Previous Chapter Back to Content & Review of this story Next Chapter Display the whole story in new window (text only) Previous Story Back to List of Newest Stories Next Story Back to BDSM Library Home

Review This Story || Author: Coulybaca

Viols à l'université - Les premières proies

Chapter 2

Viols au lycée 2 Laurie, puis la bibliothécaire.

High School Rape Club 2

Coulybaca / Black Demon

 

 

 

 

 

 

Ayant été élu meilleur exploit du mois, Dion savait qu'il serait difficile d'égaler ce haut fait.

Le gang lui avait demandé de chercher la prochaine proie, mais il lui fallait du temps pour le faire correctement. Comme personne ne souhaitait se retrouver en centre de détention ils lui accordèrent tout le temps qu'il réclamait.

C'est alors que Rémi eut l'opportunité de tomber sur un coup fumant.

 

Rémi était impatient de dénicher la prochaine victime, d'autant plus que cela lui permettrait de la sauter en premier.

Il était tellement sûr que la première beauté qu'il avait sélectionnée était vierge, qu'il s'était senti escroqué en constatant que ce n'était pas le cas, de colère il lui avait cassé son petit cul blanc, lui ravissant son pucelage anal.

 

Depuis ce jour, Rémi cherchait activement sa prochaine victime, et cette fois il espérait bien qu'elle serait pucelle!

Il explorait chaque jour les différentes classes arpentant les couloirs et les terrains de sport pour affiner ses choix.

Il voulait dégotter  une ravissante et innocente jeune fille, qui serait encore pucelle !

 

Après quasiment une semaine à éliminer d'éventuelles candidates, Rémi ne pouvait empêcher sa bite de se déployer chaque fois qu'il posait les yeux sur la délicieuse Laurie Baxter.

Comme beaucoup de débutantes, elle faisait partie de ces pom-pom girls des équipes junior qui espéraient défendre les couleurs des équipes premières l'année à venir.

Rémi savait qu'elle était très populaire, elle était toujours entourée de nombreux amis, mais jamais de types comme lui.

Il la regardait passer devant lui accompagnée de ses amis, s'imaginant passer les doigts dans sa chevelure dorée alors qu'elle se trouverait allongée sous lui. Puis il traîna derrière eux notant son emploi du temps.

 

Le lendemain soir, Rémi épia de loin Laurie discutant avec des amies, puis il la suivit de loin alors qu'accompagnée d'une de ses amies elle traversait le champ derrière l'école. Ce champ était ceinturé d'arbres et d'arbustes qui séparaient l'école proprement dite d'autres bâtiments.

En atteignant le bout du champs, les deux filles se saluèrent  et partirent chacune de leur coté.

Comme il atteignait le bout du champ, Rémi la vit emprunter le chemin menant à sa maison, ce qui lui permettait d'ailleurs de la localiser.

 

Le lendemain matin, Rémi se leva tôt et se rua vers l'école, pas pour rejoindre sa classe mais pour épier Laurie se rendant en classe.

Comme elle était très populaire, il soupçonnait qu'elle se rendait en classe très tôt pour rencontrer ses amis et il voulait se faire une idée précise de son emploi du temps.

Vers 7 heures et quart, il la vit sortir de chez elle et se diriger vers l'arrière du lycée, Rémi avait repéré un endroit dans les bosquets touffus loin des yeux de la jeune beauté qui s'approchait.

Comme les cours commençaient à 8 heures, et que la plupart des étudiants arrivaient par l'avant du lycée, pas un ne venait par l'arrière de l'école à ce moment.

 

Le jeudi soir, à la sortie des cours, Rémi gagna fièrement leur repère, les autres savaient ce qu'il faisait et comprirent au sourire qui barrait son visage qu'il allait leur faire une importante annonce.

Puis il développa son plan.

 

Laurie Baxter était toute joyeuse d'avoir été élue capitaine des pom-pom girls pour ses 18 ans en début dannée. Elle avait mis une tenue très classique dans l'attente d'aller à l'église, elle se réjouissait d'avoir autant d'amis au lycée. Une fois prête à se rendre en classe, elle entama le court chemin qui devait la mener à l'arrière de l'école.

Elle se remémorait le week-end dernier, quand elle était sortie avec le garçon le plus populaire du lycée.

Etourdie elle l'avait entendu lui proposer un autre rendez-vous samedi soir, elle se réjouissait déjà à l'idée de se retrouver à nouveau avec lui. Elle revenait à la semaine dernière, lorsqu'elle s'était rendue chez lui, c'est là qu'ils avaient échangé leur premier vrai baiser.

 

Elle était si plongée dans ses pensées, qu'elle ne prêta aucune attention à la voiture garée dans le virage, deux jeunes gaillards y écoutaient de la musique. Elle fredonnait rêveusement en se représentant son prince charmant, elle était totalement hors de garde lorsque qu'un ado caché dans les buissons sauta sur elle.

