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Review This Story || Author: Coulybaca

Viols à l'université - Les premières proies

Chapter 1

Viols au lycée 1 Les premières proies

High School Rape Club I
Coulybaca / Black Demon

 

 

 

 

 

Prenant place dans leur planque favorite au fond du lycée, ils surveillaient pour s'assurer qu'aucun prof ne s'approchait les empêchant de terminer leur dernière cigarette.

Ils n'étaient pas vraiment volontaires pour fréquenter le lycée, mais c'était toujours mieux que le centre de détention qu'ils avaient déjà tous visités.

Cependant ils devaient admettre d'être surveillés, cependant le lycée s'avérait aussi un excellent vivier où se procurer de la jeune môme bien fraîche

Ils étaient tous noirs et se considéraient comme les voyous du lycée, ceux qu'aucune fille honnête, qu'elle soit blanche ou noire, n'approchait

 

Depuis un mois ils étudiaient toutes les opportunités que pouvaient leur offrir le lycée, depuis un événement mémorable qui s'était déroulé un mois plus tôt, leur attitude envers l'école avait totalement changé, et depuis ils ne rechignaient plus à fréquenter le lycée.

Ils avaient commentés entre eux cet événement, et ils voulaient le reproduire.

Al le chef de la bande se vantait depuis de sa présence d'esprit qui lui avait permis de se taper cette superbe nénette blanche.

 

Un mois plus tôt, Kris Engle quittait l'école après une réunion du conseil des élèves. Elle avait récemment été élue reine du lycée, c'était une des filles les plus populaires de l'école.

C'était une des aînées, elle avait le même âge que les membres du gang, toutefois ces gaillards ne concouraient que pour des diplômes de bas niveau.

Kris était une véritable beauté avec ses longs cheveux bruns, sa peau ivoire, elle pesait environ 65 kg pour 1, 75 m.

 

Al avait déjà suivi Kris qui rentrait chez elle, à pied, il savait quel chemin elle empruntait généralement.

Courant vers le fond du lycée pour les membres du gang étaient réunis, il les rameuta et ils partirent en courant. Ereintés par leur course rapide, les quatre complices se cachèrent dans l'entrée d'une maison abandonnée.

Si tout marchait bien, Kris Engle couperait bientôt au travers du terrain à peu de distance de son domicile.

 

Les choses tournèrent exactement comme l'espéraient les membres du gang, tout contribuait à la défaite de la jeune beauté.

Comme Kris, insouciante traversait le terrain en face, elle fut soudain agrippée par derrière et entraînée dans l'obscurité de la maison abandonnée.

Personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils la maîtrisaient facilement, la déshabillant de suite.

 

Pour Al cette ravissante reine de beauté était tout d'abord une salope de blanche. De plus c'était la première pucelle qu'il plumait. Il se réjouissait de voir sa proie se débattre, d'autant plus qu'il savait qu'elle ne pourrait pas s'échapper.

Son cri de douleur lorsqu'il lui ravit son pucelage ne fit qu'accroître le respect de ses complices pour Al.

 

L'un après l'autre, les membres de groupes  assouvirent leurs appétits lubriques sur le corps  innocent de la reine de beauté.

Ils la laissèrent dans la maison abandonnée, remontant leurs fermetures éclairs pour regagner leur crèche.

Ils emmenèrent sa petite culotte blanche en dentelles se marrant à l'idée de se faire un tableau dont le cache sexe serait le premier trophée.

 

Le lendemain, chacun des membres du gang était assis dans sa classe nerveux, s'attendant à tous moments à ce que la police vienne les arrêter en plein cours.

Mais à la fin du jour, ils étaient à leur place habituelle, ils étaient soulagés, il était évident que leur victime avait trop honte pour informer ses amis et sa famille de son viol.

 

Comme Al avait posé la première pierre de ce type de divertissement, ils étaient tous impatients de continuer.

André, le plus petit du groupe voulut avoir l'honneur de dégotter la prochaine victime. Comme André voulait toujours prouver sa valeur aux autres membres du gang, ils rirent quand il se vanta de trouver une autre petite beauté pour satisfaire leur lubricité.

 

André ne rencontra pas le gang de la semaine, déterminé à rechercher sa victime potentielle.

Il ne voulait pas être à être raillé par groupe et il voulait maîtriser l'événement à la perfection quand viendrait le jour mémorable.

Les deux premières proies visées s'avéraient très difficiles à piéger, elles étaient toujours accompagnées d'autres jeunes.

 

Se promenant attentif autour du terrain d'entraînement des bruits et des cris provenant de la salle de gym attirèrent son attention.

Il y vit les pom-pom girls de l'équipe de volley-ball sauter de ci de là, s'entraînant.

Bien sur l'équipe des pom-pom girls était constituée des filles les plus attirantes des deuxièmes années aux aînées.

Il ne se tromperait sûrement pas en sélectionnant une des pom-pom girls, mais laquelle pouvait-il prendre pour cible.

 

Comme l'entraînement de volley se terminait, que les filles quittaient le gymnase, André regardait les pom-pom girls vider les lieux.

Lorsqu'elles se mirent en route, il vit Dana Belton se séparer des autres et partir seule vers sa maison.

La suivant à distance il observait la jolie pom-pom girl aux cheveux dorés longer les cinq immeubles qui la séparaient de sa maison.

Il releva les différents endroits où le gang pourrait se cacher pour s'emparer d'elle.

