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La soumission de Candy
Chapitre 1
Ce n'est pas parce que vous êtes parano que personne ne vous en veut. Je me suis toujours un peu méfié de mes semblables et, quand j'ai créé mon entreprises de conseil, j'ai trouvé tout naturel de mettre en place tout ce qu'il fallait pour surveiller mes employés. Enregistrement téléphonique, copie automatique des emails reçus et envoyés, etc.
N'ayant pas que ça à faire, je ne passais pas tout mon temps à écouter les conversations et lire les échanges de courriers. Et surtout, en respect des règles je ne lisais rien qui était indiqué "personnel" dans le sujet. De temps en temps, entre deux réunions, je piochais un ou deux messages que je lisais, ou j'écoutais une conversation au hasard.
L'histoire que je vais vous raconter c'est passé il y a un peu plus d'un an. Je n'employais alors que trois personnes : un comptable indépendant, Bertrand, qui ne venait qu'une journée par semaine, un collaborateur toujours en mission et qui ne passait jamais au siège et une secrétaire, Candy, à plein temps.
Bertrand est un jeune homme de trente-cinq ans. Je l'ai toujours vu habillé avec des vêtements de tailleurs italiens hors de prix. J'ai toujours su que je m'étais trompé de carrière... Visiblement il se sait beau gosse, et aime plaire aux femmes. J'ai souvent surpris le regard que Candy posait sur lui, alors que c'est à peine si elle lève les yeux sur moi. C'est une jeune fille de vingt-cinq ans sans qualification que j'ai embauché. J'ai préféré prendre le temps de la former pour la payer à peine au dessus du SMIC. Elle a sauté sur l'opportunité de quitter son emploi dans une chaîne de restauration rapide.
* * *
Nous sommes au début de l'année et, pour je ne sais quelle raison, mon carnet de rendez-vous est complet du matin au soir tous les jours de la semaine. Je dois souvent rester très tard au bureau pour préparer les dossiers, rapports et audits que je dois effectuer pour mes clients. Les vacances scolaires de février arrivent et j'ai enfin une accalmie qui me permet de respirer et faire le point.
Mardi matin, juste après mon arrivée, un peu avant que Candy n'arrive, je reçois un coup de fil de Bertrand.
- S. Conseils, bonjour ?
- Monsieur S. ? Je pensais tomber sur Candy.
- Elle n'est pas encore arrivée. Que puis-je pour vous Bertrand ?
- Heu... je ne pourrai pas venir aujourd'hui et la semaine prochaine. Je suis en arrêt maladie.
- Rien de grave j'espère.
- Non non, rassurez-vous.
- Bien. Reposez-vous bien et revenez en pleine forme.
Je raccroche au moment où Candy arrive à son poste. Elle porte une jupe un peu courte pour la saison et son bustier est plus moulant que d'habitude. Ses jambes sont bien mises en valeurs par des bottines noires à talon. C'est la première fois que je la vois habillé ainsi.
Comme à chaque fois où nous sommes tous les deux présent au bureau, elle vient pour m'apporter le courrier à signer et recevoir ses consignes du jour. J'en profite pour lui annoncer l'absence de Bertrand aujourd'hui et la semaine prochaine. Bien qu'elle ne me dise rien, je devine une petite déception dans son regard.
Bertrand ne venant pas, je me retrouve avec une demi-journée tranquille. J'en profite pour faire quelque chose que je n'ai pas fait depuis longtemps : vérifier les échanges de mon employés, en l'occurrence Candy.
Je découvre un échange très intéressant entre Candy et Bertrand : Bertrand essayant de séduire ma jeune secrétaire, Candy se laissant faire mais en gardant tout de même quelques distance. Je m'amuse de la situation et décide de suivre toute la discussion qui a commencé il y a plusieurs semaines. Je comprend mieux pourquoi elle était déçu que Bertrand ne vienne pas... et aussi la raison de cette tenue plus sexy que d'habitude.
Et soudain, j'ai l'impression que l'immeuble vient de me tomber dessus. Dans une tentative d'en mettre plein la vue à Candy, Bertrand lui explique qu'il détourne une partie de l'argent de ses clients... dont moi. Au fur et à mesure des emails, il lui explique... et ce que je prenais pour une tentative de séduction se trouve être une tentative de détournement. Petit à petit, il arrive à convaincre de l'aider en échange d'une petite partie du butin.
Ce n'est pas possible !
J'attends que Candy prenne sa pause déjeuner et je me précipite dans la salle des archives pour éplucher les comptes. En retournant dans mon bureau, je laisse un message sur celui de Candy, lui demandant de venir me voir dès son retour.
Je prépare un dossier à charge contre Candy et Bertrand en attendant son retour.
J'entends ses talons claquer sur le parquet avant qu'elle ne frappe timidement à ma porte.
- Entrez ! dis-je un peu trop fort.
Je dois me contrôler.
- Oui, monsieur ?
- Venez, essayez-vous, dis-je en indiquant la chaise devant mon bureau.
Je respire lentement en la regardant s'approcher de mon bureau. Je lui fait signe de s'asseoir alors qu'elle hésite devant la chaise. Je décide de ne pas tourner autour du pot et d'y aller franchement, de toutes manières je ne sais pas faire autrement.
- Savez-vous ce que vous risquez pour m'avoir volé ?
- Je... non... bafouille t-elle en devenant toute rouge. Je... ne vous ai pas volé. Monsieur.
- Ne mentez pas. Je sais tout.