Une main plaquée sur ses lèvres lui interdisait de crier alors qu'elle sentit ses jambes soulevées du sol.

Le jeune sur le siège passager avait rapidement ouvert une porte arrière pour permettre à ses copains de se ruer dans la voiture en traînant Laurie, il leur resta à ramasser ses livres et son sac tombés au sol.

Quelques secondes plus tard, la voiture démarrait emmenant la pauvre Laurie vers son sort.

 

La main gauche couvrant sa bouche, lui bloquant les bras de la main droite il jeta un oeil sur la jeune beauté apeurée.

A sa façon de se débattre en réalisant qu'elle allait se faire violer Rémi se doutait que c'était bel et bien une vierge qu'ils venaient d'enlever.

 

Comme Al entrait dans le motel, Rémi lui dit de prendre à gauche vers les dernières chambres.

En quelques secondes le gang en entier était dans la chambre du motel, jetant leur captive sur les draps blancs du grand lit qu'André et Tony avaient pris soin de préparer.

 

 

 

Ils lui levèrent haut les jambes, les tenant fermement alors que Rémi se penchait sur elle pour dégrafer son jean. Il prit un grand plaisir à descendre son jean sur ses cuisses dévoilant lentement ses charmes sous les yeux de ses comparses braillant des insanités.

Les deux qui lui tenaient les jambes lui ôtèrent ses tennis puis son jean, ceux qui lui tenaient les bras remontèrent son chandail et son corsage au dessus de sa tête, puis ils les jetèrent à terre.

 

Rémi était penché sur la jeune fille en pleurs lorsqu'il leur demanda de lui écarter les cuisses, il voulait contempler sa féminité qu'il ne tarderait pas à profaner.

Il tendit la main pour empoigner ses seins au travers de son léger soutien-gorge de dentelle, ses pouces trouvèrent ses mamelons qu'ils manipulèrent un instant avant qu'il ne le lui arrache dénudant ses nichons, il agita son trophée sous les yeux de ses complices hilares.

Se baissant il lui arracha sa fragile petite culotte et pressa son visage dans son buisson velu en savourant les flagrances suaves.

Puis il enfonça sa langue à la recherche de son petit clito sensible, provoquant de sourds vagissements alors qu'elle tentait à nouveau de leur échapper.

Relevant son visage, Rémi se posta entre ses cuisses pressant sa bite contre sa fente affolée.

Il se réjouissait en voyant sangloter la jeune ado épinglée sur le lit.

Rémi prit le téléphone et fit signe à Tony,  qui connaissait son rôle de bâillonner Laurie, il sourit à la jeune beauté affolée puis, d'une voix assourdie il parla dans le combiné :

 

Laurie se tortillait pour se dégager mais elle était incapable de libérer ses mains tenues vers le bas.

Elle voulait préserver sa virginité jusqu'au jour du mariage pour l'homme qu'elle aimerait et ce n'était pas pour la perdre avec cette bande de voyous.

 

Rémi pensait en lui même :

Le gland inséré dans sa chatte brûlante, Rémi se pencha et empoigna fermement ses globes fessiers

 

Elle ne parvenait pas à croire qu'on puisse avoir si mal, alors que sa fleur venait  d'être cueillie avec une extrême brutalité.

 

Il se retira un peu, jeta un oeil  entre leurs deux corps disjoints et annonça gaiement :

Et il se mit à la labourer furieusement.

Ayant atteint son but, Rémi avait de plus en plus de mal à se contrôler, sa bite tressautait prêt à exploser sur le champ.

 

Dès que Rémi épuisé se fut retiré de la chatte de la beauté en larmes, on aurait cru des requins reniflant frénétiquement l'odeur du sang.

Mais dans le cas de ces voyous c'était le sang virginal de Laurie s'écoulant de sa chatte meurtrie  qui les excitait tant.

C'était à celui qui plongerait sa bite dans la chatte sanguinolente de l'ex-vierge alors que Rémi se marrait :

Mains tenues au dessus de la tête, incapable de bouger son corps endolori, Laurie dut supporter les ados qui l'un après l'autre satisfirent avec son corps leur lubricité.

 

Environ une heure plus tard, elle réalisa que seul le chef n'avait pas abusé d'elle. Laurie s'efforçait de rester inerte, sans aucune réaction sous leurs assauts.

Elle avait fermé les yeux et évoquait des choses plaisantes cherchant désespérément à détourner son esprit de l'épreuve qu'elle subissait.

Elle savait que le chef, Al,  lui gardait quelque chose de terrible en réserve, il attira la table basse à coté du lit et s'assit dessus.

