|
Omar - La traite des
blanches.
White Slavery Shipment
Coulybaca
/ Black Demon
*****************************************
Cette histoire se suffit à
elle-même,
Cependant, elle fait suite à :
Omar - Le premier jour de croisière
(Cruise Ship – Day 1)
**********************************************
Cela faisait maintenant deux mois que le couple Walker avait
célébré son premier anniversaire de mariage à bord de 'l'Island of
Pleasure".
Laurie Walker était pendue au téléphone, c'était un appel de
l'infirmière du cabinet de gynécologie qui la suivait.
Assise morose à son bureau dans le quartier des finances de
Wall Street, Laurie était toute retournée alors que son coeur battait la chamade.
Les choses s'avéraient si différentes maintenant, en
fait totalement opposées à ses espoirs
lorsqu'elle avait embarqué pour cette croisière avec son bien-aimé mari.
La croisière avait bien commencé, un premier repas excellent à bord, et une
séance de jeux au casino du bord, tant
qu'ils étaient dans les eaux territoriales.
Epuisées par la journée de préparatifs la veille de
l'embarquement, ayant longuement voyagé de leur domicile au quai d'embarquement,
Laurie et son mari étaient tombés dans les bras de Morphée à la veille de leur
premier anniversaire de mariage.
Et Laurie, alors qu'elle somnolait pensait en elle même
toute souriante :
-
"Et
si on profitait de ce premier anniversaire de mariage pour faire un bébé
!....".
Et voila que l'infirmière du cabinet de gynécologie lui
annonçait les résultats du test subi deux jours plus tôt, Laurie frissonna en
apprenant qu'elle était enceinte.
Le bébé avait été conçu le premier jour de leur anniversaire
de mariage, à bord du navire, mais il n'était pas de son mari !
Au petit matin, au lever du soleil, elle avait décidé de faire ses exercices
quotidiens sur le pont extérieur du navire tandis que John restait couché.
Un matelot quittait le pont juste au moment où Laurie se
dirigeait vers sa cabine situé au niveau bleu, soudain elle fut assaillie par
un homme se tenant dans son dos.
Une grosse main lui cloua le bec étouffant ses cris, Son
agresseur la traîna ensuite dans la cabine face à la sienne, elle était obscure.
Dominée par la puissance de son assaillant Laurie comprit
très vite qu'elle n'avait aucune chance de lui échapper, qui connaissait très
bine la disposition de la cabine et évoluait avec aisance dans l'obscurité,
déjà il la dépouillait de ses vêtements.
Ce fut un moment horrible, ses mains se posaient sur elle
déchirant ses vêtements, une fois qu'il lui eut arraché son soutien-gorge, impuissante
elle dit se laisser sucer les tétons, non seulement il les suçait mais ils les
mordillait douloureusement.
Affolée elle sentit ses mamelons darder sous ses caresses
non désirées, il mordait si fort qu'elle était sure qu'elle allait avoir des
cicatrices de morsures sur ses aréoles.
Il la força brutalement à écarter les cuisses s'imposant
entre elles, et il l'avait sauvagement violée la labourant frénétiquement de
son énorme bite.
Il butait contre le col de son utérus, il était certain de
la meurtrir douloureusement c'est alors qu'elle l'avait senti prendre un
dernier élan, s'enfouissant totalement en elle.
La cabine verrouillée par ses soins était étanche et
insonorisée, elle pouvait toujours crier, pleure, geindre ... Personne ne
l'entendrait.
|
Laurie n'avait pas connu d'autre homme que son époux.
Mais le pire, c'était que la bite de son violeur faisait au
moins le double de celle de son mari, aussi bien en longueur qu'en épaisseur.
Laurie frissonna, se rappelant la douleur intense qui
l'avait amenée à le supplier :
-
"Arrêtez
.... Je vous en prie arrêtez ...... S'il vous plait ..... J'ai si mal .... Si maaaaaaaaaal
.... .Si maaaaaaaaaaaal ....."
Il l'embrochait comme jamais elle ne l'avait été, Laurie ne
pouvait le repousser, elle ne pouvait que pleurer et geindre.
Elle ne croyait pas que cela puisse être pire, elle fut
bientôt détrompée alors qu'il grognait à son oreille :
-
"Ma
ravissante petite américaine ..... Ta peau est si douce, si soyeuse ...... Ta
chatte si serrée ..... Autour de ma bite d'africain !......"
C'est ainsi qu'elle apprit que cet homme qui labourait son
corps de puissants coups de bite était noir, elle se remit à se débattre ......
Mais toujours en vain !....