Dana était une charmante fille de deuxième année de 55 kg pour 1,70 m, C'était sa deuxième année dans l'équipe des pom-pom girls, elle avait de bonnes chances de prendre la tête de l'équipe dans sa dernière année d'études.

 

Elle était aimée de tous et venait de se fiancer au quaterback de l'équipe de football américain. Elle était très heureuse, la vie lui souriait.

 

Traînant à un bloc d'elle, André regardait Dana retourner chez elle.

Lorsqu'il vit qu'elle rentrait chez elle, il continua, dépassa sa maison, puis revint sur ses pas.

En retournant, il emprunta une passerelle qui permettait de franchir une ravine assez profonde.

Jetant un coup d'oeil circulaire histoire de vérifier que personne ne lui prêtait attention, il se dirigea vers le fond du ravin.

Il sourit en constatant que le lieu se prêtait parfaitement à leurs intentions, là ils pourraient s'occuper en toute sérénité des appâts de Dana.

 

En rentrant chez lui ce soir là, André consulta le programme des activités du mois cherchant la date de la prochaine rencontre à domicile de l'équipe de volley.

Voyant qu'elle aurait lieu le jeudi prochain, il encercla cette date sur son calendrier.

Puis il réfléchit à ce dont il aurait besoin pour augmenter le tau de plaisir de ses complices. Maintenant qu'il avait développé son plan, il rejoignit le gang le lendemain après la classe et les prévint de la date du prochain viol.

 

La veille au soir, André emprunta la voiture de son frère pour un court voyage. Pour son coup d'essai, il chargea un vieux matelas roulé sur lui-même dans le coffre de la voiture. Il s'empara aussi d'un rouleau d'adhésif, il ne serait pas bon de la laisser crier alors qu'ils seraient si proches des habitations. S'arrêtant au à proximité de la passerelle, il transporta le matelas dans la ravine la stockant sou le petit pont.

Il sourit, il voulait que Dana soit confortablement installée sur le matelas lorsqu'il lui ravirait sa fleur.

Même s'il avait tort, André était à peu prêt certain qu'elle avait gardé sa précieuse virginité.

 

Pour la première fois, le groupe assistait à un match de volley-ball féminin.

Mais au lieu de suivre le déroulement du match, ils regardaient Dana Belton lancer ses jambes en l'air.

Ils en bavaient tous d'envie, ils empoignèrent leurs bites incapables d'attendre qu'ils aient le plaisir de la dépouiller de son uniforme pour la voir lancer ses jambes en l'air alors qu'elle aurait une grosse bite noire fichée dans la chatte.

Lorsque la partie se termina, le gang quitta précipitamment la salle de gym, se ruant vers la ravine.

 

André s'était caché derrière un arbre proche de la passerelle, le reste de la bande attendait impatiemment sous la passerelle. Il espérait que Dana rentrerait par le même chemin que l'autre jour, sans quoi la bande ne lui pardonnerait jamais son échec.

Quelques minutes plus tard, il haleta en voyant la jeune beauté dans son uniforme bleu et blanc de pom-pom girl s'approcher de lui.

Fredonnant le chant de ralliement du lycée Dana n'était pas consciente d'être épiée par des regards lubriques.

 

A l'instant où elle dépassait l'arbre, sa bouche fut soudainement bâillonnée par une large main et elle fut prestement entraînée dans le ravin.

Ils lui collèrent de l'adhésif sur la bouche lui interdisant tous cris, alors qu'ils l'étendaient brutalement sur le matelas, bras épinglés au dessus de la tête. Quatre colosses noirs le visage couvert de cagoules de ski la surplombaient.

Elle frissonna de peur lorsqu'elle se rendit compte qu'ils s'étaient déshabillés et qu'ils la dépouillaient maintenant de ses tennis et de son uniforme.

 

Comme André avait tout programmé, l'honneur de passer en premier lui revenait.

Il sourit à la vue de Dana étendue dans toute sa beauté sur le matelas, bras fermement maintenus au dessus de sa tête et cuisses grandes ouvertes.

 

S'agenouillant sur le matelas, il savourait l'étincelle de peur dans les yeux de la jeune gazelle, il s'allongea pour sucer et mâchouiller ses tendres mamelons.

Sa bite tressautait d'impatience, anxieux de pénétrer sa victime, il avait peur d'éjaculer prématurément et d'être de ce la fait la risée du gang.

Il la saisit aux hanches et assura son emprise, d'un élan vicieux, il poignarda son étroite petite chatte alors que Dana sa débattait de toutes ses forces.

 

Son excitation était trop forte, son corps fut secoué de spasmes convulsifs alors qu'il tapissait son fourreau de son foutre chaud et crémeux.

Finalement il se retira de la jeune beauté qui pleurnichait et fièrement il exhiba sa bite sanguinolente aux autres membres du gang.

 

L'un après l'autre ils sautèrent tous la ravissante pom-pom girl.

Ils étaient tous impatients de la ramoner, sans se soucier de la faire jouir. L'un après l'autre ils se vidèrent dans l'utérus de la larmoyante beauté.

Ils savaient qu'elle ne pourrait reconnaître leurs visages, mais par précaution ils l'avertirent des conséquences si elle rapportait son viol à qui que ce soit. Ils lui dirent aussi que tous les élèves apprendraient  qu'elle avait été ruinée par quatre nègres, ricanant en lui demandant ce que ferait son quaterback s'il venait à savoir que le pucelage de sa petite amie avait été ravi par un nègre.

