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La vérité sur les contes : les 3 petits cochons
Introductions
Il etait une fois, dans un petit village occidental au moyen age, un jeune homme de bonne famille qui avait obtenu la charge d'assistant inquisiteur.
Sa famille avait longuement oeuvré pour obtenir cette nomination. Cela avait couté assez cher mais avec la chasse aux hérétiques, il etait possible
de rapidement se rembourser en prenant sa part sur les biens confisqués par l'église. Ce jeune homme brun, à la chevelure non maitrisable, aux gros sourcils,
au regard sombre, provoquait l'effroi rien qu'en posant son regard sur quelqu'un. Il furetait partout, enquetait discretement, cherchait les hérétiques,
ayant une obligation de résultats. Un inquisiteur qui ne trouve pas d'hérétique est vite considéré par les siens comme un hérétique collaborant pour
cacher les siens. Aussi etait il pret à accuser n'importe qui, homme, femme, enfant, quelque soit leur etat de santé et leur patrimoine, tout en faisant
preuve de la cruauté la plus extreme en les torturant pour qu'ils avouent etre coupables.
Cela lui avait rapidement vallu un surnom : "le loup".
Le loup qui venait d'écumer le village voisin, ayant executé et confisqué tout ce qu'il pouvait, venait d'arriver dans ce village, le 3eme de sa liste.
Jusqu'ici, ce village vivait paisiblement, entouré par bois et champs de blés, avec ses quelques commerces de base et son petit manoir.
Chacun essayait de s'entendre au mieux avec ses voisins et les quelques brebis galeuses inévitables etaient bien identifiées et surveillées ce qui
assurait à tout le monde la tranquillité.
En bordure du village vivait Nicodème. C'etait un jeune paysan, un peu reveur, qui ne perdait pas une occasion pour aller s'amuser dans les meules de foin.
Bien bati, musclé par les travaux dans les champs, une longue chevelure blonde et de beaux yeux bleus, tout cela faisait des ravages dans les coeurs des
jouvencelles mais il s'en moquait. Nicodème dans la meule etait en compagnie de Nouba. Ce dernier etait aussi brun qu'il etait blond, soigné, toujours bien
habillé et convoité aussi par toutes les jouvencelles car étant le fils du baron local.
Nicodeme, traquillement allongé sur le dos, un brin de paille entre les dents, les bras croisés derrière sa tete, regardait passer les nuages, bien installé.
Ses chausses etaient baissées, dévoilant un gros et long sexe, tendu vers le ciel avec de belles grosses couilles en rapport avec la taille de son sexe.
Nouba allongé sur le ventre dans la meule, etait en train de sucer le gland de cette magnifique verge.
Nicodeme, par moment, laissait échapper un gémissement de plaisir, arraché par la langue de Nouba. Il continuait de fixer les nuages, pour se distraire,
pour que Nouba mette le plus de temps possible pour le faire jouir. Pour sa grande satisfaction, il y parvenait pour le moment, et cela ne décourageait
pas Nouba qui etait décidé à lui faire rendre les armes.
Ce dernier sentit que l'on baissait ses chausses, des mains fermes et décidées qui lui donnèrent une grosse claque sur le cul alors qu'il avait eu un
reflexe pour empecher cela. Il comprit aussitôt qu'il fallait qu'il ne bouge pas. Ses fesses lisses furent rapidement à l'air et il recut alors une bonne
dizaine de claques qui les rougirent. Nouba continua de sucer Nicodeme, excité par la fessée. Son sexe venait de se durcir d'un coup, moins bien monté
que Nicodeme mais dans la bonne moyenne tout de meme. Il avait tout de suite compris que Narcisse s'occupait de lui.
Narcisse etait le chef de leur groupe, fils de l'épicier de la ville, beau garçon également, aimant commander et dominer son monde.Sa queue etait de longueur
normale mais tres grosse. Il poussa son gland brusquement dans l'anus de Nouba, lui arrachant un petit cri de douleur puis força pour entrer bien
qu fond de son cul. Il appuya en meme temps sur la tete de Nouba pour lui enfoncer la queue de Nicodeme dans sa gorge.
