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Béatrice : les débuts
Chapitre 2 : Petits arrangements
Que cette semaine fut longue à s'écouler. J'avoue avoir eu de très vilaines pensées parfois même pendant mes cours !
Ce contact sur le net avec Master m'a toute chamboulée. Mais j'ai tenu bon, j'ai évité de me reconnecter ne sachant
pas trop comment il prendrait cela s'il me retrouvait sur le net alors que ce n'était pas prévu. Il me semble si intéressant
que je préfère ne pas commettre un impair qui provoquerait une rupture précoce de nos relations.
Cela fait bien trop longtemps que je ne me suis pas ennuyée et je n'ai jamais eu autant d'entrain pour mes études et le tennis !
Mais ce fut long, heureusement l'attente se termine enfin.
Bien, d'après mes souvenirs, on s'est dit à ce week-end, c'est vague j'aurai du avoir un peu plus de présence d'esprit !
Quelle blonde je fais ! Mais après tout, je peux me connecter dès maintenant, on est samedi matin, la maison est calme avec
mes parents partis faire les courses alimentaires pour ces prochains jours.
Je sors mon portable de son sac, le pose sur mon lit et l'allume. Je me sens un peu nerveuse, angoissée ! C'est étrange, après tout
ce n'est qu'un inconnu, pourquoi me fait-il cet effet là ?
Que c'est long ce démarrage de PC ! Je me mordille les lèvres en attendant la connexion internet et m'installe à genoux au pied de mon
lit pour pouvoir taper mon mot de passe pour me mettre en ligne.
Je sursaute aussitôt au bruit significatif, j'ai un contact en ligne et c'est lui !
- Bonjour ma petite !
- Bonjour Master !
- Ta cam n'est pas branchée ma petite, ce n'est pas normal !
- Pardonnez-moi Master !
Je m'empresse de démarrer ma cam fébrile ! Qu'est ce qu'il m'intimide et m'impressionne ! C’est vraiment la seule personne que je connaisse
qui me fait cet effet ! et encore je ne le connais pas à proprement parler !
- Qu'est ce que c'est que cette tenue esclave ?
- Je ne vous plais pas Master ?
Je regarde ma petite jupe plissée, tout en la lissant nerveusement, mon chemisier bien échancré, dépitée de cette saillie.
- Non esclave ! Quelle doit être la tenue d'une esclave ?
Je baisse la tête en me traitant intérieurement de cruche pour avoir oublié cette chose si simple...
- Ho Master, je suis désolée, je suis si nerveuse que je perds la totalité de mes moyens face à vous Master !
Je me relève vite tout en ouvrant mon chemisier et en catapultant mes chaussures sous mon lit.
Je jette mon haut avec le soutien-gorge sur mon bureau et fais glisser ma jupe à terre.
D'un mouvement rapide de la jambe je l'envoie rejoindre le reste sur le bureau puis retire mon string.
- Prend ton string entre les dents esclave !
Je m'empresse d'obéir ayant beaucoup à me faire pardonner déjà et m'agenouille nue devant mon pc, le bout de tissus dans ma bouche.
- Bien esclave je préfère comme cela ! J’ai failli être très déçu !
- Je suis confuse Master, je me rends compte que c'est indigne d'une bonne esclave Master mais laissez-moi le temps de faire mes preuves !
- Tu l'auras ma petite, mais pas indéfiniment !
- Ho merci ! Merci Master !
Je me sens stressée devant lui, toute petite, comme si je n'étais qu'une gamine ayant fait une grosse bêtise !
- Va chercher ton amant ma petite !
- Oui tout de suite Master !
Je me redresse, le laissant admirer mon corps tout à loisir, essayant de m'habituer à ce regard étranger sur moi.
Je fouille un peu mon sac et sors ma bouteille de déo, maintenant vide mais que j'ai conservé précieusement.
- Je suis avec mon amant Master.
- Bien ma petite. Et tu n'as pas honte de me dire cela ? Avoir un amant alors que je suis ton maitre ?
Je rougis en l'entendant dire cela et bafouille ne trouvant pas de réponse.
- Tu es une petite salope qui ne pense qu'au cul ! La honte devrait t'emporter ! Mets-toi à 4 pattes cul en l'air vers moi petite trainée !
J'obéis humiliée, me tourne en posant ma tête au sol cul bien en l'air devant l'écran.