Une heure après avoir entraîné Dana dans la ravine ils retournèrent à leur repaire. Ils emmenaient la petite culotte bleue de la pom-pom girl pour l'accrocher avec leurs autres trophées.

 

Le lendemain, ils comprirent qu'elle n'avait rapporté à personne le viol qu'elle avait subi, étant donné que Dana était présente à l'entraînement des pom-pom girls, il surent alors qu'une fois de plus ils resteraient impunis.

 

Le plus grand d'eux tous s'appelait Tony, un jeune géant d'un mètre 90 pour 100 kg, il releva le défi d'être le suivant à débusquer une proie.

Tony n'était pas très intelligent, il était à peine capable de lire, mais il était très fort et personne ne se moquait de lui dans le gang.

 

Les jours qui suivirent, alors que Tony explorait les opportunités,  les autres membres du gang se demandaient s'il serait assez vif pour monter un plan qui se tienne.

Ils se disaient que si Tony échouait, ils pouvaient se faire prendre, ils se retrouveraient alors en taule, ayant tous dépassé lâge de 18 ans depuis quelques mois..

 

Trois jours plus tard, Tony revint les voir, il avait les mains vides et n'avait aucune idée pour tenir son défi. Il avait remarqué quelques proies potentielles et les avaient suivis, pour se rendre compte que ce n'était pas possible d'aller plus loin avec elles.

Il avait remarqué des cris et des hurlements provenant du terrain de foot, il était donc allé voir ce qui provoquait ce tohu-bohu. Une jolie petite rousse retint son attention sa beauté et sa petite taille faisait palpiter sa queue de convoitise

Sa douce peau laiteuse semblait faite pour frotter de sa rugueuse queue noire contre elle.

N'étant qu'une jeune étudiante de seconde année, Karen Kelly était déterminée à faire feu de toute occasion pour se mettre en évidence.

Mais elle savait qu'elle devait s'entraîner dur pour bonifier ses dribbles et ses tirs. Sa vitesse était un bon avantage, elle ne mesurait qu'un mètre 65 pour 60 kgs.

 

L'entraînement terminé, Tony vit que Karen était restée après les autres sur le terrain. Tony partit avec les derniers spectateurs et les parents de joueuses pour ne pas éveiller les soupçons, mais arrivé à une certaine distance, il revint sur ses pas et vit que la jeune athlète continuait à travailler ses dribbles et ses tirs.

Il la regardait descendre et remonter le terrain ballon au pied pour parfaire sa condition, il remarqua bien vite qu'elle était seule à s'entraîner si tard.

 

Lorsque Karen prit le chemin de son domicile, Tony explora le terrain et les vestiaires où les joueuses déposaient leurs tenues civiles et leurs sacs avant de partir s'entraîner, il examina le verrou et se dit que la pince qu'il utilisait pour couper les feuilles de métal devrait facilement en venir à bout.

Comme l'obscurité tombait, il décida que cette fois il allait pouvoir mettre son plan en place. Sa bite palpitait à l'idée d'être le premier à goûter aux charmes de cette mignonne petite rouquine.

 

Deux jours plus tard, le gang attendait impatiemment la fin de l'entraînement de football, ils restaient cachés dans la cabane d'entretien.

Ils regardaient par les trous pour jeter un oeil sur la rouquine choisie par Tony, et ils tombèrent tous d'accord pour dire que son choix était judicieux.

Ils lui donnèrent tous une tape amicale dans le dos, aspirant à voir la montagne noire s'installer entre les cuisses de la menue petite rousse. Il se sentait un peu  désolé pour la jolie Karen en comparant sa corpulence et celle de cette brute de Tony.

 

Finalement l'entraînement se termina et Karen resta sur le terrain pour améliorer ses compétences.

Après un quart d'heure d'efforts, Karen se dirigea vers son sac de sport. Assise sur le ballon, elle sortit une gourde d'eau pour étancher sa soif.

Soudain une large main se plaqua sur sa bouche et elle fut tirée en arrière glissant immédiatement du ballon sur lequel elle était assise.

Se débattant de toutes ses forces, Karen fut aisément entraînée dans l'obscurité d'un vestiaire. 

 

Épinglée sur le vieux matelas sale que Tony avait emprunté à André, Karen clignait follement des yeux cherchant à percer les ténèbres.

Puis ils allumèrent la lumière et Karen frémit de peur, les bras tenus au dessus de la tête, elle fixait les musculeux noirs se tenant au dessus d'elle, ils tenaient tous leurs grosses bites en main et se masturbaient lentement.

Elle était d'autant plus effrayée qu'ils portaient des cagoules, voyant cela elle comprit qu'elle allait se faire violer.

Elle frémissait de peur, ébahie qu'un pénis puisse s'avérer aussi gros et aussi long, elle n'avait vu que ceux de jeunes bébés auparavant.

Elle appela alors au secours mais personne ne pouvait l'entendre en ce lieu déserté.

 

Tony s'agenouilla sur le matelas, lui enleva ses chaussures de foot puis ses grandes chaussettes, se redressant il agrippa la ceinture de son short, et le roula avec sa petite culotte blanche sur ses genoux.

Les membres du gang se réjouissaient de voir dévoiler sa toison de feu. Son petit corps blanc faisait un tel contraste excitant avec sa toison rousse qu'ils se branlèrent à gestes saccadés.

