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EDUCATRICES .� Ch 2
Coulybaca
Texte personnel.
Chapitre 2 : Une visite � domicile, Miloud assoit son emprise�
La soir�e s'�tait termin�e calmement, bien que Fran�oise soit l�g�rement naus�euse, vaguement insatisfaite et surtout l'esprit encombr� de pens�es contradictoires :
Pourquoi elle ? En quoi avait-elle bien pu les provoquer
Comment avait-elle pu ressentir un certain plaisir de se faire ainsi maltraiter, car c'�tait ind�niable, elle devait se l'avouer, elle avait fr�l� l'orgasme d�vastateur.� Comment cela se terminerait-il ?
Pourvu qu'ils se taisent !!
Jamais... Plus jamais elle ne se laisserait traiter de la sorte !!
Son service termin� Fran�oise rentra chez elle vers 20 h 30, sa coll�gue qui la relayait pour la nuit bien qu'ayant remarqu� son air troubl� n'avait pas fait plus de remarques.
Une bonne nuit la dessus et, du moins l'esp�rait-elle, le souvenir de cette ignoble soir�e s'estomperait.
A son retour, Fr�d�rique et Marc, ses enfants l'attendaient pour lui souhaiter son anniversaire, et oui cela lui faisait maintenant 34 ans .
Son mari en tourn�e d'inspection sur ses chantiers n'�tait pas encore rentr�, apr�s avoir f�t� l'�v�nement dans la plus pure tradition, g�teau et bougies, elle souhaita une bonne nuit � ses enfants, se relaxa longuement dans son
bain, puis se coucha apr�s avoir longuement mass� d'une cr�me adoucissante ses fesses meurtries .
Heureusement, aucune trace des s�vices subis ne subsistait, hormis une vague rougeur qui passerait facilement pour un l�ger �chauffement ; elle n'aurait donc pas � justifier de l'�tat de sa croupe aupr�s de son mari, s�r des traces quelconques auraient �veill� ses soup�ons .
Avec un tel jaloux, elle ne risquait pas de se plaindre de son aventure... Lui aussi l'en aurait rendu responsable... L'aurait discr�dit�e aupr�s de ses enfants et qui sait... Peut-�tre m�me aurait-il r�clam� le divorce !
Allons, pas de traces pas d'aveu encombrant et tout en resterait l� cherchait-elle � se convaincre .
Tard dans la nuit, elle entendit la porte de l'entrep�t qui servait de garage et de magasin pour le mat�riel de chantiers s'ouvrir puis se refermer avec fracas, ce bruit provoqua un partiel �mergement du sommeil dans lequel elle se croyait enlis�e, elle remarqua alors de dr�les de bruits, des hal�tements,... des soupirs...� Et mit quelques instants , avant de comprendre que ces manifestations �manaient de sa propre gorge .
Comme lorsqu'elle �tait ado, la main �gar�e dans les plis de sa vulve elle se branlait avec ardeur dans son sommeil.
A l'�tat de son con, gluant et collant, l�vres largement ouvertes elle comprit que cette branlette durait d�j� depuis quelque temps... Vraiment cette aventure l'avait perturb�e bien plus qu'elle ne voulait se l'avouer !
La porte de la chambre s'ouvrit, elle n'eut que le temps de se retourner vers le mur et feignit un sommeil profond, elle ne se sentait pas de taille � �voquer sa journ�e avec son mari.
Son esprit encore enfi�vr� risquait de la trahir, elle risquait alors de r�v�ler ce qu'elle voulait d�sormais enfouir au fin fond de sa m�moire.
Andr�, son mari, s'allongea � ses cot�s, la croyant endormie profond�ment il se blottit contre elle et s'endormit rapidement la laissant maintenant toute �veill�e, rem�chant sa m�saventure.
Avec le recul, elle pouvait maintenant, en toute lucidit�, se la rem�more, elle ne se reconnaissait pas dans cette femelle orgasmant sous les coups... Jusqu'ici elle s'�tait toujours crue parfaitement �quilibr�e, sexuellement �panouie dans la normalit� et voil� que les coups ass�n�s par ce jeune voyou l'avaient �mue hors de propos, finalement heureusement que Christophe �tait arriv�...
