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Review This Story || Author: Coulybaca

Viols à l'université - Les premières proies

Chapter 5

Viols à luniversité Ch 5  La nouvelle prof 

High School Rape Club - V

Coulybaca / Black Demon

 

 

 

 

 

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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite logique de

 High School Rape Club 1, 2, 3 & 4” (Viols au lycée Ch1, 2, 3 & 4)

 

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Remarque : tous les protagonistes de cette histoire ont plus de 18 ans.

 

 

Cheryl Dawson était follement heureuse d'avoir dégoté un poste au lycée de Porterville, qui était considéré comme le meilleur lycée de l'état sur ces dix dernières années.

L'année précédente on lui avait confié une classe d'ados, elle était prête à s'installer avec son mari à Junction City dans le sud profond où Jeff son mari pouvait obtenir sa mutation et où elle pourrait prendre en main une classe des élèves plus âgés.

 

A 25 ans, mariée depuis 1 an à son amour d'enfance, Cheryl avait postulé pour Porterville juste après avoir obtenu son diplôme d'enseignante, elle voulait prendre place sur la liste des candidats à un poste d'enseignant dans ce lycée, sachant qu'il fallait généralement attendre 5 bonnes années avant de voir exaucer ses vœux.

Le fait d'être une ancienne du lycée lui donnait une certaine bienveillance de la direction sinon une certaine priorité, d'autant plus qu'elle y avait été chef de classe, membre des représentants d'élève et pom-pom girl.

 

 

 

 

 

 

Avec ses prévalences, Cheryl supposait que se serait l'histoire de quelque temps pour qu'apparaisse une opportunité au vu du nombre de responsables qui savaient son profond désir de revenir enseigner dans son ancien lycée.

En fait, elle espérait enseigner au coté de Gayle Meese, maintenant madame Gayle Benton, sa grande sœur de fraternité qui avait été nommée à Porterville un an après avoir obtenu son diplôme.

Aussi lorsqu'elle reçut un coup de fil de monsieur Grant le principal du lycée tout début juillet, elle apprit avec joie qu'il y avait une ouverture et qu'il voulait la rencontrer pour en discuter.

 

Lors de son entrevue avec monsieur Grant, elle apprit avec stupeur que c'était justement Gayle Benton qui devait quitter brusquement son poste, apparemment son mari s'était vu transféré dans une branche européenne de la compagnie dans laquelle il travaillait.

Lorsqu'elle avait rencontré Gayle à la dernière réunion de leur confrérie à Noé dernier, elle lui avait confié combien elle était heureuse d'enseigner au lycée de Porterville lui promettant de lui téléphoner dès qu'une opportunité de la rejoindre se ferait jour.

De ce fait, Cheryl avait été extrémement surprise que Gayle ne l'ait pas appelée, elle conjoncturait que la mutation de son mari avait du être diablement brutale pour qu'elle quitte Porteville sans tambour ni trompette.

 

En fait Gayle n'avait pas oublié de téléphoner à sa petite sœur de fraternité, lorsqu'elle avait pris la décision de quitter Porterville, c'était délibérément qu'elle ne l'avait pas fait espérant que son amie n'entendrait jamais parler de la vacance de son poste.

Gayle avait vécu une année enthousiasmante jusqu'aux derniers jours de l'année scolaire.

Elle avait adoré enseigner dans cet établissement réputé pour son excellence et son haut niveau d'étude.

 

 

 

 

Cependant le rêve de la belle Madame Gayle Benton, avait tourné au cauchemar le dernier jour de l'année scolaire.

Comme n'importe quel autre collège, Porterville avait ses fruits pourris et entre autres ceux qui avaient pour tous talents d'être d'excellents basketteurs.

Et bien entendu, ces gaillards ne s'intéressaient absolument pas à la chose scolaire.

Elle ne voulait pas leur octroyer de notes leur permettant de passer dans la clase supérieure s'ils ne le méritaient pas, ils détestaient ces enseignants qui ne considéraient pas qu'ils étaient justes là pour jouer au basket et porter haut les couleurs de Porterville.

 

Gayle leur apparaissait comme une prof anachronique qui considérait que mieux valait une tête bien pleine que des pectoraux développés, ils l'avaient surnommée 'la frigide petite pute cette salope qui ne voulait pas comprendre qu'ils étaient là pour jouer au basket.