André lui tenait les bras au dessus de la tête, il poussa ses genoux sur ses bras libérant ainsi ses mains avec lesquelles il remonta son maillot à hauteur de son menton.

Puis Tony arracha son mince soutien-gorge leur offrant ses mamelons rouges vifs.

Karen sanglota et soupira, honteuse et humiliée, d'être ainsi exposée sous les yeux de mâles pour la première fois.

 

Se penchant sur la beauté qui se débattait, Tony mordilla ses tendres mamelons,  les pinçant avec ses dents pour ensuite les étirer.

Karen se lamenta plus fort, les suppliant de cesser de la tourmenter.

Il s'étendit sur la beauté dont les jambes étaient largement écartées par les soins de ses coéquipiers.

En la couvrant de son corps noir musculeux, ses comparses relâchèrent les jambes blanches de Karen qui lui donna des coups de pied se débattant de plus en plus, elle ignorait que sa révolte ne faisait qu'accroître l'excitation de son agresseur.

 

Tony frotta alors son gland épais le long de sa fente toute sèche, il pressa son bourgeon au centre de sa chatte.

Ses plaintes et cris hystériques réjouissaient Tony et ses copains.

Se relevant un peu, Tony se retira puis l'embrocha à nouveau, puis il se calma le temps de reprendre son calme, d'éviter de balancer trop vite sa purée, il regardait ses copains murmurant.

Sur ces mots il se mit à la labourer sans pitié pour rapidement tapisser son utérus de son foutre crémeux.

 

Une heure plus tard, tous les membres du gang s'étant vidés les couilles dans sa chagatte, ils l'abandonnèrent sanglotante dans le vestiaire, ils repartirent avec un nouveau trophée soyeux à ajouter à leur collection.

 

Après avoir averti la  pleurnicheuse beauté des conséquences sociales qu'entraîneraient la révélation de son viol, ils étaient confiants, elle se tairait, ils resteraient impunis.

 

Le lendemain, comme le groupe était réuni à l'endroit habituel, Rémi comprit que c'était son tour de dégotter la prochaine proie pour divertir le groupe.

Il devait trouver une vierge, comme tous ses copains qui avaient démontrés à quel point il était savoureux de les dépuceler.

Aussi Rémi se mit-il en quête de la victime rêvée.

 

Il y avait une fille qu'il voyait souvent dans sa salle d'études, lorsque libre de tous cours, ils se réunissaient dans une salle désignée pour y faire le travail qu'ils désiraient.

Comme Rémi était peu concerné par le travail de classe, il prenait habituellement une chaise et s'asseyait derrière les filles qui retenaient son attention.

Il savait qu'il n'avait aucune chance d'attirer l'attention d'une blonde aussi mignonne, qui, apprit-il était très brillante, elle était d'ailleurs présidente de la société d'honneur du lycée et vice présidente du comité d'élèves. Cela faisait des mois qu'il avait remarqué cette intelligente beauté Maintenant il était déterminé à se faire la ravissante Julie Wieland.

 

Afin d'en déterminer l'opportunité, chaque soir après les heures d'études, Rémi suivait la jolie fille qui allait suivait le cours suivant.

Il observa ce qu'elle faisait la classe était terminée, elle allait chaque  soir à la bibliothèque

Il ne la vit jamais en galante compagnie, elle se montrait amicale, mais apparemment n'avait pas de petit ami.

Il était certain que Julie rassemblait les bonnes conditions : elle était jolie et vierge.

Agée de 18 ans et demi, Julie tâchait de compléter sa dernière année d'études au collège.

Elle avait postulé pour une inscription à l'université d'état, et sa candidature avait été retenue.

Elle était impatiente de quitter le collège pour rejoindre son petit ami étudiant de l'université d'état

Elle était follement amoureuse de Brad depuis ses premières années collège. Ces deux dernières années, depuis qu'il avait quitté le lycée, Ils ne se voyaient que pendant les vacances scolaires qu'ils passaient ensembles.

 

Tapi dans la bibliothèque, Rémi épiait sa ravissante proie qui étudiait à une table de travail. Il décida d'attendre qu'elle quitte la bibliothèque et de la suivre, il ne voulait surtout pas attirer l'attention sur lui. Jetant un  oeil sur les horaires d'ouverture affichés au revers de la porte, il vit que la bibliothèque fermait à 17 heures.

 

Traînant  au bout du vestibule, Rémi regardait les derniers étudiants quitter la bibliothèque sur le point de fermer.

Il vit Julie sortir et se diriger vers le parking réservé aux étudiants. De loin, il la vit monter dans une Honda grise argent et démarrer.

Une fois qu'elle fut partie, Rémi examina attentivement le parking, essayant de déterminer comment s'emparer de leur proie.

Avec l'aide de son groupe, il devrait bientôt goûter aux charmes de la jeune beauté qu'il convoitait depuis 4 mois.

 

Les deux jours suivants,  Rémi continua à épier l'insouciante Julie  Wieland, pour vérifier que rien ne pouvait venir se mettre en travers de son plan.

Chaque jour elle fit la même chose, et Rémi était de plus en plus déterminé à cueillir le pucelage de cette beauté blanche sous les yeux de ses copains.

 

La semaine suivante, Rémi et ses potes sirotaient des canettes de bière à l'arrière de sa vieille camionnette bien entretenue.