- Ne fait pas ta jouvencelle effarouchée, suce le correctement ! lui intima Narcisse.
Une nouvelle claque tomba sur les fesses de Nouba alors que Narcisse le pilonnait déjà comme un fou, décidé à se
faire jouir très vite.
Dans ce petit village, les activités de ces trois jeunes gens ne pouvaient passer inaperçues et on les surnommaient les 3 petits cochons.
Les 3 jeunes gens gisaient maintenant allongés sur le dos, discutant avec inquietude du sujet du loup. Ils convinrent que tant que ce sinistre personnage
etait dans leur localité, il vaudrait mieux ne plus se revoir.
La maison de paille
Nicodème reprenait ses forces allongé dans la paille, à moitié nu, ayant perdu ses chausses. N'ayant pas grand chose à faire pour le reste de la journée,
il décida d'en profiter pour faire la sieste.
Le loup approchait, vetu d'une soutane noire, entourée de 2 pretresses. Elles semblaient jumelles, blondes aux yeux clairs, seins ronds et fierement tendus
en avant, leurs pubis ourlés de poils blonds et les fesses bien fermes. Tout cela fièrement exhibé, elles ne portaient que des cuissardes mi-cuisses et
un harnais en cuir et chainette, ce qui mettait encore plus en valeur leurs formes voluptueuses.
Nicodème, en les voyant déboucher dans sa plaine etait partagé par l'envie de sauter sur les pretresses et l'envie de fuir, elles encadraient le loup tout
de meme.
Il se résolut à se cacher en plongeant au coeur de la meule de foin. La réputation du loup etant plutôt noire voir rouge sang, il préférait ne pas prendre
de risque inutile. Le trio progressait malgré tout droit sur sa cachette, un sourire déformait le visage du loup. Ses yeux brillaient et luisaient.
Nicodème s'enfonça encore plus loin dans sa meule terrorisé maintenant. Le loup s'arreta près de la meule, bien campé sur ses jambes.
- Sort de là le drole ! Tu es en etat d'arrestation au nom de l'inquisition !
Nicodème tremblait au fond de sa cachette mais la meule etait grande, il se dit qu'elle allait lui offrir un abri correct le temps de trouver un plan pour
sa fuite.
- Sais tu comment trouver une aiguille dans une meule de foin ?
Nicodème ne répondit pas inquiet, le moment n'étant pas propice aux plaisanteries.
Le loup agita une torche devant lui et mit le feu au foin. Comme tout était bien sec, la meule s'embrasa immédiatement.
- Tu brules la meule de foin ! dit le loup en riant aux éclats, accompagné par le rire des pretresses.
Nicodème n'avait pas le choix, il sortit à demi-nu de la meule et entreprit de courir pour s'éloigner de ce trio infernal.
Ses pieds lui faisaient mal, sa queue bandée par la vision des pretresses ne l'aidait pas non plus dans ses mouvements. Celles-ci se mirent en marche
derrière lui, le rattrapant à grands pas alors qu'il courait en vain pour s'éloigner d'elles, se demandant comment elles faisaient pour se déplacer
si vite sans effort.
L'une d'elle le saisit par les cheveux provoquant l'arret de sa fuite et lui arrachant un cri de douleur. La seconde lui prit les couilles et la queue
en main par derrière et sans ménagement elles le porterent ainsi pour le lacher aux pieds du loup.
Celui-ci raillonnait de plaisir alors que Nicodème gisait à ses pieds.
- La broche ! cria le loup, on va se faire un cochon à la broche ! il rit de plus belle.
Nicodème reçut plusieurs coups de pieds dans le ventre et dans les couilles qui le firent s'allonger sur le ventre terrorisé.
Un pied vint se poser sur sa nuque le coincant au sol, la soutane pres de ses yeux lui fit comprendre qu'il appartenait au loup.
L'une des pretresses lui claqua le cul à grands coups de martinet.