Elle en avala sa salive de peur comme Al posait les pieds sur le lit, jambes grandes écartées alors qu'il se mettait à se branler. Sa peur grandit encore comme il lui annonçait :

 

Le visage de Laurie afficha une horreur sans nom, au grand plaisir des spectateurs ravis de la voir paniquer.

Rémi s'agenouilla alors que le lit  lui saisit les cheveux et les tira :

Tirée par les cheveux sur le rebord du lit, Laurie ferma les yeux en s'agenouillant entre les cuisses du chef.

La large main  du pervers chef remplaça celle de Rémi.

 

Les doigts entrelacés dans ses mèches, lui interdisant toute fuite, Al bougeait les hanches frottant son gland sur ses lèvres serrées.

D'une saccade soudaine sur les cheveux, Al la fit crier de douleur, lui faisant écarter les dents.

C'est ce qu'attendait Al pour s'immiscer entre ses lèvres, il adora la façon dont elle se débattit pour le déloger de sa bouche.

 

La bite bien logée entre ses lèvres, Al sentait ses couilles s'emplir de sève, prêtes à lui exploser en pleine gorge.

L'expression de dégoût et d'humiliation qu'affichait son visage précipitait encore plus son envie d'éjaculer.

Il l'attira à lui, fourrant sa grosse bite dans son arrière gorge. Il rit en voyant ses yeux rouler dans ses orbites et son visage virer à l'écarlate, il était évident qu'elle ne pouvait plus respirer la gorge encombrée par la grosse hampe.

Allant et venant brutalement dans sa bouche asservie, Al grogna :

 

Sur ces mots il projeta de longs jets de foutre chaud au fond de sa gorge. Alors que sa bite mollissait, toujours encastrée dans la gorge de la jeune beauté choquée, Al lui tira la tête en arrière.

Il voulait se retirer rapidement de ses lèvres de peur qu'elle n'en colle partout. Le retrait de sa bite permit à Laurie de respirer à nouveau normalement mais il était évident qu'elle ne parvenait pas à avaler ce breuvage si riche en protéines. Se relevant, Il la rejeta sur le coté du lit.

 

Laurie tomba en arrière sur le lit, la tête appuyée sur le côté, sanglotant crachotant.

Juste à temps, Tony lui tendit la poubelle posée au sol, elle  se mit à vomir tripes et boyaux, des torrents de foutre jaillissant de sa bouche dans la poubelle.

 

Alors qu'elle était encore décomposée, Rémi grimpa sur le lit et saisit ses blanches hanches, la relevant il se pressa contre elle et la pénétra brutalement.

 

Un à un, ils assouvirent tous leur luxure sur l'innocente beauté, la baisant par le trou à leur convenance.

Tôt dans l'après-midi Laurie fut prise par trois gars en même temps, mais c'était maintenant totalement différent, son corps répondait ardemment aux assauts de ses agresseurs.

Laurie ne comprenait pas ce qui lui arrivait, pourquoi son corps réagissait-il orgasme après orgasme alors que ces voyous prenaient brutalement leur plaisir dans son corps il y a encore peu innocent.

 

A l'heure de la sortie des cours, ils la libérèrent derrière le lycée, elle rentra alors curer son corps de toutes ses souillures.

En redémarrant, les membres du gang agitaient leurs trophées par la vitre de la voiture, soutien-gorge et lambeaux de petite culotte, qui viendraient s'ajouter aux autres témoins de leurs viols antérieurs

Ils ne s'en faisaient absolument pas, sachant que leur victime était bien trop honteuse pour rapporter à qui que ce soit son viol, elle ne pouvait avouer à personne q'elle avait été violée et reviolée toute une journée, le corps dévasté par des violeurs noirs.

Elle ne mettrait même pas ses parents et ses amis au courant de sa disgrâce.  

 

Trois semaines s'étaient écoulées depuis le fantastique  viol de la ravissante prof dans sa salle de classe. Ils recherchaient maintenant la victime suivante.

Chaque jour, à la fin des cours, Dion gardait les yeux grands ouverts estimant les différentes éventualités.

Comme ils discutaient derrière le lycée, Dion répondit à ses comparses qu'il était sur une piste très chaude.

 

Tôt le matin même, Dion avait eu une sacrée inspiration en se  rendant à la bibliothèque du lycée avec sa classe d'anglais.

La mâchoire lui en était tombée à la vue de la ravissante bibliothécaire qui reçut sa classe.

La prof d'anglais la présenta comme mademoiselle Evelyne Mason, dont c'était le premier poste.

Elle avait aux environ 25 ans, et devait pesait aux alentours de 60 kgs pour 1, 70 m, elle avait de longs cheveux noirs et les yeux bleus.

 

 

 

 

Dion lorgnait ses longues jambes en pensant qu'il tirerait bien un petit coup avec elle.

 

En apprenant que c'était son premier travail au sortir de l'université, il supposa qu'elle ne devait avoir que 6, 7 ans de plus que les membres du gang, la proie idéale en quelque sorte.