Qui sait comment se serait termin� cette exp�rience sinon ?
Elle �tait consciente que, malgr� ses efforts l'image d'elle m�me qu'avait d�gag�e cette soir�e serait peut-�tre plus longue � s'estomper qu'elle ne l'esp�rait.
Cette pseudo jouissance arrach�e � son corps malmen� ne s'effacerait pas si facilement de son esprit !
Les jours suivants, pris en repos compensateur lui permirent d'endormir peu � peu ses souvenirs .
Le vendredi elle se rendit � l'IME pour son service de d�part, elle devait v�rifier le trousseau de ces demoiselles, surveiller leur toilette et veiller � la prise en bon ordre du car qui les ram�nerait chez elles .
Seuls quelques cas particuliers, dont Miloud et Stephan demeuraient le week-end au domaine, faute de familles d'accueil.
Elle r�ussit � les �viter, s'acquitta de son service puis rentra chez elle, elle reprendrait le lundi au le retour des pensionnaires.
Elle assurait ainsi le d�but de semaine jusqu'au mercredi matin puis serait de cong� et la semaine suivante reprendrait de la m�me fa�on, d�part retour 2 jours et 3 nuits de service telle �tait son calendrier semaine apr�s semaine.
Le lundi... Le mardi, se pass�rent sans ennuis notables, elle sentait bien les regards concupiscents des trois jeunes sur elle, mais elle arrivait � les �viter ; les rares fois o� elle n'avait pu se d�tourner, ils s'�taient cantonn�s dans un silence pesant, lourd de convoitise, mais sans manifestations mena�antes .
Elle �tait parvenue � se convaincre que cet �pisode f�cheux n'aurait pas de suite, ni de retentissements que ce soit dans son boulot, auquel elle tenait, ou dans sa vie familiale, elle en avait m�me oubli� l'existence des photos, et se
persuadait que finalement ils n'�taient pas aussi pourris qu'elle le craignait !
Certaine qu'elle �tait que si depuis cette fatidique soir�e, elle avait r�ussi � ne pas les c�toyer, c'�tait aussi parce-qu'ils n'avaient pas insist�s, inconsciemment elle en concluait que pour eux aussi le chapitre �tait clos et bien clos .
Ce mercredi apr�s midi, apr�s avoir fait travailler ses enfants durant la matin�e, elle leur avait accord� la permission de passer l'apr�s-midi � la piscine, sous la surveillance de Francis, une grande perche d�gingand�e de 18 ans, fils de voisins et amis proches, qui leur servait parfois de chaperon .
La vaisselle exp�di�, uniquement v�tue d'une courte robe d'h�tesse, elle se pr�lassait dans son divan.
La sonnerie de la porte d'entr�e la tira de sa douce somnolence .
Qui pouvait donc bien venir lui casser les pieds � 2 heures de l'apr�s midi ? pensa-t-elle se dirigeant vers la porte,
Encore des enquiquineurs !
Elle entreb�illa la porte et, se p�trifia, se retrouvant nez � nez avec Miloud et ses deux comp�res, imm�diatement elle voulut reclaquer la porte.
Miloud du pied bloqua le vantail le lui interdisant.�
- Que voulez-vous ? demanda-t-elle d'une voix oppress�e, ses frayeurs lui revenant toutes d'un bloc.�
- Oh... Rien� r�pondit Miloud, nouant le dialogue
- On revient de la piscine o� on a rencontr� tes gosses... Stephan voulait leur montrer les photos... Mais je me suis dit que tu voudrais peut-�tre en avoir la primeur...
- Les photos ? Quelles photos ? Mais celles o� tu nous offres ton cul ! Tu ne te rappelles pas...� Mardi soir... Sous les ateliers...� Tu nous as tout montr� !�
- Petits salauds ! Voulez vous bien foutre le camp... N'avez-vous pas honte ?
