonne Alexia en lisant cela.
Il vous suffira donc demain de venir après vos cours vétue de cette tenue et de présenter votre carte en demandant le commandant G.
Ceux-ci étant situé dans les locaux de la police, la tenue banalisera votre entrée en ces lieux et empechera toute personne de preter
ainsi une attention particulière à ce fait. Quoi de plus banal qu'un agent de police entrant dans des locaux policiers. Tout lien avec
Interpol sera ainsi évité et votre couverture protégée.
J'espère que les termes de votre contrat vous conviendront.
Puis un tas de blabla et de formules officielles.
- Cool ! J'adore déjà ce nouveau job !
De nouveaux coups à sa porte la font sursauter.
Alexia s'empresse de tout remettre dans le carton et de le jeter dans le bas de son armoire pour éviter qu'on ne voit tout cela.
- J'arrive ! J'arrive !
- Qu'est ce que tu caches ? Un mec dans ton armoire dit Pauline en riant !
- Oui je ne voulais pas qu'il te voit et me quitte parce que tu as des seins bien plus gros que les miens !
- T'aimerais bien en avoir des comme ça ! dit Pauline toujours aussi rieuse, secouant ses gros globes, un bon 90C qui éborde, très fière d'elle.
- On dirait une pute qui vend sa marchandise quand tu fais ça !
- Tu es jalouse surtout !
- Non mon cul est bien plus beau que le tien !
- Pas vrai !
- Tu vois ! Tu es jalouse ! Tu préfères nier l'évidence !
- Pas du tout ! Si tu veux on compare devant ta glace !
- Chiche !
- Tu vas pleurer en voyant que ton cul en plus de tes seins est moins beau que le mien !
- Dans tes rêves !
Pauline empoigne Alexia par le bras pour l'amener devant la glace de son armoire.
- On va bien voir ! Enfin si tu oses ! Parce que tu es forte en paroles mais cela s'arrête là !
- Ben tiens ! Regarde !
Alexia se tourne pour montrer son joli petit cul moulé par son pantalon dans la glace.
Pauline se place à coté d'elle provocatrice.
- Facile avec un vetement ! On ne compare pas habillées !
- Quoi ?
- On compare culs nus !
- T'es dingue ?
- T'es si pudique ?
- Quand même ! Je n'ai pas l'habitude de montrer mon cul comme ça !
- C'est qu'une paire de fesses moins belles que les miennes !
- Tu dis ça exprès pour que je te les montre !
- Hé c'est toi qui a commencé avec mes seins !
- Jamais dit que je voulais les voir pour autant !
- Tu veux que je te les montre !
- Non ! Non ! Je ne veux rien du tout !
- Allez ! Cul nu Alexia !
- T'es barge ! Je ne veux pas te montrer mon cul !
- Je te montre le mien aussi ! Celle qui a le plus beau se fait payer le repas de ce soir par l'autre !
- Sérieuse !
- Oui sérieuse !
- Quand même qu'est ce qui me dit que tu vas me le montrer une fois que je t'aurai montré le mien ?
- Ben on le fait en même temps !
- Ok ça marche !
- On compte jusque 3 et on baisse nos pantalons et culottes en même temps ?
- Ok pour moi !
- 1..2..3 !
Alexia et Pauline dégraphent leurs pantalons et Alexia baisse rapidement le tout, exhibant ses jolies fesses rondes et fermes devant la
glace. Pauline rit, gardant ses mains sur le haut de son pantalon et le reboutonnant.
- C'est vrai qu'il est plus beau que le mien ! Tu as gagné !
- Salope ! Tu as dit en même temps !
- J'ai changé d'avis ! Reste comme ça que je regarde mieux !
Alexia donne un petit coup de poing sur l'épaule de Pauline pour se venger, les fesses toujours à l'air, troublée d'être comme cela
devant son amie puis remonte culotte et pantalon, furieuse de s'etre faite avoir.
- Je ne te ferai plus jamais confiance !
- Tu veux voir mes seins en échange ?
- Vrai ? Tu ne dis pas ça pour voir les miens?
- Tu veux aussi me les montrer ?
- Tu ne vas pas m'avoir 2 fois !
- Si je te les montre, tu ne seras plus fachée?