Marcus Green le capitaine de l'équipe de basket B ne s'intéressait qu'au basket, il espérait parvenir un jour à jouer en ligue nationale.

Mais pour Marcus et ses coéquipiers noirs de l'équipe B, le B.B pour équipe B de Basket s'était transformé en Gang des grosses bites noires.

Et comme s'était vraiment un enculé, il avait développé un penchant pour... Pour les chattes des blanches!

En tant que capitaine de l'équipe de basket B, Marcus adorait se relaxer, et plus encore s'allonger sur de ravissantes putes blanches.

 

 

 

Leur première malheureuse victime avait été Lori Baxter, une blonde pom-pom girl très sexy, ils s'étaient emparés d'elle sur son chemin de retour après un match de basket.

Marcus et ses comparses l'avait maintenue au sol pendant que Joey violait cette chaude petite chienne, lui dépucelant le cul alors qu'elle luttait pour rester vierge.

Puis ils l'avaient sautée chacun à leur tour, la partousant en chœur l'enculant férocement alors qu'elle avait déjà une bite dans le con et une autre en bouche.

 

Julie Norris un rouquine une des joueuses de l'équipe de basket féminine avait été leur seconde victime, Julie venait de remporter son championnat grâce à sa vitesse d'exécution, mais cette vitesse n'avait pas suffi à la sauver de l'attaque du gang des bites noires alors qu'elle retournait chez elle après un jour de classe.

C'est Toby Hopkins qui avait eu la joie et l'honneur de cueillir son pucelage, Marcus maintenant sa main serrée contre sa bouche alors que le jeune colosse noir plongeait sa grosse bite dans son étroite petite chatte.

 

Volontairement, Gayle Benton ne l'avait pas avisée de la vacance de son poste, elle avait été victime des menées du gang des bites noires de Porterville.

Ils l'avaient accostée le dernier jour de classe de l'année, l'avaient retenue captive dans sa salle de classe et lui avaient fait endurer une épreuve qu'elle n'avait  rapporté ni à la police ni à ses amies les plus proches.

La sœur de fraternité de Cheryl avait demandé sa mutation pour Londres pour accompagner son mari qui était transféré à la branche européenne.

C'était une sacrée promotion pour Jeff Benton, il se préparait à affronter la volonté de sa femme qui voulait rester à Porterville, mais elle avait soudain changé d'opinion et avait décidé de partir pour Londres dès le début de juillet.

En fait elle cherchait à fuir les horreurs qui l'attendaient si elle était restée enseigner à Porterville, elle était certaine que Marcus et sa bande n'hésiteraient pas à la faire chanter, la réduisant à une sorte d'esclavage sexuel en échange de leur silence.

 

Epinglée sur le bureau d'où elle enseignait les maths à la classe des deuxièmes années elle s'était fait impitoyablement violer.

La possibilité d'échapper à ces vils salauds en quittant Porterville l'avaient délivrée de la peur et des appréhensions qui la hantaient, tout au moins jusqu'à la semaine précédente lorsqu'elle s'était rendue compte qu'ils l'avaient engrossée.

Elle devait donc consulter un registre des lois locales pour se documenter sur réglementation en vigueur régissant les avortements.

 

Six semaines plus tard, Gayle et son époux commençaient à rechercher un domicile à Londres ainsi que les magasins où se fournir et s'équiper.

Mais Gwen devait accomplir personnellement  une chose bien particulière, elle devait dénicher un médecin ou une clinique pratiquant les avortements.

Elle s'était fait violer le dernier jour de l'année scolaire par le gang des grosses bites noires, elle était grosse des oeuvres de l'un d'eux, exactement comme Marcus Green l'avait cyniquement espéré en gloussant tandis qu'ils la baisaient à couilles rabattues.

 

Le cœur de Gayle s'affola en lisant que son amie Cheryl Dawson allait la remplacer, elle priait pour qu'elle ne subisse pas le même sort.

Elle n'avait pas oublié d'appeler sa petite sœur lorsqu'elle avait pris la décision de quitter Porterville en fait c'est délibérément qu'elle ne lui avait pas téléphoné, espérant qu'elle n'aurait pas vent de la vacance de son poste, elle ne voulait pas l'informer de son triste sort.

 

De retour à Porterville, vêtue d'une tenue sportive et portant des tennis aux pieds, Cheryl venait de dépoussiérer sa classe après les deux mois de vacances, un chiffon mouillé en main elle s'attaquait à son bureau.