Personne ne pouvait les voir derrière les vitres teintées. Rémi gardait un oeil sur la sortie de l'école d'où devait surgir la beauté blonde.

Il avait consommé suffisamment de bière pour se donner le courage de faire de ce jour le meilleur de sa vie !

 

Il avait garé sa camionnette à coté de la Honda vieil argent de Julie, la porte à coulisse entrouverte, ils l'attendaient. Vers 17 heures Rémi sortit du véhicule pour pisser, surveillant l'extérieur. Enfin il leur donna le signal de poser leurs bières d'enfiler leurs cagoules et de se tenir prêts. Lorsque l'insouciante jeune fille se tint entre sa voiture et la camionnette elle sortait ses clefs lorsque soudain une large main se plaqua sur sa bouche et on l'entraîna à l'arrière de la camionnette.

Une fois leur proie à leur disposition dans la camionnette, ils refermèrent la porte coulissante Rémi démarra et ils s'éloignèrent.

Comme Rémi se dirigeait vers le bout le plus éloigné du terrain de sport; André gardait la main plaquée sur la bouche de Julie, alors que Tony et Al s'acquittaient de la plaisante tâche de lui ôter ses vêtements.

Le temps de garer la camionnette, et la proie de Rémi était à poil, prête à servir.

Il était très fier : son plan avait marché et il allait s'installer entre les cuisses de la ravissante Julie pour lui ravir sa précieuse fleur.

 

Rapidement Rémi se mit en position il se coucha brutalement sur elle lui arrachant un cri de protestation, André avait enlevé sa main la bâillonnant.

D'un seul coup de boutoir Rémi enfouit sa bite raide dans sa chatte affolée. Mais son attente fut déçue, elle était encore très étroite, mais on lui avait déjà cueilli son pucelage !

 

Julie sanglotait horrifiée de se faire violer on ne l'avait jamais pénétrée aussi profondément et aussi brutalement. Elle s'était donnée à son petit ami un an plus tôt, et ils faisaient l'amour quand ils le pouvaient.

Mais c'était la première bite qui la pénétrait sans être capotée, elle savait qu'elle ne parviendrait pas à dire à son petit ami qu'elle avait été violée et dégradée par 4 nègres, elle ne pourrait d'ailleurs le dire à personne !

 

Après tous ces plans, tous ces rêves de lui cueillir son précieux pucelage, Rémi était dépité de ne pas avoir cet honneur.

Il devait faire quelque chose pour s'en remettre, il se retira de la cramouille de la beauté qui se lamentait.

Il la poussa aux épaules et dit à André de la pencher en avant. Puis il se glissa en place et pointa son gland sur la petite cible toute ronde.

C'était exactement ce Rémi voulait entendre, n'ayant pu se faire son pucelage initial, il voulait être le premier à lui casser le cul, à lui ravir son pucelage anal.

Lui saisissant fermement les hanches, il donna un coup de rein de toutes ses forces, arrachant un hurlement de douleur à sa douce victime.

Fièrement Rémi s'enfouit lentement dans le cul de la jeune beauté sous les applaudissements de ses complices éclatés de rire.

 

Une heure plus tard, la camionnette se garait non loin de la voiture de Julie, la porte coulissante s'ouvrit permettant à la jeune fille dépenaillée de descendre, ils avaient gardé sa petite culotte qui allait enrichir leur armoire aux trophées.

 

Après qu'elle se soit fait casser le cul, André s'était allongé sur le sol de la camionnette et avait attiré Julie sur lui la prenant par la chatte, Tony s'était installé dans son dos et lui avait fait goûter à une seconde bite dans le trou du cul alors qu'Al lui présentait sa grosse bite à sucer.

 

De retour dans leur repère les membres du gang se congratulaient se félicitant de leurs 4 exploits successifs. Ils se réjouissaient maintenant de fréquenter ce lycée.

Où d'autres auraient-ils pu trouver autant de beautés blanches, ici le gang pouvait choisir à son gré dans l'important vivier.

Ils savaient qu'ils  trouveraient toujours chaussures à leurs pieds parmi les jolies jeunes proies du campus.

 

C'est alors ils entendirent Dion les appeler, il frappait à la porte de leur repère. Ils le firent entrer et lui offrir une bière.

Dion était un petit nouveau dans le lycée, il cherchait désespérément à se faire accepter dans un gang.

Mais comme il était nouveau et qu'ils n'étaient pas certains de sa loyauté il le laissait tourner autour du gang comme une recrue possible.

Toutefois, il n'avait pas été invité à participer aux mésactions du groupe, il savait peu de chose de leurs méfaits.

 

Comme leurs exploits étaient revenus aux oreilles de Dion, jusqu'aux  noms de leurs victimes, ils l'avertirent que s'il en informait qui que ce soit il le paierait de ses couilles, cependant il les suppliait de le laisser se joindre à eux.

Alors Al l'informa qu'il y avait une initiation qu'il devrait réussir et qu'ensuite les différents membres décideraient ensembles.

Impatiemment il attendait que le chef de la bande lui dise ce que l'on attendait de lui. Il devait dégotter la prochaine victime du gang et programmer son rapt.

 

Dion se demandait seulement comment il allait y parvenir nonobstant son manque d'assurance.