- Si tu me les montres on est quitte mais tu me payes le resto quand meme !
- Ca marche dit Pauline retirant son T-shirt blanc.
Elle dévoile un soutien-gorge en dentelle blanche prêt à éclater et le retire prestement à son tour. Ses globes volumineux s'affaissent
légèrement, sa jeune poitrine étant bien ferme.
- Putain ! Ils sont vraiment gros !
- Plus beaux que les tiens non ?
- Je ne sais pas ! Ils sont si différents !
Alexia retire alors son chemisier pour découvrir de jolis seins moulés dans un dessous noir. Elle les dénude à son tour, sa poitrine ronde
et ferme fièrement tendue devant elle, ses tétons durcis par l'excitation provoquée par ce jeu.
- Ils sont beaux aussi !
- Je te l'avais dit ! C'est peut etre moi qui gagne sur toute la ligne ! Plus beau cul et plus beaux seins !
- Ex-aequo pour les seins !
- D'accord ! Mais je gagne quand même !
- Oui tu as gagné !
- Au moins maintenant on peut aller à la plage ensemble !
- Oui on ne sera plus génée si on voit les seins de l'autre !
- C'est cool d'etre amies !
- Oui tu es ma meilleure amie !
- Toi aussi !
Les deux amies après s'etre bien matées l'une l'autre finissent par se rhabiller et par partir pour le restaurant.
Pauline donne un de ses tickets comme promis à Alexia pour payer son repas et elles essaient de trouver une place libre
à l'écart des autres étudiants pour y poser leur plateau.
Elles essaient de ne pas attirer les regards pour ne pas etre importunées, la poitrine de Pauline et la beautée d'Alexia
ayant tendance à excercer une forte attraction sur la population male etudiante.
- C'est quand même une journée de folie aujourd'hui !
- Comment tu le sais dit Alexia surprise, se demandant comment son amie est au courant de ce qui lui arrive.
- Ben oui, on a parlé fantasmes ce matin et ce soir tu t'es pratiquement mise à poil devant moi !
- Hé ! C'est à cause de toi à chaque fois je te signale !
Alexia respire mieux ayant eu peur d'avoir été découverte, tout en se disant qu'elle est stupide, que personne ne peut savoir.
- Tu ne t'es pas beaucoup faite prier pour parler du chien ou pour me montrer ton cul !
- Oui je suis trop naîve ! Je ne pense pas que ma meilleure amie peut m'arnaquer comme cela !
- Tu regrettes ?
- Non...non c'est sur je ne regrette pas dit Alexia après une longue réflexion.
- Moi non plus tu sais ! Je crois que l'on va etre encore plus proches après ce jour !
- Pas trop proches quand même !
- Que veux tu dire ?
- Ben je n'ai pas l'intention de coucher avec toi !
- Je sais tu préfère te taper un chien plutôt que moi !
Pauline rit aux éclats alors qu'Alexia se met à rougir confuse! Elle finit par se reprendre.
- Et toi un âne !
- C'est déjà plus ambitieux qu'un chien !
- T'es qu'une putain ! Tu n'as même pas honte de me l'avoir dit ?
- Non j'assume !
- Salope ! Moi j'ai super honte !
- T'es aussi une putain comme moi ! Qui s'est branlée sous sa douche en s'imaginant sautée par un chien ? Pas moi !
- Chut !!! Pas si fort on va t'entendre ! dit Alexia toute rouge pivoine maintenant.
- Et tu oses te plaindre ?
- Je ne veux pas que toute la fac soit au courant !
- Je suis sure que tu en mouilles ta culotte !
- Enfoirée !
- Pas vrai ?
- Je ne te le dirai pas !
- Alors je dois avoir raison !
- Tu ne sauras pas !
- Toi si ! La mienne est trempée !
- Tu m'as déjà eu pour que je montre mon cul alors ce n'est pas parce que tu parles de ta culotte que je te parlerai de la mienne !
- Non je suis sérieuse ! Et j'étais sérieuse ce matin.
- Pour l'âne ?
- Oui et pour le fait que si je le fais, j'aimerais que tu sois là !
- Tu n'es qu'une vicieuse !