Comme elle remplaçait son amie Gayle et qu'elle allait occuper la même salle classe, Cheryl ce dit qu'elle mettait les pieds dans les pas de sa grande sœur de fraternité.

En essuyant la surface de son bureau, Cheryl pensait :

 

Cheryl essuyait la poussière du bureau avec le chiffon mouillé utilisant le long ongle de son pouce pour gratter quelques taches séchées qui résistaient.

Si elle avait su que la dernière fois que ce bureau avait été utilisé, le dernier jour de la dernière année scolaire son amie était étendue nue en travers du bureau, alors que les membrés gang des grosses bites noires se succédaient dans son intimité.

Ces taches séchées représentaient  les dernières traces de cette mémorable journée.

 

Elle prit le seau d'eau sale et le jeta dehors avant d'aller le remplir à nouveau. Cheryl remarqua alors plusieurs étudiants qui mimaient des dribbles de basket, sortant de la salle de gym.

Alors que les 4 ados poursuivaient leur chemin, Cheryl sentit un vent de nervosité la gagner à la vue de ces musculeux jeunes noirs.

Mais peut-être bien que c'était autre chose qui la rendait nerveuse... Ils étaient tous COLOSSAUX et NOIRS !

 

Gwen était proche de la panique lorsqu'un des jeunes jouant avec le ballon lui souhaita :

Puis il lui présenta ses copains, elle sourit et répliqua :

 

Cheryl était loin de se douter du double sens de ces mots, il ne parlait pas de ses cours de maths, mais bel et bien du viol de cette ravissante prof sur le bureau duquel elle délivrerait bientôt son enseignement.

Puis un des ados nommé Joey lui sourit à pleines dents et ajouta :

 

Puis les quatre jeunes gars la quittèrent poliment sur un dernier au revoir madame convivial.

Cheryl se sermonna d'avoir ressenti cette pointe de nervosité lorsqu'elle les avait vus s'approcher d'elle.

Elle était fort surprise de constater leur politesse qui  détonnait de la part d'étudiants actuels, et maintenant elle était plus que ravie de pouvoir enseigner dans son ancien lycée.

Cheryl ne se doutait pas qu'en fait Marcus et sa bande l'avaient dupée.

Puis elle avait rencontré un de collègues à qui elle venait d'être présentée plus tôt qui se montra fort surpris de la voir déjà là milieu de l'été, elle lui répondit

 

Marcus gloussa, la main pointée sur l'énorme bosse qui déformait l'avant du short de Toby, en signalant aux autres :

Explosé de rire il ajouta :

 

Une heure plus tard, Cheryl fermait à clef sa porte de salle de classe et chargée du seau et des chiffons qu'elle avait apporté, elle se dirigeait vers le parking et chargeait son équipement dans le coffre.

Elle grimpa à sa place et mit le moteur en route, puis elle quitta le parking après avoir bouclé sa ceinture de sécurité.

Elle se glissa alors dans le trafic pour retourner chez elle à 5 km de l'école.

Insouciante elle n'avait pas remarqué la voiture argentée qui était sortie du parking derrière elle et qui la suivait maintenant à une courte distance.

 

Marcus pensait qu'il sagissait juste d'une filature préparant une future visite à la ravissante prof de maths et surtout de savoir si le voisinage décourageait les rôdeurs.

Toutefois, alors qu'il se garait au coin de la rue, à la vue de la charmante jeune femme sortant de sa voiture rangée dans son garage, Toby avait sorti sa bite et se branlait à ses cotés se souciant peu de savoir si ses copains assistaient au spectacle, il grognait :

 

Cheryl était entrée dans sa cuisine et sortait une boite de jus d'orange de son frigo.

En finissant de vider le verre cette boisson rafraîchissante qu'elle s'était servie Cheryl jeta un oeil sur les fleurs qu'elle venait de planter dans le parterre derrière la maison, puis elle posa le verre vide dans l'évier avant de monter à l'étage pour prendre une douche.

Si elle était restée quelques secondes de plus dans la cuisine, Cheryl aurait vu des importuns sauter la clôture de bois de l'arrière cour prenant pied dans sa propriété.

 

Cheryl disposa une tenue propre sur l'arête de la baignoire comme elle le faisait d'habitude, puis elle enleva sa robe, son soutien-gorge et sa petite culotte tout en testant la chaleur de l'eau de la douche avant de pénétrer dans la cabine.