J'attends et alors me rends compte que j'ai toujours le son coupé sur mon pc suite à notre conversation nocturne.
Je me traite à nouveau mentalement de tous les noms et me remets face à l'écran, augmente le son.
- Pardonnez-moi Master, le son était coupé.
- Je m'en doute ma petite ! Tu n'as jamais entendu ma voix jusqu'ici, cela va être le cas maintenant !
Je sursaute en entendant une voix grave, chaleureuse tout en restant autoritaire:
- A 4 pattes esclave ! Tu me fais perdre mon temps !
Je me remets précipitamment en place affolée, encore plus impressionnée par sa voix.
- Ecarte tes cuisses de salope ! Et plus vite que ça !
J’obéis sans hésiter, dévoilant toute mon intimité à l'écran, mes lèvres fines et ourlées entrouvertes, mon petit anus rose plissé.
- Allez ! Fais toi prendre par ton amant petite chienne en chaleur !
Rouge de honte je glisse le culot de la bouteille de déo entre mes lèvres.
Le contact dur et glacial du métal me fait me crisper, et cette fois, il n'a pas pris le temps de m'exciter comme en début de semaine, je sens
que je ne suis pas prête pour recevoir un tel objet.
- Dépêche toi trainée ou tu vas être punie !
Je me mordille les lèvres et pousse en grimaçant la bouteille en moi. Je gémis de douleur alors qu'elle m'ouvre, meurtrissant mes chairs au passage.
Je sens le froid m'envahir alors que la bouteille progresse en moi et vient se caler contre mon col.
Je la laisse en place et reprends mon souffle, m'apercevant alors que j'ai fait tout cela en apnée.
J'attends ainsi sans bouger humiliée un nouvel ordre, cul en l'air prise par la bouteille sous les yeux de ce presque inconnu.
- Remue la bouteille en toi esclave, de plus en plus vite pour faire jouir ton amant ! Je te dirai quand il aura joui ! ne t'arrêtes sous aucun prétexte
tant qu'il n'a pas joui !
Je fais coulisser doucement la bouteille en moi, me sentant m'habituer à elle et elle à moi, se réchauffant. Après quelques minutes, je me retrouve en train
de gémir comme une petite femelle sous les yeux de mon maitre, perdant la tète, accélérant le mouvement en moi...
- Hooo c'est si bon Master!
Je l'entends gémir et vois son visage devenu plus rouge en regardant par dessus mon épaule
- tais toi trainée et remue toi un peu ! Fainéante !
Humiliée je remue plus vite encore la bouteille en moi, accentuant encore ses effets sur moi.
Clac ! Je sursaute, mince, c'est le bruit de la porte d'entrée, ce doit être mes parents qui rentrent et ma porte est grande ouverte !
Je fais un mouvement pour me redresser paniquée.
- Tête au sol salope ! ne bouge pas ton amant va jouir !
- Mes parents Master ! J’ai entendu la porte d'entrée, ils rentrent ! et ma porte de chambre est grande ouverte !
- Je m'en moque esclave ! Si tu bouges, tu me dis adieu !
Je peste intérieurement et terrifiée je me replace tête au sol cul en l'air vers l'écran.
- Allez vite, remue ton amant à fond ! Il va jouir !
J'obéis espérant que cela vienne vite, que je puisse fermer ma porte! Je me pilonne la chatte de la bouteille, le stress et la honte accentuent mon plaisir!
Je râle plus fort que je ne le souhaite et jouis à terre comme la dernière des dernières devant l'écran alors que mes parents peuvent
me surprendre comme cela à tout moment ! J'entends alors mon maitre jouir à son tour, je regarde discrètement et le vois prendre son plaisir, me sens fière de cela.
Je reste tête au sol, la bouteille plantée en moi, n'osant pas bouger sans une directive. Je tends bien l'oreille attentive
au bruit dans la maison, priant pour que le rangement des courses se poursuivent longuement!
- Redresses toi esclave et regarde-moi !
J'obéis rapidement sans me faire prier.
- Puis je couper le son Master ? Pour éviter que mes parents entendent ?
- Je vais te faire un cadeau esclave, comme tu as été une bonne femelle, c'est ta récompense !
Tu peux au choix :
Fermer ta porte de chambre et pousser le son au maximum
ou éteindre le son en laissant ta porte de chambre ouverte
- Ho mais Master! Ce n'est discret dans aucun des cas !
- Je t'aide à progresser esclave, je te l'ai promis non ?