- Bien ma fille ! il faut toujours attendrir la viande ! dit le loup joyeux.
Nicodème tremblait de plus en plus. Il sentit alors une pointe de métal contre son anus. Avant qu'il ne puisse pousser un cri, déjà la pointe avait
forcé son anus et entrait en lui, se forgeant un passage pour remonter en lui.
- Nous avons le feu et la broche, on va pouvoir se le faire le cochon à la broche ! dit le loup joyeux, ce sera un vrai festin !
Nicodème hurla et se débattit alors que la douleur provenant de son anus s'amplifiait. Il ouvrit les yeux et vit qu'il etait toujours dans sa meule.
Une branche qui polluait la meule avait profité de son enfoncement progressif dans le foin pour pénétrer son anus et provoquer ce cauchemar.
Il était tremblant se disant quel idiot je suis ! S'il y avait de belles femmes nues dans l'inquisition, je serai inquisiteur !
Et cette torche venue de nulle part ou cette broche ! j'aurai du me rendre compte que je revais !
Nicodème aperçut alors un petit nuage de poussière au loin. Il tendit l'oreille, des chevaux ! c'est le moment de partir vite !
Il se rhabilla et fila discretement se faufilant de meule en meule jusqu'au bois pour s'y cacher. La foret est si profonde que je n'y risque rien
se dit le paysan.
Il vit alors le loup habillé comme dans ses reves et portant une torche à la main déboucher dans son champ. Point de pretresses, mais une demi-douzaine
d'hommes en armes, tous avec des torches. En quelques secondes, l'ensemble des meules fut incendiées.
Nicodème regardait catastrophé les reserves pour nourrir ses vaches qui partaient en fumée.
Anéanti, il décida de quitter les lieux et de chercher refuge chez Nouba.
La maison de bois.
Nouba acceuillit Nicodème à bras ouvert et comme à son habitude, une fois son hote bien installé sur son lit, il entreprit de le sucer pendant qu'il lui
narrait ses mésaventures. Il avait du mal à etre peiné pour le paysan. De son point de vue, celui lui permettait de l'héberger chez lui et de pouvoir
profiter plus souvent de ses attentions. Il aimait tellement sentir cette grosse pine chaude palpiter dans sa bouche que cela lui semblait etre
une bonne chose.
Nicodème commençait à se détendre. La bouche de Nouba, c'etait quelque chose tout de meme ! Mieux qu'un simple réconfort ! mais il avait besoin de plus !
Il se déroba et vint à genoux derrière Nouba pour l'enculer d'un coup. Il lui attrapa les couilles tout en remuant dans son cul, les serrant de plus en
plus à mesure que son plaisir montait en lui. La douleur faisait serrer son anus à Nouba de façon proportionnelle. Il souffrait maintenant à la fois
de son cul et de ses couilles alors que Nicodème haletait à son oreille.
Il sentit enfin son amant inonder son cul de sperme et s'effondrer sur son dos.
Ils s'affalèrent à deux sur le lit, toujours emboités tous les deux l'un dans l'autre.
BOUM !BOUM ! BOUM ! Les bruits provenaient de la porte d'entrée.
- Au nom de l'inquisition ! Ouvrez !
Ho non ! se dirent les deux jeunes gens. Ils se rhabillèrent prestement et filèrent à l'arrière de la maison pour se sauver. Ils croisèrent la servante
de la maison au passage. Vite Josephine, sauve toi !
Et sans demander leur reste ils sortirent par la porte de derrière dans la petite cour privée et forcèrent la porte de la maison opposée pour regagner la
rue et aller demander refuge à leur ami Narcisse.
Josephine surprise par le mouvement rapide de son jeune maitre etait encore à se demander ce qui se passait quand la porte vola en morceaux.
- Je suis l'inquisiteur hurla le loup ! je t'interdis de bouger ! Tu es en état d'arrestation !
La jeune et jolie blonde resta paralysée sur place, n'osant faire un geste, les hommes d'armes se faisant menaçant.