Comme elle se pensait seule dans sa maison, la porte de la salle de bain n'était pas verrouillée, elle était même restée entrebâillée.

Elle se savonna sous l'eau chaude qui cascadait sur son corps, elle avait le dos tourné vers la porte de la salle de bain, elle était totalement inconsciente que trois vils agresseurs se glissaient discrètement dans la salle de bain.

 

Elle reconnut un des adolescents qu'elle avait rencontré dans le hall du lycée, le nommé Toby qui la maintenait fermement tout en la traînant hors de la cabine.

Extraite de la cabine de douche ou l'eau de la douche continuait à s'écouler, elle se mit à trembler en reconnaissant le chef de la bande, celui qui s'était présenté sous le nom de Marcus Green.

 

Puis comme Toby l'entraînait plus loin, elle entendit Marcus lui indiquer :

Elle observait stupidement le vil ado mettre en coupe sa main sous le jet de la douche pour recueillir assez deau pour lui rincer ensuite la foufoune.

 

Tout en promenant sa main nue sur son ventre et son mont de venus, Marcus jubilait de voir de grosses larmes perler à ses paupières alors que son doigt tendu franchissait la jointure de ses cuisses pour parcourir sa fentine ce qui la fit frissonner de répulsion.

Comme Toby s'efforçait de l'entraîner hors de la salle de bain, Tyrone lui prit les jambes pour aider son copain, Marcus ferma la douche avant de les rejoindre dans la chambre principale.

Joey avait tout filmé depuis le début de l'agression dans la cabine de douche jusqu'à son transport dans la grande chambre.

 

Tenue fermement sur le grand lit, les poignets bloqués au-dessus de la tête, une des mains de Toby plaquée sur la bouche alors qu'il brandissait l'autre de façon menaçante devant son visage tout en la prévenant :

Tremblante de peur Cheryl sentit que Toby libérait sa bouche alors que Tyrone posait un cran d'arrêt sur sa table de nuit, puis paniquée, elle sentit quelqu'un empoigner son entrecuisse alors qu'on écartait ses cuisses en grand.

 

Puis il la remonta sur ses narines savourant visiblement ses flagrances intimes.

Un mouvement attira son oeil, elle se focalisa sur la grosse bite noire pendant entre ses cuisses maintenant, clairement visible maintenant qu'il en avait le petit rempart rose.

Les yeux écarquillés par l'incrédulité elle était fascinée par l'épaisse mentule qui palpitait entre ses cuisses se tenant selon un angle de 45°.

Puis il enveloppa sa bite dans sa petite culotte rose et il recommença à se branler âprement.

Le sourire démoniaque qu'il arborait, sa façon salace de se pourlécher les babines l'affolait totalement.

 

 

Et lorsqu'il cessa de lui brouter le gazon elle lentendit glousser en informant ses copains :

 

Cheryl était hébétée d'avoir succombé pour la première fois, à un orgasme fracassant sous les caresses d'une langue agile dans sa fentine.

Elle était inconsciente que Toby se glissait à la place de Marcus, elle ne le remarqua que lorsque de nouvelles mains lui saisirent les poignets et la face interne des cuisses

Ouvrant à nouveau ses yeux, Cheryl voyait ses jambes écartées en V alors que Toby se foutait à poil.

Ce colosse jouait centre avant dans l'équipe de basket, il mesurait 1,98 m pour un poids de 120 kg

 

Cheryl émit un rauque gémissement affolé à la vue de l'énorme bite que Toby venait de mettre à jour.

Déjà effrayée à l'idée de se faire violer quelques instants plus tôt par Marcus, cette fois elle paniquait follement à la vue de cette chose impensable qu'il venait d'extraire de son short de gym.

Sa longueur et son épaisseur lui rappelaient le rouleau à pâtisserie dont elle s'était servie la semaine dernière pour étaler la pâte de gâteaux qu'elle confectionnait pour offrir à ses voisins.

Marcus se tenait à sa droite, elle l'entendit tonner :

Elle entendit ensuite Toby se vanter :

 

Il entreprit de parcourir sa fentine affolée de son gland turgescent, elle craignait d'être déchirée s'il la prenait trop brutalement.

 

 

 

 

 

 

Le violent viol de la belle prof, était un  véritable régal pour les yeux, de toute manière Joey avait tout enregistré en détail, variant les plans et les approches, en fait d'éventuels spectateurs pourraient croire que tout cela reposait sur un scénario bien écrit tant le spectacle était réussi.