A la vue de la bague de fiançailles à son doigt, il déduisit qu'elle s'était engagée avec un connard de blanc, ils seraient tous ravis de cocufier un de ses salauds de blanc.

Dion l'écouta leur expliquer le fonctionnement de la bibliothèque, il se mordait les lèvres, s'imaginant enfonçant sa grosse bite dans son étroit chenal anal.

 

L'après-midi du mercredi, ses copains l'entreprirent dès son arrivée à  leur repère.

Il se contentait de sourire et leur dit de lire un livre pour l'échanger et de le suivre. Avant d'entrer, Dion les prévint :

 

Assis autour d'une table, Dion gloussa à la vue de ses comparses yeux écarquillés, langues pendantes.

Alors que la jolie bibliothécaire était éloignée d'eux, il leur murmura :

Ayant surveillé la bibliothèque pendant 3 jours de rang, Dion les prévint :

Comme le groupe était parti quelques minutes avant qu'elle ne sorte de son bureau comme prévu, ils regardèrent par la fenêtre si tout se passait bien comme Dion l'avait prédit.

De retour dans leur repaire, Dion étendu sur le dos planifiait leur intervention dans la bibliothèque ce vendredi.

Al, le chef intervint pour mettre les choses au point, Dion ne serait prioritaire que pour casser le cul de la ravissante salope, mais il se réservait l'honneur d'être le premier à faire crier cette somptueuse blanche sous les assauts de sa grosse bite noire.

A ces mots, les autres membres du gang, étalèrent un jeu de cartes pour tirer au sort,  Tony, le plus fort du groupe sauta sur ses pieds en leur jetant le roi de pique au visage il s'exclama :

 

Evelyne Mason était toute excitée de travailler dans un lycée, c'était son premier boulot depuis l'obtention de son diplôme de bibliothécaire.

Elle se sentait encore un peu mal à l'aise lorsque que des étudiants s'occupaient plus de ses formes que de leurs études.

Plus tôt ce matin, elle  se sentit parcourue par un frisson d'inquiétude en voyant un groupe de noirs s'asseoir autour d'une table. Elle reconnaissait un des ados qui était venu avec sa classe la semaine dernière, mais elle n'avait jamais vu ses accompagnateurs.

Alors qu'elle inscrivait les livres que sortait une habituée elle s'enquit de savoir s'ils fréquentaient tous le lycée.

Rassurée elle constata qu'ils avaient tous le droit de se trouver là, mais elle ressentait d'étranges appréhensions alors qu'ils la lorgnaient avec insistance.

 

Cette nuit même dans la chaleur douillette de son appartement, Evelyne regardait la diamant qui étincelait à son doigt cette bague de fiançailles qu'elle avait attendu anxieusement que lui donne son amour de collège.

Et maintenant elle était engagée envers Dave Trask, elle ferma les yeux pour imager son rêve, elle se voyait dans une ravissante robe de mariée, descendre l'allée principale de l'église au bras de l'homme qu'elle aimait depuis si longtemps.

Elle pensait que rien ne s'opposait plus à leur bonheur ce qui lui semblait parfait.

Elle rêvait de fonder une famille avec Dave, elle espérait avoir trois enfants.

Alors qu'elle rêvait à la famille idyllique qu'elle allait fonder, elle ne pouvait savoir qu'elle était l'objet des rêves lubriques d'une  bande de jeunes brutes noires.

 

Le vendredi se déroulait calmement, la plupart des étudiants voulant rentrer tôt chez eux pour entamer leur week-end. Elle en fut d'autant plus étonnée de voir revenir le même groupe d'ados noirs que la veille.

Evelyne se sentait mal à l'aise, mais que pouvait elle faire ou dire, ils avaient le droit de fréquenter la bibliothèque aux heures d'ouverture, d'autant plus qu'ils ne perturbaient pas le fonctionnement s'abstenant de faire du bruit…

Cependant lorsqu'elle passait devant eux elle sentait qu'ils la déshabillaient littéralement des yeux, mettant tous ses charmes à nus pour s'en repaître du regard.

 

Comme elle aidait un étudiant au fin fond de la salle, deux des membres du groupe s'introduisirent dans la salle de consultation et se blottir de façon à ne pas être vus, se cachant derrière un paravent séparant les cabines.

Le reste du gang se dirigea vers la porte en faisant du bruit pour attirer l'attention de la bibliothécaire, lui donnant l'impression qu'ils partaient tous.

Plus tôt ils s'étaient rendus dans la salle de consultation des ouvrages et avaient pris une pile de livres à consulter qu'ils avaient abandonné sur leur table.

 

En entendant du bruit à la porte de sortie, Evelyne regarda les derniers ados noirs sortir de la bibliothèque. Elle soupira de soulagement et se retourna

Elle laissa échapper un soupir de soulagement, en se remettant à aider l'étudiant dont elle s'occupait.