D'après ce qu'il avait appris, toutes les filles qu'ils avaient sélectionnées auparavant étaient populaires toutes blanches et ravissantes. Il ne savait pas par où s'y prendre, et il passa les jours suivants à se promener dans le campus à la recherche d'une nouvelle proie.

Il savait qu'il devait trouver une fille que tous trouveraient attirantes, un non au vote l'empêcherait d'entrer dans le gang.

Dans chaque classe, Dion faisait le tour de la pièce et scrutait  les beautés.

Les cours terminés, il arpentait les vestibules la salle de gym et les terrains de sport.

Il en retint quelques unes mais du en éliminer plusieurs pour diverses raisons, certaines changeaient trop souvent d'itinéraires, d'autres étaient attendues par leurs parents...

 

En se rendant en classe de science en fin de journée, Dion écouta attentivement le principal leur annoncer que la prof régulière était tombée malade et il leur présenta une beauté abasourdissante qui la remplacerait le reste de l'année.

Etourdi, il flashait sur la somptueuse blonde, très élégante, avec une peau d'une blancheur laiteuse. Elle portait un chemisier jaune, une courte jupe blanche et des hauts talons. Sa bite se mit à palpiter dans son pantalon. Il sentit que le gang adorerait connaître la somptueuse Mélanie Wilson.

Il sourit réalisant qu'il avait enfin trouvé la clef qui lui ouvrirait la porte du gang.

 

La nuit même au creux de son lit, il rêva à l'adorable beauté qui serait son ticket d'entrée dans le gang et l'introniserait définitivement comme membre du groupe.

Il aurait souhaité être le premier du gang à tester ses charmes, mais il avait entendu dire qu'Al voulait être le premier pour marquer sa place de chef, puis les autres membres se la taperaient, laissant Dion sur la touche. Mais il savait qu'il devait faire des sacrifices en riant il corrigea de lui-même et gloussa

Les deux jours qui suvirent, Dion épia le concierge pour déterminer le temps qu'il mettait pour faire sa dernière ronde et chasser derniers étudiants.

Puis le concierge prévenait les profs restant dans leurs classes qu'il partait, leur demandant de fermer leur porte à clef avant de sortir par la porte latérale. Il remarqua que le concierge quittait les lieux  à 16 heures 30 et fermait avant de partir.

Il nota aussi que la ravissante Mélanie Wilson était  la seule prof à rester après les cours.

Comme elle se garait sur la gauche du parking, elle se trouvait dans une zone très passante ce qui rendait cet endroit peu discret pour un éventuel enlèvement.

 

Quand ils surent qui il avait choisi comme prix de son initiation, ils crurent que c'était une plaisanterie.

C'était une chose d'enlever une jouvencelle et de se la faire, mais là il proposlait de violer une prof.

Toutefois, aucun ne se plaignit de cette proie, ils avaient tous vu la nouvelle prof et en bavaient  tous d'envie

Ils en conclurent donc que s'ils s'en tiraient sans problèmes, Dion ferait définitivement partie du gang.

 

Avec l'air conditionné, les fenêtres restaient fermées toute la journée. Pendant La dernière classe de la journée de madame Wilson Dion s'était assis sous les fenêtres, lorsque la classe se termina, il attendit que plusieurs filles viennent discuter avec elle bloquant sa vue sur le fond de la classe.

Rapidement il releva le loquet de verrouillage de la fenêtre la plus proche de lui, puis il sortit.

 

Fermant sa porte de classe à clef Mélanie se rendit à la salle des profs pour relever le contenu de sa boite aux infos.

Comme elle discutait avec quelques autres profs, elle ignorait totalement qu'on avait déverrouillé une des fenêtres de sa classe et que 4 voyous l'escaladait pour s'introduire dans sa classe.

Lorsqu'elle revint dans sa classe, les 5 envahisseurs étaient cachés dans les toilettes.

 

Ils attendirent prêt d'une heure dans l'obscurité des toilettes.

Dion avait planifié avec précision, il avait une petite lampe de poche qui lui permettait périodiquement de vérifier l'heure à sa montre

A 16 heures et demi, aussi précis que l'horloge, le concierge frappa à la porte et prévint de son départ.

Ils entendirent mademoiselle Wilson répondre :

Ils savaient qu'ils devaient encore attendre dix minutes pour laisser le temps à monsieur Henderson de fermer la porte de devant et de regagner le parking.

Mais maintenant ils pouvaient passer à l'action.

 

Assise à son bureau Mélanie réfléchissait au moyen d'obtenir un poste définitif dans ce lycée, mais pour l'instant il valait mieux qu'elle termine son remplacement, d'autant plus que son mari avait décidé qu'ils allaient fonder une famille.

Elle était si heureuse que Dave ait accepté, puisqu'ils étaient mariés depuis deux ans d'avoir des enfants.

Cela faisait deux mois qu'elle avait arrêté la pilule, et de plus elle était juste dans sa fenêtre de fécondité, et comme le médecin leur avait dit qu'il faudrait attendre quelques semaines avant que le mécanisme corporel redémarre normalement.

 

Perdue dans ses pensées, Mélanie n'avait pas entendu la porte des toilettes dans son dos s'ouvrir, elle ignorait la lente et silencieuse approche de ses agresseurs dans son dos.

Soudain, une grosse main se plaqua sur sa bouche, un bras lui entoura le cou alors que ses deux bras étaient tirés dans son dos.

En se débattant, elle avait éloigné sa chaise du bureau.