La jeune femme secouait ses cheveux blonds qui volaient sur ses épaules au rythme des coups de boutoir de son colossal amant  noir.

Ils admiraient tous la performance : voir une telle monstruosité s'enfoncer dans l'étroite petite chatte de la jeune femme paraissait invraisemblable, impensable, et pourtant, à force de puissants coups de reins, il avait déjà enfoui une bonne quinzaine de centimètres de son énorme mentule dans l'étroite petite chatte écartelée.

 

Alors qu'il s'évertuait à planter  encore plus de sa bite animalesque dans la foufoune de la ravissante prof, Marcus le freina :

En la voyant sangloter et haleter, Marcus tendit la main et fit signe à Tyrone de lui tenir fermement les poignets.

Utilisant sa main libre Marcus lui tourna le visage vers lui et fourra son gland épais dans sa bouche lorsqu'elle ouvrit celle ci pour crier sa douleur d'être forcée par la bite d'âne de Toby.

 

Toujours placé dans le coin prêt de l'entrée Joey continuait à enregistrer le viol sur sa caméra numérique.

Non seulement Joey adoré jouer au basket, mais de plus il avait la passion de  filmer les événements auxquels il assistait, il comptait d'ailleurs en faire son métier plus tard.

Il avait déjà vu bien des films X auparavant, mais cette fois il avait l'opportunité de filmer une séquence franchement porno, pas une mise en scène, mais le viol réel d'une malheureuse jeune femme dans sa propre maison, dans sa chambre forcée en cette occasion.

Joey se foutait de tout cela, il veillait seulement à ce que les images soient claires et parlantes, il cherchait pour cela les meilleurs angles de prises de vue, variant les plans à chaque scène.

 

La ravissante jeune femme avait les jambes relevées, les doigts de pied en éventail alors qu'il la forçait à engloutir toujours plus sa monstrueuse colonne de chair.

Il fit un plan large de façon à la prendre poignets immobilisés au-dessus de la tête, baisée en bouche par Marcus, Toby forant impitoyablement son trou dans sa foufoune écartelée.

 

S'accroupissant pour trouver un plan meilleur, Joey braqua son objectif sur la grosse bite coulissant dans la chatte béante de la ravissante petite prof anéantie de douleur.

Ils la baisaient de plus en plus vite, Joey se recula pour mieux enregistrer cet instant où yeux fermés ils gicleraient à gros bouillons dans sa bouche et son utérus asservis.

 

Quelques instants plus tard, leurs bites extirpées de sa bouche et de sa cramouille, Joey filmait la victime du gang des grosses bites noires dans la position où ils l'avaient abandonnée sur le lit.

La bouche entrouverte la somptueuse jeune prof paraissait abasourdie, un filet de foutre s'écoulait du coin de ses lèvres s'étalant sur son menton, alors que d'épaisses coulées se déversaient de sa chatte béante trempant le drap de lit.

Tyrone dit alors à ses potes :

 

La bite en main, Tyrone agrippa la nuque de sa malheureuse victime  et le positionna face à sa queue vibrante d'impatience lui ordonnant :

Comme elle essayait de détourner la tête, Tyrone accrut la fermeté de sa prise, et lui tirant les cheveux avec violence il lui intima :

Quelques minutes plus tard, Tyrone clama son plaisir :

 

 

 

 

 

 

 

Il devint évident que l'innocente victime était dans un complet état de sidération, Tyrone lui fourrait sa grosse bite dardée dans la main.

Il l'encouragea alors à refermer sa petite main manucurée sur son imposante hampe tendue.

Il sourit de toutes ses dents lorsque l'infortunée petite prof se mit instinctivement à branler sa queue érigée, d'une main arborant une bague de fiançailles et son alliance ce qui le réjouit d'autant plus, un signe que ce jour serait mémorable.

 

Elle le masturbait su un rythme de plus en plus rapide, Tyrone grogna en informant ses copains :

Se rejetant en arrière, Tyrone lui proposa à nouveau sa large sucette juteuse à cajoler.

Ayant vu de Marcus et Toby user de ses charmes quelques minutes plus tôt, s'étant fait sucer consciencieusement les burnes et la bite, Tyrone se sentait sur le point d'éjaculer.