 

Comme Dave s'était absenté pour assister à une conférence dans une ville voisine, elle revit ce qu'elle avait préparé pour son retour le lendemain. Elle disposait de sa soirée pour elle seule, elle avait pensé se promener sur le mail puis de rentrer chez elle lire des magazines.

 

Comme l'heure de la fermeture approchait, elle fit le tour de la salle en informant les derniers étudiants assis à leurs tables de travail.

Elle jeta un oeil dans la salle de consultation ne vit personne, et se retourna sur les derniers étudiants qui sortaient de la bibliothèque.

Le dernier sortit, elle verrouilla la porte et entreprit de vider les tables de travail. En arrivant à la table qu'occupait les ados noirs, elle vit la pile de livres qu'ils avaient abandonné, il était nécessaire de les rapporter dans la salle de consultation.

 

Elle ouvrit la porte avant de se glisser dans la petite pièce. Une main se posa brusquement sur ses lèvres, alors qu'une autre lui agrippait fermement la taille elle laissa tomber les livres au sol alors qu'on la poussait dans un coin de la pièce.

C'est alors qu'un ado menaçant apparut devant elle, il faisait miroiter une longue lame menaçante devant ses yeux, lui intimant de rester calme et de se taire.

Le musculeux noir dans son dos la retenait captive alors que celui qui tenait le couteau disparaissait derrière la porte.

Un instant plus tard, elle frémit à son retour, accompagné de plusieurs autres voyous tous noirs.

 

La porte de la salle de consultation refermée, dans la bibliothèque fermée à double tour, le gang savait que ses cris ne porteraient pas à l'extérieur.

Des mains venues de toutes parts agrippaient ses vêtements et les déchiraient. Tous ses vêtements enlevés,  ils la traînèrent jusqu'à la table de consultation, où ils l'allongèrent. Elle était totalement livrée à leur concupiscence. Ils lui écartèrent les cuises de force.

 

Elle sanglotait de honte, entièrement nue sous les yeux de cette bande de voyous noirs, elle frissonnait de dégoût lorsque leur chef passa son couteau à un de ses comparses pour grimper sur la table.

En sentant le musculeux ado noir s'étendre sur elle, elle frémit d'horreur et de dégoût, hurlant son désespoir en sentant son gland épais s'insérer dans sa féminité révulsée.

Elle chercha à se débattre, à repousser ce pervers mais les mains des autres membres du gang la tenaient fermement épinglée sur la table.

 

Al frotta son épais bourgeon contre sa fente humide, la forçant à l'accueillir entre ses tendres cuisses blanches. Il se mit à haleter :

 

Elle hurla de douleur :

Mais elle ne devait attendre aucune pitié de cette jeune brute lubrique, ses plaintes ne faisaient que l'encourager à s'enfouir plus profondément en elle.

Il la violait de plus en plus sauvagement, il n'aimait rien de plus qu'entendre ses victimes hurler lorsqu'il les poignardait de son énorme bite noire.

 

Jamais Evelyne ne s'était fait baiser aussi violemment, la douleur irradiait de tout son corps. Elle l'entendit rire cyniquement en entamant des mouvements rotatifs du bassin qui accroissaient sa souffrance, elle hurla de plus belle de désespoir.

Soulagée, elle le sentit soudain se retirer lentement, mais s'était pour s'enfouir encore plus sauvagement en elle reprenant son martelage impitoyable.

 

Al gémit en sentant la jeune beauté crisper ses muscles vaginaux sur sa grosse queue, inconsciemment ses muscles intimes répondaient aux assauts se son violeur serrant fortement son épais gourdin.

Son corps musclé se mit à tressauter convulsivement alors qu'il crachait des geysers de foutre chaud dans son utérus.

Il se réjouissait d'entendre ses sanglots, la tête tournée vers le mur, se lamentant de s'être fait violer et dégrader par un ado noir.

 

Lorsque le chef se retira, avec un plop sonore,  elle pleura sourdement alors qu'ils la forçaient à se mettre à quatre pattes.

Déjà un autre ado grimpait sur la table s'accolant à ses fesses, elle pensa qu'il allait la prendre en levrette.

Dans cette position, humiliée, elle le sentit caresser son corps nu, elle se mordit la lèvre inférieure désireuse de le laisser assouvir sa lubricité sans qu'elle manifeste d'émoi.

 

Elle grinçait des dents alors que les rudes mains empoignaient ses hanches pour la positionner à sa convenance alors que l'épais gland parcourait sa fente de bas en haut.

C'est alors qu'elle sentit l'épais bourgeon bouger et se présenter devant son anus affolé.

