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Review This Story || Author: Coulybaca

L'ombre du passé

Chapter 1


L'OMBRE DU PASSE


Coulybaca




   Chapitre 1



  Clothilde Marsac, au balcon du premier étage guettait le passage du car ramenant ses enfants du lycée. Il était dix-huit heures trente, comme souvent au mois d'octobre la température était douce, elle était légèrement vêtue, le soleil couchant lui caressait les bras.


Tout était calme  dans ce quartier résidentiel de Moulins, largement en dehors du centre ville. Depuis maintenant un mois ils habitaient la grande bâtisse, allouée par la préfecture à son directeur des services. Après avoir erré de sous-préfectures en sous-préfectures, Germain son mari s'était vu offrir ce poste, c'était une belle carrière,  à trente huit ans de se retrouver à ce poste.


Malgré ses réticences, Clothilde avait regagné cette région berceau de son enfance, elle y avait vécu une enfance heureuse puis un épisode dramatique lors de son adolescence.


C'était son jardin secret, elle avait mis des années à oublier ce traumatisme ; de revenir en ces lieux ravivait ses souvenirs, le temps avait cependant fait son oeuvre, elle pouvait maintenant les évoquer sans sombrer à nouveau dans les cauchemars qui avaient, longtemps émaillés son sommeil.



  Personne dans la cellule familiale n'était au courant de son drame, son mari, sa belle-famille, ses enfants ignoraient jusqu'au nom de la « grange aux loups ». Même si l'affaire avait été soigneusement étouffée, elle avait craint lors de son retour, de la voir ressurgir du passé. Il n'en fut rien, à l'époque peu d'informations avaient filtré, et personne n'avait fait allusion à cette époque douloureuse, en sa présence, mieux même, au cours de la prise de crémaillère, elle avait côtoyé un des protagonistes de l'affaire, il l'avait visiblement reconnue, blêmissant à sa vue, puis s'écartant d'elle, visiblement fort gêné, il l'avait évitée toute la durée de la soirée. Lors du départ, très penaud, il lui avait demandé d'une voix tremblante de lui pardonner, de faire comme si jamais rien ne s'était passé, elle avait accepté, elle-même, ne cherchant qu'à oublier.


Elle ne pouvait supporter l'idée que l'écho de ce drame puisse parvenir aux oreilles de ses enfants, de son mari ou de sa belle-famille.


Cette belle-famille qui n'avait donné son accord au mariage, qu'après une longue période d'observation, au vu et au su de sa bonne réputation.


Elle n'osait penser à leur réaction si l'affaire leur était révélée, elle regrettait maintenant d'avoir caché les faits à son mari, elle avait tendu un voile pudique sur cette période, c'était, elle le savait maintenant un tort, mais pouvait-elle prévoir, alors, que la vie la ramènerait en ces lieux.



  Elle avait revu avec joie ses parents, ils l'avaient toujours soutenue, l'avaient réchauffée de leur tendresse, la protégeant de leur mieux à cette époque, enfin soulagé lorsqu'elle parvint à se marier en dépit de ces répulsions initiales.


Il lui avait fallu quatre longues années avant de supporter des mains masculines sur son corps, la tendresse de Germain, sa gentillesse sa douceur l'avait réconciliée avec les males.


Elle se sentait pleine de nostalgie, de savoir que Sylvie sa fille aînée, prenait chaque jour le car qu'elle-même prenait à longueur d'année, pour se rendre dans le lycée vieillot, qu'elle avait fréquenté.



  Sylvie lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, Joel de deux ans son cadet tenait plus de son père ; comme elle, à quatorze ans, elle portait ses cheveux blonds mi-longs sur la nuque, bien sur les tenues avaient changé, Sylvie n'arborait pas les minis qu'on portait en 70, ses tenues étaient plus sages, bien qu'elle non plus, imitant en celà, sans le savoir, sa mère, se refusait au port du soutien gorge, laissant sa poitrine naissante libre de toute contrainte sous son tee-shirt ; elle devait commencer à éveiller la convoitise de jeunes coqs, sa petite fille, faudrait peut-être commencer à veiller au grain.



  Cette pensée la replongea à l'époque de ses quatorze ans, elle pouvait d'ailleurs maintenant l'évoquer presque paisiblement sans en souffrir, vraiment ce mois avait bien estompé ses angoisses.