- Ho je ne pensais pas à ça ! Mais il faudra quelqu'un pour contrôler un peu l'âne, je ne me vois pas demander cela à quiconque en
dehors de toi.
- Tu y penses vraiment sérieusement alors !
- Oui bien sur ! Tu ne parlais pas sérieusement toi pour le chien ?
- Si si aussi ! avoue la belle en rougissant encore plus.
- Tu me promets de le faire devant moi si tu sautes le pas ?
- Oui promis ! Et toi tu promets pour l'âne ?
- Promis ! D'autant plus qu'il me faudra vraiment de l'aide !
- Salope !
- Chienne !
Les deux amies rient aux éclats tout en continuant leur repas, revenant à des sujets plus conventionnels de discussion.
Une fois de retour chez elle, Alexia ressort le carton de son placard et passe la tenue policière pour voir ce que cela donne.
Elle s'admire sous toutes les coutures, heureuse de son uniforme.
Aussitôt son esprit se met en route et des fantasmes divers surgissent. Elle fait le tri dans ses envies en se laissant une part
d'improvisation et commence à s'imaginer intervenant dans un hotel louche, faisant interruption dans la chambre pour prendre sur
le fait 2 trafiquants de drogue.
- Haut les mains !
Alexia porte la main à sa ceinture pour sortir son pistolet et se rend alors compte qu'il n'y en a pas dans sa panoplie.
Elle sort alors précipitamment sa matraque pour menacer les dealers, tout en essayant de prendre l'air le plus terrible dont elle est capable.
- Pas un geste ! J'ai reçu une formation spéciale et je vous démonte la tronche si vous bougez !
Elle essaie d'avoir l'air encore plus menaçante pour etre convainquante et essaie de faire tourner la matraque dans sa main comme
dans les films. Elle pousse un cri dépité alors que cette dernière lui échappe pour tomber à terre.
- J'ai encore du boulot pour etre au point !
Elle imagine alors que les truands en profitent pour la maitriser.
- Jolie poulette !
- Ouai ! Bonne marchandise ! Amene là sur le lit !
L'homme lui tripote les seins et le cul à travers son uniforme tout en l'amenant sur le lit.
- A 4 pattes sale pute de flic ! Et vite où je te défonce ta petite gueule !
Alexia s'empresse de se mettre sur son lit comme demandé, après avoir ramassé sa matraque sur le sol, la posant à portée de main.
- A poil salope ! Magne toi !
La petite brune retire sa ceinture puis sa veste, s'imaginant menacée d'un révolver par l'un des truands, se sentant effrayée et
excitée par la situation qu'elle vit virtuellement.
Elle laisse filer la veste sur le sol, gardant les menottes sur le lit puis son pantalon avant d'y jeter également ses dessous
et se remet sagement à 4 pattes sur le lit.
Elle se met près du haut de son lit et prépare la matraque en la plaçant entre ses jambes, levée, en appui sur la partie perpendiculaire
du manche.
- Tu voulais nous matraquer salope ! Tu vas voir comment tu vas la prendre ta matraque !
- Menotte-là au lit !
- Oui chef !
Alexia prend les menottes et se passe l'un des anneaux à la main, réflechissant ensuite. Soit elle passe la chainette derriere le montant et
se menotte le second poignet soit elle passe l'autre partie de la menotte au montant pour garder une main disponible.
Elle opte finalement pour cette option afin de pouvoir manipuler la matraque au cas où...
- on va te le défoncer ton petit cul de flic !
Elle prend la matraque de sa main libre et la pousse le plus durement possible en elle, sachant bien qu'elle ne le fait pas aussi durement
que ce qui se produirait si elle etait entre les mains de vrais truands. Puis elle remue la matraque en elle, se prenant en gémissant de
plaisir, adorant cette situation, nue, la casquette sur le crane, menottée par la main gauche au lit.
- Retire la matraque, je vais me la faire !
Alexia se déconne et pose la matraque sur son lit en équilibre puis s'enfonce sur la barre, s'imaginant violée. Elle remue son bassin
pour se prendre au rythme qu'elle imagine le truand prendre pour la violer.
Rapidement elle pousse de petits gémissements de plaisir et jouit comme une folle.
Elle reprend lentement son souffle, la tete posée sur son oreiller, la matraque toujours en elle.