Réalisant ses véritables intentions, elle chercha désespérément à se dérober à cet assaut contre nature, elle le suppliait :

 

Rien ne pouvait plus réjouir Dion que cet aveu, lui tenant fermement les hanches pour empêcher toute dérobade, il se vanta :

Lui serrant fortement les hanches, il donna un coup de boutoir de toutes ses forces.

Son corps frémissait de douleur, son violeur se retira lentement, puis il s'engouffra à nouveau entre ses fesses lui déchirant l'anus.

 

Sanglotante, yeux étroitement fermés, elle frémit d'horreur en sentant une main saisir ses cheveux alors qu'une épaisse queue se présentait devant ses lèvres.

Révulsée elle se voyait exiger d'ouvrir la bouche pour recevoir une bite souillée, un acte méprisable qu'elle venait de refuser d'exécuter à la demande de son fiancé la semaine dernière !

Sa bouche tremblait alors que la bite s'enfonçait de plus en plus profondément entre ses lèvres.

Ouvrant les yeux, elle vit avec horreur que 9 centimètres de bite dépassaient encore de sa bouche, alors que la main sur sa nuque la forçait à se pencher pour mettre sa gorge dans l'axe de la bite frémissante. Elle entendit alors l'ado souligner :

 

Quelques instants plus tard, la ravissante bibliothécaire était étendue de façon obscène cuisses grandes écartées sur la table de consultation.

Une épaisse crème s'échappait de ses orifices violés. La douleur avait meurtri son corps tout au long de cette immonde épreuve, il était évident que sa défaite était totale, elle était désormais incapable de leur opposer la moindre résistance. Rien ne comptait plus pour elle que le fait qu'elle soit dégradée.

 

Pleurnichant à gros sanglots, elle gisait sur la grande table, un de ses agresseurs la tira par les cheveux, l'obligeant à regarder son entrecuisse lui exposant ce qu'il lui destinait.

Le plus petit de ces voyous noirs, s'agenouilla à son tour sur le rebord de la table, se branlant en guise de préparatif.

Elle trembla en voyant la bite dans sa main grossir, prenant des dimensions  incroyables, grotesquement disproportionnées en comparaison de sa taille.

Elle se secoua effrayée par sa longueur et son épaisseur, elle savait que cette monstruosité risquait de la déchirer.

 

André aimait voir la peur s'inscrire sur le visage de ses futures victimes à la vue de son monstrueux outil.

Puis il s'agenouilla entre ses blanches cuisses  et plaça son épais bubon au centre de sa cible.

Il lui saisit ensuite les hanches et d'un violent coup de rein s'engouffra brutalement dans sa fente.

Elle n'avait jamais ressenti une telle souffrance auparavant, elle était sûre que cette brute avait déchiré ses muqueuses internes.

 

Il s'empara de son clito affolé le manipulant durement tout en, allant et venant dans ses muqueuses distendues.

La brute qui la baisait, la poignardait sans pitié, s'ensevelissant profondément dans son utérus pour faire jaillir des geysers de foutre chaud.

 

Après avoir subi André le géant, Evelyne fut prise et reprise par tous les voyous, la baisant par tous ses trous.

Elle dut embrasser celui qui la prit dans la position du missionnaire, puis lui caresser les couilles à deux mains, le branlant jusqu'à l'amener à gicler sur son corps.

 

Son épreuve terminée, Evelyne s'éveilla sur la table de consultation, couverte de sperme séché qu'ils avaient projeté sur tout son corps.

Abasourdie, elle se débrouilla pour se couvrir du mieux possible de ses vêtements, constatant la disparition de ses sous-vêtements que le gang avait emmenés pour garnir le tableau de leurs trophées.

Puis folle d'humiliation et de dégoût, elle nettoya la grande table elle frémissait de révulsion mais elle ne pouvait laisser personne se rendre compte de ce qui lui était arrivé.

 

Six semaines s'étaient écoulées depuis ce jour terrible dans la bibliothèque et Evelyne avait finalement surpassé sa peur de se rendre à la bibliothèque et d'y rester seule, de crainte qu'ils recommencent.

Elle et Dave était intime avant le vol, ils s'aimaient depuis leurs années collège, ils faisaient l'amour dans les occasions spéciales et pas seulement pour baiser.

Celui lui prit presque un mois avant de pouvoir refaire l'amour avec Dave, elle se sentait coupable de lui livrer un corps souillé.

Avant le viol faire l'amour avec Dave lui procurait des orgasmes satisfaisants, mais à son grand désespoir il éjaculait rapidement dans la capote, la laissant souvent frustrée.

Un  vendredi après-midi, un peu plus agité que d'habitude : du fait de la proximité des examens de mi trimestre beaucoup d'étudiants venaient rafraîchir leur mémoire en consultant des auteurs au programme.

Alors qu'Evelyne aidait un étudiant dans ses recherches, elle avala sa salive à la vue d'un noir à l'aspect familier entrer dans la salle et s'asseoir à une table libre.