La chatte déchirée, distendue comme jamais, Laurie aurait
souhaité mourir à cet instant ce qui la laverait de toute cette infamie.
Mais le douloureux et sauvage viol se poursuivait, son
ignoble agresseur se retirait à l'orée de sa chatte, puis d'un puissant coup de
boutoir il s'engouffrait brutalement dans sa chatte béante, il était évident
qu'il ne la laisserait pas tant qu'il n'aurait pas assouvi ses instincts
lubriques et apaisé ses sens.
Comme il la martelait su un rythme effréné, la bite
profondément enfouie en elle à chaque pénétration, se grosse couilles venant
frapper régulièrement la peau de son cul, Laurie l'entendit soudain grogner :
-
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
...... Ahhhhhhhhh ..... "
Et jets après jets, il se vida totalement les couilles dans
son utérus fertile.
Ce n'est qu'une fois que son violeur eut fini de se vider en
elle, alors, que sa bite ramollissait, que Laurie pensa aux éventuelles conséquences
de ce viol.
Elle ne prenait plus la pilule depuis six semaines, pendant
tout ce temps, John avait enfilé une capote lorsqu'ils faisaient l'amour, elle
avait tout programmé pour déterminer le moment où elle serait fécondée par son
mari.
Mais ce planning ne concernait que son mari .... Pas un
infâme violeur .....
Concevant qu'il se pourrait bien que son ignoble agresseur
l'ait engrossé elle se mit à geindre :
-
"S'il
vous plait ..... Tuez moi .... Tuez moi ...... Je ne veux plus vivre après ça
!...."
Elle aurait préféré mourir que vivre après avoir subi cette
infâme agression, elle se sentait si dégradée, déshonorée.
Sanglotant d'humiliation, le corps secoué de tremblements
irréversibles, Laurie comprit alors que son violeur n'en avait pas fini avec
elle.
Dans l'obscurité, il la releva du lit, et la força à
s'agenouiller.
Elle avala sa salive, honteuse de se rendre compte que tout
était si clair dans sa mémoire, elle rappelait
comment il l'avait obligée à manipuler sa virilité, à le branler et à caresser
ses couilles velues.
C'est alors qu'il lui avait imposé une dernière humiliation,
ses gros doigts lui saisirent les cheveux l'attirant contre son pubis crépu.
Secouée de nausées, elle dut écarter les lèvres et accueillir dans sa bouche la bite qui sortait de son con.
Elle n'aurait jamais pensé devoir se livrer à un acte aussi
sordide, aussi dégradant, un geste qu'elle n'avait jamais accompli, même pas
avec son mari dans la tiédeur de leur lit conjugal, et maintenant cet homme
..... Un noir lui fourrait sa grosse bite écoeurante dans la bouche !...
Elle était effondrée de voir cet ignoble individu utiliser
sa chose pour lui violer la bouche ..... La baiser en bouche ..... Coulissant
d'avant en arrière entre ses lèvres ..... Comme un homme qui louerait les services
d'une prostituée !.... Mais il ne s'était pas servi que de sa bouche
!....."
Il rugit sourdement :
-
"Argggggggggggggg
...... Arhgggggggghhhhhhh .... " tout en lui remplissant la bouche de son
foutre chaud, elle se mit à tousser, secouée de hauts le coeur.
Il extirpa alors brusquement sa bite de sa bouche lui saisit
la tête et la maintint juste en face de lui, alors que jet après jet il giclait
sur le visage et les cheveux de la ravissante jeune femme asservie.
Bientôt ses yeux et ses narines furent noyés de foutre alors
que des filets de semence s'étalaient sur son menton et dans son cou.
Douchée et rhabillée, se tenant à la balustrade, Laurie
regardait fixement les flots bleus.
Si une jeune serveuse ne lui avait pas saisi la main lui
demandant si tout allait bien, coupant ses pensées morbides, Laurie en aurait
vraisemblablement fini avec son cauchemar en sautant par dessus bord.
Mais cette interruption avait tout changé, elle repensa à
son mari, et se dirigea vers la pharmacie de bord histoire de se procurer de
quoi se doucher vaginalement.
Inutile de dire que la suite de la croisière fut douloureuse
pour Laurie, qui devait maintenant faire face au programme mis en place à
l'occasion de cette traversée ..... Ce qui lui interdisait de garder trop
souvent la cabine !....
Maintenant, quand son mari tout frétillant voulait jouer au
papa et à la maman, Laurie le refroidissait lui disant qu'elle avait prévu de
participer à des activités se déroulant sur le pont lui disant que rien ne pressait,
qu'il pourrait bien faire l'amour plus tard.