- Non seulement on n'a pas honte, mais toi... Auras-tu honte quand ton mari... Tes enfants verront tes exploits... Ca va barder, crois moi... Mais tu fais comme tu veux... Si c'est ce que tu pr�f�res... Ou bien , on peut en discuter calmement .
Fouett�e par le tutoiement, abasourdie, �gar�e, Fran�oise s'effa�a les pr�c�dant au salon .
L�, d'autorit�, Miloud et ses deux complices prirent place autour de la table basse, comme Fran�oise restait fig�e, les bras ballants, il encha�na :
- Sers nous donc � boire, pendant que je les d�balle.
Engourdie, sans r�action, elle ob�it � l'injonction, sortant quatre verres et elle servit � chacun un whisky bien tass�, elle en aurait sans doute besoin .
L'attirant � ses cot�s par le pan de sa robe, Miloud lui tendit les petits rectangles qu'il sortait d'une enveloppe de kraft.
C'�tait encore pire que tout ce qu'elle aurait pu imaginer, d�s la premi�re �preuve elle sut qu'elle ne pourrait pas s'en tirer .
Trouss�e jusqu'aux reins, son cul rougit par les coups, les mamelles malax�es par Stephan elle �talait ses charmes les plus secrets .
Aucune erreur possible, c'�tait bien elle, son visage tourn� vers l'objectif permettait facilement son identification, elle remarqua d'ailleurs que sur toutes les photos, si on distinguait mal les trois gar�ons, son visage � elle �tait toujours bien reconnaissable.
Les autres photos haussaient encore le niveau d'obsc�nit�, sur l'une le doigt de Miloud fich� dans son anus semblait aspir� par ses entrailles, la suivante montrait son sphincter b�ant, la corolle mauve qui le cerclait bien distendue sugg�rait le traitement qu'il venait de subir.
Elle vacilla sur ses jambes, le coup �tait trop fort, elle frisait le ko .
Miloud enfon�a encore le clou :��
- Alors... Qu'est ce qu'on fait... On les montre... � Non... Non g�mit-elle, Je ferai ce que vous voudrez...� Mais donnez les moi... Je ne dirai rien � personne�
- �Non seulement tu ne diras rien � personne, mais... Si tu veux vraiment qu'on se taise... Tu feras tout ce qu'on voudra... Quant � te les rendre, il n'en est pas question... Ce que je te promets c'est que tant que tu te montreras docile... Et disponible ni ton mari, ni tes enfants ne les verront.
- �D'accord...� Je� Je ferai... Tout ce que vous voudrez...� Mais surtout ne dites rien � personne capitula-t-elle la voix tremblante.
Profitant de son d�sarroi, Miloud glissa sa main sous sa robe et entreprit d'escalader le compas de ses cuisses, traumatis�e, elle se laissait faire, ne tentant m�me pas de refermer les jambes, ce qui par ailleurs aurait maintenant
�t� bien inutile, ils avaient les arguments suffisants pour les lui faire �carter .
Tout de suite il se pointa au centre de la fourche, dans la vall�e moussue, commentant� pour ses copains :�
- Eh les gars ! elle est � poil sous sa robe! Tu nous attendais dis donc ?
Fran�oise ne r�pondit m�me pas, dolente elle le laissa remonter sa robe, tendant les bras pour lui f�liciter la t�che, il l'attira sur ses genoux alors qu'il pr�cisait :��
- Rappelles toi que dor�navant tu m'appartiens, tu devras aussi ob�ir � Stephan et Charles, mais c'est moi ton ma�tre...� Je ne tol�rerai aucune d�sob�issance�� Reprends quelques photos qu'on voit bien qu'elle participe ! enjoignit-il � Charles .
Puis il la tourna vers lui, ses l�vres se port�rent sur les siennes et il entreprit de l'embrasser, elle s'effor�ait de garder les l�vres serr�es, r�sistance vaine, bient�t la langue du voyou envahit sa bouche, elle resta passive, inerte. Miloud, agac�, cessa son petit jeu, la gifla avec violence et lui commanda :
- Tu participes ma salope ou alors �a va �tre ta f�te !
Et honteuse de sa veulerie, Fran�oise se vit pencher la t�te et m�ler sa salive � celle de son suborneur.