- Non... mais.. je... non... dit-elle en s'effondrant sur la chaise.
Je la regarde durement.
- Je... dit-elle en se mettant à pleurer.
- Pas la peine de pleurer pour m'attendrir, dis-je sèchement. C'est trop tard.
- Je vous en supplie... Il disait que vous ne saurez rien...
- Pourtant je sais.
Je décroche le téléphone.
- Que... ? Que... Qui vous appelez ?
- La police.
Candy se lève brusquement.
- Non !! lâche t-elle en se rasseyant lentement. Pitié. Ne les appelez pas. Je vous en supplie. Je... je ne peux pas aller en prison. Je ne veux pas.
- Non ? Mais vous avez commis un crime, vous allez être puni pour ça.
- Non... pitié...
Je la regarde se décomposer devant moi. Je dois avouer que je commence à prendre plaisir de la situation, et voir cette jeune fille me supplier m'excite légèrement.
- Non ? Pourtant vous devez être punie !
- Non... oui... non... je sais pas... mais pas la prison... je ne supporterai pas.
- Pas de prison ?
- Non...
- Pas de prison, alors.
- Vraiment ? me dit-elle, ne sachant pas si je me moquais d'elle ou pas.
- Oui, mais c'est moi qui vais vous punir à la place.
- Je...
- Non dites rien ! Le choix est simple : je vous puni ou la prison.
Candy me regarde et baisse les yeux.
- Vous, monsieur.
- Bien.
Je me lève brusquement. Candy sursaute mais n'ose pas lever la tête.
- Venez vous asseoir à ma place, et écrivez-moi votre confession.
Candy se lève lentement. Et semble hésiter à obéir.
- MAINTENANT !
Elle se dépêche et s'assoie à mon bureau. Elle prend le stylo et attends devant le bloc note que j'avais placé pour l'occasion. Je passe derrière elle et lui dicte le début de la lettre. Elle la termine d'elle-même. Je la surveille et vérifie ce qu'elle écrit.
- Bien ! Datez et signez maintenant. Et debout.
Elle s'exécute. Je recule légèrement mon fauteuil de bureau et m'assoit dessus. Je la saisi par un poignet et la tire vers moi. Surprise, elle ne résiste pas et se retrouve allongé sur mes genoux. Je retrousse sa jupe avant qu'elle n'ait eu le temps de se plaindre. Je découvre un string qui met bien en évidence ses superbes fesses.
- J...
Et avant qu'elle n'ait pu achever son mot, ma main se plaque violemment sur ses fesses. Je sent Candy sursauter, s'attendant à tout sauf à une fessée.
* KLAC *
- AHHH !!
- Silence ! Chaque cri me fait doubler les coups !
- NOOOONNN... dit-elle en se débattant. Heureusement que je la tiens encore.
* KLAC *
- AHHH...
- Encore doublé.
* KLAC *
Cette fois-ci, elle semble avoir compris et retient son cri.
* KLAC *
* KLAC *
(...)
* KLAC *
- Et voila. Cent !
Au fur et à mesure de la fessée, alors que j'alternais les coups sur les deux fesses, mon sexe se gonflait petit à petit de plaisir. Et, à ma grande surprise, j'ai sentis une légère trace d'humidité au niveau de son entre jambe.
Candy ne se débat plus et subis sa punition. Même une fois la fessée terminée, elle n'ose pas bouger et reste sur mes genoux.
- À genoux devant moi !
Prestement, Candy se jette hors de mes genoux et se retrouve à quatre pattes devant moi, me laissant involontairement une vue imprenable sur son arrière train et son string humide. Elle se redresse et se met à genoux, docilement, en replaçant sa jupe. Je sors un mouchoir en papier d'une boite contenue dans un des tiroir de mon bureau.
- Séchez vos larmes et essuyez-vous le visage, lui dis-je en lui tendant le mouchoir.
Elle le prend et s'exécute. Pendant qu'elle se nettoie le visage, j'en profite pour déboucler ma ceinture de pantalon et pour ouvrir ma braguette. Mon sexe à moitié en érection se libère avec un léger sursaut de satisfaction.
Lorsqu'elle termine de se nettoyer, Candy ouvre les yeux et se retrouve surprise à quelques centimètres de mon sexe alors qu'elle commençait à me dire :
- Merci mons...
Elle regarde mon sexe une ou deux secondes avant de le prendre en main.
- Bien monsieur.
Dit-elle à mon ordre muet juste avant le prendre en bouche. Je sens la chaleur de sa bouche se propager à mon sexe au fur et à mesure qu'il s'y enfonce.
Je décide de me faire un petit souvenir et sort mon téléphone portable pour filmer toute la fellation. Et si jamais Candy changeait d'avis, la vidéo et la confession me seront d'une grande utilité.
- Regarde-moi Candy, lui dis-je pendant que je filmais.
Elle lève les yeux vers moi et voit que je la filme. Je vois une lueur de panique dans son regard et s'arrête de me sucer tout en conservant mon sexe en bouche. Je commence à lever la main dans le but de lui oprdonner de reprendre sa tâche, mais elle le fait d'elle-même sans aucun ordre de ma part.
Je sens que je vais bien m'amuser avec elle lors des prochains jours... ça me laissera le temps de réfléchir au sort que je vais réserver à Bertrand.
À suivre...
Monsieur S.
monsieur.s75 (at) gmail.com
- Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement -
- fortuite et indépendante de ma volonté. Cette histoire est une pure fiction. -
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