La dernière nuit de la croisière, Laurie était heureuse
d'avoir une nuit sans lune qui laissait la cabine dans l'obscurité, elle
n'aurait pas à jouer la comédie pour son mari.
Ses seins lui faisaient mal, elle serrait les dents pour ne
pas gémir de douleur, lorsque son mari les suçait tendrement.
Son con avait été largement distendu par l'insupportable
viol qu'elle avait enduré, petit à petit son corps de remettait, la taille de
ses organes reprenaient leur taille, Laurie pouvait à nouveau sentit la bite de
son homme lorsqu'il lui faisait l'amour.
Trois mois s'était écoulés depuis cette funeste croisière,
Laurie était assise seule dans une chambre d'hôtel à 150 km de chez elle.
Elle était supposée effectuer u voyage de travail de trois
jours, le premier jour de son séjour s'était déroulé comme elle l'avait programmé.
Deux jours seraient consacrés à de courtes vacances, et le
dernier à la priorité de son voyage ..... Voir le gynécologue qui lui avait
confirmé sa grossesse. Mais cette fois elle était là pour avorter du bébé
souvenir de son violeur noir.
Elle y avait ajouté un jour pour récupérer, puis elle
rentrerait chez elle retrouver son gentil mari, qui ne contremaître jamais la
vérité.
Au long de ces derniers mois, Laurie s'était lancée à coeur
perdu dans son travail, cherchant par tous les moyens à oublier cet horrible cauchemar.
Remplie d'angoisse, elle avait vu arriver la période
critique, elle n'avait pas eu ses règles, le médecin lui avait confirmé qu'elle
était enceinte.
Elle détestait mentir à son mari, mais elle ne pouvait pas
révéler le véritable motif de son voyage, en lui disant qu'il s'agissait d'un
voyage d'affaires elle ne mentait qu'en partie puisque c'était vrai pour le premier
jour.
Ce n'était pas vraiment un mensonge ! se disait-elle
cherchant à se convaincre qu'omettre une partie de la vérité n'était pas
vraiment mentir.
Maintenant qu'elle avait avorté de ce bébé qui ne pouvait
que lui poser de nombreux problèmes, Laurie laissa échapper un soupir soulagement, elle ne sentirait plus le témoignage de son
viol grandir dans son ventre.
Elle avait tout planifié, depuis les visites chez le gynécologue,
jusqu'à cet avortement.
Sa vie pourrait reprendre un cours normal à dater de ce
jour, du moins c'est ce qu'elle pensait, inconsciente que son agresseur n'avait
pas oublié cette savoureuse journée ou il s'était délecté de ses charmes dans la cabine en face de
celle où son mari récupérait.
Peu de temps après avoir possédé la ravissante jeune femme,
Omar pensait déjà au futur :
-
"Oh
oui ma chère madame Walker ...... Omar t'appellera bientôt lorsque le bateau
fera escale près de chez toi !..... Je suis sûr que lorsque je te montrerai les
photos de ton viol, tu feras tout ce que tu pourras, tout pour récupérer ces
clichés compromettants afin d'éviter que
je les montre n'importe qui...."
Tu viendras me divertir dans la luxueuse chambre d'hôtel que j'ai retenu pour passer le temps lors de cette escale.
C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait
sceller le destin de Laurie :
-
"Hummmm
J'ai une bien meilleure idée .....Je me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or !......"
L'équipage est constitué de centaines de matelots de
nationalités différentes, la majorité sont des mâles, Omar savait qu'ils paieraient
cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante
jeune américaine comme l'adorable madame Walker.
Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse
jeune femme vêtue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la
poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux
clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.
Omar se remémorant ses performances définit rapidement le
temps qui serait alloué aux consommateurs
-
"20
minutes ..... Pour chaque groupe de 5 !...."
Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une
branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou
en cul ! …. Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes !
Cela faisait maintenant 6 mois qu'il s'était fait cette
somptueuse salope, pour la soumettre il possédait des photos prises dans l'obscurité
de la cabine du viol, il banda rien qu'en évoquant le plaisir qu'il avait pris
à dégrader cette naïve jeune femme le jour même de son premier anniversaire de
mariage, ce qui ajoutait encore du sel à son avilissement.
Omar calcula rapidement :
-
"21
clients à l'heure ..... pendant 10 heures d'affilée …... Mon Dieu .... Elle va
souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200
consommateurs en une seule journée !...."
Six mois s'étaient écoulés, lorsque Laurie assise derrière
son ordinateur dans son bureau ouvrit sa boite aux lettres de travail son
regard se figea immédiatement à la vue d'un message aussi étrange que sinistre.