Une somptueuse jeune femme, une prof élégante et distinguée, mariée à de ses petits cons de blanc, qu'aurait-il pu demander plus sinon que son mari les regarde faire !

 

Se tenant en retrait Joey était conscient que son copain  Tyrone avait une sacrée envie de se vider les couilles rien qu'à le voir grogner et gémir.

Se rappelant les paroles de Tyrone dans la voiture, disant à ses copains à quel point il aimerait gicler sur le visage de la ravissante jeune femme, Joey se demandait s'il réaliserait ses désirs!

Il connaissait la dose de foutre que pouvait stocker Tyrone dans ses grosses burnes noires, aucun homme ne pouvait le surpasser sur ce point très particulier, il était capable de lui expédier la valeur d'une bonne tasse de foutre sur le visage.

Le voyant enserrer dans sa main ses délicats  petits doigts Joey s'empressa de zoomer sur eux pour capturer la totalité de la scène  venir.

 

De fait Joey les soupçons de Joey étaient fondés, Tyrone poussa un grognement sourd :

Un second jet aussi consistant frappa ses paupières des filets de foutre chaud s'écoulèrent sur son visage, son menton.

Il visa alors plus bas, les jets suivants s'écrasèrent dans son coup, sur ses nibards, il jutait encore et encore il semblait que son éjaculation ne prendrait jamais fin!

 

 

 

 

 

 

Joey appela Tyrone pour lui tendre la caméra alors que ses potes la disposaient à quatre pattes sur le lit, il le félicita :

Puis il lui donna quelques instructions pour manier la caméra correctement, il lui expliqua ensuite des résultats qu'il voulait obtenir de ses prises de vue, et tout d'abord une scène qu'il avait programmée alors que ses potes la mettaient en bonne position :

 

Quelques instants plus tard, elle agrippait désespérément le matelas cherchant à ramper vers le haut du lit pour fuir le jeune salopard appelé Joey, ce jeune pervers qui tentait d'enfoncer sa grosse mentule bandée dans son rectum.

Mais les mains posées sur ses hanches la tenaient fermement, elle glissa sur le matelas alors qu'il la tirait en arrière ajustant sa grosse bite sur son oeillet affolé.

 

 

 

 

 

 

Un peu plus tard, ils se tenaient sous les chauds embruns de la douche, les quatre équipiers nettoyaient son corps des souillures qui le salissaient.

Cheryl se retrouva clouée au mur par Marcus qui se la faisait en chatte alors que l'eau cascadait sur leurs corps enlacés, puis elle dut se pencher en avant s'appuyant, sur le rebord, alors que Joey l'enculait à nouveau âprement.

Encore plus tard, à quatre pattes Tyrone la sauta en levrette alors qu'elle suçait Toby à pleine bouche, Joey la filmait embrochée par les deux bouts.

Nettoyée une fois encore, ils l'entraînèrent à nouveau dans la chambre principale où ils continuèrent de la sauter dans la joie et la bonne humeur. Ils la baisèrent toute la nuit terminant par la prendre à quatre simultanément : un en bouche, un en cul, un en chatte et le dernier en main, la caméra savamment disposée sur une chaise enregistrait la totalité de leurs ébats.

 

 

 

 

 

 

Les deux semaines qui suivirent, Cheryl était constamment inquiète, elle gardait continuellement en tête leur commentaire :

Cheryl avait profondément réfléchi, elle savait qu'elle se plierait à leur volonté, à toutes leurs volontés pour éviter que cet horrible enregistrement ne soit envoyé à son mari, au principal et à ses collègues de Porterville, comme ils l'en avaient menacée si elle ne cédait pas à leur chantage.

Elle avait vu une copie du clip que Joey avait tiré des rushes tournés dans sa maison, elle savait que sa vie professionnelle et personnelle serait ruinée si quelqu'un venait à voir cette bande pornographique. Aussi était-elle décidée de cacher sa honte et de leur obéir en tout, de satisfaire leurs appétits de lucre, quels que soient leurs désirs.

 

Cheryl était soulagée de voir que Jeff était très pris par son boulot lors de son retour à la maison, il rentrait tard et éreinté le soir et allait au lit dès le souper expédié.

Il continua à travailler dans son bureau le vendredi soir dans son bureau, porte fermée, elle était très soulagée de le voir aussi affairé.

Le claquement du verrou qu'avait tiré Jeff en s'enfermant dans son bureau l'avait surprise, il n'avait jamais agi ainsi, mais elle supposa qu'il avait besoin de toute sa concentration et ne voulait pas être dérangée pour mener à bien son projet.