Elle  revoyait, ce jour de mai, l'absence d'un professeur leur laissant l'après-midi libre, la petite Clothilde Ducreux sortir du lycée en compagnie de sa meilleure copine, Solange Dutertre, elle habitait la maison voisine de la sienne dans son petit village de Courlandon, treize heures sonnaient au clocher de l'église voisine. L'air était étouffant en ces premières journées ensoleillées de mai.


 Pascale Lobry accoudée à la portière d'une TR 3 devisait gaiement avec le conducteur. Il s'agissait de Paul, un de ces jeunes blousons dorés, qui passait ses jours à roder dans la ville, guettant les filles, claquant son fric à profusion, sa réputation n'était pas des meilleures, on murmurait qu'il était compromis dans de vilaines histoires, mais pour toutes ces jeunettes éblouies, il ne pouvait s'agir que de jaloux qui diffusaient ces calomnies pour se venger.


Il lui était facile d'éblouir ces gamines, sa voiture, l'argent facile, son aura un peu trouble, tout participait de son attrait.


-         Paul m’emmène faire une virée, vous en êtes ? demanda Pascale aux arrivantes.


-         C'est d'accord, on embarque, on a rien de mieux à faire, mais Paul il faudra nous ramener à l'heure du car répondit Solange devançant Clothilde.


Elles prirent place sur le siège à bagages, et serrée comme des sardines l'une contre l'autre, se sourirent à l'idée du bel après-midi qui les attendait, elles avaient eu  du pot de sortir à ce moment, elles allaient en faire des envieuses, partager la voiture du beau Paul !



  Il rangea sa voiture le long de la devanture du Balto, leur proposa de leur prendre des cigarettes et en profita pour donner quelques coups de fil, à fin de libérer son après-midi leur dit-il.


La voiture filait maintenant vers Bressans et sa forêt, elles se réjouissaient déjà à l'idée de ramener quelques bouquets de muguet. Il se gara à l'orée de la forêt, à l'ombre d'une grande bâtisse de pierre connue sous le nom de la grange aux loups, sortant de la voiture il les interrogea :


-          Connaissez-vous l'histoire de cette grange ? Non ? ..... elle est pourtant fort instructive. 


-          Au moyen age, quelques chevaliers de basse lignée en avait fait leur repaire, c'était de là qu'ils partaient écumer la région, détroussant les voyageurs, tuant, pillant et surtout capturant de jeunes pucelles qu'ils ramenaient en croupe dans leur tanière. Arrivés là ils les forçaient chacun leur tour partageant comme le disait le seigneur, le vin et la chair, violant, détruisant les jeunes adolescentes qui restaient captives à leur totale service, renouvelant leur cheptel lorsque nécessaire ; la légende dit que les râles des filles forcées, les rires avinés des habitants du lieu, la crainte qu'ils inspiraient suffisait à détourner les importuns.



  Ce disant, il les entraînait dans la grange obscure, traversant une grande salle obscure, ils aboutirent dans une plus petite, tout aussi sombre, Paul leur ayant promis de leur montrer des inscriptions laissées par les anciennes captives, Pascale appuya sur un interrupteur, tout de suite une lumière crue, violente inonda la pièce, les aveuglant.


Plissant les yeux, avec un cri d'effroi elles constatèrent la présence d'une douzaine de jeunes gens qui les entourèrent, menaçants.


-         Mais qu'est que ça veut dire..... Que voulez-vous, questionna Solange apeurée.


-         J’ai oublié de préciser que mon histoire avait une suite répartit Paul ironiquement, Avec les copains nous avons décidé de ressusciter la légende, c'est ici que nous ramenons de jeunes dindes qu'on se tape tous en chœur…. Comme toutes les autres vous allez y passer. 


-          J'avais peur que vous ne soyez pas tous là...... il ne manque que jacques et Pierre...  ils vont certainement arriver...  


-         Salauds...  vous n'avez pas le droit. de... si vous croyez! ... s'écria Pascale d'une voix perçante.



  Pour toute réponse, elle reçut une violente paire de gifles, qui la projeta les quatre fers en l'air aux pieds de ses compagnes.


-         Vous pouvez gueuler tant que vous voudrez, personne ne vient jamais, et nous on préfère..... maintenant ça suffit...  à poil les cageots .


Les trois donzelles s'étaient révoltées, avaient hurlé, tenté de s'échapper, rien n'y fit.


Lassés de leur résistance, débouclant leurs ceinturons ils commencèrent à les cingler de coups violents, n'épargnant aucune parcelle de leurs corps.