A la place du nom de l'envoyeur apparaissait une formule
lapidaire : Ton violeur Africain ...
Quant au contenu du message, il était indiqué : T'es tu
retrouvée enceinte après ton premier anniversaire de mariage à bord du bateau ?
La main posée sur la souris, Laurie était figée sur sa
chaise, elle se demandait si elle oserait ouvrir ce mail. Elle voulait
l'effacer et le mettre dans la poubelle, mais; ignorant son contenu, elle
n'osait pas le faire. Le coeur battant la chamade, elle plaça son curseur sur
le message et cliqua sur "ouvrir"
La missive débutait par :
-
"Bonjour
madame Walker ...Tu étais si belle en embarquant à bord du navire avec cette
jolie petite robe bleue ornée d'un galon sous la poitrine et tes hauts noirs
....... Je veux te revoir !...... Tu mettras cette petite robe que j'aime tant
......"
Laura se demanda comment ce bâtard avait bien pu dégotter
son adresse email au bureau, et elle réalisa alors qu'elle avait effectué les
réservations pour cette "croisière romantique" de son bureau, indiquant
son adresse email sur la réservation.
Une photo d'elle embarquant à bord vêtue de sa petite robe
bleue apparaissait sous le court texte, une photo pour laqu'elle elle n'avait
pas posé, d'ailleurs son époux ne figurait pas dessus.
A coté de la photo, Laurie put alors lire :
-
"Le
bateau fera une escale technique à Sweetport vendredi prochain ...... Tu me rejoindras
au motel de Sweetport à 9 heures juste !...... Je t'attendrai dans la chambre
105 au coin du couloir, elle nous est réservée
!..... Réfléchis à la première chose que je veux que tu mes fasses !....."
Elle s'obligea à parcourir le reste de l'email, deux autres
images apparurent cote à cote, Laurie serra les dents l'estomac soulevé de révulsion.
Elle se rappelait maintenant ces deux éclairs aveuglants
dans les ténèbres de la cabine intérieure, ce devait être à ce moment qu'il
avait pris ces instantanés.
Sur la première photo, on la voyait à genoux sa main
enserrant la grosse bite noire alors qu'elle avait le gland turgescent en
bouche, la seconde était encore plus répugnante, on y voyait son visage strié
de deux grosses coulées de foutre, la grosse bite noire en arrière plan
projetait un jet de semence blanchâtre sur sa figure.
-
"Oh
mon Dieu ... Mon Dieu ...... Que puis-je faire ?.... Il ne faut pas qu'il
diffuse ces photos !.... " se disait-elle au fond d'elle même.
Elle prit un jour de congé, et fit croire à son mari qu'elle
se déplaçait à nouveau pour son boulot, Laurie portait la robe requise sous un
imperméable lorsqu'elle sortit de la chambre à coucher.
Elle avait besoin de s'y prendre d'avance pour couvrir le
long chemin jusqu'à la ville de Sweetport, tout au long du trajet elle sentit
son coeur battre la chamade tant ce qui
allait lui arriver lui faisait peur.
Elle était secouée de hauts le coeur lorsqu'elle se
rappelait à quel point le goût de sa bite la révulsait lorsqu'il la lui avait mise en bouche.
Elle avait déjà mal au coeur lorsqu'elle se rangea dans le
parking du motel, elle jeta un oeil sur le trajet qui la séparait de la chambre
105 à l'autre bout du motel, sa montre marquait 9 heures moins cinq.
Elle disposait de 5 minutes pour rassembler ses esprits et
partir, espérant que ce salaud n'enverrait pas les photos de son viol à son mari,
son employeur, ses parents et ses amis comme il la menaçait clairement de le
faire dans son email.
Cependant les photos étaient si horribles que sa vie serait
dévastée si uns seuls de ces personnes venait à les voir !
Des larmes ruisselèrent sur ses joues, elle se força à
ouvrir la portière de la voiture et misérablement, sortit de sa voiture, elle
se dépouilla de son imperméable et le jeta sur le siège arrière, puis
chancelante, elle marcha au supplice.
Sa montre indiquait maintenant 9 heures juste lorsqu'elle
tendit la main pour toquer à la porte.
Laurie frissonna en entendant la voix familière crier :
-
"Entre
ma petite chérie, la porte est ouverte !...."
La porte ouverte, Laurie avala sa salive à la vue de ce
colosse noir assis entièrement nu dans un fauteuil, qui branlait paresseusement sa grosse bite
érigée.
-
"Juste
à temps pour me rendre les honneurs, ma chère madame Walker ..."
Interdite Laurie ferma rapidement la porte, ne voulant pas
être vue d'éventuels badauds.