Les mains de Miloud exploraient maintenant son corps enti�rement d�nud�, soupesaient sa lourde poitrine, contournaient ses flancs, t�taient ses fesses puis se faufilaient entre ses jambes palpant les l�vres disjointes.
Du doigt il for�a son anus, et commen�a quelques rugueux va et viens, puis introduisant le pouce son vagin il se mit � jouer � la pince chinoise tout en la questionnant cr�ment :��
- T�es-tu d�j� fait enculer par ton mari ?� Par un amant peut-�tre ? Non ? Nous les arabes c'est ce qu'on pr�f�re... Eh les gars, interdiction de lui prendre son pucelage arri�re... Il est pour moi !
- �Oh Miloud , si tu nous la passais un peu, on en a marre de se branler en vous regardant�
Dit alors Stephan qui depuis quelques minutes se secouait la pine � pleine main.
- Approche� lui r�pondit Miloud, elle va te sucer, �a corsera un peu les photos .
Stephan s'approcha du couple, Miloud tourna la t�te de Fran�oise vers le phallus qui se pr�sentait � ses l�vres, Stephan n'eut pas � forcer, mat�e autant par la gifle que par le petit discours, elle entrouvrit la barri�re de ses
dents livrant un passage ais� au gland fonc� qui s'ins�ra
lentement entre ses l�vres la for�ant jusqu'aux amygdales puis se retira pour mieux s'enfoncer � nouveau.
Elle sentait la queue de Stephan prendre� encore du volume, Miloud ordonna :
- Suce le mieux que �a... Je veux voir ta gorge travailler... Caresse le de ta langue... L�che lui les couilles...� Bon dieu !� Montre ce que tu sais faire !
Il ne semblait pas se douter que jusqu'ici, si les l�vres de Fran�oise s'�taient d�j� pos�es sur le gland de son mari, jamais elle ne lui avait accord�, il ne lui avait d'ailleurs pas demand�, d'aller plus loin, elle faisait l� son apprentissage et sur un rythme qui lui paraissait d�mesur� .
D�mesur� comme la queue qui lui emplissait maintenant la bouche.
Pour s'accorder quelques secondes de r�pit, elle le d�semboucha et ob�issante, entreprit de l�chotter la hampe, descendant jusqu'aux couilles velues, recrachant quelques poils, remontant, suivant de la pointe de la langue le frein
qui fr�missait, r�embouchant � pleine gorge le gros b�ton.
Stephan s'enfon�a jusqu'� sa glotte, franchissant, sans se soucier de ses hauts le c�ur la fronti�re de ses amygdales, et tandis que dans un dernier sursaut d'amour propre Fran�oise retenait son envie de vomir, la maintenant le nez enfoui dans sa toison, en longues gicl�es cr�meuses il lui d�versa sa semence dans l'arri�re gorge.
Au bord de l'�touffement Fran�oise d�glutit, avec difficult�, avala le sperme qu'elle crut sentir couler tout le long de son oesophage .
La queue se ramollit quelque peu, Stephan la lui �ta de la bouche, et servile comme elle n'aurait jamais crue l'�tre un jour, elle l�cha la derni�re goutte sur le m�at et entreprit la toilette de la bite qu'elle venait de d�guster.
- A toi de t'amuser...� proposa Miloud � Charles Passe moi l'appareil, je prendrai les photos !
Stephan l'obligea � se relever, puis l'enla�ant il ordonna :�
- Et si tu nous montrais ta chambre, �a changerait de d�cor les photos n'en seraient que plus vari�es...
Totalement soumise Fran�oise prit le chemin de son lit, la vue du jet� de lit rouge que venait de lui offrir son mari lui arracha un bref sanglot, Stephan profitait de sa position de suiveur pour lui palper les fesses, �cartant les deux
h�misph�res, il lui planta deux doigts dans le vagin et la trouva ruisselante de d�sirs.
Effectivement ses sens durement sollicit�s r�pondaient maintenant et m�me si tout son �tre se r�vulsait, sa chatte elle s'�tait pr�par�e au corps � corps qui l'attendait.