Un frisson lui parcourut le corps, il s'agissait d'un des ses noirs qui l'avaient violée dans la salle de consultation.

Elle se rappelait seulement la brutalité de cet ado vicieux lorsqu'il l'avait prise comme une bête sauvage.

Le pire pour Evelyne était de reconnaître la façon dont elle avait répondue à ses assauts frénétiques, celui la même qui s'était vanté :

Elle ferma les yeux alors qu'un autre frisson courait dans ses lombes, les muscles de ses cuisses se crispaient alors que sa cyprine lui trempait la fente.

 

Toutes les nuits, André se masturbait en se représentant l'image de la somptueuse  bibliothécaire qu'il avait baisé dans la bibliothèque de l'école, et en se rappelant de quelle manière  elle avait répondu à ses assauts.

Il se souvenait comment elle avait verrouillé ses chevilles dan son dos le corps secoué de soubresauts convulsifs alors qu'elle jouissait intensément.

C'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré !

Comme elle ne s'était plainte auprès de personne de son viol, il savait qu'il pouvait retourner en toute sécurité à la bibliothèque, il se demandait seulement quelle serait sa réaction en le voyant de nouveau.

Il pensait que ça valait le coup d'essayer, se murmurant en lui même :

 

Evelyne avala sa salive lorsqu'il la regarda fixement, elle ne pouvait interrompre les crispations spasmodiques de ses cuisses, ni le flot de cyprine qui poissait le fond de sa petite culotte.

Comme l'heure de la fermeture approchait, les étudiants quittèrent la bibliothèque un à un.

Elle regarda André se lever et se rendre dans la salle de consultation. Son coeur battait la chamade lorsqu'elle avisa les derniers étudiants qu'elle allait fermer.

En passant devant la salle de consultation, Evelyne lança un timide sourire à l'ado  noir qui lui souriait en retour.

Elle fit le tour de la bibliothèque vérifiant que tous les étudiants étaient partis, puis elle verrouilla la porte.

Se retournant elle s'appuya contre le mur, puis se dirigea lentement vers la salle de consultation, son esprit lui criait qu'elle était folle et qu'elle ferait mieux d'appeler la sécurité qui la débarrasserait de son ex agresseur.

En entrant dans la petite pièce, elle se mordait les lèvres alors qu'il l'attendait vêtu de son seul jean.

Elle avala sa salive comme il s'approchait d'elle, elle suivait des yeux ses mains qui déboutonnaient son pantalon.

Evelyne le regardait éperdue, avançant vers lui, le repoussant contre les cabines métalliques.

 

 

 

 

 

A la vue de la réaction de la belle femme à son entrée, du fait qu'elle était restée seule avec lui dans cette pièce où le gang l'avait violée, il devinait qu'elle espérait se faire baiser à nouveau.

Il savait qu'elle ne se contenterait pas d'une séance pépère, mais qu'il devrait la prendre sauvagement comme le jour de son agression.

Il aimait la voir frémir d'appréhension, la voir mordre ses lèvres inquiètes, la façon dont elle fermait les yeux tout en se collant contre lui.

 

Il aimait l'entendre haleter yeux écarquillés et vides alors qu'il déboutonnait son corsage gris, repoussant son soutien-gorge pour s'emparer de ses lourdes mamelles aux tétons raidis.

Il s'occupa d'abord d'un nichon, puis de l'autre.

Elle posa ses mains sur ses épaules enfonçant ses ongles dans sa peau, mais sans tenter de le repousser.

Sa grande main courut sur sa robe, la lui enlevant, puis il roula sa petite culotte sur ses genoux.

Le fragile sous vêtement ne tarda pas à tirebouchonner sur ses hauts talons.

 

 

Il l'embrassa sachant qu'elle était à lui.

Il lui releva facilement les cuisses alors qu'elle s'appuyait dos contre le métal des cabines, il continuait à fêter ses tétons roses.

Petite culotte entortillée autour des ses chevilles, il s'avança entre ses cuisses sa bite encore cachée par sa robe alors qu'il se positionnait correctement. Il courba les genoux, bite frémissant à l'orée de sa fente, et se releva brutalement l'embrochant sauvagement.

 

Elle enfonça ses ongles dans ses épaules et l'étreignit fermement entre ses bras noués derrière sa nuque, l'embrassant follement alors qu'il la repoussait contre le froid métal des cabines.

 

 

Evelyne était désespérément en manque de satisfactions sexuelles, elle agrippa son cou, ses jambes se nouant dans son dos, alors que sa petite culotte pendait misérablement accrochée à une de ses chaussures.

 

Quelques instants plus tard, elle était étendue sur le froid plancher de la bibliothèque, le musculeux ado vautré sur elle, sa bite glissant lentement hors de sa chatte avec un sonore plop.