Le coeur battant la chamade elle était fascinée par l'énorme
bite que caressait machinalement son maître chanteur.
Elle s'agenouilla servilement entre ses cuisses musclées,
tendit la main gauche vers la gigantesque virilité exposant ainsi son alliance
aux yeux d'Omar qui commenta railleur
-
"J'adore
voir briller une alliance au doigt de mes victimes, madame Walker, cela me
rappelle qu'elles manipulent habituellement la bite de l'homme de leur vie
....."
Quelques secondes plus tard ils avaient tous deux les yeux
rivés au diamant qui brillait de mille
feux à sa main enserrant la grosse bite noire de son vil suborneur.
Cajoler la grosse mentule lui rappelait la croisière pour
fêter son anniversaire de mariage, mais cette fois, Laurie voyait cette grosse
bite qui l'avait violée, elle constatait à quel point elle était grosse et
longue.
Le coeur cognant dans sa poitrine, la bouche sèche Laurie
entrouvrit instinctivement les lèvres sans même qu'il le lui demanda.
Hypnotisée par l'énorme braquemart, il lui semblait que le
gland turgescent et le méat entrouvert l'attiraient comme un aimant, elle
ouvrit la bouche en grand.
-
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
..... Doux Jésuuuuuuuuuuuuuus ...." grogna Omar alors que ses lèvres se
refermaient sur son bourgeon charnu.
Laurie, revenue sur terre au contact de sa grosse bine
baignant dans sa salive pensa :
-
"Oh
mon Dieu .... Je me comporte comme une vraie pute .... C'est de mon propre chef
que ... Que j'ai .... que j'ai embouché son énorme virilité !......"
Mais elle ne releva pas la tête pour autant, de toute
manière la main posée sur sa nuque lui interdisait tout mouvement de retrait
alors que son ignoble maître chanteur se mettait à aller et venir dans sa
bouche accueillante.
Bien qu'elle n'ait plus accompli cet acte dégradant depuis
son viol six mois plus tôt, Laurie l'avait joué et rejoué dans sa tête un
million de fois !...
Déjà une vingtaine de centimètres avait disparu dans sa
bouche envahissant sa gorge, ce qui lui valut les félicitations de son maître
chanteur :
-
"Bordel
.... T'es vraiment une excellente fellatrice madame Walker !..."
Si elle ne elle n'avait pas tenue sa bite à la racine, son
nez serait maintenant enfoui dans sa toison crépue et c'est ses 30 cm de bite
qu'elle aurait en bouche.
Quelques instants plus tard, mains accrochées à ses hanches
elle savourait les giclées de foutre chaud qu'il lui projetait tout droit dans
sa gorge frémissante.
Secouée de nausées Laurie frissonnait à la pensée qu'elle
venait de lui faire une pipe digne d'une vulgaire prostituée.
Un filet de foutre s'accrochait à sa langue alors qu'il
extirpait sa grosse bite de sa bouche asservie, son palais était tapissé de foutre.
Son maître chanteur s'était levé et revenait avec deux
verres en main, il lui en tendit un lui disant :
-
"Bois
ça ..... Ca va t'échauffer !......."
La liqueur avait un léger goût de réglisse, Laurie ne
réalisa pas que cette boisson épicée d'une bonne dose de cantharide allait lui
embraser la chatte, seul de bonnes doses de sperme pourraient éteindre l'incendie
qui ne tarderait plus à ravager sa cramouille.
Son maître chanteur reprit sa place dans son fauteuil, il
ordonna à Laurie de le distraire, de lui faire un strip-tease.
Tendant la main dans on cou, Laurie dégrafa le boutonnage de
sa robe, puis descendit la fermeture éclair du dos.
Serrant les cuisses sur son chaton palpitant, Laurie
cherchait désespérément de cacher son émoi, se demandant comment il pouvait se
faire qu'elle ait tant envie d'une bite !....
Sa robe bleue entortillée autour de ses chevilles, elle
paradait sous ses yeux s'exposant son élégant soutien- gorge de dentelle coordonné
à sa petite culotte de dentelle blanche.
Allongeant les doigts dans son dos, elle déclipsa son
soutien-gorge offrant sa somptueuse poitrine aux yeux de son "amant",
ses petits tétons roses étaient dardés d'excitation, ils attendaient la tendre caresse
de sa bouche et des ses mains calleuses.
Un moment plus tard, elle engageait ses pouces sous la
ceinture élastiquée de son slip, le roulant lentement exposant sa toison dorée
aux yeux de son maître chanteur enchanté de cette vision paradisiaque.
