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Une chaude prof asservie 2
Hot teacher enslaved 2
Coulybaca / Auteur inconnu
Elle ne pouvait pas dire � son �poux ce qui lui �tait arriv� !
Comment pourrait-elle expliquer la pr�sence de ce tatouage et les contusions couvrant� son corps ?
Que pouvait-elle faire ?
Elle �tait d�sesp�r�e, incapable de r�fl�chir pour l'instant. .
Trois douches et elle se sentait toujours souill�e !
Lorsque son �poux, Georges, rentra vers 23 heures, elle avait repris son self-control, ses yeux �taient secs, le maquillage couvrait ses ecchymoses.
Elle se jeta dans les bras de Georges.
Il se sentait tr�s amoureux et la prenant dans ses bras il l'emporta dans leur lit, lui enlevant sa sortie de bains.
Yeux �carquill�s, il se recula yeux braqu�s sur sa chatte ras�e et son inf�me tatouage.
- Par l'enfer, qu'as-tu fait ? Qu'est ce que cela Lucy ?
La prof habituellement guind�e et prude tremblait de peur en mentant :
- Je...� Je voulais...� Je voulais te sembler sexy...� J'ai pens� � me raser le pubis !
- Te raser la chatte !� Par l'enfer ce ne serait rien si tu n'avais fait que �a !� Mais qu'est que c'est que ce tatouage...� Cet oeil sanguinolent ? Commentait Georges horrifi�.
- Georges... Je t'aime...� Comprends-moi... Accidentellement j'ai pris le mauvais tatouage... Il faisait sombre...� Je croyais que c'�tait un c�ur �carlate...� Balbutiait-elle s'enfon�ant dans ses mensonges.
- Tu es all�e dans une �choppe de tatouage ? Tu t'es fait tatouer sur ton intimit� ?� Un tatoueur a touch� ton intimit� !� Georges �tait outrag�, furieux.
Lucy entendit la porte claquer.
Une voiture d�marra brutalement, elle pleura une bonne partie de la nuit.
Georges rentra le lendemain, rangea ses affaires dans la chambre d'amis et refusa de lui parler et m�me de l'�couter.
Les deux jours suivants, elle �volua comme dans un brouillard, marmottant et grognant pendant les cours.
Tard le second jour son malaise s'accrut subitement, elle �tait naus�euse.
Lucy sentait qu'elle �tait d�sesp�r�ment en manque de quelque chose, elle frissonna longuement en r�alisant qu'elle avait besoin de cette saloperie de drogue. Le soir ses naus�es et ses troubles avaient doubl� d'intensit�. Georges l'ignorait totalement.
Le t�l�phone sonna. C'�tait John, l'�l�ve qu'elle avait sanctionn� qui appartenait au gang.
- Bonsoir madame Harper...� Comment vous sentez-vous ?� Il �tait vraiment tr�s joli.
- Que voulez-vous ?� Que m'avez-vous fait ?� Se lamenta Lucy d'une voix mis�rable.
- Je pensais que tu aimerais avoir une dose, c'est tout...� Il me reste de la potion que j'ai vers� dans la tasse de caf� que tu as tant appr�ci� l'autre jour...� Tu en as probablement besoin...� Par ailleurs, il est temps que tu te mettes � rembourser les dettes de Brian...� Gloussait John hilare.
- Je vous en prie ne m'obligez pas � �a...� laissez-moi tranquille... donnez-moi une dose de drogue...� Rien d'autre...� Juste une dose...� Je vous en prie...� Pleurnichait pitoyablement la pauvre madame Harper.
- Nous pouvons faire un march�... Passe me prendre au parc...� Je te donnerai une dose pour aujourd'hui... Tu me la paieras ensuite...� Demain je te donnerai une autre dose et tu pourras commencer � travailler pour rembourser les dettes de Brian...
John �tait le seul � parler, il poursuivit en lui donnant des consignes d�taill�es :
- Tu porteras des bas r�silles noirs, et tes hauts talons rouges... Pas de petite culotte, pas de soutien-gorge... Je veux que tes nichons se balancent librement... Tu mettras une jupe courte, pas une qui s'arr�te juste au-dessus du genoux, mais au moins 25 centim�tres au-dessus... Si tu n'en as pas � la bonne taille, coupe le bas de ta jolie jupe rose...� Tu porteras de plus un chemisier blanc transparent avec deux boutons d�faits au col... Tu te feras deux couettes comme une �coli�re et tu te mettras un collier de perles autour du cou...� Oh et pense � toujours sourire... Nous allons d�ner en ville, c'est toi qui paye...
Lucy se cabra � l'entente de ses exigences mortifiantes mais se plia humblement � sa volont�.