Sans plus de tendresse superflue, Stephan la poussa sur le lit, elle s'y �tala � plat ventre, l'envie de Stephan �tait telle maintenant qu'il ne perdit pas de temps en pr�liminaires, il la retourna sur le dos et se jeta tout de suite, pantalon baiss� sur les genoux, entre ses cuisses largement ouvertes.
Sa bite trouva tout de suite la fente de Fran�oise, la parcourut sur toute sa longueur avant de s'engouffrer dans le vagin dilat�, quelques va et vient dans son con ruisselant suffirent � le faire jouir et en bramant il gicla, lui emplissant le trou.
Un soupir de regret �chappa � Fran�oise lorsque se relevant il abandonna son corps palpitant, ses sens insatisfaits protestaient, le rude assaut avait �t� trop rapide pour apaiser sa libido en �bullition.
Impatient Miloud l'attrapa par les chevilles, la retourna sur le ventre, et sans lui laisser le temps de respirer lui glissa un oreiller sous le ventre, faisant ainsi saillir sa croupe, sa position d�gageant bien la minuscule rondelle de son anus.
Il lui �carta les fesses avec vigueur, plus calme pourtant que Stephan il prit le temps d'observer le sphincter annel� qui d�j� se ridait d'angoisse .
Ne s'�tant jamais fait enculer, Fran�oise appr�hendait cette premi�re, s�re qu'il allait maintenant r�clamer le minuscule orifice qu'il s'�tait clairement r�serv�.
Miloud dirigea son gland sur l'anneau et entreprit de le forcer d'abord sereinement, puis devant son insucc�s avec plus de rudesse.
Sa bite paraissait bien trop importante pour le petit trou de Fran�oise, elle doutait de ne jamais pouvoir l'absorber, sous les quolibets de ses copains Miloud n'arrivait pas � forer l'�troit orifice pliss� .
Stephan apr�s s'�tre �clips� quelques secondes revint de la cuisine un paquet de beurre � la main :��
- T'as d�j� vu le dernier tango � Paris ? dit-il le passant � Miloud qui, ricanant, enduisit largement son gland puis � deux doigts lui nappa l'entre fesse et le trou obscur.
La pr�caution �tait bonne, cette fois le gland franchit le goulot resserr�, Fran�oise crut qu'on lui enfon�ait un tisonnier rouge dans le fondement, Miloud avait du mal � se contenir, il dut rester quelques secondes immobiles afin de
ne pas partir pr�cocement .
Ce maigre temps de r�pit permit au cul de la belle odalisque de se faire � la taille de son envahisseur et � son esprit de se faire � l'id�e de sa d�ch�ance Miloud reprit son mouvement de bielle, � chaque pouss�e Fran�oise sentait son cul s'�carteler, � chaque fois elle craignait d'entendre se d�chirer son p�rin�e, enfin � force de pers�v�rance, Miloud s'engloutit en entier dans le cul
maintenant dompt�, ses couilles vinrent battre les fesses.
A nouveau il reprit son souffle avant d'animer � nouveau son bas ventre de profonds mouvements alternatifs qui la firent geindre.
Miloud se foutait de ce qu'elle ressentait, il n'�tait pas l� pour lui faire prendre son pied, mais bel et bien pour la foutre et la plier � tous ses d�sirs.
Un dernier coup qui lui sembla presque remonter jusqu'� la gorge et elle sentit des flots de sperme se r�pandre dans son cul, lorsque Miloud se releva, il lui en avait inject� une telle quantit� qu'elle le sentit sourdre de son cul poissant le couvre lit.
Ce spectacle avait recharg� les acculs de Stephan. Il s'�tendit sur le dos et l'attira � nouveau � lui.
L'esprit totalement vide, telle une marionnette, Fran�oise� de la main guida son nouvel envahisseur, elle le pr�senta � l'or�e de son trou plus du tout secret et s'empala lentement sur le membre qui l'envahissait de sa totalit� .
Ainsi, le chevauchant elle se sentait remplie � ras bord, sa matrice en �tait combl�e.