Laurie se mit à trembler alors que la brute musculeuse se levait se frottant
contre son corps dénudé, ses yeux se braquèrent à nouveau sur sa mentule qui
s'était déployée à nouveau, formant un angle de 45° avec son estomac.
Ses larges bras noirs l'enlaçaient fermement, ses mains
calleuses lui empoignèrent la croupe, il la leva facilement dans les airs.
Suspendue au dessus du sol, Laurie paniqua alors qu'il lui
faisait poser les mains sur ses épaules lui intimant de se redresser. Elle
haletait fortement, son coeur battait la chamade dans sa poitrine lorsqu'elle réalisa
qu'elle était soulevée juste à l'aplomb de son gros braquemart.
En dépit de l'extraordinaire désir provoqué par les
aphrodisiaques, Laurie craignait la douleur en se faisant embrocher, elle
voyait déjà son énorme flamberge tarauder son étroite petite chatte qui avait
mis des mois à reprendre une taille normale après son ignoble viol.
-
"Ohhhhhhhhhhhh
..... Ohhhhhhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhh ..... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuu
!......" gémissait Laurie alors que l'énorme bite s'engouffrait au plus profond de son intimité.
-
"Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh
..... Ooooooooooooooooo ..... " grommelait-elle cherchant vainement à le
repousser de toutes la force de ses bras.
-
"Owwwwwwwwwwwwwwwwww
......." pleurnicha-t-elle alors qu'il vibrait avec intensité dans ses
profondeurs embrasées.
-
"Ahhhhhhhhh
..... Ahhhhhhhhhhhhhh ...... " s'époumonait-elle alors qu'il la clouait véritablement
sur ce lit d'hôtel.
Alors que la bite longue de trente cinq centimètres
s'enfouissait dans ses profondeurs utérines, Laurie sentit son vagin répondre à
cet assaut, ses sophinctèrent se crispant et se décrisapant sur la hampe
brûlante.
-
"Oooohhhhhhhhhhhh
...... Ohhhhhhhhhhhhhh ... Ohhhhhhhhhhh ......."
Peu à peu la douleur se transformait en plaisir, alors que
l'épais braquemart coulissait de plus en plus facilement dans sa fente engorgée
de cyprine.
Elle verrouilla ses belles cuisses blanches autour de son
torse, Omar sourit en la sentant boucler ses chevilles dans son dos, ses mains
qui le repoussaient de toutes leurs forces étaient maintenant nouées autour de
son cou elle lui griffait le dos de ses ongles manucurés alors qu'il la labourait
de plus belle.
Il adorait la voir changer ainsi d'attitude, elle gémissait
maintenant :
-
"Oui
..... Oui ..... Oh Ouiiiiiiiiiiiiii ..."
Même sachant que cela résultait de l'absorption de la cantharide, il était pleinement satisfait.
-
"Oooooooo
.... Oh mon Dieuuuuuu .... Oh mon Dieuuuuuuuuuu ..... Je .... Je .... Je jouiiiiiissssssss ..... " pantelait
Laurie submergée par un orgasme foudroyant.
Et alors qu'une myriade d'étincelles explosait dans sa tête
accompagnant l'éjaculation de son maître chanteur au plus profond de son intimité
assouvie.
Le trop plein de foutre s'écoulait de leur point de jointure
s'étalant sur ses cuisses puis sur les draps.
Vingt minutes plus tard, clignant des yeux pour se maintenir
éveillée, Laurie se retrouva manipulée par de grosses mains noires qui la disposaient
à quatre pattes sur le matelas.
Elle sentit qu'on lui écartait les cuises en grand et le
matelas s'enfonça alors que son maître chanteur prenait pace dans son dos.
-
"Mon
Dieu ... Il va me prendre comme une chienne !..... Comme une chienne en chaleur
!....." frissonna-t-elle longuement.
Mais elle frémit terrorisée en comprenant sa véritable
intention, déjà il pointait son énorme gland contre son petit oeillet affolé,
elle frémit et hurla :
-
"Non
.......... Non ........... Pas comme ça ...... S'il vous plait ...... Je vous
en prie ..... Personne n'est jamais passé par là !...... Arrêtez ...... Arrêtez
..... Jamais ça ne rentrera !...... Vous êtes trop gros ...... Bien trop
groooooooooos .....!"
-
-
"Argggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh
...... Ugggggggggggh !......" hurlait la ravissante jeune femme éperdue de
douleur alors qu'Omar prenait un grand plaisir à lui casser le cul.
Puis, de nouveau elle l'enlaça de ses jambes l'insoutenable
douleur de la sodomie se muant à nouveau en un plaisir inconnu jamais goûté à
ce jour.