Elle ouvrit de grands yeux égarés à la vue de deux visages cagoulés apparaissant dans son champ de vision. Puis elle vit que c'était le seul vêtement que portaient  ses assaillants noirs.

Réalisant leurs intentions, elle se remit à se débattre, cherchant désespérément à se libérer de leur emprise.

 

Al s'avança se postant devant la somptueuse prof, se branlant lentement d'un geste machinal, il se réjouissait de l'air effrayé de la jeune femme qui se débattait toujours, il allait lui apprendre très bientôt quelques subtilités en matière de baise.

Pour ajouter à sa terreur, et pour le divertissement du gang, Al  annonça à la jeune femme :

Jetant un oeil par la fenêtre, Dion constata

Dion savait que c'était exactement ce qui les faisait frissonner de plaisir : voir et entendre hurler une somptueuse beauté horrifiée lorsqu'ils là violentaient.

Sa bite palpitait à la pensée du cri douloureux que madame Wilson pousserait lorsqu'il la poignarderait de son épaisse bite.

 

Dès qu'on lui enleva la main de la bouche, Mélanie les supplia :

La main qui la bâillonnait empaumait maintenant son nibard gauche au travers de son corsage vert lumineux.

Elle frémit en constatant que ses tétons dardaient sous les indésirables caresses, ils titillaient maintenant ses deux mamelons qui ne tardèrent pas à tendre leurs délicats bourgeons.

 

D était le code pour Dion, ils s'appelaient ainsi par des lettres de l'alphabet de crainte de révéler leurs identités. Le visage dissimulé derrière les cagoules ils étaient certains de ne pouvoir être facilement identifiés.

 

La queue Dion battait déjà à l'idée de montrer à ses futurs complices le genre d'outil qu'il  possédait.

Il sourit, sachant que sa bite totalement érigée surprendrait sûrement ses copains et attirerait définitivement l'attention sur la ravissante prof. Fièrement il empoigna l'outil dont il était si fier, et fit un pas en avant.

A la vue de sa bite se déployant si vite Mélanie eut le souffle coupé, d'autant plus qu'elle se courbait à mi hampe et était surmontée d'un gland de la taille d'une prune.

 

Mélanie haletait en voyant cette monstrueuse bite s'approcher d'elle., elle était incapable de détourner les yeux de la mentule tressautante.

Des bras se tendirent vers elle la clouant sur sa chaise, sa peur et son humiliation les excitait à mort.

 

 

Il regardait Mélanie droit dans ses yeux de gazelle effrayée tout en se branlant mécaniquement.

 

Mélanie avala sa salive tant elle était horrifiée,  alors que les jets fournis se pointaient sur son visage avant de s'écraser sur le devant de son chemisier.

Elle baissa la tête et frémit en voyant les flaques de foutre poisseux s'étaler sur son corsage.

Alors, honteuse, humiliée, elle se mit à pleurer à chaudes larmes.

 

Al agrippa l'avant de son corsage et tira, déchirant les boutonnières, exposant un croquignolet soutien-gorge de dentelles noires.

Puis une grosse main se glissa sous sa jupe, une saccade brusque et le bouton de la ceinture céda, la fermeture éclair descendit, sa jupe tomba au sol sur ses hauts talons noirs.

Elle ne portait plus que ses sous-vêtements noirs, ses collants et ses hauts talons.

 

Dion repoussa les stylos et les papiers encombrant le bureau, le préparant à accueillir la jeune prof. Puis aidé des autres membres il la disposa sur le bureau jambes grandes écartées, bien maintenue à la disposition du chef Al.

 

 

 

 

 

 

 

Al examinait la jeune beauté qui fermait les yeux, honteuse,  alors qu'il lui empaumait les nibards.

Il souriait largement en l'entendant gémir et geindre alors qu'il étirait ses tendres mamelons, les pinçait, les rudoyait.

 

Mélanie sentit qu'on lui enlevait ses chaussures, puis le couteau du chef trancha l'élastique de sa dernière protection.

Elle savait maintenant qu'il était vain de lutter, ils étaient trop forts.

Sur un signe de tête, Mélanie fut remise debout, alors que les mains chaudes continuaient à lui manipuler les tétons.

Son corsage déchiré et son soutien-gorge furent repoussés sur ses épaules et jetés au sol.

Son corps révulsé frémissait de dégoût à l'idée de ce qu'il voulait lui faire. Elle n'avait jamais permis à son mari de lui faire une chose aussi dégradante, et maintenant cet animal allait lui faire subir cet acte impensable.

 

Ils s'excitaient à voir leur jeune prof épinglée jambes ouvertes sur le bureau d'où elle dirigeait habituellement ses jeunes élèves.

On lui avait arrachée toute son autorité la laissant sans défense aux mains de ses ravisseurs. Le jeune ado la tête fourrée entre ses blanches cuisses lui dévorait la chatte.

Bras et jambes maintenus aux 4 coins du bureau, tout ce que pouvait faire la malheureuse beauté était de se cabrer sous le plaisir que lui donnait la langue de son agresseur.

 

L'air suffisant, Al releva son visage poisseux d'entre ses cuisses, il se pourlècha les babines pour montrer combien,il s'était délecté de son jus.

 

Il se posta juste à l'orée de sa fente ruisselante de jus.

Il sourit, il adorait cet instant où elle le suppliait :

Il sourit triomphant, sa bite palpitait à l'idée de lui coller un polichinelle noir dans le tiroir.