Les seuls bas � r�silles, qu�elle poss�dait, �taient ceux qu'elle mettait pour allumer Georges. Elle n'avait pas de chaussures rouges mais une paire de hauts talons noirs. Elle n'avait pas non plus de jupe taill�e court sur les cuisses, � contrec�ur, elle coupa rapidement le bas de sa jupe rose pr�f�r�e. Elle compl�ta sa tenue avec le chemisier transparent qu'elle ne portait que tard dans la nuit quand elle voulait exciter son �poux.
Elle n'avait pas le choix, c'�tait son seul chemisier transparent.
Finalement elle tressa ses longs cheveux en de longues couettes comme celles d'une coll�gienne et enfila un collier de perles.
Impatiente d'obtenir sa dose de drogue qui signifiait la fin de ses malaises, Lucy sortit calmement par la porte lat�rale de la maison et sur rua jusqu'� sa voiture grimpa dedans et partit avec empressement sans se rendre compte que Georges la regardait depuis la fen�tre de l'�tage, choque de voir sa femme arborer une tenue affreusement immorale et d�plac�e.
John qui portait un tr�s classique costume bleu se pr�lassait dans la BMW de Lucy, il lui tendit un verre de coca commentant :
- Ma ch�re Lucy voil� ta dose journali�re !
Secouant ses mains Lucy agrippa le verre et le descendit d'une lamp�e, esp�rant que cel� ferait effet rapidement.
- Et maintenant conduis-nous� au pub anglais sur la 59�me rue... Je suis affam�...� John se montrait � nouveau d'une exquise politesse.
En entrant dans le pub, Lucy sentit des yeux affam�s suivre sa progression, regardant ses hanches chalouper sous sa courte jupe, ses nichons se balancer sous son chemisier transparent.
Mais la drogue avait commenc� d'agir, et elle se sentait beaucoup mieux.
Toutefois, comme la derni�re fois, elle se sentait tr�s excit�e ! Ses seins avaient durci, et son visage se colorait agr�ablement.
Dieu merci, ils se trouvaient en public et avait juste rendez-vous pour d�ner.
Elle se demandait ce que ce sale b�tard de John avait en t�te lorsqu'il lui avait dit qu'elle devrait lui payer sa drogue.
John s'adressa � la jeune serveuse : :
- �Ma m�re et moi, nous aimerions une table proche des fen�tres... Celle l� avec une nappe rouge nous parviendrait parfaitement...
La jeune serveuse les y emmena, les yeux braqu�s sur la courte jupe de Lucy et son corsage transparent. Il �tait �vident que Lucy ne portait pas de sous-v�tements.
Une m�re qui venait d�ner avec son fils et portait un corsage transparent sans soutien-gorge en dessous !
Elle pensa qu'� coup sur madame harper agissait selon ses propres valeurs morales... Lucy s'en sentait d'autant plus honteuse.
La jeune serveuse prit alors leur commande : John commanda des hu�tres, un demi de bi�re pour Lucy et un verre de whisky avec des gla�ons pour lui-m�me.
- Je te remercie John, mais je n'aime pas la bi�re.. Et de toute mani�re il est bien trop t�t pour boire de l'alcool ! Protesta Lucy.
- Je ne t'ai pas demand� si tu aimais ou non la bi�re... Je te l'ai command� et tu videras ton verre jusqu'� la derni�re goutte...�� Je donne les ordres et tu ob�is si tu tiens � continuer � avoir ta drogue tant que tu n'auras pas termin� de payer les dettes de Brian... Cette r�ponse vicieuse de John inqui�ta fortement Lucy qui se calma instantan�ment.
Lorsque la serveuse leur amena leurs consommations, John poursuivit :
- Sais-tu ce que sont les "Banger & Beans" ?
- Lucy n'�tait pas accoutum�e� � cette langue anglaise parl�e dans les pubs.
- Je suis d�sol�e...� Je ne sais pas !
- Les Bangers sont de longues saucisses...� Aimes-tu les saucisses chaudes ?
Circonspecte Lucy r�pondit :
- Parfois oui... Pourquoi cette question ?
- Commence par vider ton demi.. Sur-le-champ...� Je veux dire vide le maintenant... Grima�a John, se r�jouissant de voir cette femme qui d�nait avec lui � contrec�ur se mordre les l�vres pour garder son calme.
Lucy le regardait constern�e.
Ce verre de bi�re �tait immense.
Ce n'�tait pas possible d'en boire autant.
Mais la peur est un puissant motivateur.
Elle but. Gorg�e apr�s gorg�e. Chaque fois qu'elle arr�tait, John lui jetait un oeil mena�ant et elle se remettait imm�diatement � boire son verre.
Enfin le demi fut vide. Elle �tait sure de se retrouver �m�ch�e.
- Et maintenant glisse-toi sous la table et d�guste ma saucisse ! Ricana John d'un air pervers.
Choqu�e Lucy demanda :
- Quoi ?