- Allez laisse moi la place ! Je vais l'enculer ! Pas envie de rentrer là où tu es passé !
Alexia sort la matraque de son vagin et place le bout contre son anus. Elle se demande si elle ne va pas trop loin dans son fantasme,
pas du tout habituée à etre pénétrée ainsi mais elle a besoin de se défouler après cette journée si spéciale.
Elle s'encourage mentalement et pousse sur ses reins pour s'enfoncer sur sa matraque, s'imaginant enculée de force par le truand.
Elle sent le bout arrondi de la matraque progresser lentement et douloureusement dans son anus, celui-ci lui refusant le passage
malgré son désir de se prendre. Son déflorage anal s'avère plus compliqué que prévu.
Elle essaie encore de pousser sur ses reins, la matraque s'enfonce dans son matelas sans réussir à franchir le barrage de son anus.
En désespoir de cause, elle pousse sur son sphyncter comme pour faire ses besoins et enfin le bout pénètre en elle.
Celui lui arrache un gémissement de plaisir, une sensation jusqu'ici inconnu pour elle l'envahit. Elle se fait enculer par une
matraque de police comme la dernière des salopes. L'instrument glisse maintenant facilement en elle et pénètre au fond de son rectum.
Elle se regarde dans la glace, enculée à 4 pattes, menottée et le spectacle lui plait.
Elle remue ses reins, admirant sa poitrine qui pend et remue sous elle à son rythme, se trouvant pire qu'une actrice de porno ainsi.
Se voir ainsi lui donne du plaisir et accentue ses sensations. Elle gémit encore plus fort se disant qu'elle est en formation pour
devenir une bonne pute !
Elle donne une plus grande amplitude à ses mouvements de rein, commençant à apprécier la pénétration anale et la vue que lui
renvoit le miroir. Elle glisse sa main libre sous elle et masse doucement son clitoris, le presse un peu et jouit , la tête plongée
dans son oreiller, le cul redressé en l'air avec la matraque plantée dedans, mordant le tissus pour ne pas crier trop fort de plaisir.
Elle finit par s'allonger sur le ventre, toujours enculée, réflechissant à ce nouveau fantasme, heureuse de sa nouvelle situation.
Après un bon quart d'heure de rêveries, elle sort la matraque de son rectum et la regarde en grimaçant un peu, pas tres propre tout cela !
Elle la pose sur son chevet sur le coté le plus propre pour ne pas tout salir et se redresse pour retirer les menottes.
Elle cherche le système d'ouverture et se rend compte que ce sont de vraies menottes de police, fermant à clé.
Quelle cruche je suis ! s'insulte mentalement Alexia. Evidemment que ce sont de vraies menottes ! Ce n'est pas un fantasme cet équipement !
- Où sont ces putains de clés ! crie la prisonnière nue dans sa chambre avec angoisse.
Elle essaie de se souvenir mais ne se rappelle pas les avoir eues en main. Elle essaie de s'étirer au maximum pour attraper les vetements
sur le sol mais en vain.
- Saloperie ! Je suis sure qu'elles sont encore dans ce putain de carton !
Elle tire en vain sur sa main coincée, se la meurtrit un peu pour essayer de la sortir mais la menotte est trop serrée.
- Merde ! Merde ! Merde ! Je suis dans la merde !
Elle essaie alors de deplacer son lit dans la piece pour s'apercevoir que l'ensemble de chevet est fixé au mur et scelle le tout sur place.
Impossible de bouger !
La mort dans l'âme, ne voyant plus aucune autre solution, elle prend son téléphone qu'heureusement elle pose toujours sur son chevet
et ouvre son répertoire. Qui vais-je appeler ? Qui va avoir le droit de me voir dans ce pétrin ?
Elle réfléchit et élimine ses ex rapidement, ils sont trop cons, tout le monde seraient au courant ensuite.
Ses cousins, pas mieux ! Ses oncles ! Elle se dit que toute la famille connaitra ses mésaventures, ils sont incapables de garder un secret
et ses tantes, c'est bien pire !
Rapidement, elle se retrouve limiter à deux choix : soit ses parents, soit Pauline.
Qui vais-je appeler ?
A suivre...