Les coups s'abattaient, cuisants, douloureux, au hasard, elles avaient beau chercher à se protéger, ils parvenaient toujours à cingler les parties exposées, leurs jeunes poitrines les brûlaient maintenant, les fesses en feu, tout le corps roué de coups, elles n'étaient plus que des boules de chair meurtries sanglotantes, prêtes à tout pour que cesse la terrible punition.


-         Arrêtez…. Arrêtez...... On fera tout ce que vous voudrez balbutiaient-elles, éperdues entre deux sanglots .


Geignantes elles se relevèrent douloureusement sous l’œil satisfait de leurs tortionnaires, aussitôt“t l'ordre fusa :


-         Allez à poil...... Désapez vous vite...  On a  hâte de voir vos gros culs !



  Ils s'assirent confortablement sur les nombreux matelas qui jonchaient le sol, seuls trois gars, l'appareil photo à la main rodant autour d'elles.


Comme elles ne faisaient pas mine d'obtempérer, Paul leva à nouveau sa ceinture.


-         Non...  Non...  Plus ça...... On se déshabille pleurnichèrent-elles en enlevant leurs tee-shirts, seule Pascale portait un soutien gorge, Solange et Clothilde les seins barrés de larges balafres rougeâtres, exhibaient leurs poitrines menues, la peur, la honte couvrant leurs petites mamelles de chair de poule.


Pascale dégrafa son écrin, Paul ne se contenta pas de la vue de la lourde poitrine aux seins bien formés, aux larges aréoles   brunes, il se saisit des tétons les pinçant, les tordant cruellement lui soutirant de nouvelles plaintes.


-         Arrête, laisse la se foutre à poil..... On en profitera après  intervinrent ses comparses.


Paul abandonna les tétins douloureux et leur enjoignit de continuer leur effeuillage.



  Une nouvelle fois, il dut lever sa ceinture, avant de les voir dégrafer leurs minis jupes, les laissant glisser à leurs pieds. Il ne leur restait plus que leurs petites culottes protégeant encore leurs intimités, hagardes elles durent les enlever, les faisant glisser avec lenteur sur leurs cuisses dodues, en un spectacle involontairement suggestif.


Leurs petites chattes étaient maintenant totalement livrées aux yeux impatients de leurs tourmenteurs. La toison châtain, fournie de Pascale tranchait fortement avec celles nettement moins fournies de ces infortunées compagnes, la fente du sexe se lisait clairement au cœur des toisons clairsemées de Solange et Clothilde.


-         Le choix du roi s'exclama une voix anonyme….. Une rousse, une brune, une blonde, on va profiter de tout l'éventail..... Ca faisait longtemps qu'on attendait ça ! ...... Approchez !


Comme elles restaient sur place, s'accroupissant, jambes pliées ils les attirèrent à eux, happées par des mains impitoyables elles se sentirent tout de suite palpées comme des bêtes à l'étal, les mains avides suivaient tous les contours de leurs courbes, tâtant la fermeté des croupes, violentant les petites poitrines, sauf en ce qui concerne Pascale, contraignant les cuisses dodues à s'ouvrir livrant les moules juvéniles, les culs vierges aux mains évaluatives, ils insinuèrent leurs mains dans les entre fesses serrés, introduisant un, puis plusieurs doigts dans les chas étroits, les anus rétifs.



  Privées de volonté, sous les commentaires graveleux, appréciateurs, elles se laissaient palper sous toutes les coutures tandis que trois jeunes prenaient des photos, tous ces salauds les pelotèrent chacune longuement avant de faire leurs choix, trois paires de mains saisirent Clothilde, elle s'affala sur eux.


Solange et Pascale subissaient le même sort. Allongée sur les genoux de ses trois tourmenteurs, elle sentit à nouveau son corps entièrement palpé, une bouche s'empara de la pointe de seins les mordillant, les étirant entre les dents, les suçotant.


Un cri aigu attira son attention, juste à ses cotés un corps dénudé venait de s'affaler entre les cuisses de Solange, son suborneur venait avec violence de lui déchirer son hymen, lui arrachant ce cri de douleur.


Un des jeunes la fit rouler sur le dos, immédiatement il baissa pantalon et slip sur ses genoux, exposant à ses yeux épouvantés un sexe tendu, noueux, violacé. Il s'allongea entre ses jambes que ses deux comparses maintenaient écartées, elle ne pouvait que s'enfoncer dans le matelas pour se soustraire à l'agression. Elle les supplia :



  -         Non pas ça..... Je suis vierge..... Je ferai ce que vous voudrez...  Mais pas ça..... Laissez-moi..... Je ne dirai rien.