- Tu m'as bien entendu, mon arrogante chienne !� Est-ce que les ma�tresses d'�cole ne savoureraient jamais de saucisses ?� Glisse-toi sous la table et taille-moi une pipe esp�ce de crisp�e du trou du cul !� John adorait humilier cette prof qui avait os� l'exclure d'un test. Que la vengeance �tait douce !
Lucy bl�mit, et apr�s moult h�sitations se glissa sous la table, esp�rant que personne ne la verrait faire.
Elle vit les longues jambes de John largement �cart�es, il avait d�j� descendu la fermeture �clair de sa braguette.
Elle h�sita encore quelques instants jusqu'� l'instant o� il lui donna un coup de pied sur le nichon gauche, laissant une marque de chaussure sur son corsage.
Elle tendit la main vers sa braguette et ne fut pas surprise de constater qu'il ne portait de cale�on. Sa bite �tait d�j� d�ploy�e, bien raide.
Elle la sortit complaisamment, la regarda et comprit que la drogue la rendait si r�ceptive que d�j� ses nibards pointaient comme des obus alors que son bas ventre s'inondait de cyprine.
La bite vibrante laissait d�j� suinter des gouttes de pr�-sperme montrant � quel point John aussi �tait excit�.
De la pointe de la langue
Elle titilla son m�at, absorbant la premi�re goutte sal�e. Elle l�cha la hampe de haut en bas puis lentement emboucha la vibrante mentule et sa t�te se mit � monter et descendre sur son braquemart de la fa�on qu'adorait son mari.
Elle l'absorba en totalit� dans sa gorge accueillante, elle la sentit tressauter sous ses caresses habiles.
- Excusez-moi monsieur, tout va bien ?� Questionnait la serveuse de retour � leur table.
- Oui, je vous remercie... Tout est parfait...� Lui r�pondit John d'une voix tendue.
- Voulez-vous vous joindre � nous ?
Lucy avait cess� de le sucer en entendant la serveuse.
John lui d�cocha un nouveau coup de pied l'invitant � reprendre sa pipe.
- Je vous remercie de votre offre, mais je n'ai pas fini mon travail...� O� est-donc votre m�re ?� L'interrogea la jeune serveuse avec curiosit�.
- Oh, elle est sous la table...� Elle a bu sa bi�re bien trop rapidement... C'est une vrai pocharde en fait ! Voulez-vous regarder sous la table ?� R�pliqua John avec un regard de feu.
- Non, je dois reprendre mon travail...� D�sol� de voir que vous avez de tels probl�mes avec votre m�re...
Lucy �tait mortifi�e en entendant cette conversation, mais elle continua docilement � sucer la bite vibrante de John, elle se mit � se caresser le clito, elle y acc�dait facilement du fait de sa courte jupe et de l'absence de petite culotte.
Alors qu'elle sentait sa mentule grossir et tressauter dans sa bouche, elle voulut arr�ter � ce stade, mais un nouveau coup de pied l'en dissuada, tracasser de savoir que t�t ou tard il allait se vider dans sa bouche.
Elle n'avait jamais exp�riment� d'acte aussi d�gradant auparavant, rien que l'id�e de s'y plier la r�vulsait.
Elle paniqua au dernier instant et recula son visage.
Mauvaise id�e. Sa bite lui explosa � la figure projetant des geysers de foutre sur son visage et ses cheveux.
- Allez ma petite prof, sortez de la dessous, je veux voir � quoi tu ressembles apr�s cette douche faciale...� Lui enjoignit sarcastiquement John.
Lucy sortit tout doucement de sous la table. Plusieurs clients remarqu�rent cette femme mature sortir de sous la table pour s'asseoir face au jeune homme, son visage �tait souill�, luisant de foutre.
John grima�a un sourire et commenta :
- Cela paiera ta dose de drogue d'aujourd'hui.� Une fois que j'aurai fini de d�ner tu commenceras � rembourser les dettes de ton fils... En attendant tu peux regarder ton assiette, mais je t'interdis de manger... La bi�re agit mieux sur un estomac vide.. Oh et ne t'essuie pas le visage !
C'est alors que la jeune serveuse remarqua le visage souill� de Lucy, une goutte de foutre tombant sur ses orteils elle remarqua :
- Je suis d�sol�e madame, mais vous semblez avoir un exc�s de pommade grasse sur vos cheveux et votre visage !
- Ce doit �tre le jus des hu�tres... Eclata de rire John regardant avec ironie le visage �carlate de Lucy couvert de foutre.
La jeune serveuse navr�e pour John pensait que c'�tait bien triste d'�tre atteinte, si jeune,� d'un Alzheimer, elle commenta tristement :
- Vous n'avez pas de chance, pauvre jeune homme !
Texte anonyme trouv� sur le web
Traduction par Coulybaca
20 ao�t 2008.
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