- Fouillez la maison ordonna le loup à ses hommes tout en s'approchant de la mignonne.
- Alors ma jolie, où est ton maitre ?
- Je...je ne sais pas monsieur...
Une gifle lui secoua la tete, elle sentit sa machoire vibrer, la douleur fut intense dans tout son crane. Le loup venait de la frapper sans meme une
menace proférée.
- Mauvaise réponse ma fille ! Alors où est ton maitre ?
- Il n'est pas encore rentré mon...
Nouvelle gifle alors qu'elle n'avait pas encore terminé sa phrase.
- Dernière chance ma fille !
- Ils sont partis par derrière monsieur ! je le jure ! dit la pauvre femme terrorisée et meurtrie.
- Deux hommes par là ! cria l'inquisiteur, indiquant la direction de la cour. Je les veux vivants !
Le loup se rapprocha de la servante. Sa main fit un mouvement rapide et le bustier de la robe se retrouva coupé en deux, laissant échapper 2 beaux
globes pleins et fermes. Josephine hurla de peur et essaya de couvrir sa poitrine par pudeur. Le loup en profita tournant autour d'elle pour trancher
au couteau les attaches dorsales de sa robe. A peine celle-ci à terre, le loup arracha la chemise pour dénuder entierement la pauvre fille.
Elle n'osait fuire, nue, ses mains sur ses seins, ses magnifiques fesses rondes livrées au regard du loup.
- Désolé ma fille ! il faut que je vérifie que tu ne m'as pas menti !
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AVERTISSEMENT DE L'AUTEUR :
LA SCENE DECRITE CI-DESSOUS PEUT HEURTER LA SENSIBILITE DE CERTAINS.
IL VOUS SUFFIT DE PASSER A LA MARQUE DE REPRISE POUR EVITER DE LE LIRE
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Le loup claqua dans ses doigts et deux de ses hommes empoignèrent la servante pour lui attacher les bras en l'air au lustre avec une corde.
Celle-ci était maintenant sans défense. Le loup se saisit d'un fouet et le fit claquer en l'air pres de l'oreille droite de sa victime.
- Pitié monsieur pitié ! je suis pieuse ! je vous ai dit la vérité !
- Allons mon enfant ! tu m'as menti 2 fois avant ! pourquoi pas 3 ?!
Le loup avait acquis de la dexterité ces dernières semaines, au fil des interrogatoires. Le premier coup frappa cruellement le sein gauche de Josephine.
Elle n'eut pas le temps de hurler que le second frappait en travers de ses cuisses juste sous ses fesses lui faisant perdre l'équilibre et la suspendant
au lustre. La chaine de suspension du lustre se tendit un peu plus mais tint bon. La drolesse ne pesait guere plus d'un demi-quintal.
le fouet frappa de nouveau la pauvrette sur la poitrine, atteignant ses 2 tétons en meme temps. Elle hurlait et les coups qui s'enchainaient la
faisaient tourner de gauche à droite puis de droite à gauche sous le lustre.
- Tu vois que tu danses bien ! se moqua le loup.
Les coups commencèrent à déchirer la peau de la prisonnière , laissant de longues traces sanglantes sur son dos, ses seins, son ventre, ses fesses et
ses cuisses. La pauvrette voyait sa peau céder de plus en plus sous les coups et son sang commençaient à marquer le sol.
- Alors mon enfant ! Où est parti ton maitre ?
- Par derrière par la cour monsieur ! je vous le jure !
Le loup approcha de sa victime et vint se coller dans son dos. Le sang tachait sa soutane. Il lui mordit l'oreille, tout en pétrissant ses seins martyrisés.
Elle sentit avec surprise et horreur que le loup etait en train de bander contre ses fesses.
- Cela je le sais mon enfant ! mais pour aller où ? susurra le loup à son oreille
- Ho mon dieu mais je ne le sais pas monsieur !
- Mauvaise réponse mon enfant ! La pince !
Un soldat amena aussitot une pince métallique marquée de taches brunes.