-          De toute manière tu ne diras rien...  Tu crois tout de même pas qu'on va se priver de ton mignon petit cul ! lui rétorqua son agresseur, en pesant au centre de sa faille, il insistait avec force, sa fente avait accueilli la pointe du gland qui butait maintenant sur la barrière de son hymen.


-         C'est une vraie vierge les gars...  On va tout lui apprendre .


D'un coup de rein violent, il parvint à ses fins, sa queue s'engloutit jusqu'à la racine dans la gaine serrée.


Il sembla à Clothilde qu'on l'éventrait, un trait de feu lui traversa le ventre tandis que s'enfonçait l'énorme mentule, distendant d'un coup son petit con de vierge, maintenant son suborneur se tenait immobile, enfoncé jusqu'à la garde dans son étui palpitant.


-         La notre ne l'était plus entendit-elle sur sa droite  Pascale, un gars entre les jambes accueillait de plus un membre vigoureux entre ses lèvres, elles étaient maintenant toutes les trois en mains.


Son étui se faisait bon gré mal gré à la conformation de la bite qui l'habitait, une légère humidité mécanique avait oint le membre qui la fourrait, d'un brusque retrait son suborneur entreprit de la limer, sa bite coulissait difficilement dans l'étroitesse du vagin, pourtant englué de cyprine, la souffrance était tolérable sauf lorsque le gros chibre en bout de course butait sur le col de l'utérus, déchaînant alors des éclairs de feu dans son ventre.



Le corps qui la couvrait se raidit, la bite grossit encore, et pour la première fois en cette après-midi, un mâle se vida dans son ventre.


Elle n'eut pas même le temps de se redresser que déjà un autre salaud prenait place entre ses jambes écartelées, lui fourrant à son tour sa queue dans le con.


Son conduit copieusement graissé par la semence du prédécesseur admit plus facilement son envahisseur, quelques va et viens fiévreux l'amenèrent à une rapide jouissance à nouveau son con se vit inondé de foutre brûlant.


Le troisième se déversa tout aussi rapidement dans son ventre, un quatrième, posant son appareil photo profita à son tour d'elle.


Solange et Pascale aussi avaient satisfaits leurs violeurs, ils échangèrent leurs proies, avides de varier les plaisirs.


-         Suce moi commanda l'un d'eux..... Et gare aux dents...... Si je les sens, j’t'éclate la tête menaça-t-il.


Elle tourna la tête cherchant désespérément à fuir le contact du gland épais sur ses lèvres, un bras la lui immobilisa rapidement, elle sentait la grosse prune mafflue, malodorante peser sur ses lèvres fermées, une petite tape sur la tête la convainquit de participer à son viol, elle desserra les dents, le gland s'infiltra entre ses lèvres, roula sur sa langue avant de l'emplir jusqu'à la glotte.


A grands coups de boutoirs, il utilisait sa bouche comme s'il baisait en son vagin, la tête du nœud frappait avec violence ses amygdales, secouée par les hauts le cœur, elle sentit enfin le foutre gluant jaillir dans le fond de sa gorge, lui inondant la bouche et le palais, le nez pincé, au bord de l'étouffement, elle dut avaler le breuvage amer pour respirer, elle sentit le flot coulant du sperme acre lui brûler l’œsophage, le visage barbouillé de foutre, Pascale tournée vers elle hurlait de douleur, une bite énorme disparaissait par à coups entre ses fesses disjointes.



  Ce spectacle éveilla les mêmes envies dans les reins d'un de ses tortionnaires, il la retourna comme une crêpe, empoigna avec violence ses hémisphères, les séparant à la limite de l'arrachement.


Son mignon oeillet se tapissait, apeuré, au centre de sa raie, instruite de ce qui l'attendait par le tableau qu'elle avait sous les yeux, Clothilde contracta de toutes ses  forces sa rondelle, une ceinture lui cinglant le cul, vaincue, elle relâcha ses sphincters.


S'imprégnant les doigts dans le foutre mêlé de sang et de cyprine qui débordait de sa vulve, d'un pouce brutal il lui graissa copieusement la rosace.


Malgré tout, un hurlement de douleur franchit ses lèvres lorsque inexorablement un épais gourdin fraya sa voie dans son cul distendu, son intestin semblait se déplier, le gros bélier progressait encore dans son cul meurtri, s'installant de tout son ampleur dans ses entrailles frémissantes.