 

 

Empoignant fermement ses hanches, Al positionna sa bite palpitante. Puis il poussa de toutes ses forces. Comme l'école était vide, les cris d'angoisse de la somptueuse beauté horrifiée ne pouvaient trouver un écho dans les allées désertes du lycée.

 

D'abord lentement,  puis de plus en plus rapidement il plongeait sa bite dans la chatte de la prof atterrée.

Ses sanglots reprirent, elle vagissait alors que des ondes d'un intolérable plaisir gagnait ses reins.

A la vue de ce changement, les membres du gang lui lâchèrent bras et jambes, elle les verrouilla immédiatement autour du torse et de épaules du colosse noir qui la baisait langoureusement.

 

Mélanie était maintenant dans un autre monde chaque intromission dans son ventre lui procurait un plaisir inouï qui la faisait de plus en plus planer.

Elle avait toujours aimé faire l'amour avec son mari, mais jamais il ne lui, avait donné autant de plaisir que ce jeune ado qui la violait vigoureusement, ses reins s'embrasaient sous les rudes coups de bite enivrants de son partenaire.

Soudain tout tourna dans sa tête, son corps fut secoué de spasmes convulsifs, ses muscles vaginaux étreignaient fermement la bite de son violeur.

Elle se blottit contre son agresseur en gémissant sourdement :

C'était la première fois qu'Al  expérimentait  un orgasme d'une telle intensité. Ca le changeait des jeunes ados inexpérimentées. Violer une jeune femme élégante et sophistiquée, appartenant à un de ces bâtards de blanc, rendait le viol bien plus excitant.

Lui empoignant les fesses, il se mit à la marteler :

 

Mélanie se tortillait désespérément, cherchant à repousser son agresseur.

 

 

Finalement Al se releva, sortant de la beauté qui pleurait à chaudes larmes, puis l'un après l'autre, les membres du gang qui se tenaient à la queue leu-leu devant elle, prirent leur plaisir avec elle. D'abord André, puis Tony et enfin Rémy.

Après avoir regardé leur chef faire jouir la jolie prof, ils ne purent se contenir longtemps.

Chacun d'eux glissa sa bite dans la chatte ravagée de la jolie prof, ses mains et ses bras se refermèrent alors dans leur dos et sur leurs épaules,  ils jaillirent rapidement dans son ventre avide.

Dion regardait la jolie prof gisant cuisses grandes ouvertes sur son bureau, du foutre s'écoulant de sa fente béante, sa toison ressemblait maintenant à un cloaque marécageux.

 

Ce qu'elle avait dit plus tôt : qu'ils baisaient comme des animaux, avait ouvert  des perspectives vicieuses à Dion.

Gagnant le bureau où madame Wilson s'était lovée en position foetale, il lui caressa sa soyeuse croupe et la retourna sur le ventre.

Puis il empoigna ses hanches et tira ses jambes vers le bas, laissant la partie supérieure de son corps sur le bureau, jambes pendantes le long du bureau, orteils effleurant le sol.

Ajustant sa prise, il se positionna à l'orée de sa fente détrempée.

 

Comme les autres membres du gang regardaient la nouvelle recrue se mettre en position, ils l'encouragèrent.

Ils virent alors la bite incurvée disparaître lentement dans le ventre de la prof qui sanglotait. Dion se mit à la baiser sur un rythme de plus en plus élevé, comme un animal du zoo.

De plus en plus vite et de plus en plus profondément si bien que la jeune prof se remit à gémir,  et se cabra pour amplifier ses pénétrations vigoureuses,  étirant ses bras pour empoigner fermement l'arête du bureau.

 

Les sensations dues à cette queue incurvée la fouillant intimement  faisaient monter en elle un plaisir envahissant. Il lui semblait que la prune surmontant sa bite courbe lui atteignait le nombril. Elle n'avait jamais ressenti de sensation aussi sauvage avec son mari.

 

Mélanie était heureuse que son époux ait du s'absenter pour un voyage d'affaires.

Il était prêt de minuit avant qu'elle ne parvienne à chanceler jusqu'à sa voiture pour retourner chez elle.

Elle avait été l'esclave de ses infâmes voyous pendant 6  heures pleines.

Elle ne voulait rien révéler à son mari de cet ignoble viol par cette bande de 5 ados, pas plus qu'elle ne voulait lui parler de la honte et de l'humiliation de se faire ainsi dégrader.

Ses mâchoires lui faisaient mal et elle se sentait nauséeuse après avoir sucé tant de fois leurs bites et avalé leur sperme

C'est une chose que son mari avait souvent essayé d'obtenir d'elle, mais elle lui avait toujours refusé ce plaisir.

Et voilà qu'en une soirée elle était devenue une fellatrice experte entre les mains de ces lubriques ados noirs.

Son corps frissonnait de douleur jusqu'à son trou du cul que ce salaud à la bite courbe avait cassé, lui ravissant sa dernière virginité.

 

De retour dans leur repère, les membres du gang sirotaient une bière en l'honneur de leur nouvelle recrue.

Dion fut félicité par tous les membres du gang, il était très fier des commentaires fait par le groupe au sujet de sa quequette courbée.

Tout le monde le félicitait du choix de cette proie qui les avait diverti une bonne partie de la nuit, Dion était fier d'être des leurs.

 

FIN

 

28mars2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

blackdemonstories@yahoo.com

 

 



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