Ses couilles frappant régulièrement ses fesses Omar se mit
soudain à grogner :
-
"Ahhhhhhhhhhh
...Oh oui .... Ouiiiiiiiiiiii ...."
ravi de lui tapisser les intestins de son abondante crème.
Il sourit alors en jetant un oeil sur le visage de la
ravissante jeune femme dévastée.
Regardant sa montre il constata qu'il était juste dans les
temps, les premiers membres d'équipage ne tarderaient plus à arriver.
C'est alors que retentirent des coups frappés à la porte,
Omar fit entrer le trois premiers clients qu'il escomptait justement voir arriver.
Son idée initiale de proposer les charmes de la belle jeune
femme aux hommes d'équipage était couronnée de succès.
Bientôt la ravissante Laurie Walker aurait l'honneur d'avoir
assouvi la lubricité de 200 hommes dans la même journée.
La pauvre Laurie se réveilla de nouveau, mais cette fois
elle frémit alors que des étrangers caressaient ses appâts.
-
"Je
te présente Raoul, Nugyen et Nigel
..." ricana Omar faisant les présentations en désignant chaque homme du
doigt.
Puis Raoul et Nugyen empoignèrent ses chevilles et ses bras,
les relevant du matelas alors Nigel se glissait sous elle.
Empalée sur la grosse mentule du gros noir, elle sentit qu'on
la poussait en avant, pour permettre à Nugyen de l'enculer tandis que Raoul
empoignait sa chevelure la baisant en bouche.
Deux heures plus tard, le trou du cul de Laurie lui faisait
extrêmement mal, le troisième groupe de clients qui l'avait partouzée en terminait, chacun d'eux s'était
servi de sa bouche, de son con et de son trou du cul.
L'injection que lui avait fait Omar dans les fesses l'avait
fait planer pendant un temps alors que les trois hommes venaient simultanément
de lui remplir ses trois orifices.
Laurie s'était alors enroulée dans le couvre-lit tandis
qu'Omar dissimulait sa voiture dans un coin discret du parking.
Pendant sa dernière croisière vers Mexico, Omar avait
rencontré des gens importants qui lui avaient promis de faire de lui un homme
très riche.
Sa position à bord du bateau de croisière, sa faculté de
visiter toutes les zones du navire, même les plus cachées, sa possibilité d'avoir accès à nombres de
documents sans être interrogé à ce sujet lui permettait de se lancer dans un
nouveau commerce ..... La traite des blanches !....
Il avait montré la photo de la ravissante Laurie Walker au
propriétaire d' un important bordel de Mexico,
qui lui avait proposé 25.000 $ s'il la lui livrait en bon état de
fonctionnement.
-
"Eh
oui ma douce ..... Tu peux être certaine que je vais te livrer dans de bonnes
conditions à monsieur Sanchez !..... Il recherche des putains pour ses bordels
miteux dans la banlieue de Mexico. …. Les mexicains adorent fourrer leurs
queues basanées dans les chatons de jeunes américaines à la peau bien blanches,
et je suis sur qu'il ne verra rien à redire à toucher une fille formée à la
prostitution, même si elle aura appris son boulot à bord du bateau, ce qui me
fera encore gagner une bonne somme. ..." avait conclu Omar.
Le lendemain, toutes les forces de police de l'état étaient
à la recherche de madame Laurie Walker qui avait disparu.
Avait-elle été enlevée, où avait-elle disparu de son propre
chef, ils se posèrent la question lorsqu'ils découvrirent qu'elle avait pris
des jours de congé à l'insu de son mari qui la croyait en voyage d'affaires.
Sa voiture noyée dans le nombre de voitures se garant chaque
jour sur le parking du motel de Sweetport ne fut découverte que bien des semaines
plus tard.
Laurie se réveilla le lendemain matin en entendant le
grondement des moteurs du navire loin du port.
Omar lui souriait railleur, Laurie bégaya :
-
"Où
..... Où suis-je .... S'il vous plait ..... Je dois partir ..... Mon ... Mon
mari va s'inquiéter ..... Il va se demander ou je suis ...... "
Mais elle réalisa rapidement que ce n'était que le début
d'une longue épreuve lorsqu'Omar fit entrer un premier groupe de 7 matelots
dans la cabine.
Pendant les trois jours que dura la traversée pour Mexico,
Laurie Walker la gentille petite ménagère adorable s'était transformée en une
putain folle de son sexe capable de satisfaire tous les besoins des clients
avec sa bouche, son con et son trou du cul, de les branler avec ses pieds, ses
mains, une véritable pro capable de
satisfaire toutes les exigences luxurieuses.