Enfin l'empalement fut total, les couilles velues reposées sur son cul rebondi, son violeur, après quelques allées et venues fébriles projeta en de longues giclées saccadées sa semence au fin fond de ses entrailles.


Ils s'étaient succédés ainsi, tout l'après-midi dans les ventres, les bouches, les culs soumis.


Tout l'après-midi elles avaient du satisfaire leurs désirs pervers, il les prirent dans toutes les positions sans se soucier d'elles.



  Clothilde se rappelait avec précision, le moment où dans le champ des objectifs, elle avait du enfourcher le ventre d'un de ces salauds, s'embrochant d'elle-même sur la queue tendue, elle avait ensuite du tendre les lèvres vers la queue malodorante d'un second malandrin, tandis qu'un troisième lui fouillait les fesses, la forçant ensuite d'un membre dur comme le fer.


Les trois salauds l'avaient longuement limée, accordant leurs rythmes, alternant les coups de boutoir avant de se déverser simultanément dans ses trois orifices douloureux.



  Solange et Pascale de même avaient du à plusieurs reprises combler trois jeunes à la fois, couvertes de sperme, de sang séché, de sueur elles avaient enfin pu se rhabiller sous les quolibets de leurs tourmenteurs. Les douze salauds avaient tous goûté à leurs charmes certains à plusieurs reprises, le corps suintant de sperme par leurs orifices bas, la bouche pâteuse, le goût acre du foutre accroché aux papilles, Paul leur avait remis à chacune un polaroïd qui les représentait en pleine action, embrochée sur trois pines.



  Prévenues que la moindre révélation entraînerait l'envoi immédiat de ces photos à leurs familles, devant la peur du scandale elles durent promettre de se taire, acceptant de revenir chaque week-end distraire leurs maîtres-chanteurs.


Les trois amies s'étaient ainsi jointes chaque dimanche à la cohorte de filles, qui, le cul nu sous leurs jupes courtes venaient contenter la salacité de la bande.


Jusqu'à la mi-juin elles durent offrir leurs bouches, leurs ventres, leurs reins à leurs suborneurs, sur un simple geste elles se couchaient sur le ventre ou le dos, suivant leurs volontés, fesses grandes  ouvertes comblant leurs désirs les plus pervers.


Chaque dimanche elles devenaient la femelle de plusieurs garçons, à chaque rendez-vous une dizaine de filles s'offraient ainsi à la lubricité d'une trentaine de garçons.


Elles satisfaisaient ainsi tous leurs désirs en solo, en duo, ou en trio.


Pâles amaigries, leurs parents qui ne se doutaient de rien les gavaient de vitamines jusqu'au jour où Claudette une des participantes se retrouva enceinte, pressée de questions elle finit par avouer l'ignoble chantage auquel elle devait se plier révélant aux gendarmes les noms de ces salauds et de ses compagnes d'infortune.



La discrétion était de rigueur, les parents furent informés du drame, quelques plaintes furent déposées mais dans son ensemble l'affaire fut étouffée tous les protagonistes y ayant intérêt.



  Se secouant de la léthargie qui l'avait envahie à cette pénible évocation, Clothilde, se penchant en avant, héla ses enfants qui descendaient du bus, elle ne voyait pas sous le balcon les deux fils du jardinier, les yeux braqués sous sa jupe, cherchant à distinguer les poils follets qui s'échappaient de son petit slip.


Les regards brûlants escaladaient lentement les jambes fuselées, plongeant dans la moiteur de l'entrejambe, butaient sur le fond de la petite culotte verte, en estimaient la moiteur troublante, avant de repartir à l'assaut, devinant la blondeur de la toison vaguement entrevue par transparence.


Ignorant l'intérêt qu'elle suscitait chez les deux jeunes gens, inconsciente, elle se balançait d'avant en arrière, se tournait, virevoltait sur les talons, permettant à leurs regards, en toute innocence de suivre le pli profond des fesses avant de s'aventurer sur la croupe rebondie, au sombre sillon bien détaché sur le fond clair de la lingerie élégante.


A chaque fois, la vision d'une si belle croupe, dodue, rebondie à souhait, présentée dans son riche écrin de nylon translucide les échauffait tant, qu'ils devaient s'empoigner la queue à deux mains, pour apaiser leurs sens, projettant de longues giclées blanchâtres le long du mur, alors qu'ils ne rêvaient que de les lui coller au fin fond du ventre ou du cul.





    Coulybaca


Janvier 2008-01-04


dominique.dubuissez@orange.fr


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