- Oui c'est vrai Master
- A toi de décider esclave ! Ou tu progresses ou tu restes dans ta petite vie routinière et pleine d'ennui! As-tu un regret depuis que tu me connais ?
Ta vie ne te parait elle pas déjà plus intéressante ?
Je frissonne et me dis qu'il a raison en effet !
Je réfléchis aux deux solutions :
si je ferme la porte, avec le son à fond, mes parents, curieux, vont tout entendre et ouvrir ma porte
si je coupe le son, avec un peu de chance, ils ne passeront pas devant ma porte et c'est tout bon pour moi, ou sinon j'improviserai
un truc pour expliquer ma nudité mais je peux toujours m'en sortir je pense.
- Je choisis de couper le son Master si vous le voulez bien ?
- Je t'ai laissé le choix esclave donc tu le peux ! Mais ta porte reste ouverte !
- Oui Master !
Je m'empresse de mettre tout en muet, toujours nue à genoux devant mon lit, la bouteille de déo plantée en moi, guettant les bruits de la maison.
Cela me stresse, l'idée de me retrouver devant ma mère ou mon père, voir les deux, comme cela nue à genoux prise par une bouteille en train de chatter !
Quelle honte si cela devait arriver ! et pourtant j'obéis et prends le risque, c'est que c'est le bon ! Je vais faire un bout de chemin avec ce Master !
- Master ?
- Oui esclave ?
- Ai-je la permission de parler avenir avec vous ?
- Bien sur esclave ! Je te donne toute latitude dans tes propos ! Tu ne seras punie pour aucun d'entre eux, aucune requête jusqu'à ce que je t'indique que
ce moment est terminé. Alors esclave ? Parle moi un peu de tes désirs et volontés pour ton futur, avec moi si tu le souhaites !
- Oui Master, j'ai bien réfléchi à "nous" cette semaine ! Un peu trop même je l'avoue !
- Moi aussi ma petite rassure toi !
Cela me fait aussitôt chaud au cœur de l'entendre dire cela, de savoir que c'est partagé.
Ma voix est tremblante, hésitante, mais je me décide enfin :
- Je désire faire un test de vie avec vous Master!
- Explicite un peu ta pensée ma petite ?
- Hé bien dans 8 jours, je suis en vacances Master, je me suis renseignée et dans la commune voisine de la votre, il y a un tournoi de tennis.
Si vous êtes d'accord, je peux m'y inscrire, ce qui me donne une raison valable auprès de mes parents pour qu'ils ne s'inquiètent pas de me voir absente une semaine.
Et pendant cette semaine, vous me coachez aussi bien au tennis que chez vous comme esclave. Cela vous irait il Master ?
- Tu n'es pas si bête pour une blonde ma petite ! Bien sur que cela me convient !
Je vois à son visage qu'il est réellement content de ma proposition.
- Je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes du réel aussi vite ma petite !
- C'est gênant Master ? ne me dites pas que vous êtes marié quand même ?
- Non non du tout ma petite ! Je suis divorcé depuis plusieurs années ! C’est juste une excellente surprise ! Mais tu ne sais même pas ce qui t'attend !
- Je n'osais pas vous poser la question Master ! J’ai le droit de savoir ce que vous me réservez ?
- Cela me semble préférable ma petite ! Je te donne un aperçu de ce qui t'attend, pas tout, loin de là ! Il y aura toujours beaucoup de surprises
mais ce seront les bases ! D’accord ?
- Oui oui Master, j'accepte toute information !
- Chez moi, dès ton entrée, tu porteras toute tenue que j'aurai choisie pour toi, sans discuter, y compris la tenue d'Eve ! Jamais un droit de ta part
sur ta tenue ou ton absence de tenue. Je ne tolèrerai aucune discussion sur ce sujet !
- Oui Master, je comprends votre point de vue sur ce sujet et l'approuve Master !
- Tu auras la charge de l'ensemble des taches ménagères, que je compliquerai selon ma volonté en t'imposant des handicaps variés y compris sexuellement !
Et si je ne suis pas satisfait de la qualité de ton service, tu seras punie !
Je frissonne mais me dis que c'est vraiment une partie de ma recherche.
- Oui Master, j'accepte tout cela.
- HAAAA !