Et elle ne refusait pas de les voir juter sur elle, bien au
contraire elle pointait leurs bites sur elle pour les faire gicler sur ses joues
et son menton.
Comme les matelots avaient une demi heure de battements, ils
les avaient autorisés à satisfaire leur lubricité pendant la totalité de cette
demi-heure.
Et comme sur cette croisière, ces temps de récupération
étaient signés chaque jour pour la matinée et l'après-midi.
Ils n'hésitaient pas à dépenser leur solde pour se taper la somptueuse
blonde, plusieurs revinrent plusieurs fois pour profiter de tous les plaisirs
qu'elle pouvait leur offrir au cours de ces trois jours, branlette, pipe,
chatte, trou du cul ..... Certains mêmes payèrent pour assister à ses partouzes
avec sept hommes se contentant d'envelopper leurs bites de ses cheveux roux
pour lui offrir un shampoing crémeux.
Omar prit grand soin de sa marchandise, lui accordent des
pauses douche et s'assurant qu'elle était bien nourrie.
Le soir, après le souper, elle couchait à ses cotés jusqu'au
lendemain matin, bine sur, il la réveillait quand il avait besoin d'assouvir à
son tour sa lubricité.
Il la maintenait constamment sous cantharide de ce fait,
elle se trouvait constamment en manque, en manque de rapports sexuels, elle réveillait
Omar en pleine nuit pour le supplier d'éteindre le feu qui lui embrasait la
chatte.
Le troisième jour, vêtue de sa joie robe bleue ornée d'un
galon rose sous la poitrine, douchée de frais, lourdement droguée, elle
quittait le bord escortée par Omar et quelques matelots.
Une vedette les attendait long du bord, à un endroit
discret, une fois Omar et Laurie à bord, elle fila vers le port. Le gros
mexicain les y attendait à bord d'une luxueuse limousine qui les emmena dans la
banlieue la plus crapuleuse de la ville.
25.000 $ en poche, Omar venait de quitter le propriétaire du
bordel très excité après avoir inspecté la marchandise.
Une fois l'affaire réglée, Omar avait sortit une pochette
contenant 8 photographies prises lors des différents embarquements sur
l"Island of Pleasure ".
Il avait posé les photos sur la table, le gros mexicain
écarquillé des yeux émerveillés, il pointa du doigt deux photos : une
somptueuse jeune beauté aux cheveux châtains et une adorable petite rouquine.
Il avait alors dit à Omar devenu d'un seul coup un de ses
fournisseurs officiels :
-
"Je
paierai 25.000 $ la pièce pour ces deux succulentes beautés américaines.....
Elles rejoindront la savoureuse Laurie ... Cela fera de mon bordel le numéro un
des bordels du pays !...."
|
|
La première photo représentait une jeune beauté vêtue d'une
combinaison orange pâle Omar commenta :
-
"Vous
avez vu ces longues jambes ..... Elles m'enserraient la tête lorsque je lui ai
bouffé la moule ..... Un vrai délice ..... " et jetant un oeil sur ses
notes il poursuivit :
-
"Un
choix excellent monsieur Sanchez, Julie
Armstrong cette somptueuse beauté a 24 ans, c'était son voyage de noce .... Une
prof de lycée pendant ses vacances de printemps ..... Vous disposerez d'elle au
milieu de cet été !....... Cette prof fera une excellente élève ... Je me
réjouis déjà à l'idée de lui enseigner comment se servir de ses lèvres pour
plaire à un homme !...... he, he, he. ..."
Puis prenant en main l'autre photo représentant une
magnifique rouquine vêtue d'un tailleur blanc.
-
"Un
autre très bon choix mon ami ... Elle semble si innocente dans son petit
tailleur blanc ........ n'est ce pas !..... Cette adorable rouquine s'appelle
Katie Sherman, elle faisait une croisière avec son mari pour fêter ses 25
ans,....... Une décoratrice d'intérieur .... Elle pourra décorer votre bordel
..... Spécialement en ouvrant en grand
ses cuisses à la grande joie des clients vicieux ..... Ohhh sa peau est si fine
..... Et je ne parle de sa somptueuse toison rousse ..... Cette beauté serait
un élément très décoratif dans le donjon .... les consommateurs pourraient la
posséder enchaînée au mur avec ces bracelets de cuivre que vous m'avez montré
... Ses pleurs et ses plaintes redoubleraient sûrement l'excitation de ses
clients !....."
FIN
13 janvier 2007
Coulybaca
dominique.dubuissez @orange.fr
Avec l'aimable autorisation de l'auteur : Black Demon
blackdemonstories@yahoo.com