Ils se déshabillèrent alors mutuellement explorant minutieusement leur corps des mains et des lèvres, pour terminer en un classique 69

 

André savait que la somptueuse bibliothécaire attendait qu'il la reprenne à nouveau, elle haletait comme une chatte en chaleur, espérant qu'il allait la reprendre aussi brutalement que la première fois.

Il voulait plaire à cette jeune et innocente salope,  il aurait aimé que le jeune blanc qui lui avait offert cet anneau de fiançailles assiste à leurs ébats, qu'il constate la pureté de sa ravissante promise.

Se souvenant de la façon dont elle avait joui lorsqu'il l'avait violé six semaines plus tôt, il décida de la défoncer de la même façon.

 

Evelyne sentit un frisson lui parcourir la colonne lorsqu'il la disposa à quatre pattes, elle se souvenait à quel point il avait été brutal lorsqu'il l'avait baisée comme une chienne ne chaleur.

Elle se remémorait son humiliation alors que le reste du gang hurlait des encouragements tandis qu'André la prenait en levrette. Elle se souvenait comment André lui même s'était mis à hurler sa victoire alors qu'il l'emplissait de foutre.

 

Vingt minutes plus tard, ils gisaient effondrés sur le sol, corps emmêlés, bras et jambes entrelacés. André se releva alors qu'elle lui éteignait fermement le cou, la gardant dans ses bras.

Puis il l'assit sur la table de consultation, elle lui enserrait toujours le cou de ses bras, ils s'embrassèrent avec passion. Bouches grandes ouvertes, langues explorant mutuellement leurs bouches, elle assura son emprise autour de son cou encerclant son torse de ses cuisses.

 

Lorsqu'ils cessèrent leurs patins passionnés, Evelyne sentit qu'il baisouillait son cou puis qu'il descendit lui cueillir un téton entres ses dents.

 

Après un troisième accouplement furieux, les amoureux épuisés cessèrent leurs étreintes,  la ravissante bibliothécaire se releva.

Au moment de remettre sa petite culotte jaune pâle, elle hésita puis s'approcha d'André, elle se pencha sur lui et la glissa dans sa poche lui susurrant à l'oreille :

 

Retournant rapidement chez elle, Evelyne était sur le point d'entrer dans son appartement lorsque Dave se gara sur le parking. Paniquée de le voir arriver si tôt elle lui cria :

Elle se dépouilla rapidement de sa robe froissée et en enfila une autre, elle saisit une petite culotte propre dans sa commode et l'enfila, immédiatement elle sentit le fond de son cache sexe se tremper de cyprine et de foutre mélangés.

Elle sortit précipitamment pour accueillir Dave d'un tendre baiser.

 

Le soir même, Dave se réjouissait de voir sa jolie fiancée irradier de bonheur, il s'était tracassé pour elle la voyant dépressive ces six dernières semaines. Il ne comprenait pas ce qui avait pu l'atteindre si profondément, elle s'était contenté de lui dire que c'était du aux difficultés de sa première année de travail.

Comme ils soupaient ensemble, il lui semblait que les bons moments d'autrefois étaient revenus, et lorsqu'il l'embrassa, elle répondit à ses avances insérant sa langue dans sa bouche.

Elle le surprenait délicieusement, habituellement c'est lui qui prenait l'initiative, il fut encore plus surpris lorsqu'elle posa sa main sur sa cuisse, glissant sa main sur sa virilité qu'elle enserra entre ses doigts.

 

Après ce dîner intime, Dave jeta un oeil anxieux sur Evelyne, il voulait rester seul avec elle pour lui faire l'amour.

Il la ramena à son appartement, les baisers et les caresses prirent alors un tour plus favorable.

Dans l'obscurité de la nuit, il se débrouilla pour la caresser au travers de sa robe, de plus en plus hardiment. Il se réjouissait de la voir si réceptive sous ses caresses. Abasourdi  il la sentit empoigner sa bite au travers de son pantalon, jamais elle ne s'était comportée ainsi auparavant.

 

Faisant glisser son soutien-gorge sur ses épaules, il empauma ses seins et captura dans sa bouche un de ses sensibles tétons. A sa façon de se tortiller, de vagir, alors qu'il suçait habilement son mamelon il pensa que c'était ses caresses qui l'avaient embrasée.

 

Dave glissa sa main dans sa petite culotte et sentit que le fond était trempé, il pensa qu'elle avait réellement faim d'amour. Sa queue se déploya lorsqu'Evelyne murmura à son oreille.

 

FIN

 

 

28 mars 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

blackdemonstories@yahoo.com



Review This Story || Author: Coulybaca
Previous Chapter Back to Content & Review of this story Next Chapter Display the whole story in new window (text only) Previous Story Back to List of Newest Stories Next Story Back to BDSM Library Home