- Les cuisses ! ordonna le loup.
Deux soldats empoignèrent les cuisses de Josephine pour les lui ouvrir le plus possible. Le loup sans aucune considération ouvrit les levres du sexe de la
pauvrette.
- Chez monsieur le baron !
Il se pencha pour mieux voir et glissa la pince entre les levres, serrant brutalement le clitoris de la jolie blonde.
Elle hurla aussitôt comme jamais de sa vie, transpercé par la douleur, le fouet lui paraissant avoir été un doux souvernir à coté de cela.
- Chez monsieur le baron ! pitié je dis la vérité !
- Je ne te pose pas de question en ce moment mon enfant !
Le loup tira alors brutalement sur la pince, arrachant le clitoris, mutilant la pauvre fille.
Elle hurlait et pleurait maintenue en place par les soldats, le sang coulant de son sexe blessé. Le loup lui présenta sous les yeux son clitoris au bout
de la pince.
- Où est parti ton maitre ?
- Chez monsieur le baron ! Il est chez monsieur le baron ! Pitié pitié !
Le loup rit amusé.
- Le cochon !
Un des soldats fit entrer un enorme cochon dans la piece, enchainé, essayant de filer de tout coté. Un autre homme vint pour essayer de le maintenir.
- Tu vois j'avais pensé à ton maitre ! je lui avais amené un de ses amis !
Le loup ouvrit alors la pince laissant le clitoris tomber devant le cochon. Celui-ci aussitôt se pencha et n'en fit qu'une bouchée sous les yeux de Josephine,
horrifiée de voir une partie d'elle-même mangée par cette bete.
Le loup tres excité vint derrière la suppliciée et enfonça sa queue dans son cul d'un coup brutal, l'enculant de son pieu dressé qu'il avait libéré par
une fente de sa soutane.
- Mmmm ! Rien à redire, un cul de truie ! Il n'y a pas mieux !
- Pitié monsieur pitié ! j'ai dit vrai !
- Je sais mon enfant ! Tu ne me sers plus à rien en ce cas ! Sauf peut etre à mon plaisir !
Le loup remua entre ses reins, provoquant de nouvelles douleurs en elle, son anus la brulait, ses plaies étaient distendues par les mouvements provoqués
par les mouvements du loup et la queue et les couilles de celui-ci faisaient bouger les levres de son sexe provoquant la douleur au niveau de son clitoris
maintenant absent.
Il ne tarda pas à inonder son cul tout en plantant son couteau dans le ventre de la jeune fille, l'ouvrant un peu plus à chaque giclée de sperme en elle.
Ses intestins tombèrent sur le sol et furent mangés par le cochon, alors que la pauvrette hurlait d'horreur.
Le loup etait aux anges, ayant fini de jouir, il se retira d'elle et se penchant, il sectionna les tendons derrière les chevilles de sa victime puis coupa
la corde qui la retenait au lustre.
Josephine se retrouva au sol, à 4 pattes incapable de se redresser. Le cochon en profita aussitôt pour monter sur elle et enfoncer sa queue en tire-bouchon
dans son sexe. Il la prit sous les yeux du loup pendant une bonne minute avant de jouir en elle.
Une fois la saillie terminée, le loup fit sortir le cochon et planta un couteau dans chaque main de Josephine, la coinçant au sol.
Elle le regarda suppliante, sans plus aucun espoir, ses forces s'amenuisant.
Le loup lui rit à la face une dernière fois et sortit de la maison, lançant une torche sur une nappe.
- Il me faut bruler les sorcières, une fois leur culpabilité établie !
- Je ne suis pas une sorcière !
- Allons ! c'est bien connu ! Les sorcières s'accouplent avec les animaux !
Le loup claqua la porte derrière lui alors que la pièce s'embrasait.
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REPRISE DE L'HISTOIRE
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La maison de bois brulait maintenant, menaçant le quartier d'habitations voisines mais le loup n'en avait cure.