Je pousse un grand cri et sursaute, mon cœur battant à toute allure ! Je me relève à toute vitesse ! J'ai senti une main se poser sur mon épaule
et je me retrouve nez à nez avec ma mère, nue devant elle ! Je fais des yeux ronds et la regarde fixement. Je suis pétrifiée, horrifiée d'être trouvée
comme cela et me sens honteuse, humiliée comme jamais encore je ne l’ai été.
Trop attentive à mon maitre, je ne l'ai pas entendue du tout venir. Je rougis et deviens aussitôt pivoine et baisse la tête, cherchant quelque excuse à lui dire.
Je la vois qui me regarde, amusée, je vois avec horreur qu'elle fait glisser son regard entre mes cuisses et détecte la présence de la bouteille de déo plantée en moi.
Je me sens tellement humiliée, inférieure à elle, nue devant cette jolie blonde frisée de 40 ans, fine, les cheveux en carré à la Dessanges,
à la poitrine avantageuse et vetue elle d’un tailleur sage et classe.
Elle me tourne le dos et file à la porte de ma chambre faisant claquer ses talons sur le sol, me faisant ressentir encore plus son autorité
avec ses pas fermes et décidés.
- Chéri ?
- Oui qu'y a t'il ?
Je me dis qu'elle ne va tout de même pas appeler mon père !
Je lui chuchote vite :
- Ho maman s’il te plait non ! pas papa, je t’en supplie ! Je ferai tout ce que tu veux !
Elle me fait signe fermement de me taire de la main.
- J'ai oublié les œufs pour faire les crêpes ce soir, il faut absolument que tu ailles en chercher tout de suite ! Cette après-midi, il
y aura trop de monde dans les magasins !
- Zut, j'aurais du y penser aussi ! j'y file chérie !
J'entends mon père se préparer puis la porte d'entrée claquer et je respire soulagée à moitié par cette réaction de ma mère, ne sachant
si elle avait décidé cela seule ou si c’est ma promesse qui l’a faite réagir ainsi.
- J'ai tout lu, enfin la fin, tu devrais avoir honte ma fille !
Je rougis encore plus si possible et je vois mon maitre amusé à l'écran !
- Tourne-toi de coté Béa !
J'obéis à ma mère n'étant guère en position d'argumenter.
Clac ! Clac ! Clac !
- Aiiie! Aiiie! Aiie !
Je crie de douleur surprise, honteuse, la main de ma mère venant de s'abattre violemment sur mes fesses sans que je m'y attende.
Mon vagin se serre à chaque fois sur la bouteille me meurtrissant encore plus. Les coups continuent et au bout d'une vingtaine, j'entends ma mère rire !
- Cela fait longtemps que j'en avais envie ! Tu m'as tellement souvent énervée ces dernières années ! Je suis contente que tu te trouves quelqu'un pour te maitriser !
Vous avez ma bénédiction tous les deux ! Surtout si je peux en profiter parfois comme maintenant !
Effarée, je la vois faire un clin d'œil à mon maitre. Il lui fait signe du pouce en l'air qu'il approuve.
- Ce sera avec plaisir chère madame !
- Bien je vous laisse terminer vos arrangements tous les deux, vous avez une demi-heure devant vous je pense avec la course aux œufs !
J'entends ma mère rire de nouveau et nous laisser là, j'en suis toujours aussi surprise, ayant du mal à me remettre de mes émotions !
- Elle me plait ta mère ma petite ! Elle nous sera utile !
- Oui Master
Je tremble toujours sous le choc et essaie de me reconcentrer sur notre conversation.
- Nous parlions de notre avenir ma petite !
- Oui oui Master, je vous en prie continuez !
- Tu seras punie plusieurs fois par jour ! Je trouverai toujours un bon prétexte ! A la main, au martinet, à la règle, à la badine, à la ceinture !
D'accord pour cela ma petite ?
- je suis d'accord Master mais surtout pas le fouet !
- Promis ma petite, je te l'ai dit, je ne suis pas un monstre, je ne veux pas te détruire ! Il s'agit avant tout de jeux entre nous !
- Oui Master, je suis contente que vous pensiez comme moi !
- Je m'occuperai aussi de ton entrainement physique pour ta compétition ! et si je ne suis pas satisfait de tes matchs, tu seras punie également !
- Je comprends Master et je trouve cela normal !
- Par moment, j'aime être tranquille, seul chez moi aussi ma petite.
- Je sortirai alors Master, j'irai me promener.
- Non non ma petite, dans ces moments là, tu deviendras ma chienne !