 

Elle se doucha et se glissa dans son lit, elle s'assoupissait lorsqu'elle entendit Jeff prendre une douche.

Somnolente, elle ne remarqua pas qu'il se glissait dans le lit à son coté, elle se réveilla alors qu'il engageait sa main dans le haut de son pyjama, empaumant ses nibards tout en pressant sa bite érigée entre ses jambes de pantalon de pyjama.

Jamais Jeff ne s'était montré aussi empressé de lui faire l'amour après une longue journée de travail !

Mais cette nuit là, il la stupéfia avec cette envie forcenée de baiser, abasourdie, elle l'entendait souffler lourdement alors qu'il venait de cracher son foutre au plus profond de son utérus.

 

Cheryl ignorait que Jeff avait verrouillé sa serrure juste après avoir ouvert une enveloppe qui lui était adressée personnellement et posée au beau milieu du tiroir principal de son bureau.

N'ayant pas ouvert son tiroir depuis quelques jours, il se demandait qui avait pu déposer cette enveloppe dans son bureau puisque Cheryl avait l'habitude de mettre son courrier dans sa boite à courrier.

Elle n'était pas timbrée ce qui indiquait qu'elle ne lui était pas parvenue par la poste.

Comment est-elle arrivée là ? Se demandait-il épatée.

L'enveloppe ouverte il trouva deux DVD avec une note écrite à la main.

Ebahi,  Jeff glissa un des DVD dans le lecteur et le mit en marche, il se pressa lors de verrouiller la porte alors que s'affichaient des images d'une rare obscénité sur son écran.

 

Sa bouche s'assécha à la vue de colosses noirs tenant les bras et les jambes de Cheryl alors qu'un troisième la violait littéralement, enfonçant un énorme salami dans sa petite chatte si étroite.

Il frissonnait en entendant ses hurlements de douleur tout le  long de l'immonde viol, elle ne se tut que lorsqu'une autre épaisse mentule s'engouffra entre ses lèvres, la bite de Jeff venait de s'ériger dans son pantalon.

Ebahi, Jeff repassa cette séquence infernale de sa jeune femme se faisant baiser par deux brutes noires, du foutre suintant aux commissures de ses lèvres... Ainsi que de sa chatte béante !

Sur le point de gicler dans son pantalon, il décida de prendre une douche froide avant de se glisser dans le lit de sa femme pour constater à quel point ces bâtards avaient élargi la chatte de son épouse.

 

Il n'avait visionné qu'une seule énorme bite éclatant l'étroite chatte de son épouse, mais il savait déjà que les trois autres avaient dû la baiser tour à tour et se faire sucer dans leur lit conjugal.

Il attendait que Cheryl soit bien endormie pour retourner visionner la bande vidéo en reprenant à l'instant ou à genoux à coté du lit elle se préparait à sucer la bite d'un des vils membres de l'équipe B de basket.

 

Allongé sur son lit, Jeff repensait à la vidéo qu'il venait de regarder dans son bureau et à la petite la note qui l'accompagnait.

Non seulement ces ados le remerciaient d'avoir mis sa femme à leur disposition, mais ils lui proposaient un challenge des plus excitants, ils lui avaient écrit :

 

De retour dans son bureau, la porte verrouillée Jeff était sur le point de visionner à nouveau cette maudite vidéo, il s'arrêta et saisit la petite note qui accompagnait les DVD.

Il nota une seconde proposition qui n'était pas écrite de la même main, en fait un post-scriptum à la fin du message qu'il n'avait pas encore lu.

 

 

 

 

 

Yeux fermés, Jeff réfléchissait à leur proposition.

Profondément implantée dans son esprit, l'image de Cheryl vêtue élégamment se rendant dans un hôtel de renom pour se faire partouzer le hantait.

Ou préférerait-il la voir se faire sauter dans un hôtel de passe comme une misérable prostituée !

Ou peut-être même la voir prise simultanément par ces quatre gaillards sur le lit qu'ils partageaient habituellement !

Ou encore se faisant baiser allégrement sur le bureau d'où elle dirigeait habituellement sa classe !

 

FIN

 

 

16 juillet 2007

Coulybaca

Dominique.dubuissez@orange.fr

Avec l'aimable autorisation de Black Demon

blackdemonstories@yahoo.com

 



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