- Charles appela alors Miloud, prends la par le cul, on pourra terminer le documentaire !�
- Non... Non... Pas �a, pas � deux...� Ils vont me d�foncer ! Se plaignit Fran�oise .
Mais inflexible, Miloud lui faisait signe d'y aller, et sous les �clairs de flash, Fran�oise sentit� d'abord Stephan lui agripper les fesses, les �carteler en grand� pour son copain.
Ce dernier se pr�senta, l'anus b�ait encore de l'enculage pr�c�dent, les bourrelets mauves de l'int�rieur �taient parfaitement visibles.
Contrairement � ce que craignait Fran�oise le gland s'enfon�a sans mal dans le cul bien graiss�.
Bien vite elle sentit les deux bites se frotter l'une contre l'autre tandis que les deux jeunes hommes commen�aient � ruer en elle.
Ils la fouillaient de leurs verges, sans cruaut� excessive mais pourtant douloureusement, se massant au travers du p�rin�e.
Ces deux conduits, heureusement grassement lubrifi�s semblaient pleins � craquer, malgr� elle, les dents serr�es � craquer, elle se noya dans un ab�me de jouissance.
Tous ses freins avaient saut�s, des �toiles explosaient derri�re ses paupi�res, sa croupe montait et descendait sur les deux queues, c'�tait elle maintenant qui s'enculait et s'enconnait sur les deux phallus, qui les retenait en elles, qui s'accordait au rythme des deux queues �branlant tout son �tre .
Elle vibrait de tout son corps, pleinement actrice de son co�t.�
- Viens nous rejoindre� dit Stephan � Miloud, et ce dernier posant son appareil sur la table de nuit, la queue � la main se planta devant sa bouche.
Elle la happa voluptueusement, lui faisant de sa gorge un �crin soyeux, alignant sa t�te de fa�on � permettre une intromission la plus profonde possible .
Ses trois orifices combl�s, elle connaissait spasmes sur spasmes, orgasme sur orgasme, son vagin s'emplit le premier, elle continua de t�ter le chibre de Miloud, par mim�tisme son cul se mit � l��uvre, il trayait v�ritablement le vit
de Charles.
Bient�t ils ne purent plus r�sister et simultan�ment ils se vid�rent � gros bouillons qui dans son cul, qui dans sa bouche.
Epuis�s tous trois tomb�rent sur le lit ou encore emm�l�s ils rest�rent dix bonnes minutes dans cette position � la recherche de leur souffle .
Enfin les trois voyous se relev�rent .
Comme Fran�oise fourbue restait allong�e, Miloud l'invita � les raccompagner sur le pas de porte .
L� � poil et � genoux elle embrassa une derni�re fois leurs queues luisantes
tandis que Miloud lui fixait ses derni�res recommandations :�
- A l'avenir, au boulot, bas et porte-jarretelles, mais toujours cul nu, toujours disponible. Profite de ces deux jours pour te reposer, vendredi d�s ton arriv�e � l'IME tu viendras dans sa chambre que je v�rifie ta tenu !
Sur ces derniers mots ils la quitt�rent .
Il lui restait une petite heure pour remettre de l'ordre, laver le jet� de lit couvert de foutre, a�rer pour chasser cette odeur lancinante de baise, prendre son bain, relaxer son corps et surtout r�fl�chir � ce qui lui arrivait et aux fa�ons de s'en sortir au moindre mal .
Elle terminait � peine lorsque Francis ramena ses enfants.��
- Fatigu�e ? Lui lan�a-t-il avec une pointe d'insolence tout � fait inhabituelle, au vu de ses yeux largement cern�s de bistre.
Etonn�e de cette familiarit� soudaine de la part de ce grand dadais habituellement timide, elle rougit et soupira :�
- Oui... Le travail... Les enfants... se promettant de se remaquiller rapidement.
Cette grande bringue de Francis, en toute innocence ?, avait mis le doigt sur un d�tail qui pourrait bien intriguer son mari plus soup�onneux, plus retors que ce jeune puceau, et �a, il ne le fallait � aucun prix.
Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuisssez@orange.fr
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