- Votre chienne Master ? Que voulez vous dire exactement ?
- Tu es blonde toi ! Une chienne, l'animal à 4 pattes ! Et je n'exclue pas que nous allions promener aussi ainsi !
Je le regarde encaissant ce nouveau choc.
- Vous voulez dire que je devrais être nue à 4 pattes chez vous et me comporter comme une chienne ? En aboyant au lieu de parler?
- Pas si mal pour une blonde ! oui, tu auras ton panier, ton écuelle, ton collier et ta laisse !
Je lis tout cela ébahie, n'ayant jamais imaginé tout cela jusqu'ici même dans mes pires fantasmes.
- J'ai le droit d'y réfléchir Master ?
- Bien sur oui, quelques instants ! Appelle ta mère maintenant !
Je crie par ma porte :
- Maman ! Tu peux venir s'il te plait ?
- Bien sur ma chérie !
Je la vois arriver tout contente et je rougis de nouveau!
- Votre fille a besoin d'un peu de réflexion ! vous voulez bien m'aider à la faire réfléchir tant que je ne suis pas présent à ses cotés ?
- Oui bien sur monsieur, avec plaisir !
Je lis l'échange angoissée par leur complicité naissante.
- A 4 pattes chienne ! et vite !
Humiliée j'obéis, dévoilant mon intimité prise par la bouteille à leurs yeux. je suis heureuse alors de pouvoir cacher mon visage entre mes mains.
J'entends le bruit du clavier, angoissée par ce qui se trame derrière moi.
Schlack ! Je hurle de douleur, mes fesses enflammées par un coup de ceinture en travers qui fait en plus se cogner la bouteille contre mon col!
Je pleure aussitôt incapable de retenir mes larmes et une dizaine de coups identiques s'enchainent.
- Ton maitre demande si tu as réfléchi à ses conditions ?
- Oui oui j'ai réfléchi ! C’est bon !
Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase que de nouveaux coups meurtrissent mon cul et ma chatte. Je pleure de plus belle.
- A genoux ma fille et réponds à ton maitre !
Je m'installe vite n'ayant plus envie de risquer la punition et sous les yeux de ma mère je frappe :
- J'accepte toutes vos conditions Master !
Je sursaute et crie en sentant un dernier coup s'abattre sur mon cul et ma mère m'embrasse ensuite sur le front.
- Tu as fait le bon choix ma chérie, on n'a qu'une seule vie, il faut en profiter pour ne rien regretter à la fin ! Si j'avais pu faire cela quand
j'étais jeune, si j'avais eu ta chance...
Elle m'embrasse de nouveau et m'abandonne à mon maitre.
- Je suis fier de toi Esclave.
Je vois avec fierté le E de Esclave et cela atténue ma douleur.
- Merci Master! Comment fait-on pratiquement pour se retrouver ?
- Tu auras un mail avec tous les détails d'ici demain Esclave, ainsi tu pourras venir chez moi ! Je t'aiderai aussi pour t'inscrire au tournoi !
- Merci Master, vous êtes trop gentil avec moi !
- Tu le mérites Esclave ! Je te laisse te rhabiller, ta mère m'a dit que ton père n'est pas prêt pour ce genre de spectacle ! Je te contacte comme prévu.
Je vois alors son visage disparaitre de l'écran.
Je suis encore ébahie de tout ce qui s'est passé, avec lui, avec ma mère, et de mon engagement proche et réel et de ce que j'ai accepté de faire.
Devenir par moment une chienne ! Je frissonne ! Pourvu que j'y arrive, je n'ai pas envie de le perdre par incompétence !
Je remue doucement la bouteille en moi en pensant à cela et me prends en gémissant ma porte toujours aussi grande ouverte, tant pis si je suis vue !
Je suis trop en chaleur ! La bouteille accélère dans mon vagin alors que je m'imagine nue à 4 pattes penchée sur une écuelle et lapant de l'eau comme
une petite chienne au pied de mon maitre, dans sa cuisine alors qu'il lit son journal tout en flattant distraitement ma croupe de la main, me disant
bonne fille ça ! C’est une bonne fifille à son maitre !
C'est trop fort pour moi et je jouis haletante, pantelante, la porte d'entrée claquant peu après.
Alanguie, je file nettoyer ma bouteille et me doucher avant de me préparer pour le repas en famille. Je ne sais pas si je vais réussir à m’assoir à table…
A suivre
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