Elle ne peut m'avoir menti pensait il, ils sont chez le baron ! Normal que les 3 petits cochons se rassemblent !
Les villageois se rassemblaient amenant de l'eau pour eteindre l'incendie qui enflait.
- A l'intérieur de cette maison brule une sorcière ! laissez le tout flamber si vous ne voulez pas qu'elle vous jette un sort ! Arrosez les autres
habitations pour les proteger mais attention à la sorcière !
Le loup rassembla ses hommes pour prendre la direction du manoir, satisfait de son oeuvre.
La maison de brique.
Holà du manoir ! Ouvrez à l'inquisiteur !
Le loup avait rapidement évalué le manoir. Le prendre par la force lui semblait impossible. Pas avec si peu d'hommes. Mais il pouvait en faire le siège
et affamer ses habitants.
A l'interieur du manoir, les 2 réfugiés avaient fait un récit de leurs persécutions à leur ami et au baron. Celui-ci fint stratège élabora aussitot un plan.
La porte du manoir s'ouvrit aussitôt, à la grande surprise du loup. Le baron l'invitait à rentrer, sans condition.
Je vais vous livrer ses pourceaux qui déshonnorent le village et ma famille !
Le loup vainqueur bomba le torse et entra chez ce noble pieu. Il etait heureux à l'idée de pouvoir prendre la manoir intact, il n'en aurait que plus de
valeur. Le baron, il le ferait juger pour avoir hébergé trois hérétiques, tout etait parfait !
Escorté par deux hommes, le loup entra dans la salle de reception du baron. Il vit alors les 3 petits cochons nus encordés ensemble au milieu de la piece,
incapables de bouger.
- Vous voyez cher inquisiteur ! ils sont à vous ! Venez vous restaurer à ma table avec vos hommes avant de les emmener !
Le loup qui avait couru toute la journée après ces hérétiques se dit pourquoi pas et accepta l'invitation.
Les plats arrivèrent rapidement à table. Le baron invita ses invités à s'assoir.
Le loup méfiant invita d'un geste ses hommes à ne rien toucher. Le baron rit et dit je comprends ! Il prit une cruche de vint et en versa dans son verre.
Il but sous les yeux du loup la moitié de celui-ci en claquant sa langue à la fin.
- Mmmm excellent ! vous m'en direz des nouvelles !
Le loup sourit satisfait et le baron allait servir ses invités mais le loup trop méfiant prit la cruche pour se servir lui-meme. Il passa ensuite celle-ci
à ses hommes qui en firent de meme.
- A l'inquisition ! trinqua le baron en levant sa coupe.
- A l'inquisition ! répondirent les 7 autres hommes
Ils commencèrent ensuite le repas, le baron servant de goutteur pour chaque plat.
Au bout d'une petite demi-heure, le loup et ses homes tombèrent d'un coup à terre endormis.
Le baron satisfait vint délivrer les petits cochons. Allez rhabillez vous ! Nous avons de l'ouvrage !
Ils trainèrent les hommes jusque la porcherie et les y dévètirent. Le baron pendant ce temps se rendit au village pour chercher le curé et les notables.
Il ramena l'ensemble de ses témoins à sa porcherie.
Là , surprise ! Sous l'effet de la drogue mise dans les verres de ses convives, et non directement dans le vin, le loup et ses hommes etaient nus
dans la paille, en train d'etre enculés par les cochons du baron.
- Vous voyez monsieur le curé ! Il m'a menacé si je ne lui laissais par la porcherie pour la nuit ! et voilà ce que j'ai découvert !
Ce sont des sorciers qui couchent avec les betes ! Cela explique pourquoi il promenait un cochon enchainé en ville ! ce doit etre son amant habituel !
- Cela vous menera au bucher jura le curé à l'inquisiteur ! approuvé par l'ensemble des notables.
Après un procés rapide, l'inquisiteur et ses hommes furent ainsi brulés en place publique, leurs victimes vengées.
Voilà vous savez tout sur ce conte, la prochaine fois, je vous dévoilerai la vérité sur Cendrillon.